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1, 2, 3 - Noboru FujikiA l'université ; 1è année
■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Noboru Fujiki
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Mar 16 Juil 2024 - 20:03
Ah. Kotai aurait trop dépensé ? Hum... Il lui semble pas être du type à dépenser des sommes folles par contre ? A moins qu'il ait claqué plusieurs milliers de yen au minimum dans des jeux vidéos ou des accessoires ou du matériel informatique ? Sûrement plus non si on lui fait la remarque ? Mmmmh, d'accord, il ira pas insister pour l'instant de toute manière, ayant pas envie de risquer de l'énerver ou le fâcher en parlant de ce genre de sujet privé.
La chose qui l'inquiète un peu c'est l'état de Kotai qui saute beaucoup plus aux yeux après toute cette discussion, la semaine qui vient de s’écouler à l'air d'avoir été tout autant difficile pour eux deux au vu de l'état patraque affiché par Kotai, répondant sans hésitation à sa question.
-Non, non, je les ai déjà prévenus pour la glacière, je peux m'en charger. Tu peux retourner à ta chambre dès maintenant si tu veux te poser au calme, je m'occupe de tout ranger et de la glacière, t'en fais pas.
… Surtout qu'il irait se sentir mal de demander de l'aide a Kotai qui aurait plus besoin d'une sieste avant le film qu'autre chose. Et sûrement d'un vrai repas aussi mais ça jamais il ira le dire à voix haute, étant pas mieux sur ce point la.
En tout cas il commence à réorganiser la glacière et tout ranger, rangeant de nouveau les différentes boites avec la nourriture, vérifiant que les gobelets, les assiettes, les serviettes, le couteau soient tous à leur place, mettant ce qui est sale à part. Une fois satisfait du rangement il ferme la glacière et va jeter les déchets dans la poubelle la plus proche avant de revenir en direction de sa nappe.
Quelques minutes de son temps et voilà la nappe prête à être secouée, pilée et rangé à son tour quand Kotai sera parti, Noboru profite du fait qu'il soit pas encore parti pour lui poser une question.
-On se rejoint à la salle commune à quelle heure du coup ? Et qui prend son ordinateur ?
C'est Kotai qui à proposé mais il veut pas lui imposer le fait de prendre son ordinateur, s'installer et tout régler, il peut le faire aussi, il doit peut être même avoir une clé USB avec des films populaires dessus quelque part dans ses affaires sur Kobe... A moins que Kotai ait déjà des idées sur quoi regarder, ça le dérange pas non plus.
La chose qui l'inquiète un peu c'est l'état de Kotai qui saute beaucoup plus aux yeux après toute cette discussion, la semaine qui vient de s’écouler à l'air d'avoir été tout autant difficile pour eux deux au vu de l'état patraque affiché par Kotai, répondant sans hésitation à sa question.
-Non, non, je les ai déjà prévenus pour la glacière, je peux m'en charger. Tu peux retourner à ta chambre dès maintenant si tu veux te poser au calme, je m'occupe de tout ranger et de la glacière, t'en fais pas.
… Surtout qu'il irait se sentir mal de demander de l'aide a Kotai qui aurait plus besoin d'une sieste avant le film qu'autre chose. Et sûrement d'un vrai repas aussi mais ça jamais il ira le dire à voix haute, étant pas mieux sur ce point la.
En tout cas il commence à réorganiser la glacière et tout ranger, rangeant de nouveau les différentes boites avec la nourriture, vérifiant que les gobelets, les assiettes, les serviettes, le couteau soient tous à leur place, mettant ce qui est sale à part. Une fois satisfait du rangement il ferme la glacière et va jeter les déchets dans la poubelle la plus proche avant de revenir en direction de sa nappe.
Quelques minutes de son temps et voilà la nappe prête à être secouée, pilée et rangé à son tour quand Kotai sera parti, Noboru profite du fait qu'il soit pas encore parti pour lui poser une question.
-On se rejoint à la salle commune à quelle heure du coup ? Et qui prend son ordinateur ?
C'est Kotai qui à proposé mais il veut pas lui imposer le fait de prendre son ordinateur, s'installer et tout régler, il peut le faire aussi, il doit peut être même avoir une clé USB avec des films populaires dessus quelque part dans ses affaires sur Kobe... A moins que Kotai ait déjà des idées sur quoi regarder, ça le dérange pas non plus.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année
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Kotai Kinzoku
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Mer 17 Juil 2024 - 19:52
A l'ombre des arbres, une discussion s'impose.
ft. Noboru Fujiki
Vision dédoublée, il fixa les jumeaux un instant, clignant des paupières jusqu’à ce que l’illusion se dissipe. Un Noboru en ce monde était plus que suffisant. C’était la première fois qu’il tendait la main à un camarade dans le besoin, et même la première fois qu’il désirait former un lien avec quelqu’un qu’il avait rencontré dans la vie de tous les jours. Et il n’avait clairement pas posé les yeux sur la personne la plus simple à aborder. Peut-être aurait-il dû maintenir cette frontière entre vie réelle et virtuelle, laisser leur relation se former en jeu plutôt que de les mener à ce qu’ils vivaient aujourd’hui... C’était malheureusement trop tard pour cela, et les remords ni changeraient rien.
Instant d’égarement. Quand il sortit de ses pensées, son camarade était penché sur la glacière, en train de visiblement ranger les dernières reliques de leur pique-nique avorté. Regret insatiable. Avec le recul, il aurait aimé goûter à tout ce que le blond avait pris la peine de préparer, même un croc de chaque aurait suffit. Tout avait l’air si délicieux, excitant son estomac, mais dans le même temps, il ne se sentait pas capable de manger davantage. Boule dans le ventre. Dans sa poitrine. Dans sa gorge. Noeuds inextricables qui allaient prendre encore quelques jours à se défaire, jusqu’au prochain coup de stress. Enfin entièrement redressé, il se massa machinalement les poignets. Trop fins. Trop délicats. Soupir.
Quand il ne resta plus que la nappe, Kotai inspira et mobilisa l’ensemble de ses forces pour se remettre debout, évitant de marcher sur le tissu. Il pouvait au moins l’aider pour ça. Prenant deux coins de la nappe, il suivit les mouvements du blond pour délester la toile de ses miettes et la replier sagement. Il ne lui avait pas laissé le choix. Et maintenant, ils étaient tous deux sur le départ. Une dernière question les retint, sans grande importance mais il prit néanmoins la peine d’y répondre d’un ton haché, assoiffé, épuisé.
« Vingt heures. Je m’occupe de l’ordinateur. »
Après tout, il avait proposé l’activité, quoi de plus normal qu’il s’en occupe. Sacoche sur l’épaule, corps qui vacille un peu sous son poids pourtant plume, il se frotte les yeux. Et si rien ne le retient, sa chambre est sa prochaine destination.
Instant d’égarement. Quand il sortit de ses pensées, son camarade était penché sur la glacière, en train de visiblement ranger les dernières reliques de leur pique-nique avorté. Regret insatiable. Avec le recul, il aurait aimé goûter à tout ce que le blond avait pris la peine de préparer, même un croc de chaque aurait suffit. Tout avait l’air si délicieux, excitant son estomac, mais dans le même temps, il ne se sentait pas capable de manger davantage. Boule dans le ventre. Dans sa poitrine. Dans sa gorge. Noeuds inextricables qui allaient prendre encore quelques jours à se défaire, jusqu’au prochain coup de stress. Enfin entièrement redressé, il se massa machinalement les poignets. Trop fins. Trop délicats. Soupir.
Quand il ne resta plus que la nappe, Kotai inspira et mobilisa l’ensemble de ses forces pour se remettre debout, évitant de marcher sur le tissu. Il pouvait au moins l’aider pour ça. Prenant deux coins de la nappe, il suivit les mouvements du blond pour délester la toile de ses miettes et la replier sagement. Il ne lui avait pas laissé le choix. Et maintenant, ils étaient tous deux sur le départ. Une dernière question les retint, sans grande importance mais il prit néanmoins la peine d’y répondre d’un ton haché, assoiffé, épuisé.
« Vingt heures. Je m’occupe de l’ordinateur. »
Après tout, il avait proposé l’activité, quoi de plus normal qu’il s’en occupe. Sacoche sur l’épaule, corps qui vacille un peu sous son poids pourtant plume, il se frotte les yeux. Et si rien ne le retient, sa chambre est sa prochaine destination.
Japonais : DarkOrange | Anglais : IndianRed
- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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Noboru Fujiki
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Mer 17 Juil 2024 - 20:22
Kotai fini par se lever, Noboru hausse un sourcil en voyant l'effort, en voyant à quel point il a du mal, mais il ose pas faire de remarque à voix haute, de peur que la journée dérape à nouveau... Voyant qu'après ça Kotai l'aide il s'occupe de faire ça le plus rapidement et le plus efficacement possible, pas de raison de trop s'attarder, en l'espace de quelques instants voilà ça de fait.
Il hoche la tête quand il lui informe qu'il ira ramener son ordinateur, grimaçant un peu en voyant son corps vaciller, le retenant pas plus longtemps que nécessaire, le saluant pendant qu'il retourne à sa chambre.
Quand Kotai est bien parti il soupire longuement, passant une main sur son visage, convenant avec ses parents d'un point de rendez-vous pour qu'ils récupèrent la glacière, ayant pas à les attendre longtemps avant qu'ils arrivent. Sa mère le dispute quand elle voit la glacière encore remplie, Noboru qui à une tête encore pire qu'en début de week-end, le disputant copieusement pendant plusieurs minutes avant de l'embarquer avec eux faire un tour en ville.
Il fini par discuter un peu avec eux, de tout et de rien, parlant aussi de Kotai, allant pas proclamer qu'ils sont grands amis... D'ailleurs il dit rien sur tout ce qu'il s'est passé aujourd'hui, disant simplement qu'il tolère sa présence.
Sauf que pour ses parents... Lui qui tolère une personne est égal à apprécier une personne. Alors... Ils ont voulu marquer un peu le coup, s'installant dans un café boire un verre et discuter un peu plus, aller au centre commercial lui acheter quelques vêtements (ils ont même réussi à lui faire acheter de la couleur... Urgh... Au moins c'est du rouge. Ça va.) et... Acheter un petit cadeau pour son ami.
Il à beau rectifier, un seul regard de sa mère et il ose plus du reste de la journée. Elle a même osé acheter une paire de peluches. Non ! Mais non ! Mais jamais il va oser donner ça à Kotai... A moins qu'il le croise dans les couloirs avec ses achats... Bon, c'est une paire de peluches husky troooooop adorable, de bonne taille en plus, il l'accorde... Mais quand même !
Il soupire, achetant un porte clé FF XIV pour Kotai de qualité, il sait pas si c'est de la marchandise officielle mais c'est bien fait, c'est pas trop cher, donc... C'est parfait.
Pour finir sa mère le traîne presque par le col jusqu'à un restaurant faisant à emporter, avec son père se marrant silencieusement juste derrière eux, sa mère à deux doigts de le réduire en état de civet s'il prend rien décidant sagement de prendre deux mini onigiris au thon, un assortiment de brochettes, une boite de sushis et deux cannettes de thé glacé. Tout ça avant de le traîner dans un petit café faisant à emporter, prenant un lot de macarons avant de l'ajouter au reste de ses sacs.
Elle a rien dit. Mais son regard dit tout... 'Monsieur Noboru Fujiki si tu mange pas tout ce que je t'ai acheté ce soir je te promets que je te louperais pas avec mon lancé de rouleau à pâtisserie lors de ta prochaine visite !' Autant dire que le message est parfaitement reçu.
La nourriture à le droit à son propre sac, en plus des vêtements et des petits extras achetés, ayant passé quasiment tout l'après midi dans les magasins ses parents finissent par le ramener sur le campus, le trajet se fait sans encombre, ayant un câlin ninja de sa mère pendant que son père lui ébouriffe encore plus les cheveux, comme s'ils avaient besoin de ça... Urgh.
Il rend le câlin à sa mère, ébouriffe les cheveux de son père en retour, récupère ses sacs et file aller les déposer dans sa chambre, espérant pas croiser Kotai avec ses sacs dans les couloirs, surtout avec les peluches dépassant bien de leur sac...
Il hoche la tête quand il lui informe qu'il ira ramener son ordinateur, grimaçant un peu en voyant son corps vaciller, le retenant pas plus longtemps que nécessaire, le saluant pendant qu'il retourne à sa chambre.
Quand Kotai est bien parti il soupire longuement, passant une main sur son visage, convenant avec ses parents d'un point de rendez-vous pour qu'ils récupèrent la glacière, ayant pas à les attendre longtemps avant qu'ils arrivent. Sa mère le dispute quand elle voit la glacière encore remplie, Noboru qui à une tête encore pire qu'en début de week-end, le disputant copieusement pendant plusieurs minutes avant de l'embarquer avec eux faire un tour en ville.
Il fini par discuter un peu avec eux, de tout et de rien, parlant aussi de Kotai, allant pas proclamer qu'ils sont grands amis... D'ailleurs il dit rien sur tout ce qu'il s'est passé aujourd'hui, disant simplement qu'il tolère sa présence.
Sauf que pour ses parents... Lui qui tolère une personne est égal à apprécier une personne. Alors... Ils ont voulu marquer un peu le coup, s'installant dans un café boire un verre et discuter un peu plus, aller au centre commercial lui acheter quelques vêtements (ils ont même réussi à lui faire acheter de la couleur... Urgh... Au moins c'est du rouge. Ça va.) et... Acheter un petit cadeau pour son ami.
Il à beau rectifier, un seul regard de sa mère et il ose plus du reste de la journée. Elle a même osé acheter une paire de peluches. Non ! Mais non ! Mais jamais il va oser donner ça à Kotai... A moins qu'il le croise dans les couloirs avec ses achats... Bon, c'est une paire de peluches husky troooooop adorable, de bonne taille en plus, il l'accorde... Mais quand même !
Il soupire, achetant un porte clé FF XIV pour Kotai de qualité, il sait pas si c'est de la marchandise officielle mais c'est bien fait, c'est pas trop cher, donc... C'est parfait.
Pour finir sa mère le traîne presque par le col jusqu'à un restaurant faisant à emporter, avec son père se marrant silencieusement juste derrière eux, sa mère à deux doigts de le réduire en état de civet s'il prend rien décidant sagement de prendre deux mini onigiris au thon, un assortiment de brochettes, une boite de sushis et deux cannettes de thé glacé. Tout ça avant de le traîner dans un petit café faisant à emporter, prenant un lot de macarons avant de l'ajouter au reste de ses sacs.
Elle a rien dit. Mais son regard dit tout... 'Monsieur Noboru Fujiki si tu mange pas tout ce que je t'ai acheté ce soir je te promets que je te louperais pas avec mon lancé de rouleau à pâtisserie lors de ta prochaine visite !' Autant dire que le message est parfaitement reçu.
La nourriture à le droit à son propre sac, en plus des vêtements et des petits extras achetés, ayant passé quasiment tout l'après midi dans les magasins ses parents finissent par le ramener sur le campus, le trajet se fait sans encombre, ayant un câlin ninja de sa mère pendant que son père lui ébouriffe encore plus les cheveux, comme s'ils avaient besoin de ça... Urgh.
Il rend le câlin à sa mère, ébouriffe les cheveux de son père en retour, récupère ses sacs et file aller les déposer dans sa chambre, espérant pas croiser Kotai avec ses sacs dans les couloirs, surtout avec les peluches dépassant bien de leur sac...
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
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❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Kotai Kinzoku
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Mer 17 Juil 2024 - 21:05
A l'ombre des arbres, une discussion s'impose.
ft. Noboru Fujiki
Après-midi tranquille en apparence. Il le passa à son bureau, le nez d’abord plongé dans ses fiches de révision, puis dans un livre de programmation. Sur l’écran de son ordinateur, des vidéos retraçant les plus grands affrontement de Battlebots, une semi-distraction qui ne l’empêchait pas de s’imprégner de sa lecture. Au contraire, cela lui permettait de mentalement faire une pause, tout en ayant toujours quelque chose pour tenir son esprit éveillé. Il avait eu un peu de mal à rejoindre sa chambre, boitillant parfois de sa jambe blessée, attirant quelques regards interrogateurs. Il ne s’en formalisa pas, trop épuisé pour vraiment leur prêter attention. La panique viendrait plus tard, en même temps qu’une éventuelle réalisation.
Téléphone à portée de main. Il l’avait laissé là, y jetant parfois un coup d’oeil quand il pensait s’être trop concentré sur ses tâches et avoir loupé un appel, un message. Silence. Encore. Toujours. Il avait lancé une bouteille à la mer, sms envoyé directement sur le numéro personnel de son père. Celui à n’utiliser qu’en cas d’urgence. On avait beau être un dimanche, son géniteur semblait malgré tout bien trop occupé par son travail. Il ne devait pas lui en vouloir, après tout son poste était extrêmement important et haut placé, il était normal dans leur société de sacrifier la vie de famille au profit d’un emploi enrichissant et gratifiant.
Soupir résonnant entre les murs de la chambre vide.
Un passage rapide sur FFXIV, le temps de faire un donjon ou deux avec le reste de la compagnie. Eve plaisanta qu’il serait temps de prendre une douche quand il mentionna avoir déjà presque fini le nouveau contenu dans son entièreté. Conseil pragmatique. L’heure du rendez-vous approchait, et il serait sage d’y passer maintenant, alors que la plupart des autres pensionnaires étaient sûrement en train de se sustenter.
Il n’avait pas pensé à Noboru de l’après-midi. Chaque activité, chaque distraction avait eu pour but de le repousser très loin, au fin fond de son esprit. Mais sous le pluie régulière de la douche, il se retrouvait seul avec ses pensées. Faisait-il fausse route ? Il voulait croire réellement que n’importe qui pouvait changer. Une idée bien naïve s’il en est, mais il n’avait pas d’autre choix que de s’y raccrocher. Si tout le monde pouvait changer, s’améliorer alors… lui aussi en était capable. Si Noboru pouvait se montrer plus aimable et réfléchi, lui pouvait s’endurcir, s’affirmer, peut-être même devenir quelqu’un qu’on pourrait apprécier. Dont on pourrait être fier. Pensées noyées.
Flottant dans un t-shirt trop grand et dans son jogging molleton trop large, Kotai quitta la salle de bains commune la tête basse. Il y avait peu de monde dans les couloirs mais il n’aimait jamais croiser des inconnus à la sortie de ce lieu relativement intime. Il remonta le couloir d’un pas pressé, malgré ses jambes qui réclamaient un aller simple pour le lit et, sur le chemin de sa chambre, ses yeux s’accrochèrent à deux billes de verre couleur azur. Plantée au milieu d’une bouille adorable, pelage noir, gris et blanc, le cabot duveteux dépassait d’un plastique où l’on devinait la présence d’un de ses congénères. Des peluches ? Étincelle dans les yeux noirs, se changeant en surprise en voyant l’état de la main qui tenait le sac. Grattée et rognée, peut-être, elle était aussi abimée que celles de..
« … Fujiki-san ? »
Téléphone à portée de main. Il l’avait laissé là, y jetant parfois un coup d’oeil quand il pensait s’être trop concentré sur ses tâches et avoir loupé un appel, un message. Silence. Encore. Toujours. Il avait lancé une bouteille à la mer, sms envoyé directement sur le numéro personnel de son père. Celui à n’utiliser qu’en cas d’urgence. On avait beau être un dimanche, son géniteur semblait malgré tout bien trop occupé par son travail. Il ne devait pas lui en vouloir, après tout son poste était extrêmement important et haut placé, il était normal dans leur société de sacrifier la vie de famille au profit d’un emploi enrichissant et gratifiant.
Soupir résonnant entre les murs de la chambre vide.
Un passage rapide sur FFXIV, le temps de faire un donjon ou deux avec le reste de la compagnie. Eve plaisanta qu’il serait temps de prendre une douche quand il mentionna avoir déjà presque fini le nouveau contenu dans son entièreté. Conseil pragmatique. L’heure du rendez-vous approchait, et il serait sage d’y passer maintenant, alors que la plupart des autres pensionnaires étaient sûrement en train de se sustenter.
Il n’avait pas pensé à Noboru de l’après-midi. Chaque activité, chaque distraction avait eu pour but de le repousser très loin, au fin fond de son esprit. Mais sous le pluie régulière de la douche, il se retrouvait seul avec ses pensées. Faisait-il fausse route ? Il voulait croire réellement que n’importe qui pouvait changer. Une idée bien naïve s’il en est, mais il n’avait pas d’autre choix que de s’y raccrocher. Si tout le monde pouvait changer, s’améliorer alors… lui aussi en était capable. Si Noboru pouvait se montrer plus aimable et réfléchi, lui pouvait s’endurcir, s’affirmer, peut-être même devenir quelqu’un qu’on pourrait apprécier. Dont on pourrait être fier. Pensées noyées.
Flottant dans un t-shirt trop grand et dans son jogging molleton trop large, Kotai quitta la salle de bains commune la tête basse. Il y avait peu de monde dans les couloirs mais il n’aimait jamais croiser des inconnus à la sortie de ce lieu relativement intime. Il remonta le couloir d’un pas pressé, malgré ses jambes qui réclamaient un aller simple pour le lit et, sur le chemin de sa chambre, ses yeux s’accrochèrent à deux billes de verre couleur azur. Plantée au milieu d’une bouille adorable, pelage noir, gris et blanc, le cabot duveteux dépassait d’un plastique où l’on devinait la présence d’un de ses congénères. Des peluches ? Étincelle dans les yeux noirs, se changeant en surprise en voyant l’état de la main qui tenait le sac. Grattée et rognée, peut-être, elle était aussi abimée que celles de..
« … Fujiki-san ? »
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Noboru Fujiki
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Jeu 18 Juil 2024 - 10:52
'...Fujiki-san ?'
Hu ? Hu. OH PURÉE KOTAI EST LA ! Noboru était à naviguer dans les couloirs sans trop faire attention, se rapprochant de plus en plus de sa chambre, voyant pas de crevette à l'horizon il pensait qu'il pouvait souffler et relâcher son attention.
Mais non ! Mais forcément non !
Voilà qu'au moment ou il s'y 'attendait plus du tout, voilà un Kotai apparaissant dans son champ de vision, alors qu'il a encore tout les sacs en main. Et les peluches. Surtout les peluches. Il pousse un très, très long soupir, murmurant dans sa barbe, posant les sacs et extirpant la première peluche qu'il attrape.
Celle qui sera la peluche husky élu pour être aux côtés de Kotai. Celle qui sera gardien de ses nuits.
Donnant la peluche à monsieur, la posant en équilibre sur lui s'il l'attrape pas assez vite, il récupère ses sacs, presque à partir sans dire un mot avant de se raviser et stopper le temps d'en dire quelques uns.
-Compensation ou... Euh... Cadeau. Traite le comme tu veux mais il est à toi désormais. J'arrive dans quelques minutes.
Voilà. Au moins il ira pas finir en civet maintenant que la peluche est donnée, bien plus tôt qu'il l'aurait imaginé mais au moins c'est une bonne chose de faite. Il fini par arriver dans sa chambre, entrant en express le temps de poser le sac de vêtements et la peluche, récupérant le porte clé, son casque et son sac de nourriture, les amenant avec lui.
Maintenant direction salle commune vu l'heure, il sait pas si Kotai sera déjà la ou pas encore, dans le doute il ira regarder s'il est déjà a une table, sinon il ira attendre sagement qu'il arrive, se calant pas loin de l'entrée avec son téléphone en main. Noboru sait pas quel genre de film ils iront regarder ce soir, il à deviné que Kotai aimait bien tout ce qui touche au cinéma mais à pas passé assez de temps avec lui pour deviner ses genre préférés, du coup ça sera la surprise il imagine ?
Hu ? Hu. OH PURÉE KOTAI EST LA ! Noboru était à naviguer dans les couloirs sans trop faire attention, se rapprochant de plus en plus de sa chambre, voyant pas de crevette à l'horizon il pensait qu'il pouvait souffler et relâcher son attention.
Mais non ! Mais forcément non !
Voilà qu'au moment ou il s'y 'attendait plus du tout, voilà un Kotai apparaissant dans son champ de vision, alors qu'il a encore tout les sacs en main. Et les peluches. Surtout les peluches. Il pousse un très, très long soupir, murmurant dans sa barbe, posant les sacs et extirpant la première peluche qu'il attrape.
Celle qui sera la peluche husky élu pour être aux côtés de Kotai. Celle qui sera gardien de ses nuits.
Donnant la peluche à monsieur, la posant en équilibre sur lui s'il l'attrape pas assez vite, il récupère ses sacs, presque à partir sans dire un mot avant de se raviser et stopper le temps d'en dire quelques uns.
-Compensation ou... Euh... Cadeau. Traite le comme tu veux mais il est à toi désormais. J'arrive dans quelques minutes.
Voilà. Au moins il ira pas finir en civet maintenant que la peluche est donnée, bien plus tôt qu'il l'aurait imaginé mais au moins c'est une bonne chose de faite. Il fini par arriver dans sa chambre, entrant en express le temps de poser le sac de vêtements et la peluche, récupérant le porte clé, son casque et son sac de nourriture, les amenant avec lui.
Maintenant direction salle commune vu l'heure, il sait pas si Kotai sera déjà la ou pas encore, dans le doute il ira regarder s'il est déjà a une table, sinon il ira attendre sagement qu'il arrive, se calant pas loin de l'entrée avec son téléphone en main. Noboru sait pas quel genre de film ils iront regarder ce soir, il à deviné que Kotai aimait bien tout ce qui touche au cinéma mais à pas passé assez de temps avec lui pour deviner ses genre préférés, du coup ça sera la surprise il imagine ?
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
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Kotai Kinzoku
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Jeu 18 Juil 2024 - 18:18
Rien n'a de sens.
ft. Noboru Fujiki
Jeté entre ses bras, au milieu de ses effets de toilettes, le chien en peluche vacilla, rebondit et manqua bien d’aller dire bonjour au carrelage si son nouveau propriétaire ne s’était pas empressé de le rattraper. Langue en polaire pendant au milieu de la bouille adorable. Kotai garda les yeux rivés sur son nouveau compagnon de vie, toujours aussi surpris. Il était vraiment… pour lui ? Et comment ça une compensation ? Ou même un cadeau ? Ca n’avait pas de sens. Ce n’était pas son anniversaire et ils ne célébraient aucune fête particulière !
Des mots de protestations finirent par se bousculer sur ses lèvres mais, quand il releva la tête, Noboru était déjà à l’autre bout du couloir. Non ! Il ne pouvait pas l’abandonner comme ça ! Pas avec une telle responsabilité sur les bras et sans lui laisser l’occasion de refuser, ou d’au moins le remercier. Ils restèrent donc plantés là, comme deux chiots bazardés au bord de l’autoroute, à regarder la silhouette familière disparaître dans le lointain.
Quoi ?
Regard échangé. Billes noires. Billes bleues. Le jeune homme regagna sa chambre à petits pas incertains. Déposée au centre du lit, la peluche canine pu l’observer ranger prudemment son ordinateur portable dans sa sacoche adaptée, la fermer, hésiter, piétiner, revenir sur ses pas, tendre la main dans sa direction, se raviser, et finalement attraper son sac pour partir.
Clopin-clopant, les yeux à moitié clos, il se hâta comme il put en direction de la salle commune. Ces retrouvailles impromptues l’avaient suffisamment perturbé pour lui causer un peu de retard, mais il espérait que son camarade se montre un chouïa compréhensif. Après tout, c’était partiellement de sa faute ! Il n’avait pas à le prendre en défaut ainsi, au beau milieu du couloir. Débouchant enfin dans la salle du rendez-vous, son attention tomba immédiatement sur la silhouette patiente du blond, penché sur son téléphone. Il s’approcha juste assez pour lui signaler son arrivée, et se dirigea rapidement vers une table libre, installant son ordinateur et s’occupant dans la foulée des branchements.
Hmm… Comment aborder le sujet ? Ses doigts tapotèrent nerveusement la table. Il attendit que Noboru le rejoigne et les mots s’échappèrent dès qu’il fut à portée.
« J-je te remercie pour le présent mais... je ne comprends pas les raisons d'un tel geste ? »
Des mots de protestations finirent par se bousculer sur ses lèvres mais, quand il releva la tête, Noboru était déjà à l’autre bout du couloir. Non ! Il ne pouvait pas l’abandonner comme ça ! Pas avec une telle responsabilité sur les bras et sans lui laisser l’occasion de refuser, ou d’au moins le remercier. Ils restèrent donc plantés là, comme deux chiots bazardés au bord de l’autoroute, à regarder la silhouette familière disparaître dans le lointain.
Quoi ?
Regard échangé. Billes noires. Billes bleues. Le jeune homme regagna sa chambre à petits pas incertains. Déposée au centre du lit, la peluche canine pu l’observer ranger prudemment son ordinateur portable dans sa sacoche adaptée, la fermer, hésiter, piétiner, revenir sur ses pas, tendre la main dans sa direction, se raviser, et finalement attraper son sac pour partir.
Clopin-clopant, les yeux à moitié clos, il se hâta comme il put en direction de la salle commune. Ces retrouvailles impromptues l’avaient suffisamment perturbé pour lui causer un peu de retard, mais il espérait que son camarade se montre un chouïa compréhensif. Après tout, c’était partiellement de sa faute ! Il n’avait pas à le prendre en défaut ainsi, au beau milieu du couloir. Débouchant enfin dans la salle du rendez-vous, son attention tomba immédiatement sur la silhouette patiente du blond, penché sur son téléphone. Il s’approcha juste assez pour lui signaler son arrivée, et se dirigea rapidement vers une table libre, installant son ordinateur et s’occupant dans la foulée des branchements.
Hmm… Comment aborder le sujet ? Ses doigts tapotèrent nerveusement la table. Il attendit que Noboru le rejoigne et les mots s’échappèrent dès qu’il fut à portée.
« J-je te remercie pour le présent mais... je ne comprends pas les raisons d'un tel geste ? »
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- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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Noboru Fujiki
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Jeu 18 Juil 2024 - 20:51
Noboru attend tranquillement l'arrivée de Kotai, ayant pas bougé, toujours sur son téléphone, levant la tête à chaque fois qu'il entend quelqu'un rentrer dans la salle, retournant sur son téléphone quand il constate que la personne attendu est pas encore arrivée.
Mais voilà que Kotai finit par arriver, le suivant sans discuter et s'installant à la table sélectionnée par ses soins, avant d'avoir une question de posée même pas encore installé sur sa chaise. Hu ? Faut une explication à chaque geste maintenant ? Il peut pas offrir un présent comme ça ? Sans raison ?
Noboru soupire, prenant le porte clé qu'il avait acheté et le glissant en direction de Kotai, lui faisant signe que c'est pour lui, sortant la nourriture et les boissons de son sac, réfléchissant quelques secondes avant de répondre.
-Te faut une raison pour recevoir un présent ? Sinon c'est pas valable ? Et si j'ai pas de raison ça te fais quoi hein ? Il stoppe quelques secondes avant de reprendre, soupirant encore. Je sais pas si c'est une raison valable mais... J'ai passé l'après midi avec mes parents, j'ai parlé d'un élève que je tolérais, ils se sont précipité sur l'occasion pour acheter un cadeau au dis humain toléré. A offrir dès que possible.
Bon... C'est plus Crevette qu'humain, au moins niveau gabarit mais voilà, il leur a pas aussi parlé du fait que c'est un peu beaucoup compliqué entre eux et qu'ils en sont a reprendre les bases en essayant de rien faire foirer de son côté... Mais sa tête à du leur donner quelques indices.
Ahem. Maintenant qu'il a fini de sortir les différentes boites de nourriture il regarde Kotai puis l'écran d’ordinateur, avant de poser une question.
-Une idée de film en tête ? Ou t'avais rien de prévu en particulier pour ce soir ?
Pas qu'il lui impose un choix, s'il a pas d'idées Noboru peut choisir, mais il sait pas a quel point leurs goûts sont compatibles... Déjà dans les genres et types de films préférés puis dans les films pari ces catégories, alors pour l'instant il attend de voir s'il à une idée.
Mais voilà que Kotai finit par arriver, le suivant sans discuter et s'installant à la table sélectionnée par ses soins, avant d'avoir une question de posée même pas encore installé sur sa chaise. Hu ? Faut une explication à chaque geste maintenant ? Il peut pas offrir un présent comme ça ? Sans raison ?
Noboru soupire, prenant le porte clé qu'il avait acheté et le glissant en direction de Kotai, lui faisant signe que c'est pour lui, sortant la nourriture et les boissons de son sac, réfléchissant quelques secondes avant de répondre.
-Te faut une raison pour recevoir un présent ? Sinon c'est pas valable ? Et si j'ai pas de raison ça te fais quoi hein ? Il stoppe quelques secondes avant de reprendre, soupirant encore. Je sais pas si c'est une raison valable mais... J'ai passé l'après midi avec mes parents, j'ai parlé d'un élève que je tolérais, ils se sont précipité sur l'occasion pour acheter un cadeau au dis humain toléré. A offrir dès que possible.
Bon... C'est plus Crevette qu'humain, au moins niveau gabarit mais voilà, il leur a pas aussi parlé du fait que c'est un peu beaucoup compliqué entre eux et qu'ils en sont a reprendre les bases en essayant de rien faire foirer de son côté... Mais sa tête à du leur donner quelques indices.
Ahem. Maintenant qu'il a fini de sortir les différentes boites de nourriture il regarde Kotai puis l'écran d’ordinateur, avant de poser une question.
-Une idée de film en tête ? Ou t'avais rien de prévu en particulier pour ce soir ?
Pas qu'il lui impose un choix, s'il a pas d'idées Noboru peut choisir, mais il sait pas a quel point leurs goûts sont compatibles... Déjà dans les genres et types de films préférés puis dans les films pari ces catégories, alors pour l'instant il attend de voir s'il à une idée.
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(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
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Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Jeu 18 Juil 2024 - 23:14
Rien n'a de sens.
ft. Noboru Fujiki
La réponse ne fait que soulever une montagne de questions. Un présent de la part de ses parents ? Il ne les connaissait pas, ne les avait jamais vu. Et tout ça parce que Noboru disait le tolérer ? Loin de lui l’envie de se montrer irrespectueux, mais c’était vraiment étrange comme manière de faire. Etait-ce à cause de ses origines mixtes ? Kotai n’était pas vraiment au fait des mœurs européennes, il ne s’y était jamais vraiment intéressé et ce n’était pas sa mère qui l’aurait encouragé à le faire. Cela restait néanmoins un comportement des plus surprenant… voir perturbant.
Porte-clé glissé dans sa direction, sa main s’arrêta dessus et il arqua un sourcil en découvrant la bouille ronde d’un Mog. Oh ?
« C’est mignon. » commenta-t-il avant de repousser le porte-clé en direction du blond.
C’était gentil de le lui montrer, mais cela ne saurait le détourner de ses interrogations. Ah et non, il n’a clairement pas compris que c’était également un cadeau qui lui était destiné. Après une peluche, comment pourrait-il penser que Noboru avait encore un présent à lui offrir ?
« Mais si la peluche vient de tes parents, je souhaiterais pouvoir les remercier comme il se doit. Je ne suis cependant pas très au fait de leurs centres d’intérêts ou de leurs goûts, est-ce que tu pourrais m’éclairer ? »
Tsuni dirait qu’au pire, il pourrait toujours leur offrir une des spécialités locales, la nourriture était rarement un faux-pas. Après, Tsuni avait toujours aimé manger, bien évidemment que ce genre de cadeau était parfait pour elle.
Pianotant sur son ordinateur, il sauta rapidement d’un dossier à un autre, jusqu’à trouver celui contenant ses films. Se succédaient beaucoup de titres du genre horrifique, mais il y en avait également d’autres tout public, et c’est sur eux qu’il se concentra.
« Est-ce que Le Château Ambulant te convient ? » demanda-t-il en posant son regard dans celui de son camarade.
Porte-clé glissé dans sa direction, sa main s’arrêta dessus et il arqua un sourcil en découvrant la bouille ronde d’un Mog. Oh ?
« C’est mignon. » commenta-t-il avant de repousser le porte-clé en direction du blond.
C’était gentil de le lui montrer, mais cela ne saurait le détourner de ses interrogations. Ah et non, il n’a clairement pas compris que c’était également un cadeau qui lui était destiné. Après une peluche, comment pourrait-il penser que Noboru avait encore un présent à lui offrir ?
« Mais si la peluche vient de tes parents, je souhaiterais pouvoir les remercier comme il se doit. Je ne suis cependant pas très au fait de leurs centres d’intérêts ou de leurs goûts, est-ce que tu pourrais m’éclairer ? »
Tsuni dirait qu’au pire, il pourrait toujours leur offrir une des spécialités locales, la nourriture était rarement un faux-pas. Après, Tsuni avait toujours aimé manger, bien évidemment que ce genre de cadeau était parfait pour elle.
Pianotant sur son ordinateur, il sauta rapidement d’un dossier à un autre, jusqu’à trouver celui contenant ses films. Se succédaient beaucoup de titres du genre horrifique, mais il y en avait également d’autres tout public, et c’est sur eux qu’il se concentra.
« Est-ce que Le Château Ambulant te convient ? » demanda-t-il en posant son regard dans celui de son camarade.
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Noboru Fujiki
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Ven 19 Juil 2024 - 9:13
Porte clé glissé en direction de Kotai revient dans sa direction après avoir dit que c'est mignon... Soupir. Noboru se masse l'arrête du nez silencieusement avant que Kotai parle, voulant remercier ses parents comme il se doit apparemment. Hu ? Mais... Il est pas obligé de faire ça hein, Noboru peut juste faire passer ses remerciements et voilà.
-Hum... Tu sais que le porte clé est pour toi hein ? Cadeau de ma part. Il refait glisser le porte clé juste à côté de Kotai. Puis... T'es pas obligé de faire un cadeau de remerciements à mes parents, je peux juste leur faire passer un message comme quoi t'as apprécié la peluche ou un p'tit mot de ta part. Mais si pour ton cerveau faut vraiment faire quelque chose en retour... T'as qu'a leur faire un flan. J'irais ta donner la recette si tu veux.
Et il ira sûrement en manger un bout avec eux quand il ira donner le flan, pas qu'il pense que Kotai ira empoisonner ses parents mais euh... Ça sera une part test quoi, s'assurer que tout soit à peu près bien, autant niveau proportion des ingrédients que cuisson.
En tout cas il finit par regarder Kotai fouiner dans ses dossiers, jusqu'à tomber sur celui des films, et y en a pas mal, vraiment pas mal, beaucoup horreur, retenant ça dans un coin de sa tête, mais Kotai s'intéresse à un autre type de film.
Le château ambulant ? Oh ouais, ça lui va, il fait signe à Kotai que c'est bon, hochant la tête, s'installant plus confortablement, prêt à regarder le film et manger un peu tout en le visionnant. Préférant de loin manger même en ayant pas faim que subir la colère de sa mère, d'ailleurs...
-Si tu veux tu peux piocher dans ce que j'ai ramené en nourriture, y a de quoi partager.
Oh oui, bon, en temps normal tout serait dévoré avec lui, sans problème, mais la c'est un peu plus compliqué niveau extermination de nourriture. Alors si Kotai veut picorer un peu... Qu'il le fasse.
-Hum... Tu sais que le porte clé est pour toi hein ? Cadeau de ma part. Il refait glisser le porte clé juste à côté de Kotai. Puis... T'es pas obligé de faire un cadeau de remerciements à mes parents, je peux juste leur faire passer un message comme quoi t'as apprécié la peluche ou un p'tit mot de ta part. Mais si pour ton cerveau faut vraiment faire quelque chose en retour... T'as qu'a leur faire un flan. J'irais ta donner la recette si tu veux.
Et il ira sûrement en manger un bout avec eux quand il ira donner le flan, pas qu'il pense que Kotai ira empoisonner ses parents mais euh... Ça sera une part test quoi, s'assurer que tout soit à peu près bien, autant niveau proportion des ingrédients que cuisson.
En tout cas il finit par regarder Kotai fouiner dans ses dossiers, jusqu'à tomber sur celui des films, et y en a pas mal, vraiment pas mal, beaucoup horreur, retenant ça dans un coin de sa tête, mais Kotai s'intéresse à un autre type de film.
Le château ambulant ? Oh ouais, ça lui va, il fait signe à Kotai que c'est bon, hochant la tête, s'installant plus confortablement, prêt à regarder le film et manger un peu tout en le visionnant. Préférant de loin manger même en ayant pas faim que subir la colère de sa mère, d'ailleurs...
-Si tu veux tu peux piocher dans ce que j'ai ramené en nourriture, y a de quoi partager.
Oh oui, bon, en temps normal tout serait dévoré avec lui, sans problème, mais la c'est un peu plus compliqué niveau extermination de nourriture. Alors si Kotai veut picorer un peu... Qu'il le fasse.
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Kotai Kinzoku
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Ven 19 Juil 2024 - 18:28
Rien n'a de sens.
ft. Noboru Fujiki
Retour en arrière. Le Mog sembla le regarder en dépit d’avoir des traits noirs à la place des yeux. La confusion s’accentua dans ses yeux. Encore un cadeau ? Et de sa part ? Il ne pouvait décemment pas accepter, au risque de se sentir redevable et… A moins que ce soit l’effet désiré. Un cadeau pour l’inciter à le supporter ? Le questionnement sur ses traits se mua en déception discrète. Il n’avait pas besoin de ce genre de stratagème pour lui donner sa chance, seulement la certitude que Noboru voulait au moins essayer de s’améliorer. Rien de plus.
En revanche, l’idée de présent-retour pour les parents du blond le laissa coi. Un flan ? Fait de ses petites mains ? Bonjour l’intoxication alimentaire. Il n’avait pas dû en faire depuis l’enfance, ni en manger d’ailleurs ! Enfin, c’était surtout sa senpai qui s’amusait à les gober en une bouchée. Elle s’en mettait toujours plein la bouche - et plein la table - au grand dam de Madame Kufuku, qui lui réservait alors le pire des châtiments : le lancer de claquette.
« J-Je ne sais pas si j’y arriverais. »
Déclaration honnête. Ce n’était peut-être pas aussi compliqué qu’il l’imaginait, mais l’idée de remercier quelqu’un avec un plat qu’il aurait lui-même préparé le terrifiait. La moindre erreur de dosage, le moindre faux-pas, et il risquait l’équivalent d’un incident diplomatique. … Hmm. Le plus sage serait de seulement d’utiliser l’information comme base et de partir de là pour trouver un met plus adéquat. De mémoire, un flan était généralement parfum vanille avec un coulis de caramel dessus ? Donc du sucré. Bien sucré même, si l’on ne faisait pas attention. Il devrait pouvoir trouver quelque chose d’approchant dans une bonne boutique du centre ville… mais cela devrait attendre sa discussion avec son paternel. En espérant qu’il le recontacte prochainement.
Regard revenu sur l’ordinateur, Kotai sortit le reste de son attirail et prépara les branchements pour les casques. Enfin, le casque qu’il allait prêter à Noboru, et la paire d’écouteurs dont il se contenterait. Une odeur de nourriture vint chatouiller ses narines au milieu du processus et la faim lui fit tourner les yeux, découvrant le petit festin que le blond avait sorti. Il n’avait pas mangé ce soir. Quasi rien ce midi. Encore moins hier.
« Tu es sûr que ça ne dérange pas ? »
Après tout, à l’exception du pique-nique, il l’avait toujours vu engloutir des quantités de nourriture deux à trois fois supérieures au petit casse dalle qu’il avait sorti. Partager ne permettrait certainement pas à son camarade de manger à sa faim.
En revanche, l’idée de présent-retour pour les parents du blond le laissa coi. Un flan ? Fait de ses petites mains ? Bonjour l’intoxication alimentaire. Il n’avait pas dû en faire depuis l’enfance, ni en manger d’ailleurs ! Enfin, c’était surtout sa senpai qui s’amusait à les gober en une bouchée. Elle s’en mettait toujours plein la bouche - et plein la table - au grand dam de Madame Kufuku, qui lui réservait alors le pire des châtiments : le lancer de claquette.
« J-Je ne sais pas si j’y arriverais. »
Déclaration honnête. Ce n’était peut-être pas aussi compliqué qu’il l’imaginait, mais l’idée de remercier quelqu’un avec un plat qu’il aurait lui-même préparé le terrifiait. La moindre erreur de dosage, le moindre faux-pas, et il risquait l’équivalent d’un incident diplomatique. … Hmm. Le plus sage serait de seulement d’utiliser l’information comme base et de partir de là pour trouver un met plus adéquat. De mémoire, un flan était généralement parfum vanille avec un coulis de caramel dessus ? Donc du sucré. Bien sucré même, si l’on ne faisait pas attention. Il devrait pouvoir trouver quelque chose d’approchant dans une bonne boutique du centre ville… mais cela devrait attendre sa discussion avec son paternel. En espérant qu’il le recontacte prochainement.
Regard revenu sur l’ordinateur, Kotai sortit le reste de son attirail et prépara les branchements pour les casques. Enfin, le casque qu’il allait prêter à Noboru, et la paire d’écouteurs dont il se contenterait. Une odeur de nourriture vint chatouiller ses narines au milieu du processus et la faim lui fit tourner les yeux, découvrant le petit festin que le blond avait sorti. Il n’avait pas mangé ce soir. Quasi rien ce midi. Encore moins hier.
« Tu es sûr que ça ne dérange pas ? »
Après tout, à l’exception du pique-nique, il l’avait toujours vu engloutir des quantités de nourriture deux à trois fois supérieures au petit casse dalle qu’il avait sorti. Partager ne permettrait certainement pas à son camarade de manger à sa faim.
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Noboru Fujiki
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Ven 19 Juil 2024 - 20:29
Noboru observe la tête de Kotai passer par tout un éventail d'émotions pendant ces quelques instants avant qu'il finisse par parler, étant pas sûr d'arriver à cuisiner le flan, roh, comme s'il allait le laisser se débrouiller seul. Non, non, non voyons... Il ira l'aider, c'est normal.
-Mais t'inquiète, on fera ça ensemble au club cuisine, comme ça tu apprendra à faire un bon flan pâtissier. J'irais même te traduire une recette française, comme ça tu auras la meilleure des meilleures recette pour ça. Bon... Une qu'on pourra faire sur le temps de club, ou sur deux temps de club ? Si on arrive à négocier une p'tite place de stockage ?
Il ajoute la dernière partie, mais c'est plus des pensées a voix haute qu'un vrai bout de conversation, juste qu'il est déjà à réfléchir sur le genre de recette pouvant être sélectionné...
-...Bon, c'est suivant ce que je trouve en recette, faut pas une trop complexe non plus...
Réfléchissant encore sur ça pendant que Kotai paramètre le tout, le laissant faire sans le presser et sans vraiment regarder ce qu'il fait, en profitant même pour regarder son téléphone une dernière fois tant que le film est pas encore lancé, faisant le tour des notification qu'il a eu, ainsi qu'un mini tour sur les réseaux sociaux, levant la tête quand Kotai lui parle.
-Hu ? Ah ! Euh... Ouais ? Entre les onigiris, les brochettes, les sushis et les macarons j'ai de quoi faire... J'ai carrément deux thés glacés... Il laisse son regard naviguer un peu sur le bureau quand il remarque le branchement fait par Kotai, brandissant son casque. J'ai ! Débranche les écouteurs que je puisse le brancher, comme ça on aura tout les deux un casque.
Ah ouais, ils regardent un film ensemble, bien sûr qu'il à pensé à prendre son casque, surtout que c'est un bon casque, autant niveau audio que confort ! Il peut écouter de la musique, des films ou des vidéos pendant des heures avec et le casque est aussi parfait quand il joue, autant côté musique, que pour les effets sonore et les autres types de son.
-Mais t'inquiète, on fera ça ensemble au club cuisine, comme ça tu apprendra à faire un bon flan pâtissier. J'irais même te traduire une recette française, comme ça tu auras la meilleure des meilleures recette pour ça. Bon... Une qu'on pourra faire sur le temps de club, ou sur deux temps de club ? Si on arrive à négocier une p'tite place de stockage ?
Il ajoute la dernière partie, mais c'est plus des pensées a voix haute qu'un vrai bout de conversation, juste qu'il est déjà à réfléchir sur le genre de recette pouvant être sélectionné...
-...Bon, c'est suivant ce que je trouve en recette, faut pas une trop complexe non plus...
Réfléchissant encore sur ça pendant que Kotai paramètre le tout, le laissant faire sans le presser et sans vraiment regarder ce qu'il fait, en profitant même pour regarder son téléphone une dernière fois tant que le film est pas encore lancé, faisant le tour des notification qu'il a eu, ainsi qu'un mini tour sur les réseaux sociaux, levant la tête quand Kotai lui parle.
-Hu ? Ah ! Euh... Ouais ? Entre les onigiris, les brochettes, les sushis et les macarons j'ai de quoi faire... J'ai carrément deux thés glacés... Il laisse son regard naviguer un peu sur le bureau quand il remarque le branchement fait par Kotai, brandissant son casque. J'ai ! Débranche les écouteurs que je puisse le brancher, comme ça on aura tout les deux un casque.
Ah ouais, ils regardent un film ensemble, bien sûr qu'il à pensé à prendre son casque, surtout que c'est un bon casque, autant niveau audio que confort ! Il peut écouter de la musique, des films ou des vidéos pendant des heures avec et le casque est aussi parfait quand il joue, autant côté musique, que pour les effets sonore et les autres types de son.
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Kotai Kinzoku
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Sam 20 Juil 2024 - 0:32
Rien n'a de sens.
ft. Noboru Fujiki
Oui bien sûr, un flan était une pâtisserie, nul besoin de le préciser. Enfin, plutôt un dessert mais c’était sans doute une manière un peu large d’utiliser le terme. En tout cas, la perspective de ne pas être seul durant cette épreuve le rassure et il hoche la tête, tout en se détournant pour bailler poliment derrière sa main.
« On demandera au référent du club si on peut emprunter une place dans l’un des réfrigérateurs. »
Peut-être en moyennant un échantillon test ? Si Noboru lui vient en aide, le résultat serait bien mieux que simplement comestible. Ils verraient bien le moment venu, pour l’instant, ils avaient un film à regarder et un repas à partager… ? Un plissement d’yeux satisfait accueille le casque présenté, et Kotai se hâte de revoir son branchement. Enfin, il va aussi vite qu’il le peut vu son niveau de fatigue ainsi que la faiblesse généralisée de son corps.
Ses yeux glissent à nouveau vers la nourriture, bien plus appétante que celle pourtant délicieuse de la cafétéria. C’était peut-être à cause du cadre moins animé, ou simplement l’idée de ne pas manger seul qui lui donnait l’envie d’écouter son estomac. Pour une fois. Un peu timidement, il tendit la main pour attraper un onigiri, sans vraiment faire attention à ce que Noboru décidait de prendre. De l’autre, il lança le film et enfila son casque.
« On demandera au référent du club si on peut emprunter une place dans l’un des réfrigérateurs. »
Peut-être en moyennant un échantillon test ? Si Noboru lui vient en aide, le résultat serait bien mieux que simplement comestible. Ils verraient bien le moment venu, pour l’instant, ils avaient un film à regarder et un repas à partager… ? Un plissement d’yeux satisfait accueille le casque présenté, et Kotai se hâte de revoir son branchement. Enfin, il va aussi vite qu’il le peut vu son niveau de fatigue ainsi que la faiblesse généralisée de son corps.
Ses yeux glissent à nouveau vers la nourriture, bien plus appétante que celle pourtant délicieuse de la cafétéria. C’était peut-être à cause du cadre moins animé, ou simplement l’idée de ne pas manger seul qui lui donnait l’envie d’écouter son estomac. Pour une fois. Un peu timidement, il tendit la main pour attraper un onigiri, sans vraiment faire attention à ce que Noboru décidait de prendre. De l’autre, il lança le film et enfila son casque.
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Noboru Fujiki
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Sam 20 Juil 2024 - 11:36
Oh ouais, il approuve la méthode de Kotai de demander d'abord, ils auront qu'a le faire en avance comme ça il pourra partir de la pour sélectionner la recette qu'il veut, ça sera plus simple. Il en profite pour le lui faire savoir, lui répondant tant que le film est pas encore lancé 'Ouais, bonne idée ça, on pourra mieux choisir la recette.' Noboru observe Kotai changer les branchements aussi vite que son petit corps hs sur bien des points lui permet avant qu'ils soient prêt à lancer le film.
Il observe Kotai piquer un des deux onigiri, faisant glisser la cannette de thé glacé en trop qu'il a, commençant par les sushis, mangeant doucement pour essayer de faire un vrai repas cette fois, quitte a ce que ça lui prenne tout le film pour manger.
Il propose aussi quelques sushis à Kotai, lui en mettant deux-trois de côté, après en avoir mangé quelques uns il passe aux brochettes, mangeant toujours à coup de petites bouchées, plus concentré sur le film que ce qu'il mange, piochant de manière presque automatique dans les différentes boites, gardant le sucré pour plus tard.
Mais c'est bon. C'est vraiment bon même. Peut être qu'il trouve ça bon car le dernier repas vraiment correct qu'il à mangé date de plusieurs jours... Mais il apprécie le repas, surtout avec le film l’accompagnant et la présence de Kotai à ses côtés. Il aurait pu être loin, très loin de lui, a plus jamais le revoir... Mais... Il à réussi à éviter le pire, alors il est soulagé, au moins il a une seconde chance et peut apprécier encore ce genre de moment avec Kotai.
Il espère en avoir pleins d'autres comme ça dans le futur... Et pouvoir mieux le connaître aussi... Il secoue la tête brièvement, arrêtant de se perdre dans ses pensées et se concentrant à nouveau sur le film, tout en continuant de manger doucement.
Il observe Kotai piquer un des deux onigiri, faisant glisser la cannette de thé glacé en trop qu'il a, commençant par les sushis, mangeant doucement pour essayer de faire un vrai repas cette fois, quitte a ce que ça lui prenne tout le film pour manger.
Il propose aussi quelques sushis à Kotai, lui en mettant deux-trois de côté, après en avoir mangé quelques uns il passe aux brochettes, mangeant toujours à coup de petites bouchées, plus concentré sur le film que ce qu'il mange, piochant de manière presque automatique dans les différentes boites, gardant le sucré pour plus tard.
Mais c'est bon. C'est vraiment bon même. Peut être qu'il trouve ça bon car le dernier repas vraiment correct qu'il à mangé date de plusieurs jours... Mais il apprécie le repas, surtout avec le film l’accompagnant et la présence de Kotai à ses côtés. Il aurait pu être loin, très loin de lui, a plus jamais le revoir... Mais... Il à réussi à éviter le pire, alors il est soulagé, au moins il a une seconde chance et peut apprécier encore ce genre de moment avec Kotai.
Il espère en avoir pleins d'autres comme ça dans le futur... Et pouvoir mieux le connaître aussi... Il secoue la tête brièvement, arrêtant de se perdre dans ses pensées et se concentrant à nouveau sur le film, tout en continuant de manger doucement.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
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Kotai Kinzoku
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Sam 20 Juil 2024 - 19:57
Rien n'a de sens.
ft. Noboru Fujiki
Petites bouchées tout au long du film. Picore et grignote. Encore et encore. Sans vraiment faire attention. Les limites qu’il s’imposait normalement ne lui vinrent même pas à l’esprit, et son corps rompu, acceptait cette nourriture bienvenue sans se faire prier. Il n’avait jamais eu un grand appétit. Enfant, il avait beaucoup de mal avec certaines textures, certaines couleurs même qu’il ne voulait pas du tout voir dans son assiette. Mère avait maintes fois perdu patience, et si ce n’était pour la voisine, il en serait sans doute encore à manger du riz blanc et des karaage sans sauce. Il n’avait jamais autant apprécié les repas qu’il avait pu partager avec les gens qu’il appréciait.
Et peut-être que Noboru pourrait un jour faire partie de ces gens ?
Main quelque seconde en suspens, elle finit par se saisir d’un des sushis qu’on avait poussé à sa portée. La consistance et l’équilibre riz-poisson était parfaite. Kotai plissa les yeux, appréciant un à un chacun des mets qu’il était autorisé à piocher. Et à aucun moment, son camarade ne fit mine de vouloir l’en empêcher. Bien évidemment, à l’écran, la nourriture du Ghibli était encore plus appétissante, plus fantastique et gourmande. Mais leur repas convenait aux deux étudiants silencieux.
Le film se termine enfin. Crédits. Kotai fixe encore un peu l’écran sur lequel se déroule une liste de noms, avant de tourner doucement le regard vers son camarade. Il n’avait pas fait attention à lui, à ce qu’il avait mangé, mais il avait l’air d’avoir également pioché un peu partout. Echo d’un sourire sur son visage inexpressif.
« Merci beaucoup pour le repas. Et la soirée. »
Et le temps qu'il lui avait accordé. Et peut-être aussi pour sa volonté d'au moins essayer.
Et peut-être que Noboru pourrait un jour faire partie de ces gens ?
Main quelque seconde en suspens, elle finit par se saisir d’un des sushis qu’on avait poussé à sa portée. La consistance et l’équilibre riz-poisson était parfaite. Kotai plissa les yeux, appréciant un à un chacun des mets qu’il était autorisé à piocher. Et à aucun moment, son camarade ne fit mine de vouloir l’en empêcher. Bien évidemment, à l’écran, la nourriture du Ghibli était encore plus appétissante, plus fantastique et gourmande. Mais leur repas convenait aux deux étudiants silencieux.
Le film se termine enfin. Crédits. Kotai fixe encore un peu l’écran sur lequel se déroule une liste de noms, avant de tourner doucement le regard vers son camarade. Il n’avait pas fait attention à lui, à ce qu’il avait mangé, mais il avait l’air d’avoir également pioché un peu partout. Echo d’un sourire sur son visage inexpressif.
« Merci beaucoup pour le repas. Et la soirée. »
Et le temps qu'il lui avait accordé. Et peut-être aussi pour sa volonté d'au moins essayer.
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- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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Noboru Fujiki
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Sam 20 Juil 2024 - 20:31
Le film se passe tranquillement, pas de mot échangé entre eux, la nourriture partagée en silence, le silence coupé que par des petits bruits, à intervalle plus ou moins régulier. Noboru lui fait attention à laisser la table propre ainsi qu'a manger sans déranger Kotai, mais vu que lui aussi garde le silence tout du long c'est que ça doit aller.
Bercé par le film, le repas mangé petit bout par petit bout et la présence d'une crevette à ses côtés il réalise pas immédiatement que le film est fini et que les crédits commencent à être affichés à l'écran. Oh. Déjà ? Wow... Il a pas vraiment vu le temps passer pourtant...
Il finit par retirer son casque, passant une main dans ses cheveux pour leur redonner forme, se tournant vers Kotai en train de parler, hochant la tête, répondant à la suite.
-Ouais. C'était sympa. A refaire même. Une ou deux fois dans la semaine tu sais, on se cuisine chacun un bento au club cuisine et on le mange tranquillement devant un film. Profitant du moment présent.
Aaaah... Oui... Ça serait sympa. Ils seraient côte à côte à profiter du même moment tout en pouvant rester dans une certaine forme de coquille, pas besoin de parler, pas besoin de beaucoup interagir, pas de stress... S'ils veulent ils peuvent parler un peu après le film, jusqu'à que les premiers bâillements apparaissent avant d'aller rejoindre leur chambre dormir. Si Kotai accepte l'idée bien entendu, c'est lui qui à le pouvoir de décision sur le coup.
-Tu veux rester encore un peu discuter ou tu veux aller au lit tôt ? Si tu veux aller au lit je vais t'aider à tout ranger et nettoyer.
Bon, à part l'ordinateur, leurs casques et les boites de nourriture ils ont pas grande chose d'autre à faire... Un coup de chiffon ou de serviette mouillée à la limite, histoire de laisser l'espace vraiment propre et c'est tout.
Bercé par le film, le repas mangé petit bout par petit bout et la présence d'une crevette à ses côtés il réalise pas immédiatement que le film est fini et que les crédits commencent à être affichés à l'écran. Oh. Déjà ? Wow... Il a pas vraiment vu le temps passer pourtant...
Il finit par retirer son casque, passant une main dans ses cheveux pour leur redonner forme, se tournant vers Kotai en train de parler, hochant la tête, répondant à la suite.
-Ouais. C'était sympa. A refaire même. Une ou deux fois dans la semaine tu sais, on se cuisine chacun un bento au club cuisine et on le mange tranquillement devant un film. Profitant du moment présent.
Aaaah... Oui... Ça serait sympa. Ils seraient côte à côte à profiter du même moment tout en pouvant rester dans une certaine forme de coquille, pas besoin de parler, pas besoin de beaucoup interagir, pas de stress... S'ils veulent ils peuvent parler un peu après le film, jusqu'à que les premiers bâillements apparaissent avant d'aller rejoindre leur chambre dormir. Si Kotai accepte l'idée bien entendu, c'est lui qui à le pouvoir de décision sur le coup.
-Tu veux rester encore un peu discuter ou tu veux aller au lit tôt ? Si tu veux aller au lit je vais t'aider à tout ranger et nettoyer.
Bon, à part l'ordinateur, leurs casques et les boites de nourriture ils ont pas grande chose d'autre à faire... Un coup de chiffon ou de serviette mouillée à la limite, histoire de laisser l'espace vraiment propre et c'est tout.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
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Kotai Kinzoku
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Sam 20 Juil 2024 - 21:45
Rien n'a de sens.
ft. Noboru Fujiki
Une invitation à se revoir ? Et aussi fréquemment ? Kotai arqua un sourcil surpris, ne s’attendant clairement pas à ce genre de proposition. Il pensait qu’ils allaient plutôt prendre leur temps, après tout ils avaient déjà les cours et le club en commun, ne se voyaient-ils pas suffisamment tout au long de la journée pour se rajouter ainsi des sessions “cinéma de fortune” ?
« L’idée me plaît. » répondit-il avant même que sa raison ne termine son exposé.
En plus de donner du sens à son apprentissage culinaire, la perspective de… Non. Il en avait envie. Sous ses airs d’ursidé grognon, Noboru savait se montrer prévenant. Attentif. Amical. Il voulait découvrir davantage de cette facette, et avec espoir, peut-être lui permettre de l’afficher un peu plus souvent. Un peu plus facilement. Ses yeux se plissent, ou se ferment à moitié, alors que le thème musical du film vagabonde encore dans son esprit.
« Oh tu souhaites parler de quel- » Un bâillement l’interrompt, et il se cache prestement derrière sa main, avant de se frotter les yeux. « Hmm… Ce n’est peut-être pas une bonne idée… »
Le choix le plus sage était de ranger et nettoyer la table, avant de filer se lover au creux de son lit. Le sommeil l’appelait de tout son coeur. Regard vers son ordinateur et il secoua la tête. luttant de toutes ses forces. Il était encore bien trop tôt pour se quitter. Oh, il n’avait pas oublié les paroles malheureuses de son camarade. Une nuit à l’hôtel, une sanction par l’école. Il n’avait guère besoin de tout ça. Que ferait une personne normale ?
« Tu.. Tu veux qu’on fasse du small talk ? Je veux dire… Euh… Que… Qu’est-ce que tu penses de l’histoire du film ? Non c’est stupide… Un personnage que tu préfères peut-être ? »
« L’idée me plaît. » répondit-il avant même que sa raison ne termine son exposé.
En plus de donner du sens à son apprentissage culinaire, la perspective de… Non. Il en avait envie. Sous ses airs d’ursidé grognon, Noboru savait se montrer prévenant. Attentif. Amical. Il voulait découvrir davantage de cette facette, et avec espoir, peut-être lui permettre de l’afficher un peu plus souvent. Un peu plus facilement. Ses yeux se plissent, ou se ferment à moitié, alors que le thème musical du film vagabonde encore dans son esprit.
« Oh tu souhaites parler de quel- » Un bâillement l’interrompt, et il se cache prestement derrière sa main, avant de se frotter les yeux. « Hmm… Ce n’est peut-être pas une bonne idée… »
Le choix le plus sage était de ranger et nettoyer la table, avant de filer se lover au creux de son lit. Le sommeil l’appelait de tout son coeur. Regard vers son ordinateur et il secoua la tête. luttant de toutes ses forces. Il était encore bien trop tôt pour se quitter. Oh, il n’avait pas oublié les paroles malheureuses de son camarade. Une nuit à l’hôtel, une sanction par l’école. Il n’avait guère besoin de tout ça. Que ferait une personne normale ?
« Tu.. Tu veux qu’on fasse du small talk ? Je veux dire… Euh… Que… Qu’est-ce que tu penses de l’histoire du film ? Non c’est stupide… Un personnage que tu préfères peut-être ? »
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Noboru Fujiki
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Mer 31 Juil 2024 - 21:56
Kotai à l'air surpris de la proposition, Noboru dit rien, voulant pas le brusquer ou dire quelques chose qui irait le faire changer d'avis... Retenant presque sa respiration, soufflant un coup quand Kotai approuve l'idée, rassuré par la réponse donnée.
Il va devoir faire attention autour de Kotai à pas s'énerver ou être violent, sachant bien que cette seconde chance est inespérée... Mais si c'est à faire pour pouvoir continuer d'être avec lui... Il essaiera de faire des efforts.
Kotai commence à parler de nouveau, ses yeux glissant immédiatement dans sa direction, voyant qu'il peine vraiment a parler, baillant, butant sur ses mots, sachant pas trop quoi dire... Noboru fini par le stopper, avant qu'il s'embrouille d'avantage. Index suspendu en l'air, presque à toucher les lèvres de Kotai, il réfléchi sur des sujets de conversation possible avant de répondre plus vite qu'il réfléchit.
-Toi c'est quoi tes passions ?
Haha. Noupe. Il retire son index, passant ses mains dans ses cheveux, essayant de rattraper ça, voulant pas que Kotai réponde a une des questions posés pendant le 'pique nique pas pique nique' même si c'était inversé, il allait mordiller une de ses lèvres quand il se retient juste à temps, posant une autre question.
-Des idées de films à regarder pour les prochaines fois ?
Ah la, voilà, que Kotai oublie la question d'avant. A moins qu'il veuille y répondre. Pas qu'il ira le stopper s'il répond, juste... Il veut pas le rendre mal à l'aise ou autre... Déjà qu'il veut toujours bien de sa présence, il va essayer de faire attention...
Il va devoir faire attention autour de Kotai à pas s'énerver ou être violent, sachant bien que cette seconde chance est inespérée... Mais si c'est à faire pour pouvoir continuer d'être avec lui... Il essaiera de faire des efforts.
Kotai commence à parler de nouveau, ses yeux glissant immédiatement dans sa direction, voyant qu'il peine vraiment a parler, baillant, butant sur ses mots, sachant pas trop quoi dire... Noboru fini par le stopper, avant qu'il s'embrouille d'avantage. Index suspendu en l'air, presque à toucher les lèvres de Kotai, il réfléchi sur des sujets de conversation possible avant de répondre plus vite qu'il réfléchit.
-Toi c'est quoi tes passions ?
Haha. Noupe. Il retire son index, passant ses mains dans ses cheveux, essayant de rattraper ça, voulant pas que Kotai réponde a une des questions posés pendant le 'pique nique pas pique nique' même si c'était inversé, il allait mordiller une de ses lèvres quand il se retient juste à temps, posant une autre question.
-Des idées de films à regarder pour les prochaines fois ?
Ah la, voilà, que Kotai oublie la question d'avant. A moins qu'il veuille y répondre. Pas qu'il ira le stopper s'il répond, juste... Il veut pas le rendre mal à l'aise ou autre... Déjà qu'il veut toujours bien de sa présence, il va essayer de faire attention...
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
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Kotai Kinzoku
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Mer 31 Juil 2024 - 22:27
Rien n'a de sens.
ft. Noboru Fujiki
Echo plus proche qu’ils ne l’auraient souhaité. La question avait pourtant un semblant de naturel, bien plus que celle qu’il avait peiné à formuler. Mots en suspension, bloqués par le doigt levé qui effleurait presque ses lèvres. Une interruption que le plus jeune aurait pu mal prendre mais il préféra observer le silence et en profiter pour retourner la réponse initiale du blond dans son esprit. La moto. Le judo. La cuisine. Et l’informatique. En plus d’être au centre de leurs études, c’était peut-être le point sur lequel ils se rejoignaient le plus. Oh, l’univers des cylindrées l’intriguait bien sûr, mais il n’était encore qu’un néophyte qui avait tout à apprendre. Peut-être que pour le codage et la programmation, ils pouvaient s’estimer égaux.
Hésitation dans les yeux d’azur. Enième mordillement de lèvres. Changement de direction. Les regrets du midi transparaissaient clairement au travers de l’attitude de son camarade alors, bon prince, Kotai consacra ses premiers mots à ce sujet là.
« Ce que tu souhaites. On peut alterner entre un film qui te plaît et un qui m’intéresse. »
S’ils ne faisaient que suivre ses choix, le pauvre Noboru risquait bien vite de faire une overdose de films horrifiques. Ce que le brun ne pouvait comprendre. Ils étaient si fascinant à étudier et décortiquer ! Bon, moins quand la production abusait des effets spéciaux rajoutés post-prod, mais ça il ne pouvait pas le deviner en découvrant le film pour la première fois. Sinon, il pouvait toujours lui faire découvrir un de ses plaisirs coupables : une petite chaîne qui résume les films d’horreur tout en dressant le listing des personnages tués. Une petite pépite à ses yeux, surtout quand le présentateur s’attardait sur des détails autour du film.
« Du Gunpla. »
Réponse éclose entre ses lèvres, il relève les yeux et sort de ses pensées, lui-même surpris d’avoir tout de même répondu à la première question posée.
« C-C’est une de mes passions depuis l’enfance. J-J’en ai fait un il y a quelques semaines, je pourrais te le montrer. Si tu le souhaites. Sinon c’est pas grave. » enchaîna-t-il en se grattant la joue. « Hmm… J’aime aussi beaucoup la robotique, même si je ne peux plus trop en faire maintenant. Et je ne dirais pas que c’est une passion mais j’aime beaucoup regarder les étoiles. Ca aussi je ne peux plus trop le faire ici. »
Il repensa avec dépit à cette escapade innocente sur les toits, et aux conséquences qui en avaient découlé. Oh il regrettait peu de choses d’Osaka, mais la liberté de sortir profiter de la fraîcheur de la nuit lui manquait terriblement. Inconsciemment, son visage s’assombrit quelque peu.
Hésitation dans les yeux d’azur. Enième mordillement de lèvres. Changement de direction. Les regrets du midi transparaissaient clairement au travers de l’attitude de son camarade alors, bon prince, Kotai consacra ses premiers mots à ce sujet là.
« Ce que tu souhaites. On peut alterner entre un film qui te plaît et un qui m’intéresse. »
S’ils ne faisaient que suivre ses choix, le pauvre Noboru risquait bien vite de faire une overdose de films horrifiques. Ce que le brun ne pouvait comprendre. Ils étaient si fascinant à étudier et décortiquer ! Bon, moins quand la production abusait des effets spéciaux rajoutés post-prod, mais ça il ne pouvait pas le deviner en découvrant le film pour la première fois. Sinon, il pouvait toujours lui faire découvrir un de ses plaisirs coupables : une petite chaîne qui résume les films d’horreur tout en dressant le listing des personnages tués. Une petite pépite à ses yeux, surtout quand le présentateur s’attardait sur des détails autour du film.
« Du Gunpla. »
Réponse éclose entre ses lèvres, il relève les yeux et sort de ses pensées, lui-même surpris d’avoir tout de même répondu à la première question posée.
« C-C’est une de mes passions depuis l’enfance. J-J’en ai fait un il y a quelques semaines, je pourrais te le montrer. Si tu le souhaites. Sinon c’est pas grave. » enchaîna-t-il en se grattant la joue. « Hmm… J’aime aussi beaucoup la robotique, même si je ne peux plus trop en faire maintenant. Et je ne dirais pas que c’est une passion mais j’aime beaucoup regarder les étoiles. Ca aussi je ne peux plus trop le faire ici. »
Il repensa avec dépit à cette escapade innocente sur les toits, et aux conséquences qui en avaient découlé. Oh il regrettait peu de choses d’Osaka, mais la liberté de sortir profiter de la fraîcheur de la nuit lui manquait terriblement. Inconsciemment, son visage s’assombrit quelque peu.
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Noboru Fujiki
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Mer 31 Juil 2024 - 22:42
Noboru attend un peu nerveusement les prochaines mots de Kotai, sachant pas trop sur quoi il ira se lancer, sur quoi il ira répondre, s'il ira ignorer ou non la question qu'il regrette avant de plus tant la regretter que ça la seconde qui suit. Presque à retenir son souffle en l'observant d'un regard pas trop appuyé il respire un bon coup quand Kotai propose d'alterner pour les films, choix raisonnable et rapidement accepté de sa part d'un hochement de tête.
Ouf, la nervosité baisse avant de remonter d'une pique quand il balance du Gunpla sans préciser, Noboru hausse un sourcil, surpris du nom balancé comme ça avant de voir la surprise pouvant être lu sur le visage de Kotai et lui butant sur ses mots, semblant pas vraiment approuver cette passion...
Il garde le silence, le laissant continuer sur sa lancée, notant qu'il aime la robotique et regarder les étoiles dans tout de qu'il à dit, hochant la tête à nouveau, attendant quelques secondes avant de prendre la parole.
-J'avoue que j'ai jamais fabriqué de maquette de mécha en général mais ça doit être sympa à faire... Surtout quand tu vois les modèles fini et peints. Par contre pour la robotique, plutôt conception, fabrication ou juste la branche en général ? Pas que j'ai des connaissances précises mais euh...
Il doit avouer qu'il s'y connaît pas trop dans ce domaine même s'il a une idée du genre de connaissance pouvant être demandé... Il imagine bien un mix de connaissances du type codage et développement ainsi que des compétences pouvant se rapprocher de l'électronique et de la mécanique, avec des spécialistes dans chaque domaine ? Ouais... Ça doit être quelque chose comme ça..
En tout cas Kotai doit être sacrément motivé, intéressé et avec une base de connaissances solides pour vouloir aller le dedans, il lui souhaite de réussir...
-... Euh ouais, ça doit pas être simple, je te souhaite de finir avec un bon poste dedans une fois le diplôme acquis.
Ouf, la nervosité baisse avant de remonter d'une pique quand il balance du Gunpla sans préciser, Noboru hausse un sourcil, surpris du nom balancé comme ça avant de voir la surprise pouvant être lu sur le visage de Kotai et lui butant sur ses mots, semblant pas vraiment approuver cette passion...
Il garde le silence, le laissant continuer sur sa lancée, notant qu'il aime la robotique et regarder les étoiles dans tout de qu'il à dit, hochant la tête à nouveau, attendant quelques secondes avant de prendre la parole.
-J'avoue que j'ai jamais fabriqué de maquette de mécha en général mais ça doit être sympa à faire... Surtout quand tu vois les modèles fini et peints. Par contre pour la robotique, plutôt conception, fabrication ou juste la branche en général ? Pas que j'ai des connaissances précises mais euh...
Il doit avouer qu'il s'y connaît pas trop dans ce domaine même s'il a une idée du genre de connaissance pouvant être demandé... Il imagine bien un mix de connaissances du type codage et développement ainsi que des compétences pouvant se rapprocher de l'électronique et de la mécanique, avec des spécialistes dans chaque domaine ? Ouais... Ça doit être quelque chose comme ça..
En tout cas Kotai doit être sacrément motivé, intéressé et avec une base de connaissances solides pour vouloir aller le dedans, il lui souhaite de réussir...
-... Euh ouais, ça doit pas être simple, je te souhaite de finir avec un bon poste dedans une fois le diplôme acquis.
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(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
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Kotai Kinzoku
Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
Mer 31 Juil 2024 - 23:02
Rien n'a de sens.
ft. Noboru Fujiki
Un poil essoufflé et esseulé d’avoir tant parlé, Kotai se tasse un peu en arrière, joignant les mains sur ses jambes et plantant nerveusement ses ongles dans sa peau. Légèrement. Il stressait certes, mais pas au point de se blesser involontairement. Après tout, l’attitude de Noboru demeurait assez ouverte et attentive, il n’avait pas de raison d’anticiper une mauvaise réaction de sa part. Un bon point à relever, il n’avait pas eu besoin de préciser ce qu’était le Gunpla. Ce n’était pas un hobby extrêmement niche, mais il fallait au moins s’y être intéressé quelques secondes pour en replacer facilement le nom, et il était content que ce soit le cas de son camarade. Cela faisait au moins une deuxième personne dans cette école qui ne prenait pas de haut son passe-temps plutôt enfantin.
« C’est très p-plaisant à faire, un peu comme un puzzle que l’on ferait en 3D. J’en avais presque une centaine avant. »
Toutes construites et peintes à la main, une collection plutôt complète à ses yeux mais qu’il avait abandonné sans véritable pincement au cœur. Après tout, le véritable plaisir avait été de les monter, les garder pour l’exposition n’était qu’un bonus dont il pouvait largement se passer… Pas vrai ? Oui. C’était mieux de le prendre ainsi.
« La robotique est un ensemble. C-C’est plus simple au sein d’une équipe de développement que chacun s’occupe d’un domaine en particulier, mais il faut être capable de comprendre l’ensemble du projet si l’on souhaite progresser. Et puis, dans mon c-club je travaillais seul, la question ne se posait pas. »
Cela lui prenait peut-être davantage de temps, mais au moins il avait senti plus clairement ses progrès. Passer de petites voitures en lego qui peinaient à avancer à des projets un peu plus conséquents, c’était encore plus gratifiant quand on y parvenait à la seule force de sa volonté !
La dernière phrase du blond lui fit plisser les yeux, un semblant de sourire flottant sur son visage en dépit de ses lèvres immobiles. Ca ressemblait beaucoup au “J’y piges que dalle mais soit heureux dans c’que tu fais !” de son aînée, et il apprécia la pensée.
« Q-Que souhaites-tu f-faire après ton diplôme ? » bafouilla-t-il, fatigue un peu plus présente sur son visage malgré l'éclair de curiosité dans ses yeux.
« C’est très p-plaisant à faire, un peu comme un puzzle que l’on ferait en 3D. J’en avais presque une centaine avant. »
Toutes construites et peintes à la main, une collection plutôt complète à ses yeux mais qu’il avait abandonné sans véritable pincement au cœur. Après tout, le véritable plaisir avait été de les monter, les garder pour l’exposition n’était qu’un bonus dont il pouvait largement se passer… Pas vrai ? Oui. C’était mieux de le prendre ainsi.
« La robotique est un ensemble. C-C’est plus simple au sein d’une équipe de développement que chacun s’occupe d’un domaine en particulier, mais il faut être capable de comprendre l’ensemble du projet si l’on souhaite progresser. Et puis, dans mon c-club je travaillais seul, la question ne se posait pas. »
Cela lui prenait peut-être davantage de temps, mais au moins il avait senti plus clairement ses progrès. Passer de petites voitures en lego qui peinaient à avancer à des projets un peu plus conséquents, c’était encore plus gratifiant quand on y parvenait à la seule force de sa volonté !
La dernière phrase du blond lui fit plisser les yeux, un semblant de sourire flottant sur son visage en dépit de ses lèvres immobiles. Ca ressemblait beaucoup au “J’y piges que dalle mais soit heureux dans c’que tu fais !” de son aînée, et il apprécia la pensée.
« Q-Que souhaites-tu f-faire après ton diplôme ? » bafouilla-t-il, fatigue un peu plus présente sur son visage malgré l'éclair de curiosité dans ses yeux.
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Il observe Kotai sans rien dire, essayant de faire attention à ses faits et gestes, grimaçant un peu en voyant certains signes de stress... Mais ! Kotai répond et Noboru écoute. Il hoche la tête pendant la rapide explication, même s'il savait ce que c'était en général, il peut pas s'empêcher d'être impressionné par le nombre qu'il avait avant par contre. Une centaine ? Wow...
-Ah ouais... Mais t'es un fou furieux toi... Tu m'étonnes que tu veux aller en robotique, faut financer ça ! T'as des photos qu'il te reste d'ailleurs ?
Il connaît pas les prix de tête, mais serait pas étonné que ça soit bien... Mmmmmh... 10 000 yen le gunpla et le double pour ceux collector ou en édition limité ? Hum. Il garde ça dans un coin de la tête en tout cas, écoutant de nouveau Kotai quand il prend de nouveau la parole.
Il est gentil en plus, il lui explique la robotique plus en détail, tu as une équipe, chacun spécialiste de son domaine et ils travaillent tous ensemble à la réalisation du projet... Oh, intéressant. Apprendre que Kotai était seul en club l'étonne pas par contre, même si ça le rend un peu triste...
-Je dis pas m’intéresser à la robotique mais... Si t'aime toujours en faire, sache que j'ai l'habitude de bosser avec l'électronique et que j'ai d'autres compétences niveau soudure de précision et autre.
Puis au moins Kotai sera pas à forcément bosser seul le pauvre, bon... C'est pas vraiment bosser mais au moins il sera avec une personne partageant et aimant à peu près le même type de choses que lui même si c'est pas exact.
Il s'attendait pas du tout à la question posée après par contre. Ce qu'il veut faire après ses études ? Wow. Il se cale contre le dossier de sa chaise, croissant les bras, réfléchissant pendant quelques instants, index finissant par tapoter son menton avant de commencer à donner une réponse.
-Je sais pas trop... J'ai des idées sur ou je pourrais m'orienter ensuite entre ce que j’apprends en cours et ce que j'apprends au boulot mais... J'ai jamais réfléchi de manière exacte. Ce que je voudrais faire après mon diplôme ? Un poste qui me permettrait d'allier les deux je pense. Ça serait sympa ça. Surtout si la paye est excellente et l'entreprise pas trop chiante.
Ouais... Car hum... Les entreprises très rigides pas trop pour lui. Faudrait une japonaise très cool ou une entreprise étrangère ayant des bureaux sur Kobe ou Osaka, il aimerait bien rester dans la région plus tard, retourner sur Tokyo lui donnant pas envie, surtout avec tout ce qu'il à pu vivre la bas.
-Ah ouais... Mais t'es un fou furieux toi... Tu m'étonnes que tu veux aller en robotique, faut financer ça ! T'as des photos qu'il te reste d'ailleurs ?
Il connaît pas les prix de tête, mais serait pas étonné que ça soit bien... Mmmmmh... 10 000 yen le gunpla et le double pour ceux collector ou en édition limité ? Hum. Il garde ça dans un coin de la tête en tout cas, écoutant de nouveau Kotai quand il prend de nouveau la parole.
Il est gentil en plus, il lui explique la robotique plus en détail, tu as une équipe, chacun spécialiste de son domaine et ils travaillent tous ensemble à la réalisation du projet... Oh, intéressant. Apprendre que Kotai était seul en club l'étonne pas par contre, même si ça le rend un peu triste...
-Je dis pas m’intéresser à la robotique mais... Si t'aime toujours en faire, sache que j'ai l'habitude de bosser avec l'électronique et que j'ai d'autres compétences niveau soudure de précision et autre.
Puis au moins Kotai sera pas à forcément bosser seul le pauvre, bon... C'est pas vraiment bosser mais au moins il sera avec une personne partageant et aimant à peu près le même type de choses que lui même si c'est pas exact.
Il s'attendait pas du tout à la question posée après par contre. Ce qu'il veut faire après ses études ? Wow. Il se cale contre le dossier de sa chaise, croissant les bras, réfléchissant pendant quelques instants, index finissant par tapoter son menton avant de commencer à donner une réponse.
-Je sais pas trop... J'ai des idées sur ou je pourrais m'orienter ensuite entre ce que j’apprends en cours et ce que j'apprends au boulot mais... J'ai jamais réfléchi de manière exacte. Ce que je voudrais faire après mon diplôme ? Un poste qui me permettrait d'allier les deux je pense. Ça serait sympa ça. Surtout si la paye est excellente et l'entreprise pas trop chiante.
Ouais... Car hum... Les entreprises très rigides pas trop pour lui. Faudrait une japonaise très cool ou une entreprise étrangère ayant des bureaux sur Kobe ou Osaka, il aimerait bien rester dans la région plus tard, retourner sur Tokyo lui donnant pas envie, surtout avec tout ce qu'il à pu vivre la bas.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Rien n'a de sens.
ft. Noboru Fujiki
Des photos ? De tête, il savait en avoir au moins une, mais c’était celle que lui avait offert le photographe. Un présent qu’il appréciait mais qui ne correspondait pas à la demande de Noboru. Il secoua donc la tête.
« Non, aucune photo. J’en ai peut-être où on les voit en fond, mais elles ne sont clairement pas dans le focus. »
On pourrait peut-être deviner leur silhouette en arrière-plan ou noter leur présence au travers des tâches colorées qu’elles formaient, mais rien de bien intéressant à observer. Nouveau bâillement qu’il atténue derrière la paume de sa main. Ses yeux le picotent un peu plus et il se les frotte pour s’efforcer de les garder ouvert. Encore trop tôt, et il n’avait pas envie de laisser la conversation s’éteindre. Et pour une fois qu’il parvenait à converser sans trop angoisser, ce serait dommage de tout laisser tomber maintenant.
Interrogation dans les yeux, la phrase qui suit le prend un peu au dépourvu. Nouvelle proposition. D’abord une soirée cinéma, et maintenant la perspective de travailler conjointement ? Outre leurs études, il est vrai que Noboru disait travailler dans un magasin d’informatique. Cela ne couvrait pas forcément l’ensemble des domaines relatifs à la robotique mais…
« Avec plaisir. J’ai juste besoin de trouver du matériel et réfléchir à un projet, mais si j’ai besoin d’aide je… je viendrais te trouver ? »
Sa voix n’était plus qu’un murmure hésitant sur la fin de sa phrase, encore surpris par la suggestion. Ses mains encore jointes se pressent un peu plus alors qu’il se pince les lèvres, s’accrochant à la voix du blond pour ne pas se laisser entraîner dans le sillage de ses angoisses. Ils avaient le temps avant d’en arriver là, et peut-être même que l’occasion ne se présenterait jamais. Après tout, il fallait déjà financer le matériel, et rien que pour ça, ses plans étaient déjà largement menacés. Un soupir faillit quitter ses lèvres, mais à la place, il ne fit que bailler une fois de plus.
La réponse de son camarade demeure évasive, mais après tout, ils ne sont qu’en première année. Il ne servait à rien de se presser, et même s’il était plus rassurant de savoir vers quoi on se projetait, Noboru avait déjà un pied dans le monde du travail. Avec son expérience il ne devrait pas avoir du mal à trouver un emploi adéquat. Le garder par contre… Son caractère risquait de lui jouer des tours sur le long terme mais bon, il avait toujours une bonne marge de progression.
« Ce n’est pas… Pas grave… »Un bâillement. « … si tu ne sais pas encore exa… exactement. » Et un autre. « Excuses-moi, » dit-il en se détournant un peu pour se frotter les yeux. « Hmm… Je disais ? Oh, oui. Erm. De ce que j’ai pu voir en classe tu as de très bonnes connaissances, t-tu ne devrais pas avoir de problème à trouver un travail. »
« Non, aucune photo. J’en ai peut-être où on les voit en fond, mais elles ne sont clairement pas dans le focus. »
On pourrait peut-être deviner leur silhouette en arrière-plan ou noter leur présence au travers des tâches colorées qu’elles formaient, mais rien de bien intéressant à observer. Nouveau bâillement qu’il atténue derrière la paume de sa main. Ses yeux le picotent un peu plus et il se les frotte pour s’efforcer de les garder ouvert. Encore trop tôt, et il n’avait pas envie de laisser la conversation s’éteindre. Et pour une fois qu’il parvenait à converser sans trop angoisser, ce serait dommage de tout laisser tomber maintenant.
Interrogation dans les yeux, la phrase qui suit le prend un peu au dépourvu. Nouvelle proposition. D’abord une soirée cinéma, et maintenant la perspective de travailler conjointement ? Outre leurs études, il est vrai que Noboru disait travailler dans un magasin d’informatique. Cela ne couvrait pas forcément l’ensemble des domaines relatifs à la robotique mais…
« Avec plaisir. J’ai juste besoin de trouver du matériel et réfléchir à un projet, mais si j’ai besoin d’aide je… je viendrais te trouver ? »
Sa voix n’était plus qu’un murmure hésitant sur la fin de sa phrase, encore surpris par la suggestion. Ses mains encore jointes se pressent un peu plus alors qu’il se pince les lèvres, s’accrochant à la voix du blond pour ne pas se laisser entraîner dans le sillage de ses angoisses. Ils avaient le temps avant d’en arriver là, et peut-être même que l’occasion ne se présenterait jamais. Après tout, il fallait déjà financer le matériel, et rien que pour ça, ses plans étaient déjà largement menacés. Un soupir faillit quitter ses lèvres, mais à la place, il ne fit que bailler une fois de plus.
La réponse de son camarade demeure évasive, mais après tout, ils ne sont qu’en première année. Il ne servait à rien de se presser, et même s’il était plus rassurant de savoir vers quoi on se projetait, Noboru avait déjà un pied dans le monde du travail. Avec son expérience il ne devrait pas avoir du mal à trouver un emploi adéquat. Le garder par contre… Son caractère risquait de lui jouer des tours sur le long terme mais bon, il avait toujours une bonne marge de progression.
« Ce n’est pas… Pas grave… »Un bâillement. « … si tu ne sais pas encore exa… exactement. » Et un autre. « Excuses-moi, » dit-il en se détournant un peu pour se frotter les yeux. « Hmm… Je disais ? Oh, oui. Erm. De ce que j’ai pu voir en classe tu as de très bonnes connaissances, t-tu ne devrais pas avoir de problème à trouver un travail. »
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- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Oh... Kotai à pas de photos, Noboru est un peu déçu, il aurait bien aimé les voir si possible mais tant pis, il l'observe bailler, un peu inquiet de sa fatigue mais voulant pas trop le forcer à aller au lit de peur qu'il le prenne mal, il verra plus tard si Kotai commence à vraiment piquer du nez.
Il est content par contre que Kotai accepte son offre de l'aider ! Il sait pas s'il a vraiment besoin de ses connaissances mais au pire ça lui fera toujours quelqu'un pouvant être sur un projet avec lui, surtout s'il veut pas être tout seul, il se doute que Kotai aime pas être en groupe mais il suppose qu'il était tout seul à faire ça car pas grand monde devait être intéressé...
-Tu peux même envoyer un message si tu préfère et je viendrais a toi.
C'est bien les messages, pas a bouger, pas a parler en face à face, ça évite des venues inutiles, surtout si ça évite à Kotai d'aller dans des couloirs remplis de monde, il tient pas a le faire angoisser pour pas grand chose...
Noboru lève la tête et regarde Kotai quand il commente la réponse donnée à ce qu'il fera après les études, c'est vrai qu'ils ont encore le temps pour ça... Mais un bon poste payant bien irait calmer certaines anxiétés qu'il a niveau argent...Les compliments sur son travail par contre le font sourire, il apprécie chacun d'entre eux, après tout c'est comme ça qu'il a pu à peu près s'en sortir...
-Merci... Ça me touche tu sais ? Je sais que c'est encore tôt pour réfléchir a tout ça sérieusement mais... Avoir un bon poste plus tard ira pas simplement rendre fier mes parents ou les aider s'ils traversent a nouveau des coups durs... Ça voudrait dire que malgré tout ce que j'ai vécu, malgré mon dossier scolaire loin de la perfection niveau comportement on aura voulu de moi. Pour mes compétences. Mon travail. Mon savoir faire. Et que je pourrais vivre très confortablement de ça...
Ouais... La belle vie... Pas d'inquiétude niveau économies à faire, factures, charges, loyer à payer, dépenses de santé à faire... Il pourrait même aider ses parents dans leurs vieux jours, maintenant leur situation est bonne mais c'est pas comme si qu'ils avaient pu économiser des années pour compléter la maigre pension retraite. Et ils méritent pas de travailler jusqu'à que leur corps lâche... Surtout avec les sacrifices fait pendant des années...
Il est content par contre que Kotai accepte son offre de l'aider ! Il sait pas s'il a vraiment besoin de ses connaissances mais au pire ça lui fera toujours quelqu'un pouvant être sur un projet avec lui, surtout s'il veut pas être tout seul, il se doute que Kotai aime pas être en groupe mais il suppose qu'il était tout seul à faire ça car pas grand monde devait être intéressé...
-Tu peux même envoyer un message si tu préfère et je viendrais a toi.
C'est bien les messages, pas a bouger, pas a parler en face à face, ça évite des venues inutiles, surtout si ça évite à Kotai d'aller dans des couloirs remplis de monde, il tient pas a le faire angoisser pour pas grand chose...
Noboru lève la tête et regarde Kotai quand il commente la réponse donnée à ce qu'il fera après les études, c'est vrai qu'ils ont encore le temps pour ça... Mais un bon poste payant bien irait calmer certaines anxiétés qu'il a niveau argent...Les compliments sur son travail par contre le font sourire, il apprécie chacun d'entre eux, après tout c'est comme ça qu'il a pu à peu près s'en sortir...
-Merci... Ça me touche tu sais ? Je sais que c'est encore tôt pour réfléchir a tout ça sérieusement mais... Avoir un bon poste plus tard ira pas simplement rendre fier mes parents ou les aider s'ils traversent a nouveau des coups durs... Ça voudrait dire que malgré tout ce que j'ai vécu, malgré mon dossier scolaire loin de la perfection niveau comportement on aura voulu de moi. Pour mes compétences. Mon travail. Mon savoir faire. Et que je pourrais vivre très confortablement de ça...
Ouais... La belle vie... Pas d'inquiétude niveau économies à faire, factures, charges, loyer à payer, dépenses de santé à faire... Il pourrait même aider ses parents dans leurs vieux jours, maintenant leur situation est bonne mais c'est pas comme si qu'ils avaient pu économiser des années pour compléter la maigre pension retraite. Et ils méritent pas de travailler jusqu'à que leur corps lâche... Surtout avec les sacrifices fait pendant des années...
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(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
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❖ Âge : 19 ans
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Rien n'a de sens.
ft. Noboru Fujiki
Je viendrai à toi. C’était peut-être à cause de son esprit embrumé par la fatigue ou la surprise d’une telle sincérité perceptible au travers de ces quelques mots, mais Kotai sentit ses joues rosir légèrement. Leur relation était pour le moment un ascenseur émotionnel plutôt perturbant mais… Depuis leur discussion de ce midi, Noboru semblait réellement prêt à faire un pas dans sa direction, n’importe lequel, de sorte à ce que leur lien pourtant si ténu ne se brise pas. Et à cet instant, s’il lui avait demandé pardon, Kotai savait qu’il n’aurait pas pu faire autrement que de le lui accorder.
« Euh… Je… Merci Fujiki-san. »
Timidité dans la voix, dans ses gestes, alors qu’il détournait légèrement le regard. En excluant Tsuni de l’équation, personne n’avait vraiment agi de la sorte pour lui faire plaisir. Un coup de main, cela pouvait semblait bien dérisoire aux yeux de certains, mais pour le jeune japonais cela signifiait tant. Les mots s’enchaînent et il finit par relever la tête au milieu des phrases du blond, le contemplant avec une pointe d’admiration. Plissement de paupières.
« Ce n’est pas notre passé qui nous définit, c’est notre manière de nous comporter dans le présent ainsi que notre approche de l’avenir qui comptent vraiment. »
Ou quelque chose comme ça. La citation n’était pas de lui mais du paladin qu’un des membres de la compagnie libre incarnait lors des sessions de jeu de rôle auxquelles il assistait parfois en tant que spectateur. Cela pouvait sonner un peu bâteau, certes, mais il trouvait qu’elle convenait plutôt bien à son camarade.
« Tant que tu trouves un travail qui te rende fier, c’est le principal. »
Que ce soit au travers du salaire, de l’ambiance de travail, du domaine.. L’important était de s’y épanouir soi, pas de cocher les cases invisibles de l’approbation d’une tierce personne. Enfin, ça c’était pour ceux qui pouvaient se le permettre bien sûr. Les gens normaux. Comme Noboru.
« Euh… Je… Merci Fujiki-san. »
Timidité dans la voix, dans ses gestes, alors qu’il détournait légèrement le regard. En excluant Tsuni de l’équation, personne n’avait vraiment agi de la sorte pour lui faire plaisir. Un coup de main, cela pouvait semblait bien dérisoire aux yeux de certains, mais pour le jeune japonais cela signifiait tant. Les mots s’enchaînent et il finit par relever la tête au milieu des phrases du blond, le contemplant avec une pointe d’admiration. Plissement de paupières.
« Ce n’est pas notre passé qui nous définit, c’est notre manière de nous comporter dans le présent ainsi que notre approche de l’avenir qui comptent vraiment. »
Ou quelque chose comme ça. La citation n’était pas de lui mais du paladin qu’un des membres de la compagnie libre incarnait lors des sessions de jeu de rôle auxquelles il assistait parfois en tant que spectateur. Cela pouvait sonner un peu bâteau, certes, mais il trouvait qu’elle convenait plutôt bien à son camarade.
« Tant que tu trouves un travail qui te rende fier, c’est le principal. »
Que ce soit au travers du salaire, de l’ambiance de travail, du domaine.. L’important était de s’y épanouir soi, pas de cocher les cases invisibles de l’approbation d’une tierce personne. Enfin, ça c’était pour ceux qui pouvaient se le permettre bien sûr. Les gens normaux. Comme Noboru.
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- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Noboru regarde Kotai balbutier des remerciements, avec le visage rougissant, il lui sourit en retour, disant pas un mot pour briser le moment, l'appréciant pleinement. Ça fait du bien un moment comme ça après avoir vécu tant d'émotions, en plus de le rassurer sur leur lien. Fragile, mince, à peine construit... Mais il espère pouvoir voir le lien grandir de semaine en semaine, d'étape en étape, de moment en moment et peut être même...
Perdurer pendant toutes leurs études et au-delà de ça.
Mais ils ont encore le temps pour ça, les paroles de Kotai le sortant de ses penses, écoutant d'une oreille attentive. Oh. Il a pas tort en disant ça. Vraiment pas... C'est vrai qu'il faut pas se raccrocher au passé mais plutôt ce concentrer sur le moment présent et l'avenir. On peut pas changer ce qui à été fait mais on peut toujours changé ce qu'il sera fait.
-... C'est des bien balles paroles... Tu as pas tort. Autant penser au présent et à l'avenir plutôt qu'au passé déjà gravé dans le marbre.
Kotai continue en plus quelques instant plus tard, disant que l'important est dans le fait de trouver un travail rendant fier. Juste. Très juste. Tellement juste... L'important dans la vie c'est soi même, pas les autres. On vie sa vie pour soi, pas pour le regard des autres. Noboru pousse un long soupir, s'accoudant sur la table, joue dans sa main, tête tourné en direction de Kotai.
-Tu sais... Mes parents s'en fichent un peu de ce que je fais comme travail plus tard, ils m'ont un peu poussé a reprendre les études mais... Ils ont imposé rien d'autre que le diplôme. Pas de note minimale à avoir, pas de section à choisir en particulier. Juste faire des études, être diplômé, avoir un job et... Pouvoir vivre ma vie comme je l'entends, sur tout les points, ils s'en fichent si je finis avec un homme, ils s'en fichent si je reste dans le coin ou non... Ils veulent juste... Que je puisse vivre tranquillement, sans sacrifice, sans frein, heureux à chaque lever de soleil.
Ils savent bien que leurs difficultés économiques pendant des années l'ont touché, qu'il a du faire son lot de sacrifices, qu'il a du aider la famille, qu'il a du faire une croix sur les études pendant plusieurs années. Mais maintenant... Ils veulent juste faire en sorte qu'il soit bien pour l'avenir. Celui qu'il veut. Celui qu'il à envie. Celui pour le quel ses yeux pétillent de joie.
Perdurer pendant toutes leurs études et au-delà de ça.
Mais ils ont encore le temps pour ça, les paroles de Kotai le sortant de ses penses, écoutant d'une oreille attentive. Oh. Il a pas tort en disant ça. Vraiment pas... C'est vrai qu'il faut pas se raccrocher au passé mais plutôt ce concentrer sur le moment présent et l'avenir. On peut pas changer ce qui à été fait mais on peut toujours changé ce qu'il sera fait.
-... C'est des bien balles paroles... Tu as pas tort. Autant penser au présent et à l'avenir plutôt qu'au passé déjà gravé dans le marbre.
Kotai continue en plus quelques instant plus tard, disant que l'important est dans le fait de trouver un travail rendant fier. Juste. Très juste. Tellement juste... L'important dans la vie c'est soi même, pas les autres. On vie sa vie pour soi, pas pour le regard des autres. Noboru pousse un long soupir, s'accoudant sur la table, joue dans sa main, tête tourné en direction de Kotai.
-Tu sais... Mes parents s'en fichent un peu de ce que je fais comme travail plus tard, ils m'ont un peu poussé a reprendre les études mais... Ils ont imposé rien d'autre que le diplôme. Pas de note minimale à avoir, pas de section à choisir en particulier. Juste faire des études, être diplômé, avoir un job et... Pouvoir vivre ma vie comme je l'entends, sur tout les points, ils s'en fichent si je finis avec un homme, ils s'en fichent si je reste dans le coin ou non... Ils veulent juste... Que je puisse vivre tranquillement, sans sacrifice, sans frein, heureux à chaque lever de soleil.
Ils savent bien que leurs difficultés économiques pendant des années l'ont touché, qu'il a du faire son lot de sacrifices, qu'il a du aider la famille, qu'il a du faire une croix sur les études pendant plusieurs années. Mais maintenant... Ils veulent juste faire en sorte qu'il soit bien pour l'avenir. Celui qu'il veut. Celui qu'il à envie. Celui pour le quel ses yeux pétillent de joie.
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(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
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Rien n'a de sens.
ft. Noboru Fujiki
C’était agréable de tomber d’accord, même si c’était sur un point aussi général et peut-être un peu cliché. Il n’en restait pas moins sincère et, de tout son coeur, il souhaitait la réussite de son camarade. Si cela n’avait pas été le cas, il ne lui aurait sans doute jamais accordé de deuxième chance, quand bien même il était venu au pique-nique à reculons. Ses yeux s’accrochèrent au sourire du blond. Ca changeait de sa mine renfrognée de d’habitude. Il l’avait principalement vu en classe, mais aussi à chaque fois que son camarade se décidait à râler… donc plutôt régulièrement au final. Un sourire faisait du bien.
L’imitant inconsciemment, il appuya à son tour son menton dans sa paume, image miroir silencieuse alors que Noboru développait un peu ses pensées. Il avait de la chance de pas subir de pression familliale, quand bien même un cadre était tout de même nécessaire au bon développement d’un enfant, s’il s’en sortait ainsi, alors ses parents avaient raison de ne pas trop le diriger. S’ils étaient derrière lui, qu’importe son métier, ses notes, sa manière de vivre et… Les yeux noirs s’arrondirent une fois de plus de surprise. Un homme ? Comment ça “finir avec un homme” ? Kotai se redressa et recula même un peu dans sa chaise. Il avait mal compris, non ? C’était forcément ça, mieux valait mettre cette information erronée de côté et-
« Je crois que tu t’es mal exprimé ? »
Aïe. C’était sorti tout seul, bien sûr. Mais ce n’était pas grave, c’était surtout pour lui afin que d’autres ne se fassent pas des mauvaises idées. Après tout, c’était tellement mal vu d’être.. enfin, voilà. Noboru avait assez de soucis dans sa vie pour rajouter un quiproquo par dessus. Personnellement, au fond de lui, Kotai devinait qu’il était mal placé pour aborder le sujet, mais impossible de l’avouer. Quand on menait une vie normale, on aimait les femmes, bien évidemment. Et on avait au moins un, voir deux enfants, en plus d’un travail important. Et qu’importe si Noboru travaillait pour son plaisir, c’était même bien mieux ainsi ! Mais il était normal lui ! Donc forcément… Forcément il n’était pas défectueux. Dégoûtant. Fainéant. Stupide. Non, Noboru était quelqu’un de bien dans le fond.
L’imitant inconsciemment, il appuya à son tour son menton dans sa paume, image miroir silencieuse alors que Noboru développait un peu ses pensées. Il avait de la chance de pas subir de pression familliale, quand bien même un cadre était tout de même nécessaire au bon développement d’un enfant, s’il s’en sortait ainsi, alors ses parents avaient raison de ne pas trop le diriger. S’ils étaient derrière lui, qu’importe son métier, ses notes, sa manière de vivre et… Les yeux noirs s’arrondirent une fois de plus de surprise. Un homme ? Comment ça “finir avec un homme” ? Kotai se redressa et recula même un peu dans sa chaise. Il avait mal compris, non ? C’était forcément ça, mieux valait mettre cette information erronée de côté et-
« Je crois que tu t’es mal exprimé ? »
Aïe. C’était sorti tout seul, bien sûr. Mais ce n’était pas grave, c’était surtout pour lui afin que d’autres ne se fassent pas des mauvaises idées. Après tout, c’était tellement mal vu d’être.. enfin, voilà. Noboru avait assez de soucis dans sa vie pour rajouter un quiproquo par dessus. Personnellement, au fond de lui, Kotai devinait qu’il était mal placé pour aborder le sujet, mais impossible de l’avouer. Quand on menait une vie normale, on aimait les femmes, bien évidemment. Et on avait au moins un, voir deux enfants, en plus d’un travail important. Et qu’importe si Noboru travaillait pour son plaisir, c’était même bien mieux ainsi ! Mais il était normal lui ! Donc forcément… Forcément il n’était pas défectueux. Dégoûtant. Fainéant. Stupide. Non, Noboru était quelqu’un de bien dans le fond.
Japonais : DarkOrange | Anglais : IndianRed
- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
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La conversation est agréable, chacun parle un bout à leur tour, chacun écoute un bout à leur tour, tout se passe bien et un air de normalité prend place, à vrai dire, vu comment est la conversation depuis la fin du film on dirait pas qu'ils ont eu une longue journée et une semaine encore plus longue... Et difficile, complexe, compliquée, avec pleins de pots brisés.
Jusqu’à la remarque de Kotai.
Comment ça 'mal exprimé' ? Hu ?
Noboru réfléchi a ce qu'il vient de dire... Fronçant les sourcils, incompréhension sur le visage se lisant facilement, jusqu'à tomber sur ce qu'il peut gêner. Oh. Oh non, non. Oh il va affirmer ça.
-Je suis gay Kotai. Je m'en fous complet que ça soit mal vu, mal considéré, hors de la 'normalité', je suis gay. J'assume complètement. Et j'ai déjà cassé plus d'un nez au premier débile ayant osé dire que j'étais un déviant, un monstre, un truc pas normal. Qu'on devrait m'envoyer au bûcher ou autre. J'en ai rien à péter. Je vivrais comme je l'entends que ça plaise ou non ! Je vis ma vie pour moi pas pour ces faces de merde absolument stupides !!!
Oulà... Euuuuh... Il se calme, se raclant la gorge et reprenant, essayant d'être plus calme...
-Erm... Désolé... J'ai encore trop crié... Mais euh... C'est normal tu sais, tu peux aimer les filles, les mecs, aimer personne romantiquement, aimer romantiquement que une personne avec qui tu es ami depuis des années... L'amour c'est pas un schéma stupide tout simple. C'est des probabilités à l'infini. S'il te plait. S'il te plait Kotai. Si tu entend des gens autour de toi dire que aimer les hommes quand on est un homme ou aimer les filles quand on aime les filles c'est pas normal...
… Les écoutes pas. Vis l'amour comme tu l'entend. Ça sera pas facile. Ça sera pas sans insultes. Sans moqueries. Sans doigts pointés en ta direction. Mais... C'est tellement libérateur.
Il a de la chance lui. Il à pu esquiver les moqueries, l’exclusion et autre dans sa famille. Il a pas pu à l'école. Alors... Il a fait parler encore plus ses poings, jusqu'à devoir se calmer jusqu'à la fin du lycée. Aujourd'hui encore il s'énerve très vite sur ce genre de sujet, il sait le Japon très en retard sur ce genre de question... Mais il aimerait tellement pouvoir épouser officiellement l'élu de son cœur le jour ou il en trouvera un qui pourra le supporter.
Un rêve tout doux, en plus de vivre ensemble tranquillement jusqu'aux vieux jours, économisant pour une retraite tranquille sans trop faire de compromis pendant le moment présent. Ça... C'est sûrement son rêve le plus cher, enfoui tout au fond de son cœur.
Jusqu’à la remarque de Kotai.
Comment ça 'mal exprimé' ? Hu ?
Noboru réfléchi a ce qu'il vient de dire... Fronçant les sourcils, incompréhension sur le visage se lisant facilement, jusqu'à tomber sur ce qu'il peut gêner. Oh. Oh non, non. Oh il va affirmer ça.
-Je suis gay Kotai. Je m'en fous complet que ça soit mal vu, mal considéré, hors de la 'normalité', je suis gay. J'assume complètement. Et j'ai déjà cassé plus d'un nez au premier débile ayant osé dire que j'étais un déviant, un monstre, un truc pas normal. Qu'on devrait m'envoyer au bûcher ou autre. J'en ai rien à péter. Je vivrais comme je l'entends que ça plaise ou non ! Je vis ma vie pour moi pas pour ces faces de merde absolument stupides !!!
Oulà... Euuuuh... Il se calme, se raclant la gorge et reprenant, essayant d'être plus calme...
-Erm... Désolé... J'ai encore trop crié... Mais euh... C'est normal tu sais, tu peux aimer les filles, les mecs, aimer personne romantiquement, aimer romantiquement que une personne avec qui tu es ami depuis des années... L'amour c'est pas un schéma stupide tout simple. C'est des probabilités à l'infini. S'il te plait. S'il te plait Kotai. Si tu entend des gens autour de toi dire que aimer les hommes quand on est un homme ou aimer les filles quand on aime les filles c'est pas normal...
… Les écoutes pas. Vis l'amour comme tu l'entend. Ça sera pas facile. Ça sera pas sans insultes. Sans moqueries. Sans doigts pointés en ta direction. Mais... C'est tellement libérateur.
Il a de la chance lui. Il à pu esquiver les moqueries, l’exclusion et autre dans sa famille. Il a pas pu à l'école. Alors... Il a fait parler encore plus ses poings, jusqu'à devoir se calmer jusqu'à la fin du lycée. Aujourd'hui encore il s'énerve très vite sur ce genre de sujet, il sait le Japon très en retard sur ce genre de question... Mais il aimerait tellement pouvoir épouser officiellement l'élu de son cœur le jour ou il en trouvera un qui pourra le supporter.
Un rêve tout doux, en plus de vivre ensemble tranquillement jusqu'aux vieux jours, économisant pour une retraite tranquille sans trop faire de compromis pendant le moment présent. Ça... C'est sûrement son rêve le plus cher, enfoui tout au fond de son cœur.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Rien n'a de sens.
ft. Noboru Fujiki
Bien évidemment, Noboru allait rire de sa bourde et se corriger prestement. Et ainsi tout rentrerait dans l’ordre. Sans souci. Sans vague. Ils pourraient reprendre leur conversation là où ils l’avaient laissé et oublier cette petite erreur de rien du tout.
Ahah.
Regard médusé.
Lèvres entrouvertes.
Sans même essayer d’intervenir ou de l’interrompre, il ne put que l’écouter affirmer ses goûts comme si il n’avait pas la moindre crainte, la moindre peur. Une telle déclaration attira forcément quelques regards curieux et, du coin de l’oeil, le brun nota quelques silhouettes qui se lèvent et quittent prestement la salle commune. Il ne voit pas leur expression, mais il la devine sans peine. Un mélange de jugement et de dégoût. La même que pouvait avoir sa mère quand le sujet était abordé à la télévision, dans un film ou une série. La décadence étrangère selon elle.
Il veut chasser cette pensée, se raccrocher aux paroles du blond, cherchant à ignorer à quel point elles pouvaient être blasphématoires. La colère avait laissé place à des paroles plus douces, plus encourageantes mais… Il n’avait pas le droit d’y croire. Ce genre de discours n’avait pas de sens pour lui dont la vie était tracée par autrui. Il n’avait pas d’autre choix que de suivre le chemin pavé devant lui car après tout, il était trop ignare et asocial pour le tracer lui-même. Quand bien même il lui arrivait de lui tenir tête sur certains points, il savait que sur ce sujet-là elle avait raison : s’affirmer comme le faisait Noboru, il ne pourrait jamais se le permettre. Il n’avait pas les épaules pour encaisser, pas le mental pour s’en sortir. Ce serait se condamner à une vie de paria, misérable et seul à tout jamais.
Ses bras s’étaient croisés devant lui, barrière inconsciente essayant de repousser cette vision à laquelle il souhaitait pourtant si ardemment adhérer. Oh, il partageait cette pensée. Mais pour les autres. Sa soeur était dans cette situation après tout, et il était si heureux pour elle. Mais tout comme Noboru, elle avait la force de s’affirmer et de s’imposer ainsi. Sans laisser quiconque remettre en question ses décisions.
Scintillement triste au bord des yeux. Une larme silencieuse perla le long de sa joue. Frustration. Peine. Fatigue. Tout ça à la fois.
« Si tu es heureux ainsi, c’est… C’est tant mieux pour toi. »
Tout le monde n’avait pas cette chance. Mais ce n’était pas grave. Tout le monde n’était pas destiné à vivre heureux.
« Qu-Qu'importe ce que t-tu es, ça ne change rien à l'estime que je souhaite avoir pour toi. »
Ahah.
Regard médusé.
Lèvres entrouvertes.
Sans même essayer d’intervenir ou de l’interrompre, il ne put que l’écouter affirmer ses goûts comme si il n’avait pas la moindre crainte, la moindre peur. Une telle déclaration attira forcément quelques regards curieux et, du coin de l’oeil, le brun nota quelques silhouettes qui se lèvent et quittent prestement la salle commune. Il ne voit pas leur expression, mais il la devine sans peine. Un mélange de jugement et de dégoût. La même que pouvait avoir sa mère quand le sujet était abordé à la télévision, dans un film ou une série. La décadence étrangère selon elle.
Il veut chasser cette pensée, se raccrocher aux paroles du blond, cherchant à ignorer à quel point elles pouvaient être blasphématoires. La colère avait laissé place à des paroles plus douces, plus encourageantes mais… Il n’avait pas le droit d’y croire. Ce genre de discours n’avait pas de sens pour lui dont la vie était tracée par autrui. Il n’avait pas d’autre choix que de suivre le chemin pavé devant lui car après tout, il était trop ignare et asocial pour le tracer lui-même. Quand bien même il lui arrivait de lui tenir tête sur certains points, il savait que sur ce sujet-là elle avait raison : s’affirmer comme le faisait Noboru, il ne pourrait jamais se le permettre. Il n’avait pas les épaules pour encaisser, pas le mental pour s’en sortir. Ce serait se condamner à une vie de paria, misérable et seul à tout jamais.
Ses bras s’étaient croisés devant lui, barrière inconsciente essayant de repousser cette vision à laquelle il souhaitait pourtant si ardemment adhérer. Oh, il partageait cette pensée. Mais pour les autres. Sa soeur était dans cette situation après tout, et il était si heureux pour elle. Mais tout comme Noboru, elle avait la force de s’affirmer et de s’imposer ainsi. Sans laisser quiconque remettre en question ses décisions.
Scintillement triste au bord des yeux. Une larme silencieuse perla le long de sa joue. Frustration. Peine. Fatigue. Tout ça à la fois.
« Si tu es heureux ainsi, c’est… C’est tant mieux pour toi. »
Tout le monde n’avait pas cette chance. Mais ce n’était pas grave. Tout le monde n’était pas destiné à vivre heureux.
« Qu-Qu'importe ce que t-tu es, ça ne change rien à l'estime que je souhaite avoir pour toi. »
Japonais : DarkOrange | Anglais : IndianRed
- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Noboru s'en fiche des deux-trois choqués partis en vitesse pendant ses paroles, ils peuvent aller loin de lui même c'est parfait, au moins il aura pas a les supporter. Surtout si c'est pour qu'ils affichent une mine de dégoût... Urk. Bon débarras !
M'enfin, une fois son discours fini il glisse ses yeux sur Kotai, surpris de la posture qu'il affiche, presque recroquevillé sur lui même, bras croisés, air triste et...
Larme coulant sur sa joue.
Hein ? Non, non, non ! C'est quand même pas de sa faute !!!!???? Si ! Non ! Si ? Non ? Euuuuh... Raaah ! Fais ch*er !
Il fouille dans ses poches jusqu'à sortir son paquet de mouchoir, tapotant le sillon crée par la larme, à l’affût si d'autres viennent la rejoindre. Mais... Ce que dit Kotai lui crève le cœur, c'est très gentil et très doux mais... Il sent que ça cache autre chose, une deuxième idée cachée derrière ça ? D'autres sentiments ? Il sait pas trop mais...
-Ça va pas Kotai ? Tu as quelque chose d'autre à me dire ? Tu n'as pas à être si triste quand je parle de ce genre de choses tu sais... Toi aussi tu as le droit au bonheur. Je sais pas sous quelle forme c'est pour toi mais je te le souhaite. Ainsi que de vivre comme tu l'entend plus tard. T'aimerais bien vivre comment toi ? Mh ?
Il essaie de détourner son attention de ce qui le rend triste même s'il sait pas vraiment quoi éviter... Dans le pire des cas il sera a ses côtés pour sécher ses larmes, discuter et l'aider à aller mieux jusqu'à qu'il puisse aller se glisser sous ses draps... Ajoutant que quelques mots.
-Toi aussi tu as le droit d'être heureux tu sais.
Et ça. Ça. C'est important. Principal même ! Pour une bonne vie.
M'enfin, une fois son discours fini il glisse ses yeux sur Kotai, surpris de la posture qu'il affiche, presque recroquevillé sur lui même, bras croisés, air triste et...
Larme coulant sur sa joue.
Hein ? Non, non, non ! C'est quand même pas de sa faute !!!!???? Si ! Non ! Si ? Non ? Euuuuh... Raaah ! Fais ch*er !
Il fouille dans ses poches jusqu'à sortir son paquet de mouchoir, tapotant le sillon crée par la larme, à l’affût si d'autres viennent la rejoindre. Mais... Ce que dit Kotai lui crève le cœur, c'est très gentil et très doux mais... Il sent que ça cache autre chose, une deuxième idée cachée derrière ça ? D'autres sentiments ? Il sait pas trop mais...
-Ça va pas Kotai ? Tu as quelque chose d'autre à me dire ? Tu n'as pas à être si triste quand je parle de ce genre de choses tu sais... Toi aussi tu as le droit au bonheur. Je sais pas sous quelle forme c'est pour toi mais je te le souhaite. Ainsi que de vivre comme tu l'entend plus tard. T'aimerais bien vivre comment toi ? Mh ?
Il essaie de détourner son attention de ce qui le rend triste même s'il sait pas vraiment quoi éviter... Dans le pire des cas il sera a ses côtés pour sécher ses larmes, discuter et l'aider à aller mieux jusqu'à qu'il puisse aller se glisser sous ses draps... Ajoutant que quelques mots.
-Toi aussi tu as le droit d'être heureux tu sais.
Et ça. Ça. C'est important. Principal même ! Pour une bonne vie.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Rien n'a de sens.
ft. Noboru Fujiki
Contact sur sa joue. Il recule par réflexe, un peu en retard, avant de comprendre qu’il ne s’agit que d’un mouchoir. Sillon humide capturé délicatement par le papier. Il ne l’avait même pas senti. Déconnecté. Son corps répond en retard ou réagit de lui-même. Il ne sait plus trop. Epuisé. Oui, c’est sans doute pour ça. Il tourne la tête et se rend compte qu’il a éteint son ordinateur. Quand ? Il ne sait pas. Peut-être à l’instant. Peut-être il y a cinq minutes. Ca n’avait pas d’importance. La voix de Noboru cueille à nouveau son attention.
Main tendue dans sa direction, il la contemple sans oser la saisir. C’était un pas qu’il n’avait pas le droit de faire, une ligne qu’il ne pouvait franchir. Ni aujourd’hui, ni demain. Il ouvrit la bouche pour répondre mais resta sans rien dire quelques secondes. Cri silencieux. Perdu. Il ne s’était pas attendu à ce que leur discussion tourne ainsi, ou même que ce genre de sujet soit un jour abordé.
Le bonheur. C’était quoi pour lui ?
Je ne sais pas.
Il avait espéré vivre seul et que son travail suffise à rendre sa mère fière, mais elle lui avait fait comprendre que cela ne serait guère acceptable. Et même ainsi, il savait qu’il aurait dû sacrifier ce qu’il désirait vraiment. Secrètement. Au fond de son coeur. Un idéal sur lequel il ne pouvait pas mettre de mots. Parce que s’il commençait à y penser, s’il en définissait les contours, cela serait encore plus douloureux de devoir le laisser derrière le moment venu.
« … épouse. Deux enfants. Une maison. Un travail. » répondit-il finalement, d’un ton plutôt mécanique.
Deuxième larme. Cette fois il la remarqua et l’essuya prestement d’un revers de manche avant de se lever et de ranger au plus vite son ordinateur et ses câbles. Ses mains s’embrouillent et il manque de renverser son casque, le rattrapant in extremis par le fil. Et il resta planté là quelques secondes, contemplant le pauvre casque pendu au bout de sa main. Il aurait pu éclater en sanglots. Exténué comme il l’était, il ne fallait pas grand chose de plus pour…
« Toi aussi tu as le droit d’être heureux tu sais. »
La gentillesse sincère de ces paroles fauche ce qui lui reste d’énergie, de retenue, et il retombe sur sa chaise, larmes dévalant ses joues.
Main tendue dans sa direction, il la contemple sans oser la saisir. C’était un pas qu’il n’avait pas le droit de faire, une ligne qu’il ne pouvait franchir. Ni aujourd’hui, ni demain. Il ouvrit la bouche pour répondre mais resta sans rien dire quelques secondes. Cri silencieux. Perdu. Il ne s’était pas attendu à ce que leur discussion tourne ainsi, ou même que ce genre de sujet soit un jour abordé.
Le bonheur. C’était quoi pour lui ?
Je ne sais pas.
Il avait espéré vivre seul et que son travail suffise à rendre sa mère fière, mais elle lui avait fait comprendre que cela ne serait guère acceptable. Et même ainsi, il savait qu’il aurait dû sacrifier ce qu’il désirait vraiment. Secrètement. Au fond de son coeur. Un idéal sur lequel il ne pouvait pas mettre de mots. Parce que s’il commençait à y penser, s’il en définissait les contours, cela serait encore plus douloureux de devoir le laisser derrière le moment venu.
« … épouse. Deux enfants. Une maison. Un travail. » répondit-il finalement, d’un ton plutôt mécanique.
Deuxième larme. Cette fois il la remarqua et l’essuya prestement d’un revers de manche avant de se lever et de ranger au plus vite son ordinateur et ses câbles. Ses mains s’embrouillent et il manque de renverser son casque, le rattrapant in extremis par le fil. Et il resta planté là quelques secondes, contemplant le pauvre casque pendu au bout de sa main. Il aurait pu éclater en sanglots. Exténué comme il l’était, il ne fallait pas grand chose de plus pour…
« Toi aussi tu as le droit d’être heureux tu sais. »
La gentillesse sincère de ces paroles fauche ce qui lui reste d’énergie, de retenue, et il retombe sur sa chaise, larmes dévalant ses joues.
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Re: Crevette et Gronchon reconstruisent les fondations Ft Kotai
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