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- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Noboru est encore à réfléchir sur ce qu'il a dit plus tôt, c'est vrai qu'il a eu de la chance, même si c'était pas toujours facile selon les périodes... Au final il a quand même réussi a finir sur Kobe pour étudier sans stress.
Ses parents sont dans une bien meilleur situation, pouvant enfin faire des économies tout en payant ses études, lui peut travailler à côté de ses études non pas pour les aider, juste histoire d'être indépendant financièrement et de pouvoir dépenser son argent comme il veut...
C'est cool. C'est même très cool.
Il était encore à réfléchir dessus, mangeant de nouveau, distraitement, quand Kotai prend la parole, il l'écoute, étant un peu surpris au début avant de se rendre compte qu'il avait jamais vraiment parlé de ça avec Kotai, bon... En général quand il en parle il détaille à peine, plus a le dire au détour d'une phrase qu'autre chose mais il a envie de détailler plus en compagnie de Kotai, hochant la tête avant de parler.
-Ouais. Elle à vécu en région parisienne pendant toute son enfance puis sur Paris pendant ses études, avant de finir au Japon, tomber amoureuse de mon père et bref, t'as la suite sous tes yeux. Malheureusement elle a pas pu beaucoup les voir ensuite, faute de sous pour visiter, autant de son côté que du leur... Je sais que mes grand parents de ce côté la sont toujours en région parisienne, vivant dans une maison acheté peu avant que maman finisse au Japon. Après le reste de la famille... Hum...
Noboru sort son téléphone, recherchant une carte de la France, Paris c'est simple à situer mais s'il commence à parler des autres villes et régions il risque de perdre vite Kotai... Une fois qu'il en a trouvé une le satisfaisant tout en mangeant quelques bouchées supplémentaires il la lui montre tout en indiquant les régions au fur et à mesure.
-Après j'ai d'autre famille plus ou moins éloignée, certains sont en Bretagne, d'autres en Alsace, d'autres dans le Sud et certains eux aussi en région parisienne, étant bien dans le coin. En plus de mes grands parents j'ai des oncles, des tantes, des cousins, quelques neveux apparemment et même une arrière grand mère encore en vie. J'espère juste qu'on pourra visiter l'année prochaine si c'est possible, pendant les vacances au printemps la. Ça serait parfait, il fera pas trop chaud, surtout que eux apparemment ont pas beaucoup la clim... Urgh...
Au moins l'avantage c'est qu'il se débrouille assez en français pour être autonome la bas, même si sa mère compte pas le laisser se promener seul... Ahem... Soi-disant 'Noboru Fujiki, tu es un peu trop grognon, mal léché et violent pour que je te laisse sans ma surveillance ! Si on va la bas tu restera en famille avant de faire des bêtises' Boarf... Ça va, il ira faire fuir les pickpockets dans les transports.
Puis faut s'imaginer le groupe aussi, son père lui c'est mort, il passera direct pour le touriste japonais, sa mère... Euh... Franchement ? Même si ça fait longtemps qu'elle est pas venue, il parie que sous 48 heures ça sera comme si elle était jamais partie. Lui ? Oh, sa mère dit a chaque fois qu'il passera inaperçu au milieu des grognons parisiens et qu'elle s'en fait pas pour lui. Plus pour la partie adverse si on l'énerve...
Ses parents sont dans une bien meilleur situation, pouvant enfin faire des économies tout en payant ses études, lui peut travailler à côté de ses études non pas pour les aider, juste histoire d'être indépendant financièrement et de pouvoir dépenser son argent comme il veut...
C'est cool. C'est même très cool.
Il était encore à réfléchir dessus, mangeant de nouveau, distraitement, quand Kotai prend la parole, il l'écoute, étant un peu surpris au début avant de se rendre compte qu'il avait jamais vraiment parlé de ça avec Kotai, bon... En général quand il en parle il détaille à peine, plus a le dire au détour d'une phrase qu'autre chose mais il a envie de détailler plus en compagnie de Kotai, hochant la tête avant de parler.
-Ouais. Elle à vécu en région parisienne pendant toute son enfance puis sur Paris pendant ses études, avant de finir au Japon, tomber amoureuse de mon père et bref, t'as la suite sous tes yeux. Malheureusement elle a pas pu beaucoup les voir ensuite, faute de sous pour visiter, autant de son côté que du leur... Je sais que mes grand parents de ce côté la sont toujours en région parisienne, vivant dans une maison acheté peu avant que maman finisse au Japon. Après le reste de la famille... Hum...
Noboru sort son téléphone, recherchant une carte de la France, Paris c'est simple à situer mais s'il commence à parler des autres villes et régions il risque de perdre vite Kotai... Une fois qu'il en a trouvé une le satisfaisant tout en mangeant quelques bouchées supplémentaires il la lui montre tout en indiquant les régions au fur et à mesure.
-Après j'ai d'autre famille plus ou moins éloignée, certains sont en Bretagne, d'autres en Alsace, d'autres dans le Sud et certains eux aussi en région parisienne, étant bien dans le coin. En plus de mes grands parents j'ai des oncles, des tantes, des cousins, quelques neveux apparemment et même une arrière grand mère encore en vie. J'espère juste qu'on pourra visiter l'année prochaine si c'est possible, pendant les vacances au printemps la. Ça serait parfait, il fera pas trop chaud, surtout que eux apparemment ont pas beaucoup la clim... Urgh...
Au moins l'avantage c'est qu'il se débrouille assez en français pour être autonome la bas, même si sa mère compte pas le laisser se promener seul... Ahem... Soi-disant 'Noboru Fujiki, tu es un peu trop grognon, mal léché et violent pour que je te laisse sans ma surveillance ! Si on va la bas tu restera en famille avant de faire des bêtises' Boarf... Ça va, il ira faire fuir les pickpockets dans les transports.
Puis faut s'imaginer le groupe aussi, son père lui c'est mort, il passera direct pour le touriste japonais, sa mère... Euh... Franchement ? Même si ça fait longtemps qu'elle est pas venue, il parie que sous 48 heures ça sera comme si elle était jamais partie. Lui ? Oh, sa mère dit a chaque fois qu'il passera inaperçu au milieu des grognons parisiens et qu'elle s'en fait pas pour lui. Plus pour la partie adverse si on l'énerve...
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Fix me up or put me down. It's your call.
ft. Noboru Fujiki
Regard attentif posé sur le visage expressif de son camarade. Il s’imprégnait silencieusement de ses paroles, du récit de la rencontre de ses parents. Assez peu de détails, mais c’était suffisant pour en imaginer certains aspects. Cela sonnait presque comme le synopsis d’un film de romance, où l’héroïne se rend à l’étranger et a un coup de foudre pour un habitant, si bien qu’elle décide finalement de ne jamais repartir. Un coup de foudre… C’était une désignation bien violente pour un tel phénomène, quand bien même, après une courte réflexion, il pouvait envisager un certain rapport entre le côté spontané et brusque de chaque élément. Quelque chose qu’il n’expérimenterait sans doute jamais, tout défectueux qu’il était. Un détail sans importance. L’amour ne l’intéressait pas vraiment, quand bien même devrait-il s’y résoudre un jour.
Téléphone présenté à ses yeux, Kotai se pencha un peu au dessus de la table, observant la carte simplifiée de la France alors que Noboru commence à citer des noms qu’il serait incapable de répéter sans écorcher. Bleu-ta-nieuh ? Al-zasse ? Cela avait en tout cas l’air immense ! Presque autant que la famille que se décrivait son camarade. Est-ce que tous les français avaient autant d’enfants ? C’était presque étonnant que Noboru soit fils unique, quand bien même leur famille rencontrait peut-être déjà des difficultés financières à sa naissance. Plissement d’yeux réfléchi.
« Tu penses voir tout le monde ? Cela fait beaucoup de rencontres, tu n’es pas un peu intimidé à l’idée de les voir pour la première fois ? »
Lui serait mortifié. Il ne se souvenait pas de sa rencontre avec ses grands-parents maternels, mais sa mère lui avait plusieurs fois reproché d’être la cause d’une dispute qui avait jeté un froid jusqu’à leur décès, un an ou deux après. En revanche, il connaissait davantage les grand-parents de Tsuni ! Des gens adorables qui l’avaient accueilli quelques fois à l’occasion des fêtes de fin d’année. Bien évidemment, il avait fait preuve de beaucoup de politesse et d’une réserve exemplaire, après tout, il n’était qu’un enfant étranger à leur famille, et pourtant, il se souvenait avoir eu droit aux mêmes étrennes que sa senpai. Une délicate attention qui lui avait donné un aperçu de ce que c’était d’avoir des grands-parents. le reste, malheureusement, il ne connaissait pas. Oncles, tantes, cousins. Un mythe au sein de sa famille. Mais Noboru semblait bien plus à l’aise à l’idée de se retrouver confronter à autant d’inconnus.
Téléphone présenté à ses yeux, Kotai se pencha un peu au dessus de la table, observant la carte simplifiée de la France alors que Noboru commence à citer des noms qu’il serait incapable de répéter sans écorcher. Bleu-ta-nieuh ? Al-zasse ? Cela avait en tout cas l’air immense ! Presque autant que la famille que se décrivait son camarade. Est-ce que tous les français avaient autant d’enfants ? C’était presque étonnant que Noboru soit fils unique, quand bien même leur famille rencontrait peut-être déjà des difficultés financières à sa naissance. Plissement d’yeux réfléchi.
« Tu penses voir tout le monde ? Cela fait beaucoup de rencontres, tu n’es pas un peu intimidé à l’idée de les voir pour la première fois ? »
Lui serait mortifié. Il ne se souvenait pas de sa rencontre avec ses grands-parents maternels, mais sa mère lui avait plusieurs fois reproché d’être la cause d’une dispute qui avait jeté un froid jusqu’à leur décès, un an ou deux après. En revanche, il connaissait davantage les grand-parents de Tsuni ! Des gens adorables qui l’avaient accueilli quelques fois à l’occasion des fêtes de fin d’année. Bien évidemment, il avait fait preuve de beaucoup de politesse et d’une réserve exemplaire, après tout, il n’était qu’un enfant étranger à leur famille, et pourtant, il se souvenait avoir eu droit aux mêmes étrennes que sa senpai. Une délicate attention qui lui avait donné un aperçu de ce que c’était d’avoir des grands-parents. le reste, malheureusement, il ne connaissait pas. Oncles, tantes, cousins. Un mythe au sein de sa famille. Mais Noboru semblait bien plus à l’aise à l’idée de se retrouver confronter à autant d’inconnus.
Japonais : DarkOrange | Anglais : IndianRed
- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Noboru continue de s'imaginer comment pourrait être leur visite en France avec ses parents, surtout que ça serait la première fois que lui et son père verraient le pays, il espère pouvoir bien en profiter car entre voir des photos et vidéos et aller sur place c'est pas pareil du tout...
Sorti de ses pensées par une remarque de Kotai sur sa famille, ah euh oui, c'est vrai qu'il en a pas mal la bas, au Japon il en a beaucoup moins, mais il suppose que ça fait partie de la longue liste de différences entre les deux pays, coude posé sur l'accoudoir de sa chaise, joue posé sur son poing il répond tout en réfléchissant.
-Oh pitié non, sinon ça voudrait dire qu'on va voir tout le monde sans profiter du pays ! Quand on ira un jour je pense qu'on ira se poser chez mes grands parents, comme ça ceux dans la région pourront venir nous voir et on sera pas trop loin de Paris pour visiter la ville... Après même si on a pas pu se voir on a beaucoup discuté par appel vidéos au fil des années, alors ils savent que je suis plutôt du type ours mal léché. Mes cousins en rient, disant que ça peut pas être vrai que je dois être le cliché du japonais tout sage, timide et suivant des règles... Pendant que ma mère éclate de rire dans le fond.
Haha ouais. Ses parents ont pourtant bien insisté sur ça mais ses cousins y croient vraiment pas, comptant bien l'embêter et montrer qui est le 'cousin le plus fort, le plus beau et le plus intelligent de la famille' ils peuvent essayer, Noboru compte pas leur faciliter la tâche, ce qui est bien par contre c'est qu'ils sont tous à peu près dans la même tranche d'âge donc c'est cool.
Ce qui est moins cool c'est le fait qu'il pourra pas sortir sans sa mère le soir, snif, après il pourra sûrement la convaincre d'un kebab nocturne ou de boire un verre ou deux, même si elle veut pas qu'il se balade tout seul pour des raisons très évidentes. Ahem.
Sorti de ses pensées par une remarque de Kotai sur sa famille, ah euh oui, c'est vrai qu'il en a pas mal la bas, au Japon il en a beaucoup moins, mais il suppose que ça fait partie de la longue liste de différences entre les deux pays, coude posé sur l'accoudoir de sa chaise, joue posé sur son poing il répond tout en réfléchissant.
-Oh pitié non, sinon ça voudrait dire qu'on va voir tout le monde sans profiter du pays ! Quand on ira un jour je pense qu'on ira se poser chez mes grands parents, comme ça ceux dans la région pourront venir nous voir et on sera pas trop loin de Paris pour visiter la ville... Après même si on a pas pu se voir on a beaucoup discuté par appel vidéos au fil des années, alors ils savent que je suis plutôt du type ours mal léché. Mes cousins en rient, disant que ça peut pas être vrai que je dois être le cliché du japonais tout sage, timide et suivant des règles... Pendant que ma mère éclate de rire dans le fond.
Haha ouais. Ses parents ont pourtant bien insisté sur ça mais ses cousins y croient vraiment pas, comptant bien l'embêter et montrer qui est le 'cousin le plus fort, le plus beau et le plus intelligent de la famille' ils peuvent essayer, Noboru compte pas leur faciliter la tâche, ce qui est bien par contre c'est qu'ils sont tous à peu près dans la même tranche d'âge donc c'est cool.
Ce qui est moins cool c'est le fait qu'il pourra pas sortir sans sa mère le soir, snif, après il pourra sûrement la convaincre d'un kebab nocturne ou de boire un verre ou deux, même si elle veut pas qu'il se balade tout seul pour des raisons très évidentes. Ahem.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
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ft. Noboru Fujiki
La France était une destination qui faisait rêver nombre de japonais, et bien qu’il ne partageait guère leur engouement, il pouvait le comprendre. Il avait vu des images sur internet, notamment la Tour Eiffel, ainsi que d’autres bâtiments historiques célèbres mais dont il n’avait pas retenu le nom. Mais sa culture virtuelle lui avait aussi appris que les parisiens étaient des râleurs invétérés et que ceux qui allaient malgré tout visiter la capitale française subissaient souvent le syndrome de Paris, et ça, très peu pour lui.
Ses yeux se plissèrent joyeusement alors que Noboru emplissait l’air de sa voix. Mélodie agréable, quand il ne ronchonnait pas. Pour sûr qu’il se fondrait presque dans le décor avec son caractère, et même son apparence ! Hormis ses traits et ses yeux fins, son camarade arborait des couleurs très européennes, avec ses cheveux blonds et ses yeux bleus. Une anomalie dans leur pays, un poisson dans l’eau à l’autre bout du monde.
« Eh bien, ils pourront se faire un meilleur avis quand tu leur rendras visite. Je doute que ton caractère change du tout au tout d’ici là. »
Ou qu’il subisse le moindre véritable changement… Non, non. Il allait s’améliorer, pas vrai ? Quand bien même cela ne le regardait pas plus que cela, après tout, Noboru se sentirait sans doute mieux dans un mode de vie à l’européenne.
« Tu aimerais vivre là-bas, plus tard ? »
La question avait jaillit sur ses lèvres avant même d’être formulée clairement par son esprit, et Kotai afficha un petit air surpris dès qu’il s’en rendit compte.
Ses yeux se plissèrent joyeusement alors que Noboru emplissait l’air de sa voix. Mélodie agréable, quand il ne ronchonnait pas. Pour sûr qu’il se fondrait presque dans le décor avec son caractère, et même son apparence ! Hormis ses traits et ses yeux fins, son camarade arborait des couleurs très européennes, avec ses cheveux blonds et ses yeux bleus. Une anomalie dans leur pays, un poisson dans l’eau à l’autre bout du monde.
« Eh bien, ils pourront se faire un meilleur avis quand tu leur rendras visite. Je doute que ton caractère change du tout au tout d’ici là. »
Ou qu’il subisse le moindre véritable changement… Non, non. Il allait s’améliorer, pas vrai ? Quand bien même cela ne le regardait pas plus que cela, après tout, Noboru se sentirait sans doute mieux dans un mode de vie à l’européenne.
« Tu aimerais vivre là-bas, plus tard ? »
La question avait jaillit sur ses lèvres avant même d’être formulée clairement par son esprit, et Kotai afficha un petit air surpris dès qu’il s’en rendit compte.
Japonais : DarkOrange | Anglais : IndianRed
- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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Noboru sourit légèrement et hoche la tête à la remarque de Kotai, ouais, le côté ours léché restera à vie, peut être plus adouci au fil du temps mais pour l'instant il est très, très bien marqué. Il en profite pour finir ce qu'il a pris excepté les chouquettes, refermant simplement leur petit sachet, continuant d'écouter les paroles de Kotai.
Vivre la bas en France ? Il fronce les sourcils avant de secouer la tête. Noupe. Sa vie serait plus cool sur certains points très important, il est vrai mais... Il est tellement habitué à vivre au Japon que même s'il est pas du type japonais standard ça lui va quand même de rester.
-Oh non, pas du tout. Je suis tellement habitué a vivre au Japon... J'ai connu que ça, même si c'est chiant sur certains points. Humpf, a commencer par le mariage, au moins en France il pourrait se marier comme il veut. Et aller cracher sur les rageux... A la fin de mes études si je finis avec un bon poste payant bien... Je compte y aller tout les ans. J'aimerais bien profiter de la famille la bas avant que je l’apprenne a travers des photos car tel ou tel personne n'est plus de ce monde... Je pense que maman aimerait bien revoir beaucoup de monde pour cette même raison la prochaine fois qu'on va la bas... Du moins dans la mesure du possible suivant le nombre de jours qu'on pourra voyager.
C'est vrai qu'internet c'est bien pour communiquer mais pour voir des proches qu'on apprécie, rien ne vaut mieux que de les voir en face à face... Il espère que ça sera le cas bientôt pour lui et sa famille en tout cas, dès que leurs finances leur permettent ça.
Vivre la bas en France ? Il fronce les sourcils avant de secouer la tête. Noupe. Sa vie serait plus cool sur certains points très important, il est vrai mais... Il est tellement habitué à vivre au Japon que même s'il est pas du type japonais standard ça lui va quand même de rester.
-Oh non, pas du tout. Je suis tellement habitué a vivre au Japon... J'ai connu que ça, même si c'est chiant sur certains points. Humpf, a commencer par le mariage, au moins en France il pourrait se marier comme il veut. Et aller cracher sur les rageux... A la fin de mes études si je finis avec un bon poste payant bien... Je compte y aller tout les ans. J'aimerais bien profiter de la famille la bas avant que je l’apprenne a travers des photos car tel ou tel personne n'est plus de ce monde... Je pense que maman aimerait bien revoir beaucoup de monde pour cette même raison la prochaine fois qu'on va la bas... Du moins dans la mesure du possible suivant le nombre de jours qu'on pourra voyager.
C'est vrai qu'internet c'est bien pour communiquer mais pour voir des proches qu'on apprécie, rien ne vaut mieux que de les voir en face à face... Il espère que ça sera le cas bientôt pour lui et sa famille en tout cas, dès que leurs finances leur permettent ça.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
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ft. Noboru Fujiki
Un déménagement était toujours un projet très demandant, encore plus quand il s’agissait de changer de pays. Entre le logement à trouver, le travail à s’assurer, la maîtrise de la langue et des usages, la gestion administrative… il y avait de quoi se décourager avant même de s’y lancer ! Mais Noboru semblait vouloir s’éviter tous ces tracas, et Kotai étouffa la petite pensée égoïste qui émergea à sa réponse. Si son camarade comptait rester au Japon, peut-être que leur relation pourrait fleurir en quelque chose de plus important. Une… amitié ? C’était si osé de le penser et le jeune homme préféré bannir cette idée de son esprit jusqu’à nouvel ordre.
« Je suppose que c’est tout aussi difficile de perdre quelqu’un à distance que de le vivre directement. La peine dépend seulement de l’attachement que l’on a pour la personne. »
Il ne savait pas ce que c’était de perdre quelqu’un de lointain. D’ouvrir un courrier, un mail, et d’avoir la triste nouvelle écrite noir sur blanc qui résonne comme un coup de tonnerre silencieux dans son coeur. Son visage se teinta brièvement de peine, un simple coup de mou passager alors que son esprit dérivait. Portrait orné de deux rubans noirs. Il inspira profondément et releva les yeux sur son interlocuteur, s’efforçant de retrouver une expression plus posée.
« Il y a sans doute des saisons plus creuses que d’autres ? Ce n’est peut-être pas les périodes les plus touristiques mais justement, cela vous éviterait un afflux de monde. »
Une réflexion censée et à laquelle le blond avait sans doute déjà réfléchi par lui-même, mais au delà de ça, le jeune japonais ne savait pas quoi dire de plus. Les conversations sur la famille n’étaient pas vraiment son fort, et il avait malgré tout fait pas mal d’efforts jusque là pour s’efforcer de répondre et de relancer la discussion. Mais il commençait à sécher. Reprenant distraitement ses baguettes, il tapa un petit croc dans son deuxième manju avant de le reposer sagement, ignorant au passage le chou sucré immangeable.
« Je suppose que c’est tout aussi difficile de perdre quelqu’un à distance que de le vivre directement. La peine dépend seulement de l’attachement que l’on a pour la personne. »
Il ne savait pas ce que c’était de perdre quelqu’un de lointain. D’ouvrir un courrier, un mail, et d’avoir la triste nouvelle écrite noir sur blanc qui résonne comme un coup de tonnerre silencieux dans son coeur. Son visage se teinta brièvement de peine, un simple coup de mou passager alors que son esprit dérivait. Portrait orné de deux rubans noirs. Il inspira profondément et releva les yeux sur son interlocuteur, s’efforçant de retrouver une expression plus posée.
« Il y a sans doute des saisons plus creuses que d’autres ? Ce n’est peut-être pas les périodes les plus touristiques mais justement, cela vous éviterait un afflux de monde. »
Une réflexion censée et à laquelle le blond avait sans doute déjà réfléchi par lui-même, mais au delà de ça, le jeune japonais ne savait pas quoi dire de plus. Les conversations sur la famille n’étaient pas vraiment son fort, et il avait malgré tout fait pas mal d’efforts jusque là pour s’efforcer de répondre et de relancer la discussion. Mais il commençait à sécher. Reprenant distraitement ses baguettes, il tapa un petit croc dans son deuxième manju avant de le reposer sagement, ignorant au passage le chou sucré immangeable.
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- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Noboru sirote sa boisson ayant survécu plus longtemps que la nourriture, hochant la tête aux dires de Kotai, oui, c'est sur que perdre quelqu'un de proche fera toujours plus de mal que de perdre une connaissance ou de la famille très éloignée... Il espère juste pouvoir beaucoup profiter de passer du temps avec sa famille en France avant de connaître ce genre de choses...
Il note le changement d'air sur le visage de Kotai avant que celui-ci passe à autre chose, parlant de saisons creuses et d'afflux touristiques réduit, oh oui, sans problème, il perd pas de temps à l'expliquer.
-Ouais, comme pour partout t'as des saisons ou les gens voyagent plus que d'autres, l'été et l'hiver je crois que c'est les saisons ou tu as le plus de monde en France ? Ça serait logique vu qu'en plus d'avoir les touristes tu as beaucoup de personnes du pays en vacances profitant pour voyager et voir du pays, mais si on visite j'espère très fort que ça sera au printemps ou je vais cuire...
Rien que de penser aux canicules sans clim il a chaud lui... Urgh. Heureusement qu'ils ont toujours eu une clim dans leur logement, même si sur Tokyo c'était des vielles clim fonctionnant il ne sait comment... Franchement elles devaient être super bien conçus car ses parents et lui faisaient juste l'entretien basique dessus... Finissant par réfléchir à tout un tas de choses il finit par poser une question à Kotai.
-T'as des projets en particulier sur Kobe toi ? J'veux dire... Pas seulement le temps de tes études mais... Une fois que tu seras diplômé tu voudras faire quoi ? Trouver du travail dans le coin ? Partir ailleurs dans le Japon ? J'aurais bien ajouté 'partir à l'étranger' mais tu m'a pas l'air d'être ce genre de personne... Et oh. Pendant les études t'as des projets que t'aimerais bien accomplir ? Je parle pas de projets immenses du type 'Construire une armée de robots !' mais juste... Avoir une boule de poils ? Un travail ? Un appartement ?
Il est curieux de savoir si Kotai à ce genre de projets en tête... Lui est bien dans la région, si bien qu'il pense pas vouloir bouger dans le futur, après tout il a ses parents dans le coin, un réseau de transport très efficace pour aller jusqu’à chez ses grands parents, une grande ville juste à côté ou plein d'emplois sont disponibles puis... C'est super agréable Kobe comme ville.
Il note le changement d'air sur le visage de Kotai avant que celui-ci passe à autre chose, parlant de saisons creuses et d'afflux touristiques réduit, oh oui, sans problème, il perd pas de temps à l'expliquer.
-Ouais, comme pour partout t'as des saisons ou les gens voyagent plus que d'autres, l'été et l'hiver je crois que c'est les saisons ou tu as le plus de monde en France ? Ça serait logique vu qu'en plus d'avoir les touristes tu as beaucoup de personnes du pays en vacances profitant pour voyager et voir du pays, mais si on visite j'espère très fort que ça sera au printemps ou je vais cuire...
Rien que de penser aux canicules sans clim il a chaud lui... Urgh. Heureusement qu'ils ont toujours eu une clim dans leur logement, même si sur Tokyo c'était des vielles clim fonctionnant il ne sait comment... Franchement elles devaient être super bien conçus car ses parents et lui faisaient juste l'entretien basique dessus... Finissant par réfléchir à tout un tas de choses il finit par poser une question à Kotai.
-T'as des projets en particulier sur Kobe toi ? J'veux dire... Pas seulement le temps de tes études mais... Une fois que tu seras diplômé tu voudras faire quoi ? Trouver du travail dans le coin ? Partir ailleurs dans le Japon ? J'aurais bien ajouté 'partir à l'étranger' mais tu m'a pas l'air d'être ce genre de personne... Et oh. Pendant les études t'as des projets que t'aimerais bien accomplir ? Je parle pas de projets immenses du type 'Construire une armée de robots !' mais juste... Avoir une boule de poils ? Un travail ? Un appartement ?
Il est curieux de savoir si Kotai à ce genre de projets en tête... Lui est bien dans la région, si bien qu'il pense pas vouloir bouger dans le futur, après tout il a ses parents dans le coin, un réseau de transport très efficace pour aller jusqu’à chez ses grands parents, une grande ville juste à côté ou plein d'emplois sont disponibles puis... C'est super agréable Kobe comme ville.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
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❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Fix me up or put me down. It's your call.
ft. Noboru Fujiki
Petite bouchée savourée et avalée, il acquiesce les paroles de son camarade. Oui, il voyait vaguement le concept de saison haute, saison basse, ce n’était pas étonnant que cela soit commun à une large majorité des destinations de choix. Le Japon le subissait également, il suffisait de voir l’afflux d’étrangers à certaines époques de l’année pour s’en rendre compte. Osaka n’y échappait pas. Ce n’était certes pas aussi touristique que Tokyo, mais nombre de visiteurs s’y arrêtaient malgré tout et il se souvenait de certains commentaires de sa mère à leur sujet. Même si elle n’appréciait pas tant que cela les européens, elle avait bien davantage de bile à l’encontre des américains qui, selon elle, ne savaient pas respecter leurs coutumes ou observer un minimum de politesse dans les lieux publics.
La surprise éclaira alors ses yeux noirs tandis qu’une avalanche de questions lui déferla dessus sans crier gare. Cette attention sortait de nulle part et il sentit ses joues se colorer face à toutes ces interrogations successives que son esprit peinait à enregistrer. Des projets ? Du travail ? Une… boule de poils ? Pourquoi est-ce qu’il voudrait un mouton de poussière ? Oh, à moins qu’il parlait d’un animal de compagnie ? Euuuh…. Panique dans son regard, il se recula dans le fond de sa chaise, lèvres pincées en une moue malaisée.
« Je… euh… » bredouilla-t-il, sans trop savoir quoi répondre.
Mains jointes, il commença à se les triturer nerveusement. Pourquoi est-ce que Noboru voulait savoir tout cela ? Cela n’avait aucune importance, si bien que…
« J-Je ne sais pas. » Aveu amer. « Je suppose que j’aurai plus d’opportunités aux alentours de Tokyo mais pour le reste… Je n’en sais rien. »
C’était si difficile de se projeter quand on n’avait pas vraiment le droit d’organiser sa vie comme on l’entendait. Il savait que sa mère finirait par gagner - c’était toujours le cas - et alors il se contenterait de faire comme elle le souhaitait. Sa maison. Son épouse. Même un animal de compagnie. Elle aurait son mot à dire. Soupir réprimé, un murmure se glissa malgré tout entre ses lèvres.
« Je… J’aimerai bien une vie simple. »
La surprise éclaira alors ses yeux noirs tandis qu’une avalanche de questions lui déferla dessus sans crier gare. Cette attention sortait de nulle part et il sentit ses joues se colorer face à toutes ces interrogations successives que son esprit peinait à enregistrer. Des projets ? Du travail ? Une… boule de poils ? Pourquoi est-ce qu’il voudrait un mouton de poussière ? Oh, à moins qu’il parlait d’un animal de compagnie ? Euuuh…. Panique dans son regard, il se recula dans le fond de sa chaise, lèvres pincées en une moue malaisée.
« Je… euh… » bredouilla-t-il, sans trop savoir quoi répondre.
Mains jointes, il commença à se les triturer nerveusement. Pourquoi est-ce que Noboru voulait savoir tout cela ? Cela n’avait aucune importance, si bien que…
« J-Je ne sais pas. » Aveu amer. « Je suppose que j’aurai plus d’opportunités aux alentours de Tokyo mais pour le reste… Je n’en sais rien. »
C’était si difficile de se projeter quand on n’avait pas vraiment le droit d’organiser sa vie comme on l’entendait. Il savait que sa mère finirait par gagner - c’était toujours le cas - et alors il se contenterait de faire comme elle le souhaitait. Sa maison. Son épouse. Même un animal de compagnie. Elle aurait son mot à dire. Soupir réprimé, un murmure se glissa malgré tout entre ses lèvres.
« Je… J’aimerai bien une vie simple. »
Japonais : DarkOrange | Anglais : IndianRed
- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Noboru est surpris de la réaction de Kotai à ses questions, pas par les mots prononcés non, par son visage affichant la surprise et l'incompréhension, il sait que c'est un gros changement de sujet mais il s'attendait pas a ça, surtout quand la panique commence à se lire des ses yeux.
Il était sur le point de s'excuser, de changer de question, de lui dire d'oublier, que c'est pas grave quand... Kotai fini par prendre la parole. Au début rien de plus que des syllabes bredouiller avant de prendre de l'assurance ? Non. Pas de l'assurance. De la nervosité ? De l'inquiétude ? De la peur ? Il sait pas trop... Il sait juste que c'est pas vraiment une réaction normale vu les questions qu'il vient de poser.
Alors quand Kotai commence à vraiment prendre la parole il écoute. Il dit rien, il reste attentif, il essaie de voir comment est Kotai, comment il parle, comment il réagi. Et... Il aime pas trop ce qu'il voit.
Il à l’impression de voir un Kotai tout résigné, écrasé, effacé, maquillé, invisible... Une personne prenant un chemin en direction de son avenir dont elle peut pas dévier, dont elle peut pas s'échapper, déjà pensé, déjà écrit, déjà organisé.
Pourquoi il a cette impression ? Pourquoi la manière dont Kotai s'exprime lui déplaît ? Pourquoi il à l'impression de pas avoir tout les éléments pour comprendre ce qu'il dit ?
Kotai parle bien de choses, suppose des choses, espère une vie simple mais... La manière dont il en parle ne donne pas l'impression qu'il se projette vraiment ou directement dans cet avenir, plus quelque chose du type 'Oh euh... On verra bien ou je finis haha' Comme s'il voulait pas ou pouvait pas se projeter. Même pour des choses simples comme une boule de poils ou un travail.
Il est vraiment inquiet pour Kotai, il sait pas s'il s'imagine des choses ou si son cerveau à raison de s'agiter en mode 'Danger ! Danger !' après avoir écouté et réfléchi sur les mots venants d'être dit mais... Il fini par parler avant même d'avoir pu réfléchi posément a toutes les possibilités
-Tu suppose car tu sais pas ce que tu veux pour plus tard ou car on t'impose ce que tu veux pour plus tard ? Je sais pas c'est quoi ta situation entre les deux mais... Sache que je suis la pour toi moi, que ce soit pour parler, te changer les idées, t'aider pour quelque chose, je suis pas l'humain parfait mais euh... Je ferais au mieux, d'accord ? Je dirais bien de vivre ta vie, d'aller envoyer balader tout ceux t'empêchant de faire comme tu l'entend mais euh, s'ils payent tout pour toi ça va être compliqué, surtout si tu peux pas encore travailler.
J'espère juste que dans le futur un jour tu aura la force et le soutien pour faire ce que tu veux, vivre comme tu veux et pouvoir profiter de chaque moment, pouvoir te dire que tout ce que tu as fait pour en arriver la valait la peine, valait les bons moments, les mauvais moments, les larmes, les rires, les cris, les mots.
Ahem. Euh... Il aurait peut être pas du parler la ? Non ? Si ? Euh... Il sait vraiment pas si ce qu'il a dit était bien ou non, était ce qu'il fallait ou non, allait l'aider ou non, Noboru espère juste que ça fera pas de mal à Kotai...
-Et... Si je me suis un peu trop emporté dans mes paroles... Ou que j'ai supposé de mauvaises choses... Sache que je suis désolé et que c'était pas le but. Je... Je veux juste être la pour toi, malgré comment je suis, malgré mon caractère, malgré les potentielles prises de tête dans le futur, d'accord ?
Il était sur le point de s'excuser, de changer de question, de lui dire d'oublier, que c'est pas grave quand... Kotai fini par prendre la parole. Au début rien de plus que des syllabes bredouiller avant de prendre de l'assurance ? Non. Pas de l'assurance. De la nervosité ? De l'inquiétude ? De la peur ? Il sait pas trop... Il sait juste que c'est pas vraiment une réaction normale vu les questions qu'il vient de poser.
Alors quand Kotai commence à vraiment prendre la parole il écoute. Il dit rien, il reste attentif, il essaie de voir comment est Kotai, comment il parle, comment il réagi. Et... Il aime pas trop ce qu'il voit.
Il à l’impression de voir un Kotai tout résigné, écrasé, effacé, maquillé, invisible... Une personne prenant un chemin en direction de son avenir dont elle peut pas dévier, dont elle peut pas s'échapper, déjà pensé, déjà écrit, déjà organisé.
Pourquoi il a cette impression ? Pourquoi la manière dont Kotai s'exprime lui déplaît ? Pourquoi il à l'impression de pas avoir tout les éléments pour comprendre ce qu'il dit ?
Kotai parle bien de choses, suppose des choses, espère une vie simple mais... La manière dont il en parle ne donne pas l'impression qu'il se projette vraiment ou directement dans cet avenir, plus quelque chose du type 'Oh euh... On verra bien ou je finis haha' Comme s'il voulait pas ou pouvait pas se projeter. Même pour des choses simples comme une boule de poils ou un travail.
Il est vraiment inquiet pour Kotai, il sait pas s'il s'imagine des choses ou si son cerveau à raison de s'agiter en mode 'Danger ! Danger !' après avoir écouté et réfléchi sur les mots venants d'être dit mais... Il fini par parler avant même d'avoir pu réfléchi posément a toutes les possibilités
-Tu suppose car tu sais pas ce que tu veux pour plus tard ou car on t'impose ce que tu veux pour plus tard ? Je sais pas c'est quoi ta situation entre les deux mais... Sache que je suis la pour toi moi, que ce soit pour parler, te changer les idées, t'aider pour quelque chose, je suis pas l'humain parfait mais euh... Je ferais au mieux, d'accord ? Je dirais bien de vivre ta vie, d'aller envoyer balader tout ceux t'empêchant de faire comme tu l'entend mais euh, s'ils payent tout pour toi ça va être compliqué, surtout si tu peux pas encore travailler.
J'espère juste que dans le futur un jour tu aura la force et le soutien pour faire ce que tu veux, vivre comme tu veux et pouvoir profiter de chaque moment, pouvoir te dire que tout ce que tu as fait pour en arriver la valait la peine, valait les bons moments, les mauvais moments, les larmes, les rires, les cris, les mots.
Ahem. Euh... Il aurait peut être pas du parler la ? Non ? Si ? Euh... Il sait vraiment pas si ce qu'il a dit était bien ou non, était ce qu'il fallait ou non, allait l'aider ou non, Noboru espère juste que ça fera pas de mal à Kotai...
-Et... Si je me suis un peu trop emporté dans mes paroles... Ou que j'ai supposé de mauvaises choses... Sache que je suis désolé et que c'était pas le but. Je... Je veux juste être la pour toi, malgré comment je suis, malgré mon caractère, malgré les potentielles prises de tête dans le futur, d'accord ?
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Fix me up or put me down. It's your call.
ft. Noboru Fujiki
Tout naturellement, le jeune homme avait baissé les yeux, contemplant les stries boisées de la table. S’il était embarrassé de ne pouvoir offrir que des réponses vagues ? Bien évidemment. Il aurait été tellement plus simple que la conversation demeure centrée sur Noboru, sa famille et l’étranger. Des sujets plus légers, au moins, en dépit de ce que son camarade et ses parents avaient pu traverser. Le soleil semblait briller enfin pour eux, et Kotai leur souhaitait de tout coeur que cela continue ainsi.
Mais voilà, réponse insatisfaisante ou non, c’était tout ce dont son camarade ursidé allait devoir se contenter, et puisque le silence semblait revenir, Kotai pensa que le sujet pouvait être clos. Allons, ce n’était qu’un petit nuage passager, de quoi pourraient-ils bien parler à présent ? Et alors qu’il essayait de faire tourner ses méninges, Noboru décida de reprendre la parole avant lui. Mots amers. Face à eux, il resta bouche bée un instant, yeux toujours tournés vers la table. Non. Enfin, ce n’était pas qu’on lui imposait, il en avait parfois la sensation, mais dans le fond…
« Ma mère sait ce qui est bon pour moi, et il est normal pour un fils de suivre la volonté de ses géniteurs pour les rendre fiers. »
Inspire. Il relève les yeux et malgré la tristesse au fond de ceux-ci, il essaya de garder la tête haute, comme pour marquer d’assurance ses paroles.
« Toutes les familles sont différentes, autant dans leur composition que dans leur dynamique. Je pense voir de l’inquiétude en toi, mais cela n’a pas lieu d’être tu sais. Ma vie est plus agréable depuis que je suis à Kobe, grâce aux rencontres que j’ai pu faire. » A certaines personnes désagréables qu’il avait pu laisser derrière. « Et je suis heureux de pouvoir faire ma scolarité à tes côtés. »
Il plissa les yeux alors qu’un semblant de sourire donnait presque l’impression de flotter sur son visage neutre.
« Ce n’est pas grave de ne pas se projeter soi-même, il y a malgré tout des pans de mon futur que je pourrais dessiner par moi-même, et je serais honoré que tu en fasses partie. »
Résignation. Il ne se faisait pas toujours une raison, mais il ne pouvait pas non plus laisser son camarade penser que sa situation n'était pas normale. La seule anomalie dans l'équation, c'était lui-même.
Mais voilà, réponse insatisfaisante ou non, c’était tout ce dont son camarade ursidé allait devoir se contenter, et puisque le silence semblait revenir, Kotai pensa que le sujet pouvait être clos. Allons, ce n’était qu’un petit nuage passager, de quoi pourraient-ils bien parler à présent ? Et alors qu’il essayait de faire tourner ses méninges, Noboru décida de reprendre la parole avant lui. Mots amers. Face à eux, il resta bouche bée un instant, yeux toujours tournés vers la table. Non. Enfin, ce n’était pas qu’on lui imposait, il en avait parfois la sensation, mais dans le fond…
« Ma mère sait ce qui est bon pour moi, et il est normal pour un fils de suivre la volonté de ses géniteurs pour les rendre fiers. »
Inspire. Il relève les yeux et malgré la tristesse au fond de ceux-ci, il essaya de garder la tête haute, comme pour marquer d’assurance ses paroles.
« Toutes les familles sont différentes, autant dans leur composition que dans leur dynamique. Je pense voir de l’inquiétude en toi, mais cela n’a pas lieu d’être tu sais. Ma vie est plus agréable depuis que je suis à Kobe, grâce aux rencontres que j’ai pu faire. » A certaines personnes désagréables qu’il avait pu laisser derrière. « Et je suis heureux de pouvoir faire ma scolarité à tes côtés. »
Il plissa les yeux alors qu’un semblant de sourire donnait presque l’impression de flotter sur son visage neutre.
« Ce n’est pas grave de ne pas se projeter soi-même, il y a malgré tout des pans de mon futur que je pourrais dessiner par moi-même, et je serais honoré que tu en fasses partie. »
Résignation. Il ne se faisait pas toujours une raison, mais il ne pouvait pas non plus laisser son camarade penser que sa situation n'était pas normale. La seule anomalie dans l'équation, c'était lui-même.
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- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Noboru sirote ce qu'il lui reste de boissons, espérant pas avoir dit trop de bêtises ou blessé Kotai quand- Eh ? Ah euh ? QUOI ?! C'est quoi se ramassis de co**eries sorti la ? Il s'étouffe carrément en buvant une gorgée, essayant de prendre la parole, absolument surpris et choqué des dires de Kotai.
-Wha-
Il peut même pas en placer une que Kotai poursuit... Comment ça les familles sont différentes ? Comment ça pas les mêmes dynamiques ? Comment ça vie plus agréable depuis qu'il est sur Kobe ? Noboru s'enfonce dans sa chaise, se remettant petit a petit de sa gorgée bue de travers, absolument...
Nan. Franchement ? Il a pas les mots. A quel point ? Mais vraiment a quel point ses parents lui ont enfoncé ça dans le crâne pour lui faire croire qu'il doit suivre tout ce qu'ils disent, tout ce qu'il demandent ?! Au point ou il a quasi zéro contrôle sur son avenir ! Mais c'est débile ! C'est totalement débile !
Ça va être quoi la suite ? Ils vont choisir son appartement, sa future femme, la ou il travaillera et a quel poste ?! Non mais ils ont fumé quoi quand ils ont rentré ça dans son crâne ?! Et ils ont utilisé quelles menaces ? Celles du type ou le fout dehors ? Le bat ? Le jette sur le bas côté ? L'expédie à l'autre bout du pays et on l'oublie ?
Woooow... C'est noté que la famille de Kotai sont des abrutis de première.
Et le pire dans tout ça. Le pire. VOUS SAVEZ C'EST QUOI ?! C'est Kotai... Qui dit tout simplement qu'il aimerait bien qu'il fasse parti de son futur. Noboru peut pas s'empêcher de rire nerveusement pendant quelques secondes en entendant ça, avant de se calmer assez pour parler.
-Oh mais avec la famille de je ne sais quoi qui est prêt à te jeter sur le bas côté pour un oui ou un non ? Et avec toi qui suit le moindre de leur désir de peur d'être considéré comme un jouet fonctionnant mal et bon pour la casse ? Kotai. Écoute moi. Jamais je te laisserais seul avec cette bande d’abrutis. Et non. Chut. Rendre fier ses parents ok, je comprend, je veux faire pareil pour les miens.
Il inspire un bon coup, se massant les tempes, s'imaginant bien les deux abrutis élever Kotai la et le casser jusqu’à qu'il finisse comme actuellement, avec des bandages pour que l’extérieur apparisse normal mais l’intérieur tout brisé, tout abimé, tout délaissé.
-Mais il y'a une différence rentre rendre fier ses parents en faisant des choses qui iraient leur faire plaisir comme avoir un petit boulot, passer le permis, reprendre les études... Et celle de les laisser dicter ce que tu feras plus tard, ou tu vivras plus tard, avec qui tu seras en couple plus tard, ou tu travailleras plus tard ! Bordel Kotai ! Ta vie c'est pour toi, c'est pour te faire plaisir, pour que tu vive tes propres expériences... Pas pour que tu fasse plaisir a une bande d'abrutis prêt a te jeter sur le bas côté... Car t'es pas normal selon leurs critères si tu fais un truc qu'ils veulent pas... Pitié Kotai... Tu mérite mieux...
Noboru est enfoncé dans sa chaise, mine triste en pensant a tout ce qu'a dû manquer Kotai si ses parents sont si stricts avec lui... Lèvre entre ses dents il réfléchi, il réfléchi à la vie que Kotai à du vivre, sans amour, sans tendresse, toujours avec le stress d'être a la hauteur ou d'être délaissé, abandonné, oublié... Et... Ça lui fait pas vraiment du bien...
-Franchement Kotai. Je sais que je t'ai secoué l'autre fois. Je sais que je dois être une des personnes les moins bien placés pour parler de ça mais... Même si ma famille était pauvre, même si j’étais pas du tout le fils parfait... J'ai jamais manqué d'amour, j'ai jamais manqué d'attention, mes parents m'ont toujours encouragé à faire de mon mieux, a vivre comme je l'entends, comme ça me plaît. Ils étaient fiers de moi avant... Ils le sont encore plus maintenant que je suis ici et... A la fin. J'espère pouvoir prendre une photo. Avec mon diplôme. Avec eux. Avec toi. Et... Avec ton sourire. Pas un lourd fardeau sur tes épaules.
… Il se rend compte que ça explique pas mal de choses sur Kotai et que ça en expliquera bien d'autre quand il le connaîtra encore mieux... Un soupire quitte ses lèvres à nouveau, une main passant dans ses cheveux blonds, ses yeux se posant sur Kotai, tristes, plein de compassion pour lui mais avec l'espoir qu'un avenir meilleur l'attend plus tard.
Car Kotai le mérite. Il mérite un avenir heureux. Un le faisant sourire tout les jours. Un bien soutenu. Bien entouré.
-Wha-
Il peut même pas en placer une que Kotai poursuit... Comment ça les familles sont différentes ? Comment ça pas les mêmes dynamiques ? Comment ça vie plus agréable depuis qu'il est sur Kobe ? Noboru s'enfonce dans sa chaise, se remettant petit a petit de sa gorgée bue de travers, absolument...
Nan. Franchement ? Il a pas les mots. A quel point ? Mais vraiment a quel point ses parents lui ont enfoncé ça dans le crâne pour lui faire croire qu'il doit suivre tout ce qu'ils disent, tout ce qu'il demandent ?! Au point ou il a quasi zéro contrôle sur son avenir ! Mais c'est débile ! C'est totalement débile !
Ça va être quoi la suite ? Ils vont choisir son appartement, sa future femme, la ou il travaillera et a quel poste ?! Non mais ils ont fumé quoi quand ils ont rentré ça dans son crâne ?! Et ils ont utilisé quelles menaces ? Celles du type ou le fout dehors ? Le bat ? Le jette sur le bas côté ? L'expédie à l'autre bout du pays et on l'oublie ?
Woooow... C'est noté que la famille de Kotai sont des abrutis de première.
Et le pire dans tout ça. Le pire. VOUS SAVEZ C'EST QUOI ?! C'est Kotai... Qui dit tout simplement qu'il aimerait bien qu'il fasse parti de son futur. Noboru peut pas s'empêcher de rire nerveusement pendant quelques secondes en entendant ça, avant de se calmer assez pour parler.
-Oh mais avec la famille de je ne sais quoi qui est prêt à te jeter sur le bas côté pour un oui ou un non ? Et avec toi qui suit le moindre de leur désir de peur d'être considéré comme un jouet fonctionnant mal et bon pour la casse ? Kotai. Écoute moi. Jamais je te laisserais seul avec cette bande d’abrutis. Et non. Chut. Rendre fier ses parents ok, je comprend, je veux faire pareil pour les miens.
Il inspire un bon coup, se massant les tempes, s'imaginant bien les deux abrutis élever Kotai la et le casser jusqu’à qu'il finisse comme actuellement, avec des bandages pour que l’extérieur apparisse normal mais l’intérieur tout brisé, tout abimé, tout délaissé.
-Mais il y'a une différence rentre rendre fier ses parents en faisant des choses qui iraient leur faire plaisir comme avoir un petit boulot, passer le permis, reprendre les études... Et celle de les laisser dicter ce que tu feras plus tard, ou tu vivras plus tard, avec qui tu seras en couple plus tard, ou tu travailleras plus tard ! Bordel Kotai ! Ta vie c'est pour toi, c'est pour te faire plaisir, pour que tu vive tes propres expériences... Pas pour que tu fasse plaisir a une bande d'abrutis prêt a te jeter sur le bas côté... Car t'es pas normal selon leurs critères si tu fais un truc qu'ils veulent pas... Pitié Kotai... Tu mérite mieux...
Noboru est enfoncé dans sa chaise, mine triste en pensant a tout ce qu'a dû manquer Kotai si ses parents sont si stricts avec lui... Lèvre entre ses dents il réfléchi, il réfléchi à la vie que Kotai à du vivre, sans amour, sans tendresse, toujours avec le stress d'être a la hauteur ou d'être délaissé, abandonné, oublié... Et... Ça lui fait pas vraiment du bien...
-Franchement Kotai. Je sais que je t'ai secoué l'autre fois. Je sais que je dois être une des personnes les moins bien placés pour parler de ça mais... Même si ma famille était pauvre, même si j’étais pas du tout le fils parfait... J'ai jamais manqué d'amour, j'ai jamais manqué d'attention, mes parents m'ont toujours encouragé à faire de mon mieux, a vivre comme je l'entends, comme ça me plaît. Ils étaient fiers de moi avant... Ils le sont encore plus maintenant que je suis ici et... A la fin. J'espère pouvoir prendre une photo. Avec mon diplôme. Avec eux. Avec toi. Et... Avec ton sourire. Pas un lourd fardeau sur tes épaules.
… Il se rend compte que ça explique pas mal de choses sur Kotai et que ça en expliquera bien d'autre quand il le connaîtra encore mieux... Un soupire quitte ses lèvres à nouveau, une main passant dans ses cheveux blonds, ses yeux se posant sur Kotai, tristes, plein de compassion pour lui mais avec l'espoir qu'un avenir meilleur l'attend plus tard.
Car Kotai le mérite. Il mérite un avenir heureux. Un le faisant sourire tout les jours. Un bien soutenu. Bien entouré.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Fix me up or put me down. It's your call.
ft. Noboru Fujiki
Est-ce qu’il était satisfait de sa réponse ? Encore une fois, une petite voix au fond de sa tête lui chuchotait que non, mais c’était plus simple de l’ignorer, de la bousculer encore plus loin et de l’étouffer sous des désirs inaccessibles. Il ne devait pas penser ainsi. A force de sacrifices, il finirait bien par obtenir ce qu’il voulait si ardemment. Un peu d’amour, de reconnaissance. Il le mériterait un jour. Un jour…
La réaction brusque de son camarade le prend de court, presque autant que la nuée de questions qui avait entraîné cet échange maladroit. Boisson mal passée. Par réflexe, il lui tend une serviette alors que le blond le fixe comme s’il venait d’une autre planète. Son rire n’a rien de joyeux, et il ne peut que le regarder en retour, sans trop savoir quoi faire. Il pensait avoir géré la situation, mais Noboru continuait à se faire des films dans sa tête. Et pas que dans sa tête puisque ses lèvres laissaient libre court à une logorrhée vindicative à l’encontre de ses parents. Kotai fronça les sourcils, sans comprendre. Il entrouvre la bouche, prêt à intervenir, à le reprendre quand les mots deviennent des insultes, mais le blond enchaîne, encore et encore. Il aimerait dire que ce n’était que des suppositions de sa part, mais ce serait mentir, alors, il se contente de le fixer, regard médusé.
Enchâssés les uns aux autres, ses doigts se pressent fermement entre eux. Jointures blanchies. Léger craquement. Il ne peut qu’écouter. Impuissant. C’est un véritable procès qui leur est fait, aussi bien frontal qu’indirectement. Mais il lui avait dit pourtant : leurs familles étaient différentes. Les attentes qui pesaient sur eux étaient différentes.
« ….Je ne sais pas sourire. » Ton de reproche. Envers lui-même plutôt que véritablement adressé à son interlocuteur. « Et tu ne sais rien. T-T-Tu t’emportes sans avoir la m-moindre idée de la situation, sans connaître mes parents. »
Mordillement de lèvres. Il cherche ses mots, mais ceux-ci affluent déjà sur sa langue, sans qu’il puisse les contrôler, les adoucir. Il ne veut pas se montrer blessant, mais malgré tout ce qu’il avait vécu, enduré, sacrifié, il leur restait fidèle. Amour à sens unique, une part de lui le voyait et voulait désespérément que les mots de son camarade lèvent le voile qui obscurcissait son regard, mais cette petite voix était encore trop faible.
« Tu ne sais pas à quel point j’étais un enfant difficile. M-ma mère a toujours fait ce qu’elle a p-pu, ce n’est p-p-pas de sa faute si je l’ai déçue et si Chiemi- » Il s’arrête. Prononcé à voix haute, son nom est comme un coup de poignard en plein coeur. Kotai baisse la tête, honteux, triste, alors qu’il se rassoit, sans même avoir conscience du moment où il avait pu se lever. « … On a pas tous la même vie ni les mêmes devoirs, Fujiki-san. C’est une bonne chose pour toi si l’éducation que tes parents t’ont donné te convient, si votre dynamique te plaît telle qu’elle est. Mais tu ne peux pas vouloir l’imposer à d’autres. C’est peut-être le seul moyen que j’ai de leur rendre le sourire, de leur donner à nouveau quelqu’un dont ils pourront être fiers. Je mentirais si je disais que ça ne me chagrine pas de mettre de côté mes propres envies, mais il le faut. »
Sa voix s’étrangle sur les derniers mots qu’il prononce mais ses yeux demeurent secs. Il ne pleurerait pas. Il l’avait déjà trop fait à ce sujet-là.
La réaction brusque de son camarade le prend de court, presque autant que la nuée de questions qui avait entraîné cet échange maladroit. Boisson mal passée. Par réflexe, il lui tend une serviette alors que le blond le fixe comme s’il venait d’une autre planète. Son rire n’a rien de joyeux, et il ne peut que le regarder en retour, sans trop savoir quoi faire. Il pensait avoir géré la situation, mais Noboru continuait à se faire des films dans sa tête. Et pas que dans sa tête puisque ses lèvres laissaient libre court à une logorrhée vindicative à l’encontre de ses parents. Kotai fronça les sourcils, sans comprendre. Il entrouvre la bouche, prêt à intervenir, à le reprendre quand les mots deviennent des insultes, mais le blond enchaîne, encore et encore. Il aimerait dire que ce n’était que des suppositions de sa part, mais ce serait mentir, alors, il se contente de le fixer, regard médusé.
Enchâssés les uns aux autres, ses doigts se pressent fermement entre eux. Jointures blanchies. Léger craquement. Il ne peut qu’écouter. Impuissant. C’est un véritable procès qui leur est fait, aussi bien frontal qu’indirectement. Mais il lui avait dit pourtant : leurs familles étaient différentes. Les attentes qui pesaient sur eux étaient différentes.
« ….Je ne sais pas sourire. » Ton de reproche. Envers lui-même plutôt que véritablement adressé à son interlocuteur. « Et tu ne sais rien. T-T-Tu t’emportes sans avoir la m-moindre idée de la situation, sans connaître mes parents. »
Mordillement de lèvres. Il cherche ses mots, mais ceux-ci affluent déjà sur sa langue, sans qu’il puisse les contrôler, les adoucir. Il ne veut pas se montrer blessant, mais malgré tout ce qu’il avait vécu, enduré, sacrifié, il leur restait fidèle. Amour à sens unique, une part de lui le voyait et voulait désespérément que les mots de son camarade lèvent le voile qui obscurcissait son regard, mais cette petite voix était encore trop faible.
« Tu ne sais pas à quel point j’étais un enfant difficile. M-ma mère a toujours fait ce qu’elle a p-pu, ce n’est p-p-pas de sa faute si je l’ai déçue et si Chiemi- » Il s’arrête. Prononcé à voix haute, son nom est comme un coup de poignard en plein coeur. Kotai baisse la tête, honteux, triste, alors qu’il se rassoit, sans même avoir conscience du moment où il avait pu se lever. « … On a pas tous la même vie ni les mêmes devoirs, Fujiki-san. C’est une bonne chose pour toi si l’éducation que tes parents t’ont donné te convient, si votre dynamique te plaît telle qu’elle est. Mais tu ne peux pas vouloir l’imposer à d’autres. C’est peut-être le seul moyen que j’ai de leur rendre le sourire, de leur donner à nouveau quelqu’un dont ils pourront être fiers. Je mentirais si je disais que ça ne me chagrine pas de mettre de côté mes propres envies, mais il le faut. »
Sa voix s’étrangle sur les derniers mots qu’il prononce mais ses yeux demeurent secs. Il ne pleurerait pas. Il l’avait déjà trop fait à ce sujet-là.
Japonais : DarkOrange | Anglais : IndianRed
- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Silence ambiant. La tension baisse a nouveau. Noboru prend le temps de souffler, se demandant si Kotai à compris ce qu'il voulait dire ou non. Mais ce qu'il entend juste après... Bordel Kotai, t'as tant manqué d'amour que ça ? Comment ça il connaît rien ? Sait rien ? N'a pas idée ? Peut être oui. Mais il voit les conséquences face a lui et il a vraiment de la peine pour Kotai...
Il observe Kotai, le voyant indécis, en pleine réflexion, mordillant ses lèvres, il comprend pas pourquoi avant qu'il prenne la parole. Et Wow. Oh wow. Kotai enfant difficile ? Haha, peut être après l'avoir abandonné, quasi jeté, quasi oublié à part pour lui coller trois tonnes de règles à suivre, un avenir tout tracé et des demandes intenable oui !
Famille pourrie va !
Comment ça ils ont pas les mêmes devoirs, comment ça subir ce genre de vie est le seul moyen de leur rendre le sourire ? Comment ça leur donner à nouveau quelqu'un dont ils seront fiers ? Comment ça il est prêt à mettre ses désirs, ses envies, sa vie de coté ? Pour eux en plus ! Mais p**ain que quelqu'un vienne soutenir Kotai la ! C'est du délire !
Et c'est qui cette Chiemi ? Hum... Il garde l'information de côté, pour l'instant il est plus choqué par tout le ramassis de bêtises que Kotai vient de sortir et l'heure est grave la bordel !
-Mais enfin Kotai, tu vis pour toi ! Pas pour leur faire plaisir a eux ! Je m'en fiche que ça soit soit pas la même famille, la même vie, les mêmes devoirs, ta vie c'est pour toi, pas pour eux bordel ! Je refuse que tu mette ta vie en pause pour le restant de tes jours juste dans l'espoir de les rendre fiers ! S'ils sont pas fier de toi maintenant ils seront jamais fier de toi dans le fur car il faudra encore, et encore et encore et encore et toujours que tu monte et monte et monte dans tout ce que tu dois faire, tout ce que tu dois sacrifier, tout ce que tu dois abandonner ! Toutes leurs attentes ! C'est ça que tu veux ? Vivre ta vie tel un pantin ? Tel un robot ? Se conformant aux envies et demandes des parents jour après jours, semaine après semaine, mois après mois, année après année ? C'est pas une vie ça Kotai. Pour toi. Pour les autres. Pour personne. C'est à peine de la survie !
Il finit par se lever, faisant quelques pas autour de la table, se pinçant l'arrête du nez tout en parlant dans sa barbe avant de se rasseoir à table après avoir fait quelques tours, air sérieux, déterminé et ferme sur son visage. Mais ses yeux remplis de douceur et de tristesse, regardant Kotai droit dans ses yeux, la voix un peu faible au début mais prenant en force petit à petit.
-Kotai. L'histoire de 'oui mais on a pas les mêmes devoirs, on a pas la même famille, je dois les rendre fiers quitte a mette de côté mes propres envies' c'est juste ton cerveau qui essaie de rationaliser cette situation pourrie aux mieux. Peu importe ce qu'il s'est passé, peu importe si tu as été un enfant difficile ou non... Tu n'as pas à te briser petit à petit et t'effacer du monde pour faire plaisir a tes parents. Je veux pas entendre le contraire. Tu devrais pouvoir tracer ton chemin, créer ton avenir, laisser ta marque comme tu l'entend et le décide. Tant pis s'ils sont pas fiers de toi. Il tape la table de son index. C'est ta vie. Encore. Ton avenir. Encore. C'est toi qui en détient les clés. Encore. Bordel ! Ta vie est la pour te rendre fier pas les rendre fier ! Encore ! Je veux être fier de toi dans l'avenir ! Car tu trace ton propre chemin ! Pas car tu fais plaisir à ta famille jusqu'à te détruire totalement... Je veux pas ça. Pas pour toi. S'il te plaît...
Il se tait à nouveau, se massant doucement les yeux avant de lâcher un soupir, ça va être compliqué ça...
Il observe Kotai, le voyant indécis, en pleine réflexion, mordillant ses lèvres, il comprend pas pourquoi avant qu'il prenne la parole. Et Wow. Oh wow. Kotai enfant difficile ? Haha, peut être après l'avoir abandonné, quasi jeté, quasi oublié à part pour lui coller trois tonnes de règles à suivre, un avenir tout tracé et des demandes intenable oui !
Famille pourrie va !
Comment ça ils ont pas les mêmes devoirs, comment ça subir ce genre de vie est le seul moyen de leur rendre le sourire ? Comment ça leur donner à nouveau quelqu'un dont ils seront fiers ? Comment ça il est prêt à mettre ses désirs, ses envies, sa vie de coté ? Pour eux en plus ! Mais p**ain que quelqu'un vienne soutenir Kotai la ! C'est du délire !
Et c'est qui cette Chiemi ? Hum... Il garde l'information de côté, pour l'instant il est plus choqué par tout le ramassis de bêtises que Kotai vient de sortir et l'heure est grave la bordel !
-Mais enfin Kotai, tu vis pour toi ! Pas pour leur faire plaisir a eux ! Je m'en fiche que ça soit soit pas la même famille, la même vie, les mêmes devoirs, ta vie c'est pour toi, pas pour eux bordel ! Je refuse que tu mette ta vie en pause pour le restant de tes jours juste dans l'espoir de les rendre fiers ! S'ils sont pas fier de toi maintenant ils seront jamais fier de toi dans le fur car il faudra encore, et encore et encore et encore et toujours que tu monte et monte et monte dans tout ce que tu dois faire, tout ce que tu dois sacrifier, tout ce que tu dois abandonner ! Toutes leurs attentes ! C'est ça que tu veux ? Vivre ta vie tel un pantin ? Tel un robot ? Se conformant aux envies et demandes des parents jour après jours, semaine après semaine, mois après mois, année après année ? C'est pas une vie ça Kotai. Pour toi. Pour les autres. Pour personne. C'est à peine de la survie !
Il finit par se lever, faisant quelques pas autour de la table, se pinçant l'arrête du nez tout en parlant dans sa barbe avant de se rasseoir à table après avoir fait quelques tours, air sérieux, déterminé et ferme sur son visage. Mais ses yeux remplis de douceur et de tristesse, regardant Kotai droit dans ses yeux, la voix un peu faible au début mais prenant en force petit à petit.
-Kotai. L'histoire de 'oui mais on a pas les mêmes devoirs, on a pas la même famille, je dois les rendre fiers quitte a mette de côté mes propres envies' c'est juste ton cerveau qui essaie de rationaliser cette situation pourrie aux mieux. Peu importe ce qu'il s'est passé, peu importe si tu as été un enfant difficile ou non... Tu n'as pas à te briser petit à petit et t'effacer du monde pour faire plaisir a tes parents. Je veux pas entendre le contraire. Tu devrais pouvoir tracer ton chemin, créer ton avenir, laisser ta marque comme tu l'entend et le décide. Tant pis s'ils sont pas fiers de toi. Il tape la table de son index. C'est ta vie. Encore. Ton avenir. Encore. C'est toi qui en détient les clés. Encore. Bordel ! Ta vie est la pour te rendre fier pas les rendre fier ! Encore ! Je veux être fier de toi dans l'avenir ! Car tu trace ton propre chemin ! Pas car tu fais plaisir à ta famille jusqu'à te détruire totalement... Je veux pas ça. Pas pour toi. S'il te plaît...
Il se tait à nouveau, se massant doucement les yeux avant de lâcher un soupir, ça va être compliqué ça...
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
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❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Fix me up or put me down. It's your call.
ft. Noboru Fujiki
Effritement à la surface du masque de politesse qu’il s’efforçait de conserver. Patience qui s’étiole alors que ses mains se crispent davantage. Il déglutit avec difficulté alors que toujours plus de mots lui sont jetés à la figure. Barrage. Surcharge. Il pense comprendre les intentions nobles de son camarade, mais il ne peut pas s’empêcher de les rejeter au plus vite, comme si ses paroles étaient chauffées à blanc. Ils étaient fiers de lui, ça leur était arrivé. Enfin, au moins à son père. Sinon, il n’aurait pas pris le temps de le voir ce midi, pas vrai ? Il n’aurait pas accepté de lui rendre les droits sur son compte s’il n’avait pas un minimum d’estime pour lui et, peut-être qu’il y avait des conditions, mais c’était pour son bien. C’est justement parce qu’ils s’inquiétaient pour lui qu’ils étaient aussi stricts !
Noboru se lève et défoule sa frustration en marchant autour de la table. Quelques regards curieux suivent ses faits et gestes mais se détournent bien vite pour revenir à leur conversation. Pourquoi est-ce qu’ils parlaient de tout cela en public ? Kotai inspira. Bloqua sa respiration. Et il commença à compter. A dix, il relâcha. Et recommença. Un, deux. Noboru se rassoit. Trois, quatre. Il reprend la parole. Cinq, six. Il frappe la table de son index. Sept, huit. Il l’engueule ou le moralise. Neuf, dix. Pourquoi est-ce qu’il lui disait tout cela ?
Expire.
Kotai secoue doucement la tête.
« C’est ma d-décision, Fujiki-san. Je te remercie pour t-ton avis mais p-pour le moment je veux avancer ainsi. C’est important p-pour moi d’au moins essayer. Je… Je ne suis p-pas comme toi, je n’ai pas ton assurance, ton caractère ou ta f-force pour m’imposer, et c’est plus simple de marcher sur un chemin déjà tracé. »
Ca n’allait pas le détruire. Enfin, pas maintenant. Et ses parents avaient le temps de changer d’avis pour certains points ? Le futur était nébuleux, mais cela ne voulait pas dire qu’il ne pourrait pas être teinté de lumière le moment venu. Il pourrait avoir de la chance sur certains points, sa mère pourrait même le laisser exercer le métier qui lui plaisait, après tout, elle le laissait déjà étudier dans un domaine qui l’intéressait plus que tout. Des concessions, il y en aurait forcément des deux côtés. Il devait s’en convaincre.
Doucement, ses doigts finirent par relâcher leur étreinte et, articulations blanchies, il regarda ses mains trembler faiblement. Fourmillement désagréable. Il avait trop serré. Un détail. Le silence allait pour retomber mais d’une toute petite voix, il le repoussa brièvement pour une ultime question :
« Est-ce que l’on peut… parler d’autre chose s’il-te-plaît ? »
Noboru se lève et défoule sa frustration en marchant autour de la table. Quelques regards curieux suivent ses faits et gestes mais se détournent bien vite pour revenir à leur conversation. Pourquoi est-ce qu’ils parlaient de tout cela en public ? Kotai inspira. Bloqua sa respiration. Et il commença à compter. A dix, il relâcha. Et recommença. Un, deux. Noboru se rassoit. Trois, quatre. Il reprend la parole. Cinq, six. Il frappe la table de son index. Sept, huit. Il l’engueule ou le moralise. Neuf, dix. Pourquoi est-ce qu’il lui disait tout cela ?
Expire.
Kotai secoue doucement la tête.
« C’est ma d-décision, Fujiki-san. Je te remercie pour t-ton avis mais p-pour le moment je veux avancer ainsi. C’est important p-pour moi d’au moins essayer. Je… Je ne suis p-pas comme toi, je n’ai pas ton assurance, ton caractère ou ta f-force pour m’imposer, et c’est plus simple de marcher sur un chemin déjà tracé. »
Ca n’allait pas le détruire. Enfin, pas maintenant. Et ses parents avaient le temps de changer d’avis pour certains points ? Le futur était nébuleux, mais cela ne voulait pas dire qu’il ne pourrait pas être teinté de lumière le moment venu. Il pourrait avoir de la chance sur certains points, sa mère pourrait même le laisser exercer le métier qui lui plaisait, après tout, elle le laissait déjà étudier dans un domaine qui l’intéressait plus que tout. Des concessions, il y en aurait forcément des deux côtés. Il devait s’en convaincre.
Doucement, ses doigts finirent par relâcher leur étreinte et, articulations blanchies, il regarda ses mains trembler faiblement. Fourmillement désagréable. Il avait trop serré. Un détail. Le silence allait pour retomber mais d’une toute petite voix, il le repoussa brièvement pour une ultime question :
« Est-ce que l’on peut… parler d’autre chose s’il-te-plaît ? »
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- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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Noboru soupire en voyant la réaction de Kotai façe à tout ce qu'il vient de dire... Alors il préfère vraiment s'effacer et laisser ses parents faire plutôt que d’essayer de s'affirmer, de se défendre, de résister ? Marcher sur un chemin tracé qui pourra que le rendre malheureux, triste, sans ambition, sans rage, sans moteur pour vouloir un avenir meilleur ?
Il soupire encore une fois, passant sa main dans ses cheveux, fermant les yeux, réfléchissant sur ce qu'ils viennent de dire, Kotai ira vraiment pas changer un une discussion, une journée, un mois ou une semaine... Il faudra au moins plusieurs mois pour y arriver ou un événement très grave, le marquant terriblement pour qu'il s'ouvre enfin sur sa situation...
Rah... Ça le soûle, il voit bien que Kotai est pas aussi heureux, aussi bien et aussi acceptant de la situation qu'il le fait croire, il a juste appris à l'accepter après des mois ou des années du même traitement... Se disant que c'est le mieux qu'il puisse espérer quitte a finir effacé de sa propre vie, d'être qu'un trait de passage dans celle des autres, que se faire le plus petit possible, le plus docile possible ira faire plaisir a ses parents.
Il rouvre brièvement les yeux quand Kotai demande s'ils peuvent passer sur un autre sujet '… Humpf. Si tu veux...' il laisse le silence retomber ensuite, sa rage silencieuse bien trop présente sur le coup pour réfléchir à un sujet de conversation pas miné, pas risqué... Beaucoup plus dans le calme, l’apaisement et loin de sujets ou une force inarrêtable qui rencontre un objet immobile. Noboru veut bien insister, veut bien forcer, encore et encore mais vu comment Kotai est campé sur le sujet pour l'instant...
Il arrivera vraiment pas à le faire changer d'avis. Humpf. Foutus Kinzoku. Ils ont pas intérêt à faire plus de mal à Kotai dans le futur.
Il soupire encore une fois, passant sa main dans ses cheveux, fermant les yeux, réfléchissant sur ce qu'ils viennent de dire, Kotai ira vraiment pas changer un une discussion, une journée, un mois ou une semaine... Il faudra au moins plusieurs mois pour y arriver ou un événement très grave, le marquant terriblement pour qu'il s'ouvre enfin sur sa situation...
Rah... Ça le soûle, il voit bien que Kotai est pas aussi heureux, aussi bien et aussi acceptant de la situation qu'il le fait croire, il a juste appris à l'accepter après des mois ou des années du même traitement... Se disant que c'est le mieux qu'il puisse espérer quitte a finir effacé de sa propre vie, d'être qu'un trait de passage dans celle des autres, que se faire le plus petit possible, le plus docile possible ira faire plaisir a ses parents.
Il rouvre brièvement les yeux quand Kotai demande s'ils peuvent passer sur un autre sujet '… Humpf. Si tu veux...' il laisse le silence retomber ensuite, sa rage silencieuse bien trop présente sur le coup pour réfléchir à un sujet de conversation pas miné, pas risqué... Beaucoup plus dans le calme, l’apaisement et loin de sujets ou une force inarrêtable qui rencontre un objet immobile. Noboru veut bien insister, veut bien forcer, encore et encore mais vu comment Kotai est campé sur le sujet pour l'instant...
Il arrivera vraiment pas à le faire changer d'avis. Humpf. Foutus Kinzoku. Ils ont pas intérêt à faire plus de mal à Kotai dans le futur.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
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Un brin de tension, qui retombe lentement. Kotai a baissé les yeux. Encore. Une réaction instinctive face à la colère qu’il pensait lire dans le comportement de son camarade. Pendant une fraction de seconde, il avait eu peur de le voir se lever et se pencher pour l'agripper par le col. Une fois de plus. Sensation fantôme. Mais le blond était resté dans le fond de sa chaise, acceptant cette sorte de trève ou au moins cette volonté de passer à autre chose.
Mais que dire après tout ça ?
Noboru avait vu tellement juste, mais ce n’était pas quelque chose qu’il devait avouer. Silence. On étouffe, on met de côté. On doit devenir l’enfant qu’il auraient aimé voir survivre. Quand bien même il ne savait pas sourire comme elle. Déglutition difficile. Il voulut prendre une gorgée de son jus de fruit mais se rendit compte en levant son verre qu’il l’avait déjà terminé plus tôt, au cours de leur conversation. Après une courte hésitation, il se lève et s’excusant d’une petite voix, il se dirige jusqu’au comptoir. Quand il revient, il dépose deux verres d’eau sur la table, un devant son interlocuteur, l’autre à portée de ses mains.
Le goûter s’éternise. Le silence aussi. Il n’était pas bon pour trouver un sujet de conversation lambda, c’était toujours une plaie que de devoir alimenter une conversation peu intéressante mais… Ce n’était pas le cas avec Noboru. Les gens avaient généralement droit à son indifférence, dans le sens où le petit brun ne cherchait pas spécialement à tisser de liens. Ce qui était trop tard avec son camarade, ils avaient depuis longtemps dépassé le stade de deux inconnus alors… Pourquoi cela restait aussi compliqué ?
Il repose sa boisson à moitié vidée. Tintement du verre contre le bois. Les mots ne parvenaient pas à se former dans son esprit, aucune connexion logique, aucun sujet qui s’imposait. Ses yeux dérivent alors que le bruissement de la porte du café attire son regard. Par delà la porte vitrée, il observe un instant la silhouette trapue et poilue d’un petit compagnon à quatre pattes et-
« Tu as des animaux ? »
Ses yeux revinrent en premier se poser sur son interlocuteur, avant que le reste de son visage ne suive le mouvement.
« Tu as mentionné le sujet tout à l’heure. Tu as grandis avec ? »
Mais que dire après tout ça ?
Noboru avait vu tellement juste, mais ce n’était pas quelque chose qu’il devait avouer. Silence. On étouffe, on met de côté. On doit devenir l’enfant qu’il auraient aimé voir survivre. Quand bien même il ne savait pas sourire comme elle. Déglutition difficile. Il voulut prendre une gorgée de son jus de fruit mais se rendit compte en levant son verre qu’il l’avait déjà terminé plus tôt, au cours de leur conversation. Après une courte hésitation, il se lève et s’excusant d’une petite voix, il se dirige jusqu’au comptoir. Quand il revient, il dépose deux verres d’eau sur la table, un devant son interlocuteur, l’autre à portée de ses mains.
Le goûter s’éternise. Le silence aussi. Il n’était pas bon pour trouver un sujet de conversation lambda, c’était toujours une plaie que de devoir alimenter une conversation peu intéressante mais… Ce n’était pas le cas avec Noboru. Les gens avaient généralement droit à son indifférence, dans le sens où le petit brun ne cherchait pas spécialement à tisser de liens. Ce qui était trop tard avec son camarade, ils avaient depuis longtemps dépassé le stade de deux inconnus alors… Pourquoi cela restait aussi compliqué ?
Il repose sa boisson à moitié vidée. Tintement du verre contre le bois. Les mots ne parvenaient pas à se former dans son esprit, aucune connexion logique, aucun sujet qui s’imposait. Ses yeux dérivent alors que le bruissement de la porte du café attire son regard. Par delà la porte vitrée, il observe un instant la silhouette trapue et poilue d’un petit compagnon à quatre pattes et-
« Tu as des animaux ? »
Ses yeux revinrent en premier se poser sur son interlocuteur, avant que le reste de son visage ne suive le mouvement.
« Tu as mentionné le sujet tout à l’heure. Tu as grandis avec ? »
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- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
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Silence pesant. Esprit embrumé. Réflexion compliqué. Noboru soupire à nouveau, réfléchissant a la conversation venant de se finir, essayant de trouver des moyens a utiliser dans le futur pour faire comprendre à Kotai que ses parents ne s'y prennent pas du tout comme il faudrait avec lui. Que leur fils devrait pas s'écraser mais au contraire, être plein de vie, suivre la voie qu'il veut, laisser sa marque.
Sans un mot de prononcé il observe Kotai se lever, aller chercher deux verres d'eau, avant de les poser sur la table, Noboru touche pas a son verre, l'observant boire, le silence s'étirant, la conversation vraiment à l'arrêt.
Jusqu'à quelques mots prononcés par Kotai, une question, sûrement mué par tout ce qu'il a pu dire plus tôt, malheureusement il secoue la tête à cette question et celle qui suit, buvant une gorgée d'eau, soupirant et prenant doucement la parole.
-Non... J'aurais bien aimé mais... Mes parents ayant connu leurs difficultés financières quand j'étais encore tout petit ils ont pas voulu d'un animal. Après... Je les comprends. Faut pouvoir payer la nourriture, les jouets, les accessoires, les frais de véto, de médicaments, avoir la place, le temps... Nan, c'était pas... C'était pas de bonnes conditions. Le maximum que je devais faire petit c'était donner de l'eau fraîche aux chats errants du quartier ? Peut être un peu de pâté si je pouvais ? Mais j'aimerais bien en avoir, une p'tite, genre chat, lapin, chinchilla, cochon d'Inde.
Aaah ouais, même pas obligé de les sortir en plus, il sait que certains chats et lapins adorent les balades en laisse, donc s'il tombe sur une boule de poils appréciant il fera ce qu'il faut pour qu'elle soit contente mais il se sent pas d'avoir un chien, pas tout de suite en tout cas.
-J'ai mon coloc de chambre qui à un chat, mais sinon... J'aimerais bien aller en refuge, les aider quand je peux mais surtout pour faire connaissance avec les animaux qu'ils ont. Les pauvres ils ont fini la alors que c'était pas leur faute donc je compte bien leur donner une chance de connaître un bon humain s'occupant bien d'eux... Et pour la boule de poils élue... Un ours mal léché s'occupant bien d'elle.
Il aurait vraiment adoré avoir un animal petit... Mais il a compris que c'était pas de bonnes conditions, même une fois qu'il travaillait ils étaient toujours dans le même petit appartement pas cher, attendant de meilleurs jours... Maintenant ? Maintenant il peut. Il peut se dire qu'il veut une boule de poils. Peut être pas tout de suite, peut être pas dans la chambre suivant Chenille. Mais c'est un projet beaucoup plus réalisable. Et il est sûr que ses parents iraient la gâter aussi.
Sans un mot de prononcé il observe Kotai se lever, aller chercher deux verres d'eau, avant de les poser sur la table, Noboru touche pas a son verre, l'observant boire, le silence s'étirant, la conversation vraiment à l'arrêt.
Jusqu'à quelques mots prononcés par Kotai, une question, sûrement mué par tout ce qu'il a pu dire plus tôt, malheureusement il secoue la tête à cette question et celle qui suit, buvant une gorgée d'eau, soupirant et prenant doucement la parole.
-Non... J'aurais bien aimé mais... Mes parents ayant connu leurs difficultés financières quand j'étais encore tout petit ils ont pas voulu d'un animal. Après... Je les comprends. Faut pouvoir payer la nourriture, les jouets, les accessoires, les frais de véto, de médicaments, avoir la place, le temps... Nan, c'était pas... C'était pas de bonnes conditions. Le maximum que je devais faire petit c'était donner de l'eau fraîche aux chats errants du quartier ? Peut être un peu de pâté si je pouvais ? Mais j'aimerais bien en avoir, une p'tite, genre chat, lapin, chinchilla, cochon d'Inde.
Aaah ouais, même pas obligé de les sortir en plus, il sait que certains chats et lapins adorent les balades en laisse, donc s'il tombe sur une boule de poils appréciant il fera ce qu'il faut pour qu'elle soit contente mais il se sent pas d'avoir un chien, pas tout de suite en tout cas.
-J'ai mon coloc de chambre qui à un chat, mais sinon... J'aimerais bien aller en refuge, les aider quand je peux mais surtout pour faire connaissance avec les animaux qu'ils ont. Les pauvres ils ont fini la alors que c'était pas leur faute donc je compte bien leur donner une chance de connaître un bon humain s'occupant bien d'eux... Et pour la boule de poils élue... Un ours mal léché s'occupant bien d'elle.
Il aurait vraiment adoré avoir un animal petit... Mais il a compris que c'était pas de bonnes conditions, même une fois qu'il travaillait ils étaient toujours dans le même petit appartement pas cher, attendant de meilleurs jours... Maintenant ? Maintenant il peut. Il peut se dire qu'il veut une boule de poils. Peut être pas tout de suite, peut être pas dans la chambre suivant Chenille. Mais c'est un projet beaucoup plus réalisable. Et il est sûr que ses parents iraient la gâter aussi.
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(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
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Hmm. Effectivement, il n’avait pas pris tous ces détails en compte. N’importe quel être vivant demandait un certain investissement financier, qu’il s’agisse d’un enfant ou d’un animal de compagnie. Certes, les dépenses n’étaient factuellement pas les mêmes, mais il fallait malgré tout pouvoir les assumer. Et quand ce n’était pas l’argent qui manquait, cela pouvait simplement être le temps. C’était l’excuse que leurs parents avaient donné à Chiemi quand celle-ci avait exprimé son envie d’avoir un animal, n’importe lequel. Kotai savait que ce n’était pas la seule raison. Il avait vu les factures de l’hôpital. Rajouter un petit animal par dessus aurait bien trop mis à mal les économies de leurs géniteurs, et ils voulaient plutôt offrir à leur cadette des expériences uniques autant qu’un accès à l’ensemble des traitements existants.
Est-ce qu’il aurait aimé avoir un animal ? Peut-être. A l’école, il avait entendu certains camarades se vanter de leur chien et de leur intelligence. Lui préférait observer leur loyauté sans faille et leur pelage qui semblait parfois si doux. Il ne s’était pas renseigné plus que cela, mais il voyait parfois des memes passer sur les sites qu’il fréquentait ou il lui arrivait de se perdre sur des threads reddit où les gens postaient des photos de leurs compagnons à poils ou à écailles. Cela donnait envie.
Alors, peut-être que dans le futur, il pourrait convaincre son épouse d’adopter un petit animal ? S’ils avaient des enfants, comme mère le souhaitait, ils seraient peut-être enchantés à l’idée d’avoir un chien ou un chat ? … Est-ce que c’était un projet ? Peut-être. Il était entouré d’une bonne couche de conditionnel, mais y penser lui donna un peu de baume au coeur.
Ses yeux se plissèrent.
« Tu utilises beaucoup le terme “élu”. Est-ce que tu espères avoir un… euh c’est quoi le terme.. un coup de foudre pour un compagnon animal ? »
Il nota cependant la douceur dans les réponses du blond. Une gentillesse pas si surprenante que cela malgré son caractère sanguin, étrangement, Kotai l’imaginait bien plus sympathique et patient avec des animaux qu’avec des congénères humains…
Est-ce qu’il aurait aimé avoir un animal ? Peut-être. A l’école, il avait entendu certains camarades se vanter de leur chien et de leur intelligence. Lui préférait observer leur loyauté sans faille et leur pelage qui semblait parfois si doux. Il ne s’était pas renseigné plus que cela, mais il voyait parfois des memes passer sur les sites qu’il fréquentait ou il lui arrivait de se perdre sur des threads reddit où les gens postaient des photos de leurs compagnons à poils ou à écailles. Cela donnait envie.
Alors, peut-être que dans le futur, il pourrait convaincre son épouse d’adopter un petit animal ? S’ils avaient des enfants, comme mère le souhaitait, ils seraient peut-être enchantés à l’idée d’avoir un chien ou un chat ? … Est-ce que c’était un projet ? Peut-être. Il était entouré d’une bonne couche de conditionnel, mais y penser lui donna un peu de baume au coeur.
Ses yeux se plissèrent.
« Tu utilises beaucoup le terme “élu”. Est-ce que tu espères avoir un… euh c’est quoi le terme.. un coup de foudre pour un compagnon animal ? »
Il nota cependant la douceur dans les réponses du blond. Une gentillesse pas si surprenante que cela malgré son caractère sanguin, étrangement, Kotai l’imaginait bien plus sympathique et patient avec des animaux qu’avec des congénères humains…
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- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Un peu surpris de la question de Kotai, Noboru fronce les sourcils un instant avant de se raviser, oh, hum, c'est vrai que c'est peut être pas courant avec tout le monde sa méthode de pensée avec les animaux, mais il tient a vraiment faire ça bien alors...
-Ouais. Mais dans le sens ou l'animal m'apprécie aussi, quitte à en adopter un autant être sûr qu'on s'entendra bien, et qu'il soit pas trop contre d'autres animaux suivant ou je vivrais dans le futur... Après niveau caractère... Vu le mien je vais pas être trop demandeur hein. Au pire ça sera duo de ronchons et puis voilà.
Il a pas un caractère parfait, alors il va pas en demander un de la boule de poils, ça serait pas très sympa pour elle... Surtout que c'est un projet encore lointain pour lui alors il a le temps de s'y préparer, de se projeter, de voir ce qu'il ferait dans le futur, il sait même pas s'il va rester en dortoir le reste de sa scolarité ou s'il va finir par vouloir son propre appartement, même si vu ses finances et l'aide que peut apporter ses parents... Faudrait bien un colocataire ou deux pour aider à partager les frais...
Enfin, en admettant qu'il arrive à trouver des humains le tolérant assez pour ça, tolérant d'autres animaux et pas chiant pour un payer leur part de facture et loyer, deux faire les taches dans l'appartement. Car Noboru veut bien cuisiner tout les jours mais pas pour un blob jamais fichu de passer l'aspirateur, ranger, faire la poussière et tout ce genre de tâches.
… D'ailleurs... Ça lui donne des idées tiens...
-Pour l'instant... Je compte vraiment juste m'occuper de boule de poils en refuge, je tiens pas trop à perturber le chat de mon colocataire actuel avec ça. Après si j'arrive à trouver des colocataires supportable potentiels pour un appartement étudiant dans le futur... Je serais plus tenté de sauter le pas plus vite. A moins d'avoir un très gros coup de foudre.
Ah oui, car faut pas oublier ce genre de possibilité aussi, même s'il aimerait bien que ça arrive pas tout de suite, mais pouvant pas prévoir ce genre de détails... Plus qu'a attendre de voir ce que l'avenir lui réserve.
-Ouais. Mais dans le sens ou l'animal m'apprécie aussi, quitte à en adopter un autant être sûr qu'on s'entendra bien, et qu'il soit pas trop contre d'autres animaux suivant ou je vivrais dans le futur... Après niveau caractère... Vu le mien je vais pas être trop demandeur hein. Au pire ça sera duo de ronchons et puis voilà.
Il a pas un caractère parfait, alors il va pas en demander un de la boule de poils, ça serait pas très sympa pour elle... Surtout que c'est un projet encore lointain pour lui alors il a le temps de s'y préparer, de se projeter, de voir ce qu'il ferait dans le futur, il sait même pas s'il va rester en dortoir le reste de sa scolarité ou s'il va finir par vouloir son propre appartement, même si vu ses finances et l'aide que peut apporter ses parents... Faudrait bien un colocataire ou deux pour aider à partager les frais...
Enfin, en admettant qu'il arrive à trouver des humains le tolérant assez pour ça, tolérant d'autres animaux et pas chiant pour un payer leur part de facture et loyer, deux faire les taches dans l'appartement. Car Noboru veut bien cuisiner tout les jours mais pas pour un blob jamais fichu de passer l'aspirateur, ranger, faire la poussière et tout ce genre de tâches.
… D'ailleurs... Ça lui donne des idées tiens...
-Pour l'instant... Je compte vraiment juste m'occuper de boule de poils en refuge, je tiens pas trop à perturber le chat de mon colocataire actuel avec ça. Après si j'arrive à trouver des colocataires supportable potentiels pour un appartement étudiant dans le futur... Je serais plus tenté de sauter le pas plus vite. A moins d'avoir un très gros coup de foudre.
Ah oui, car faut pas oublier ce genre de possibilité aussi, même s'il aimerait bien que ça arrive pas tout de suite, mais pouvant pas prévoir ce genre de détails... Plus qu'a attendre de voir ce que l'avenir lui réserve.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Fix me up or put me down. It's your call.
ft. Noboru Fujiki
Un duo de ronchons. L’image l’amuse un peu, et quelque part, il le verrait bien avec un chat. Il ne comptait plus le nombre de memes où ces bêtes faisaient des têtes pas possible, de véritables démons par moment dont la colère semblait parfois débarquer de nulle part. Un peu comme Noboru au final. Un chien demanderait beaucoup plus de travail et leur nature joviale à l’extrême était un peu aux antipodes du blond alors oui, un félin lui convenait mieux. Quoi que, de ce qu’il avait pu lire, les lapins pouvaient également avoir un sacré caractère et il lui semblait qu’une personne de la compagnie en avait eu un à un moment. Ne se plaignait-il pas de papier peint arraché et de câbles rongés ? Un comportement destructeur, sans égard pour son entourage. Ca aussi, ça pouvait coller à l’image qu’il se faisait de son camarade.
« Il me semble avoir entendu parler de bénévolat pour certaines associations ? Une grande ville comme Kobe doit avoir quelques centres d’accueil pour les animaux errants, mais est-ce que ça irait avec ton emploi du temps ? »
Entre les études, les activités extra-scolaires, les clubs et le travail, Noboru se surchargeait déjà pas mal ses semaines. Quand bien même ses intentions étaient louables et bienveillantes, ne devrait-il pas prioriser sa scolarité et son job avant de sacrifier davantage de son temps sur le côté ? La question était posée avec un brin d’inquiétude presque amicale. Ils n’avaient pas atteint ce stade de familiarité mais… Quand les sujets étaient aussi léger, c’était si simple de baisser sa garde avec lui. Presque autant qu’avec le photographe.
« Un appartement ? »
L’internat ne lui suffisait pas ? D’autant que si c’était pour partager un logement avec d’autres personnes, cela revenait un peu au même, non ? Alors certes, c’était sans doute un gain d’espace et d’intimité si les chambres ne sont pas partagées, mais il n’y avait plus accès à certains luxes, tels que la cantine le soir ou la laverie gratuite. Un détail peut-être pour quelqu’un d’aussi aguerri et débrouillard que son camarade, alors que lui découvrait à peine comment fonctionnait une machine à laver. Bon, il avait eu le temps d’apprendre depuis septembre, mais cela n’avait pas été sans couacs.
« Il me semble avoir entendu parler de bénévolat pour certaines associations ? Une grande ville comme Kobe doit avoir quelques centres d’accueil pour les animaux errants, mais est-ce que ça irait avec ton emploi du temps ? »
Entre les études, les activités extra-scolaires, les clubs et le travail, Noboru se surchargeait déjà pas mal ses semaines. Quand bien même ses intentions étaient louables et bienveillantes, ne devrait-il pas prioriser sa scolarité et son job avant de sacrifier davantage de son temps sur le côté ? La question était posée avec un brin d’inquiétude presque amicale. Ils n’avaient pas atteint ce stade de familiarité mais… Quand les sujets étaient aussi léger, c’était si simple de baisser sa garde avec lui. Presque autant qu’avec le photographe.
« Un appartement ? »
L’internat ne lui suffisait pas ? D’autant que si c’était pour partager un logement avec d’autres personnes, cela revenait un peu au même, non ? Alors certes, c’était sans doute un gain d’espace et d’intimité si les chambres ne sont pas partagées, mais il n’y avait plus accès à certains luxes, tels que la cantine le soir ou la laverie gratuite. Un détail peut-être pour quelqu’un d’aussi aguerri et débrouillard que son camarade, alors que lui découvrait à peine comment fonctionnait une machine à laver. Bon, il avait eu le temps d’apprendre depuis septembre, mais cela n’avait pas été sans couacs.
Japonais : DarkOrange | Anglais : IndianRed
- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Noboru est surpris de la réponse de Kotai a ses dires, il le pensait pas à s'inquiéter pour lui au point d'avoir peur qu'il manque de temps libre, m'enfin... Pas comme si qu'il comptait passer régulièrement, une fois ou deux dans le mois, histoire d'aider les bénévoles présents tout les jours. Après... Il se refuse pas d'y passer plus souvent pendant les périodes de vacances ou de creux.
Eh. Qui irait refuser de passer du temps avec des animaux ? Bon, ils seront peut être pas tous mignons, peut être pas tous sages, peut être pas tous des anges mais... Ça lui fera de l’expérience qu'il pourra appliquer à sa propre boule de poils dans le futur, néanmoins il va directement rassurer Kotai.
-T'en fais pas. J'pensais pas aller venir les aider régulièrement, juste... Une fois ou deux dans le mois puis quand on est en vacances aussi, juste histoire d'aider ceux qui y sont tout les jours. J'aimerais bien caler un créneau toutes les semaines mais c'est mort, je garde mes dimanches libres.
Il hausse un sourcil quand Kotai à l'air d'être étonné qu'il veuille un appartement... Bah euh... Oui ? Bon, il sacrifie quelques avantages mais au vu de ce qu'il gagne au passage... Ça vaut le coup quand même, pour bien faire, faudrait qu'il s'y prenne avant de faire une année en plus pour voir s'il peut sauter la partie des frais concernant l'internat et la cantine, hum...
-Yup. Un appartement. Tu perds quelques avantages mais au moins t'as plus de couvre feu par exemple, tu mange ce que tu veux, tu as quasiment ta propre salle de bain, tu peux choisir ton coloc et t'as plus de place pour tes affaires. Sans parler de la chambre juste pour soi ou tu peux avoir ta boule de poils, être en boxer, écouter de la musique ou être dans le silence total... Sachant que je pourrais me débrouiller pour toutes les tâches a faire dans un appartement ça me va moi... Lessive, cuisine, ménage, courses, rangement et etc. J'ai appris petit donc je gère.
Pas qu'il avait le choix vu comment ses parents étaient occupés... Bon, il préfère de loin faire certaines tâches plutôt que d'autres, genre... La cuisine quoi ! Immensément plus fun que passer l'aspirateur ou faire la vaisselle quoi ! En plus tu fais ce que tu veux à manger, que du bénéfice !
Eh. Qui irait refuser de passer du temps avec des animaux ? Bon, ils seront peut être pas tous mignons, peut être pas tous sages, peut être pas tous des anges mais... Ça lui fera de l’expérience qu'il pourra appliquer à sa propre boule de poils dans le futur, néanmoins il va directement rassurer Kotai.
-T'en fais pas. J'pensais pas aller venir les aider régulièrement, juste... Une fois ou deux dans le mois puis quand on est en vacances aussi, juste histoire d'aider ceux qui y sont tout les jours. J'aimerais bien caler un créneau toutes les semaines mais c'est mort, je garde mes dimanches libres.
Il hausse un sourcil quand Kotai à l'air d'être étonné qu'il veuille un appartement... Bah euh... Oui ? Bon, il sacrifie quelques avantages mais au vu de ce qu'il gagne au passage... Ça vaut le coup quand même, pour bien faire, faudrait qu'il s'y prenne avant de faire une année en plus pour voir s'il peut sauter la partie des frais concernant l'internat et la cantine, hum...
-Yup. Un appartement. Tu perds quelques avantages mais au moins t'as plus de couvre feu par exemple, tu mange ce que tu veux, tu as quasiment ta propre salle de bain, tu peux choisir ton coloc et t'as plus de place pour tes affaires. Sans parler de la chambre juste pour soi ou tu peux avoir ta boule de poils, être en boxer, écouter de la musique ou être dans le silence total... Sachant que je pourrais me débrouiller pour toutes les tâches a faire dans un appartement ça me va moi... Lessive, cuisine, ménage, courses, rangement et etc. J'ai appris petit donc je gère.
Pas qu'il avait le choix vu comment ses parents étaient occupés... Bon, il préfère de loin faire certaines tâches plutôt que d'autres, genre... La cuisine quoi ! Immensément plus fun que passer l'aspirateur ou faire la vaisselle quoi ! En plus tu fais ce que tu veux à manger, que du bénéfice !
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Fix me up or put me down. It's your call.
ft. Noboru Fujiki
Inquiétude transparente, pour laquelle le blond s’empressa de vouloir le rassurer. Il semblait avoir déjà pas mal réfléchi à cette éventualité et au temps qu’il comptait y aller, mais malgré cela, une petite voix dans sa tête se demandait - très égoïstement - s’il aurait encore du temps à lui accorder. Après tout, ils avaient prévu de passer des soirées à regarder des films ou juste flâner ensemble, et Kotai n’était pas prêt à y renoncer avant même d’avoir pu établir ce qui devait être une routine de plus dans sa vie. Mais une routine dont il avait envie. Pas tous les jours, pas forcément toutes les semaines, mais la perspective de développer leur relation en une probable amitié était si… importante ?
Sans rien laisser transparaître, il acquiesça seulement, écoutant sagement la suite de la conversation et les arguments du concerné quant à son futur appartement. Un projet ambitieux pour un étudiant, car même avec un emploi à temps partiel, cela restait une sacré dépense. C’était intriguant comment une personne aussi sanguine pouvait avoir ainsi la tête sur les épaules dès qu’il s’agissait de “choses d’adultes”. Menton appuyé sur la paume de sa main, il battit lentement des cils en le regardant.
Dans les paroles de son camarade, il lui semblait entrevoir un brin de liberté.
« Cela fait néanmoins beaucoup plus de dépenses à gérer et surtout à assumer. D’autant qu’il faut aussi prévoir un garant, la caution, le reikin… Ma senpai a eu beaucoup de difficultés à réunir tout ça quand elle s’est installée, et elle avait un emploi à plein temps. »
Il avait perdu le compte des appartements qu’elle avait visité et pour lesquels son dossier n’avait eu aucun suite. Être barista payait plutôt convenablement, mais ce n’était pas non plus le grand luxe, et au final elle avait dû se rabattre sur un tout petit studio à en bordure de ville. C’était mieux que rien, et au moins cela lui avait permis de prendre son indépendance ainsi que d’améliorer sa relation avec ses parents.
>> Reikin (ou key money)
Sans rien laisser transparaître, il acquiesça seulement, écoutant sagement la suite de la conversation et les arguments du concerné quant à son futur appartement. Un projet ambitieux pour un étudiant, car même avec un emploi à temps partiel, cela restait une sacré dépense. C’était intriguant comment une personne aussi sanguine pouvait avoir ainsi la tête sur les épaules dès qu’il s’agissait de “choses d’adultes”. Menton appuyé sur la paume de sa main, il battit lentement des cils en le regardant.
Dans les paroles de son camarade, il lui semblait entrevoir un brin de liberté.
« Cela fait néanmoins beaucoup plus de dépenses à gérer et surtout à assumer. D’autant qu’il faut aussi prévoir un garant, la caution, le reikin… Ma senpai a eu beaucoup de difficultés à réunir tout ça quand elle s’est installée, et elle avait un emploi à plein temps. »
Il avait perdu le compte des appartements qu’elle avait visité et pour lesquels son dossier n’avait eu aucun suite. Être barista payait plutôt convenablement, mais ce n’était pas non plus le grand luxe, et au final elle avait dû se rabattre sur un tout petit studio à en bordure de ville. C’était mieux que rien, et au moins cela lui avait permis de prendre son indépendance ainsi que d’améliorer sa relation avec ses parents.
>> Reikin (ou key money)
Japonais : DarkOrange | Anglais : IndianRed
- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Satisfait de ce qu'il a dit plus tôt il espère que ça ira rassurer Kotai sur le temps libre qu'il lui restera ainsi que la solidité de son projet futur, c'est pas vraiment pour tout de suite, il a encore le temps de bien s'y préparer et d'en discuter avec ses parents pour que tout se passe pour le mieux...
Surtout quand Noboru entend ce que dit Kotai... Il le coupe pas dans ses explications, loin de la, il hoche la tête et écoute attentivement ce qu'il dit, bien conscient des frais entraînés par le déménagement dans un appartement plus des frais à payer tout les mois, réalisant bien le genre de facture à payer et de responsabilités à assumer.
-Ouais... Pour ça que je veux un colocataire, seul, même avec l'aide de mes parents si je m'y prend bien c'est compliqué niveau argent, alors qu'avec un colocataire tout de suite c'est plus simple pour le loyer et les charges. Après... Même si mes parents ont peu d'argent de côté ils gagnent assez niveau salaire pour se porter garant pour moi, pour ce qui est de la caution et du reste... J'ai toujours des économies, même si j'aimerais pas taper de dedans.
Ouais, ses précieuses économies, il en a pas mal, ses parents refusant de le laisser tout payer et le laissant avoir de l'argent de côté pour son avenir... Même si c'était une tête de mule et qu'il a fait bien des choses pour les aider, tout en mettant de côté et payant pas mal de choses pour lui.
Juste...
Pour lui des économies c'est plus qu'un moyen d'avoir une autre moto s'il veut, ou d'assumer une grosse dépense en général c'est...
Un cordon de sécurité.
Un qu'il tient a garder jusqu'à qu'il puisse finir ses études et commencer à gagner vraiment de l'argent, assez pour aider ses parents tout en payant ses dépenses sans tirer sur la corde, sans devoir user de moyens désespérés. Peut être qu'il ira en utiliser une petite partie pour faire plaisir a ses parents comme cadeau de fin d'année... Ils méritent après tout, surtout vu les sacrifices de fait.
Alors il aimerait bien un appartement dans le futur mais pas au point de faire ce genre de sacrifices, il attendra plus longtemps s'il faut, que ses parents puissent l'aider d'avantage, qu'il trouve un coloc pas chiant, ou ils pourront se répartir les charges, factures et loyer de manière équitable ou un appartement bon marché... C'est un plus l'appartement, un gros plus bien avantageux certes mais au moins il à sa chambre dans les dortoirs d'assuré.
Surtout quand Noboru entend ce que dit Kotai... Il le coupe pas dans ses explications, loin de la, il hoche la tête et écoute attentivement ce qu'il dit, bien conscient des frais entraînés par le déménagement dans un appartement plus des frais à payer tout les mois, réalisant bien le genre de facture à payer et de responsabilités à assumer.
-Ouais... Pour ça que je veux un colocataire, seul, même avec l'aide de mes parents si je m'y prend bien c'est compliqué niveau argent, alors qu'avec un colocataire tout de suite c'est plus simple pour le loyer et les charges. Après... Même si mes parents ont peu d'argent de côté ils gagnent assez niveau salaire pour se porter garant pour moi, pour ce qui est de la caution et du reste... J'ai toujours des économies, même si j'aimerais pas taper de dedans.
Ouais, ses précieuses économies, il en a pas mal, ses parents refusant de le laisser tout payer et le laissant avoir de l'argent de côté pour son avenir... Même si c'était une tête de mule et qu'il a fait bien des choses pour les aider, tout en mettant de côté et payant pas mal de choses pour lui.
Juste...
Pour lui des économies c'est plus qu'un moyen d'avoir une autre moto s'il veut, ou d'assumer une grosse dépense en général c'est...
Un cordon de sécurité.
Un qu'il tient a garder jusqu'à qu'il puisse finir ses études et commencer à gagner vraiment de l'argent, assez pour aider ses parents tout en payant ses dépenses sans tirer sur la corde, sans devoir user de moyens désespérés. Peut être qu'il ira en utiliser une petite partie pour faire plaisir a ses parents comme cadeau de fin d'année... Ils méritent après tout, surtout vu les sacrifices de fait.
Alors il aimerait bien un appartement dans le futur mais pas au point de faire ce genre de sacrifices, il attendra plus longtemps s'il faut, que ses parents puissent l'aider d'avantage, qu'il trouve un coloc pas chiant, ou ils pourront se répartir les charges, factures et loyer de manière équitable ou un appartement bon marché... C'est un plus l'appartement, un gros plus bien avantageux certes mais au moins il à sa chambre dans les dortoirs d'assuré.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Fix me up or put me down. It's your call.
ft. Noboru Fujiki
Diviser pour mieux se loger. Dans le fond, ce n’était pas forcément très différent de leur situation actuelle à l’internat, même si la chambre en solo était un luxe et qu’il n’avait pas imaginé que la sienne puisse autant lui manquer. Ce n’était pas tant les meubles ou les quelques éléments de décoration qu’il avait revendu depuis qui lui manquaient, mais plutôt la sensation de tranquillité et de laisser-aller qu’il pouvait se permettre de ressentir, à l’époque. Maintenant… Maintenant ce n’était plus possible. Il n’avait pas spécialement de relation avec son camarade de chambrée, mais dans tous les cas, il devait se montrer respectueux de l’espace partagé. Et cela voulait dire arrêter l’ordinateur à une heure décente, ne pas déborder de son espace alloué et surtout…. rester habillé. Une plaie.
Doigts resserrés autour de son verre d’eau, il le porte une fois de plus à ses lèvres et se désaltère sans bruit. Noboru semblait avoir également réfléchit à tout cela. Si responsable et pourtant si… enfantin parfois. Le petit brun n’irait pas jusqu’à dire immature, après tout, il serait mal placé pour juger, mais certaines de ses réactions n’étaient pas encore dignes d’un adulte stable et prêt pour affronter son futur. Mais c’était un premier bon pas dans cette direction.
Reposant son verre, ses yeux suivent une seconde quelques silhouettes floues qui filent par la porte. Il commençait peut-être à se faire un peu tard. Rapide coup d’oeil sur son téléphone. La soirée approchait doucement et, avec elle, la fin de leur escapade. Il termina pensivement le manju qui lui restait, l’ornant de quelques coups de dents avant d’en arriver à bout. Ce n’était pas grand chose, mais entre ça et le repas - stressant - du midi, il ne prendrait sans doute même pas la peine de passer par le réfectoire. D’un autre côté, cela lui laisserait le temps de terminer un livre et de potentiellement pouvoir le ramener à la bibliothèque dès lundi. Un bon plan que son esprit valida sans attendre.
« Tu es venu en moto je suppose ? »
Ils ne rentreraient pas ensemble. Tant pis. Pointe d’amertume.
Doigts resserrés autour de son verre d’eau, il le porte une fois de plus à ses lèvres et se désaltère sans bruit. Noboru semblait avoir également réfléchit à tout cela. Si responsable et pourtant si… enfantin parfois. Le petit brun n’irait pas jusqu’à dire immature, après tout, il serait mal placé pour juger, mais certaines de ses réactions n’étaient pas encore dignes d’un adulte stable et prêt pour affronter son futur. Mais c’était un premier bon pas dans cette direction.
Reposant son verre, ses yeux suivent une seconde quelques silhouettes floues qui filent par la porte. Il commençait peut-être à se faire un peu tard. Rapide coup d’oeil sur son téléphone. La soirée approchait doucement et, avec elle, la fin de leur escapade. Il termina pensivement le manju qui lui restait, l’ornant de quelques coups de dents avant d’en arriver à bout. Ce n’était pas grand chose, mais entre ça et le repas - stressant - du midi, il ne prendrait sans doute même pas la peine de passer par le réfectoire. D’un autre côté, cela lui laisserait le temps de terminer un livre et de potentiellement pouvoir le ramener à la bibliothèque dès lundi. Un bon plan que son esprit valida sans attendre.
« Tu es venu en moto je suppose ? »
Ils ne rentreraient pas ensemble. Tant pis. Pointe d’amertume.
Japonais : DarkOrange | Anglais : IndianRed
- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Regardant son verre d'eau sans chercher à y toucher ou en boire un peu, juste perdu dans ses pensées Noboru réfléchit à tout un tas de choses, faisant pas attention au fait que Kotai lui aussi reste silencieux pendant un certain moment, que la tension est quasi disparue, que le calme est pleinement la, remarquant à peine qu'il qu'il adresse la parole ?
-Hmmm ?
Oh. Ah. Euh... Son cerveau s'active à nouveau et il se redresse, ahem... Il regarde sa veste de moto, ses gants, ses bottes de moto, son pantalon renforcé, son sac à dos a ses pieds, pensant a sa moto garé pas loin, avec le casque accroché à sa moto de manière bien sécurisé, ayant pas envie de se trimballer avec cette fois...
-Euh ouais... Mais si tu veux qu'on passe encore du temps ensemble aujourd'hui on peut aller se poser au parc ou aller manger ensemble ce soir, surtout si t'as envie de manger quelque part ? Enfin... Un endroit pas trop cher et allant pas faire des gros yeux en voyant ma tenue.
Oui, bon, il a l'argent pour manger dans un bon restaurant s'il veut mais si Kotai veut manger quelque part il veut juste un lieu sans prise de tête, un ou il ira juste garer sa moto avant, poser ses affaires en trop avant de partir manger avec Kotai...
Après... Il aurait un autre casque et une veste pour lui, il irait bien le ramener en moto mais il a pas ça... Pas pour l'instant en tout cas. Peut être dans le futur si Kotai est intéresse, ou s'il en a marre de le laisser faire les trajets de con côté quand il est en moto.
-Enfin, c'est comme tu veux... Mais sache que ça me dérange pas, faudra juste que je passe au campus déposer mes affaires en trop.
-Hmmm ?
Oh. Ah. Euh... Son cerveau s'active à nouveau et il se redresse, ahem... Il regarde sa veste de moto, ses gants, ses bottes de moto, son pantalon renforcé, son sac à dos a ses pieds, pensant a sa moto garé pas loin, avec le casque accroché à sa moto de manière bien sécurisé, ayant pas envie de se trimballer avec cette fois...
-Euh ouais... Mais si tu veux qu'on passe encore du temps ensemble aujourd'hui on peut aller se poser au parc ou aller manger ensemble ce soir, surtout si t'as envie de manger quelque part ? Enfin... Un endroit pas trop cher et allant pas faire des gros yeux en voyant ma tenue.
Oui, bon, il a l'argent pour manger dans un bon restaurant s'il veut mais si Kotai veut manger quelque part il veut juste un lieu sans prise de tête, un ou il ira juste garer sa moto avant, poser ses affaires en trop avant de partir manger avec Kotai...
Après... Il aurait un autre casque et une veste pour lui, il irait bien le ramener en moto mais il a pas ça... Pas pour l'instant en tout cas. Peut être dans le futur si Kotai est intéresse, ou s'il en a marre de le laisser faire les trajets de con côté quand il est en moto.
-Enfin, c'est comme tu veux... Mais sache que ça me dérange pas, faudra juste que je passe au campus déposer mes affaires en trop.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Fix me up or put me down. It's your call.
ft. Noboru Fujiki
Des détails auxquels il n’avait pas prêté attention et qu’il découvre en suivant le regard du blond. Toute sa panoplie - ou presque - est à portée de main, c’en est presque risible qu’il ne l’ai pas remarqué plus tôt. Défaut d’attention. Le pincement s’estompe, sensation diffuse qui finira éventuellement par disparaître avant même qu’il ne s’en rende compte. Dans tous les cas, il avait vu juste, et au-delà de la porte du café, leurs chemins se sépareraient jusqu’à leurs prochaines retrouvailles. Lundi, certainement. Ce n’était pas grave, il avait de toute manière à faire le dimanche. Une nouvelle sortie cinéma, autant pour le plaisir que pour célébrer dans le calme le retour de sa semi-liberté financière.
Son cerveau enregistre les paroles de son camarade avec un temps de retard. Bien évidemment qu’il souhaitait passer plus de temps avec lui et que c’était la chose la plus raiso- Pardon quoi ? Les billes noires se posent avec circonspection dans celles d’azur. C’était une proposition sérieuse ? Lèvres entrouvertes, les mots butent sur sa langue et un petit noeud tout paniqué et surtout bien pris au dépourvu.
« Je euh… J’ai des choses de… et puis j’ai déjà mangé au… euuuh.. »
Bafouilles. Il venait à peine de retrouver l’accès à son compte, il ne pouvait décemment pas aller au restaurant directement après, sa mère risquerait tant de mal le prendre ! Cette pensée figea les paroles dans son esprit et, alors que ses épaules se baissaient en un attitude défaitiste, il secoua doucement la tête.
« Désolé, mais je ne pourrais pas aller au restaurant ce soir. Par contre le parc.. pourquoi pas ? »
Petit compromis mais cela lui suffisait amplement. Quand bien même il n’était pas un grand fan des parcs, peut-être qu’à cette heure il n’y aurait pas trop de monde ? Il n’avait pas envie de risquer une autre potentielle petite crise comme la dernière fois. Noboru n’avait pas à subir l’ensemble de ses défauts à chacune de leurs sorties, le pauvre en aurait bien vite assez et… Il le laisserait.
Son cerveau enregistre les paroles de son camarade avec un temps de retard. Bien évidemment qu’il souhaitait passer plus de temps avec lui et que c’était la chose la plus raiso- Pardon quoi ? Les billes noires se posent avec circonspection dans celles d’azur. C’était une proposition sérieuse ? Lèvres entrouvertes, les mots butent sur sa langue et un petit noeud tout paniqué et surtout bien pris au dépourvu.
« Je euh… J’ai des choses de… et puis j’ai déjà mangé au… euuuh.. »
Bafouilles. Il venait à peine de retrouver l’accès à son compte, il ne pouvait décemment pas aller au restaurant directement après, sa mère risquerait tant de mal le prendre ! Cette pensée figea les paroles dans son esprit et, alors que ses épaules se baissaient en un attitude défaitiste, il secoua doucement la tête.
« Désolé, mais je ne pourrais pas aller au restaurant ce soir. Par contre le parc.. pourquoi pas ? »
Petit compromis mais cela lui suffisait amplement. Quand bien même il n’était pas un grand fan des parcs, peut-être qu’à cette heure il n’y aurait pas trop de monde ? Il n’avait pas envie de risquer une autre potentielle petite crise comme la dernière fois. Noboru n’avait pas à subir l’ensemble de ses défauts à chacune de leurs sorties, le pauvre en aurait bien vite assez et… Il le laisserait.
Japonais : DarkOrange | Anglais : IndianRed
- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-5
❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Attendant tranquillement une réponse de Kotai il finit par aller sur son téléphone, regardant ce qui irait bien lui donner envie ce soir pour le dîner... Bon, ça ferait deux restaurants de suite mais c'est pas comme si que ça coûtait super cher de manger dehors au Japon. Surtout qu'il fait pas non plus ça tout les jours, la cantine ça reste bien.
Levant les yeux en direction de Kotai, Noboru est bien surpris de l'entendre bafouiller, il irait bien reprendre la parole, le rassurer ou le couper en plein milieu mais il décide d'attendre, baissant l'écran de son téléphone, lui donnant toute son attention, tout en essayant de pas le stresser d'avantage.
Oh ? Il peut pas aller au restaurant ce soir ? Hmmm... C'est pas grave ça, Noboru peut toujours prendre à emporter pour lui, ainsi qu'un petit snack pour Kotai, doutant qu'il mange assez et régulièrement vu son gabarit. En plus tant qu'il s'occupe de bien jeter comme il faut tout les déchets à la fin de son repas personne dira rien il suppose...
-Oh, ça me va le parc, ça te dis qu'on se donne rendez vous vers 19 heures ? Comme ça on peut traîner et manger dehors ? Et tu peux manger avant si tu veux comme ça, ainsi que faire d'autres choses entre temps si tu avais prévu ça ? Si ça te va bien entendu... Je tiens pas à te forcer... Mais ça me ferait plaisir.
En plus vu les températures il pourra rester emmitouflé dans sa tenue actuelle et bien se balader avant le repas donc vraiment ça serait parfait pour lui si ça va pour Kotai. Puis comme ça ils pourront passer du temps tranquillement avec peu de monde autour, sans stress, sans embrouilles et enfin profiter du parc.
Levant les yeux en direction de Kotai, Noboru est bien surpris de l'entendre bafouiller, il irait bien reprendre la parole, le rassurer ou le couper en plein milieu mais il décide d'attendre, baissant l'écran de son téléphone, lui donnant toute son attention, tout en essayant de pas le stresser d'avantage.
Oh ? Il peut pas aller au restaurant ce soir ? Hmmm... C'est pas grave ça, Noboru peut toujours prendre à emporter pour lui, ainsi qu'un petit snack pour Kotai, doutant qu'il mange assez et régulièrement vu son gabarit. En plus tant qu'il s'occupe de bien jeter comme il faut tout les déchets à la fin de son repas personne dira rien il suppose...
-Oh, ça me va le parc, ça te dis qu'on se donne rendez vous vers 19 heures ? Comme ça on peut traîner et manger dehors ? Et tu peux manger avant si tu veux comme ça, ainsi que faire d'autres choses entre temps si tu avais prévu ça ? Si ça te va bien entendu... Je tiens pas à te forcer... Mais ça me ferait plaisir.
En plus vu les températures il pourra rester emmitouflé dans sa tenue actuelle et bien se balader avant le repas donc vraiment ça serait parfait pour lui si ça va pour Kotai. Puis comme ça ils pourront passer du temps tranquillement avec peu de monde autour, sans stress, sans embrouilles et enfin profiter du parc.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
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❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Fix me up or put me down. It's your call.
ft. Noboru Fujiki
Flottement. Noboru lui tendait la main, comme s’il tenait vraiment à passer plus de temps en sa compagnie. Un désir réciproque mais… Kotai avait malgré tout du mal à y croire. Il ne comprenait pas ce que le blond pouvait apprécier dans leur relation, ce qu’il y trouvait de suffisamment intéressant pour s’y accrocher de la sorte. Etait-ce parce qu’il lui avait promis de l’aider à avancer et progresser ? A mieux maîtriser ses émotions ? La conversation avec le bibliothécaire lui revint brusquement en tête. Soupir retenu. Il aurait beau faire des efforts, il n’était pas le mieux placé pour l’aider, dans ce genre de situation, ce n’était pas la volonté qui comptait, mais les capacités…
Encore perdu dans ses pensées, le jeune japonais hocha néanmoins la tête au bout de plusieurs secondes. Décalage involontaire. Il cligna des yeux et, avec une petite moue peu assurée, il finit par desserrer les lèvres.
« Cela me va, on se retrouve devant l’internat ? »
Tout en parlant, il avait repris son téléphone en main, lançant une brève recherche à la fois pour distraire son esprit de ses pensées négatives et en même temps planifier un peu leur sortie improvisée. C’était bien beau de vouloir se rendre dans un parc, mais il y en avait plusieurs autour de l’école, et certains n’étaient pas forcément ce qu’il y avait de plus intéressant. Il écarta ainsi ceux qui n’étaient en vérité qu’un petit espace vert où l’on avait planté un toboggan et deux-trois jeux pour enfants, et finit par jeter son dévolu un espace un peu plus grand et bucolique.
« Et est-ce que le parc Sumadera te convient ? »
Tournant son écran vers son camarade, il lui montra la photo d’un petit parc en bordure d’une étendue d’eau, situé à dix minutes à pied de l’école. Suffisamment proche pour ne pas stresser de ne pas repartir trop tard, au risque d’empiéter sur l’heure du couvre-feu. Hmm… C’est vrai que pour cela, un appartement était plutôt intéressant. Dans tous les cas, ils auraient largement le temps de rejoindre l’académie et d’y laisser leurs affaires en trop. Tenue de moto pour l’un, ordinateur réparé pour l’autre. Un coup d’oeil à l’heure lui fit même se dire qu’il devrait avoir le temps de prendre une douche, à défaut d’aller manger un morceau au réfectoire.
Encore perdu dans ses pensées, le jeune japonais hocha néanmoins la tête au bout de plusieurs secondes. Décalage involontaire. Il cligna des yeux et, avec une petite moue peu assurée, il finit par desserrer les lèvres.
« Cela me va, on se retrouve devant l’internat ? »
Tout en parlant, il avait repris son téléphone en main, lançant une brève recherche à la fois pour distraire son esprit de ses pensées négatives et en même temps planifier un peu leur sortie improvisée. C’était bien beau de vouloir se rendre dans un parc, mais il y en avait plusieurs autour de l’école, et certains n’étaient pas forcément ce qu’il y avait de plus intéressant. Il écarta ainsi ceux qui n’étaient en vérité qu’un petit espace vert où l’on avait planté un toboggan et deux-trois jeux pour enfants, et finit par jeter son dévolu un espace un peu plus grand et bucolique.
« Et est-ce que le parc Sumadera te convient ? »
Tournant son écran vers son camarade, il lui montra la photo d’un petit parc en bordure d’une étendue d’eau, situé à dix minutes à pied de l’école. Suffisamment proche pour ne pas stresser de ne pas repartir trop tard, au risque d’empiéter sur l’heure du couvre-feu. Hmm… C’est vrai que pour cela, un appartement était plutôt intéressant. Dans tous les cas, ils auraient largement le temps de rejoindre l’académie et d’y laisser leurs affaires en trop. Tenue de moto pour l’un, ordinateur réparé pour l’autre. Un coup d’oeil à l’heure lui fit même se dire qu’il devrait avoir le temps de prendre une douche, à défaut d’aller manger un morceau au réfectoire.
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- Noboru FujikiA l'université ; 1è année■ Age : 28■ Messages : 295■ Inscrit le : 30/05/2024■ Mes clubs :
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Un temps d'attente, rien ne se passe, aucun mot est prononcé, le silence s'étire, les secondes s'écoulent, Noboru est sur le point d'agir quand un hochement de tête apparaît du côté de Kotai, ouf, le voilà rassuré, la proposition à l'air de lui convenir, confirmé a voix haute juste après.
Il le voit attraper son téléphone, semblant rechercher des informations ? Hm ? Noboru est un peu surpris mais ce que dit Kotai à la suite le surprend, oh euh, il pensait aller dans le parc juste à côté du campus lui... Mais c'est vrai que Kotai irait sûrement préférer s'éloigner un peu ?
-Euh... Je t'avoue que je pensais qu'on irait se poser dans le parc collé au campus mais si tu veux t’éloigner un peu ça me dérange pas. Tant qu'on peut consommer à manger sur place ça me va tu sais. Et euh... Hmmm...
L'internant ou pas ? C'est vrai qu'il aimerait bien se balader en moto jusqu'à l'heure de leur rendez vous mais il aimerait bien pas avoir à se trimballer avec son casque... A moins qu'il rejoigne Kotai devant l'internat, qu'il lui confie son repas le temps qu'il pose ses affaires en trop avant de repartir ? Il irait perdre quoi ? Trois minutes ? Cinq maximum ? Ouais, ça lui va.
-Va pour devant l'internant ouais, j'irais sûrement me balader jusqu'à l'heure de notre rendez-vous donc j'irais poser mes affaires en trop à ce moment la mais j'en aurais pour maximum 5 minutes... Rien de bien dérangeant.
Il tient pas à ce qu'il attende longtemps mais leur moment au parc sera plus agréable sans se trimballer des affaires superflues, surtout s'il peut manger tranquillement sur place.
Il le voit attraper son téléphone, semblant rechercher des informations ? Hm ? Noboru est un peu surpris mais ce que dit Kotai à la suite le surprend, oh euh, il pensait aller dans le parc juste à côté du campus lui... Mais c'est vrai que Kotai irait sûrement préférer s'éloigner un peu ?
-Euh... Je t'avoue que je pensais qu'on irait se poser dans le parc collé au campus mais si tu veux t’éloigner un peu ça me dérange pas. Tant qu'on peut consommer à manger sur place ça me va tu sais. Et euh... Hmmm...
L'internant ou pas ? C'est vrai qu'il aimerait bien se balader en moto jusqu'à l'heure de leur rendez vous mais il aimerait bien pas avoir à se trimballer avec son casque... A moins qu'il rejoigne Kotai devant l'internat, qu'il lui confie son repas le temps qu'il pose ses affaires en trop avant de repartir ? Il irait perdre quoi ? Trois minutes ? Cinq maximum ? Ouais, ça lui va.
-Va pour devant l'internant ouais, j'irais sûrement me balader jusqu'à l'heure de notre rendez-vous donc j'irais poser mes affaires en trop à ce moment la mais j'en aurais pour maximum 5 minutes... Rien de bien dérangeant.
Il tient pas à ce qu'il attende longtemps mais leur moment au parc sera plus agréable sans se trimballer des affaires superflues, surtout s'il peut manger tranquillement sur place.
Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
- Kotai KinzokuA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 326■ Inscrit le : 09/06/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
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ft. Noboru Fujiki
« Oh. »
Il n’y avait pas grand chose à faire dans ce parc, et quand bien même il n’était pas forcément pris d’assaut par les autres internes, ils auraient dû mal à échapper au bruissement des discussions lointaines. Mais il aurait dû prendre cette option en compte, voilà que Noboru se sentait obligé d’accepter sa proposition. Il était malheureusement trop tard pour revenir en arrière.
« C’est un parc public, on trouvera certainement un banc où tu pourras te poser. »
Le minimum si son camarade souhaitait ainsi grignoter un morceau. Ce ne serait pas aussi confortable qu’une table mais le cadre devrait pouvoir compenser ce petit défaut, et, avec de la chance, peut-être trouveraient-ils une place dans le kiosque ? En survolant rapidement les photos, il avait remarqué ce petit abri mignon et pratique qui s’avançait un peu au dessus du lac que le parc bordait. Dommage qu’il soit aussi tard, il aurait bien aimé jeter un oeil au temple bouddhiste tout proche. Par curiosité autant que par intérêt pour l’architecture de ce genre de lieu. Une autre fois, peut-être.
Terminant tranquillement son verre d’eau, ses yeux glissent une dernière fois vers la chouquette croquée. Ce serait du gâchis de la laisser ainsi… Prenant son courage à deux mains, Kotai la saisit entre ses baguettes et, avec une pointe d’appréhension, il la porta à nouveau à ses lèvres. Scronch scronch. ……. Non, vraiment, c’était pas du tout sa tasse de thé. Petite grimace maladroitement réprimée, il repose ses baguettes et mâche un moment, bouche asséchée par le sucre. Et dire que Noboru les mangeait comme d’un rien.
Enfin libéré de toute obligation, le jeune homme se leva doucement.
« A tout à l’heure ? » dit-il timidement, tout en récupérant sa sacoche d’ordinateur.
Et après un petit signe de tête, il se glissa en direction de la sortie. Un bout de chemin l’attendait, de même qu’un passage par le train - ce qu’il redoutait un peu vu l’heure - mais il tiendrait le coup. Au pire, il profiterait des cinq minutes de Noboru pour respirer un peu.
Il n’y avait pas grand chose à faire dans ce parc, et quand bien même il n’était pas forcément pris d’assaut par les autres internes, ils auraient dû mal à échapper au bruissement des discussions lointaines. Mais il aurait dû prendre cette option en compte, voilà que Noboru se sentait obligé d’accepter sa proposition. Il était malheureusement trop tard pour revenir en arrière.
« C’est un parc public, on trouvera certainement un banc où tu pourras te poser. »
Le minimum si son camarade souhaitait ainsi grignoter un morceau. Ce ne serait pas aussi confortable qu’une table mais le cadre devrait pouvoir compenser ce petit défaut, et, avec de la chance, peut-être trouveraient-ils une place dans le kiosque ? En survolant rapidement les photos, il avait remarqué ce petit abri mignon et pratique qui s’avançait un peu au dessus du lac que le parc bordait. Dommage qu’il soit aussi tard, il aurait bien aimé jeter un oeil au temple bouddhiste tout proche. Par curiosité autant que par intérêt pour l’architecture de ce genre de lieu. Une autre fois, peut-être.
Terminant tranquillement son verre d’eau, ses yeux glissent une dernière fois vers la chouquette croquée. Ce serait du gâchis de la laisser ainsi… Prenant son courage à deux mains, Kotai la saisit entre ses baguettes et, avec une pointe d’appréhension, il la porta à nouveau à ses lèvres. Scronch scronch. ……. Non, vraiment, c’était pas du tout sa tasse de thé. Petite grimace maladroitement réprimée, il repose ses baguettes et mâche un moment, bouche asséchée par le sucre. Et dire que Noboru les mangeait comme d’un rien.
Enfin libéré de toute obligation, le jeune homme se leva doucement.
« A tout à l’heure ? » dit-il timidement, tout en récupérant sa sacoche d’ordinateur.
Et après un petit signe de tête, il se glissa en direction de la sortie. Un bout de chemin l’attendait, de même qu’un passage par le train - ce qu’il redoutait un peu vu l’heure - mais il tiendrait le coup. Au pire, il profiterait des cinq minutes de Noboru pour respirer un peu.
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