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- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
Mon personnage
❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
Mardi 10 Juillet
ça faisait un moment qu’Arizona observait le petite manège qui se jouait devant elle. quelque jours qu’elle les observait, un peu dans l’ombre. l’assistante sociale était tombée sur Kazane il y une semaine, mais elle n’était pas seule, la lycéenne se trouvait en charmante compagnie, c’était qui d’abord ce petit gars? et vue leur deux têtes d’imbéciles heureux il y avait fort à parier qu’il y avait de l’amour dans l’air. Évidemment Arizona était contente pour son petit chaton, après tout elle était en âge de connaître les premier frisson amoureux et la lycéenne le méritait amplement, mais est-ce que ce grand dadet méritait l’amour de Kazane? ça elle en était moins sûr.
Alors comme si elle n’avait que ça à faire, Arizona se donna pour mission de les analyser un peu, observer des adolescents dans leur milieu naturel était très très intéressant et constructif aussi, même si un peu trop mielleux pour elle. des sourires, des petits baisers, quelque geste maladroit et beaucoup de gêne. Cette semaine d’observation avait été particulièrement amusante, et vue que sa vie sentimentale à elle était un désastre, autant s’occuper de celle des autres. Si seulement Junko pouvait être aussi adorable que ce gosse! Quoi qu' en y réfléchissant de plus près, s'il agissait comme ce petit, ça ne serait plus vraiment Jun, et du coup elle ne serait plus du tout amoureuse de lui.
Toujours est-il que ce mardi elle décida de rendre une petite visite à sa lycéenne préférée pour lui tirer les vers du nez. Elle décida donc d'aller cueillir la petite fleur directement après les cours. La grande japonaise finissait ses examens à 15h30, c’était parfait, ça lui laissait le temps de la questionner pendant un moment. à 15h30 donc Arizona était adossée au mur juste à côté de la salle de classe de Kazane, attendant sa proie, elle saluait en souriant les lycéens qu’elle connaissait, laissa sortir les première élève, tous commençaient déjà à débriefer sur leur copie et enfin Kazane sortie de la salle, accompagnée de quelques amis.
“Coucou Kazaneeee” Arizona avait presque oublié à quel point la lycéenne était grande, elle lui fit un petit signe la main avant de passer son bras sous le sien et de l’attirer vers elle. “Désolée les gars je vous l’empreinte! promis je vous la rend très vite”dit-elle au petit groupe sans trop leur porter d’attention. “Toi? tu viens avec moi ma jolie! On a un tas de trucs à se dire!”
Sans laisser à la lycéenne la possibilité de répondre, elle l’embarqua avec elle. Arizona savait que si Kazane avait eu la possibilité de la suivre elle aurait sûrement refusé, alors comme à son habitude, Arizona mena la danse. Les deux femmes disparurent, c’était comme si une tornade était passée, aussi vite arrivée, aussi vite partie. En réalité la jeune Syrienne était contente de revoir la japonaise, évidemment il n’y avait pas que son histoire d’amour supposé qu’il intéressait et il était temps de faire le bilan de la discussion qu’elles avaient eu un mois plus tôt.
Une fois arrivée dans son bureau, elle laissa l’adolescente s’installer avant de s'asseoir en face d’elle. “ T’as l’air en pleine forme dit moi…” dit-elle avec un petit sourire complice. les coudes posés sur son grand bureau, elle joint les deux mains. “ très bien Kazane, je ne vais pas passer par quatre chemins : je veux savoir qui, où, comment et quand! je parle bien sûr du charmant jeune homme qui t’accompagne depuis quelque jour.
- tenue d'Arizona:
Citation
- Kazane MitsuguElève ; en 3ème année■ Age : 26■ Messages : 703■ Inscrit le : 12/06/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 17 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-3
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
LES CONFIDENCES DE TATIE ARI Avec Arizona Williams
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Kazane entre au sein de la salle d'examen, son cœur bat la chamade. Elle sent le stress monter en elle, une boule d'angoisse dans son estomac. La jeune lycéenne se force à respirer profondément, tentant de calmer les battements rapides de son cœur.
À l'intérieur de la salle, elle s'assoit à sa place assignée. Les regards attentifs de ses camarades de classe, les surveillants au visage fermés marchant silencieusement dans les allées, tout contribue à augmenter sa tension.
Mitsugu se concentre sur la feuille d'examen devant elle, essayant de faire abstraction du reste.
Le stylo bleu entre ses doigts, elle commence à écrire, les mots se formant sur la page en réponse aux questions posées. Sa main tremble légèrement, révélant son état de nervosité. Pourtant, la demoiselle persévère, se plongeant dans l’épreuve à surmonter.
Les questions se succèdent, certaines plus difficiles que d'autres. Kazane se creuse les méninges, réfléchit intensément, cherche à appliquer ce qu'elle a appris. La jambe droite commence à trembler légèrement, signe de la pression qui pèse sur elle.
Au fil du temps, quelque chose change. La lycéenne s'immerge davantage dans l'examen, les réponses deviennent plus fluides. La concentration remplace progressivement le stress initial. Ses pensées s'organisent, et elle se surprend même à trouver une certaine satisfaction dans la résolution des problèmes.
Lorsque la sonnerie annonce la fin de l'épreuve, la jeune femme ressent un mélange de soulagement et de fierté.
Elle a survécu à l'examen, s'en est sortie au fur et à mesure des questions. La lycéenne quitte la salle avec une lueur de satisfaction dans le regard
Kazane sort de la salle d'examen de chimie, épuisée et stressée pour l’examen du lendemain. Malgré la fatigue, un soulagement la traverse, contente que cette épreuve soit enfin derrière elle.
La fille de Tsushima se dirige vers la cantine pour déguster un plat japonais réconfortant, optant pour un bol de ramen au poulet.
Assise seule à une table, elle savoure son repas tout en envoyant un SMS à Shinji.
-« Coucou Shinji, je t’envoie tout mon courage pour ton examen de Japonais. Je pense à toi. (ˆ⌣ˆԅ) »
Puis, elle change de contact en envoie à Alya
-« Hello Alya-chan ! J'espère que ton examen s'est bien passé ! »
Une fois rassasiée, elle se rend au groupe d'étude pour l'informatique, où elle revisite les concepts et s'entraîne aux exercices jusqu'à 15h30.
Après les révisions, elle sort de la salle accompagnée de quelques amis. Cependant, Arizona, son assistante sociale, l'interpelle avec enthousiasme et l'emporte avec elle, annonçant qu'elles ont beaucoup à se dire.
Kazane, surprise, aurait bien refusé, mais Arizona prend l'initiative et n’a guère le temps de réagir que la naine l’avait déjà amenée dans son antre.
Dans le bureau de l'assistante sociale les deux femmes se font face.
Arizona, avec un sourire complice, remarque l'apparente bonne forme de Kazane et aborde rapidement le sujet qui l'intéresse : la relation de la jeune fille avec un mystérieux jeune homme qui n’est autre qu’Igarashi.
-« T’as l’air en pleine forme, dis-moi… »
Affirme-t'elle, ses coudes sur le bureau, les mains jointes. Mitsugu, en guise de réponse, hausse alors les épaules avec nonchalance.
-« Très bien, Kazane, je ne vais pas passer par quatre chemins : je veux savoir qui, où, comment et quand! Je parle bien sûr du charmant jeune homme qui t’accompagne depuis quelque jour. »
L’adolescente, debout, les bras croisés, réagit avec agacement. Les yeux de Mitsugu lancent des éclairs, témoignant de son irritation face à Arizona. Les premiers mots qui franchissent ses lèvres sont chargés de cette colère contenue.
-« Je ne vais pas passer par quatre chemins : cela ne vous regarde pas, Williams-san. »
La demoiselle s’avance vers le bureau de l’américano-syrienne et claque ses deux poings sur le meuble et met son visage aux niveaux de son interlocutrice.
-« Williams-san, c'est absolument inacceptable. Vous n'avez pas le droit de fouiller dans ma vie privée comme bon vous semble. Je ne suis pas un sujet d'étude ni un cobaye pour tuer votre ennui. Mes relations, mes choix personnels ne regardent que moi. »
Son ton est sec, tranchant, exprimant clairement son désaccord. Kazane, d'habitude si réservée, ne cache pas son agacement. Ses mains, crispées sur le bureau de la femme à la peau de cuivre.
-« Vous n'avez pas à demander des détails sur ma vie amoureuse ou sur qui m'accompagne. Ce n'est pas de vos affaires, Williams-san. Vous êtes mon assistante sociale, pas une espionne. »
Le regard de la jeune lycéenne ne quitte pas celui d'Arizona, déterminé et empreint d'une volonté farouche.
KoalaVolantÀ l'intérieur de la salle, elle s'assoit à sa place assignée. Les regards attentifs de ses camarades de classe, les surveillants au visage fermés marchant silencieusement dans les allées, tout contribue à augmenter sa tension.
Mitsugu se concentre sur la feuille d'examen devant elle, essayant de faire abstraction du reste.
Le stylo bleu entre ses doigts, elle commence à écrire, les mots se formant sur la page en réponse aux questions posées. Sa main tremble légèrement, révélant son état de nervosité. Pourtant, la demoiselle persévère, se plongeant dans l’épreuve à surmonter.
Les questions se succèdent, certaines plus difficiles que d'autres. Kazane se creuse les méninges, réfléchit intensément, cherche à appliquer ce qu'elle a appris. La jambe droite commence à trembler légèrement, signe de la pression qui pèse sur elle.
Au fil du temps, quelque chose change. La lycéenne s'immerge davantage dans l'examen, les réponses deviennent plus fluides. La concentration remplace progressivement le stress initial. Ses pensées s'organisent, et elle se surprend même à trouver une certaine satisfaction dans la résolution des problèmes.
Lorsque la sonnerie annonce la fin de l'épreuve, la jeune femme ressent un mélange de soulagement et de fierté.
Elle a survécu à l'examen, s'en est sortie au fur et à mesure des questions. La lycéenne quitte la salle avec une lueur de satisfaction dans le regard
Kazane sort de la salle d'examen de chimie, épuisée et stressée pour l’examen du lendemain. Malgré la fatigue, un soulagement la traverse, contente que cette épreuve soit enfin derrière elle.
La fille de Tsushima se dirige vers la cantine pour déguster un plat japonais réconfortant, optant pour un bol de ramen au poulet.
Assise seule à une table, elle savoure son repas tout en envoyant un SMS à Shinji.
-« Coucou Shinji, je t’envoie tout mon courage pour ton examen de Japonais. Je pense à toi. (ˆ⌣ˆԅ) »
Puis, elle change de contact en envoie à Alya
-« Hello Alya-chan ! J'espère que ton examen s'est bien passé ! »
Une fois rassasiée, elle se rend au groupe d'étude pour l'informatique, où elle revisite les concepts et s'entraîne aux exercices jusqu'à 15h30.
Après les révisions, elle sort de la salle accompagnée de quelques amis. Cependant, Arizona, son assistante sociale, l'interpelle avec enthousiasme et l'emporte avec elle, annonçant qu'elles ont beaucoup à se dire.
Kazane, surprise, aurait bien refusé, mais Arizona prend l'initiative et n’a guère le temps de réagir que la naine l’avait déjà amenée dans son antre.
Dans le bureau de l'assistante sociale les deux femmes se font face.
Arizona, avec un sourire complice, remarque l'apparente bonne forme de Kazane et aborde rapidement le sujet qui l'intéresse : la relation de la jeune fille avec un mystérieux jeune homme qui n’est autre qu’Igarashi.
-« T’as l’air en pleine forme, dis-moi… »
Affirme-t'elle, ses coudes sur le bureau, les mains jointes. Mitsugu, en guise de réponse, hausse alors les épaules avec nonchalance.
-« Très bien, Kazane, je ne vais pas passer par quatre chemins : je veux savoir qui, où, comment et quand! Je parle bien sûr du charmant jeune homme qui t’accompagne depuis quelque jour. »
L’adolescente, debout, les bras croisés, réagit avec agacement. Les yeux de Mitsugu lancent des éclairs, témoignant de son irritation face à Arizona. Les premiers mots qui franchissent ses lèvres sont chargés de cette colère contenue.
-« Je ne vais pas passer par quatre chemins : cela ne vous regarde pas, Williams-san. »
La demoiselle s’avance vers le bureau de l’américano-syrienne et claque ses deux poings sur le meuble et met son visage aux niveaux de son interlocutrice.
-« Williams-san, c'est absolument inacceptable. Vous n'avez pas le droit de fouiller dans ma vie privée comme bon vous semble. Je ne suis pas un sujet d'étude ni un cobaye pour tuer votre ennui. Mes relations, mes choix personnels ne regardent que moi. »
Son ton est sec, tranchant, exprimant clairement son désaccord. Kazane, d'habitude si réservée, ne cache pas son agacement. Ses mains, crispées sur le bureau de la femme à la peau de cuivre.
-« Vous n'avez pas à demander des détails sur ma vie amoureuse ou sur qui m'accompagne. Ce n'est pas de vos affaires, Williams-san. Vous êtes mon assistante sociale, pas une espionne. »
Le regard de la jeune lycéenne ne quitte pas celui d'Arizona, déterminé et empreint d'une volonté farouche.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
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❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
Arizona sursaute lorsque la lycéenne frappe avec ses mains sur son bureau, elle ne s’attendait pas à une réaction aussi virulente de sa part. Alors l’assistante sociale sourit nerveusement avant de réagir à ce que disait l’adolescente, sourcils relever elle se demandait bien ce que la jeune femme avait bien pu interpréter. Sujet d’étude? Cobaye? qu’est ce qu’elle s’imaginait? Arizona leva les yeux au ciel avant de sourire en soupirant. “Tout doux, ça ne sert à rien de s’énerver comme ça.”
et puisque Kazane avait approché son visage du sien, elle fit la même chose en approchant encore un peu plus sa tête vers celle de la lycéenne.
“Tu sais Kazane ça sert rien de t’approcher de moi de cette façon avec cet air menaçant, j’ai eu à faire de grands méchants loups bien plus impressionnants que toi.” Elle sourit doucement et s’écarta un peu pour s’enfoncer dans son fauteuil. un peu ennuyée.
“J’avais oublié à quel point fallait y mettre les formes pour s’adresser à vous les japonais. L’humour tout ça, c’est vraiment pas votre truc hein….mettons ça sur le stress des examens.”d’un geste de la main, la petite brune invita la Japonaise à s'asseoir. “Allez installe toi s’il te plait, j’ai vraiment énormément de choses à te dire. Quant à ce garçon, on en parlera après… Tu as beau penser que je ne suis que ton assistante sociale, lorsqu’on a discuté il y a un mois tu avais des problématiques importantes à gérer, maintenant que ce jeune homme fait partie de ta vie, il y a des choses que tu dois prendre en compte, des choses très importantes qui t’éviteront de sombrer si ça se passe mal.”
En réalité, Arizona était un peu inquiète pour Kazane. Évidemment l’amour c’était fabuleux, les petits papillons dans le ventre, les gestes tendres, les marques d’affection. on s’y habitue vite, alors quand tout s’arrête c’est très facile de se laisser emporter par la tristesse ou la colère. elle était bien placée pour le savoir. Et surtout, il y a un mois Kazane lui avait parlé de son envie de mourir, alors si l’adolescente se jette à corps perdu dans cette relation, et que ça finit par s’arrêter qui sait dans quel état elle sera. C'était surtout pour ça qu’Arizona les avait observé toute cette semaine, mais ça elle se gardait bien de lui dire. tant pis si elle la détestait en retour.
La petite brune sortit le dossier de Kazane ainsi de de quoi prendre des notes. “ Alors les examens? comment ça se passe.” Elle sourit doucement avant de faire mine se rappeler de quelque chose. “Et le séisme? J’avais complètement oublié hahaha…Pas trop secoué j’espère.”
En vérité elle n’avait pas du tout oublié, et elle n'oubliera sans doute jamais ce jour-là. depuis le tremblement de terre elle n’avait raconté à personne ce qui c’était passé, ni sa blessure cachée par son épaisse frange, ni ses retrouvailles désastreuses avec Junko, ni les heures qu’elle avait passé à errer dans les couloirs comme un corps sans âme. Lorsqu'on lui posait la question, Arizona se contentait de sourire en répondant qu’elle avait trouvé refuge sous son bureau. Et son sourire suffisait à ce qu’on la croit, un peu comme maintenant avec Kazane.
Citation
- Kazane MitsuguElève ; en 3ème année■ Age : 26■ Messages : 703■ Inscrit le : 12/06/2023■ Mes clubs :
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❖ Âge : 17 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-3
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
LES CONFIDENCES DE TATIE ARI Avec Arizona Williams
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L’adolescente, debout, les bras croisés, réagit avec agacement. Son visage trahit une fureur contenue alors que son assistante sociale, Arizona, ne semble pas intimidée. Les deux femmes se font face comme deux lionnes se jaugeant avant de se jeter à la gorge.
L’étrangère, ne voulant pas paraître impressionnée, fit la même chose que Mitsugu en rapprochant sa tête de celle de la lycéenne. Le bureau devint l'arène de leur confrontation, chacune affirmant sa position.
Les yeux de Kazane débordaient de colère, mais également de détermination à ne pas faiblir devant cette assistante sociale qu'elle ne portait guère dans son cœur. Arizona, de son côté, semble presque ennuyée par le comportement rebelle de la jeune fille.
-« Tu sais Kazane, ça ne sert à rien de t'approcher de moi de cette façon avec cet air menaçant. J'ai eu à faire à de grands méchants loups bien plus impressionnants que toi… »
Déclare l’assistante sociale avec un sourire doux, presque sarcastique. Elle s'écarte ensuite un peu, replongeant dans son fauteuil, mais son regard ne faiblit pas.
Kazane maintient son regard, ne montrant aucun signe de recul. Elle refuse de laisser Arizona la déstabiliser. L'assistante sociale, sans se laisser démonter.
Dans le cœur de la demoiselle, une tempête de colère gronde avec une intensité croissante. Chaque mot prononcé par la bureaucrate semble ajouter du bois au feu de sa rage qui couvait dans son cœur.
Le mépris qu'elle ressentait envers son assistante sociale est palpable, une émotion sourde et puissante qui pulse à l'intérieur d'elle-même à chaque fois qu’elle l’aperçoit.
Le faux sourire de cette petite femme, teinté d'une assurance presque agaçante, n'a d'autre effet que d'attiser davantage le ressentiment de la fille de Tsushima. Chaque expression, chaque geste, tout semble calculé pour irriter la lycéenne.
Le mépris qu'elle voue à Arizona est renforcé par cette attitude condescendante.
Williams poursuit avant que son interlocutrice n’ouvre la bouche :
-« Allez, installe-toi s'il te plaît. J'ai vraiment énormément de choses à te dire. Quant à ce garçon, on en parlera après. Tu as beau penser que je ne suis que ton assistante sociale, lorsqu'on a discuté il y a un mois, tu avais des problématiques importantes à gérer. Maintenant que ce jeune homme fait partie de ta vie, il y a des choses que tu dois prendre en compte, des choses très importantes qui t'éviteront de sombrer si ça se passe mal. »
Kazane soupire bruyamment, exprimant ainsi son agacement. Finalement, après quelques instants d'hésitation, elle s'installe, croisant les bras sur sa poitrine et les jambes. Son visage reste fermé, mais ses yeux reflètent toujours une certaine hostilité envers son interlocutrice.
-« Et que dois-je prendre en compte ? Qui vous dit que ce n'est pas qu'un camarade de classe que j'aide sans arrière-pensées romantiques ? Je vous remercie pour votre sollicitude, mais je pense déjà avoir pas mal sombré... Williams-san... Vous savez, pour des cours de manipulation malsaine, je peux regarder Gone Girl... Même si vous êtes pas mal dans le genre. »
Répliqua Kazane, son intonation témoignant de son agacement.
Arizona sort le dossier de la lycéenne et de quoi prendre des notes, montrant qu'elle est prête à entrer dans les détails.
-« Alors, les examens ? Comment ça se passe ? »
Demande-t-elle, toujours souriante mais visiblement attentive à l’adolescente.
La jeune femme répond d'une voix agacée :
-«Vos drones espions ne vous ont pas dit ? Cela se passe mieux que je ne le pensais... À croire que les professeurs, eux, sont compétents ici. »
À la mention du séisme, elle rougit légèrement en pensant à Shinji. Se ressaisissant, elle secoue la tête et répond d'une voix plus posée mais toujours aussi froide :
-« Juste des ecchymoses et une chute ayant blessé mon ego, mais ça va... Et vous ? Vous ne me suiviez pas ce jour là ? Vous aviez une autre victime ? »
Kazane eut un rire bref, sarcastique et quelque peu piquant.
KoalaVolantL’étrangère, ne voulant pas paraître impressionnée, fit la même chose que Mitsugu en rapprochant sa tête de celle de la lycéenne. Le bureau devint l'arène de leur confrontation, chacune affirmant sa position.
Les yeux de Kazane débordaient de colère, mais également de détermination à ne pas faiblir devant cette assistante sociale qu'elle ne portait guère dans son cœur. Arizona, de son côté, semble presque ennuyée par le comportement rebelle de la jeune fille.
-« Tu sais Kazane, ça ne sert à rien de t'approcher de moi de cette façon avec cet air menaçant. J'ai eu à faire à de grands méchants loups bien plus impressionnants que toi… »
Déclare l’assistante sociale avec un sourire doux, presque sarcastique. Elle s'écarte ensuite un peu, replongeant dans son fauteuil, mais son regard ne faiblit pas.
Kazane maintient son regard, ne montrant aucun signe de recul. Elle refuse de laisser Arizona la déstabiliser. L'assistante sociale, sans se laisser démonter.
Dans le cœur de la demoiselle, une tempête de colère gronde avec une intensité croissante. Chaque mot prononcé par la bureaucrate semble ajouter du bois au feu de sa rage qui couvait dans son cœur.
Le mépris qu'elle ressentait envers son assistante sociale est palpable, une émotion sourde et puissante qui pulse à l'intérieur d'elle-même à chaque fois qu’elle l’aperçoit.
Le faux sourire de cette petite femme, teinté d'une assurance presque agaçante, n'a d'autre effet que d'attiser davantage le ressentiment de la fille de Tsushima. Chaque expression, chaque geste, tout semble calculé pour irriter la lycéenne.
Le mépris qu'elle voue à Arizona est renforcé par cette attitude condescendante.
Williams poursuit avant que son interlocutrice n’ouvre la bouche :
-« Allez, installe-toi s'il te plaît. J'ai vraiment énormément de choses à te dire. Quant à ce garçon, on en parlera après. Tu as beau penser que je ne suis que ton assistante sociale, lorsqu'on a discuté il y a un mois, tu avais des problématiques importantes à gérer. Maintenant que ce jeune homme fait partie de ta vie, il y a des choses que tu dois prendre en compte, des choses très importantes qui t'éviteront de sombrer si ça se passe mal. »
Kazane soupire bruyamment, exprimant ainsi son agacement. Finalement, après quelques instants d'hésitation, elle s'installe, croisant les bras sur sa poitrine et les jambes. Son visage reste fermé, mais ses yeux reflètent toujours une certaine hostilité envers son interlocutrice.
-« Et que dois-je prendre en compte ? Qui vous dit que ce n'est pas qu'un camarade de classe que j'aide sans arrière-pensées romantiques ? Je vous remercie pour votre sollicitude, mais je pense déjà avoir pas mal sombré... Williams-san... Vous savez, pour des cours de manipulation malsaine, je peux regarder Gone Girl... Même si vous êtes pas mal dans le genre. »
Répliqua Kazane, son intonation témoignant de son agacement.
Arizona sort le dossier de la lycéenne et de quoi prendre des notes, montrant qu'elle est prête à entrer dans les détails.
-« Alors, les examens ? Comment ça se passe ? »
Demande-t-elle, toujours souriante mais visiblement attentive à l’adolescente.
La jeune femme répond d'une voix agacée :
-«Vos drones espions ne vous ont pas dit ? Cela se passe mieux que je ne le pensais... À croire que les professeurs, eux, sont compétents ici. »
À la mention du séisme, elle rougit légèrement en pensant à Shinji. Se ressaisissant, elle secoue la tête et répond d'une voix plus posée mais toujours aussi froide :
-« Juste des ecchymoses et une chute ayant blessé mon ego, mais ça va... Et vous ? Vous ne me suiviez pas ce jour là ? Vous aviez une autre victime ? »
Kazane eut un rire bref, sarcastique et quelque peu piquant.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
Mon personnage
❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
Arizona roulait des yeux face aux teintés de sarcasme de Kazane, elle ne comprenait pas pourquoi la lycéenne était autant énervée. Mais bon si elle avait besoin de déverser sa colère autant qu’elle le fasse ici. La petite brune écoutait malgré tout attentivement l’adolescente et finalement d’après ce qu’elle lui disait, Kazane avait l’air en forme. Les examens se passaient bien, elle avait l’air d’avoir repris du poil de la bête et surtout elle ne s’était pas dévalorisée une seule fois. Alors l’assistante sociale souriait avec bienveillance malgré les quelques piques lancées à son encontre ici et là. Elle préférait voir l’adolescente rouge de rage contre elle, plutôt qu’elle s’autoflagelle et dans les yeux de la japonaise elle pouvait voir des flammes de vie.
Et puis il a fallu que Kazane évoque le séisme, la lycéenne aurait pu simplement lui dire comment elle l’avait vécu mais elle se permit de lancer quelque pique en retour. qu’est-ce qu’elle faisait ce jour-là hein? cette gamine ne savait pas de quoi elle parlait, elle n’imaginait pas une seule seconde ce qu’elle avait eu à vivre ce jour-là. dans ce bureau. Arizona se remémora tout: l'arrivée de Junko, leur dispute, ses pleurs puis son départ. Le corps de la petite brune réagit sans qu’elle ne puisse réfléchir et ses mains frappèrent fort contre son bureau en bois lustré. Si fort que ses paumes étaient devenues brûlantes. Le bruit du claquement avait installé un silence lourd dans la salle. Le visage de la Syrienne se ferma.
“Tais-toi!” dit-elle, sa voix était haute et son ton ferme. “Tu ne sais pas de quoi tu parles.”
L’assistante sociale ne se gênait pas pour user de méthodes douteuses pour aider les autres, elle n’hésitait pas à les manipuler un peu pour les mener où elle voulait. Mais lorsque c’était à son tour, lorsqu’il fallait qu’elle dévoile ses failles, ses peurs et ses expériences traumatisantes, elle se refermait violemment. Elle demandait aux autres de faire preuve de courage, de parler. Mais elle, elle en était incapable, “fais ce que je dis pas, pas ce que je fais.” Un adage qui lui correspondait tout à fait. les yeux fixés sur ses mains encore brûlantes.
“Et toi Kazane, tu comptes faire quoi hein? tu comptes faire quoi quand tu seras tellement amoureuse de ce garçon que tu n’arriveras même plus à être heureuse sans sa présence? quand respirer un air différent du sien sera devenu insupportable? Quand chacun de ses mots sera attendu avec impatience mais aussi appréhension tel que ne pourra plus penser à autre chose? quand tu te poseras un million de questions parce qu’il a répondu un peu froidement à un message ou qu’il aura pas eu le temps de venir te voir? Qu’est ce que tu feras quand tout l’amour que t’as pour lui te consumera de l’intérieur? Quand tu l’idéalisera tellement que tu ne verras même plus ses défauts? Quand tu seras enfermé dans ta petite bulle de bonheur illusoire.”
Son flot de parole sortait de sa bouche de manière incontrôlée et un sanglot retenu la forçait à prendre une pause. Ses jambes tremblaient sous la table. C’était trop tard pour elle.
“Et tu feras quoi quand il t’aura abandonné? Quand il en aura eu assez? Quand tu auras l’impression de suffoquer parce que tu auras trop pleurer?Quand tu ne pourras plus dormir la nuit parce que le manque sera trop trop fort? Quand il hantera chacune de tes pensées et que toutes tes questions se transformeront en obsession.Quand la douleur sera tellement forte que tu passeras ton temps à vomir tes tripes pour essayer de te soulager? Qu’est ce que feras quand tu aura l’impression de le partout, tout le temps? Quand tu te sentiras tellement vide, quand tu aura l’impression qu’on t’as volé ton âme? Quand les larmes ne couleront plus à force d’avoir trop pleurer? Quand toute émotion aura quitté ton corps? quand tu ne seras plus qu’une enveloppe vide. Quand tu feras absolument tout et n’importe quoi pour oublier et tenter d’anesthésier la douleur.”
Et toi Ari, qu’est que tu comptes faire? la petite brune était essoufflé, comme vidée de toute énergie. C’était la première fois qu’elle explosait devant quelqu’un. Et il fallait que ce soit devant une lycéenne, quelle honte. elle frotta sa cicatrice au front, séquelle de cette terrible journée, avant de soupirer, las.
“Et puis merde…”
Elle ouvrit un de ses tiroirs pour prendre son paquet de cigarette et son briquet avant de se relever. Elle marcha jusqu'à la fenêtre et l’ouvrit avant d’allumer sa cigarette et de s’accouder la fenêtre qui donnait sur un petit jardin isolé. le regard perdu dans le vide. au moins elle n’avait pas pleurer, mais c’était tout comme.
“Comme ça tu pourras dire qu’en plus d’être incompétente, l'assistante sociale fume dans son bureau. Te gêne surtout pas.”
Citation
- Kazane MitsuguElève ; en 3ème année■ Age : 26■ Messages : 703■ Inscrit le : 12/06/2023■ Mes clubs :
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❖ Chambre/Zone n° : L-3
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LES CONFIDENCES DE TATIE ARI Avec Arizona Williams
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Le bureau d'Arizona résonna du bruit sec des mains frappant violemment contre le bois lustré. Le son s'étala dans le silence pesant de la salle, accentuant l'impact de la colère soudaine de l'assistante sociale. Son visage se ferma, effaçant le sourire habituel de la femme d'origine des sables de l'orient.
-«Tais-toi !»
Ordonna-t-elle d'une voix forte, son ton laissant peu de place à la discussion.
-« Tu ne sais pas de quoi tu parles.»
Kazane soutenait son regard, bien que le soudain accès de colère d'Arizona l'ait quelque peu surprise. En dépit de son attitude de défi, Mitsugu resta silencieuse, écoutant attentivement les paroles lancées avec fureur par l'assistante sociale.
Les paroles d'Arizona s'écoulaient de sa bouche de manière incontrôlée, une loghorrée verbale s'écoulait sur l'adolescente. Les jambes de Williams semblaient flageoler sous la table, et un sanglot retenu marquait chaque pause dans son flot de paroles.
-«Et tu feras quoi quand il t'aura abandonnée ? Quand il en aura eu assez ?»
Continua Arizona, déversant un torrent de craintes et de préoccupations. Les paroles résonnaient dans l'esprit de Kazane, qui imaginait le pire scénario possible : Shinji la quittant, la trompant, l'abandonnant.. La remplaçant. Une boule de stress se forma dans sa gorge et son coeur se ressera dans sa poitrine, mais la japonaise tint bon, gardant son visage fermé, une expression de colère maîtrisée... Mais, l'idée ferait surement son chemin dans son esprit... La fille de Tsushima verrait cela plus-tard, ce n'est pas comme si l'abandon et se faire remplacer n'avait pas été des sensations plus que connue par la demoiselle.
-«Et puis merde...»
Souffla-t-elle comme conclusion à son torrent qui semblait libérateur pour la femme.
La bureaucrate frotta sa cicatrice au front, témoignant du poids des souvenirs qui semblaient la hanter.
Elle se leva et se dirigea vers la fenêtre, ouvrant le battant pour laisser entrer un peu d'air. Elle vissa sur ses lèvres une cigarette avant de l'embraser, s'accoudant à la fenêtre, son regard perdu dans le vide.
-«Comme ça tu pourras dire qu’en plus d’être incompétente, l'assistante sociale fume dans son bureau. Te gêne surtout pas.»
Souffla-t-elle avant de prendre une bouffée de nicotine.
Kazane se leva également et se dirigea vers la fenêtre, s'accoudant à côté d'Arizona. Les deux femmes partageaient un moment de silence contemplatif, observant le petit jardin isolé.
-«C'est du vécu, tout ça n'est-ce pas ?»
Murmura Mitsugu, rompant le silence.
Elle soupira et ajouta, d'une voix moins agressive mais toujours déterminée :
-«Pour votre cigarette, je m'en fiche. C'est votre cancer du poumon, pas le mien. Et de toute façon, si j'ai un problème avec vous, je vous le dirai en face.»
Kazane haussa les épaules, tournant son visage vers Arizona, plantant son regard dans le sien.
-«Comme la dernière fois, c'est le moment où vous me mettez à la porte parce que vous ne voulez pas qu'une gamine vous voie dans un moment de détresse ?»
Lâcha-t-elle, attendant la réponse de l'assistante sociale.
KoalaVolant-«Tais-toi !»
Ordonna-t-elle d'une voix forte, son ton laissant peu de place à la discussion.
-« Tu ne sais pas de quoi tu parles.»
Kazane soutenait son regard, bien que le soudain accès de colère d'Arizona l'ait quelque peu surprise. En dépit de son attitude de défi, Mitsugu resta silencieuse, écoutant attentivement les paroles lancées avec fureur par l'assistante sociale.
Les paroles d'Arizona s'écoulaient de sa bouche de manière incontrôlée, une loghorrée verbale s'écoulait sur l'adolescente. Les jambes de Williams semblaient flageoler sous la table, et un sanglot retenu marquait chaque pause dans son flot de paroles.
-«Et tu feras quoi quand il t'aura abandonnée ? Quand il en aura eu assez ?»
Continua Arizona, déversant un torrent de craintes et de préoccupations. Les paroles résonnaient dans l'esprit de Kazane, qui imaginait le pire scénario possible : Shinji la quittant, la trompant, l'abandonnant.. La remplaçant. Une boule de stress se forma dans sa gorge et son coeur se ressera dans sa poitrine, mais la japonaise tint bon, gardant son visage fermé, une expression de colère maîtrisée... Mais, l'idée ferait surement son chemin dans son esprit... La fille de Tsushima verrait cela plus-tard, ce n'est pas comme si l'abandon et se faire remplacer n'avait pas été des sensations plus que connue par la demoiselle.
-«Et puis merde...»
Souffla-t-elle comme conclusion à son torrent qui semblait libérateur pour la femme.
La bureaucrate frotta sa cicatrice au front, témoignant du poids des souvenirs qui semblaient la hanter.
Elle se leva et se dirigea vers la fenêtre, ouvrant le battant pour laisser entrer un peu d'air. Elle vissa sur ses lèvres une cigarette avant de l'embraser, s'accoudant à la fenêtre, son regard perdu dans le vide.
-«Comme ça tu pourras dire qu’en plus d’être incompétente, l'assistante sociale fume dans son bureau. Te gêne surtout pas.»
Souffla-t-elle avant de prendre une bouffée de nicotine.
Kazane se leva également et se dirigea vers la fenêtre, s'accoudant à côté d'Arizona. Les deux femmes partageaient un moment de silence contemplatif, observant le petit jardin isolé.
-«C'est du vécu, tout ça n'est-ce pas ?»
Murmura Mitsugu, rompant le silence.
Elle soupira et ajouta, d'une voix moins agressive mais toujours déterminée :
-«Pour votre cigarette, je m'en fiche. C'est votre cancer du poumon, pas le mien. Et de toute façon, si j'ai un problème avec vous, je vous le dirai en face.»
Kazane haussa les épaules, tournant son visage vers Arizona, plantant son regard dans le sien.
-«Comme la dernière fois, c'est le moment où vous me mettez à la porte parce que vous ne voulez pas qu'une gamine vous voie dans un moment de détresse ?»
Lâcha-t-elle, attendant la réponse de l'assistante sociale.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
Mon personnage
❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
Arizona savait qu’elle avait merdé et elle le regrettait déjà, tout lâcher comme ça devant une gamine, s'imprégner personnellement des histoires d’amour d’une lycéenne, l’assistante sociale se trouvait ridicule et pathétique. La petite brune était de nature impulsive, impulsive dans ses prises de décisions, dans ses gestes et dans ses émotions. Tout lui explosait à la figure tout le temps, sa tristesse, sa joie, sa colère elle était incapable de se contenir, incapable de se concentrer car se flot d’énergie bouillonait de manière continue en elle. Elle avait l’impression de tout ressentir avec une puissance beaucoup trop lourde pour ses épaules.
Au travail elle avait appris à se contenir, à prendre du recule car on avait besoin d’elle, et elle devait être une figure rassurante, une personne saine. Mais aujourd'hui elle s’était laissée aller, le poid sur ses épaules était trop lourd et elle était tombée lamentablement. elle s’était rétamée salement aux pieds d’une enfant. C'était désolant. Arizona avait le regard fixé dans le vide alors que la japonaise l’avait rejoint. Arizona avait peur de la réaction de la jeune femme, elle savait très bien que si elle lui exprimait de la pitié à son égard elle allait fuir. il était hors de question qu’elle ait l’air minable et malheureuse devant qui que soit, qu’on se dise “Oh la pauvre femme, tellement seule et désespéré qu’elle se confie à une lycéenne.” Arizona était une femme forte, forte et indépendante, Arizona ne courbait l’échine devant personne, Arizona gardait le lead, tout le temps et en toute circonstance, personne ne prenait le dessus sur elle, jamais! c’était des choses qu'elle se répétait sans cesse. Et c’est grâce à cela que malgré son tempérament elle arrivait toujours à garder son masque.
Kazane lui demanda si elle avait vécu tout ce qu’elle lui avait raconté était du vécu. C'était le moment pour Arizona de remettre son masque. En tout cas Kazane avait réussi à la pousser dans ses retranchements, il fallait au moins lui reconnaitre ça. Arizona sourit doucement en regardant.
“Tu m’as bien regardé? j’ai l’air d’’être une femme à qui on brise le coeur? franchement qui aurait le culot de faire ça?” Elle rit un peu avant d’écraser sa cigarette, elle ferait bien d’arrêter d’ailleurs, sinon comme le dit cette petite, c’était le cancer qui la guettait.”écoute, je suis désolée si tu as eu l’impression que mes actions étaient mal attentionnées, ce n’était pas le cas. je connais les hommes et…” l’assistante sociale ne voulait pas lui sortir le discour de “les hommes sont tous d’horribles bâtards égoïstes”, parce qu’elle savait que ça n’était pas le cas, que c’était juste l’expression de sa colère qui lui faisait penser ça et que dans le fond elle ne le pensait même pas. “ils ont juste une façon différente de penser.”
Arizona retourna s'asseoir à son bureau, invitant l’adolescente à faire de même. “ ce que je veux te dire c’est que j’aimerais que tu te préserves. Je sais qu’être amoureuse c’est fantastique, on a l’impression d’être spéciale aux yeux de quelqu’un, et c’est surement le cas te concernant Kazane. on à l’impression de ressentir des choses qu’on a jamais ressentit avant.” Elle marqua une pause pour faire comprendre à la lycéenne qu’elle savait ce qu’elle ressentait pour l’avoir aussi vécu. “ Le truc c’est que, quand on est amoureux, on est comme dans un petit cocon tout chaud, on ne voit plus rien d’autre et on ne veut plus rien d’autre. on est tellement investi dans la relation que tout le reste n’a plus beaucoup d’importance…et quand tout s’arrête, quand le cocon explose et que la solitude refait surface c’est terrible.”Elle plongea son regard dans celui de Kazane, elle ne parlait plus à une lycéenne, elles avaient une discussion de femme à femme. Une discussion que seules deux femmes peuvent avoir entre elles, car leur sentiment et émotion sont similaires.
“ Je ne te dis pas de ne pas vivre cette relation, au contraire vie la pleinement, savoure chaque instant, délecte toi de chaque moment…mais préserve ton coeur Kazane, il est bien trop précieux. ne te mets pas pas d’oeillère et continue de voir l’immensité du monde.”
Citation
- Kazane MitsuguElève ; en 3ème année■ Age : 26■ Messages : 703■ Inscrit le : 12/06/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 17 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-3
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
LES CONFIDENCES DE TATIE ARI Avec Arizona Williams
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Kazane écoutait attentivement les paroles d'Arizona, chaque mot résonnant en elle comme un sol de cloche dont l'echo se perdait dans les montagnes.
Le regard de l'adolescente était fixé sur le petit jardinet à l'extérieur, mais elle percevait chaque nuance dans la voix de l'assistante sociale. Les émotions s'entendaient dans la voix de la gaijin, oscillant entre la colère et la compréhension.
-«Vous êtes trop émotives pour pas que cela vous ai touché Williams-san... Quelqu'un vous a brisé le coeur.»
La réplique de Mitsugu, directe et sans détour avait pour but de démontrer qu'Arizona ne duperait plus aussi facilement l'adolescente. La tension flottait dans l'air, mais la conversation continuait, naviguant entre l'explication, la compréhension mutuelle et l'échange de conseils.
Quand Arizona évoquait l'amour, la demoiselle se laissait emporter par les souvenirs de ses propres sentiments, des émotions complexes qui l'avaient saisie. La demoiselle ressentait la sincérité dans les paroles d'Arizona, une connexion entre deux femmes partageant une expérience commune malgré la différence d'âge.
Lorsque le discours dévia vers la préservation du cœur, Kazane se laissa envelopper par la gravité des mots. Le regard de l'adolescente, naguère perdu dans la contemplation du jardin, s'ancra dans celui d'Arizona. Une discussion de femme à femme, empreinte d'une bienveillance maternelle. Le silence entre les deux femmes était chargé d'une complicité nouvelle.
Arizona parlait d'immensité, de préservation, de vivre pleinement tout en gardant les yeux ouverts sur le monde.
Les paroles raisonnaient dans l'esprit de Kazane, résonnant avec ses propres incertitudes et peurs.
Kazane hoche la tête, plongée dans ses pensées... Bien qu'elle voulait du sérieux, elle n'était pas certaine que Shinji soit sur la même longueur d'onde qu'elle... La jeune femme craignait qu'il ne la quitte lorsqu'il saurait qu'elle est dépressive ou qu'il la trompe pour une autre femme... Ou un homme vu combien elle avait croisé de relation homosexuelle à Kobe Hight School... Mais que pouvait-elle y faire ?
Rien.
Toujours rien.
Comme souvent, elle est démunie.
Rien... Il n'y a rien à faire.
Toute les bonnes choses ont une fin et l'adolescente se sentait stupide d'avoir pensé qu'il en serait autrement pour elle.
Ses propres parents avaient divorcés. Même une femme aussi belle et malicieuse qu'Arizona avait subit une rupture qui semblait la hanter encore aujourd'hui... Alors pourquoi une imbécile comme elle pouvait échapper à cela ?
Comme lui ont déjà dit Alya et Naoya ensuite, avec une voix emplie de venin : Tu n'es pas le centre du Monde !"
Elle ne pourrait rien faire...
Subir...
Souffrir.
Cette réalisation d'impuissance fit choir les épaules de Kazane qui baissa la tête en même temps, laissant sa chevelure tomber en cascade devant son visage attristé.
Elle répondit tout de même en un souffle :
-«Eh bien... Arrivera ce qui arrivera... Qu'on m'abandonne une fois de plus, qu'on me remplace pour quelqu'un de meilleur... Qu'est-ce que cela change pour moi ? Pour une fois, je goute au bonheur mais je suis consciente qu'il y'a des chances pour qu'il me soit arraché.»
Ses épaules tréssaillent, ses muscles sont tendus. La japonaise semblait porter le fardeau de ses propres pensées, un fardeau qui étreignait son être avec une fermeté implacable, l'étouffant.
Les yeux de l'adolescente, autrefois brulant de rage et de colère s'éteignirent, se métamorphosant en deux éclats de tristesse contenue. Une lueur mouillée s'y installait, comme si chaque pensée exprimée avait ouvert une porte vers un océan de sentiments inexprimés. Ces yeux luisants trahissaient une vulnérabilité enfouie sous la façade habituelle de la force de caractère qui caractérisait tant la jeune femme.
Un soupir, aussi léger qu'un murmure de brise, s'échappa des lèvres de Kazane.
-« Nihil Novi Sub Sol comme le disait Caton l'ancien... c'était un romain je crois... Je devrais relire...»
Articula Mitsugu avec une voix à la fois ferme et teintée de mélancolie. C'était une phrase latine qui l'avait marquée lors d'un de ses cours d'Histoire, une expression de résignation face à la répétition inévitable des événements.
Le regard de Kazane, maintenant fixé sur un point invisible entre ses pieds, semblait éteint.Les échos du passé, les souvenirs douloureux, tout semblait se refléter dans ces yeux, faisant naître des reflets de nostalgie et de regrets.
KoalaVolantLe regard de l'adolescente était fixé sur le petit jardinet à l'extérieur, mais elle percevait chaque nuance dans la voix de l'assistante sociale. Les émotions s'entendaient dans la voix de la gaijin, oscillant entre la colère et la compréhension.
-«Vous êtes trop émotives pour pas que cela vous ai touché Williams-san... Quelqu'un vous a brisé le coeur.»
La réplique de Mitsugu, directe et sans détour avait pour but de démontrer qu'Arizona ne duperait plus aussi facilement l'adolescente. La tension flottait dans l'air, mais la conversation continuait, naviguant entre l'explication, la compréhension mutuelle et l'échange de conseils.
Quand Arizona évoquait l'amour, la demoiselle se laissait emporter par les souvenirs de ses propres sentiments, des émotions complexes qui l'avaient saisie. La demoiselle ressentait la sincérité dans les paroles d'Arizona, une connexion entre deux femmes partageant une expérience commune malgré la différence d'âge.
Lorsque le discours dévia vers la préservation du cœur, Kazane se laissa envelopper par la gravité des mots. Le regard de l'adolescente, naguère perdu dans la contemplation du jardin, s'ancra dans celui d'Arizona. Une discussion de femme à femme, empreinte d'une bienveillance maternelle. Le silence entre les deux femmes était chargé d'une complicité nouvelle.
Arizona parlait d'immensité, de préservation, de vivre pleinement tout en gardant les yeux ouverts sur le monde.
Les paroles raisonnaient dans l'esprit de Kazane, résonnant avec ses propres incertitudes et peurs.
Kazane hoche la tête, plongée dans ses pensées... Bien qu'elle voulait du sérieux, elle n'était pas certaine que Shinji soit sur la même longueur d'onde qu'elle... La jeune femme craignait qu'il ne la quitte lorsqu'il saurait qu'elle est dépressive ou qu'il la trompe pour une autre femme... Ou un homme vu combien elle avait croisé de relation homosexuelle à Kobe Hight School... Mais que pouvait-elle y faire ?
Rien.
Toujours rien.
Comme souvent, elle est démunie.
Rien... Il n'y a rien à faire.
Toute les bonnes choses ont une fin et l'adolescente se sentait stupide d'avoir pensé qu'il en serait autrement pour elle.
Ses propres parents avaient divorcés. Même une femme aussi belle et malicieuse qu'Arizona avait subit une rupture qui semblait la hanter encore aujourd'hui... Alors pourquoi une imbécile comme elle pouvait échapper à cela ?
Comme lui ont déjà dit Alya et Naoya ensuite, avec une voix emplie de venin : Tu n'es pas le centre du Monde !"
Elle ne pourrait rien faire...
Subir...
Souffrir.
Cette réalisation d'impuissance fit choir les épaules de Kazane qui baissa la tête en même temps, laissant sa chevelure tomber en cascade devant son visage attristé.
Elle répondit tout de même en un souffle :
-«Eh bien... Arrivera ce qui arrivera... Qu'on m'abandonne une fois de plus, qu'on me remplace pour quelqu'un de meilleur... Qu'est-ce que cela change pour moi ? Pour une fois, je goute au bonheur mais je suis consciente qu'il y'a des chances pour qu'il me soit arraché.»
Ses épaules tréssaillent, ses muscles sont tendus. La japonaise semblait porter le fardeau de ses propres pensées, un fardeau qui étreignait son être avec une fermeté implacable, l'étouffant.
Les yeux de l'adolescente, autrefois brulant de rage et de colère s'éteignirent, se métamorphosant en deux éclats de tristesse contenue. Une lueur mouillée s'y installait, comme si chaque pensée exprimée avait ouvert une porte vers un océan de sentiments inexprimés. Ces yeux luisants trahissaient une vulnérabilité enfouie sous la façade habituelle de la force de caractère qui caractérisait tant la jeune femme.
Un soupir, aussi léger qu'un murmure de brise, s'échappa des lèvres de Kazane.
-« Nihil Novi Sub Sol comme le disait Caton l'ancien... c'était un romain je crois... Je devrais relire...»
Articula Mitsugu avec une voix à la fois ferme et teintée de mélancolie. C'était une phrase latine qui l'avait marquée lors d'un de ses cours d'Histoire, une expression de résignation face à la répétition inévitable des événements.
Le regard de Kazane, maintenant fixé sur un point invisible entre ses pieds, semblait éteint.Les échos du passé, les souvenirs douloureux, tout semblait se refléter dans ces yeux, faisant naître des reflets de nostalgie et de regrets.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
Mon personnage
❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
Kazane semblait avoir percé à jour l’assistante sociale et en retour les mots d’Arizona semblaient avoir atteint le cœur de Kazane. Il y a des vérité dure à encaisser, des choses qu’on ne contrôle pas, qu’on ne maîtrise pas. et le plus compliqué c’est de continuer à vivre en étant résilient en essayant de ne pas tout contrôler et même temps de continuer à se battre, un équilibre bien compliqué à trouver. Kazane semblait un peu abattue sur sa chaise, elle ressemblait vraiment à une petite fille, le but de l’assistante sociale n’était pas de la blesser, ni de lui faire du mal mais plutôt de la prévenir qu’il fallait qu’elle se protège. Car inévitablement elle allait avoir mal. Les relations amoureuses sont complexes parce qu’elles se vivent à deux et on ne connaît jamais totalement une personne, il y a toujours une part de mystère chez l’autre qui finit un jour par nous exploser à la figure. Il faut simplement apprendre à l’accepter. Il faut également accepter l’évolution des sentiments et être préparé à être déçu par l’autre et même à décevoir.
L’adolescente avait déjà vécu pas mal de choses dans sa courte vie et pourtant elle n’était pas au bout de ses surprises, chaque nouvelle personne qu’on rencontre, à qui on ouvre son cœur, est susceptible de nous faire du mal un jour, même sans le vouloir. Instinctivement Arizona se leva pour s'asseoir sur la chaise à côté de Kazane, instinviement elle l’a pris dans ses bras et la serra contre elle. Ce n’était de la pitié ni même pour la consoler, mais à ce moment-là elle était toute les deux bouleversée par leur émotion et morte de peur, elle avait peur de leur avenir incertain et elles avaient peur de leurs propres sentiments. Elles combattaient toutes les deux leur démons dans un combat qui semblait perdu d’avance. Arizona avait un main dans le dos de l'adolescente et l’autre posé sur la tête de cette dernière, caressant doucement ses cheveux.
“Pour les femmes comme nous Kazane, la vie n’est jamais tranquille. Nous ne sommes pas les petites filles modèles au comportement attendu, les futures petites épouses parfaites, les gentilles petites filles qui restent bien sagement à leur place. Nous ne sommes pas de petites fleures toutes douces, nous ne sommes pas dociles. Nous, on ne courbe l’échine devant personne, nous, on combat de toutes nos forces tout le temps. On lutte sans cesse pour rentrer dans les cases, on nous force à faire taire le feu qui brûle en nous.” Elle s’écarta un peu de Kazane et posa ses mains sur les épaules de la jeune fille. “Ne fait jamais taire ce feu qui brûle en toi, ni l’étincelle qu’il y a dans tes yeux. exprime tes émotions qu’elles soient heureuses ou tristes, sans causer du tort inutilement aux autres. Ne t'excuse jamais d'être qui tu es. Et si c’est trop lourd pour ce garçon ou n’importe qui d’autre, laisse les partir…n’oublies jamais qui tu es Kazane Mitsugu et ceux par quoi tu es passée. essaie juste de laisser un bon souvenir dans le cœur des gens.”
Elle sourit doucement à la lycéenne, finalement elle n’était pas si différente d’elle et elle pouvait comprendre Kazane. Arizona avait certes plus d’expérience mais ça ne voulait pas dire qu’elle n’était pas moins perdue. “Je ne voulais pas te démoraliser Kazane, vis ton histoire pleinement! et si ça se trouve c’est toi qui n’y trouvera plus ton compte et qui finira pas le quitter, ou peut-être que vous allez finir par vous marier et faire beaucoup d’enfants, ou peut-être que vous divorcerez au bout de 20 ans de mariage, ou que tu rencontrera une autre personne de qui tu tomberas follement amoureuse. qui sait? le champs des possibles est infini alors ne te pose pas trop de questions mais attends toi à tout et fais ce qui te semble être juste.” Arizona lança un regard complice à la japonaise. “ Je vais te faire une confidence…Je pense que lui et moi on s’aime encore très fort mais que pour l’instant on a beaucoup de mal à se comprendre et à communiquer. Alors c’est peut-être ridicule de s’acharner comme ça mais je ne peux pas aller contre ce que je ressens.”
Elle s’était plus qu’avec n’importe qui aujourd’hui et avait largement outrepassé son poste d’assistante sociale. Mais Kazane n’était pas une gamine comme les autres, elle avait réussi à la toucher en plein cœur et Arizona n’avait qu’une envie c’était de la protéger, pour que personne ne lui fasse du mal. Elle voulait préserver cette lueur dans ses yeux et sa combativité qu’elle avait déjà remarqué dès leur première rencontre.
“ Ah oui et la chose la plus importante à ne surtout pas oublier. les hommes sont complètement stupides et il ne voit pas plus loin que le bout de leur nez, on est bien plus maligne qu’eux alors n’hésite pas à te servir de cette malice contre eux.”
Arizona rit doucement, Kazane avait clairement le potentiel pour tous les mettre à ses pieds ça serait du gâchis de ne pas exploiter ce potentiel.
Citation
- Kazane MitsuguElève ; en 3ème année■ Age : 26■ Messages : 703■ Inscrit le : 12/06/2023■ Mes clubs :
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❖ Chambre/Zone n° : L-3
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LES CONFIDENCES DE TATIE ARI Avec Arizona Williams
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Arizona se leva du bureau pour s'installer sur la chaise voisine de Kazane. Instinctivement, elle la prit dans ses bras, la serrant contre elle. Une main dans le dos de l'adolescente et l'autre posée sur sa tête, Arizona caressait doucement ses cheveux. Kazane, retenant ses larmes et ses sanglots, gardait la tête baissée, submergée par les pensées d'abandon et les paroles venimeuse d'Alya et Naoya qui faisaient écho à celles subie durant son enfance.
L'assistante sociale reprit la parole d'une voix douce et rassurante :
-« Pour les femmes comme nous, Kazane, la vie n’est jamais tranquille. Nous ne sommes pas les petites filles modèles au comportement attendu, les futures petites épouses parfaites, les gentilles petites filles qui restent bien sagement à leur place. Nous ne sommes pas de petites fleurs toutes douces, nous ne sommes pas dociles. Nous, on ne courbe l’échine devant personne, on combat de toutes nos forces tout le temps. On lutte sans cesse pour rentrer dans les cases, on nous force à faire taire le feu qui brûle en nous.»
Elle s'écarta légèrement de Kazane et posa ses mains sur ses épaules. Levant doucement la tête, la jeune fille planta son regard dans celui d'Arizona.
-« Ne fais jamais taire ce feu qui brûle en toi, ni l’étincelle qu’il y a dans tes yeux. Exprime tes émotions, qu’elles soient heureuses ou tristes, sans causer du tort inutilement aux autres. Ne t'excuse jamais d'être qui tu es. Et si c’est trop lourd pour ce garçon ou n’importe qui d’autre, laisse-les partir… N’oublie jamais qui tu es, Kazane Mitsugu, et ceux par quoi tu es passée. Essaie juste de laisser un bon souvenir dans le cœur des gens.»
Arizona sourit doucement à la lycéenne, cherchant à la comprendre. Elle ajouta :
-« Je ne voulais pas te démoraliser, Kazane. Vis ton histoire pleinement ! Et si ça se trouve, c’est toi qui n’y trouvera plus ton compte et qui finira par le quitter, ou peut-être que vous allez finir par vous marier et faire beaucoup d’enfants, ou peut-être que vous divorcerez au bout de 20 ans de mariage, ou que tu rencontreras une autre personne de qui tu tomberas follement amoureuse. Qui sait ? Le champ des possibles est infini, alors ne te pose pas trop de questions, mais attends-toi à tout et fais ce qui te semble être juste.»
La lycéenne, luttant contre ses émotions, gardait son regard ferme. Arizona lança un regard complice à la jeune fille, essayant de la réconforter.
-« Je vais te faire une confidence… Je pense que lui et moi on s’aime encore très fort, mais que pour l’instant on a beaucoup de mal à se comprendre et à communiquer. Alors c’est peut-être ridicule de s’acharner comme ça, mais je ne peux pas aller contre ce que je ressens.»
Le regard de Kazane devint acéré, et elle répondit sans détour :
-« Williams-san, pourquoi ne pas aller le voir directement et lui dire ? Vous perdez un temps fou à vous tourner autour...»
Arizona reprit :
-« Ah oui, et la chose la plus importante à ne surtout pas oublier. Les hommes sont complètement stupides et ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. On est bien plus malignes qu’eux, alors n’hésite pas à te servir de cette malice contre eux.»
Elle rit doucement.
Kazane s'éloigna, son œil trahissait de la colère, et elle ne put s'empêcher de répliquer :
-«Wow, pendant un instant j'ai eu envie de vous prendre mans mes bras... Mais, votre dernier conseil est digne d'une veuve noire... Une relation amoureuse, c'est de la confiance, pas qui sera le plus fourbe et manipulateur... Kuso ! Vous avez une vision tellement toxique des couples...»
Les mots d'Arizona, évoquant la manipulation des hommes, résonnaient douloureusement dans l'esprit de Kazane. La jeune lycéenne sentit la colère monter en elle, alimentée par le souvenir douloureux de sa mère, utilisant des stratagèmes sournois pour manipuler son père.
Ses yeux s'emplirent de larmes, et son visage rougit sous l'effet d'une rage contenue depuis trop longtemps.
Les larmes commencèrent à couler le long de ses joues. Malgrés tous ses efforts, la demoiselle se sentit submergée par une vague de tristesse et de colère. Ses sanglots, contenus jusque-là, laissèrent place à une voix brûlante, trahissant toute la détresse et la colère qui avait été enfouie en elle.
-«Pourquoi... pourquoi faut-il toujours manipuler les autres ?»
Hurla-elle, sa voix éraillée par l'émotion.
-«C'est à cause de ce genre de conseils que ma mère a détruit ma famille. Elle a manipulé mon père, elle a manipulé tout le monde. Et maintenant, on me suggère de faire la même chose ?! Je refuse...»
Kazane ne pouvait contenir sa colère et sa douleur. Ses poings se serrèrent, tremblant de frustration. La vision du passé, où sa mère avait joué avec les sentiments de son père, était une blessure encore ouverte dans le cœur de la jeune femme. Arizona, malgré sa bonne intention, avait involontairement touché une corde sensible.
-«Une relation, ce n'est pas censé être fondé sur la manipulation, sur qui sera le plus rusé ! C'est censé avoir comme fondation la confiance, la compréhension, l'amour vrai ! Pourquoi est-ce si difficile à comprendre ?»
S'écria Kazane, son regard empli d'une détermination inébranlable. Elle saisit les épaules de la syrienne la regardant dans les yeux avec un regard brulant. Ses yeux étaient des poignard chauffés à blanc planté dans les prunelles de l'assistante sociale
Les larmes continuaient de couler, mais l'adolescente refusait de faiblir. Elle avait enduré trop de souffrances liées aux manigances de sa mère pour que qui que ce soit ne puisse lui intimer de faire pareil.
-«Et le pire ! C'est que je suis certaine qu'au fond... Vous valez mieux que ça, Williams-san.»
KoalaVolantL'assistante sociale reprit la parole d'une voix douce et rassurante :
-« Pour les femmes comme nous, Kazane, la vie n’est jamais tranquille. Nous ne sommes pas les petites filles modèles au comportement attendu, les futures petites épouses parfaites, les gentilles petites filles qui restent bien sagement à leur place. Nous ne sommes pas de petites fleurs toutes douces, nous ne sommes pas dociles. Nous, on ne courbe l’échine devant personne, on combat de toutes nos forces tout le temps. On lutte sans cesse pour rentrer dans les cases, on nous force à faire taire le feu qui brûle en nous.»
Elle s'écarta légèrement de Kazane et posa ses mains sur ses épaules. Levant doucement la tête, la jeune fille planta son regard dans celui d'Arizona.
-« Ne fais jamais taire ce feu qui brûle en toi, ni l’étincelle qu’il y a dans tes yeux. Exprime tes émotions, qu’elles soient heureuses ou tristes, sans causer du tort inutilement aux autres. Ne t'excuse jamais d'être qui tu es. Et si c’est trop lourd pour ce garçon ou n’importe qui d’autre, laisse-les partir… N’oublie jamais qui tu es, Kazane Mitsugu, et ceux par quoi tu es passée. Essaie juste de laisser un bon souvenir dans le cœur des gens.»
Arizona sourit doucement à la lycéenne, cherchant à la comprendre. Elle ajouta :
-« Je ne voulais pas te démoraliser, Kazane. Vis ton histoire pleinement ! Et si ça se trouve, c’est toi qui n’y trouvera plus ton compte et qui finira par le quitter, ou peut-être que vous allez finir par vous marier et faire beaucoup d’enfants, ou peut-être que vous divorcerez au bout de 20 ans de mariage, ou que tu rencontreras une autre personne de qui tu tomberas follement amoureuse. Qui sait ? Le champ des possibles est infini, alors ne te pose pas trop de questions, mais attends-toi à tout et fais ce qui te semble être juste.»
La lycéenne, luttant contre ses émotions, gardait son regard ferme. Arizona lança un regard complice à la jeune fille, essayant de la réconforter.
-« Je vais te faire une confidence… Je pense que lui et moi on s’aime encore très fort, mais que pour l’instant on a beaucoup de mal à se comprendre et à communiquer. Alors c’est peut-être ridicule de s’acharner comme ça, mais je ne peux pas aller contre ce que je ressens.»
Le regard de Kazane devint acéré, et elle répondit sans détour :
-« Williams-san, pourquoi ne pas aller le voir directement et lui dire ? Vous perdez un temps fou à vous tourner autour...»
Arizona reprit :
-« Ah oui, et la chose la plus importante à ne surtout pas oublier. Les hommes sont complètement stupides et ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. On est bien plus malignes qu’eux, alors n’hésite pas à te servir de cette malice contre eux.»
Elle rit doucement.
Kazane s'éloigna, son œil trahissait de la colère, et elle ne put s'empêcher de répliquer :
-«Wow, pendant un instant j'ai eu envie de vous prendre mans mes bras... Mais, votre dernier conseil est digne d'une veuve noire... Une relation amoureuse, c'est de la confiance, pas qui sera le plus fourbe et manipulateur... Kuso ! Vous avez une vision tellement toxique des couples...»
Les mots d'Arizona, évoquant la manipulation des hommes, résonnaient douloureusement dans l'esprit de Kazane. La jeune lycéenne sentit la colère monter en elle, alimentée par le souvenir douloureux de sa mère, utilisant des stratagèmes sournois pour manipuler son père.
Ses yeux s'emplirent de larmes, et son visage rougit sous l'effet d'une rage contenue depuis trop longtemps.
Les larmes commencèrent à couler le long de ses joues. Malgrés tous ses efforts, la demoiselle se sentit submergée par une vague de tristesse et de colère. Ses sanglots, contenus jusque-là, laissèrent place à une voix brûlante, trahissant toute la détresse et la colère qui avait été enfouie en elle.
-«Pourquoi... pourquoi faut-il toujours manipuler les autres ?»
Hurla-elle, sa voix éraillée par l'émotion.
-«C'est à cause de ce genre de conseils que ma mère a détruit ma famille. Elle a manipulé mon père, elle a manipulé tout le monde. Et maintenant, on me suggère de faire la même chose ?! Je refuse...»
Kazane ne pouvait contenir sa colère et sa douleur. Ses poings se serrèrent, tremblant de frustration. La vision du passé, où sa mère avait joué avec les sentiments de son père, était une blessure encore ouverte dans le cœur de la jeune femme. Arizona, malgré sa bonne intention, avait involontairement touché une corde sensible.
-«Une relation, ce n'est pas censé être fondé sur la manipulation, sur qui sera le plus rusé ! C'est censé avoir comme fondation la confiance, la compréhension, l'amour vrai ! Pourquoi est-ce si difficile à comprendre ?»
S'écria Kazane, son regard empli d'une détermination inébranlable. Elle saisit les épaules de la syrienne la regardant dans les yeux avec un regard brulant. Ses yeux étaient des poignard chauffés à blanc planté dans les prunelles de l'assistante sociale
Les larmes continuaient de couler, mais l'adolescente refusait de faiblir. Elle avait enduré trop de souffrances liées aux manigances de sa mère pour que qui que ce soit ne puisse lui intimer de faire pareil.
-«Et le pire ! C'est que je suis certaine qu'au fond... Vous valez mieux que ça, Williams-san.»
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
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❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
La question de Kazane était simple et sans détour, d’une franchise tout à fait innocente. l’innocence d’une jeune adolescente qui ne connaissait pas encore le vice du monde des adultes. C’est vrai ça serait plus simple d’aller voir Junko pour lui dire qu’elle l’aimait et qu’elle voulait passer le reste de sa vie avec lui. Avait-elle peur que ses sentiments ne soient pas réciproques? Pas vraiment Junko l’aimait, il était blessé mais il l’aimait, Arizona le connaissait par cœur. Cependant elle savait aussi que d’aller lui dire tout ça ne changerait rien à leur problème. Il l’avait trompé, elle ne savait toujours pas pourquoi et c’était encore terriblement douloureux dans son esprit. De son côté, elle avait tout plaqué pour s'éloigner de lui et l’avait rejeté quand il avait tenté de la récupérer. Les deux s’étaient fait atrocement souffrir.
“Parce que parfois…L’amour ne suffit pas Kazane…”
Et puis la dernière phrase d’Arizona, avait créé un véritable tremblement de terre dans l’esprit de l'adolescente. L’assistante sociale avait voulu faire de l’humour, pour détendre l’atmosphère mais apparemment la japonaise n’était pas d’humeur à faire du second degré. La lycéenne commença alors son monologue assassin envers l’américaine qui grimaça comme poignardée après chaque reproche : veuve noire, fourbe, manipulateur, toxique…Arizona en prenait pour son grade mais tenta malgré tout de calmer la jeune fille.
“Kazane, calme toi je plaisantais.”
Mais la machine était lancée et inarrêtable, Kazane se mit à hurler puis à pleurer. faisant coulé sa colère brulante sur la jeune femme. Les mots de Kazane étaient durs, néanmoins même si une partie de sa colère se déversait sur Ari l’autre faisait référence à son passé et à toutes les actions de sa mère. Arizona n’aurait jamais pu imaginer qu’une simple blague puisse faire autant écho chez Kazane et surtout raviver en elle des souvenirs aussi douloureux. L’assistante sociale se sentait stupide, la japonaise avait peut-être raison après tout, elle ne valait surement pas mieux que sa mère. Elle n’était surement qu’une espèce de femme horrible qui passe son temps à manipuler son entourage, à les mener là où elle le souhaitait. C'était sûrement pour cette raison qu’il y avait un fossé entre elle et les autres, elle se demandait pourquoi elle n’avait pas trouvé sa place ici mais pour avoir la réponse il lui suffisait de regarder dans le miroir. C’était à cause de ses fourberies et de sa malice qu’elle n’arrivait pas à être apprécier. à cause de tous ses petits stratagèmes mis en place pour masquer sa fragilité et sa sensibilité.
Elle aussi elle avait envie de pleurer, encore, d’hurler, lui dire qu’elle avait peur de tout et de tout le monde. lui dire qu’elle avait peur de se faire des amis et qu’il finissent eux aussi par mourir comme ceux qui étaient restés en Syrie. Elle voulait lui dire qu’elle avait peur qu’on finisse par lui tourner le dos comme ses amis à San Francisco parce qu’elle ressemblait aux terroristes qu’on voyait à la tv. Elle voulait lui dire qu’elle avait peur de passer pour la Gaijin trop occidental pour le japon. Et que la seule personne à qui elle avait vraiment ouvert son coeur avait fini par la trahir, surement parce que pour lui aussi elle était inadaptée. Lui aussi avait fini par lui tourner le dos, lui aussi avait fini par la détester alors qu’il était la seule personne avec qui elle avait été elle-même. Arizona avait fini par comprendre qu’elle n’avait sa place nulle part et auprès de personne. Il ne lui restait plus que son égo pour la maintenir encore debout. Et maintenant ce dont elle avait le plus peur peur, c’était qu’on utilise ses faiblesses pour s’en servir contre elle et l’écraser jusqu’à ce qu’elle devienne une petite chose misérable et insignifiante.
Elle aurait pu lui hurler tout ça, à cette gamine qui lui balançait tout ça à la figure sans se douter une seconde de ce par quoi elle était passée. Les grandes leçons de morale de Kazane. Mais Arizona devait se comporter comme une adulte,après tout c’était de sa faute toutes ses névroses. On ne pouvait pas la plaindre, elle avait grandi au sein d’un foyer aimant et elle avait vécu aisément toute sa vie. elle aurait dû être stable psychologiquement. Elle était en âge de régler ses problèmes seuls, c’était une grande fille, elle n’avait plus besoin de béquille. Alors la petite brune laissa Kazane se calmer seule, elle reste silencieuse jusqu’à ce que même les sanglots de la japonaise cessent.
Alors la Syrienne se releva et fit face à la japonaise puis s’inclina devant elle, se faisant encore plus petite qu’elle ne l’était. Arizona n’était même sûr de ce qu’elle faisait tant les costumes nippones n’étaient pas familières pour elle.
“Je te demande pardon Kazane, ma blague était de très mauvais goût.”
Elle garda sa position un moment avant de se redresser doucement, pour regarder la grande brune dans les yeux. “Je ne voulais pas te rappeler ta mère, ni les comportements qu’elle a pu avoir avec ton père. Je m’excuse.”
L’assistante sociale retourna s'asseoir à son bureau, comme si soudainement elle s’était rendu compte qu’elle était trop proche de Kazane, que la lycéenne en avait trop vue. une fois à sa place elle prit une grande inspiration. “ Je ne serais jamais comme ta mère…jamais…” elle marqua une petite pause. “Si j’agis de cette manière avec toi, avec tout le monde c’est pour vous tenir le plus éloignée possible parce que…Je n’ai pas envie qu’on voit mes faiblesses. Quand tu es faible, fragile et trop sensible tu finis toujours par te faire écraser.”
elle souffla un peu “ mais j’ai conscience de ne pas être un bonne exemple. ce que je fais bien par contre c’est mon métier. Et j’ai véritablement envie de t’aider. Alors je veux bien être la méchante de l’histoire si ça peut permettre de t’aider et te protéger.”
Ari avait des problèmes, des problèmes avec elle-même , des problèmes avec l’image qu’elle renvoyait aux autres. Cependant elle était douée dans ce qu’elle faisait, elle avait toutes les compétences et l’écoute nécessaire pour être une bonne assistante sociale. Elle était souvent de bon conseil qu’elle était incapable d’appliquer, elle trouvait toujours la solution à tout et pour tout le monde sauf pour elle même.
“Tu peux me détester si tu veux et aussi fort que tu le souhaite. Mais une chose est certaine, je ne suis pas comme ta mère et je ne t’abandonnerai pas.”
Citation
- Kazane MitsuguElève ; en 3ème année■ Age : 26■ Messages : 703■ Inscrit le : 12/06/2023■ Mes clubs :
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❖ Âge : 17 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-3
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
LES CONFIDENCES DE TATIE ARI Avec Arizona Williams
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Kazane, les yeux rougis par les larmes, sécha ses joues avec les manches de son gilet tout en maintenant un regard intense sur Arizona... Le feu en elle brulait toujours mais les larmes l'avait quelque peu étouffé, permettant à la demoiselle de pouvoir articuler ses idées et discuter sans s'emporter.
-«Je ne vous déteste plus, Williams-san... Plus maintenant...Au départ, je vous prenais pour une gaijin manipulatrice et égoïste...»
Déclara Kazane d'une voix ferme. Elle croisa les bras sur sa poitrine, redressant sa silhouette pour se tenir parfaitement droite. Elle croisa également les jambes adoptant une posture digne. Son expression faciale était devenue plus ferme... Froide... Bien que ses yeux rougis par le chagrin adoussissait ce tableau.
Un court silence s'installa alors qu'elle réfléchissait soigneusement à ses prochains mots afin de ne pas braquer la femme du Moyen-Orient tout en exprimant sa pensée de la façon la plus brute possible.
Puis, reprenant avec le même ton ferme, elle fixait toujours son assistante sociale avec des yeux déterminés, ne rompant jamais le contact visuel avec Arizona.
-« Maintenant, je vois que vous êtes une femme blessée devenue manipulatrice pour cacher votre véritable nature... Ravie de vous compter parmi les humains et non les yokaïs.»
Ajouta-t-elle avec une pointe d'ironie.
Un soupir s'échappa de Kazane, comme une libération momentanée de la tension qui pesait sur elle. Puis vint la question qui pesait sur son cœur :
-« Pourquoi moi ? Pourquoi je suis si spéciale à vos yeux ? Je suis une simple lycéenne qui ne vaut vraiment pas mieux que les autres.»
Dans le tumulte de ses pensées, Kazane se sentait perdue, comme une étoile solitaire égarée dans l'immensité du ciel.
Les mots et les actions de Williams résonnaient encore dans son esprit, mais une question persistait, telle une énigme non résolue : "Pourquoi moi ?"
Elle se considérait comme une simple lycéenne, une âme parmi tant d'autres, sans éclat particulier ni valeur exceptionnelle.
Dans son fort intérieur, elle était convaincue d'être une personne insignifiante, éclipsée par d'autres étoiles bien plus brillantes qu'elle pouvait nommer aisément pendant de longues minutes.
Cette conviction obscurcissait son esprit et semait le doute quant aux raisons pour lesquelles pourquoi cette femme dépensait tant d'énergie à son égard.
L'incompréhension régnait dans son regard, mêlée à une pointe de suspicion. Pourquoi investir du temps et des ressources sur une lycéenne anonyme ? Elle, une fille névrosée incapable de contenir sa rage...
Qu'est-ce qui poussait Arizona à vouloir la protéger ?
Ces interrogations dansaient dans les méandres de sa conscience, créant un torrent d'incertitudes qui emportait ses pensées.
Kazane, prisonnière de son propre scepticisme, ne parvenait pas à concevoir qu'elle puisse être l'objet d'une attention particulière.
Elle se demandait si Arizona avait une motivation secrète ou si elle percevait quelque chose en elle que Mitsugu elle-même n'arrivait pas à discerner.
Au fond d'elle-même, elle se sentait comme une énigme non résolue, une énigme dont les pièces du puzzle semblaient manquantes. Cette introspection accentuait son sentiment de solitude, jetant une ombre sur sa perception de soi.
KoalaVolant-«Je ne vous déteste plus, Williams-san... Plus maintenant...Au départ, je vous prenais pour une gaijin manipulatrice et égoïste...»
Déclara Kazane d'une voix ferme. Elle croisa les bras sur sa poitrine, redressant sa silhouette pour se tenir parfaitement droite. Elle croisa également les jambes adoptant une posture digne. Son expression faciale était devenue plus ferme... Froide... Bien que ses yeux rougis par le chagrin adoussissait ce tableau.
Un court silence s'installa alors qu'elle réfléchissait soigneusement à ses prochains mots afin de ne pas braquer la femme du Moyen-Orient tout en exprimant sa pensée de la façon la plus brute possible.
Puis, reprenant avec le même ton ferme, elle fixait toujours son assistante sociale avec des yeux déterminés, ne rompant jamais le contact visuel avec Arizona.
-« Maintenant, je vois que vous êtes une femme blessée devenue manipulatrice pour cacher votre véritable nature... Ravie de vous compter parmi les humains et non les yokaïs.»
Ajouta-t-elle avec une pointe d'ironie.
Un soupir s'échappa de Kazane, comme une libération momentanée de la tension qui pesait sur elle. Puis vint la question qui pesait sur son cœur :
-« Pourquoi moi ? Pourquoi je suis si spéciale à vos yeux ? Je suis une simple lycéenne qui ne vaut vraiment pas mieux que les autres.»
Dans le tumulte de ses pensées, Kazane se sentait perdue, comme une étoile solitaire égarée dans l'immensité du ciel.
Les mots et les actions de Williams résonnaient encore dans son esprit, mais une question persistait, telle une énigme non résolue : "Pourquoi moi ?"
Elle se considérait comme une simple lycéenne, une âme parmi tant d'autres, sans éclat particulier ni valeur exceptionnelle.
Dans son fort intérieur, elle était convaincue d'être une personne insignifiante, éclipsée par d'autres étoiles bien plus brillantes qu'elle pouvait nommer aisément pendant de longues minutes.
Cette conviction obscurcissait son esprit et semait le doute quant aux raisons pour lesquelles pourquoi cette femme dépensait tant d'énergie à son égard.
L'incompréhension régnait dans son regard, mêlée à une pointe de suspicion. Pourquoi investir du temps et des ressources sur une lycéenne anonyme ? Elle, une fille névrosée incapable de contenir sa rage...
Qu'est-ce qui poussait Arizona à vouloir la protéger ?
Ces interrogations dansaient dans les méandres de sa conscience, créant un torrent d'incertitudes qui emportait ses pensées.
Kazane, prisonnière de son propre scepticisme, ne parvenait pas à concevoir qu'elle puisse être l'objet d'une attention particulière.
Elle se demandait si Arizona avait une motivation secrète ou si elle percevait quelque chose en elle que Mitsugu elle-même n'arrivait pas à discerner.
Au fond d'elle-même, elle se sentait comme une énigme non résolue, une énigme dont les pièces du puzzle semblaient manquantes. Cette introspection accentuait son sentiment de solitude, jetant une ombre sur sa perception de soi.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
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❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
Arizona riait un peu jaune en entendant Kazane prononcé les mots “manipulatrice” et “égoïste”. C’est vrai qu’elle avait un peu tendance à mener les autres par le bout du nez, ça l’amusait souvent de voir comme il était facile de pouvoir amener qui elle voulait là ou elle le souhaitait et surtout ça lui permettait d'instaurer une distance entre elle et les gens sans même qu’il ne s’en rende compte. A force de le faire, c'était devenu comme une seconde nature pour elle, et finalement c’était devenu naturel, elle ne s’en rendait plus vraiment compte. Dans son travail aussi elle usait de manipulation pour sortir les personnes dont elle s’occupait de situation délicate ou alors avec un jeune un peu récalcitrant. forcée de constater que ce n’était pas la bonne méthode utiliser pour Kazane et finalement elle était l’une des rares personne avec qui ça n’avait pas fonctionné.
Dans le fond elle détestait être vue telle qu’elle était fragile et torturée, elle haïssait ce sentiment de faiblesse et la seule personne avec elle s'autorisait à être vulnérable c’était Junko, mais c’était fini ça maintenant. alors elle avait davantage renforcé sa carapace. Mais cet instant elle avait l’impression d’être totalement nue face à cette adolescente.Quant à l'égoïsme, elle ne lui en tenait pas rigueur, même si c’était bien la première fois qu’on utilisait un tel qualificatif pour la décrire. Kazane avait certainement dû penser qu’elle s’amusait avec elle pour son propre plaisir personnel.
Arizona soutenait le regard de la grande brune avec douceur. c’est vrai qu’elle aurait pu la traiter comme n’importe qu’elle étudiant de ce campus: l’aider et l’accompagner au mieux afin qu’elle puisse s’épanouir dans sa vie de jeune femme. ça aurait pu rester une relation tout ce qu’il y de professionnel et c’était ce qu’elle voulait à la base puisque de toute façon elle s’investissait toujours à fond dans son métier. Mais Kazane était un mélange de plein de choses qui la touchait au plus profond d’elle. Pendant un instant, elle avait eu envie de lui raconter un énième bobard pour l’éloigner de son cœur. Mais ça n’aurait servi à rien alors la Syrienne soupira un peu.
“Quand j’ai lu ton dossier pour la première fois et lorsque je t’ai vue, tu m’as rappelé quelqu’un. la problématique avec ta mère et puis cette même colère dans les yeux parfois…Malheureusement lui, je n’ai pas su le protéger. Pourtant c’est la personne que j’aimais…que j’aime…oui que j’aime le plus au monde.” Elle marqua une petite pause, relevant les sourcils comme si elle venait de se rendre compte de quelque chose.“mais il faut croire que je n’suis pas douée avec les gens que j’aime.”
Arizona rit doucement. fixant toujours Kazane de son regard brun intense. il n’y avait pas que ça, Junko était Junko et Kazane était Kazane.
“Et puis…Tu sais il y a des personnes que tu rencontres dans ta vie et qui te font l’effet d’une bombe. c’est difficilement explicable mais c’est exactement l’effet que tu m’as fait…. Mais je vais quand même tenter de t’expliquer un peu le fond de ma pensée.”
Arizona remonta le fil du temps depuis leur rencontre jusqu’à aujourd’hui. Elle ne s’était vue que deux fois mais à chaque fois l’intensité avait été à son summum.
“ Je suis au Japon depuis 10 ans maintenant et t’es l’une des rares personnes qui a éveillé quelque chose en moi. Tu as un sens aigu de la justice et là ou beaucoup passeraient leur chemin face à une injustice, toi tu va front et tu ne laisse personne te museler. tu es une jeune fille très mature, bien plus mature que moi au même âge. Tu te bas de toute tes forces pour ce qui te semble être juste et surtout pour les autres. T’es une bonne personne Kazane, dans ton essence même. Le feu qui brûle dans tes yeux ce n’est pas seulement de la colère et ce n’est certainement pas une mauvaise chose. Alors je veux que tu arrête de te remettre en question constamment. je veux que tu te rendes compte à quel point ton entourage à la chance de t’avoir et à quel point l’humanité est chanceuse de pouvoir compter des personnes de ta trempe dans ses rangs. tu brilles Kazane, comme une étoile à des années lumière d’ici et dont la lumière arrive jusqu’à nous. Et je sais que tu as l’impression d’être moins bien que tout le monde, peut-être même qu’on te la fait ressentir mais c’est parce que ces gens étaient trop éblouis par ta lumière.”
Arizona sourire complice et sincère continuait de regarder l’adolescente. Elle pensait chacune de ses phrases, à chaque mots prononcés. “ Tu vas devenir une adulte incroyable et je ne laisserais personne te faire croire le contraire, et surtout pas toi.”
l'assistante sociale croisa les bras et leva les yeux au ciel en souriant malicieusement. “Et puis il se peut que…tu m’ai fait un peu évolué mais rien qu’un peu hein!” et elle lui fit un clin d’oeil complice “ enfin, j’avoue que c’est totalement inapproprié et très déplacé, je risque surement ma place mais…t’es la seule personne à qui j’ai pu m’ouvrir un peu et ça m’a fait énormément de bien alors merci beaucoup Kazane. mais c’était la seule et unique fois où tu me vois comme ça! Déjà parce que si ça se reproduit je risque de perdre mon métier et puis…c’est à moi d'accomplir ma mission! ahahahha!”
Citation
- Kazane MitsuguElève ; en 3ème année■ Age : 26■ Messages : 703■ Inscrit le : 12/06/2023■ Mes clubs :
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LES CONFIDENCES DE TATIE ARI Avec Arizona Williams
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Kazane fixait Arizona avec intensité, ses yeux scrutant chaque expression du visage de l'assistante sociale. La tension qui planait dans la pièce était palpable, mais la lycéenne sentait que quelque chose était en train de changer.
Elle écoutait attentivement chaque mot prononcé, sentant le feu de sa colère s'éteindre progressivement de son coeur et arréter d'enfûmer son esprit .
Lorsque l'assistante sociale parla de son amour perdu, Mitsugu sentit une pointe de tristesse dans son propre cœur.
Elle se demanda qui pouvait bien être cette personne qui avait laissé une plaie aussi profonde sur Arizona, cette blessure qui n'avait point cicatrisée.
La révélation de la fragilité de l'adulte devant elle éveilla pour la lycéenne une nouvelle perspective.
Elle commençait à entrevoir les multiples couches qui composaient la personne qu'elle croyait connaître...
Arizona était certes une manipulatrice, une femme espiègle et toxique... Mais cela ne venait pas de nul part et en creusant un peu, en passant les plaques d'armure que la gaijin avait érigée pour se protéger, on entrappercevait les vestiges d'une bonne personne.
Les paroles de l'assistante sociale sur l'effet de bombe que la fille de Tsushima avait eu sur elle la firent rougir légèrement. Elle ne s'attendait pas à être perçue de cette manière, à avoir un impact aussi fort sur quelqu'un. C'était étrange, mais en même temps, cela la remplissait d'une étrange chaleur.
Elle se demandait ce que cela signifiait réellement.
La description d'Arizona sur la maturité de Kazane, sa quête de justice et sa force intérieure la touchait profondément. Ces mots résonnaient en elle comme une vérité qu'elle avait parfois du mal à accepter, elle qui se détestait plus que quiconque...;
L'invitation à cesser de se remettre constamment en question et à reconnaître sa propre valeur laissait la jeune femme perplexe. Elle ne savait pas comment assimiler toutes ces éloges, mais en même temps, cela la réconfortait... Etait-elle vraiment si positive ?
Le sourire complice d'Arizona et son aveu de changement légèrement émouvant apaisèrent davantage le cœur de Kazane. Elle se sentait honorée que quelqu'un puisse changer ne serait-ce qu'un peu grâce à elle. L'idée que sa lumière puisse éclairer les ténèbres de Williams la laissait songeuse.
Les derniers mots de l'assistante sociale, mêlant humour et sincérité, firent naître un sourire sur le visage de Kazane.
Elle se sentait à la fois vulnérable et respectée, déconcertée et appréciée. C'était une expérience nouvelle et complexe, mais au fond d'elle-même, elle sentait que quelque chose avait changé dans la dynamique entre elle et cette feme qu'elle avait tant détesté.
Elle prit une profonde inspiration, puis parla d'une voix calme mais chargée d'émotions.
-« Arizona... Euh, Williams-san, je... Je ne m'attendais pas à tout ça. Je ne savais pas que j'avais un tel impact sur les autres, et encore moins sur quelqu'un comme vous....»
Elle marqua une pause, cherchant ses mots avec soin.
-«Je ne suis pas habituée à être comprise, et j'ai souvent l'impression de me battre seule. Mais, même si c'est difficile à croire parfois, savoir que quelqu'un comme vous peut voir quelque chose en moi, cela signifie beaucoup. Je ne sais pas si je suis digne de tous ces éloges, mais je vais essayer d'y réfléchir. Et merci, vraiment, mais arrétez vos méthodes ! »
Le regard de Kazane était sincère, empreint d'une gratitude mêlée d'une pointe d'incertitude. Elle ne savait pas exactement où tout cela la mènerait, mais une chose était sûre : cette conversation avait marqué un tournant dans leur relation.
KoalaVolantElle écoutait attentivement chaque mot prononcé, sentant le feu de sa colère s'éteindre progressivement de son coeur et arréter d'enfûmer son esprit .
Lorsque l'assistante sociale parla de son amour perdu, Mitsugu sentit une pointe de tristesse dans son propre cœur.
Elle se demanda qui pouvait bien être cette personne qui avait laissé une plaie aussi profonde sur Arizona, cette blessure qui n'avait point cicatrisée.
La révélation de la fragilité de l'adulte devant elle éveilla pour la lycéenne une nouvelle perspective.
Elle commençait à entrevoir les multiples couches qui composaient la personne qu'elle croyait connaître...
Arizona était certes une manipulatrice, une femme espiègle et toxique... Mais cela ne venait pas de nul part et en creusant un peu, en passant les plaques d'armure que la gaijin avait érigée pour se protéger, on entrappercevait les vestiges d'une bonne personne.
Les paroles de l'assistante sociale sur l'effet de bombe que la fille de Tsushima avait eu sur elle la firent rougir légèrement. Elle ne s'attendait pas à être perçue de cette manière, à avoir un impact aussi fort sur quelqu'un. C'était étrange, mais en même temps, cela la remplissait d'une étrange chaleur.
Elle se demandait ce que cela signifiait réellement.
La description d'Arizona sur la maturité de Kazane, sa quête de justice et sa force intérieure la touchait profondément. Ces mots résonnaient en elle comme une vérité qu'elle avait parfois du mal à accepter, elle qui se détestait plus que quiconque...;
L'invitation à cesser de se remettre constamment en question et à reconnaître sa propre valeur laissait la jeune femme perplexe. Elle ne savait pas comment assimiler toutes ces éloges, mais en même temps, cela la réconfortait... Etait-elle vraiment si positive ?
Le sourire complice d'Arizona et son aveu de changement légèrement émouvant apaisèrent davantage le cœur de Kazane. Elle se sentait honorée que quelqu'un puisse changer ne serait-ce qu'un peu grâce à elle. L'idée que sa lumière puisse éclairer les ténèbres de Williams la laissait songeuse.
Les derniers mots de l'assistante sociale, mêlant humour et sincérité, firent naître un sourire sur le visage de Kazane.
Elle se sentait à la fois vulnérable et respectée, déconcertée et appréciée. C'était une expérience nouvelle et complexe, mais au fond d'elle-même, elle sentait que quelque chose avait changé dans la dynamique entre elle et cette feme qu'elle avait tant détesté.
Elle prit une profonde inspiration, puis parla d'une voix calme mais chargée d'émotions.
-« Arizona... Euh, Williams-san, je... Je ne m'attendais pas à tout ça. Je ne savais pas que j'avais un tel impact sur les autres, et encore moins sur quelqu'un comme vous....»
Elle marqua une pause, cherchant ses mots avec soin.
-«Je ne suis pas habituée à être comprise, et j'ai souvent l'impression de me battre seule. Mais, même si c'est difficile à croire parfois, savoir que quelqu'un comme vous peut voir quelque chose en moi, cela signifie beaucoup. Je ne sais pas si je suis digne de tous ces éloges, mais je vais essayer d'y réfléchir. Et merci, vraiment, mais arrétez vos méthodes ! »
Le regard de Kazane était sincère, empreint d'une gratitude mêlée d'une pointe d'incertitude. Elle ne savait pas exactement où tout cela la mènerait, mais une chose était sûre : cette conversation avait marqué un tournant dans leur relation.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
Mon personnage
❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
La tension qui était palpable dans la salle il y a quelque minute avait disparue et à la place une atmosphère plus sereine empreinte de douceur avait fait place. Le feu ardent dans les yeux de Kazane s’était apaisé et foyer chaleureux et accueillant illuminait ses iris. C’était monté très haut aujourd’hui : des cris, des larmes, quelque rire…de toute façon elle préférait ça à l’indifférence. Finalement depuis Junko elle avait l’impression que son bureau s'était transformé en arène à règlement de compte. et comme elle aurait aimé que ça se finisse aussi bien avec son ex. Malheureusement quand c’est lui qui est en face d’elle, elle se renferme comme une huître, ses mots et ses sentiments scellés. Kazane avait réussi à la libérer un de tout ça, et même si ça l’avait épuisée elle se sentait maintenant beaucoup plus légère.
D'ailleurs Kazane connaissait Junko, ils en avaient parlé ensemble au konbini. Peut-être que la lycéenne comprendrait alors son comportement si elle savait qui en était la cause. Non, ce n’était pas une bonne idée, Junko avait l’air de tenir à Kazane alors elle ne voulait pas que l’image que la lycéenne avait de lui soit gâchée. Même si elle lui en voulait encore et même si son coeur saignait jamais elle n’irait ternir son image auprès de qui que ce soit. Au yeux des autres elle voulait qu’il soit vu comme un homme incroyable, extraordinaire.
Un peu perdue dans ses pensées, l’assistante sociale revint à elle à l’entente de son prénom. Kazane l’avait appelé Arizona. Enfin! Même si la gamine s'était vite rattrapée, elle l’avait appelé par son prénom ce qui voulait dire qu’elle se sentait assez proche d’elle pour le faire. le visage de la Syrienne s'illumina, ses joues rougies par la joie.
“Kazane! Kazane! appel moi Arizona, tu peux! j’en peux plus des Williams par ci et Williams par là! ARI-ZONA, c’est très simple! et puis on a passé un cap aujourd’hui non?” dit-elle en souriant du coin de l'œil.
la petite brune se redressa, puis se leva avant de marcher vers la japonaise encore assise. “Je ne te comprends pas toujours mais je t’accepte comme tu es, c’est ça le plus important Kazane!” et comme une enfant qui se faisait sermonner, Arizona promit de ne plus utiliser ses méthodes douteuses. Alors elle prit un air faussement déçu. “Oui,oui, promis, j’arrête la manipulation…en tout cas sur tout ça n’a plus d’effet ça c’est sur!”
Elle s’approcha davantage de l’étudiante et s’approcha de son oreille. “J’ai une bonne nouvelle pour toi mon petit chat…Tu es libre!” elle s’étira longuement, poussant un petit râle de relâchement. “ Je sais pas toi, mais moi ça m’a épuisé tout ça! aller retourne voir tes amis, et ton copain. je te laisse tranquille pour aujourd’hui.” Elle plongea son regard dans les yeux de Kazane lié toute les deux par une certaine empathie l’une pour l’autre. “Je suis contente que tu ailles mieux Kazane sincèrement…Mais si ce garçon se comporte mal avec toi…je le fais virer sur le champ.” elle marqua un temps avant d’exploser de rire, connaissant Kazane il ne fallait pas que la blague dure trop longtemps sous peine d’étincelle.“Allez file! va le rejoindre! et j’te préviens pour le moment, on s'arrête au stade de bisous hein! “
Arizona lança un sourire complice à la Japonaise avant de la laisser partir. Évidemment, elle serait là pour elle si jamais….si jamais rien du tout! Kazane était encore un petit bébé, elle ne s'intéressait pas à ces choses, elle s’en fichait, elle était trop jeune pour ça, trop fragile, c’est une enfant! Arizona paniqua un peu en repensant à tout ce qu’elle avait fait au même âge. à deux doigts de défaillir, l'assistante sociale chassa ces images cauchemardesques de son esprit.
"Encore merci! pour tout!"
Citation
- Kazane MitsuguElève ; en 3ème année■ Age : 26■ Messages : 703■ Inscrit le : 12/06/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 17 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-3
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
LES CONFIDENCES DE TATIE ARI Avec Arizona Williams
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Le bureau d'Arizona baignait dans une atmosphère apaisée après la tempête émotionnelle qui l'avait secoué quelques instants plus tôt. Deux femmes de caractères s'étaient confrontées, de la colère et des larmes se sont écoulés... Mais, elles avaient réussi à communiquer.
Kazane, après avoir exprimé ses sentiments et partagé son ressenti, se leva de la chaise avec une légèreté retrouvée.
Un sourire éclairait son visage, signe que la libération de cette charge émotionnelle avait eu un effet bénéfique sur son état d'esprit.
L'assistante sociale, pouvait une vague de soulagement envahir l'adolescente. La tension qui planait dans la pièce avait disparu, laissant place à une atmosphère plus détendue.
Mitsugu, d'un geste empreint de respect et de reconnaissance, s'inclina légèrement en direction d'Arizona. La jeune Japonaise prononça alors d'un ton taquin mais souriant :
-« Navrée, je ne peux rien vous promettre avec mon petit-ami... Williams-san... Vous ne pourrez brider ma volonté.»
Un rire sincère résonna dans la pièce, marquant la fin de cette rencontre riche en émotions. La tension qui s'était accumulée quelques instants plus tôt s'était dissipée, laissant place à une complicité naissante entre l'assistante sociale et la lycéenne.
-« Je vais finir d'étudier... J'ai déjà bien bossé avec Fushita-san... Je dois encore progresser...»
La détermination de Kazane transparaissait dans ses paroles. Elle s'était confiée, avait exprimé ses émotions, mais elle n'oubliait pas ses responsabilités académiques.
Remettant sa coiffure en ordre et réajustant son serre-tête avec une grâce naturelle, Kazane se prépara à quitter le bureau d'Arizona.
-« Au revoir... Arizona.»
La porte se referma doucement derrière la fille de Tsushima, et la lueur chaleureuse de la pièce s'estompa.
La journée n'était pas encore terminée pour Kazane. Elle arpenta les couloirs avec une énergie renouvelée, épuisée par les émotions de la discussion avec Arizona.
Les couloirs de l'établissement s'étendaient devant Kazane, éclairés par des lumières tamisées qui soulignaient le calme qui régnait à cette heure avancée de l'après-midi. Les pas légers de la demoiselle résonnaient à peine, elle avait la tête haute mais son esprit vagabondait.
Kazane, perdue dans ses pensées, laissait son regard errer le long de ces murs devenus enfin familiers, chaque recoin évoquant des souvenirs de rencontres et de moments partagés.
Alya, Hariaya, Hina, Nissa, Naoya... Shinji...
Les casiers alignés lui rappelaient les mots échangés avec Shinji... Alya... Et tant d'autres.... Kobe pouvait peut-être bien être chez elle pour finir.
De retour dans sa chambre, Mitsugu se débarassa de ses chaussures avant de disposer ses livres sur son bureau...Puis s'écroula sur son lit sans la moindre élégance. Après quelques instants, elle prit son téléphone et décida de partager ses pensées avec Shinji.
Le message envoyé témoignait d'une légèreté nouvelle, d'une volonté de laisser de côté les tracas académiques pour un instant. Elle écrivit avec une pointe d'humour et de douceur :
-« Hey... Je pense à toi. Sors de ma tête, tu es plus intéressant que les maths, mais pas sure que dessiner ton visage sur ma copie me fasse réussir ! ♡(>ᴗ•) »
Le message était lancé, cela avait laissé Kazane avec un sentime d'excitation mêlé d'appréhension. Son cœur battait plus fort dans sa poitrine, chaque pulsation résonnant comme un tambour de guerre.
Les instants qui suivirent furent teintés de l'anticipation de la réponse, l'écran de son téléphone demeurant noir, mais son esprit en ébullition.
Le nom d'Arizona s'insinua dans ses pensées comme une douce brise.
La mention de décevoir sur certains points était accompagnée d'une détermination silencieuse. L'adolescente se rappela des paroles réconfortantes de son assistante sociale, de l'acceptation sincère qu'elle avait ressentie. L'idée de rendre Arizona fière, même à sa manière, apportait une lueur d'espoir et de confiance en elle.
Dans le calme de sa chambre, Kazane murmura pour elle-même, comme un mantra intérieur :
-« Je compte bien vous décevoir sur certains points, Arizona... Mais sur d'autres, vous serez fière.»
Son regard de braise fixa se fixa sur les livres ouverts sur son bureau. Ell était prête à se plonger dans ses études avec une énergie renouvelée.
KoalaVolantKazane, après avoir exprimé ses sentiments et partagé son ressenti, se leva de la chaise avec une légèreté retrouvée.
Un sourire éclairait son visage, signe que la libération de cette charge émotionnelle avait eu un effet bénéfique sur son état d'esprit.
L'assistante sociale, pouvait une vague de soulagement envahir l'adolescente. La tension qui planait dans la pièce avait disparu, laissant place à une atmosphère plus détendue.
Mitsugu, d'un geste empreint de respect et de reconnaissance, s'inclina légèrement en direction d'Arizona. La jeune Japonaise prononça alors d'un ton taquin mais souriant :
-« Navrée, je ne peux rien vous promettre avec mon petit-ami... Williams-san... Vous ne pourrez brider ma volonté.»
Un rire sincère résonna dans la pièce, marquant la fin de cette rencontre riche en émotions. La tension qui s'était accumulée quelques instants plus tôt s'était dissipée, laissant place à une complicité naissante entre l'assistante sociale et la lycéenne.
-« Je vais finir d'étudier... J'ai déjà bien bossé avec Fushita-san... Je dois encore progresser...»
La détermination de Kazane transparaissait dans ses paroles. Elle s'était confiée, avait exprimé ses émotions, mais elle n'oubliait pas ses responsabilités académiques.
Remettant sa coiffure en ordre et réajustant son serre-tête avec une grâce naturelle, Kazane se prépara à quitter le bureau d'Arizona.
-« Au revoir... Arizona.»
La porte se referma doucement derrière la fille de Tsushima, et la lueur chaleureuse de la pièce s'estompa.
La journée n'était pas encore terminée pour Kazane. Elle arpenta les couloirs avec une énergie renouvelée, épuisée par les émotions de la discussion avec Arizona.
Les couloirs de l'établissement s'étendaient devant Kazane, éclairés par des lumières tamisées qui soulignaient le calme qui régnait à cette heure avancée de l'après-midi. Les pas légers de la demoiselle résonnaient à peine, elle avait la tête haute mais son esprit vagabondait.
Kazane, perdue dans ses pensées, laissait son regard errer le long de ces murs devenus enfin familiers, chaque recoin évoquant des souvenirs de rencontres et de moments partagés.
Alya, Hariaya, Hina, Nissa, Naoya... Shinji...
Les casiers alignés lui rappelaient les mots échangés avec Shinji... Alya... Et tant d'autres.... Kobe pouvait peut-être bien être chez elle pour finir.
De retour dans sa chambre, Mitsugu se débarassa de ses chaussures avant de disposer ses livres sur son bureau...Puis s'écroula sur son lit sans la moindre élégance. Après quelques instants, elle prit son téléphone et décida de partager ses pensées avec Shinji.
Le message envoyé témoignait d'une légèreté nouvelle, d'une volonté de laisser de côté les tracas académiques pour un instant. Elle écrivit avec une pointe d'humour et de douceur :
-« Hey... Je pense à toi. Sors de ma tête, tu es plus intéressant que les maths, mais pas sure que dessiner ton visage sur ma copie me fasse réussir ! ♡(>ᴗ•) »
Le message était lancé, cela avait laissé Kazane avec un sentime d'excitation mêlé d'appréhension. Son cœur battait plus fort dans sa poitrine, chaque pulsation résonnant comme un tambour de guerre.
Les instants qui suivirent furent teintés de l'anticipation de la réponse, l'écran de son téléphone demeurant noir, mais son esprit en ébullition.
Le nom d'Arizona s'insinua dans ses pensées comme une douce brise.
La mention de décevoir sur certains points était accompagnée d'une détermination silencieuse. L'adolescente se rappela des paroles réconfortantes de son assistante sociale, de l'acceptation sincère qu'elle avait ressentie. L'idée de rendre Arizona fière, même à sa manière, apportait une lueur d'espoir et de confiance en elle.
Dans le calme de sa chambre, Kazane murmura pour elle-même, comme un mantra intérieur :
-« Je compte bien vous décevoir sur certains points, Arizona... Mais sur d'autres, vous serez fière.»
Son regard de braise fixa se fixa sur les livres ouverts sur son bureau. Ell était prête à se plonger dans ses études avec une énergie renouvelée.
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