Gaming, but at what cost ? [Nissa & Maya] #terminé

Arf, une peluche de chien. Tu n’aimes pas les chiens, ça fait peur les chiens. Bon OK cette peluche l’a une tête ridicule et mignonne, mais... voilà. Heureusement, tu ne fais la gueule qu’intérieurement, alors que tu te retrousses métaphoriquement les manches en t’approchant de la machine.

"OK, c’est parti !"

Tu es bien déterminée à vaincre ce jeu et à lui offrir une peluche. Alors tu y vas doucement, un peu comme une chirurgienne qui doit faire hyper gaffe pour sauver son patient. Sauf que ce genre de machines, c’est fait pour te faire cracher de l’argent. Donc tu te rates.

Une fois.
Deux fois.
Trois fois.

Au bon d’un moment, on arrête de compter. Ça fait un peu mal au portefeuille. Alors en plus tu t’énerves, tu râles contre cette "machine de merde", mais tu t’accroches. TU VAS LUI OFFRIR CETTE PELUCHE, POINT FINAL.

Et une bonne dizaine d’essais infructueux plus tard, avec leur dose de frustration et d’insultes, la peluche tombe enfin au bon endroit, et tu peux ENFIN la tendre à Nissa avec un sourire. Un sourire en mode "tu n’as rien vu, j’ai tout fait du premier coup".

"Tient. J’espère que ça te fait plaisir et que ça te fera un bon souvenir."

C’est une tradition après tout, et ça te fait également plaisir de lui offrir un cadeau.

Heureusement qu’elle n’a pas vraiment fait de commentaire sur ta performance, pas vrai ? Vu la situation, tu aurai pu réagir de manière vindicative... un véritable désastre ! Mais quand tu vois sa réaction suite à tout ton effort, tu te dis que ça valait largement le coup... et même plus !

"De rien, c’est normal !"

Tu es presque... jalouse de la peluche ? Comment on peut être jalouse d’une peluche qui se fait câliner, ça n’est pas logique ma petite. Et puis bon, c’est ton cadeau, donc c’est un peu une part de toi, non ? Non ?

"Je ne pensais pas que tu aimais autant les peluches."

Tu ne dis pas ça pour te moquer, bien au contraire. Oh, ça te donne une idée.

"Ça te dit d’enchainer avec les photos ? Juste nos peluches, nous et les peluches... bref, comme tu veux ! Et on peut en prendre plusieurs."

Après tout, les stands de photos sont faits pour ça, pas vrais ? Autant tout immortaliser en photo !

"C’est surement moi qui ai oublié, désolé."

À quoi bon vous battre quand tu peux prendre le blâme et passer à la suite qui est bien plus intéressante ? C’est plus sympa pour tout le monde. Et tu tabasses tes deux neurones qui ne sont pas capables de retenir les informations les importantes. A croire que penser "garçon nul, grume" ça rend stupide. Direction la borne, peluche en main et sourire aux lèvres !

"Ça fait une petite éternité que je n’ai pas utilisé ce genre de chose."

C’est le type de "photomaton" pour les photos cuites, avec un éditeur intégré... bref, le truc parfait et bien cliché pour immortaliser une amitié entre deux jeunes filles/femmes.

Pour les photos en elle même, tu t’éclates. Même si les "instructions" demandent que vous soyez physiquement proche, tu ne forces rien non plus afin de ne pas déranger Nissa. Rien de pire que de la rendre inconfortable parce que tu la trouves trop mignonne et que tu veux la tenir un peu dans tes bras ! Oh, tu utilises aussi inconsciemment la technique de "la première fois avec les peluches" pour la rendre plus à l’aise pour la deuxième partie ou vous n’êtes que vous deux.

Inutile de dire que tu ressors TRÈS contente de tout ceci.

"Elles sont super les photos !"

Tu ranges soigneusement ta copie dans ton sac, tu ne veux pas les abimer.

"Deux gothiques aussi jolies avec des peluches aussi mignonnes, on ferait des ravages !"

Tes véritables pensées s’échappent ma petite...

"Au fait, tu as une idée d’un petit nom pour ta peluche ?"

Il faut toujours leur donne un nom, pas vrai ?

Comme quoi même Nissa est rentrée un peu dans le jeu du rôle du chevalier alors que tu joues la princesse. Tu serais célibataire, tu seras totalement tombée amoureuse. Non attend, parce que du coup... Ah, voilà : tu serais un peu plus consciente de tes sentiments tu réaliserais qu’il y a peut être un petit quelque chose en plus avec Nissa. C’est mieux ? Bien, tu peux continuer d’ignorer ce que je dis et continuer de faire semblant. Argh.

Par contre, tu ne mets pas vraiment "d’effet spécial" sur les photos. D’une part tu n’aimes pas trop ça... et d’autre part, il n’y en a pas vraiment besoin, pas vrai ? Tu... vous êtes déjà superbe, bien évidemment !

"C’est un bon nom !"

Ce n’est pas une référence à quelque chose ? Tu n’es pas très calée sur cette partie-là d’internet. Et puis bon, on s’en fiche, si Nissa peut mettre sa peluche sur sa tête (elle est trop mignonne comme ça !), alors tu peux faire pareil avec monsieur Lapin. Être gamine ou ridicule, tu t’en fiches ! Et si quelqu’un fait la remarque... on connait déjà le destin de la personne. Ça te fait rire et sourire, c’est le plus important.

"Tu veux continuer avec quoi ?"

Ça fait longtemps que tu ne t’es pas autant amusé ici, c’est important à préciser.

"Ho, c'est lui ! D'accord, je comprends mieux."  

Même si tu n'aimes pas les chiens, celui-ci a une tête suffisamment chou et ridicule pour le trouver sympa. C'est une petite victoire pour Nissa, en quelque sorte. Bon, tu ne comprends pas cette histoire de coussin (elle va se servir de sa peluche comme coussin, peut-être ?), mais le reste te fait rougir un peu comme une gamine.

"Va pour la course de moto !"  

Bien sûr, ça ne vaut pas les sensations d'une vraie moto.

"D'ailleurs pour louer une moto, donc on peut arranger ça pour la fin des vacances ! Il y a des onsens sympas à visiter, on peut même réserver pour rester une ou deux nuit là-bas."  

Pourquoi tu ne proposes pas la plage, destination phare de l'été ? Ta phobie de l'eau. Alors pourquoi les sources d'eau chaude ça passe ? C'est différent, il y a du monde autour, tout ça... Wait, c'est pas un date déguisé que tu viens de propo... ah non, c'est une sortie entre amie, bien sur.

"Bon, j'espère que je ne vais pas trop mal me débrouiller, c'est tellement différent d'une vraie moto."  

Surtout que la c'est en mode "course", c'est exagéré... bref, il y a des réflexes que tu ne dois pas utiliser !

Parfois (souvent), tu es un peu stupide. Parfois tu ne réalises pas la portée de tes mots. Après tout, des road trips avec des amis, tu en as fait plusieurs quand tu étais aux USA. Même si c’était parfois qu’avec une seule amie, le temps d’un week-end. Pour toi, c’est quelque chose de "normal" avec des amis. Bon, d’accord, tu proposes ceci à des personnes avec qui tu t’entends bien, et Nisa doit être l’une des personnes les plus rapides à avoir atteint ce statut. Mais c’est également peine perdue pour que tu le remarques.

"Pas de soucis, tu me diras !"

Tu ne veux pas la forcer après tout. Impossible de prendre du plaisir si tu la prends littéralement dans tes bagages, même si tu trouvais ça cool. Enfin bon, concentre-toi sur la moto, enfin, celle du jeu !

"Je vois ça..."

Tu grimaces un peu, c’est tellement... différent. Trop différent ! Et puis la moto en robe c’est casse-gueule, il faut bien le dire. De plus, ton "détecteur à mec relou" est en alerte maximum, si quelqu’un en profite pour vous mater, il va le regretter ! Heureusement que ça n’arrive pas, hein ? Hein ?

Résultat des courses ? Tu arrives quelques points derrières Nisa.

"Sympa. Mais c’est totalement différent de la réalité. Tu verras, même en passagère tu pourras avoir des sensations fortes !"

Oui, tu tentes de la convaincre pour venir avec toi. Tout le monde ferait pareil, pas vrai ?

Tu n’es pas devin, tu n’es pas non plus mentaliste, tu ne sais pas ce qui se passe dans la tête de Nissa avec ta proposition. Et si elle ne le dit pas... et bien tu ne peux pas le savoir, dû. Tu veux simplement lui faire découvrir la moto et si possible passer un bon moment avec elle, tout simplement, ça n’est pas comme si l’Onsen est obligatoire. Enfin bon, la n’est pas la question.

"Vu comme ça, oui."

Le vilain surnom des passagers des motos te fait sourire. Tu te demandes qui a trouvé en premier ce surnom. Mais tu ne souris pas longtemps, car quand tu la vois se gaufrer, tu as mal pour elle.

"Ca va ?"

Tu jettes un regard noir à l’inconnu - qui n’a pourtant rien fait - et lui aussi tu rêves de le réduire en poussière, mais tu ne peux pas le faire. Du moins, pas tout de suite. Il parait que tu es rancunière. Et il suffit que le coupable (d’après toi...) s’éloigne et qu’elle fasse un pas pour comprendre que non, ça ne va pas vraiment.

Le problème, c’est que tu es protectrice. TROP protectrice. D’un côté c’est bien, tu fais attention aux autres. Mais là...

"Tu veux que je te porte ? On va trouver un banc."

Au pire, tu ne fais que l’aider à clopiner jusqu’au dit banc. Et là, tu ne lui laisses pas le choix, tu lui enlèves ses chaussures. Oui tu ne l’écoutes pas vraiment non plus...

"Tu n’as pas trop mal ?"

Est-ce que la réponse importe vraiment ?

"Reste la, je vais chercher de la glace et des compresses, je reviens vite !"

Tu ne lui laisses pas vraiment le choix non plus. Il faut dire que tu es en mode "alerte rouge". Mais tu connais l’endroit comme ta poche, tu vas être rapide ! Et puis si jamais il y a un problème, elle a ton numéro.

Est-ce que laisser Nissa seule dans cet état au milieu de "nulle part" est une bonne idée ? Pas forcément. Pas vraiment, en fait. Mais dans ta "panique", c’était la meilleure chose à faire dans ta petite tête. Enfin bon, pharmacie, glace (nan pas celle qui se mange) et tu reviens après quoi... une bonne dizaine de minutes, environs.

"Désolée, j’espère que ça n’était pas trop long."

Tu éloignes un peu les gens à grands coups de regards noirs, et puis tu te mets au travail. Mine de rien, tu peux être soigneuse et attentionnée. Juste que tu ne le montres pas souvent.

"Surtout tu me dis si ça fait mal !"

Ah oui, tu dois enlever les chaussettes du coup. Tant pis pour la gêne, sa santé est la priorité ! Pour le reste... appliquer la glace, bloquer un peu la cheville... ça n’est pas parfait, mais tu te débrouilles.

"Ca va mieux ?"

Tu es inquiète pour elle. Peut-être trop. Ça n’est pas comme si elle va perdre son pied.

"On va attendre un peu avant de te rechausser, histoire d’être tranquille."

Mais ça va surement signer la fin de la journée... argh.

"Tu n’as pas à t’en vouloir ni à t’excuser."

C’est une affirmation. Une constatation qui ne laisse nulle place au doute.

"Je suis certain que c’est à cause de l’abruti qui a du te faire peur ou quelque chose dans le genre."

Oui, d’après toi, ça n’est pas de sa faute. Et même si c’est le cas, ça n’est pas très grave.

"Ça n’est pas très grave pour la sortie. J’ai réussi à te montrer ce que je voulais, c’est le plus important."

Ça n’est pas un mensonge, pour le coup.

"Écoute, si tu penses que tu peux marcher et que tu le veux vraiment, on peut continuer. Ça ne me gêne pas si tu te reposes sur moi pour marcher."

Dans les deux sens du terme cette fois-ci.

"Sinon ça n’est pas grave, on arrête la et on reprendra une prochaine fois !"

Il faut rester positif après tout.

"Dans tous les cas, tu as quelqu’un qui pourrait te ramener ? Quoique sinon on trouve un taxi."

Improviser, c’est une de tes spécialités... et tu n’as pas envie qu’elle rentre à pied. Interdiction !

Tu grognes un peu quand elle dit qu’il n’a rien fait de mal. Grumf. Il n’est pas innocent, c’est sur, et comme il a peut être par un heureux hasard et par un coup de malchance sans le vouloir à blesser ton amie... il ne vaut mieux pas qu’il te recroise, c’est sur.

"Dans les deux cas, je t’accompagne, au cas ou. Et un taxi, ça sera plus rapide. On va passer par l’infirmerie en rentrant, de toute façon."

Histoire d’être tranquille. Tu dégaines ton téléphone. Histoire d’appeler un taxi.

"Il dit qu’il va être devant l’entrée d’ici cinq minutes."

Tu te tournes vers Nissa.

"Bon, le plus simple c’est que je te porte jusqu’à l’entrée. On s’en fiche du regard des autres, je n’ai pas envie que tu te fasses encore plus mal."

C’est un argument comme un autre. Sinon, peu importe son choix, vous arriverez à l’entrée - simplement plus ou moins rapidement - et monterez dans le taxi, direction le campus !

"Ça n’est pas un problème, je suis plus forte que j’en ai l’air. Mais comme tu veux !"

Tu ne vas pas insister, c’est peine perdue. Mais tu l’aides quand même pour soir, même s’il y a quelques regards qui se posent sur vous (et que tu ignores promptement). Ce qui est certain, c’est que ça va mieux pour elle une fois qu’elle est dehors. Les autres la stressent vraiment, pas vrais ?

Le conducteur du taxi fait une drôle de tête quand il vous voit monter, et une expression de surprise recouvre son visage quand tu prononces votre destination. En bon professionnel, il ne dit rien de plus, il sait ce qui est bon pour lui. Oh, inutile de dire que c’est toi qui le payes, le taxi. Et que tu aides à descendre Nissa, à l’aider à marcher, tout ça.

"Heureusement que c’est les vacances, ceux du comité seraient capable de croire que je te convertis à un truc horrible ou quelque chose dans le genre."

Tu exagères, ENCORE, mais tu n’aimes pas qu’ils te surveillent particulièrement... bon, à raison, c’est sur.

"Je t’accompagne jusqu’a l’infirmerie."

Tu seras présente jusqu’au bout ! Vous ferez le détour pour poser les affaires plus tard.

"Bonjour madame, on a un petit problème."

Pour le reste... ça n’est pas vraiment entre tes mains. L’infirmière à intérêt à faire attention, tu la surveilles !

L’infirmerie, tu y es déjà passée pour plusieurs raisons. Le fait que tu te bas, parfois. Du coup l’infirmière n’est pas trop étonnée de te voir avec une autre gothique. Est-ce que Nisa est déjà venu ici ? Après tout, le changement est visible. Mais jamais la "gentille dame" ne poserait de question à ce sujet.

"Direction ta chambre pour poser les affaires ?"  

Une affirmation plus tard, c’est parti. Bon, c’est vrai que tu commences à fatiguer un peu, comme tu portes vos affaires et un peu Nisa également, mais tu ne vas certainement pas le montrer !

"Comme tu veux, je peux attendre derrière la porte si tu préfères. De toute manière il faut passer par l'hopital après ça."  

Et donc, après cet allez retour de question, tu entres donc dans la chambre, et...

"Ah oui c’est vrai que vous, ce sont des chambres de quatre."  

La véritable question, c’est s’il y a des mâles qui vivent dans la pièce, et visiblement... non. Ouf. Tout va bien. Enfin bon, tu poses ses affaires sur son lit.

"Ah oui, tu veux peut être que je sorte si tu veux te changer."  

Non pas que ça te gênerait que... Nan mais ho, à quoi tu penses ! Et c'est pour l'aider seulement, c'est ca, justifie toi...

"Je ne suis pas spécialiste mais je pense que c’est mieux, non ? Ça permettra d'être certain que tout va bien. Tu n'as pas envie que ca s'aggrave, pas vrai ?"  

Enfin, pas très loin quand on est pas boiteux... mais il y a d’autres solutions, pas vrai ? Bref, la n’est pas la question, laisse la ce changer seule - même si tu en profites pour proposer ton aide - alors que tu portes ton regard sur le reste de la pièce. Et tu t’es trompée dans ton analyse, des mecs vivent ici.

"Ça n’est pas trop embêtant d’être à quatre dans une chambre ? Et en plus avec des mecs."  

Voilà, ton côté misandre, s’est fait, passons à la suite... Qui est que tu ne peux pas t’empêcher d’être un peu déçue qu’elle ne soit plus en gothique. Ça sera pour une prochaine fois, voilà tout. Mais tu es très contente de voir sa (ta) peluche trôner sur le lit.

"Comme tu veux, on a le reste de la journée après tout."  

Du moins, toi tu l’as le reste de ta journée.

"Mais je vais quand même te dire qu’il faut d’abord passer par l'hopital pour tout vérifier, quitte à te porter jusqu’a le bas !"  

Tu es vraiment en mode maman Maya là... mais c’est pour son bien ;

Tu finis par la "convaincre". Comme quoi insister comme une bourrine finit par fonctionner. Encore une fois, c’est pour son bien. Au moins elle te rassure un peu au sujet des garçons.

"Encore heureux qu’ils respectent ça."  

Et tu ne peux t’empêcher d’ajouter, plus bas.

"Sinon je leur ferais bouffer leurs dents."  

Non non, tu n’es pas violente, juste... impulsive et sanguine, voilà.

"Je ne pense pas que je pourrai dormir dans la même salle qu’un gars. J’aurai trop la trouille qu’il fasse n’importe quoi pour m’endormir."  

Tu ferais une nuit blanche pour être certaine qu’il ne fasse RIEN. Tu es parano, c’est tout.

"Ne t’inquiète pas, on n’est pas obligée d’y aller tout de suite."  

De ton coté, tu emprunte une chaise.

"C'était pas trop fatiguant ?"  

Tu parles de la journée dans sa globalité. C'est que vous avez beaucoup marché et bouger, mine de rien.

"Bah... tu sais bien."

Bon, OK, calme-toi trente secondes.

"Je ne vais pas forcément aller jusqu’a dire qu’ils vont tenter de tripoter les filles dans leur sommeil, mais je suis certaine qu’ils y pensent."

Heu non, ça, c’est toi qui penses qu’ils y pensent, nuance. ÉNORME nuance.

"Donc bon, non merci, pas de garçon qui s’approche de moi la nuit."

Ou tout court, en fait. Alors que d’un autre côté, tu es le genre de fille capable de partager un lit avec une amie proche. De manière platonique, bien évidemment.

"Ah ça je comprends, c’est sur qu’il y a du monde et du bruit."

Tu repenses à toutes les situations que tu as vues, et tu finis par tilter.

"Il y a un moyen pour que je puisse t’aider à te sentir mieux quand il y a du monde ?"

Et maintenant que tu y réfléchis, sa tenue de gothique à du empirer la situation... tu t’en veux un peu maintenant.