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- InvitéInvité
Tu sais quoi ? Il n'insiste pas sur cette histoire de sœur. Et là, tu ne te sens pas d'humeur à l'asticoter. Parce que la famille, c'est le bazar, et si tu poses des questions, il risque d'en poser et tu n'as PAS envie de lui répondre. Du tout. Bref. Les USA.
"Un peu plus de dix ans. J'étais ado quand on a quitté le Japon."
Et oui, tu es Japonaise. Pourtant, tu te considères un peu plus américaine qu'autre chose. Et donc, logiquement, tu as gardé ta nationalité japonaise. Tes origines sont plus importantes. Et ça reste cette histoire d'indépendance. Te séparer de tes parents.
"Arf. Mais moi ils sont encore de l'autre coté l'océan, ça laisse de la marge."
Ils te préviendront quand ils viendront. Surement. Certainement. Il vaut mieux, sinon… ça va être compliqué. Autant ne pas y penser.
"Des trucs en financent, pour continuer ce qu'ils font. Mais non merci. Je préfère la socio, étudier les gens c'est fun."
Les gens dans la globalité, sinon ça seraient la psychologie. Bien évidemment, tu es centrée sur les femmes et sur les LGBT, même s'il y a beaucoup moins d'études à ce sujet là. Pas grave, tu en feras toi-même ! D'ailleurs…
"Il n'y a pas découpé de voix pour certaines catégories. Et d'ailleurs le sujet des gays n'a pas l'air de te déranger."
Par expérience, les personnes sont assez ouvertes sur le campus, mais on parle d'une relative exception plus que la règle. Les choses se calment, même internationalement, mais ça n'est pas parfait.
"Du coup, tu fais partit du club ?"
Souvent, c'est le cas. La notion d'allié est encore assez peu répandue. Tu es né quelques années trop tôt !
- Seito MoriElève ; en 3ème année■ Age : 33■ Messages : 1923■ Inscrit le : 27/02/2021■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-1
❖ Arrivé(e) en : Fin Novembre 2016
JEUDI 25 JANVIER 2018
Oh bordel, l'ouragan est passé. Seito remercie tous les kamis qu'il connaît, soulagé de ne pas avoir eu à s'empêtrer dans un mensonge qu'il aurait été incapable de tenir. Car oui, il existe bel et bien une différence entre mentir sur son existence et ne pas l'évoquer du tout. Et jusqu'à présent, il a réussi à tenir sa langue. Tout du moins, même s'il avait laissé échapper des indices quant à la Chose, il n'a jamais eu à naviguer dans les eaux troubles de questions agaçantes. Pour cela, il en est tellement reconnaissant qu'il pourrait faire honneur aux kamis en leur rendant visite plus régulièrement. Peut-être que ce talisman qu'il porte sur lui, enfoui dans la trousse à l'avant de son sac, possède un vrai pouvoir de protection.
Le japonais évince toute potentielle rechute en se focalisant sur l'étudiante et la frise temporelle qu'elle lui présente. Lui qui rêve de voyages se persuade qu'elle a bien de la chance d'avoir foulé un sol étranger. Dix ans d'exil ne lui paraissaient pas si cher payé il y a quelques mois. Mais ces nouvelles attentions ont perturbé son plan de vie. Sans effacer sa volonté d'ouvrir ses horizons, il se surprend à réfléchir au moment idéal. Pire, à repousser l'instant s'il advenait que sa famille ait besoin de lui. Et dire que son océan se résume à soixante-dix kilomètres. Un début prometteur qu'il s'était promis de creuser à mesure que les années défilent. Le parallèle avec son paternel le sort de sa torpeur.
« C'est ouf. Même aux États-Unis, y'a que la thune qui les intéresse ? »
Cette question rhétorique le fait soupirer d'agacement. Jamais de la vie il ne sera comptable. N'en déplaise à son père, il refuse d'y voir en ce métier le rêve de l'humain accompli. Alors que ses pieds franchissent la dernière marche des escaliers et qu'ils débarquent dans le hall du bâtiment, son mouvement est scié par un boulet de canon.
« Du club ? » répète-t-il, hébété.
Son cerveau se fait volontairement lent alors qu'il énumère les clubs dans lequel il se trouve et ceux qu'il a en commun avec la blonde. Il a beau recompter, il n'y en a qu'un et ils en viennent. Alors de quel club parle-t-elle ? Et soudain les planètes s'alignent. Bien que considérablement surpris, il chuchote :
« Y'a un club pour les gays sur le campus ? »
Comme un jour sans lumière | Ou un orage sans éclair | Emerger sans toi n'aura aucun sens.
Une route pleine de dangers, on adhère, alors... | Risquons tout pour s'accorder cette chance.
- InvitéInvité
"Bienvenue dans ce merveilleux système qu'est le capitalisme. Si tu veux râler prend un ticket, tu dois être en position six milliards environ."
Pas d'argent, pas de vie. Les études c'est important aussi. Donc bon, d'un côté tes géniteurs ont eu raison de te pousser à continuer les études. Et tu as eu raison de faire ce que tu veux. Râler ne changera pas grand-chose, mais ça fait toujours du bien. C'est comme proférer des injures quand on se fait mal, ça atténue la sensation de douleur.
Bon, ensuite il y a cette histoire de club. Et là…
Alors.
Tu dis toujours que les garçons sont stupides. Mais là. Il marque un bon point. Un bon point pour être le plus crétin que tu as rencontré.
"Je…"
Non, vraiment.
"Bah oui, c'est évident. On a une cave secrète dans laquelle on se réunit. Et quand on s'ennuie, on sacrifie un homophobe pour nous calmer."
C'est évident, DUH. Au moins tu ne lui as pas dit que pour le rejoindre, il faut sauter dans un portail magique à partir du troisième étage, ou prendre un bain avec un grille-pain.
"Du coup, tu veux le rejoindre ?"
C'est ça, la vraie question, et ce qui rend la chose vraiment intéressante. Quelque chose te dit que la réponse est "oui".
- Seito MoriElève ; en 3ème année■ Age : 33■ Messages : 1923■ Inscrit le : 27/02/2021■ Mes clubs :
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❖ Âge : 19 ans
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❖ Arrivé(e) en : Fin Novembre 2016
JEUDI 25 JANVIER 2018
Et s'il avait chuchoté trop fort ? La peur soudaine d'avoir gaffé, une fois de plus, l'étreint et il s'empresse de jeter un coup d’œil aux alentours. Il scrute le moindre visage qui s'offre à lui mais n'en croise aucun qui pourrait alimenter sa crainte. Mais alors, son trouble ne peut être dû qu'à une timidité naturelle. Venant de sa part, c'est surprenant mais, après mûre réflexion, tout comme cette conversation mal engagée. Parler sans se bouffer, la preuve est là qu'ils en sont capables. Si tenté qu'il n'impose pas aux forceps son humour omniprésent ou qu'il ne pose pas la question qui fâche. Ce qu'il semble ne pas pouvoir s'empêcher de faire. Ses lèvres s'entrouvrent. Agitant le drapeau blanc, il s'apprête à s'excuser pour sa curiosité déplacée. Ils se connaissent si peu après tout. Un camarade de club n'est pas nécessairement un ami. Et cette fille le lui a rappelé à multiples reprises.
Seito n'a pas l'occasion de passer à l'action. A la place, il se fait souffler par cette surprenante révélation. Il n'aurait pas crié à l'évidence mais maintenant qu'elle le dit, il n'est pas étonnant qu'un tel club existe. Il y a bien un club des aventuriers ! Cependant il ne se souvient pas avoir vu de tracts ou de stand à leur effigie à la rentrée. Oh mais bien sûr, un club secret ! Et avec un tel lieu de réunion, ça lui donnerait presque envie d'aller voir. Juste une session par curiosité. Parcourir l'ordre du jour sans y prendre part et sacrifier un homophobe ? Des yeux diamétralement similaires à des soucoupes se posent sur la jeune femme. Cela expliquerait la réussite critique de son coup de pied. Ils doivent sûrement s'entraîner, en plus de discuter des actions à mener pour faire valoir leurs droits.
Le coup de grâce est asséné par une simple question. Si bête qu'il devrait être en mesure d'y répondre. Pourtant, il suffoque. Son cœur part dans les tours alors que son esprit embrouillé compile les diapositives d'un dysfonctionnement hormonal qu'il s'efforce de maîtriser, à défaut de l'éradiquer.
« Bin... c'est que... je- pourquoi ? C'est pas que je veux pas, hein... mais en fait, je fais pas parti de... »
… ce club-là. Arrêt sur image. Le club des gays. Le fameux. Le seul. L'unique. GRENADE ! Il est trop tard pour se replier. L'explosion enflamme ses joues et se propage jusque dans son cou, tandis que la panique assourdit tout espoir d'assentiment. Le japonais n'a aucune foutue raison d'accepter, quand bien même il se serait si peu investie avec la seule petite-amie qu'il ait jamais eu. Son absence de sentiments amoureux ne peut être la résultante d'une nouvelle aussi alarmante.
Il refoule.
Ses yeux verts, son visage assoupi, sa rebelle insolence.
Il refoule.
Ses yeux noisette, son sourire bienveillant, sa douce patience.
Il refoule.
Offusqué par sa propre idiotie, Seito se referme. Il souffle fort par les narines, sa main s'agite dans ses cheveux. Puis il parvient, au prix d'un effort considérable, à balbutier.
« Je suis pas- » Incapable de prononcer le mot, il marmonne entre ses dents : « Tss, j'ai presque failli te croire... »
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- InvitéInvité
Ah.
Il marque encore plus de points.
Tu ne pensais pas que c'était possible, mais il fait l'inimaginable.
Il arrive à être encore plus stupide que prévu et à te croire.
Juste… comment.
Peut être que tu auras dû lui dire cette histoire de grille-pain, de voyage imaginaire, et de foncer dans un mur pour atterrir au 7ème ciel, mais 3/4. Dommage, vraiment dommage… Et ça n'aura pas vraiment été de ta faute, pas vrai ?
Mais le plus intéressant, c'est sa réaction. S'il dit qu'il ne fait pas partit du club, et qu'il ne veut pas le rejoindre… Bon. La tu as le sourire de la fille qui a tout compris et qui veut s'amuser un peu.
Et qui es un peu deg qu'il ce ment à lui-même, aussi.
"Bien sûr. Et tu n'as pas du tout pensé à un mec, là, c'est ça ? Non, tu as pensé à une jolie fille."
Ça ne fonctionne pas avec toi, parce que comme beaucoup, tu es aussi passé par là.
"Chuis pas psy, mais ce n’est jamais bon de ce mentir à ce sujet."
"Ça n'est qu'une amie, juré". Mais bon tu étais jeune, tu ne captais pas tout à ce moment-là.
"Je ne vais pas te forcer, mais si jamais tu veux en discuter, n’hésite pas."
Si tu lui mets le truc sous le nez, il va fuir. Tu le sens. Les différentes étapes, ça commence toujours par le dénie.
- Seito MoriElève ; en 3ème année■ Age : 33■ Messages : 1923■ Inscrit le : 27/02/2021■ Mes clubs :
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JEUDI 25 JANVIER 2018
Si ses yeux pouvaient sortir de ses orbites, ils rouleraient sur le carrelage du hall. Il la savait persistante mais pas au point de l'afficher publiquement. Et il ne peut s'empêcher de lui en vouloir. A lui faire croire qu'il est ouvert, elle en a conclu des absurdités. Et ce n'est pas ses pensées détraquées qui vont le dissuader du contraire.
« P-pff, pas du tout ! Je- je pensais à personne. J-J'ai personne. » rétorque-t-il.
Pas un seul instant il ne prend du recul. Pourtant, il en aurait eu besoin pour réaliser qu'autant de justifications le rend suspect à défaut d'être coupable. Le problème est qu'aucune fille ne lui a traversé l'esprit. Il y a bien ses colocataires avec qui il s'entend à merveille, mais rien qui ait causé des soubresauts dans sa poitrine. Si bien que Seito en veut à la senpai d'avoir frappé si juste, une fois de plus.
« Mais je mens pas putain ! » s'énerve-t-il sans ménagement.
Avant de tempérer ses propos alors qu'elle lui offre une plate-forme d'échanges pour le moins surprenante venant de sa part. Le japonais la scrute, dubitatif. Est-elle réellement accréditée à donner de bons conseils en la matière ? Pas qu'il en ait besoin, mais plus dans un souci d'éthique. Ses joues ne décolorent pas mais étant dehors à présent, le froid joue en sa faveur. Il n'est cependant pas assez cinglant pour tiédir son ardeur. Sarcastique, il répond :
« Dis ça à ton lapin... »
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- InvitéInvité
"Tu mens quand même super mal. Et tu es un peu rouge. Alors bon."
Alors bon, ça ne fonctionne pas vraiment avec toi. Pas du tout en fait.
"Je pensais que tu es ouvert sur le sujet, mais finalement ça aussi c'est un mensonge."
Le classique "je m'en fiche, tant que ça n'est pas dans mon entourage". Mouais. Tu détestes ça. Autant presque être franc et ne pas faire semblant. Ça t'énerve.
"Mon lapin va très bien, et n'a pas de problème a porter une robe ou a assumé son homosexualité, pourquoi ?"
Il se pense malin ? Il va perdre.
"Si ça peut te rassurer, on passe tous par là. En t'énervant ainsi, tu ne fais que prouver mon point."
Sans trop qu'il le sache, mais c'est souvent le cas.
- Seito MoriElève ; en 3ème année■ Age : 33■ Messages : 1923■ Inscrit le : 27/02/2021■ Mes clubs :
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JEUDI 25 JANVIER 2018
Il ne faut pas avoir fait dix ans d'études – et encore moins en sociologie – pour remarquer que Seito n'est pas un menteur aguerri. Son corps le trahit dès l'instant où il se dissimule derrière ne serait-ce qu'une once d'imposture. Mais il ne lui en veut pas. Seito a gravé son blason d’honnêteté et défie en duel tous ceux qui osent y voir là un défaut.
Plus la blonde lui lance des piques, plus il se renfrogne. Il a soudain l'impression qu'il aurait mieux fallu qu'il ne touche pas à ce lapin de malheur. Ou justement qu'il s'en prenne à lui pour que leur relation demeure tendue et insoluble. Car alors il n'aurait pas à gérer cette évolution lunaire où la définition de sa personne est remise en question.
Et comme à son habitude, dès lors qu'il est attaqué, l'humour, qu'il soit teinté ou non de bassesse, se révèle être son unique mécanisme de défense. Quelle meilleure cible que sa peluche pour la provoquer. Sa réponse lui soutire un rire moqueur.
« J'voudrais pas qu'il fasse une crise existentielle et qu'il prenne la fuite. »
Pas sûr qu'elle s'en remette vu le lien étrange qui les unit. Le japonais aurait bien embrayé sur une autre vacherie, plus agaçante encore, mais elle déjoue ses plans en faisant preuve à nouveau de cette sagesse déstabilisante. Résultant chez lui en un profond agacement.
« Je- J'ai pas envie d'parler ça. » la coupe-t-il sans sommation.
Son regard accroche la porte à doubles battants du dortoir des lycéens. Ce n'est pas une fuite s'il a atteint sa destination à point nommé.
« Bon, faut que j'te laisse. » Il marque une distance entre eux et incline la tête plusieurs fois par politesse. « A la prochaine senpai. » Ses yeux croisent brièvement les siens et il se sent obligé d'ajouter : « Va pas répandre des rumeurs cheloues sur moi s'te plaît. C'est pas- C'est compliqué. » Sa chevelure subit la nervosité de ses appréhensions, il inspire. « Passe une bonne soirée. »
Un demi-tour et il s'élance vers le bâtiment sans demander son reste. Et surtout, SURTOUT, en catapultant toute réflexion qui impliquerait une quelconque analyse de la tournure de la discussion. Que sa conscience le juge ! Ce ne serait pas la première fois.
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- InvitéInvité
"Pas la peine de t'inquiéter pour lui, contrairement à toi, il n'en refera pas."
Et toi non plus. Tu maitrises le sujet maintenant. Ou presque, a quelques détails près, mais ça n'est pas très important. Pas pour toi, du moins. Ni pour monsieur le lapin.
"Je vois, je vois."
Parce que bon, pour quelqu'un qui ne veut pas en parler, il cause beaucoup tout de même. À croire qu'il veut totalement ignorer ça, hum ? Il le fait mal.
"Ouaip, à la prochaine."
Quelque chose te dit que d'ici là il n'aura toujours pas accepté sa "situation".
"Pas mon genre de répandre des rumeurs, je te rassure."
Ça ne se fait pas, ça pourrit la vie des gens et tu ne veux certainement pas faire ça. Il a déjà assez de mal, autant ne pas rajouter de la difficulté.
#terminé
Et toi non plus. Tu maitrises le sujet maintenant. Ou presque, a quelques détails près, mais ça n'est pas très important. Pas pour toi, du moins. Ni pour monsieur le lapin.
"Je vois, je vois."
Parce que bon, pour quelqu'un qui ne veut pas en parler, il cause beaucoup tout de même. À croire qu'il veut totalement ignorer ça, hum ? Il le fait mal.
"Ouaip, à la prochaine."
Quelque chose te dit que d'ici là il n'aura toujours pas accepté sa "situation".
"Pas mon genre de répandre des rumeurs, je te rassure."
Ça ne se fait pas, ça pourrit la vie des gens et tu ne veux certainement pas faire ça. Il a déjà assez de mal, autant ne pas rajouter de la difficulté.
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