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- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Oh ? Silencieusement Noboru attend que Kotai détaille un peu plus, venant le rassurer rapidement en lui expliquant qu'il pourront quand même trouver un coin ou il pourra se manger, ouf, le voilà rassuré quand même ! Voulant passer du temps avec Kotai tout en mangeant de son côté ça serait compliqué s'ils peuvent pas avoir ça...
Il observe la Crevette essayer de finir la chouquette tant bien que mal, sourire amusé sur ses lèvres, notant quand même d'éviter ce genre de produit à l'avenir vu la grimace affichée encore une fois sur son visage, il reprend un air plus neutres sur son visage quand il lui parle, répondant dans la foulée.
-Ouais ! A toute Kotai !
Récupérant ses affaires, mettant ses chouettes pas finies dans son sac il salue Kotai et s'en va, retourne la ou est sa moto, se préparant avant de partir faire un tour. Il finit par aller se balader dans un coin de Kobe après avoir roulé un peu, moto garée encore une fois.
Il se balade un bon moment, il a pas vraiment fait attention mais il a du marcher une bonne heure ? Hmmmm... Ouais, quelque chose comme ça. Il se serait promené plus longtemps mais traînant avec Kotai ensuite il finit par emprunter le chemin du retour à une heure raiso-
Oooooh. Un petit fast-food, naaah c'est pas raisonnable, il a pris un bon goûter et-Ahem. Il fini pas du tout avec un menu, des nuggets et une glace une dizaine de minutes plus tard, tenant son sac précieusement entre ses bras tout en conduisant sa moto. Pas du tout. Il à pas pris une bouteille plutôt qu'un gobelet exprès pour limiter les dégâts. Pas du tout.
Et il va pas s'arrêter à un konbini prendre un gâteau à la fraise et crème fouettée ainsi qu'une bouteille d'eau pour Kotai histoire d'être sur qu'il mange. Pas du tout. Ahem.
En tout cas il arrivera au point de rendez vous avec seulement 5 minutes de retard même avec ses deux arrêts, ayant quand même pris le temps de bien garer sa moto sur le parking avant de rejoindre Kotai, lui donnant les deux sacs.
-Tiens, occupe toi de ça précieusement, je file en express me délester de mes affaires en trop.
A peine il à fini de parler qu'il file poser ses affaires en trop sans déranger son coloc ainsi que le chat, faisant ça avec rapidité, silence, efficacité, filant aussi vite qu'il est venu, saluant son cher coloc d'un signe de main avant de revenir aux côtés de Kotai.
Sans casque, sans gants, sans sac à dos, toujours avec sa veste de moto et avec ses affaires transférés dans ses différentes poches, bien plus léger pour partir en balade, récupérant ses sacs.
-Et voilà ! Prêt pour te suivre !
Il observe la Crevette essayer de finir la chouquette tant bien que mal, sourire amusé sur ses lèvres, notant quand même d'éviter ce genre de produit à l'avenir vu la grimace affichée encore une fois sur son visage, il reprend un air plus neutres sur son visage quand il lui parle, répondant dans la foulée.
-Ouais ! A toute Kotai !
Récupérant ses affaires, mettant ses chouettes pas finies dans son sac il salue Kotai et s'en va, retourne la ou est sa moto, se préparant avant de partir faire un tour. Il finit par aller se balader dans un coin de Kobe après avoir roulé un peu, moto garée encore une fois.
Il se balade un bon moment, il a pas vraiment fait attention mais il a du marcher une bonne heure ? Hmmmm... Ouais, quelque chose comme ça. Il se serait promené plus longtemps mais traînant avec Kotai ensuite il finit par emprunter le chemin du retour à une heure raiso-
Oooooh. Un petit fast-food, naaah c'est pas raisonnable, il a pris un bon goûter et-Ahem. Il fini pas du tout avec un menu, des nuggets et une glace une dizaine de minutes plus tard, tenant son sac précieusement entre ses bras tout en conduisant sa moto. Pas du tout. Il à pas pris une bouteille plutôt qu'un gobelet exprès pour limiter les dégâts. Pas du tout.
Et il va pas s'arrêter à un konbini prendre un gâteau à la fraise et crème fouettée ainsi qu'une bouteille d'eau pour Kotai histoire d'être sur qu'il mange. Pas du tout. Ahem.
En tout cas il arrivera au point de rendez vous avec seulement 5 minutes de retard même avec ses deux arrêts, ayant quand même pris le temps de bien garer sa moto sur le parking avant de rejoindre Kotai, lui donnant les deux sacs.
-Tiens, occupe toi de ça précieusement, je file en express me délester de mes affaires en trop.
A peine il à fini de parler qu'il file poser ses affaires en trop sans déranger son coloc ainsi que le chat, faisant ça avec rapidité, silence, efficacité, filant aussi vite qu'il est venu, saluant son cher coloc d'un signe de main avant de revenir aux côtés de Kotai.
Sans casque, sans gants, sans sac à dos, toujours avec sa veste de moto et avec ses affaires transférés dans ses différentes poches, bien plus léger pour partir en balade, récupérant ses sacs.
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Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Fix me up or put me down. It's your call.
ft. Noboru Fujiki
Le retour à l’académie fut plus tranquille qu’il ne l’avait anticipé. Ses pas avaient évité les rues les plus commerçantes et, par chance, il avait trouvé un petit recoin dans le train où il s’était glissé jusqu’à l’arrêt le plus proche de sa destination. Son petit coeur s’était peut-être retrouvé à cavaler un peu comme un lapin poursuivi par un renard, mais il n’avait même pas frôlé la crise. Pensées obnubilées par l’heure qui tournait. Il avait jeté toute son attention là-dessus, et hormis quelques contacts imprévus mais fréquents dans les transports, il avait su ignorer certains déclencheurs.
Stress et pollution se dissolvent sous le jet d’eau, et finissent leur course dans le drain. Douche sereine. Il ignore le monde qui passe et occupe les cabines voisines. Heure de pointe. D’ordinaire, il se serait laissé gagner par le malaise d’être aussi vulnérable à portée d’autant d’inconnus, mais son esprit se raccroche au moment à venir. Une perspective qui le réjouit étrangement, quand bien même au fond de son crâne résonne toujours cette petite voix craintive. Il n’y a pourtant pas de raison que cela se passe mal. Pas cette fois. Ils avaient su éviter un échange malheureux, un peu plus tôt, et nul doute que cette sortie serait suffisamment courte pour ne pas présenter les mêmes risques. Il voulait y croire.
Au pied de l’internat, les minutes passent. Personne. … La politesse voulait que l’on prévienne d’un éventuel retard mais son téléphone demeurait silencieux. Hmm. Peut-être n’aurait-il pas dû accepter la proposition de son cama- Brusquement, deux sacs apparurent dans ses bras et il sursauta à moitié, manquant de les lâcher. Regard arrondi par la surprise, il cligne des yeux et observe Noboru disparaître à l’intérieur du bâtiment.
« …. Quoi ? »
Légère irritation. Il avait l’air d’un porteur de sacs ? Et pourquoi il ne les avait pas juste rangés dans sa chambre ça aussi ? Une lourde odeur de nourriture finit par envahir ses narines. Du gras et autres cochonneries provenant d’une enseigne de malbouffe. Eurk.
Quand le blond revint, le petit japonais avait les sourcils froncés et il ne se fit pas prier pour lui rendre ses affaires. Loin de lui ! D’autant que les vilaines odeurs avaient commencé à lui titiller l’estomac… Mais il était hors de question de céder ! Il acquiesce et s’empresse de prendre la tête de leur duo, marchant un ou deux pas en avant, afin de s’éviter une exposition plus prolongée à ces parfums tentateurs.
Stress et pollution se dissolvent sous le jet d’eau, et finissent leur course dans le drain. Douche sereine. Il ignore le monde qui passe et occupe les cabines voisines. Heure de pointe. D’ordinaire, il se serait laissé gagner par le malaise d’être aussi vulnérable à portée d’autant d’inconnus, mais son esprit se raccroche au moment à venir. Une perspective qui le réjouit étrangement, quand bien même au fond de son crâne résonne toujours cette petite voix craintive. Il n’y a pourtant pas de raison que cela se passe mal. Pas cette fois. Ils avaient su éviter un échange malheureux, un peu plus tôt, et nul doute que cette sortie serait suffisamment courte pour ne pas présenter les mêmes risques. Il voulait y croire.
Au pied de l’internat, les minutes passent. Personne. … La politesse voulait que l’on prévienne d’un éventuel retard mais son téléphone demeurait silencieux. Hmm. Peut-être n’aurait-il pas dû accepter la proposition de son cama- Brusquement, deux sacs apparurent dans ses bras et il sursauta à moitié, manquant de les lâcher. Regard arrondi par la surprise, il cligne des yeux et observe Noboru disparaître à l’intérieur du bâtiment.
« …. Quoi ? »
Légère irritation. Il avait l’air d’un porteur de sacs ? Et pourquoi il ne les avait pas juste rangés dans sa chambre ça aussi ? Une lourde odeur de nourriture finit par envahir ses narines. Du gras et autres cochonneries provenant d’une enseigne de malbouffe. Eurk.
Quand le blond revint, le petit japonais avait les sourcils froncés et il ne se fit pas prier pour lui rendre ses affaires. Loin de lui ! D’autant que les vilaines odeurs avaient commencé à lui titiller l’estomac… Mais il était hors de question de céder ! Il acquiesce et s’empresse de prendre la tête de leur duo, marchant un ou deux pas en avant, afin de s’éviter une exposition plus prolongée à ces parfums tentateurs.
Japonais : DarkOrange | Anglais : IndianRed
- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Ahem... La tête que fait Kotai à son retour le pousse a faire une grimace de honte quelques instants, avant de commencer à marcher, sacs de nourriture portés, suivant son cher camarade jusqu'à l'endroit convenu. Bon... C'est vrai qu'il aurait pu prévenir ou envoyer un message mais...
Il pensait revenir à temps. Sauf qu'il s'est rendu compte un peu tard que même en oubliant certaines limites de vitesse ou certains stop sans trop de surveillance... Il irait pas rattraper son retard. En plus il tient pas spécialement a envoyer des messages tout en conduisant sa moto.
En fait c'est même totalement un non pour lui. C'est assez dangereux comme ça vu certains conducteurs alors même s'il a déjà eu un appel ou des messages il répond uniquement une fois garé ou arrêté sur le côté suivant les possibilités.
Kotai ayant l'air de bouder vu son retard Noboru reste silencieux pendant la trajet, répondant que si Kotai parle en premier pour pas le fâcher d'avantage, il tient a ce que cette soirée se passe au calme, surtout qu'ils ont eu quelques discutions tendues plus tôt alors autant ne pas en rajouter...
Il continue de suivre, jusqu'à qu'ils arrivent au parc, appréciant la vue tout en vérifiant la température de sa nourriture, hmmmm... Tiède entre la moto et la marche... Au moins la glace à pas trop fondue, il évite une catastrophe.
Il en profite pour prendre une petite photo et l'envoyer a ses parents avant de se tourner en direction de Crevette.
-T'as une préférence niveau endroit ou se poser dans le parc ? Tant qu'on peut se poser et manger en même temps je te suis moi.
Il pensait revenir à temps. Sauf qu'il s'est rendu compte un peu tard que même en oubliant certaines limites de vitesse ou certains stop sans trop de surveillance... Il irait pas rattraper son retard. En plus il tient pas spécialement a envoyer des messages tout en conduisant sa moto.
En fait c'est même totalement un non pour lui. C'est assez dangereux comme ça vu certains conducteurs alors même s'il a déjà eu un appel ou des messages il répond uniquement une fois garé ou arrêté sur le côté suivant les possibilités.
Kotai ayant l'air de bouder vu son retard Noboru reste silencieux pendant la trajet, répondant que si Kotai parle en premier pour pas le fâcher d'avantage, il tient a ce que cette soirée se passe au calme, surtout qu'ils ont eu quelques discutions tendues plus tôt alors autant ne pas en rajouter...
Il continue de suivre, jusqu'à qu'ils arrivent au parc, appréciant la vue tout en vérifiant la température de sa nourriture, hmmmm... Tiède entre la moto et la marche... Au moins la glace à pas trop fondue, il évite une catastrophe.
Il en profite pour prendre une petite photo et l'envoyer a ses parents avant de se tourner en direction de Crevette.
-T'as une préférence niveau endroit ou se poser dans le parc ? Tant qu'on peut se poser et manger en même temps je te suis moi.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
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ft. Noboru Fujiki
Dix minutes de marche, c’était plutôt court pour une balade, mais le temps lui parut pourtant s’étendre à l’infini… Estomac réveillé par les odeurs grasses du sac de victuailles de son camarade, le parfum des échoppes voisines l’incitait à quémander de plus en plus vivement de quoi le remplir. Mais Kotai ne voulait pas l’entendre. La journée avait été si exigeante socialement parlant, entre le tête-à-tête avec son père, la consultation pour son ordinateur, et les deux rendez-vous successifs avec Noboru, sa jauge de tolérance d’autrui approchait dangereusement de ses réserves… Mieux valait s’éviter une confrontation de plus avec un énième être humain sans visage, d’autant qu’il était toujours plus ou moins en probation du côté financier.
Et dans un silence qu’il ne remarque à peine, tant la tempête gronde sous son crâne et dans son ventre, ils finissent par atteindre le petit parc repéré via son téléphone. Plutôt tranquille, malgré la circulation proche. A quelques pas d’avance, il se retourne pour observer le blond sortir son téléphone et sans doute immortaliser le paysage. Pas d’appareil photo professionnel. Est-ce que le garçon d’écume serait intéressé par le cadre ? Post-it mental, et à la question de son interlocuteur, il détourna la tête, cherchant des yeux un coin sympathique.
Au bout de quelques secondes de recherche, il finit par pointer du doigt le belvédère en bordure du lac, et plus précisément les bancs qu’il abritait.
« Ca te convient ? »
Et si la réponse était positive, il s’empresserait d’aller y prendre place, un peu éloigné de son camarade pour ne pas avoir à souffrir davantage des vapeurs émanant de son sac…
Et dans un silence qu’il ne remarque à peine, tant la tempête gronde sous son crâne et dans son ventre, ils finissent par atteindre le petit parc repéré via son téléphone. Plutôt tranquille, malgré la circulation proche. A quelques pas d’avance, il se retourne pour observer le blond sortir son téléphone et sans doute immortaliser le paysage. Pas d’appareil photo professionnel. Est-ce que le garçon d’écume serait intéressé par le cadre ? Post-it mental, et à la question de son interlocuteur, il détourna la tête, cherchant des yeux un coin sympathique.
Au bout de quelques secondes de recherche, il finit par pointer du doigt le belvédère en bordure du lac, et plus précisément les bancs qu’il abritait.
« Ca te convient ? »
Et si la réponse était positive, il s’empresserait d’aller y prendre place, un peu éloigné de son camarade pour ne pas avoir à souffrir davantage des vapeurs émanant de son sac…
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- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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Attendant tranquillement une réponse venant de Kotai, Noboru retourne rapidement sur son téléphone, le laissant le temps de réfléchir pendant qu'il regarde les notifications reçues, finissant par avoir rapidement une réponse, levant la tête à peine il entend Kotai parler, suivant son doigt du regard.
Oh. Oh ouais ! Il range son téléphone et s'approche de quelques pas, hochant la tête et perdant pas de temps a s'installer avec ses sacs, commençant à picorer deux-trois frites avant de se rappeler du contenu de l'autre sac bien plus léger et de le donner à Kotai.
-Tiens. Je sais pas trop ce que tu aime manger, je sais pas trop ton appétit... Même s'il commence à avoir une bonne idée, mais il ose pas formuler à voix haute, ahem. Mais je me suis dis que je pourrais te prendre a grignoter et à boire. J'espère que c'est pas quelque chose que tu aime pas manger en tout cas.
Il soupire, mangeant une frite en s'imaginant ayant pris pile un truc que Kotai aime pas ou peut pas manger, frissonnant de peur à l'idée de s'être loupé sur ça... Il fini par picorer quelques frites de plus avant de commencer à manger son burger, mangeant sans mettre de sauce ou de miettes partout, gardant son sac juste à côté de lui pour mettre les déchets dedans une fois fini.
Il laisse le silence durer quelques minutes, mangeant tranquillement la moitié de son burger, avant de boire un coup et commencer à parler, observant le paysage sous leurs yeux.
-C'est cool de manger dehors, surtout ici. C'est calme, on a personne à côté de nous, a vrai dire on à même pas beaucoup de passants. Il mange une nouvelle bouchée ainsi qu'un pauvre nuggets avant de reprendre la parole. Ça va ce que je t'ai pris d'ailleurs ? Fais signe si la prochaine fois tu veux du salé ou autre chose, j'irais essayer de m'en rappeler.
Oh. Oh ouais ! Il range son téléphone et s'approche de quelques pas, hochant la tête et perdant pas de temps a s'installer avec ses sacs, commençant à picorer deux-trois frites avant de se rappeler du contenu de l'autre sac bien plus léger et de le donner à Kotai.
-Tiens. Je sais pas trop ce que tu aime manger, je sais pas trop ton appétit... Même s'il commence à avoir une bonne idée, mais il ose pas formuler à voix haute, ahem. Mais je me suis dis que je pourrais te prendre a grignoter et à boire. J'espère que c'est pas quelque chose que tu aime pas manger en tout cas.
Il soupire, mangeant une frite en s'imaginant ayant pris pile un truc que Kotai aime pas ou peut pas manger, frissonnant de peur à l'idée de s'être loupé sur ça... Il fini par picorer quelques frites de plus avant de commencer à manger son burger, mangeant sans mettre de sauce ou de miettes partout, gardant son sac juste à côté de lui pour mettre les déchets dedans une fois fini.
Il laisse le silence durer quelques minutes, mangeant tranquillement la moitié de son burger, avant de boire un coup et commencer à parler, observant le paysage sous leurs yeux.
-C'est cool de manger dehors, surtout ici. C'est calme, on a personne à côté de nous, a vrai dire on à même pas beaucoup de passants. Il mange une nouvelle bouchée ainsi qu'un pauvre nuggets avant de reprendre la parole. Ça va ce que je t'ai pris d'ailleurs ? Fais signe si la prochaine fois tu veux du salé ou autre chose, j'irais essayer de m'en rappeler.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
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ft. Noboru Fujiki
A l’ombre du belvédère, ils s’étaient installés, duo atypique que seuls les aléas du destin avaient pu rassembler. Tant de choses semblaient les opposer, et pourtant, ils revenaient l’un vers l’autre malgré les difficultés. Les billes noires roulèrent en direction de l’étendue d’eau, tranquille, imperturbable malgré la circulation voisine. Le grondement lointain des véhicules était atténué par le roulis régulier des vaguelettes. Atmosphère agréable, bien plus que celle grouillante et nerveuse du centre ville. Profonde inspiration. Kotai aurait presque pu fermer les yeux si un bruissement près de lui n’avait pas attiré son attention.
Clignement d’yeux circonspect, il observa longuement le sachet tendu à son intention, avant que son regard ne remonte lentement sur le visage de son camarade. Il secoua doucement la tête, mais prit malgré tout le sac pour délester son interlocuteur et le reposer sagement entre eux.
« C’est gentil mais je n’ai pas f- »
Interruption sonore. Enhardi par les odeurs grasses, son estomac réclamait attention et pitance. Kotai détourna vivement la tête, embarrassé, alors que ses joues se teintent d’un voile rosé. Un peu plus et il allait prononcer - bien malgré lui - un énorme mensonge. Mieux valait reformuler.
« Je n’ai pas prévu de manger ce soir, je dois faire attention. »
Le restaurant ce midi. Le goûter de l’après-midi. C’était beaucoup trop de sucre et de gras pour sa ligne, se convainquit-il en frottant ses poignets bien trop fins. Ne pas avoir nécessairement besoin de perdre du poids ne justifiait pas le risque d’en prendre de trop. Et le trop était quelque chose de terriblement subjectif. Il n’avait pas vraiment conscience du moment où cela avait commencé, il n’avait jamais été d’un gabarit remarquable et, peut-être qu’involontairement, c’était une manière pour lui d’atténuer son existence. D’être moins visible. De moins attirer l’attention de ceux qu’il devait éviter au quotidien.
Un ange passe.
Sentant la complainte de son estomac venir, Kotai croisa les bras par dessus pour en en étouffer le son. Position inconfortable, recroquevillé sur lui-même. S’il avait su, il n’aurait peut-être pas accepté l’invitation de son camarade…
Clignement d’yeux circonspect, il observa longuement le sachet tendu à son intention, avant que son regard ne remonte lentement sur le visage de son camarade. Il secoua doucement la tête, mais prit malgré tout le sac pour délester son interlocuteur et le reposer sagement entre eux.
« C’est gentil mais je n’ai pas f- »
Interruption sonore. Enhardi par les odeurs grasses, son estomac réclamait attention et pitance. Kotai détourna vivement la tête, embarrassé, alors que ses joues se teintent d’un voile rosé. Un peu plus et il allait prononcer - bien malgré lui - un énorme mensonge. Mieux valait reformuler.
« Je n’ai pas prévu de manger ce soir, je dois faire attention. »
Le restaurant ce midi. Le goûter de l’après-midi. C’était beaucoup trop de sucre et de gras pour sa ligne, se convainquit-il en frottant ses poignets bien trop fins. Ne pas avoir nécessairement besoin de perdre du poids ne justifiait pas le risque d’en prendre de trop. Et le trop était quelque chose de terriblement subjectif. Il n’avait pas vraiment conscience du moment où cela avait commencé, il n’avait jamais été d’un gabarit remarquable et, peut-être qu’involontairement, c’était une manière pour lui d’atténuer son existence. D’être moins visible. De moins attirer l’attention de ceux qu’il devait éviter au quotidien.
Un ange passe.
Sentant la complainte de son estomac venir, Kotai croisa les bras par dessus pour en en étouffer le son. Position inconfortable, recroquevillé sur lui-même. S’il avait su, il n’aurait peut-être pas accepté l’invitation de son camarade…
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- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
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Le moment est agréable, très agréable même, ça le change de manger à la cantine, dans un restaurant en ville ou tout simplement tout seul, habituellement c'est comme ça qu'il prend ses repas. La ça le change, c'est cool, c'est sympa, c'est tranquille, c'est sans prise de-
Ah. Ah non en fait. Il pensait que c'était normal le temps que Kotai passait à observer le sac, peut être qu'il était hésitant, peut être que Noboru aurait du aller acheter quelque chose ailleurs, mais...
COMMENT CA IL FAUT QU'IL FASSE ATTENTION A CE QU'IL MANGE ?!?!
QUOI ?
SERIEUX ?
Noboru était en plein croquage de burger, regardant Kotai d'un air choqué au moment ou il prononce sa dernière syllabe, le posant dans sa boite ensuite, buvant une gorgée de sa boisson, observant Kotai. Il fronce les sourcils, penchant la tête sur le côté, le regardant pas directement histoire de pas l'effrayer, juste en pleine réflexion.
Kotai. L'espèce de crevette. Comment ça faire attention ? Oui, bon, c'est un gâteau, c'est pas non plus une soupe, des légumes ou un plat plus équilibré et nourrissant mais quand même ! Non ! Il refuse que Kotai mange rien ! Noupe !
Aller chercher autre chose au supermarché, konbini ou stand le plus proche, quitte à sprinter tout le long du trajet ça le dérange pas ! Et...
Encore moins quand un détail important lui saute aux yeux une des rares fois ou il laisse son regard se balader sur le corps de Kotai.
Malnutrition.
Noboru à eu de la chance, ayant pas connu ça personnellement. Ses parents arrivaient a avoir juste assez à manger pour éviter ça pour lui et pour eux. Mais il connaissait des gens moins chanceux ayant pas pu l'éviter par période et...
Ça lui fend un peu le cœur de voir ça sur Kotai... Sa colère, son irritation et son choc disparaissant pour laisser place à la tristesse et de l'inquiétude... Prenant note de ça il se demande si Kotai à un rapport avec son poids ou son image assez teinté par le négatif et les remarques horribles pour aller jusqu'à ce point, ayant pas l'air de manquer d'argent pour arriver à manger assez pour maintenir un poids meilleur pour son corps.
Il soupire, essayant de trouver les mots pour pousser Kotai à manger, il s'en fiche qu'il mange le gâteau, juste de quoi remplir son estomac. C'est tout. Pour l'instant c'est le plus important. Le reste il verra dans le futur si Kotai veut toujours bien de lui.
-Kotai. Si tu veux pas manger de gâteau... Je peux comprendre... Mais, je refuse de te laisser sans manger. Si tu préfère une salade, du poisson avec des légumes, ou encore d'autres plats j'irais en récupérer une part. Mais j'irais pas te laisser aller te coucher sans rien manger de plus. A toi de décider si finalement tu veux du gâteau ou si tu veux que j'aille chercher un plat en vitesse...
Il en profite pour manger quelques frites et un autre nuggets supplémentaire, regardant ce qui est disponible pas loin et qui aurait des plats ou à manger plaisant mieux à l'espèce de crevette qui s'affame la...
Ah. Ah non en fait. Il pensait que c'était normal le temps que Kotai passait à observer le sac, peut être qu'il était hésitant, peut être que Noboru aurait du aller acheter quelque chose ailleurs, mais...
COMMENT CA IL FAUT QU'IL FASSE ATTENTION A CE QU'IL MANGE ?!?!
QUOI ?
SERIEUX ?
Noboru était en plein croquage de burger, regardant Kotai d'un air choqué au moment ou il prononce sa dernière syllabe, le posant dans sa boite ensuite, buvant une gorgée de sa boisson, observant Kotai. Il fronce les sourcils, penchant la tête sur le côté, le regardant pas directement histoire de pas l'effrayer, juste en pleine réflexion.
Kotai. L'espèce de crevette. Comment ça faire attention ? Oui, bon, c'est un gâteau, c'est pas non plus une soupe, des légumes ou un plat plus équilibré et nourrissant mais quand même ! Non ! Il refuse que Kotai mange rien ! Noupe !
Aller chercher autre chose au supermarché, konbini ou stand le plus proche, quitte à sprinter tout le long du trajet ça le dérange pas ! Et...
Encore moins quand un détail important lui saute aux yeux une des rares fois ou il laisse son regard se balader sur le corps de Kotai.
Malnutrition.
Noboru à eu de la chance, ayant pas connu ça personnellement. Ses parents arrivaient a avoir juste assez à manger pour éviter ça pour lui et pour eux. Mais il connaissait des gens moins chanceux ayant pas pu l'éviter par période et...
Ça lui fend un peu le cœur de voir ça sur Kotai... Sa colère, son irritation et son choc disparaissant pour laisser place à la tristesse et de l'inquiétude... Prenant note de ça il se demande si Kotai à un rapport avec son poids ou son image assez teinté par le négatif et les remarques horribles pour aller jusqu'à ce point, ayant pas l'air de manquer d'argent pour arriver à manger assez pour maintenir un poids meilleur pour son corps.
Il soupire, essayant de trouver les mots pour pousser Kotai à manger, il s'en fiche qu'il mange le gâteau, juste de quoi remplir son estomac. C'est tout. Pour l'instant c'est le plus important. Le reste il verra dans le futur si Kotai veut toujours bien de lui.
-Kotai. Si tu veux pas manger de gâteau... Je peux comprendre... Mais, je refuse de te laisser sans manger. Si tu préfère une salade, du poisson avec des légumes, ou encore d'autres plats j'irais en récupérer une part. Mais j'irais pas te laisser aller te coucher sans rien manger de plus. A toi de décider si finalement tu veux du gâteau ou si tu veux que j'aille chercher un plat en vitesse...
Il en profite pour manger quelques frites et un autre nuggets supplémentaire, regardant ce qui est disponible pas loin et qui aurait des plats ou à manger plaisant mieux à l'espèce de crevette qui s'affame la...
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
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Fix me up or put me down. It's your call.
ft. Noboru Fujiki
Au silence qui suivit ses paroles, le petit japonais pensa - à tort - que le sujet était clos. Pour lui, cela semblait pourtant évident. Noboru avait sans doute un style de vie et de nombreuses activités qui lui permettaient de dépenser toutes les calories qu’il avalait sans inquiétude. Entre les cours, son travail, et sans doute ses passe-temps, il n’avait certainement pas à craindre de gagner en épaisseur. Alors, tant que les mots ne venaient pas troubler cet instant de calme, il laissa son regard vagabonder aux alentours, cherchant à ignorer aussi bien son estomac que le sac encore clos.
D’autant que… Il ne comprenait pas vraiment le geste de son camarade. Un de plus. Ce genre d’attention, c’était plutôt Tsuni qui en avait à son attention. Hmm… Oh ! Une réflexion en entraîna une autre et… C’était peut-être ça ? Peut-être que Noboru souhaitait être considéré comme un senpai ? Mais n’avaient-ils pas peu ou prou le même âge ? Ne partagaient-ils pas les mêmes classes ? Hormis pour la cuisine, Kotai n’éprouvait pas le sentiment de devoir le considérer de la sorte mais qui était-il pour remettre en question les demandes de son camarade ?
Le silence accompagna la suite de ses pensées et, une fois le fil déroulé, le japonais s’était laissé convaincre. Soit. Pour lui faire plaisir, il voudrait bien passer à ce suffixe-là. Et, alors qu’il tournait la tête dans sa direction pour lui communiquer son accord, le blond le devança… en revenant au sujet qu’ils auraient pourtant dû laisser de côté. Oh. Il avait presque pû oublier son estomac qui se languissait de ces maudites odeurs de gras.
« Huh… »
Un choix à deux propositions, mais aucune qui n’allait dans le sens de ses désirs. Par réflexe, Kotai s’était redressé et même légèrement éloigné. De son camarade. Du sac. Comme si la situation n’allait pas tarder à lui exploser au visage.
« Mais j’ai mangé. »
Plus tôt dans la journée, mais il n’avait pas non plus passé le jour entier sans rien avaler !
« C’est juste mon estomac qui s’agite à cause des odeurs, ce n’est rien de grave. Une fois rentrés, il aura oublié ce moment d’égarement et me laissera tranquille. Enfin, je dis “oublié” mais les estomacs n’ont pas de cerveau bien sûr, ils y sont juste reliés et c’est effectivement le cerveau qui attise cette fausse sensation de faim. Enfin, je crois ? En tout cas c’est comme ça que j’essaierai de le coder. »
Tête penchée, il avait prononcé les dernières phrases contre son poing serrés, brusquement happé par le cours de ses pensées. Déconnecté.
D’autant que… Il ne comprenait pas vraiment le geste de son camarade. Un de plus. Ce genre d’attention, c’était plutôt Tsuni qui en avait à son attention. Hmm… Oh ! Une réflexion en entraîna une autre et… C’était peut-être ça ? Peut-être que Noboru souhaitait être considéré comme un senpai ? Mais n’avaient-ils pas peu ou prou le même âge ? Ne partagaient-ils pas les mêmes classes ? Hormis pour la cuisine, Kotai n’éprouvait pas le sentiment de devoir le considérer de la sorte mais qui était-il pour remettre en question les demandes de son camarade ?
Le silence accompagna la suite de ses pensées et, une fois le fil déroulé, le japonais s’était laissé convaincre. Soit. Pour lui faire plaisir, il voudrait bien passer à ce suffixe-là. Et, alors qu’il tournait la tête dans sa direction pour lui communiquer son accord, le blond le devança… en revenant au sujet qu’ils auraient pourtant dû laisser de côté. Oh. Il avait presque pû oublier son estomac qui se languissait de ces maudites odeurs de gras.
« Huh… »
Un choix à deux propositions, mais aucune qui n’allait dans le sens de ses désirs. Par réflexe, Kotai s’était redressé et même légèrement éloigné. De son camarade. Du sac. Comme si la situation n’allait pas tarder à lui exploser au visage.
« Mais j’ai mangé. »
Plus tôt dans la journée, mais il n’avait pas non plus passé le jour entier sans rien avaler !
« C’est juste mon estomac qui s’agite à cause des odeurs, ce n’est rien de grave. Une fois rentrés, il aura oublié ce moment d’égarement et me laissera tranquille. Enfin, je dis “oublié” mais les estomacs n’ont pas de cerveau bien sûr, ils y sont juste reliés et c’est effectivement le cerveau qui attise cette fausse sensation de faim. Enfin, je crois ? En tout cas c’est comme ça que j’essaierai de le coder. »
Tête penchée, il avait prononcé les dernières phrases contre son poing serrés, brusquement happé par le cours de ses pensées. Déconnecté.
Japonais : DarkOrange | Anglais : IndianRed
- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Hum... Kotai commence enfin à répondre ? Noboru lève la tête, intéressé de savoir ce qu'il va répondre mais espérant surtout qu'il va entendre raison et accepter à manger, sinon il va vraiment finir par ne plus lui laisser le choix et aller chercher de quoi le nourrir, même un petit quelque chose pas trop lourd.
Il se rappelle de la marque de malnutrition qu'il vient de voir sur Kotai, arrivant à peine à cacher sa colère quand celui-ci explique avoir déjà mangé plus tôt.
Oui mais il mange pas assez bordel !
Maigre comme il est il refuse de le laisser sauter un repas en sa présence ! Il à pas de réserve ou autre ! Il est encore plus fâché quand il entend les 'explications' sortant de la bouche de Kotai, non, non, non. Pas question de coder son estomac de manière a ce qu'il ait faim et encore moins a ce qu'il s'habitue à ça.
Continuant a maîtriser le plus possible ses émotions de manière à pas faire peur Kotai il prend quelques instants à répondre, en partie pour rester calme out en répondant, de l'autre pour réfléchir a quoi dire. Il veut pas manger sucré ? Ok. Il veut pas manger gras ? Ok. Il va lui prendre autre chose.
-Kotai. Je refuse de te laisser 'coder' ton estomac de manière à le faire penser que sauter des repas est pas un problème. Je comprend que tu veuille pas manger du fast-food ou du gâteau alors je vais faire la chose suivante. Noboru le regarde, essayant d'être le plus doux possible dans son allure et son ton de voix avant de poursuivre, yeux remplis d’inquiétude, d'interrogation et de peur qu'il arrive pas à cacher. Je vais aller sprinter en direction du supermarché le plus proche, je vais prendre un petit bento avec des légumes et du poisson. Toi tu vas tout manger et tu vas boire l'eau que j'ai acheté plus tôt, je vais y aller maintenant comme ça tu pourras manger ensuite
Vérifiant qu'il à bien de quoi payer sur lui il file faire au plus vite ce qu'il vient de dire, courant à aller, perdant pas de temps a repérer un petit bento correspondant à ce qu'il voulait et que Kotai peut réellement finir, payant, prenant une paire de baguettes et retournant à ses côtés tout aussi vite.
Petit bento en main il le lui donne, tout essoufflé, buvant un coup et mangeant son repas désormais à peine tiède, donnant un coup d’œil à la glace désormais fondue, bon... Au moins elle est resté dans le contenant, il ira la boire, tant pis.
Il continue de récupérer entre deux bouchées, gardant un œil sur Kotai au cas ou.
Il se rappelle de la marque de malnutrition qu'il vient de voir sur Kotai, arrivant à peine à cacher sa colère quand celui-ci explique avoir déjà mangé plus tôt.
Oui mais il mange pas assez bordel !
Maigre comme il est il refuse de le laisser sauter un repas en sa présence ! Il à pas de réserve ou autre ! Il est encore plus fâché quand il entend les 'explications' sortant de la bouche de Kotai, non, non, non. Pas question de coder son estomac de manière a ce qu'il ait faim et encore moins a ce qu'il s'habitue à ça.
Continuant a maîtriser le plus possible ses émotions de manière à pas faire peur Kotai il prend quelques instants à répondre, en partie pour rester calme out en répondant, de l'autre pour réfléchir a quoi dire. Il veut pas manger sucré ? Ok. Il veut pas manger gras ? Ok. Il va lui prendre autre chose.
-Kotai. Je refuse de te laisser 'coder' ton estomac de manière à le faire penser que sauter des repas est pas un problème. Je comprend que tu veuille pas manger du fast-food ou du gâteau alors je vais faire la chose suivante. Noboru le regarde, essayant d'être le plus doux possible dans son allure et son ton de voix avant de poursuivre, yeux remplis d’inquiétude, d'interrogation et de peur qu'il arrive pas à cacher. Je vais aller sprinter en direction du supermarché le plus proche, je vais prendre un petit bento avec des légumes et du poisson. Toi tu vas tout manger et tu vas boire l'eau que j'ai acheté plus tôt, je vais y aller maintenant comme ça tu pourras manger ensuite
Vérifiant qu'il à bien de quoi payer sur lui il file faire au plus vite ce qu'il vient de dire, courant à aller, perdant pas de temps a repérer un petit bento correspondant à ce qu'il voulait et que Kotai peut réellement finir, payant, prenant une paire de baguettes et retournant à ses côtés tout aussi vite.
Petit bento en main il le lui donne, tout essoufflé, buvant un coup et mangeant son repas désormais à peine tiède, donnant un coup d’œil à la glace désormais fondue, bon... Au moins elle est resté dans le contenant, il ira la boire, tant pis.
Il continue de récupérer entre deux bouchées, gardant un œil sur Kotai au cas ou.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
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