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- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Un des moments préférés de ta journée. Aller manger. La cantine est plutôt correcte mais tu ne fais jamais la fine bouche pour de la nourriture. Propre, elle est assez peu fréquentée avec les vacances. Tu trouves assez facilement un endroit où t’asseoir seul, sans que tu n’aies à partager une chaise à côté d’une autre personne. Ce n’est pas la proximité qui te dérange. Juste les gens. En général.
Ta carte bipa au portique, doux son à tes oreilles, annonçant des réjouissances gustatives que tu ne saurais réfréner. Ce que tu pourrais leur reprocher un fait, ce serait cette foutue règle. De celui de ne permettre qu’une seule entrée, fromage et dessert par personne. Avec les clochettes en or qu’ils se font… Ils pourraient au moins avoir la gentillesse de permettre un peu de rab. Surtout en cette période où peu d’étudiants et de lycéens passent la porte de ce sanctuaire des plus sacré.
Tu tentais quand même. Dans le doute, sur un malentendu, cela peut passer. Etonnamment, on te le refusa. Est-ce à cause de ta dégaine ou ton amabilité flagrante ? Tu ne cherchas même pas à argumenter. Le personnel de la cantine sont des personnes importantes de cet établissement et tu te devais de ne pas t’embrouiller avec eux. Un jour, qui sait, tu serais dans leur petit papier et ils te fourniraient en nourriture supplémentaires. Pas tout le temps, il ne faudrait pas que cela se voit.
Plongé dans ce merveilleux rêve de surplus, tu commenças à prendre la direction de la grande salle. En voulant te retourner, tu percutas une autre personne. Ton plateau se fracassa sur tes vêtements et tu pus entendre le cri de douleur de ton repas s’écrasant lourdement sur le sol. Un peu comme si une explosion venait de se produire non loin, un puissant acouphène se mit à obstruer tous les sons ambiants. Oblitérant même l’agressivité de la jeune femme qui s’éloignait. En quelques pas, tu fus sur elle et tu posas une main sur son épaule, l’agrippant fermement.
- Excuse toi. Et j’vais prendre ton repas en compensation.
Calme, froid. Pas une nuance dans la voix, ni dans le regard qui se met à transpercer le sien. Tu ne la laisseras pas partir aussi facilement. Surtout après avoir commis un acte aussi intolérable. Le menton relevé, tu scrutais la petite femme qui te tenait tête, te rendant un regard énervé. Tu étais peu enclin de faire une scène en ce lieu, bien qu’il y ait peu de monde autour de vous. Suffisamment pour se sentir observer.
Ta carte bipa au portique, doux son à tes oreilles, annonçant des réjouissances gustatives que tu ne saurais réfréner. Ce que tu pourrais leur reprocher un fait, ce serait cette foutue règle. De celui de ne permettre qu’une seule entrée, fromage et dessert par personne. Avec les clochettes en or qu’ils se font… Ils pourraient au moins avoir la gentillesse de permettre un peu de rab. Surtout en cette période où peu d’étudiants et de lycéens passent la porte de ce sanctuaire des plus sacré.
Tu tentais quand même. Dans le doute, sur un malentendu, cela peut passer. Etonnamment, on te le refusa. Est-ce à cause de ta dégaine ou ton amabilité flagrante ? Tu ne cherchas même pas à argumenter. Le personnel de la cantine sont des personnes importantes de cet établissement et tu te devais de ne pas t’embrouiller avec eux. Un jour, qui sait, tu serais dans leur petit papier et ils te fourniraient en nourriture supplémentaires. Pas tout le temps, il ne faudrait pas que cela se voit.
Plongé dans ce merveilleux rêve de surplus, tu commenças à prendre la direction de la grande salle. En voulant te retourner, tu percutas une autre personne. Ton plateau se fracassa sur tes vêtements et tu pus entendre le cri de douleur de ton repas s’écrasant lourdement sur le sol. Un peu comme si une explosion venait de se produire non loin, un puissant acouphène se mit à obstruer tous les sons ambiants. Oblitérant même l’agressivité de la jeune femme qui s’éloignait. En quelques pas, tu fus sur elle et tu posas une main sur son épaule, l’agrippant fermement.
- Excuse toi. Et j’vais prendre ton repas en compensation.
Calme, froid. Pas une nuance dans la voix, ni dans le regard qui se met à transpercer le sien. Tu ne la laisseras pas partir aussi facilement. Surtout après avoir commis un acte aussi intolérable. Le menton relevé, tu scrutais la petite femme qui te tenait tête, te rendant un regard énervé. Tu étais peu enclin de faire une scène en ce lieu, bien qu’il y ait peu de monde autour de vous. Suffisamment pour se sentir observer.
- InvitéInvité
Omi
La bouffe, c'est sacré
19 Août
Journée de merde. Je tire la gueule alors que je rentre dans le temple sacré de la bouffe. D'habitude, je sautille, je glousse, au point de m'enjailler ici. Rien n'abîme ma bonne humeur quand il s'agit de nourriture. Mais la haine est très forte et je fais un sourire à l'envers.
En plus, c'est du Tonkatsu au menu, un de mes plats préférés. Ça me déride un peu, à peine un tressaillement. Elle est sûrement dans sa chambre en train de pleurer, alors que c'est entièrement ma faute... si je n'avais pas voulu jouer au justicier.
Alors je ronge mon frein après être passé par le processus menant à mon plat, je prends un dorayaki en dessert. Assez pressée, je regarde bien devant moi pour aller m’asseoir à une table, mais un géant pas très habile me bouscule.
Je ne dis rien, même quand j'entends le bruit désastreux de son plateau tomber au sol. Ô comme jamais, je me serai excusée en panique, au point de lui racheter à manger, et m'excuser encore et encore... mais parfois, ça a du bon de se sentir au-dessus de ça.
Il m'attrape par l'épaule, me forçant à me retourner. Que ce soit clair, c'est bien lui le fautif. L'abruti dans tout sa splendeur incapable de reconnaître ses tords, et foutre le camp. Je lui rends le même regard froid. Il n'est juste qu'une emmerde de plus.
« Touche à ton cul, Rebelle »
L'insulte qui va passer au-dessus de sa tête.
code by emmeEn plus, c'est du Tonkatsu au menu, un de mes plats préférés. Ça me déride un peu, à peine un tressaillement. Elle est sûrement dans sa chambre en train de pleurer, alors que c'est entièrement ma faute... si je n'avais pas voulu jouer au justicier.
Alors je ronge mon frein après être passé par le processus menant à mon plat, je prends un dorayaki en dessert. Assez pressée, je regarde bien devant moi pour aller m’asseoir à une table, mais un géant pas très habile me bouscule.
Je ne dis rien, même quand j'entends le bruit désastreux de son plateau tomber au sol. Ô comme jamais, je me serai excusée en panique, au point de lui racheter à manger, et m'excuser encore et encore... mais parfois, ça a du bon de se sentir au-dessus de ça.
Il m'attrape par l'épaule, me forçant à me retourner. Que ce soit clair, c'est bien lui le fautif. L'abruti dans tout sa splendeur incapable de reconnaître ses tords, et foutre le camp. Je lui rends le même regard froid. Il n'est juste qu'une emmerde de plus.
« Touche à ton cul, Rebelle »
L'insulte qui va passer au-dessus de sa tête.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Si sa réponse ainsi que son attitude occasionna un semblant de surprise chez toi, tu ne le montras pas. Au contraire, tu soutins son regard en repassant ce mot dans ton esprit. Il avait été prononcé avec une telle moquerie que tu n’aurais pu laisser passer cela par le passé. Aujourd’hui, il fallait faire attention à comment tu présentais, ce que tu disais ou faisais.
Rebelle. Etrange insulte. Si cela en était vraiment une. A moins qu’elle ne sache pas en proférer ? Au vu de son ton et de sa réaction, il est probable qu’elle le pensait réellement. On t’avait déjà qualifié ainsi. Mais pour tenter de t’offenser. A force de l’entendre, tu t’étais renseigné sur sa définition exacte, histoire de voir si cela te collait correctement, si tu devais éclater la gueule de celui qui le proférait ou si cela pouvait te laisser totalement indifférent. Tu te remémorais pourquoi tu avais choisi la troisième option.
Souvent, tu t’étais retrouvé sous les ordres de quelqu’un. Si cette personne pouvait être la plus exécrable du monde, tu respectais ses directives, tant que cela te paraissait juste. Pour ce qui était de la société, bien qu’elle ne te semblât pas des plus agréable pour tous, tu l’acceptais telle qu’elle. Tu n’es pas vraiment hostile ni en opposition. Du moins, pas de ton avis. Tu suis juste ta voix, celle qui est la plus approprié et que tu arpentes sans te soucier de ce qu’on pourrait en dire.
Une nouvelle fois, vos regards se perdirent l’un dans l’autre. S’il la nature de son froid pouvait être similaire à la tienne, tu perçus qu’elle était surtout subjuguée par la colère, par une envie de juste tout envoyer péter. Peut-être aussi de massacrer une ou deux personnes sur la route. Ce n’était pas un bon jour pour elle. Surtout que tu n’en avais rien à faire. Si on n’est pas capable d’accepter les conséquences de son comportement, il fallait se mettre sensiblement en question.
Sans rien dire, tu posas ta main libre sur son le bord de son plateau et le tira vers le haut, appuyant sur son épaule que tu tenais toujours de ton autre main. Le lui arrachant sans ménagement, tu te mis à le tenir en hauteur, à la manière d’un serveur, au niveau de tes yeux. Tu y jetas d’ailleurs un coup d’œil et t’accommoda des choix qu’elle avait pu faire. Tout t’irait de toute façon. Tu relevas le menton et lança un dernier regard vers elle, le plateau toujours en hauteur. Un regard qui défiait ta petite taille et tes bras en l’air de venir le chercher. Puis tu l’oublias, te détournant pour aller te chercher une place paisible, loin d’elle.
Rebelle. Etrange insulte. Si cela en était vraiment une. A moins qu’elle ne sache pas en proférer ? Au vu de son ton et de sa réaction, il est probable qu’elle le pensait réellement. On t’avait déjà qualifié ainsi. Mais pour tenter de t’offenser. A force de l’entendre, tu t’étais renseigné sur sa définition exacte, histoire de voir si cela te collait correctement, si tu devais éclater la gueule de celui qui le proférait ou si cela pouvait te laisser totalement indifférent. Tu te remémorais pourquoi tu avais choisi la troisième option.
Souvent, tu t’étais retrouvé sous les ordres de quelqu’un. Si cette personne pouvait être la plus exécrable du monde, tu respectais ses directives, tant que cela te paraissait juste. Pour ce qui était de la société, bien qu’elle ne te semblât pas des plus agréable pour tous, tu l’acceptais telle qu’elle. Tu n’es pas vraiment hostile ni en opposition. Du moins, pas de ton avis. Tu suis juste ta voix, celle qui est la plus approprié et que tu arpentes sans te soucier de ce qu’on pourrait en dire.
Une nouvelle fois, vos regards se perdirent l’un dans l’autre. S’il la nature de son froid pouvait être similaire à la tienne, tu perçus qu’elle était surtout subjuguée par la colère, par une envie de juste tout envoyer péter. Peut-être aussi de massacrer une ou deux personnes sur la route. Ce n’était pas un bon jour pour elle. Surtout que tu n’en avais rien à faire. Si on n’est pas capable d’accepter les conséquences de son comportement, il fallait se mettre sensiblement en question.
Sans rien dire, tu posas ta main libre sur son le bord de son plateau et le tira vers le haut, appuyant sur son épaule que tu tenais toujours de ton autre main. Le lui arrachant sans ménagement, tu te mis à le tenir en hauteur, à la manière d’un serveur, au niveau de tes yeux. Tu y jetas d’ailleurs un coup d’œil et t’accommoda des choix qu’elle avait pu faire. Tout t’irait de toute façon. Tu relevas le menton et lança un dernier regard vers elle, le plateau toujours en hauteur. Un regard qui défiait ta petite taille et tes bras en l’air de venir le chercher. Puis tu l’oublias, te détournant pour aller te chercher une place paisible, loin d’elle.
- InvitéInvité
Omi
La bouffe, c'est sacré
19 Août
S'il y a bien une chose capable de m'énerver encore plus qu'un pauvre connard, c'est un pauvre connard qui me vole MA bouffe. Il joue trololol à je suis plus grand que toi alors j'en profite pour mettre le plateau hors de ta portée xptdr.
Si j'étais indécente, si j'étais Maya, un direct entre les jambes aurait clos le combat. C'est trop vil de taper là. Toujours est-il qui se barre avec ma nourriture, et que je ne vois pas trop de solution à part appeler à l'aide un surveillant qui va se faire intimider par la version wish d'une princesse Disney.
Alors qu'il s'éloigne de moi, j'ai un relent de colère qui me noue la gorge, et la seule chose logique pondu ma cerveau, c'est de lui donner un coup plat du pied dans le jarret. Forcément, avec autant de force, il bascule vers l'arrière et je réceptionne le plateau comme une pro.
Et cette fois-ci, s'il tente de me l'enlever des mains – quand il aura fini de nettoyer le sol, je resterai accroché au plateau comme si ma vie en dépendait. Même un grand type à la dégaine de princesse Disney ne me fait pas peur aujourd'hui, ni demain.
Partie pour un calvaire sans nom, j'te jure.
code by emmeSi j'étais indécente, si j'étais Maya, un direct entre les jambes aurait clos le combat. C'est trop vil de taper là. Toujours est-il qui se barre avec ma nourriture, et que je ne vois pas trop de solution à part appeler à l'aide un surveillant qui va se faire intimider par la version wish d'une princesse Disney.
Alors qu'il s'éloigne de moi, j'ai un relent de colère qui me noue la gorge, et la seule chose logique pondu ma cerveau, c'est de lui donner un coup plat du pied dans le jarret. Forcément, avec autant de force, il bascule vers l'arrière et je réceptionne le plateau comme une pro.
Et cette fois-ci, s'il tente de me l'enlever des mains – quand il aura fini de nettoyer le sol, je resterai accroché au plateau comme si ma vie en dépendait. Même un grand type à la dégaine de princesse Disney ne me fait pas peur aujourd'hui, ni demain.
Partie pour un calvaire sans nom, j'te jure.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Alors oui, tu apprécies la nourriture avec le beaucoup d'intérêt. Néanmoins, il y a quelque chose qui peux complètement te la faire oublier. Que l’on te prenne en traitre. Tu as été droit, franc envers elle. Tu as demandé. Tu n’as pas eu de réponse adéquate. Même une simple excuse aurait pu suffire. Maintenant que tu cherches à changer, tu ne pouvais te permettre les écarts. Encore moins de ceux qui allaient arriver.
Elle fut un déclencheur. Ton feu intérieur se réveilla, plus enflammé que jamais, à force d’avoir été restreint. Il se raviva et embrasa l’intégrité de ton âme. Si tu avais su que l’on pouvait sciemment frapper les autres, tu n’aurais pas cherché à te retenir. Te voilà, un genou à terre, prêt à faire une demande étrange à la table se trouvant à tes côtés. Ton plateau t’échappe des mains mais tu n’en as plus vraiment rien à faire de cela. Qu’importe qui allait regarder, qu’importe qui elle était, cela ne se finirait pas ainsi.
Tes doigts trouvèrent une prise autour d’un des pieds d’une des nombreuses chaises de la pièce. Un métal froid se logea dans ta paume, que tu serrais à l’extrême. Bien, ce n’étaient pas une de ces chaises en plastique nulle mais plutôt celle avec un bon dossier en bois qui te casse le dos, en plus de te faire tenir droit. Ces chaises avec des embouts en plastique pour ne pas rayer le sol. Ces chaises qui sont assez légère pour être manié facilement mais suffisamment solide pour fracasser un membre si besoin.
En un seul mouvement, tu te relevais en balançant un magistral swing vers le haut. Tu ne la visais pas elle directement mais plutôt le plateau qu’elle tenait dans les mains. Ta pensée fut pour le sacrifice héroïque de ce repas, qui venait de s’envoler dans les airs. Le temps de cette seconde suffisante pour la distraire. Le temps d’attraper un autre pied de ta deuxième main. Le temps d’abattre sans sommation le haut de la chaise de haut en bas. Un coup rapide, visant le haut de sa tête. Dans une fluidité déconcertante, beaucoup trop habituelle pour que ce soit la première fois.
Elle fut un déclencheur. Ton feu intérieur se réveilla, plus enflammé que jamais, à force d’avoir été restreint. Il se raviva et embrasa l’intégrité de ton âme. Si tu avais su que l’on pouvait sciemment frapper les autres, tu n’aurais pas cherché à te retenir. Te voilà, un genou à terre, prêt à faire une demande étrange à la table se trouvant à tes côtés. Ton plateau t’échappe des mains mais tu n’en as plus vraiment rien à faire de cela. Qu’importe qui allait regarder, qu’importe qui elle était, cela ne se finirait pas ainsi.
Tes doigts trouvèrent une prise autour d’un des pieds d’une des nombreuses chaises de la pièce. Un métal froid se logea dans ta paume, que tu serrais à l’extrême. Bien, ce n’étaient pas une de ces chaises en plastique nulle mais plutôt celle avec un bon dossier en bois qui te casse le dos, en plus de te faire tenir droit. Ces chaises avec des embouts en plastique pour ne pas rayer le sol. Ces chaises qui sont assez légère pour être manié facilement mais suffisamment solide pour fracasser un membre si besoin.
En un seul mouvement, tu te relevais en balançant un magistral swing vers le haut. Tu ne la visais pas elle directement mais plutôt le plateau qu’elle tenait dans les mains. Ta pensée fut pour le sacrifice héroïque de ce repas, qui venait de s’envoler dans les airs. Le temps de cette seconde suffisante pour la distraire. Le temps d’attraper un autre pied de ta deuxième main. Le temps d’abattre sans sommation le haut de la chaise de haut en bas. Un coup rapide, visant le haut de sa tête. Dans une fluidité déconcertante, beaucoup trop habituelle pour que ce soit la première fois.
- InvitéInvité
Omi
La bouffe, c'est sacré
19 Août
Dès que je récupère le plateau, je sais déjà au fond de moi que le calvaire vient à peine de commencer. Il n'essaye pas de le récupérer, mais de le déloger de mes mains par un coup en-dessous. Accrochée, je décolle du sol de plusieurs centimètres, et voit mon bol s'envoler. Littéralement.
Excuse-moi ?
Où est le serment pour la bouffe ?
Rien à foutre, au point de tout gaspiller.
Déjà qu'il avait fait tomber son plateau comme un orang-outang...
J'ai l'impression de voir ma vie se déroulait au ralentit. Une tranche de porc pané tombe sous mes yeux. Mon réflexe est d'essayer de le rattraper avec la bouche, mais ces frères d'armes le suivent, et viennent s'écraser sur mon visage tour à tour.
Dans cette chorégraphie du ridicule, j'arrive tout de même à choper un morceau de porc pané ! Celui-là, je vais le savourer avec toute la haine capable de se manifester dans un coup de dents, comme si c'était cette princesse à la noix que je mordais.
Putain ! Le choc du plateau m'a fait un peu perdre bêtement l'équilibre, et je glisse alors que la chaise me frôle et se rabat vers le sol à une vitesse folle. Si ça m'avait touchée, j'aurais eu un tour gratuit aux urgences. Alors, je pense à Maya.
À ma femme.
À ma flamme.
À mon porc pané.
À mon dossier scolaire.
Mais surtout à Maya. Comme je l'ai toujours vu faire, avec haine et grâce, à ma portée alors que la chaise valse :
Un grand coup de pied dans les valseuses.
code by emmeExcuse-moi ?
Où est le serment pour la bouffe ?
Rien à foutre, au point de tout gaspiller.
Déjà qu'il avait fait tomber son plateau comme un orang-outang...
J'ai l'impression de voir ma vie se déroulait au ralentit. Une tranche de porc pané tombe sous mes yeux. Mon réflexe est d'essayer de le rattraper avec la bouche, mais ces frères d'armes le suivent, et viennent s'écraser sur mon visage tour à tour.
Dans cette chorégraphie du ridicule, j'arrive tout de même à choper un morceau de porc pané ! Celui-là, je vais le savourer avec toute la haine capable de se manifester dans un coup de dents, comme si c'était cette princesse à la noix que je mordais.
Putain ! Le choc du plateau m'a fait un peu perdre bêtement l'équilibre, et je glisse alors que la chaise me frôle et se rabat vers le sol à une vitesse folle. Si ça m'avait touchée, j'aurais eu un tour gratuit aux urgences. Alors, je pense à Maya.
À ma femme.
À ma flamme.
À mon porc pané.
À mon dossier scolaire.
Mais surtout à Maya. Comme je l'ai toujours vu faire, avec haine et grâce, à ma portée alors que la chaise valse :
Un grand coup de pied dans les valseuses.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Cela se sentais que tu étais un peu rouillé. Ou que tu deviens peut-être un peu trop gentil. Tu n’aurais pas du la rater ainsi. Peut-être surestimé. Le fait que ton coup la fasse reculer a joué en sa faveur. A pas grand-chose. Ce n’était pas la première fois qu’une telle bagarre éclatait. Ce n’était pas la première fois qu’une chaise aurait dû se fracasser sur un crâne. Ce n’était pas la première fois que tu commettais une telle erreur.
Est-ce que cela te troubla ? Pas le moins du monde. Au contraire, cela te fit prendre conscience qu’il allait falloir choisir quel mode de vie tu voulais mener au sein du campus. Il est certain que ton acte ne finirait pas impuni. Autant la blesser ne te dérangeait mais tu risquais fortement de dégrader le matériel que l’on mettait gracieusement à ta disposition. Tu le malmenais déjà, passant à rien d’exploser la chaise sur le sol. Tu l’immobilisas juste avant qu’elle ne le touche.
Elle a sacré tempérament la nana qu’il y a en face de toi. Si beaucoup aurait reculé de crainte, elle, elle ne se démonta pas. Tu ne semblais pas être le seul à avoir un tempérament sanguin dans les environs. A moins qu’elle ne soit inconsciente, ou suffisamment bête pour ne pas ressentir le danger. Après tout, il est vrai que l’on se fait agresser tous les jours à coup de chaise par ici. Cela ne devait pas être sa première altercation. Dans le cas contraire, elle avait de l’avenir dans la bagarre de rue.
Pour ce qui a été de la suite, tu vis le coup arriver à des kilomètres. Tu en avais déjà subit un bon nombre par le passé. Rien n’a reproché parce qu’elle est efficace. Et rien n’interdit de le faire. Si beaucoup la juge déloyale, tu te fiches pas mal qu’on la tente sur toi. A force, nombres sont été les techniques que tu as peaufiné pour l’éviter. Surtout, qu’à cet instant, il y avait un problème de taille à son attaque.
Et quand tu parles de taille, c’est au sens littéral. Si ta première provocation avec le plateau était pour te moquer, cela n’avait pas semblé lui rappelé la distance vous séparant. Ainsi que votre gabarit. A vue de nez, tu aurais dit presque une bonne trentaine de centimètres. Courte sur pattes fut ce qui te vint à l’esprit. Sans méchanceté, juste la réalité. Tu n’eus même pas forcément besoin de bouger pour ne pas te prendre le coup, il vint naturellement s’encastrer dans la chaise qui se trouvait toujours proche du sol. Le bruit sourd te fit penser que cela n’allait pas être agréable pour son pied.
Tu te redressas pour la toiser. En général, c’était la technique de l’ultime recours, il n’y avait plus d’autres issues par la suite. A moins qu’elle ne tente de te charger et de te plaquer au sol. Est-ce que, en lui posant une main sur la tête pour la retenir, vous deviendrez cette scène mythique de dessin animé où le petit personnage tente d’atteindre le plus grand en brassant de l’air avec ses bras ? Possible. Cela refléterait parfaitement le comique de la situation. Sans rien dire, tu restais là, à la regarder, attendant de voir si elle voulait continuer. Ou du moins si elle daignerait vouloir s’excuser.
Est-ce que cela te troubla ? Pas le moins du monde. Au contraire, cela te fit prendre conscience qu’il allait falloir choisir quel mode de vie tu voulais mener au sein du campus. Il est certain que ton acte ne finirait pas impuni. Autant la blesser ne te dérangeait mais tu risquais fortement de dégrader le matériel que l’on mettait gracieusement à ta disposition. Tu le malmenais déjà, passant à rien d’exploser la chaise sur le sol. Tu l’immobilisas juste avant qu’elle ne le touche.
Elle a sacré tempérament la nana qu’il y a en face de toi. Si beaucoup aurait reculé de crainte, elle, elle ne se démonta pas. Tu ne semblais pas être le seul à avoir un tempérament sanguin dans les environs. A moins qu’elle ne soit inconsciente, ou suffisamment bête pour ne pas ressentir le danger. Après tout, il est vrai que l’on se fait agresser tous les jours à coup de chaise par ici. Cela ne devait pas être sa première altercation. Dans le cas contraire, elle avait de l’avenir dans la bagarre de rue.
Pour ce qui a été de la suite, tu vis le coup arriver à des kilomètres. Tu en avais déjà subit un bon nombre par le passé. Rien n’a reproché parce qu’elle est efficace. Et rien n’interdit de le faire. Si beaucoup la juge déloyale, tu te fiches pas mal qu’on la tente sur toi. A force, nombres sont été les techniques que tu as peaufiné pour l’éviter. Surtout, qu’à cet instant, il y avait un problème de taille à son attaque.
Et quand tu parles de taille, c’est au sens littéral. Si ta première provocation avec le plateau était pour te moquer, cela n’avait pas semblé lui rappelé la distance vous séparant. Ainsi que votre gabarit. A vue de nez, tu aurais dit presque une bonne trentaine de centimètres. Courte sur pattes fut ce qui te vint à l’esprit. Sans méchanceté, juste la réalité. Tu n’eus même pas forcément besoin de bouger pour ne pas te prendre le coup, il vint naturellement s’encastrer dans la chaise qui se trouvait toujours proche du sol. Le bruit sourd te fit penser que cela n’allait pas être agréable pour son pied.
Tu te redressas pour la toiser. En général, c’était la technique de l’ultime recours, il n’y avait plus d’autres issues par la suite. A moins qu’elle ne tente de te charger et de te plaquer au sol. Est-ce que, en lui posant une main sur la tête pour la retenir, vous deviendrez cette scène mythique de dessin animé où le petit personnage tente d’atteindre le plus grand en brassant de l’air avec ses bras ? Possible. Cela refléterait parfaitement le comique de la situation. Sans rien dire, tu restais là, à la regarder, attendant de voir si elle voulait continuer. Ou du moins si elle daignerait vouloir s’excuser.
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Omi
La bouffe, c'est sacré
19 Août
Mazette, je suis désolée Maya, j'ai failli. Je n'ai pas rendu honneur à ton ultime bam de castrage 2.0. Pire que ça, je me suis encastré la chaise dans le pied, et la seule chose qui ne me fait pas sautiller, le pied dans la main, est le reste de ma dignité.
Il se redresse, et me regarde. Il m'veut quoi à me toiser comme si j'étais un foutu slim lvl 1 du donjon de mon #?@& ? Ni lui, ni moi, avons gagné quoi que ce soit dans cet échange. Je ne déroge guère du regard, même si j'entends les chuchotements autour de nous.
Je n'ai probablement aucune chance d'avoir le dessus sur lui à l'état pur du combat. J'ai beaucoup moins d'allonge, je suis petite et probablement trop légère par rapport à lui... et puis, à quoi se battre, on a suffisamment rendu la vie encore plus merdique qu'elle ne l'était déjà.
J'ai un peu moins envie d'étriper les gens au moindre coup d’œil même si on est le centre de l'attention. Mon regard se pose sur le sol, pas pour me dérober du sien, mais pour voir le chaos de notre échange.
Je me baisse en attrapant un plateau, et y dépose délicatement les morceaux de vaisselles brisées. C'est à nous de nettoyer ce foutoir, et s'il se croit au-dessus de ça, c'est son problème. Je tâte un peu pour voir s'il y a de la viande à sauver mais...
Heure de la mort : 12h47.
Penser à choper une serpillière pour la suite.
code by emmeIl se redresse, et me regarde. Il m'veut quoi à me toiser comme si j'étais un foutu slim lvl 1 du donjon de mon #?@& ? Ni lui, ni moi, avons gagné quoi que ce soit dans cet échange. Je ne déroge guère du regard, même si j'entends les chuchotements autour de nous.
Je n'ai probablement aucune chance d'avoir le dessus sur lui à l'état pur du combat. J'ai beaucoup moins d'allonge, je suis petite et probablement trop légère par rapport à lui... et puis, à quoi se battre, on a suffisamment rendu la vie encore plus merdique qu'elle ne l'était déjà.
J'ai un peu moins envie d'étriper les gens au moindre coup d’œil même si on est le centre de l'attention. Mon regard se pose sur le sol, pas pour me dérober du sien, mais pour voir le chaos de notre échange.
Je me baisse en attrapant un plateau, et y dépose délicatement les morceaux de vaisselles brisées. C'est à nous de nettoyer ce foutoir, et s'il se croit au-dessus de ça, c'est son problème. Je tâte un peu pour voir s'il y a de la viande à sauver mais...
Heure de la mort : 12h47.
Penser à choper une serpillière pour la suite.
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❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Si le silence s’était installé quand votre querelle avait commencé, si personne ne vous avait séparé, l’agitation et les commentaires se mirent à fuser. Bien que doucement. Aucun d’eux ne voudraient attirer l’attention de l’un de vous deux, par peur de se pendre une balle perdue, un coup mal placé. Une véritable bande de courageux. Le genre de personne que tu ne peux pas apprécier. Etrangement, la sympathie pour celle en face de toi augmenta légèrement.
Mais toujours pas d’excuse de sa part et tu jugeais que c’était entièrement sa faute. De toute manière, t’a-t-on déjà entendu proférer des excuses à qui que ce soit ? A part tes parents, évidement. Ces mots n’ont jamais passé tes lèvres pour une autre personne, qu’importe la raison, y compris si tu étais en tort. Et que tu le savais. Une certaine fierté mal placée, qui te jouais souvent des tours, se retournant contre toi. Te faisant agir de manière imprudente, stupide. Un peu comme maintenant.
Ta partenaire éphémère de bagarre se mit à ramasser et nettoyer un peu le bordel que vous aviez foutu. Quelques pas derrière toi, tu t’accroupis et commença à faire de même. Ton plateau n’avait rien mais tu ne pouvais en dire autant de la vaissellerie qui s’était brisé. Un petit miracle qu’aucun de vous deux ne se soit blessé sur un morceau de porcelaine cassé. Ni que la nourriture n’a été saccagé non plus. Aucun piétinement non. Tu n’allais pas rechigner face à cela.
Ton ventre grommela, te rappelant pourquoi tu étais présent de base. La petite dépense énergique juste avant avait même accentué ton appétit. T’asseyant un peu plus loin après avoir nettoyé et débarrassé ce que tu pouvais, tu te mis à manger ce qui se trouvait sur ton plateau de base. Bien que cela ait trainé par terre, tu ne fis même pas attention, engloutissant simplement ton repas. Tu avais connu bien pire.
Mais toujours pas d’excuse de sa part et tu jugeais que c’était entièrement sa faute. De toute manière, t’a-t-on déjà entendu proférer des excuses à qui que ce soit ? A part tes parents, évidement. Ces mots n’ont jamais passé tes lèvres pour une autre personne, qu’importe la raison, y compris si tu étais en tort. Et que tu le savais. Une certaine fierté mal placée, qui te jouais souvent des tours, se retournant contre toi. Te faisant agir de manière imprudente, stupide. Un peu comme maintenant.
Ta partenaire éphémère de bagarre se mit à ramasser et nettoyer un peu le bordel que vous aviez foutu. Quelques pas derrière toi, tu t’accroupis et commença à faire de même. Ton plateau n’avait rien mais tu ne pouvais en dire autant de la vaissellerie qui s’était brisé. Un petit miracle qu’aucun de vous deux ne se soit blessé sur un morceau de porcelaine cassé. Ni que la nourriture n’a été saccagé non plus. Aucun piétinement non. Tu n’allais pas rechigner face à cela.
Ton ventre grommela, te rappelant pourquoi tu étais présent de base. La petite dépense énergique juste avant avait même accentué ton appétit. T’asseyant un peu plus loin après avoir nettoyé et débarrassé ce que tu pouvais, tu te mis à manger ce qui se trouvait sur ton plateau de base. Bien que cela ait trainé par terre, tu ne fis même pas attention, engloutissant simplement ton repas. Tu avais connu bien pire.
- InvitéInvité
Omi
La bouffe, c'est sacré
19 Août
Voir mon repas ainsi gâché, la viande mêlé aux débris du bol, me donne mal au cœur. Je culpabilise même, sans avoir besoin de donner les raisons – il y en a des tonnes. J'ai remis le plus du riz sur le plateau déformé, et là, dans cette angoisse, une lueur perce :
Le dorayaki, le seul et unique survivant.
Pour une fois que ce n'est pas l'inverse. Au final, on a fait beaucoup de bruit, mais aucun de nous deux est blessé. J'ai fini de récupérer les différents déchets du combat. L'autre taré est assis à une table en train de manger les restes, de son plateau.
« T'aurais pu faire ça, dès le début »
Je soupire, m'assois à sa table pose le plateau dessus. Il n'y a plus qu'à attendre le/la/les surveillants. Il y a assez de témoins pour ne pas faire pencher la balance d'un côté ou de l'autre. J'ai mis le premier coup de pied, même si c'était en réponse du vol de mon plateau.
Par contre :
- Lui, il a essayé de m'assassiner avec une chaise, et s'est raté.
- Moi, j'ai tenté de lui envoyer un coup de pied dans les valseuses, et me suis viandée.
Deux gros losers.
Mais au moins, j'ai un dorayaki à moi !
code by emmeLe dorayaki, le seul et unique survivant.
Pour une fois que ce n'est pas l'inverse. Au final, on a fait beaucoup de bruit, mais aucun de nous deux est blessé. J'ai fini de récupérer les différents déchets du combat. L'autre taré est assis à une table en train de manger les restes, de son plateau.
« T'aurais pu faire ça, dès le début »
Je soupire, m'assois à sa table pose le plateau dessus. Il n'y a plus qu'à attendre le/la/les surveillants. Il y a assez de témoins pour ne pas faire pencher la balance d'un côté ou de l'autre. J'ai mis le premier coup de pied, même si c'était en réponse du vol de mon plateau.
Par contre :
- Lui, il a essayé de m'assassiner avec une chaise, et s'est raté.
- Moi, j'ai tenté de lui envoyer un coup de pied dans les valseuses, et me suis viandée.
Deux gros losers.
Mais au moins, j'ai un dorayaki à moi !
- PNJNon validé ; bouhouhou■ Age : 35■ Messages : 6331■ Inscrit le : 31/03/2008
PNJ SURVEILLANT
Dorayaki war II
Wada-san ne pensait pas connaître de son vivant le deuxième round de la guerre du dorayaki. Il avait entendu les rumeurs, écouté le récit de son collègue Futzo – un brin défait de ne pas avoir été lui-même aux premières loges – mais il commençait à se demander si finalement, tout ça n'avait pas été inventé.
Cette semaine, il a pris ses quartiers dans le réfectoire midi et soir. Avec les vacances, il y a moins de monde à gérer et la tâche est relativement facile. Les gosses viennent manger, rigolent un bon coup et repartent. Rien de mémorable et ça l'arrange bien. Lui aussi a hâte de pouvoir prendre sa semaine de vacances.
Le dos contre le mur, il est sorti de ses rêveries par de l'agitation. Beaucoup d'agitation. Il navigue jusqu'aux fauteurs de trouble et constate sur le terrain qu'ils ont essayé de maquiller la scène de crime. Mais n'ayant pas passé la serpillière, il y a encore de la nourriture éparpillée ainsi qu'un verre et une assiette brisée.
Wada-san se tourne vers les deux élèves et hausse un sourcil :
« Vous m'expliquez ou je demande à vos petits camarades ? »
Ses yeux scannent les tables autour. Plusieurs élèves le fuient du regard. Tant pis, il obtiendra bien la vérité d'une manière ou d'une autre. Et sinon, il lui suffira de gonfler la sanction. Doucement, son regard revient sur les deux loustics en passant par le plateau devant eux.
Et là, il le voit. Rond, joufflu, bien doré. Un dorayaki ! Son sang ne fait qu'un tour, il va lui aussi rentrer dans le panthéon de cette guerre improbable. Il tente de se remémorer les sanctions et soudain, il réalise ne pas avoir commencé par le commencement. Détaillant chacun des fautifs, il complète :
« Au fait, nom, prénom, classe s'il vous plaît. »
Cette semaine, il a pris ses quartiers dans le réfectoire midi et soir. Avec les vacances, il y a moins de monde à gérer et la tâche est relativement facile. Les gosses viennent manger, rigolent un bon coup et repartent. Rien de mémorable et ça l'arrange bien. Lui aussi a hâte de pouvoir prendre sa semaine de vacances.
Le dos contre le mur, il est sorti de ses rêveries par de l'agitation. Beaucoup d'agitation. Il navigue jusqu'aux fauteurs de trouble et constate sur le terrain qu'ils ont essayé de maquiller la scène de crime. Mais n'ayant pas passé la serpillière, il y a encore de la nourriture éparpillée ainsi qu'un verre et une assiette brisée.
Wada-san se tourne vers les deux élèves et hausse un sourcil :
« Vous m'expliquez ou je demande à vos petits camarades ? »
Ses yeux scannent les tables autour. Plusieurs élèves le fuient du regard. Tant pis, il obtiendra bien la vérité d'une manière ou d'une autre. Et sinon, il lui suffira de gonfler la sanction. Doucement, son regard revient sur les deux loustics en passant par le plateau devant eux.
Et là, il le voit. Rond, joufflu, bien doré. Un dorayaki ! Son sang ne fait qu'un tour, il va lui aussi rentrer dans le panthéon de cette guerre improbable. Il tente de se remémorer les sanctions et soudain, il réalise ne pas avoir commencé par le commencement. Détaillant chacun des fautifs, il complète :
« Au fait, nom, prénom, classe s'il vous plaît. »
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Tu relèves légèrement la tête quand tu entends un plateau claqué sur la table, sur la place juste en face de toi. Bon cette fois-ci, elle t’a surpris. Qui serait assez stupide pour venir s’asseoir en face du type qui a essayé de vous fracasser la tronche ? A moins qu’elle ne veuille juste garder un œil sur toi, que tu ne tentes pas de te défiler on ne sait où. Bien que ce ne soit pas ton style. Tu t’attendais à l’arrivé d’un surveillant d’une minute à l’autre.
Il est enfin là, au-dessus de vous, à vous demander ce qu’il s’est passé. Un poil en retard le bougre quand même. Tu ne daignes pas regarde de qui il s’agit. En soit, tu te fiches pas mal de qui va te donner ta punition. Tu ne chercherais pas à te venger alors ce souvenir d’un pauvre type qui effectue son travail par ta faute… Il est largement oubliable. Tu continues donc de manger, laissant flotter un léger malaise, un blanc entre vous, sans que personne ne prenne la parole directement. Jusqu’à ce petit point de rupture, celui qui précède le moment où l’un des gens craquent. Que tu prends de court, parlant calmement, une fois ta bouche finie.
- J’suis Naomi Sato. En première année Sportive.
Eeeet tu t’arrêtes là. Sans répondre à sa première question. Pas par dédain ou provocation. Juste pour montrer que tu te fous pas mal des répercussions, que tu ne le crains pas non plus et que tu as faim aussi. De nouveau, un flottement passe entre vous. De nouveau, on se demande si tu vas répondre ou laisser ce rôle à celle qui fut ton adversaire il y a peu. Non, tu avais bien l’intention de répondre. Juste après cette petite seconde.
- Nos plateaux sont tombés. Il y a eu un peu d’remue-ménage pour déterminer qui était en tort. J’voulais manger c’qu’il m’restait. Maintenant qu’c’est fait, si vous voulez bien m’excusez, j’vais nettoyer le foutoir qu'j’ai laissé.
Tu n’avais pas menti mais pas non plus dis toute la vérité. S’il demandait un peu plus de détails, cela serait une autre paire de manche. Tu te relevais sans réellement attendre de réponse de sa part. Tu pris ton plateau et le porta là où tu devais le ranger. Ton ventre gargouilla un peu et tu grognas. Tu n’avais pas étanché ta faim, bien au contraire. Uniquement entamé. Tu allais devoir attendre encore un peu avant qu’elle ne soit rassasié. A la place, tu vis arriver un homme d’entretien avec une serpillère et un seau. Un simple coup d’œil dans ta direction et il comprit que tu ne lâcherais pas l’affaire. En plus de cela, il te ramena un balai et une pelle, histoire de récupérer la porcelaine brisé.
Il est enfin là, au-dessus de vous, à vous demander ce qu’il s’est passé. Un poil en retard le bougre quand même. Tu ne daignes pas regarde de qui il s’agit. En soit, tu te fiches pas mal de qui va te donner ta punition. Tu ne chercherais pas à te venger alors ce souvenir d’un pauvre type qui effectue son travail par ta faute… Il est largement oubliable. Tu continues donc de manger, laissant flotter un léger malaise, un blanc entre vous, sans que personne ne prenne la parole directement. Jusqu’à ce petit point de rupture, celui qui précède le moment où l’un des gens craquent. Que tu prends de court, parlant calmement, une fois ta bouche finie.
- J’suis Naomi Sato. En première année Sportive.
Eeeet tu t’arrêtes là. Sans répondre à sa première question. Pas par dédain ou provocation. Juste pour montrer que tu te fous pas mal des répercussions, que tu ne le crains pas non plus et que tu as faim aussi. De nouveau, un flottement passe entre vous. De nouveau, on se demande si tu vas répondre ou laisser ce rôle à celle qui fut ton adversaire il y a peu. Non, tu avais bien l’intention de répondre. Juste après cette petite seconde.
- Nos plateaux sont tombés. Il y a eu un peu d’remue-ménage pour déterminer qui était en tort. J’voulais manger c’qu’il m’restait. Maintenant qu’c’est fait, si vous voulez bien m’excusez, j’vais nettoyer le foutoir qu'j’ai laissé.
Tu n’avais pas menti mais pas non plus dis toute la vérité. S’il demandait un peu plus de détails, cela serait une autre paire de manche. Tu te relevais sans réellement attendre de réponse de sa part. Tu pris ton plateau et le porta là où tu devais le ranger. Ton ventre gargouilla un peu et tu grognas. Tu n’avais pas étanché ta faim, bien au contraire. Uniquement entamé. Tu allais devoir attendre encore un peu avant qu’elle ne soit rassasié. A la place, tu vis arriver un homme d’entretien avec une serpillère et un seau. Un simple coup d’œil dans ta direction et il comprit que tu ne lâcherais pas l’affaire. En plus de cela, il te ramena un balai et une pelle, histoire de récupérer la porcelaine brisé.
- InvitéInvité
Omi
La bouffe, c'est sacré
19 Août
Bon. Je suis un peu au bout de ma vie même si je ne le montre pas. Je n'ai jamais eu affaire à un surveillant pour une faute commise, encore moins pour une dispute venant aux mains. Alors j'essaye de garder une poker face, alors que mon palpitant se croit sur Osu.
Quand il arrive, je reconnais de suite Wada-san. Je me relève de ma chaise, et m'incline un peu tandis que le garçon continue de manger son repas. Bouchée après bouchée, je me demande s'il compte répondre en essayant de réfléchir à quoi dire au surveillant. Juste après lui, je me présente à mon tour :
« Tanaka Nissa, p-première année de médecine »
Il me devance dans le discours sur notre accrochage. Je compte bien ajouter ma patte, plutôt que d'essayer de cacher les faits. J'essaye toujours d'être réglo, même si ça veut dire, briser des espoirs, plus de travail, ou dans cas-là, une plus grande punition :
« Ça a commencé sur un insulte de p-princess Disney de ma p-part. P-piquage et récup-pérage de p-plateau, p-puis une explosion, p-plateau déformé, tentative de mort échouée, et coup dans les valseuses raté. En résumé ! P-personne n'est blessé, juste mon p-plateau déformé. Je retourne l'aider, vous voulez bien nous suivre ? »
Je pars rejoindre Sato-san pour ramasser les bouts de porcelaine. Je suppose que le surveillant va nous donner nos sanctions le temps qu'on ramasse. Avant de l'aide à ramasser tout ce foutoir, je rompt mon dorayaki en deux :
« J'ai entendu ton ventre grogner, c'est p-pas grand chose mais tiens. »
Et là, je fourre la moitié dans sa bouche. Ensuite, je commence à regrouper les bouts de verre et de porcelaine grâce au balais. Tout ce que je n'avais réussi à récupérer à la main tantôt sans me blesser. J'ai d'ailleurs quelques minuscules balafres sur les mains, montrant le ramassage de verre sans protection.
Tout en nettoyant, je mange mon dorayaki.
code by emmeQuand il arrive, je reconnais de suite Wada-san. Je me relève de ma chaise, et m'incline un peu tandis que le garçon continue de manger son repas. Bouchée après bouchée, je me demande s'il compte répondre en essayant de réfléchir à quoi dire au surveillant. Juste après lui, je me présente à mon tour :
« Tanaka Nissa, p-première année de médecine »
Il me devance dans le discours sur notre accrochage. Je compte bien ajouter ma patte, plutôt que d'essayer de cacher les faits. J'essaye toujours d'être réglo, même si ça veut dire, briser des espoirs, plus de travail, ou dans cas-là, une plus grande punition :
« Ça a commencé sur un insulte de p-princess Disney de ma p-part. P-piquage et récup-pérage de p-plateau, p-puis une explosion, p-plateau déformé, tentative de mort échouée, et coup dans les valseuses raté. En résumé ! P-personne n'est blessé, juste mon p-plateau déformé. Je retourne l'aider, vous voulez bien nous suivre ? »
Je pars rejoindre Sato-san pour ramasser les bouts de porcelaine. Je suppose que le surveillant va nous donner nos sanctions le temps qu'on ramasse. Avant de l'aide à ramasser tout ce foutoir, je rompt mon dorayaki en deux :
« J'ai entendu ton ventre grogner, c'est p-pas grand chose mais tiens. »
Et là, je fourre la moitié dans sa bouche. Ensuite, je commence à regrouper les bouts de verre et de porcelaine grâce au balais. Tout ce que je n'avais réussi à récupérer à la main tantôt sans me blesser. J'ai d'ailleurs quelques minuscules balafres sur les mains, montrant le ramassage de verre sans protection.
Tout en nettoyant, je mange mon dorayaki.
- PNJNon validé ; bouhouhou■ Age : 35■ Messages : 6331■ Inscrit le : 31/03/2008
PNJ SURVEILLANT
Dorayaki war II
Mais c'est qu'il continue à manger le bougre. S'il savait comme il n'est pas original à jouer le gros dur devant lui. Sauf que ça l'agace qu'on ne le prenne pas au sérieux. Il n'a peut-être pas fait de grandes études mais ce n'est pas un étudiant baraqué qui va lui apprendre la vie. Dans cette situation, Wada-san représente l'autorité et il compte bien la faire régner.
La fille fait moins de manières. Encore heureux, ils n'ont vraiment pas envie de l'énerver ! A mesure que les explications défilent, le surveillant relie les points et identifie facilement que la mort revient au garçon et le coup dans les valseuses à la fille. Un classique. Il a presque envie de leur dire qu'il a déjà vu cet épisode des dizaines de fois.
Mais à la place, il se contente de confirmer qu'ils ont plutôt intérêt à ce que ce soit propre puisqu'ils proposent si gentiment de nettoyer. Un de ses collègues leur apporte de quoi et, tandis qu'il les surveille, il réfléchit à la sanction. Difficile de démêler qui a fait quoi parce qu'il n'a pas vu grand-chose. Entre l'escalade de violence et la destruction de matériel, il lui est difficile de trancher.
Et c'est pire quand il observe la petite brune rompre le dorayaki. Pas de sauce soja ? De coup de poing dans le ventre ? Le surveillant n'est plus sûr de rien. Son histoire n'aura définitivement pas la même saveur dans la salle des profs. Lui qui se voyait déjà narrer le deuxième acte de cette guerre... maudit Futzo et sa vaine légendaire ! C'est donc presque déçu qu'il déclare :
« Vu que nettoyer c'est dans vos cordes, vous viendrez demain et mardi soir nettoyer la cantine après le repas. Deux heures de colle en ma compagnie. »
Il s'impatiente en les regardant finir. Puis, dès l'instant où le sol est à nouveau praticable, il les expédie d'un geste nonchalant de la main.
« Allez, c'est bon ! Et que j'vous y reprenne pas ou c'est pas deux soirs que vous le ferez mais deux semaines. »
La fille fait moins de manières. Encore heureux, ils n'ont vraiment pas envie de l'énerver ! A mesure que les explications défilent, le surveillant relie les points et identifie facilement que la mort revient au garçon et le coup dans les valseuses à la fille. Un classique. Il a presque envie de leur dire qu'il a déjà vu cet épisode des dizaines de fois.
Mais à la place, il se contente de confirmer qu'ils ont plutôt intérêt à ce que ce soit propre puisqu'ils proposent si gentiment de nettoyer. Un de ses collègues leur apporte de quoi et, tandis qu'il les surveille, il réfléchit à la sanction. Difficile de démêler qui a fait quoi parce qu'il n'a pas vu grand-chose. Entre l'escalade de violence et la destruction de matériel, il lui est difficile de trancher.
Et c'est pire quand il observe la petite brune rompre le dorayaki. Pas de sauce soja ? De coup de poing dans le ventre ? Le surveillant n'est plus sûr de rien. Son histoire n'aura définitivement pas la même saveur dans la salle des profs. Lui qui se voyait déjà narrer le deuxième acte de cette guerre... maudit Futzo et sa vaine légendaire ! C'est donc presque déçu qu'il déclare :
« Vu que nettoyer c'est dans vos cordes, vous viendrez demain et mardi soir nettoyer la cantine après le repas. Deux heures de colle en ma compagnie. »
Il s'impatiente en les regardant finir. Puis, dès l'instant où le sol est à nouveau praticable, il les expédie d'un geste nonchalant de la main.
« Allez, c'est bon ! Et que j'vous y reprenne pas ou c'est pas deux soirs que vous le ferez mais deux semaines. »
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
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❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Elle n’a plus vraiment l’air à l’aise maintenant que le surveillant est à vos côtés. Elle n’est pas taillée pour supporter une telle vie. Trop d’ordres et de règle dans un si petit corps. Cela risquait de la bouffer et de la tuer de stress. Probablement qu’elle ne recommencerait plus jamais de sa vie un tel acte, préférant s’écraser plutôt que de devoir une nouvelle fois subir un tel moment.
Tu l’entends déclamer son nom et sa filière mais cela te passe complètement au-dessus. Tu ne te souviendras sans doute même plus d’elle dans peu de temps. Une simple gouttelette dans un océan. Toutes similaires, identique. Rien de bien intéressant à en garder. Elle-même donne sa version des faits, qui semble des plus incompréhensible. Son bégaiement n’aidait déjà pas beaucoup, il fallait rajouter un discours des plus décousus.
Elle vint rapidement te rejoindre pour aider. Enfin pour t’aider, surtout sans doute pour faire mine de te sentir concerné. Sa partie tombée à déjà été entièrement nettoyé avant qu’elle ne vienne manger, ne laissant que de ton côté. Tu ne lui jetas pas un coup d’œil, ni ne dit rien, ramassant juste le bordel qui jonchait le sol. Jusqu’à ce petit évènement. Un morceau de dorayaki apparut dans ton champ de vision. Elle te le tendait, un peu peiné par ta condition. Le fait que tu es faim avait l’air de la préoccupé. Tu te relevas et l’attrapa en détournant le regard, légèrement gêné.
- La chaise… C’était p’t’être un peu trop…
On pouvait dire ce qu’on voulait, surtout que s’en est pas mais, venant de toi. Ce sont des excuses. Et sincère qui plus est. Un regret éphémère qui sera oublié. Aussitôt la nourriture engloutie. Ce n’était pas ce petit morceau qui allait te rassasier mais l’intention était là. Elle était gentille. Sa véritable nature. Elle t’avait juste croisé au mauvais moment, dans une mauvaise humeur. Cela arrive à tout le monde.
Ce fut autour de l’autorité locale de vous parler. Avec une petite étoile de shérif et un chapeau, il serait une belle caricature d’un représentant de l’ordre du far west. Surtout si c’est pour donner 4 heures de colles. C’était peu cher payé pour le raffut et le bordel que tu avais orchestré. Tu t’en tirais même plutôt bien. Nettoyé ne te dérangeait aucunement, tu avais l’habitude des taches ménagères chez toi. Ce ne serait qu’un petit coin de paradis dans ta semaine.
Une fois terminé, le surveillant vous relâcha. Tu attrapas tes affaires et partis en direction de la sortie. En même temps que ta nouvelle partner in crime. Vous voyez ce genre de moment où vous dites au revoir à une personne et que vous allez du même côté finalement, sans rien dire ? Ouais voilà, le même genre de malaise entre vous deux. Tu lui tins la porte pour la laisser sortir avant toi. La ponctuant d’une petite phrase.
- Tu d’vrais faire attention à tes humeurs… Ou du moins, contre qui tu les tournes. Ça aurait pu être bien pire aujourd’hui.
Tu l’entends déclamer son nom et sa filière mais cela te passe complètement au-dessus. Tu ne te souviendras sans doute même plus d’elle dans peu de temps. Une simple gouttelette dans un océan. Toutes similaires, identique. Rien de bien intéressant à en garder. Elle-même donne sa version des faits, qui semble des plus incompréhensible. Son bégaiement n’aidait déjà pas beaucoup, il fallait rajouter un discours des plus décousus.
Elle vint rapidement te rejoindre pour aider. Enfin pour t’aider, surtout sans doute pour faire mine de te sentir concerné. Sa partie tombée à déjà été entièrement nettoyé avant qu’elle ne vienne manger, ne laissant que de ton côté. Tu ne lui jetas pas un coup d’œil, ni ne dit rien, ramassant juste le bordel qui jonchait le sol. Jusqu’à ce petit évènement. Un morceau de dorayaki apparut dans ton champ de vision. Elle te le tendait, un peu peiné par ta condition. Le fait que tu es faim avait l’air de la préoccupé. Tu te relevas et l’attrapa en détournant le regard, légèrement gêné.
- La chaise… C’était p’t’être un peu trop…
On pouvait dire ce qu’on voulait, surtout que s’en est pas mais, venant de toi. Ce sont des excuses. Et sincère qui plus est. Un regret éphémère qui sera oublié. Aussitôt la nourriture engloutie. Ce n’était pas ce petit morceau qui allait te rassasier mais l’intention était là. Elle était gentille. Sa véritable nature. Elle t’avait juste croisé au mauvais moment, dans une mauvaise humeur. Cela arrive à tout le monde.
Ce fut autour de l’autorité locale de vous parler. Avec une petite étoile de shérif et un chapeau, il serait une belle caricature d’un représentant de l’ordre du far west. Surtout si c’est pour donner 4 heures de colles. C’était peu cher payé pour le raffut et le bordel que tu avais orchestré. Tu t’en tirais même plutôt bien. Nettoyé ne te dérangeait aucunement, tu avais l’habitude des taches ménagères chez toi. Ce ne serait qu’un petit coin de paradis dans ta semaine.
Une fois terminé, le surveillant vous relâcha. Tu attrapas tes affaires et partis en direction de la sortie. En même temps que ta nouvelle partner in crime. Vous voyez ce genre de moment où vous dites au revoir à une personne et que vous allez du même côté finalement, sans rien dire ? Ouais voilà, le même genre de malaise entre vous deux. Tu lui tins la porte pour la laisser sortir avant toi. La ponctuant d’une petite phrase.
- Tu d’vrais faire attention à tes humeurs… Ou du moins, contre qui tu les tournes. Ça aurait pu être bien pire aujourd’hui.
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Omi
La bouffe, c'est sacré
19 Août
Je suis un peu émue. C'est la première fois que je dépasse le règlement, et avec autant de panaches ! Ça aurait pu être truc ridicule, comme faire tomber une étagère dans la salle de bibliothèque, et manquer de tuer la bibliothécaire. Enfin, je reviens dans le monde réel :
« Le coup de p-pute sur le jarret a tout commencé... »
Je prends la responsabilité sur moi. Même si son coup avec la chaise, avec le recul, aurait pu m'envoyer aux urgences, j'aurais pu partager mon plateau avec lui. C'est probablement ce que j'aurais fait en temps normal, mais si j'ai quelques doutes parce que « manger » est plus fort que tout.
Je m'incline aux dires de Wada-san. S'il éternue de travers, ce Sato-san, il prend un revers. Un mètre quatre-vingt dix de muscles ou pas, bousculer ou rien, s'il recommence à réclamer le plateau d'un autre, cette fois-si, après une discussion houleuse ou pas, je ne manquerai pas comme coup de pied.
Comme on a le droit de partir, je file vers la sortie. Sauf que le grand dadais est là, même qu'il tient étonnamment la porte pour que je passe la première. Un peu surprise, je me faufile. Mes humeurs... bien un truc de mecs de dire ça. Je ne veux pas chercher querelle à qui que ce soit, tant qu'ils ne sont pas en tort.
« Je connais un konbini dans le coin où tu p-pourrais combler ton estomac »
Après tout, pas la première fois où je le vois.
code by emme« Le coup de p-pute sur le jarret a tout commencé... »
Je prends la responsabilité sur moi. Même si son coup avec la chaise, avec le recul, aurait pu m'envoyer aux urgences, j'aurais pu partager mon plateau avec lui. C'est probablement ce que j'aurais fait en temps normal, mais si j'ai quelques doutes parce que « manger » est plus fort que tout.
Je m'incline aux dires de Wada-san. S'il éternue de travers, ce Sato-san, il prend un revers. Un mètre quatre-vingt dix de muscles ou pas, bousculer ou rien, s'il recommence à réclamer le plateau d'un autre, cette fois-si, après une discussion houleuse ou pas, je ne manquerai pas comme coup de pied.
Comme on a le droit de partir, je file vers la sortie. Sauf que le grand dadais est là, même qu'il tient étonnamment la porte pour que je passe la première. Un peu surprise, je me faufile. Mes humeurs... bien un truc de mecs de dire ça. Je ne veux pas chercher querelle à qui que ce soit, tant qu'ils ne sont pas en tort.
« Je connais un konbini dans le coin où tu p-pourrais combler ton estomac »
Après tout, pas la première fois où je le vois.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Doux retour dans sa vraie peau. Celle d’une personne semblant bien plus timide que celle ayant tenté de t’émasculer sur la place publique. Des bégayements, une excuse un peu boiteuse et tu agitas légèrement la main, pour signifier qu’on oubliait cela. Le fait qu’elle t’ai offert a manger, aussi maigre fut l’offrande, avait un peu apaisé ton engouement à son égard. Elle n’était plus une ennemie. Simplement une personne ayant eu son humeur massacrante.
Tu la vois être surprise à ton acte, de lui tenir la porte. Faut pas se fier à ton allure, ton caractère abrupt. Tu es une personne particulièrement gentleman normalement. Cela t’arrive aussi de faire fit de ce point, surtout quand de la bouffe est en jeu. Mais en dehors, tu essayes de faire en sorte que les femmes de ton entourage passent toujours les meilleures journées. Que personne leur tourne autour ou ne fasse de remarque. Pas de sifflement. Une espèce d’armoire à glace pour casser des bouches en cas de renoncement.
Bien qu’elle ait montré qu’elle pouvait se défendre, il est certain que la petite devait faire partie de celle qui s’écrase, à courir pour éviter de se faire harceler, à ne pas répondre pour éviter l’escalade. C’est une bonne idée en soit, sans doute mieux que de répondre par des insultes. Cela peut aller très vite à partir du moment où un parti s’enflamme, que ce soit en mots qu’en actes. Cela étant, tu avais l’avantage de pouvoir coller une droite ou deux si nécessaire.
Elle cherchait encore à s’excuser, en voulant t’indiquer le konbini le plus proche. Tu en connaissais déjà pas mal autour du campus, ayant pas mal grignoter entre les repas en ce début d’année. A moins qu’elle ne veuille t’y accompagner. Ta voix se fit plus légère, un sourire en coin fugace sur tes lèvres, ton regard se porta sur elle.
- J’accepte avec plaisir qu’tu m’offres l'repas pour t’faire pardonner.
Bien entendu, elle n’avait pas dit cela. Ni même sans doute pensé une seule seconde qu’elle devrait lui offrir de la nourriture. On pouvait appeler cela de l’exploitation de ta part. Allait-elle se rebeller une nouvelle fois ? Ou juste docilement t’y emmener pour ne pas subir ton courroux ? Ton visage était redevenu froid, de marbre à son encontre, bien que tu sois heureux à l’idée d’un nouveau repas prochainement. Et offert de surcroit.
Tu la vois être surprise à ton acte, de lui tenir la porte. Faut pas se fier à ton allure, ton caractère abrupt. Tu es une personne particulièrement gentleman normalement. Cela t’arrive aussi de faire fit de ce point, surtout quand de la bouffe est en jeu. Mais en dehors, tu essayes de faire en sorte que les femmes de ton entourage passent toujours les meilleures journées. Que personne leur tourne autour ou ne fasse de remarque. Pas de sifflement. Une espèce d’armoire à glace pour casser des bouches en cas de renoncement.
Bien qu’elle ait montré qu’elle pouvait se défendre, il est certain que la petite devait faire partie de celle qui s’écrase, à courir pour éviter de se faire harceler, à ne pas répondre pour éviter l’escalade. C’est une bonne idée en soit, sans doute mieux que de répondre par des insultes. Cela peut aller très vite à partir du moment où un parti s’enflamme, que ce soit en mots qu’en actes. Cela étant, tu avais l’avantage de pouvoir coller une droite ou deux si nécessaire.
Elle cherchait encore à s’excuser, en voulant t’indiquer le konbini le plus proche. Tu en connaissais déjà pas mal autour du campus, ayant pas mal grignoter entre les repas en ce début d’année. A moins qu’elle ne veuille t’y accompagner. Ta voix se fit plus légère, un sourire en coin fugace sur tes lèvres, ton regard se porta sur elle.
- J’accepte avec plaisir qu’tu m’offres l'repas pour t’faire pardonner.
Bien entendu, elle n’avait pas dit cela. Ni même sans doute pensé une seule seconde qu’elle devrait lui offrir de la nourriture. On pouvait appeler cela de l’exploitation de ta part. Allait-elle se rebeller une nouvelle fois ? Ou juste docilement t’y emmener pour ne pas subir ton courroux ? Ton visage était redevenu froid, de marbre à son encontre, bien que tu sois heureux à l’idée d’un nouveau repas prochainement. Et offert de surcroit.
- InvitéInvité
Omi
La bouffe, c'est sacré
19 Août
Ce qui est étonnant dans tout cela, je suis sûre de l'avoir vu à plusieurs reprises dans la cantine – visible les cheveux rouges, mais c'est la première fois que je le vois faire une esclandre envers quelqu'un.
Peut-être qu'il l'a déjà fait à quelqu'un, ou même à plusieurs, et que tous ont préférés s'écraser au lieu d'ancrer les pieds dans le sol et s'opposer à lui. Franchement, c'est la seule explication plausible me venant en tête sur un type pareil.
« On verra, qui sait, p-peut-être que je serais d'humeur généreuse »
Je ne suis pas vraiment d'humeur à discuter, ça m'étonnerait que le grand dadais soit une pipelette non plus. Alors je marche assez vite, il a des grandes jambes, si je ne force pas la marche, il va la faire au ralenti. Pas au point de courir, tout de même.
« T'étudies quoi comme sport ? »
Sûrement un gros truc de bourrin où il peut taper en toute impunité. Il a du s'en manger des mandales et en donner pour être devenu une armoire à glace, comme ça. Après, je pourrai être surprise et apprendre qu'il étudie la physiologie et l'anatomie.
On met pas trop de temps à arriver au konbini, la marche rapide, ça aide.
« J'ai besoin de thunes p-pour l'adop-ption de mon chat, alors je te p-passe que 1000 ¥. »
Avec ça, il peut s'acheter un repas et une boisson avec. C'est toujours moins cher au supermarché, mais on ne va pas aller jusque là-bas pour économiser quelques yens. On a tous cette mauvaise habitude d'aller au konbini parce que c'est plus proche.
« C'est juste pour m'excuser de t'avoir attaqué en traître, c'est tout »
Je file au rayon des sucreries pour acheter des mochis à la fraise. Pas pour moi, mais pour Maya et essayer de lui remonter le moral. Je vais à la caisse pour me prendre deux nikuman. Bien chaud, bien consistant, c'est devenu une de mes brioches préférés.
Juste ça, je dois économiser pour Michi.
code by emmePeut-être qu'il l'a déjà fait à quelqu'un, ou même à plusieurs, et que tous ont préférés s'écraser au lieu d'ancrer les pieds dans le sol et s'opposer à lui. Franchement, c'est la seule explication plausible me venant en tête sur un type pareil.
« On verra, qui sait, p-peut-être que je serais d'humeur généreuse »
Je ne suis pas vraiment d'humeur à discuter, ça m'étonnerait que le grand dadais soit une pipelette non plus. Alors je marche assez vite, il a des grandes jambes, si je ne force pas la marche, il va la faire au ralenti. Pas au point de courir, tout de même.
« T'étudies quoi comme sport ? »
Sûrement un gros truc de bourrin où il peut taper en toute impunité. Il a du s'en manger des mandales et en donner pour être devenu une armoire à glace, comme ça. Après, je pourrai être surprise et apprendre qu'il étudie la physiologie et l'anatomie.
On met pas trop de temps à arriver au konbini, la marche rapide, ça aide.
« J'ai besoin de thunes p-pour l'adop-ption de mon chat, alors je te p-passe que 1000 ¥. »
Avec ça, il peut s'acheter un repas et une boisson avec. C'est toujours moins cher au supermarché, mais on ne va pas aller jusque là-bas pour économiser quelques yens. On a tous cette mauvaise habitude d'aller au konbini parce que c'est plus proche.
« C'est juste pour m'excuser de t'avoir attaqué en traître, c'est tout »
Je file au rayon des sucreries pour acheter des mochis à la fraise. Pas pour moi, mais pour Maya et essayer de lui remonter le moral. Je vais à la caisse pour me prendre deux nikuman. Bien chaud, bien consistant, c'est devenu une de mes brioches préférés.
Juste ça, je dois économiser pour Michi.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
D’humeur généreuse ou non, tu sentais qu’elle le ferait. Un moyen de se faire excuser. Simple. Tu en profiterais donc avec allégresse sans avoir le regret de te faire payer un repas. Bien que cela n’arrive jamais que tu regrettes ça. Toujours à manger plus que de raison. Surtout quand tu es invité.
Tu te serais presque mis à siffloter sur le chemin, en direction du konbini, alors qu’elle peinait à te suivre. Pour te faire ralentir, elle te posa une question. Anodine, simple. Que tu aurais sans doute envoyé péter si cela avait été un autre jour. Sur cet instant, où elle t’offrait un repas, tu pouvais faire l’effort de daigner répondre. Avec un peu de détails. Sans non plus faire de grand discours.
- J’ai pris toutes les matières d’la filière. Management du sport en principale. Physiologie & Anatomie ainsi qu’d’l’anglais en s’condaires. Danse et Badmington pour les sports.
Tu ne lui retournas pas la question. Pas vraiment de politesse de ta part. Et puis tu t’en fichais comme de ta première droite. Peut-être pas la première. Tu t’en souviens très bien. Ce bruit de phalanges s’abatant sur la joue, la vision du sang s’échappant de la bouche, l’odeur de la peur de ta cible. Disons alors la deuxième, beaucoup moins présente dans ton esprit. Le konbini est juste devant.
Pourtant, tu retrouves comme un con, la monnaie dans la main. Bien qu’elle te paye la bouffe, tu ne peux t’empêcher de rester fixer sur la première partie de sa phrase. Il était peu facile de t’émouvoir ou de te toucher sentimentalement. Elle venait pourtant de le réussir sans le moindre problème. Tu ne l’écoutais même plus, en proie à un tourment intérieur. Tu pris un peu de temps avant de la suivre à l’intérieur.
Elle savait déjà ce qu’elle voulait, comparé à toi. Surtout que ta faim s’éteignait un peu, à mesure que tu prenais conscience de ce que tu faisais. Cela pourrait être un mensonge, de sa part. pour t’apitoyer. Ce ne serait pas la première fois qu’on tentait à ton encontre. Tu avais commencé à développer une bonne capacité à devenir les menteurs. Ce qui n’était clairement pas son cas. Ronchonnant et jurant à voix basse, tu déambulas pour te prendre de quoi manger, avant que ton regard ne se porte sur un objet, dans un rayon à part.
Le ding de la porte automatique annonce ta sortie, alors que tu la rejoins à quelques pas de là. Une fois à sa hauteur, tu détournes le regard, la bouche fourrée d’un onigiri. Vers elle, tu tends une main contenant l’argent qu’elle t’avait prêtée, ainsi qu’une petite canne dotée d’un plumeau multicolore. Si elle cherchait à te dévisager, elle y verrait sans doute un léger pourpre sur les joues, que tu n’arrivais pas à faire partir.
- Hum… Il… Le chat… S’appelle comment ?
Tu te serais presque mis à siffloter sur le chemin, en direction du konbini, alors qu’elle peinait à te suivre. Pour te faire ralentir, elle te posa une question. Anodine, simple. Que tu aurais sans doute envoyé péter si cela avait été un autre jour. Sur cet instant, où elle t’offrait un repas, tu pouvais faire l’effort de daigner répondre. Avec un peu de détails. Sans non plus faire de grand discours.
- J’ai pris toutes les matières d’la filière. Management du sport en principale. Physiologie & Anatomie ainsi qu’d’l’anglais en s’condaires. Danse et Badmington pour les sports.
Tu ne lui retournas pas la question. Pas vraiment de politesse de ta part. Et puis tu t’en fichais comme de ta première droite. Peut-être pas la première. Tu t’en souviens très bien. Ce bruit de phalanges s’abatant sur la joue, la vision du sang s’échappant de la bouche, l’odeur de la peur de ta cible. Disons alors la deuxième, beaucoup moins présente dans ton esprit. Le konbini est juste devant.
Pourtant, tu retrouves comme un con, la monnaie dans la main. Bien qu’elle te paye la bouffe, tu ne peux t’empêcher de rester fixer sur la première partie de sa phrase. Il était peu facile de t’émouvoir ou de te toucher sentimentalement. Elle venait pourtant de le réussir sans le moindre problème. Tu ne l’écoutais même plus, en proie à un tourment intérieur. Tu pris un peu de temps avant de la suivre à l’intérieur.
Elle savait déjà ce qu’elle voulait, comparé à toi. Surtout que ta faim s’éteignait un peu, à mesure que tu prenais conscience de ce que tu faisais. Cela pourrait être un mensonge, de sa part. pour t’apitoyer. Ce ne serait pas la première fois qu’on tentait à ton encontre. Tu avais commencé à développer une bonne capacité à devenir les menteurs. Ce qui n’était clairement pas son cas. Ronchonnant et jurant à voix basse, tu déambulas pour te prendre de quoi manger, avant que ton regard ne se porte sur un objet, dans un rayon à part.
Le ding de la porte automatique annonce ta sortie, alors que tu la rejoins à quelques pas de là. Une fois à sa hauteur, tu détournes le regard, la bouche fourrée d’un onigiri. Vers elle, tu tends une main contenant l’argent qu’elle t’avait prêtée, ainsi qu’une petite canne dotée d’un plumeau multicolore. Si elle cherchait à te dévisager, elle y verrait sans doute un léger pourpre sur les joues, que tu n’arrivais pas à faire partir.
- Hum… Il… Le chat… S’appelle comment ?
- InvitéInvité
Omi
La bouffe, c'est sacré
19 Août
Franchement, les apparences et les caractères peuvent être vraiment trompeurs. L'imaginer avec autant de matières, avec même une option en anglais... je suis soufflée. Je ne lui dis rien de plus : soit j'aurais l'air d'une idiote impressionnée, soit j'aurais l'air d'une idiote impressionnée.
Je sors avec mes petites courses, et croque dans un de mes nikuman, quand j'entends la sonnette du magasin. J'ai failli partir en pensant que l'affaire était réglé, et que je pouvais passer à autre chose, mais voilà qu'il me tend mon argent, avec un petit plumeau.
Mon visage s'éclaircit alors que je range l'argent dans ma poche, et agite le petit plumeau devant moi « Merci pour le jouet ! » Mes yeux se lèvent sur son visage, et je peux y percevoir une pointe de rougeur sur les joues !
« Il... il s'app-ppelle Michi ! Il s'app-ppelle comme ça, parce qu'on les a sauvés, lui et sa mère sur le bas-côté de la route. Les voitures klaxonnés, et ont failli les écraser... Heureusement, un courageux a bloqué la route avec son vélo. J'ai du attrap-per la mère avec mon man... Fin bref, c'est tout une histoire ! »
L'histoire de ce sauvetage m'a montrée que peu donnaient de l'importance aux animaux errants. Il y a encore des pratiquants du TNR, au sein des vétérinaire de la ville, heureusement. Je range le plumeau dans le petit sac de courses, et lui demande gentiment :
« J'ai des photos si tu veux ? »
Je sors mon téléphone de ma main libre, le delock, et on peut le voir en fond d'écran. Peut-être qu'il va m'envoyer bouler et ne pas vouloir des photos de lui, j'en sais rien. Mais je suis folle de ce chat.
On a peut-être trouver une terrain d'entente.
code by emmeJe sors avec mes petites courses, et croque dans un de mes nikuman, quand j'entends la sonnette du magasin. J'ai failli partir en pensant que l'affaire était réglé, et que je pouvais passer à autre chose, mais voilà qu'il me tend mon argent, avec un petit plumeau.
Mon visage s'éclaircit alors que je range l'argent dans ma poche, et agite le petit plumeau devant moi « Merci pour le jouet ! » Mes yeux se lèvent sur son visage, et je peux y percevoir une pointe de rougeur sur les joues !
« Il... il s'app-ppelle Michi ! Il s'app-ppelle comme ça, parce qu'on les a sauvés, lui et sa mère sur le bas-côté de la route. Les voitures klaxonnés, et ont failli les écraser... Heureusement, un courageux a bloqué la route avec son vélo. J'ai du attrap-per la mère avec mon man... Fin bref, c'est tout une histoire ! »
L'histoire de ce sauvetage m'a montrée que peu donnaient de l'importance aux animaux errants. Il y a encore des pratiquants du TNR, au sein des vétérinaire de la ville, heureusement. Je range le plumeau dans le petit sac de courses, et lui demande gentiment :
« J'ai des photos si tu veux ? »
Je sors mon téléphone de ma main libre, le delock, et on peut le voir en fond d'écran. Peut-être qu'il va m'envoyer bouler et ne pas vouloir des photos de lui, j'en sais rien. Mais je suis folle de ce chat.
On a peut-être trouver une terrain d'entente.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Tu acquiesces légèrement quand elle te remercie pour le jouet et le range dans son sac. Elle semblait perturbée par ta nouvelle attitude. En même temps, qui ne le serait pas ? Avec tous tes discours, tes manières d’être et ton caractère, deviner que tu serais ainsi en évoquant des animaux, rendrait la personne propulsée au rang de devin légendaire. Tu adores les animaux. Tu n’en as jamais eu à la maison, faute de pouvoir t’en occuper convenablement. Elle avait parlé d’adoption et tu trouvais cela formidable. Chose que tu feras quand tu auras les moyens d’en assumer.
Tu l’écoutes donc en parler. Michi. En rapport avec le fait qu’elle l’a sauvé sur le bas-côté d’une route. Avec sa mère. Cela t’en mettrait presque la larme à l’œil. Si tu étais encore capable de pleurer. Enfin, biologiquement, c’est possible. Il y a juste que très peu d’évènements qui seraient capable d’une telle prouesse. Ce serait à marquer d’une pierre blanche, une photo à faire pour marquer le coup. Si quelqu’un est là pour voir cela.
- Toujours des types exceptionnels les cyclistes...
Tu te jetais littéralement des fleurs au visage. Pouvait elle le savoir ? Aucunement, il y a peu de gens sur le campus qui connaissent l’amour que tu as pour le vélo. Autant de gens qui te connaissent et te côtoient en somme. Peut-être quelques-uns de plus qui t’ont vu faire des tours de temps à autres. Mais cela lui mettait cette citation en tête. Qui la ferait sans doute rire si elle te croise sur ta monture un jour. Ou l’effraierait, vu ce qu’il s’est passé précédemment entre vous.
Bien que ton visage ne bougeât pas, tes yeux s’illuminèrent quand elle parla de montrer des photos. Son téléphone jaillit et tu ne pus que fondre face à la petite bouille du chat qu’elle se mettait à te montrer. A force de le voir, de l’entendre en parler avec cette gentillesse, des questions se bousculaient en toi. Une seule retint ton attention. Fait étrange, tu allais t’intéresser à une personne de ton propre chef, sans qu’on t’y pousse.
- Pourquoi t’étais d’mauvaise humeur tout à l’heure ? J’suis quasi sur qu’c’était pas d’ma faute.
Tu pouvais éveiller des sentiments différents chez autrui. Peur, colère, tristesse et tu en passes. Mais ceux qu’elle avait dans les yeux étaient tournés vers quelque chose ou quelqu’un d’autre. Et au vu de son attitude maintenant, de ce qu’elle semble être, tu ne peux imaginer la voir autrement. Encore moins dans un état comme précédent. Avais-tu porter ta violence face à la mauvaise personne ?
Tu l’écoutes donc en parler. Michi. En rapport avec le fait qu’elle l’a sauvé sur le bas-côté d’une route. Avec sa mère. Cela t’en mettrait presque la larme à l’œil. Si tu étais encore capable de pleurer. Enfin, biologiquement, c’est possible. Il y a juste que très peu d’évènements qui seraient capable d’une telle prouesse. Ce serait à marquer d’une pierre blanche, une photo à faire pour marquer le coup. Si quelqu’un est là pour voir cela.
- Toujours des types exceptionnels les cyclistes...
Tu te jetais littéralement des fleurs au visage. Pouvait elle le savoir ? Aucunement, il y a peu de gens sur le campus qui connaissent l’amour que tu as pour le vélo. Autant de gens qui te connaissent et te côtoient en somme. Peut-être quelques-uns de plus qui t’ont vu faire des tours de temps à autres. Mais cela lui mettait cette citation en tête. Qui la ferait sans doute rire si elle te croise sur ta monture un jour. Ou l’effraierait, vu ce qu’il s’est passé précédemment entre vous.
Bien que ton visage ne bougeât pas, tes yeux s’illuminèrent quand elle parla de montrer des photos. Son téléphone jaillit et tu ne pus que fondre face à la petite bouille du chat qu’elle se mettait à te montrer. A force de le voir, de l’entendre en parler avec cette gentillesse, des questions se bousculaient en toi. Une seule retint ton attention. Fait étrange, tu allais t’intéresser à une personne de ton propre chef, sans qu’on t’y pousse.
- Pourquoi t’étais d’mauvaise humeur tout à l’heure ? J’suis quasi sur qu’c’était pas d’ma faute.
Tu pouvais éveiller des sentiments différents chez autrui. Peur, colère, tristesse et tu en passes. Mais ceux qu’elle avait dans les yeux étaient tournés vers quelque chose ou quelqu’un d’autre. Et au vu de son attitude maintenant, de ce qu’elle semble être, tu ne peux imaginer la voir autrement. Encore moins dans un état comme précédent. Avais-tu porter ta violence face à la mauvaise personne ?
- InvitéInvité
Omi
La bouffe, c'est sacré
19 Août
Même si j'ai toujours mal au cœur, même si je le sens brûler au fond de ma poitrine... cette pause avec ce garçon pas si patibulaire me change vaguement les idées. Ce qu'il dit sur les cyclistes, me fait doucement sourire :
« Surtout lui ! Il m'a aidé à les ramener au vétérinaire, et maintenant, je suis en stage là-bas ! »
Sans lui, sans son aide, je ne me serai jamais arrêté pour voir ce qu'il s'est passé. J'aurai passé mon chemin, concentrée sur autre chose. Mais son appel à l'aide, en plus des feulements, m'avait fait réagir plus vite que je ne l'aurais pensé.
Je continue de switch les photos, j'ai un dossier spécialement pour lui, où on le voit s'étirer, se cacher derrière des flippers, dormir les quatre fers en l'air, une sur mon épaule, d'en dessous du faux plafond en pexiglas, et j'en passe.
Sa question me fait relever les yeux vers lui, avant de les rabaisser presque aussi vite, toujours un peu honteuse quand je pète les plombs à cause de la colère. C'est toujours pareil, je blesse ceux autour de moi, et je regrette mes gestes.
« Une amie a été agressée hier soir »
C'est de ta faute tonne encore mon cerveau.
code by emme« Surtout lui ! Il m'a aidé à les ramener au vétérinaire, et maintenant, je suis en stage là-bas ! »
Sans lui, sans son aide, je ne me serai jamais arrêté pour voir ce qu'il s'est passé. J'aurai passé mon chemin, concentrée sur autre chose. Mais son appel à l'aide, en plus des feulements, m'avait fait réagir plus vite que je ne l'aurais pensé.
Je continue de switch les photos, j'ai un dossier spécialement pour lui, où on le voit s'étirer, se cacher derrière des flippers, dormir les quatre fers en l'air, une sur mon épaule, d'en dessous du faux plafond en pexiglas, et j'en passe.
Sa question me fait relever les yeux vers lui, avant de les rabaisser presque aussi vite, toujours un peu honteuse quand je pète les plombs à cause de la colère. C'est toujours pareil, je blesse ceux autour de moi, et je regrette mes gestes.
« Une amie a été agressée hier soir »
C'est de ta faute tonne encore mon cerveau.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
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❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Bon, pas sûr que tu en aurais fais tout autant. A tous les coups, des automobilistes t’auraient gueulé dessus et tu serais allé leur péter la gueule sans plus de sommation. Chacun sa méthode après, tu sais que la tienne a déjà fais ses preuves par le passé.
Ton attention tout entière est focalisée sur le défilement de toutes les photos, pendant qu’elle rumine la question que tu lui as posé. Tu t’intéressais moins à la réponse qu’au chaton finalement. Adorable, sous toutes les formes. Il a une bouille a faire des conneries, griffer des meubles de temps en temps et se cacher derrière un mur pour venir te mordiller un pied qui passerait malencontreusement par là.
Tes sourcils se froncent, ton visage dévie un peu sur le côté, intrigué par une telle réponse. De la fureur, tu pourrais comprendre que tu en ressentes si un proche venait à se faire agresser. Le truc, c’est que toi tu ferais tout pour les retrouver, leur rendre leur monnaie de leur pièce et cela irait mieux. Tu n’irais pas la déverser ailleurs. Surtout que, pour elle, tu la voyais plus effrayé, à chercher à lui offrir un jet au poivre, ou même à pleurer. Mais en colère ainsi ?
- Tu connais ceux qui ont fait ça ?
Une manière indirecte de dire que tu allais t’en occuper. Cela te défoulerait un peu et serait une sorte d’excuse un peu plus prononcé. Voir même, en ramener pour qu’il s’excuse à genoux devant elles. Ça l’ferait. Ton regard s’embrasa et plongea dans celui de Nissa. Prêt à en découdre.
Ton attention tout entière est focalisée sur le défilement de toutes les photos, pendant qu’elle rumine la question que tu lui as posé. Tu t’intéressais moins à la réponse qu’au chaton finalement. Adorable, sous toutes les formes. Il a une bouille a faire des conneries, griffer des meubles de temps en temps et se cacher derrière un mur pour venir te mordiller un pied qui passerait malencontreusement par là.
Tes sourcils se froncent, ton visage dévie un peu sur le côté, intrigué par une telle réponse. De la fureur, tu pourrais comprendre que tu en ressentes si un proche venait à se faire agresser. Le truc, c’est que toi tu ferais tout pour les retrouver, leur rendre leur monnaie de leur pièce et cela irait mieux. Tu n’irais pas la déverser ailleurs. Surtout que, pour elle, tu la voyais plus effrayé, à chercher à lui offrir un jet au poivre, ou même à pleurer. Mais en colère ainsi ?
- Tu connais ceux qui ont fait ça ?
Une manière indirecte de dire que tu allais t’en occuper. Cela te défoulerait un peu et serait une sorte d’excuse un peu plus prononcé. Voir même, en ramener pour qu’il s’excuse à genoux devant elles. Ça l’ferait. Ton regard s’embrasa et plongea dans celui de Nissa. Prêt à en découdre.
- InvitéInvité
Omi
La bouffe, c'est sacré
19 Août
Sa question me fait lever la tête vers lui ; sa pupille rouge toujours aussi déstabilisante. Sa question suinte de mauvaises attentions, et de conséquences à retardement. La faute ne serait pas effacé du tableau, malgré tout le violence qu'on pourra y mettre pour tenter de l'exterminer.
« Je... pas vraiment »
J'avais croisé ce type et sa meuf au centre commercial, j'ai même j'ai leur visage imprimé sur la rétine. Si je les croisais dans la rue, je les reconnaîtrais probablement. Mais là, je connais juste le quartier où s'est arrivé, dans une ruelle juste à côté de l'endroit où on avait passé la journée.
« C'est de ma faute, je l'ai dit de m'attendre alors qu'elle était seule »
Sans ça, l'agression n'aurait jamais du arriver. Ils ont du nous repérer après ce qui s'était produit plus tôt dans la journée, se dire qu'elle était la cible parfaite pour se venger. Moins de dix minutes ont suffit pour qu'ils s'en prennent à elle.
« Elle l'a mal vécu, et le vit toujours mal. J'ai aucune idée de comment l'aider »
Si elle y parvient ne serait-ce à s'en remettre.
code by emme« Je... pas vraiment »
J'avais croisé ce type et sa meuf au centre commercial, j'ai même j'ai leur visage imprimé sur la rétine. Si je les croisais dans la rue, je les reconnaîtrais probablement. Mais là, je connais juste le quartier où s'est arrivé, dans une ruelle juste à côté de l'endroit où on avait passé la journée.
« C'est de ma faute, je l'ai dit de m'attendre alors qu'elle était seule »
Sans ça, l'agression n'aurait jamais du arriver. Ils ont du nous repérer après ce qui s'était produit plus tôt dans la journée, se dire qu'elle était la cible parfaite pour se venger. Moins de dix minutes ont suffit pour qu'ils s'en prennent à elle.
« Elle l'a mal vécu, et le vit toujours mal. J'ai aucune idée de comment l'aider »
Si elle y parvient ne serait-ce à s'en remettre.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
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❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Il est bien dommage qu’elle ne sache pas de qui il s’agit. Tu aurais pu lui proposer une réconciliation un peu plus percutante. Une manière aussi de l’aider. A moins qu’elle n’ait pas voulu te le dire. Il fallait être complètement stupide et aveugle pour voir que tu cherchais les emmerdes. Capable de les provoquer par toi-même si nécessaire.
Néanmoins, sa phrase suivante te redonna un certain espoir. En quoi il s’agissait de sa faute ? Tu ne pouvais le dire mais tu penses en connaitre la raison. Ce n’était pas la première personne que tu croisais et qui se sentais ainsi après de tels évènements. Cela pourrait s’apparenter à un truc dont on a déjà parlé… Syndrome de celui qui reste ? Non du… Survivant ! Ouais un truc du genre. Se sentir coupable par rapport à d’autres, alors qu’elles n'ont.
- C’est la faute d’ceux qui l’ont agressé. Pas d’la tienne et encore moins d’celle de ton ami.
Cela ne se voulait pas réconfortant. Juste réaliste. Une parole sensée. Dans un tourbillon de mélasse cérébral. Tu sais très bien que cela ne suffirait pas à l’apaiser. Elle allait devoir faire le chemin seul. Bien que, tu saches comment l’aider. A ta manière. Ta main se posa sur son épaule, ta voix commençant à s’exciter un peu.
- Ecoute… Si certains ont b’soin d’temps et d’personnes aimantes à leur côté, j’suis adepte d’une autre méthode… La vengeance. Rendre coup pour coup. Œil pour œil. Tu as dit qu’c’était à un endroit où elle attendait ? J’t’propose qu’on s’y rende. Quand tu veux, heure qu’tu veux. Le soir d’préférence. A toi d’te poster là où elle était. Et on attendra. Autant d’temps qu’il le faut pour que les agresseurs. Sauf qu’tu s’ras pas seul.
Ton sourire s’élargit pour devenir de plus en plus en carnassier. Une belle petite fête en perspective. Pour toi. Elle, elle risquait de se morfondre un peu plus, à ressentir la peur qu’a eu son ami en l’attendant. Il est possible aussi qu’elle prenne plaisir à la venger, à les faire souffrir autant. On ne peut savoir ce que l’on pourra ressentir avant de l’avoir testé.
Néanmoins, sa phrase suivante te redonna un certain espoir. En quoi il s’agissait de sa faute ? Tu ne pouvais le dire mais tu penses en connaitre la raison. Ce n’était pas la première personne que tu croisais et qui se sentais ainsi après de tels évènements. Cela pourrait s’apparenter à un truc dont on a déjà parlé… Syndrome de celui qui reste ? Non du… Survivant ! Ouais un truc du genre. Se sentir coupable par rapport à d’autres, alors qu’elles n'ont.
- C’est la faute d’ceux qui l’ont agressé. Pas d’la tienne et encore moins d’celle de ton ami.
Cela ne se voulait pas réconfortant. Juste réaliste. Une parole sensée. Dans un tourbillon de mélasse cérébral. Tu sais très bien que cela ne suffirait pas à l’apaiser. Elle allait devoir faire le chemin seul. Bien que, tu saches comment l’aider. A ta manière. Ta main se posa sur son épaule, ta voix commençant à s’exciter un peu.
- Ecoute… Si certains ont b’soin d’temps et d’personnes aimantes à leur côté, j’suis adepte d’une autre méthode… La vengeance. Rendre coup pour coup. Œil pour œil. Tu as dit qu’c’était à un endroit où elle attendait ? J’t’propose qu’on s’y rende. Quand tu veux, heure qu’tu veux. Le soir d’préférence. A toi d’te poster là où elle était. Et on attendra. Autant d’temps qu’il le faut pour que les agresseurs. Sauf qu’tu s’ras pas seul.
Ton sourire s’élargit pour devenir de plus en plus en carnassier. Une belle petite fête en perspective. Pour toi. Elle, elle risquait de se morfondre un peu plus, à ressentir la peur qu’a eu son ami en l’attendant. Il est possible aussi qu’elle prenne plaisir à la venger, à les faire souffrir autant. On ne peut savoir ce que l’on pourra ressentir avant de l’avoir testé.
- InvitéInvité
Omi
La bouffe, c'est sacré
19 Août
Les yeux droit dans les siens, je l'entends bien me dire, non, ce n'est pas de ta faute. Mais une partie de moi lui fait barrage, s'insinue dans mes pensées et me met face à la faute. Bien évidemment, ce n'est pas la faute de ma copine.
« J'sais mais c'est compliqué à assimiler, avec le fait de l'avoir laissé seule »
La main sur mon épaule, je me crispe quelques instants. Ce qu'il me dit, éveille une partie en moi pensée inexistante. Peut-être est-ce parce qu'aucune de mes fréquentations a subi quelque chose d'aussi dégradant. Que je n'ai jamais vu autant de détresse dans leur regard.
« Ils risquent d'opérer ailleurs, non ? Les agresseurs reviennent rarement au même endroit ? Je t'avoue que j'en sais pas grand chose, à part qu'avant l'agression, on les as croisés un peu violemment au centre commercial pas loin de la ruelle »
Tout en mangeant ma bouchée au porc, mon cerveau se pointe sur la légèreté du kōban du quartier, qui nous ont dit un truc du genre “Désolé, ce n'est pas juridiction”. Si ça se trouve, c'est quelque chose d'assez commun, et que personne ne sévit.
« On pourrait peut-être y aller ce soir, c'est arrivé à 20 heures ? »
Je sens mon sang bouillir dans mes veines.
code by emme« J'sais mais c'est compliqué à assimiler, avec le fait de l'avoir laissé seule »
La main sur mon épaule, je me crispe quelques instants. Ce qu'il me dit, éveille une partie en moi pensée inexistante. Peut-être est-ce parce qu'aucune de mes fréquentations a subi quelque chose d'aussi dégradant. Que je n'ai jamais vu autant de détresse dans leur regard.
« Ils risquent d'opérer ailleurs, non ? Les agresseurs reviennent rarement au même endroit ? Je t'avoue que j'en sais pas grand chose, à part qu'avant l'agression, on les as croisés un peu violemment au centre commercial pas loin de la ruelle »
Tout en mangeant ma bouchée au porc, mon cerveau se pointe sur la légèreté du kōban du quartier, qui nous ont dit un truc du genre “Désolé, ce n'est pas juridiction”. Si ça se trouve, c'est quelque chose d'assez commun, et que personne ne sévit.
« On pourrait peut-être y aller ce soir, c'est arrivé à 20 heures ? »
Je sens mon sang bouillir dans mes veines.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Elle faisait partie de ceux-là. Il serait bien plus dur pour elle d’oublier tout cet évènement. Au contraire, plus de paranoïa, de surprotection envers son ami. Tu ne pouvais rien y faire et ce ne serait pas à toi de faire en sorte qu’elle aille mieux. Non non, toi, tu voulais juste casser des gueules. Même s’ils sont que deux, cela ira très bien pour compenser toutes cette journée, avec tes heures de colles qu’on t’a refilées. Tu agites rapidement la main.
- Pas ceux qui pensent qu’ils pourraient pas être attrapés. Au choix les meilleurs. Ou les pires. Avec un peu d’chance, ça s’s’rait leur première fois… Ils s’ront téméraires.
Un large sourire, rien qu’à imaginer que tu leur tombes dessus sans qu’ils s’y attendent. Tu jubilais d’avance. Et cela se voyait sur ton visage, ton corps. Tu compressas son épaule sans vraiment t’en rendre compte, avant de la lâcher, évitant de lui occasionner une blessure que tu ne voulais faire. Cependant, elle lâcha une nouvelle information, plus importante encore.
- Au centre commercial ? Pourquoi c’faire chier à attendre 20h ? On a qu’à y aller maintenant ! Si ça s’trouve, on les crois’ra directement ! Plus simple d’les confronter ainsi.
Tu te mis presque à trépigner et engouffra un truc dans ta bouche à la place. Il était préférable que tu te taises maintenant, pour éviter de l’attraper, la porter comme un sac à patate et te rendre directement sur place, malgré les protestations qu’elle pourrait te faire.
- Pas ceux qui pensent qu’ils pourraient pas être attrapés. Au choix les meilleurs. Ou les pires. Avec un peu d’chance, ça s’s’rait leur première fois… Ils s’ront téméraires.
Un large sourire, rien qu’à imaginer que tu leur tombes dessus sans qu’ils s’y attendent. Tu jubilais d’avance. Et cela se voyait sur ton visage, ton corps. Tu compressas son épaule sans vraiment t’en rendre compte, avant de la lâcher, évitant de lui occasionner une blessure que tu ne voulais faire. Cependant, elle lâcha une nouvelle information, plus importante encore.
- Au centre commercial ? Pourquoi c’faire chier à attendre 20h ? On a qu’à y aller maintenant ! Si ça s’trouve, on les crois’ra directement ! Plus simple d’les confronter ainsi.
Tu te mis presque à trépigner et engouffra un truc dans ta bouche à la place. Il était préférable que tu te taises maintenant, pour éviter de l’attraper, la porter comme un sac à patate et te rendre directement sur place, malgré les protestations qu’elle pourrait te faire.
- InvitéInvité
Omi
La bouffe, c'est sacré
19 Août
La ruelle où ça s'est passé est bien imprimé dans ma mémoire. Pourtant, je suis passée plein de fois devant sans que rien ne s'y passe. Alors si ce n'est pas leur lieu de prédilection, ce serait celui du centre commerciale ?
Le mec n'a p-pas fait le malin quand je lui ai fait une clé de bras dans le centre commercial, il va les manger tout cru mais je me souviens que le soir, ils étaient trois, p-pas deux.
« Je les avais jamais croisés. Nouveau ou pas remarqué ? En plus, ils étaient trois le soir de l'incident pas deux. »
Je sens sa main appuyer de plus en plus fort contre mon épaule, comme s'il me cherchait à me la broyer. Et d'un coup plus rien. Je n'ai pas eu à me dégager mais l'idée de leur taper dessus me fait remonter quelques souvenirs de l'altercation d'hier.
Si je vous revois, je vous bute.
J'ai vraiment dit ça, ou aurais-je voulu le dire ? Tout ce qui se passe avant de retrouver Maya n'avait pas beaucoup d'importance dans ma tête. Parce qu'à ce moment-là, elle était le centre de mon univers.
« Le centre commercial, c'est un p-peu trop voyant si une disp-pute éclate, non ? Faudra les forcer à en sortir p-pour les mener p-plus loin »
Je finis mon nikuman, et entame le deuxième, encore tiède.
« On verra sur place je supp-ppose ? Quel transp-port on p-prend ? »
Ai-je vraiment menacer de mort ces types ? Ça me trotte dans la tête cette information. C'était sur le coup de la colère mais en aurais-je été capable si toute mon attention n'était pas sur Maya ?
« Je leur ai dit que si je les revoyais, je les butais... je crois ? »
Je mords dans ma bouchée au porc, ailleurs.
code by emmeLe mec n'a p-pas fait le malin quand je lui ai fait une clé de bras dans le centre commercial, il va les manger tout cru mais je me souviens que le soir, ils étaient trois, p-pas deux.
« Je les avais jamais croisés. Nouveau ou pas remarqué ? En plus, ils étaient trois le soir de l'incident pas deux. »
Je sens sa main appuyer de plus en plus fort contre mon épaule, comme s'il me cherchait à me la broyer. Et d'un coup plus rien. Je n'ai pas eu à me dégager mais l'idée de leur taper dessus me fait remonter quelques souvenirs de l'altercation d'hier.
Si je vous revois, je vous bute.
J'ai vraiment dit ça, ou aurais-je voulu le dire ? Tout ce qui se passe avant de retrouver Maya n'avait pas beaucoup d'importance dans ma tête. Parce qu'à ce moment-là, elle était le centre de mon univers.
« Le centre commercial, c'est un p-peu trop voyant si une disp-pute éclate, non ? Faudra les forcer à en sortir p-pour les mener p-plus loin »
Je finis mon nikuman, et entame le deuxième, encore tiède.
« On verra sur place je supp-ppose ? Quel transp-port on p-prend ? »
Ai-je vraiment menacer de mort ces types ? Ça me trotte dans la tête cette information. C'était sur le coup de la colère mais en aurais-je été capable si toute mon attention n'était pas sur Maya ?
« Je leur ai dit que si je les revoyais, je les butais... je crois ? »
Je mords dans ma bouchée au porc, ailleurs.
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