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- Irumi MiyamotoPersonnel ; prof de danse■ Age : 26■ Messages : 69■ Inscrit le : 23/08/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1 - Appartement
❖ Arrivé(e) en : Fin Octobre 2018
Blanc, blanc, blanc. Que du blanc, et c’est déprimant ! Irumi veut de la couleur ! Des murs roses, des grandes fresques fleuries, et pourquoi pas, même, quelques guirlandes lumineuses. Vous vous demandez, certainement : cette Irumi, avant de déménager, elle devait bien avoir de la décoration dans son appartement tokyoïte ? Eh bien, non mon p’tit coco ! Parce que Irumi n’était jamais à la maison. Alors quand on ne les voit pas, les murs blancs, ils sont beaucoup moins gênants.
Nouveau look pour une nouvelle vie, son nouvel appartement, elle compte y rester. Et y vivre, surtout. Alors, bye-bye morosité, il faut que ça bouge ! Et si elle n’a pas encore pris le temps de courir au premier Casto du coin, c’est parce qu’elle ne peut pas le faire seule.
Si elle est venue à Kobe, c’est aussi pour retrouver l’élu de son cœur. Le plus beau. Le plus grand. Le plus sensible… Chiaki. Cet homme a tout de parfait et des goûts si pointus, qu’en matière de décoration d’intérieur, il est impossible de faire sans. Et entre les goûters d’anniversaires, les nounous, les sorties au parc… Monsieur est occupé. Il a fallu passer par son secrétaire, monsieur Gareth Kobayashi, pour espérer trouver un créneau.
Le 10 novembre, à 11h, c’est tout ce qu’il avait. “Comme ça, après le grand tour, j’vous offre des boulettes !” avait dit joyeusement Irumi au téléphone. Les boulettes, ça donne toujours envie. C’est comme ça qu’on négocie un date avec le superbe Chiaki.
Kobe, samedi 10 novembre, Ikea
Monseignôr ! C'est l'or. Pour une fois, Irumi est arrivée à l’heure à l’appartement des Kobayashi. Elle était tellement impatiente qu’elle est même arrivée en avance. De deux minutes ! Fait rare qu’il faut inscrire dans un carnet, pour pouvoir lui dire plus tard que si, c’est possible d’arriver à l’heure, et que si elle l’a fait une fois, elle peut bien le faire deux ! Ils ont sauté dans la voiture, roulé (modérément) jusqu’à Ikea, se sont enfournés dans le parking souterrain et nous y voilà. La (quasi) petite famille rentre dans le grand magasin.
Alors, mon chat, on récapitule la liste de course ?
On cherche : deux parures de lit, trois plantes de taille et de forme différentes, quatre cadres, pourquoi pas même cinq, et une peluche. La peluche, pour Chiaki, pas pour Irumi. Même si elle pourrait craquer pour celle en forme de requin.
Tout le monde à la liste en tête. Même le secrétaire Gareth. Irumi lui fait un sourire complice, elle adore Ikéa, et toutes les possibilités que le grand magasin offre. Et puis, elle aime aussi le roleplay. Et là, comme ça, tous les trois, on pourrait presque croire à une petite famille.
Voyons, madame, faites attention à votre enfant, il m’a foncé dessus !
Aaaah, super, ça commence déjà. Irumi adore ce petit jeu. Sûrement parce qu’elle ne veut pas d’enfants, et qu’elle peut s’improviser gentille maman.
C’est vous, madame, qui avez foncé dans mon petit Chiaki. Gareth, tu l’as vu toi aussi ?
Nouveau look pour une nouvelle vie, son nouvel appartement, elle compte y rester. Et y vivre, surtout. Alors, bye-bye morosité, il faut que ça bouge ! Et si elle n’a pas encore pris le temps de courir au premier Casto du coin, c’est parce qu’elle ne peut pas le faire seule.
Si elle est venue à Kobe, c’est aussi pour retrouver l’élu de son cœur. Le plus beau. Le plus grand. Le plus sensible… Chiaki. Cet homme a tout de parfait et des goûts si pointus, qu’en matière de décoration d’intérieur, il est impossible de faire sans. Et entre les goûters d’anniversaires, les nounous, les sorties au parc… Monsieur est occupé. Il a fallu passer par son secrétaire, monsieur Gareth Kobayashi, pour espérer trouver un créneau.
Le 10 novembre, à 11h, c’est tout ce qu’il avait. “Comme ça, après le grand tour, j’vous offre des boulettes !” avait dit joyeusement Irumi au téléphone. Les boulettes, ça donne toujours envie. C’est comme ça qu’on négocie un date avec le superbe Chiaki.
Kobe, samedi 10 novembre, Ikea
Monseignôr ! C'est l'or. Pour une fois, Irumi est arrivée à l’heure à l’appartement des Kobayashi. Elle était tellement impatiente qu’elle est même arrivée en avance. De deux minutes ! Fait rare qu’il faut inscrire dans un carnet, pour pouvoir lui dire plus tard que si, c’est possible d’arriver à l’heure, et que si elle l’a fait une fois, elle peut bien le faire deux ! Ils ont sauté dans la voiture, roulé (modérément) jusqu’à Ikea, se sont enfournés dans le parking souterrain et nous y voilà. La (quasi) petite famille rentre dans le grand magasin.
Alors, mon chat, on récapitule la liste de course ?
On cherche : deux parures de lit, trois plantes de taille et de forme différentes, quatre cadres, pourquoi pas même cinq, et une peluche. La peluche, pour Chiaki, pas pour Irumi. Même si elle pourrait craquer pour celle en forme de requin.
Tout le monde à la liste en tête. Même le secrétaire Gareth. Irumi lui fait un sourire complice, elle adore Ikéa, et toutes les possibilités que le grand magasin offre. Et puis, elle aime aussi le roleplay. Et là, comme ça, tous les trois, on pourrait presque croire à une petite famille.
Voyons, madame, faites attention à votre enfant, il m’a foncé dessus !
Aaaah, super, ça commence déjà. Irumi adore ce petit jeu. Sûrement parce qu’elle ne veut pas d’enfants, et qu’elle peut s’improviser gentille maman.
C’est vous, madame, qui avez foncé dans mon petit Chiaki. Gareth, tu l’as vu toi aussi ?
- Gareth N. KobayashiPersonnel ; prof d'arts plastiques■ Age : 28■ Messages : 1022■ Inscrit le : 27/08/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : 1 (Appart)
❖ Arrivé(e) en : Septembre 2016
A Ikea, tout est possible !
Des boulettes ? Est-ce suffisant pour Chiaki-dono ?
« Des boulettes ! Des boulettes ! »
Le rendez-vous est assuré. Encore faut-il s’apprêter correctement pour cette rencontre si spéciale. Un petit jean bleu ? Non. Pantalon en toile vert pomme ? Toujours pas. La salopette rouge ? Alors là, je débloque pour cette faute de goût !
« Bon, mon cœur, qu’est-ce que tu veux porter ? »
« Pingu-Pilou ! »
Et ce petit doigt levé en impose de l’autorité. Mais vous savez quoi ? Parfois j’aime aller à son encontre. Juste quelques fois, rien de bien méchant.
« Mais tu vas pas sortir avec tata en pilou-pilou. » je tente, la peur au ventre.
« Tata elle a dit, l’est joli mon pingu-pilou ! »
C’est vrai, et qui suis-je pour contre-dire la reine de monsieur ? Qu’un pauvre valet sans importance, bon pour lui faire des bons petits plats et sa toilette. De la bagatelle. Alors prend-donc le costume une pièce de monsieur pour le lui enfiler, avant d’être congédié ! On m’accusera certainement d’extraction d’un pauvre pingouin de son habitat naturel, les fourches à mes fesses, mais au moins, jamais Kobe n’aura vu pingouin si distingué.
Dame Irumi arrive deux minutes en avance ! Le désir de faire bonne impression face à Chiaki-dono devait être à son comble. Où est mon carnet ? Que je note cet événement inoubliable ! Ah ! Une tape sur mon épaule, le carnet, ce sera pour plus tard. Nous sommes pressés. Le cocher que je suis démarre nos 80 chevaux avec professionnalisme. Attention aux crottins à l’arrière. Revoyons la liste de courses.
« Meow. »
Ne manque-t-il pas quelque chose ?
« Tu ne voulais pas racheter ta poêle à taiyaki-meow ? »
On m’a toujours dis que j’avais quelque chose de félin. Les yeux peut-être, ou ma démarche, ou les deux. Il faut bien que devoir me courber toute ma vie dans mon cher pays en vaille la peine. Je réponds au sourire d’Irumi, vite masqué par la pénombre du parking souterrain. Petit je détestais Ikea. Mes parents pouvaient y passer des heures et je ne pouvais jamais resté posé quelque part avec mon carnet à dessins. Aujourd’hui, je prenais plaisir à sortir avec des babioles, dont je n’étais pas toujours certain de l’utilité, et Chiaki adorait courir partout. Comme maintenant. Enfin madame, ne savez-vous pas qu’on ne coupe pas la route à un pingouin surbooké ? Je connais ce sourire par cœur. Ok, jouons.
« Oui ma puce. Avec un seul pas vous auriez pu éviter notre petit bolide. Baissez un peu la tête la prochaine fois, n’attendez pas que l’âge le fasse pour vous. »
Outrée, l’est madame. Je l’aurais été aussi. Irumi fait ressortir des côtés enfouis et insoupçonnés en moi.
« Quelle éducation, pauvre enfant ! »
Elle s’éloigne, marmonnant toujours «des parents pareils... les jeunes de nos jours... et le respect...». J’ai du mal à retenir mon rire et me mord violemment la lèvre. Bon d’accord, j’y suis allé fort. Mais la droiture au quotidien, ça file un sacré mal de dos.
agora« Des boulettes ! Des boulettes ! »
Le rendez-vous est assuré. Encore faut-il s’apprêter correctement pour cette rencontre si spéciale. Un petit jean bleu ? Non. Pantalon en toile vert pomme ? Toujours pas. La salopette rouge ? Alors là, je débloque pour cette faute de goût !
« Bon, mon cœur, qu’est-ce que tu veux porter ? »
« Pingu-Pilou ! »
Et ce petit doigt levé en impose de l’autorité. Mais vous savez quoi ? Parfois j’aime aller à son encontre. Juste quelques fois, rien de bien méchant.
« Mais tu vas pas sortir avec tata en pilou-pilou. » je tente, la peur au ventre.
« Tata elle a dit, l’est joli mon pingu-pilou ! »
C’est vrai, et qui suis-je pour contre-dire la reine de monsieur ? Qu’un pauvre valet sans importance, bon pour lui faire des bons petits plats et sa toilette. De la bagatelle. Alors prend-donc le costume une pièce de monsieur pour le lui enfiler, avant d’être congédié ! On m’accusera certainement d’extraction d’un pauvre pingouin de son habitat naturel, les fourches à mes fesses, mais au moins, jamais Kobe n’aura vu pingouin si distingué.
Dame Irumi arrive deux minutes en avance ! Le désir de faire bonne impression face à Chiaki-dono devait être à son comble. Où est mon carnet ? Que je note cet événement inoubliable ! Ah ! Une tape sur mon épaule, le carnet, ce sera pour plus tard. Nous sommes pressés. Le cocher que je suis démarre nos 80 chevaux avec professionnalisme. Attention aux crottins à l’arrière. Revoyons la liste de courses.
« Meow. »
Ne manque-t-il pas quelque chose ?
« Tu ne voulais pas racheter ta poêle à taiyaki-meow ? »
On m’a toujours dis que j’avais quelque chose de félin. Les yeux peut-être, ou ma démarche, ou les deux. Il faut bien que devoir me courber toute ma vie dans mon cher pays en vaille la peine. Je réponds au sourire d’Irumi, vite masqué par la pénombre du parking souterrain. Petit je détestais Ikea. Mes parents pouvaient y passer des heures et je ne pouvais jamais resté posé quelque part avec mon carnet à dessins. Aujourd’hui, je prenais plaisir à sortir avec des babioles, dont je n’étais pas toujours certain de l’utilité, et Chiaki adorait courir partout. Comme maintenant. Enfin madame, ne savez-vous pas qu’on ne coupe pas la route à un pingouin surbooké ? Je connais ce sourire par cœur. Ok, jouons.
« Oui ma puce. Avec un seul pas vous auriez pu éviter notre petit bolide. Baissez un peu la tête la prochaine fois, n’attendez pas que l’âge le fasse pour vous. »
Outrée, l’est madame. Je l’aurais été aussi. Irumi fait ressortir des côtés enfouis et insoupçonnés en moi.
« Quelle éducation, pauvre enfant ! »
Elle s’éloigne, marmonnant toujours «des parents pareils... les jeunes de nos jours... et le respect...». J’ai du mal à retenir mon rire et me mord violemment la lèvre. Bon d’accord, j’y suis allé fort. Mais la droiture au quotidien, ça file un sacré mal de dos.
Gareth gazouille en japonais #00cc99
Gareth gazouille en anglais #9933cc
Chiaki gazouille en japonais/anglais #6699cc
Hanae parle en japonais/anglais #cc99cc
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