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- PNJNon validé ; bouhouhou
■ Age : 35■ Messages : 6331■ Inscrit le : 31/03/2008
Cours de médecine
Etudiants en médecine
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Si vous avez des questions, n'hésitez pas à les poser en MP au Staff sur le forum ou sur Discord.
Silence, le cours commence
Jeudi 27 septembre, 08H00. Tsukamoto-san, chirurgien et professeur émérite, s'était présenté à la faculté de médecine à l'occasion d'un séminaire proposés aux étudiants de Kobe. Il s'était levé du pied gauche et, compte tenu de la distance à parcourir entre chez lui et la fac et de sa réputation, il était plutôt bougon ce matin-là. Il n'était déjà pas réputé pour être des plus cordiaux, de manière générale, alors là c'était le pompon. Il appréciait donner cours, certes, mais encore fallait-il que l'assistance soit à l'écoute et, force est de constater, que cela n'était pas toujours le cas, loin s'en faut.
Comme à l'accoutumée, il avait sorti le tablier blanc, immaculé, des stylos à la poche avant. Il avait laissé le stéthoscope dans son casier à l'hôpital, sinon il l'aurait fourré dans l'une de ses deux poches. Il avait horreur de ces médecins qui les portaient autour du cou, une erreur du débutant si vous vouliez son avis. C'était le matin et il bougonnait déjà, comme un pou sur la tête d'un chauve, comme on dit. Il attendit encore que les retardataires entrent dans l'amphithéâtre avant d'en fermer la porte et de s'installer au pupitre.
C'est bon, vous êtes installés ? On peut commencer ? Le sujet qu'on va aborder aujourd'hui est vaste, très vaste, et pointilleux. J'espère que vous êtes réveillés, je n'accepterai aucune sieste. Ni aucun débordement. C'est clair ?, dit-il en claquant sa langue.
Il se retourna, sortit la télécommande de sa poche et lança le top départ du marathon de diapositives, photos et vidéos qu'il recyclait peu ou prou chaque année lors des séminaires. Il baissa enfin l'intensité des éclairages et se retourna vers l'assemblée.
Bien. La pathologie générale. Clé de décodage des malades humaines, elle nous enseigne les mécanismes fondamentaux qui sous-tendent les pathologie. Cette compréhension est essentielle pour chaque médecin. Nous traiterons d'inflammation, néoplasies, désordres immunitaires et bien d'autres choses. Soyez conscients, des images peuvent être choquantes pour vos pauvres coeurs fragiles. Si c'est le cas, veuillez vous retenir ou quitter discrètement la salle. Au même titre que les siestes : aucun malaise ni vomi ne sera toléré. Des questions ?
Il réajusta ses lunettes en attendant les questions des étudiants. Il espérait que son intro soit suffisante, ils avaient énormément de matière à traiter et peu de temps à perdre pour des simagrées.
- Chandini AppachettyA l'université ; 4è année
■ Age : 31■ Messages : 767■ Inscrit le : 17/07/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-7
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Suivre ses cours
ft. Étudiants en Médecine
Tu t'étais coiffée d'une queue de cheval plutôt basse et t'étais habillée de manière plutôt simple. Depuis le rentrée, tu portais davantage de pantalons et surtout, tu semblais avoir repris cette habitude de porter tes lunettes. Elle ne te servaient à rien mais ça te rassurait. Tu avais l'impression qu'elles t'aidaient à encore mieux cacher tes cernes que le maquillage ne le faisait. Un peu de fond de teint, et justement d'anricernes, un baume à lèvres transparent et tu étais déjà prête.
Ton sac contenait tes derniers cours et de quoi prendre des notes. Tu avais également investi dans un dictaphone afin d'essayer de ne rien rater des cours que vous receviez. Le changement ne semblait pas sur physique, c'était comme si tu t'étais encore plus plongée dans tes études.
Tu t'installas dans l'amphithéâtre, au troisième rang. Tu étais assez proche et espérais que ce serait suffisant pour que ton appareil enregistre correctement sans bruits parasites. Tu sortis tes affaires, ta bouteille d'eau et après avoir vérifié sur ton téléphone était bien en silencieux, tu étais fin prête. Pour patienter jusqu'au début, tu te contentais de te relire, de dessiner… Tu saluais les quelques étudiants qui s'étaient approchés de toi pour s'installer eux aussi avant de retourner à tes occupations.
Quand enfin le cours commença, tu ne pus t'empêcher de penser que ce médecin n'avait aucune envie d'être là. Peut-être aurait-il préfère être ailleurs, en vacances ou en train de s'occuper de ses patients ? Tu n'en savais rien mais il vous faudrait passer outre son caractère de cochon. Et qu'importe les photos qu'il s'apprêtait à vous montrer, tu étais prête à les voir. Si tu n'étais même pas capable, en 4eme année, de voir des photos, alors qu'est-ce que ce serait quand tu aurais des patients juste en face de toi ?!
tenue
Ton sac contenait tes derniers cours et de quoi prendre des notes. Tu avais également investi dans un dictaphone afin d'essayer de ne rien rater des cours que vous receviez. Le changement ne semblait pas sur physique, c'était comme si tu t'étais encore plus plongée dans tes études.
Tu t'installas dans l'amphithéâtre, au troisième rang. Tu étais assez proche et espérais que ce serait suffisant pour que ton appareil enregistre correctement sans bruits parasites. Tu sortis tes affaires, ta bouteille d'eau et après avoir vérifié sur ton téléphone était bien en silencieux, tu étais fin prête. Pour patienter jusqu'au début, tu te contentais de te relire, de dessiner… Tu saluais les quelques étudiants qui s'étaient approchés de toi pour s'installer eux aussi avant de retourner à tes occupations.
Quand enfin le cours commença, tu ne pus t'empêcher de penser que ce médecin n'avait aucune envie d'être là. Peut-être aurait-il préfère être ailleurs, en vacances ou en train de s'occuper de ses patients ? Tu n'en savais rien mais il vous faudrait passer outre son caractère de cochon. Et qu'importe les photos qu'il s'apprêtait à vous montrer, tu étais prête à les voir. Si tu n'étais même pas capable, en 4eme année, de voir des photos, alors qu'est-ce que ce serait quand tu aurais des patients juste en face de toi ?!
tenue
surviving…
Code by Joy- Milan CrayA l'université ; 4è année
■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Huit heure. Pourquoi faut-il que les cours commencent si tôt ? Le réveil a été pénible. Il faut dire que je me suis encore couché beaucoup trop tard. Mais vu le temps qu'il m'a fallu pour trouver le sommeil, à quoi ça servirait de se coucher plus tôt ? Et depuis la rentrée je ne vis plus sur le campus. Besoin de se lever encore plus tôt. Tout ça pour quoi ? Ouais, j'en viens un peu à regretter cette décision.
Tant pis. Je profite du chemin en bus pour terminer (partiellement) ma nuit.
Il me faut me réveiller totalement en arrivant à mon arrêt. Je suis (encore) limite niveau timing. Mais pas question d'arriver en retard. Je cours les quelques mètres qui me séparent de l'université et ralenti en arrivant dans les couloirs, jusqu'à trouver ma salle pour la matinée. Huit heure pile. Pas question de me faire remarquer, je m'installe au fond de la salle, à l'une des places libres les plus proches de la porte par laquelle je viens d'arriver. Je sors mon pc pour l'allumer en suivant et pose le regard sur notre professeur qui entame ce cours sans perdre de temps.
Eh bah, super ambiance.
Distraitement, je commence à prendre quelques notes tout en suivant ce qui se passe devant moi. Du tableau, mes yeux dérivent sans que je ne les controle. Pas difficile de repérer Chandini avec ses cheveux. Même sa petite taille ne peut la camoufler totalement au milieu de la masse d'étudiants. Un pincement au coeur, je reporte mon attention sur notre professeur de mauvais poil.
Je lui ai promis d'essayer de reprendre notre ancienne dynamique. Mais c'est encore trop dur. Je n'y arrive pas. Et partager toutes ces heures de cours en sa compagnie ne m'aide malheureusement pas à accepter tout ce que j'ai perdu.
La fin de l'année s'annonce compliqué.
Au moins autant que de suivre ce cours. Mais pas pour les possibles raisons évoquées par notre professeur.
Tant pis. Je profite du chemin en bus pour terminer (partiellement) ma nuit.
Il me faut me réveiller totalement en arrivant à mon arrêt. Je suis (encore) limite niveau timing. Mais pas question d'arriver en retard. Je cours les quelques mètres qui me séparent de l'université et ralenti en arrivant dans les couloirs, jusqu'à trouver ma salle pour la matinée. Huit heure pile. Pas question de me faire remarquer, je m'installe au fond de la salle, à l'une des places libres les plus proches de la porte par laquelle je viens d'arriver. Je sors mon pc pour l'allumer en suivant et pose le regard sur notre professeur qui entame ce cours sans perdre de temps.
Eh bah, super ambiance.
Distraitement, je commence à prendre quelques notes tout en suivant ce qui se passe devant moi. Du tableau, mes yeux dérivent sans que je ne les controle. Pas difficile de repérer Chandini avec ses cheveux. Même sa petite taille ne peut la camoufler totalement au milieu de la masse d'étudiants. Un pincement au coeur, je reporte mon attention sur notre professeur de mauvais poil.
Je lui ai promis d'essayer de reprendre notre ancienne dynamique. Mais c'est encore trop dur. Je n'y arrive pas. Et partager toutes ces heures de cours en sa compagnie ne m'aide malheureusement pas à accepter tout ce que j'ai perdu.
La fin de l'année s'annonce compliqué.
Au moins autant que de suivre ce cours. Mais pas pour les possibles raisons évoquées par notre professeur.
"Tired of being what you want me to be I don't know what you're expecting of me
Put under the pressure of walking in your shoes Every step that I take is another mistake to you"
Linkin Park - Numb
Milan parle en japonais :#cc3333
Milan baragouine comme il peut en anglais avec un très fort accent : #cc6600
Put under the pressure of walking in your shoes Every step that I take is another mistake to you"
Linkin Park - Numb
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- Junko FushitaA l'université ; 3è année
■ Age : 28■ Messages : 307■ Inscrit le : 03/12/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 23 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-107
❖ Arrivé(e) en : Fin Juin 2018
La fin des vacances, la rentrée.
La reprise des cours.
Les jours qui passent, sans l'attendre.
Junko aussi ne dort pas trop, à l'égard de ses camarades de classe. Pas pour les mêmes raisons. Arizona Williams, si elle est toujours dans sa tête, n'est pas la cause de ses tourments actuels. Il est décalqué, complètement décalé, à l'ouest. Il est là, sans être là. Et il a du mal à suivre les cours.
C'est devenu mécanique, de se lever le matin. Il part courir, mais ça ne lui vide plus la tête, ça ne lui fait plus rien en fait. Tout est allé si vite, et tout s'est tassé si vite. La vie reprend son cours, n'est-ce pas ? Normalement, c'est comme ça que ça fonctionne.
Junko cache tout. Junko ne montre que ce qu'il a envie de montrer.
Chandini, il la connait parce qu'elle lui a passé ses cours avant les vacances d'été, pour les examens. Elle l'a aidé à rattraper son retard dû à son changement d'université. Elle est gentille, Chandini.
D'autres viennent ensuite, et finalement, l'amphithéâtre se remplit bien. Le professeur commence son intro. Jun joue un peu avec son stylo, distraitement. Il n'arrive déjà pas à se concentrer. Il n'arrive plus à rien. Il jette un coup d'œil à sa voisine. Elle a l'air si studieuse, Chandini. Il lui donne un léger sourire, la tête posée dans le creux de sa main. Junko a côté, il a l'air d'un touriste avec ses feuilles et son pauvre stylo.
Mais il remarque assez vite les gribouillages qu'elle a fait sur la sienne, de feuille.
Junko prend tout de même des notes, à l'arraché. Ses brouillons ne ressemblent jamais à rien, ça part dans tous les sens. Il remet tout au propre plus tard, en faisant en plus des recherches à la bibliothèque pour combler les trous ou rajouter des informations. La bibliothèque, c'est un peu sa deuxième maison à vrai dire.
Malgré tout ce qu'il lui arrive, il ne compte pas louper son année.
La reprise des cours.
Les jours qui passent, sans l'attendre.
Junko aussi ne dort pas trop, à l'égard de ses camarades de classe. Pas pour les mêmes raisons. Arizona Williams, si elle est toujours dans sa tête, n'est pas la cause de ses tourments actuels. Il est décalqué, complètement décalé, à l'ouest. Il est là, sans être là. Et il a du mal à suivre les cours.
C'est devenu mécanique, de se lever le matin. Il part courir, mais ça ne lui vide plus la tête, ça ne lui fait plus rien en fait. Tout est allé si vite, et tout s'est tassé si vite. La vie reprend son cours, n'est-ce pas ? Normalement, c'est comme ça que ça fonctionne.
« Salut, Chandini. » glisse t-il à la jeune femme en s'asseyant à côté d'elle, dans un sourire.
Junko cache tout. Junko ne montre que ce qu'il a envie de montrer.
Chandini, il la connait parce qu'elle lui a passé ses cours avant les vacances d'été, pour les examens. Elle l'a aidé à rattraper son retard dû à son changement d'université. Elle est gentille, Chandini.
D'autres viennent ensuite, et finalement, l'amphithéâtre se remplit bien. Le professeur commence son intro. Jun joue un peu avec son stylo, distraitement. Il n'arrive déjà pas à se concentrer. Il n'arrive plus à rien. Il jette un coup d'œil à sa voisine. Elle a l'air si studieuse, Chandini. Il lui donne un léger sourire, la tête posée dans le creux de sa main. Junko a côté, il a l'air d'un touriste avec ses feuilles et son pauvre stylo.
Mais il remarque assez vite les gribouillages qu'elle a fait sur la sienne, de feuille.
« Toi aussi tu remplies tes marges ? » lui chuchote t-il, en écoutant approximativement le prof.
Junko prend tout de même des notes, à l'arraché. Ses brouillons ne ressemblent jamais à rien, ça part dans tous les sens. Il remet tout au propre plus tard, en faisant en plus des recherches à la bibliothèque pour combler les trous ou rajouter des informations. La bibliothèque, c'est un peu sa deuxième maison à vrai dire.
Malgré tout ce qu'il lui arrive, il ne compte pas louper son année.
- Rindo KurokawaA l'université ; 4è année
■ Age : 24■ Messages : 91■ Inscrit le : 11/11/2022■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-1
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Cours de médecine
Ça la fout mal pour une médecin. Rindo n'a jamais pris la peine de compter le nombre de fois où ses parents lui ont dit qu'elle allait en baver en entreprenant des études de médecine en détestant autant se lever tôt. Elle se réveilla en trombe, le plus tard possible, se préparant en vitesse avant d'avaler rapidement un café au lait et de quoi se remplir rapidement l'estomac pour ne pas qu'il crie famine dans la matinée. Que ce soit pour les cours ou pour assouvir ses étranges envies, la stalkeuse est une femme des plus organisées, notamment au niveau de son timing en terme général, ainsi, après s'être préparée assez vite, elle quitte sa chambre à la minute près pour être sûre d'arriver dans l'amphithéâtre à huit heure. Pas sept heure cinquante neuf, pas huit heure une, huit heure. Rindo est une femme très pointilleuse sur sa ponctualité, au grand dam de certains professeurs lui ayant déjà reprochée d'être trop juste. Mais elle n'a jamais été en retard. Sauf quand elle le décide...
L'amphithéâtre était déjà bondé, le professeur semblait de mauvais poil d'après sa stalkeuse vision décelant les traits légèrement serrés de sa mâchoire en un coup d'œil. Encore quelqu'un qui se force à donner des cours alors qu'il n'aime pas ça ou bien qui ne sait pas que ce n'est pas la faute des autres s'il n'a pas eu assez de céréales dans son bol de lait et qu'il faut pas passer ses nerfs sur les autres. Bon, elle est un peu comme ça elle-même, mais elle a la décence de ne pas faire la gueule devant une assemblée... Ses yeux se dirigent ensuite vers l'assemblée en question pour y chercher une place, mais c'est alors qu'un jackpot lui saute aux yeux. Une place libre dans le fond juste à côté de sa tête préférée dans toute cette ville. Un alignement des astres qui lui extorque un sourire alors qu'elle réajuste son sac à bandoulière pour se rendre à cette place, s'y installant nonchalamment en déposant son ordinateur portable sur le pupitre, l'écran affichant une jolie photo d'une idol bien connue dans le coin en guise de fond d'écran, juste avant de disparaître derrière un traitement de texte.
L'amphithéâtre était déjà bondé, le professeur semblait de mauvais poil d'après sa stalkeuse vision décelant les traits légèrement serrés de sa mâchoire en un coup d'œil. Encore quelqu'un qui se force à donner des cours alors qu'il n'aime pas ça ou bien qui ne sait pas que ce n'est pas la faute des autres s'il n'a pas eu assez de céréales dans son bol de lait et qu'il faut pas passer ses nerfs sur les autres. Bon, elle est un peu comme ça elle-même, mais elle a la décence de ne pas faire la gueule devant une assemblée... Ses yeux se dirigent ensuite vers l'assemblée en question pour y chercher une place, mais c'est alors qu'un jackpot lui saute aux yeux. Une place libre dans le fond juste à côté de sa tête préférée dans toute cette ville. Un alignement des astres qui lui extorque un sourire alors qu'elle réajuste son sac à bandoulière pour se rendre à cette place, s'y installant nonchalamment en déposant son ordinateur portable sur le pupitre, l'écran affichant une jolie photo d'une idol bien connue dans le coin en guise de fond d'écran, juste avant de disparaître derrière un traitement de texte.
Codage par Libella sur Graphiorum
- PNJNon validé ; bouhouhou■ Age : 35■ Messages : 6331■ Inscrit le : 31/03/2008
Cours de médecine
Etudiants en médecine
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Silence, le cours commence
Tsukamoto-san réfréna un long soupir en déployant les slides de son cours. Les étudiants allaient tout d'abord revenir avec lui sur un ensemble de pathologies communes, classées par zones du corps humains, comme les pathologies respiratoires par exemple. Forcément, pour certains, cela fera redite mais très honnêtement, il n'était pas là pour jauger le niveau des étudiants : il était là pour déblatérer sa matière, se délecter des quelques mines déconfites d'étudiants paumés, sortir, pointer, rentrer chez lui et encaisser son supplément de salaire à la fin du mois. Un chirurgien très compétent mais un prof peu passionné, en somme.
Bien. Commençons réellement. On va revenir sur une série de pathologies communes, avec à chaque fois le même mode opératoire : définition, signes cliniques, évolution et traitement. Pour ce qui est de la radiologie, je vous réfère à vos manuels, on est pas ici pour refaire un cours, mon objectif est de faire un point global, vu ?
Il cliqua deux fois sur sa télécommande pour faire défiler les slides. Il passa rapidement sur quelques points qu'il jugeait connus et sur lesquels il ne comptait pas revenir et arriva enfin sur le premier sujet : la gastrite.
On va commencer par la base de la base, quasi tout le monde en a déjà eu une : la gastrite. C'est simple, c'est une maladie inflammatoire de la paroi de l'estomac, qui a plusieurs causes comme des sécrétions gastriques accrues favorisées par le stress, des traitements par anti-inflammatoires AINS ou encore une infection bactérienne ou une forte consommation d'alcool. Autant dire que des étudiants comme vous en ont forcément déjà eu une ou en auront une à l'avenir. Alors c'est important de savoir ça.
Il passa sur plusieurs slides avec des coupes et des photos de gastroscopies et arriva sur le chapitre des évolutions de la maladie. Il marqua une pause et balaya l'amphithéâtre d'un regard inquisiteur. C'était l'heure du quizz.
Qui peut me donner des exemples d'évolution d'une gastrite ?
- Chandini AppachettyA l'université ; 4è année■ Age : 31■ Messages : 767■ Inscrit le : 17/07/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-7
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Suivre ses cours
ft. Étudiants en Médecine
Meyuki s'était installée d'un côté, Junko de l'autre. Tu les saluais tous les deux, un sourire aux lèvres, en leur demandant s'ils allaient bien et étaient prêts pour cette matinée.
Tu en avais vu, des personnes rentrer, même Milan. Tu voulais le saluer d'un simple geste de la main mais… ses yeux ne se posèrent aucunement sur toi. Tu te mordis la lèvre inférieure tout en serrant les poings sur tes cuisses. Tout était de ta faute. Tu pris une inspiration, une première gorgée d'eau et c'était bon.
Rester concentrée sur le cours.
C'était compliqué de rester focus avec Fushita-kun à côté. Fushita-san ? Tu n'en savais rien. Junko. Junko aimait parler et cela te faisait un peu rougir quand il te mettait le bout de ton nez dans tes bêtises, en l'occurrence là, il s'agissait de gribouillages. Ta main gauche se posa sur ta feuille pour les cacher honteusement, ce n'était meemy pas joli, alors que tu lui bredouillais que c'était juste pour faire passer le temps et que tu rendrais tout ça propre quand la première question se fit entendre. Instinctivement, tu relevas cette main gauche :
« Une gastrite non traitée peut évoluer en ulcère, plus rarement mais ce n'est pas impossible, en cancer de l'estomac, à cause de la bactérie Helicobacter pylori. »
Tu rabaissas ta main gauche et regrettas quasi immédiatement ta prise de parole. Tu aurais dû te la fermer et attendre.
tenue
Tu en avais vu, des personnes rentrer, même Milan. Tu voulais le saluer d'un simple geste de la main mais… ses yeux ne se posèrent aucunement sur toi. Tu te mordis la lèvre inférieure tout en serrant les poings sur tes cuisses. Tout était de ta faute. Tu pris une inspiration, une première gorgée d'eau et c'était bon.
Rester concentrée sur le cours.
C'était compliqué de rester focus avec Fushita-kun à côté. Fushita-san ? Tu n'en savais rien. Junko. Junko aimait parler et cela te faisait un peu rougir quand il te mettait le bout de ton nez dans tes bêtises, en l'occurrence là, il s'agissait de gribouillages. Ta main gauche se posa sur ta feuille pour les cacher honteusement, ce n'était meemy pas joli, alors que tu lui bredouillais que c'était juste pour faire passer le temps et que tu rendrais tout ça propre quand la première question se fit entendre. Instinctivement, tu relevas cette main gauche :
« Une gastrite non traitée peut évoluer en ulcère, plus rarement mais ce n'est pas impossible, en cancer de l'estomac, à cause de la bactérie Helicobacter pylori. »
Tu rabaissas ta main gauche et regrettas quasi immédiatement ta prise de parole. Tu aurais dû te la fermer et attendre.
tenue
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Code by Joy- Junko FushitaA l'université ; 3è année■ Age : 28■ Messages : 307■ Inscrit le : 03/12/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 23 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-107
❖ Arrivé(e) en : Fin Juin 2018
L'amphi s'est bien rempli, et il y a des têtes qu'il reconnait à force de les voir, même s'il ne leur a pas forcément adressé la parole. Milan d'abord, parce qu'ils font du basket ensemble, puis Rindo aussi bien sûr à qui il adresse un signe de la main et un sourire -il l'aime bien Rindo, elle est trop cool-, et puis Meyuki du karaté évidemment. En fait, pas mal de monde avec qui il cause parfois, quelques mots. Junko n'est pas quelqu'un du genre à rester dans son coin. Et ici, il apprécie tout le monde. Du moins pour l'instant, il ne s'est pas fait d'ennemi. Enfin, il repose son regard cerné et quelque peu blasé sur le prof qui continue son cours.
Chandi a bredouillé une excuse, et elle n'a pas manqué de disparaître dans sa timidité et sa gêne, cachant ses gribouillages. Elle est mignonne, Chandini. Et gentille. Junko l'apprécie, et encore plus se mettre à côté d'elle en cours. Quand il est trop distrait, il a juste à regarder la feuille de notes de la jeune femme et il peut rattraper son court retard en un rien de temps. Chandini est douée pour prendre des notes, et juste douée en fait. Elle travaille beaucoup, faut dire. Il n'est donc pas étonné qu'elle prenne la parole pour répondre à la question du professeur.
Junko sourit légèrement, coule ses yeux bruns sur elle alors qu'elle semble vouloir disparaître dans sa chaise. Alors à son tour et pour dériver l'attention sur lui, il lève la main et prend la parole.
Junko baisse le bras et pose son menton dans le creux de sa main, ses yeux bruns glissant sur la silhouette du professeur devant eux. Se plonger dans un cours, ça occupe son esprit et c'est pas plus mal finalement.
Chandi a bredouillé une excuse, et elle n'a pas manqué de disparaître dans sa timidité et sa gêne, cachant ses gribouillages. Elle est mignonne, Chandini. Et gentille. Junko l'apprécie, et encore plus se mettre à côté d'elle en cours. Quand il est trop distrait, il a juste à regarder la feuille de notes de la jeune femme et il peut rattraper son court retard en un rien de temps. Chandini est douée pour prendre des notes, et juste douée en fait. Elle travaille beaucoup, faut dire. Il n'est donc pas étonné qu'elle prenne la parole pour répondre à la question du professeur.
Junko sourit légèrement, coule ses yeux bruns sur elle alors qu'elle semble vouloir disparaître dans sa chaise. Alors à son tour et pour dériver l'attention sur lui, il lève la main et prend la parole.
« Mais dans le cas où la gastrite est chronique, elle peut être symptomatique d'une autre maladie. » rajoute-t-il pour compléter la réponse de Chandini.
Junko baisse le bras et pose son menton dans le creux de sa main, ses yeux bruns glissant sur la silhouette du professeur devant eux. Se plonger dans un cours, ça occupe son esprit et c'est pas plus mal finalement.
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
A peine le temps d'un froncement de sourcils en voyant Junko, quelques rangs devant moi, se pencher à un peu trop vers Chandini, que mon attention est entièrement déviée. C'est Rindo qui vient s'installer à côté de moi, elle aussi impeccable sur le timing. Ce qui me tire un large sourire. Je crois que je ne pouvais pas avoir meilleure voisine pour ce cours beaucoup trop matinal. Je lui lance un salut plein d'enthousiasme (j'ai enfin l'impression d'émerger pour la première fois) et c'est parti, le prof ne perd pas plus de temps pour entamer son cours.
Mon ordinateur prêt pour prendre mes notes, je m'efforce à rester concentré malgré le brouillard de sommeil qui revient bien vite au dessus de ma tête. Mais c'est compliqué. J'écoute, pianote un peu de temps en temps, échange quelques haussements de sourcils avec ma voisine quand j'ai l'impression de décrocher du diapo soporifique, avant de me mettre une claque mentale pour reprendre.
Jusqu'à ce que le professeur s'arrête de parler. Mince. A tous les coups il a posé une question. Je n'ai même pas entendu. Ou plutôt, mon cerveau devait être en veille à ce moment là et l'information l'a totalement traversé. C'est Chandini qui répond la première, ce qui a de quoi me nouer à nouveau la gorge. Je ne peux m'empêcher de poser un regard un peu triste sur sa tête qui dépasse à peine, plusieurs rangs devant.
Avec un léger soupire (je tiens à être discret quand même), je m'affale un peu plus dans mon siège, laissant ma tête reposer en arrière.
- "Pourquoi est-ce qu'ils mettent des cours aussi tôt ?"
Une plainte plus qu'une question, là encore adressée à voix suffisamment basse pour m'assurer que seule Rindo (et les quelques autres personnes les plus proches) puisse entendre. Ouais, ce n'est pas ce matin que je brillerai par mes connaissances.
Mon ordinateur prêt pour prendre mes notes, je m'efforce à rester concentré malgré le brouillard de sommeil qui revient bien vite au dessus de ma tête. Mais c'est compliqué. J'écoute, pianote un peu de temps en temps, échange quelques haussements de sourcils avec ma voisine quand j'ai l'impression de décrocher du diapo soporifique, avant de me mettre une claque mentale pour reprendre.
Jusqu'à ce que le professeur s'arrête de parler. Mince. A tous les coups il a posé une question. Je n'ai même pas entendu. Ou plutôt, mon cerveau devait être en veille à ce moment là et l'information l'a totalement traversé. C'est Chandini qui répond la première, ce qui a de quoi me nouer à nouveau la gorge. Je ne peux m'empêcher de poser un regard un peu triste sur sa tête qui dépasse à peine, plusieurs rangs devant.
Avec un léger soupire (je tiens à être discret quand même), je m'affale un peu plus dans mon siège, laissant ma tête reposer en arrière.
- "Pourquoi est-ce qu'ils mettent des cours aussi tôt ?"
Une plainte plus qu'une question, là encore adressée à voix suffisamment basse pour m'assurer que seule Rindo (et les quelques autres personnes les plus proches) puisse entendre. Ouais, ce n'est pas ce matin que je brillerai par mes connaissances.
"Tired of being what you want me to be I don't know what you're expecting of me
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Milan parle en japonais :#cc3333
Milan baragouine comme il peut en anglais avec un très fort accent : #cc6600
Put under the pressure of walking in your shoes Every step that I take is another mistake to you"
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Milan parle en japonais :#cc3333
Milan baragouine comme il peut en anglais avec un très fort accent : #cc6600
- Rindo KurokawaA l'université ; 4è année■ Age : 24■ Messages : 91■ Inscrit le : 11/11/2022■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-1
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Cours de médecine
Rindo se fit accueillir par un large sourire lorsqu'elle s'installa aux côtés de Milan pour faire face au professeur qui ne lui revenait déjà pas. Comparé à ce type qui semblait encore plus aigri qu'Alya après qu'elle ait passée une mauvaise journée, la façon dont Milan la saluait avec son enthousiasme habituel marquait le seul contraste dont elle avait besoin pour avoir un semblant de motivation à cette heure. Enfin... Motivation, ça restait un grand mot. Rindo était dans cet amphi à huit heure pétante plus par nécessité que par envie, mais au moins, elle était en compagnie de quelqu'un qu'elle appréciait ! La femme eut tout juste le temps de rendre le bonjour à son ami avec un enthousiasme exagéré et de mettre son ordinateur en place pour y écrire un maximum d'informations que Monsieur Aigri se mit a déblatérer son cours à une cadence bien trop excessive pour être intéressée. Ça ressemblait plus à un speech appris par cœur qu'à un véritable cours en réalité, ce qui donnait difficilement envie de le suivre, mais elle se forçait à écouter ce que racontait cette voix de guépard sous coke en tapotant rapidement sur son clavier pour retranscrire tout ce qui lui paraissait important.
D'après les quelques regards qu'elle échangeait avec Milan par moments, avec des yeux plus fatigués que chaleureux en plus d'être dans une ambiance bien plus morose que ce dont elle avait l'habitude de faire avec lui, elle n'était pas la seule à avoir un peu de mal. Le garçon avait parfois l'air complètement largué. Puis le professeur leur fit enfin l'honneur de laisser temporairement le silence s'imposer. Après une question, certes, mais ça laissait au moins un petit sursis à Rindo pour réorganiser ses notes pendant que quelqu'un d'autre répond. D'abord une fille, dont la voix fit réagir étrangement Milan, ce qui ne manqua pas d'interloquer Rindo et de lui faire hausser un sourcil, puis la voix chaleureuse de Junko. Elle l'aimait bien, mais l'absence de nouvelles connaissances et la plainte de Milan juste à côté lui fit décider de porter son attention sur ce dernier.
« Pourquoi est-ce qu'ils mettent des cours aussi tôt ? »
Il était littéralement en train de mourir sur son siège... Et connaissant Milan, Rindo trouvait ça surprenant de voir un simple cours le mettre dans cet état. Ça avait de quoi attirer la curiosité d'une stalkeuse...
« T'as l'air complètement à l'ouest, Milan... T'as joué au basket toute la nuit sans moi ? »
D'après les quelques regards qu'elle échangeait avec Milan par moments, avec des yeux plus fatigués que chaleureux en plus d'être dans une ambiance bien plus morose que ce dont elle avait l'habitude de faire avec lui, elle n'était pas la seule à avoir un peu de mal. Le garçon avait parfois l'air complètement largué. Puis le professeur leur fit enfin l'honneur de laisser temporairement le silence s'imposer. Après une question, certes, mais ça laissait au moins un petit sursis à Rindo pour réorganiser ses notes pendant que quelqu'un d'autre répond. D'abord une fille, dont la voix fit réagir étrangement Milan, ce qui ne manqua pas d'interloquer Rindo et de lui faire hausser un sourcil, puis la voix chaleureuse de Junko. Elle l'aimait bien, mais l'absence de nouvelles connaissances et la plainte de Milan juste à côté lui fit décider de porter son attention sur ce dernier.
« Pourquoi est-ce qu'ils mettent des cours aussi tôt ? »
Il était littéralement en train de mourir sur son siège... Et connaissant Milan, Rindo trouvait ça surprenant de voir un simple cours le mettre dans cet état. Ça avait de quoi attirer la curiosité d'une stalkeuse...
« T'as l'air complètement à l'ouest, Milan... T'as joué au basket toute la nuit sans moi ? »
Codage par Libella sur Graphiorum
- Meyuki HaradaA l'université ; 2è année
■ Age : 26■ Messages : 2104■ Inscrit le : 16/02/2017■ Mes clubs :
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❖ Âge : 20 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-8
❖ Arrivé(e) en : octobre 2014
Cours de médecine
avec les étudiants de médecine
Jeudi 27 septembre
C'est pile à l'heure que j'arrive devant l'amphi pour le séminaire de médecine. Pile à l'heure au point d'entrer juste au moment ou l'intervenant entame le mouvement pour fermer la porte. Je m'excuse trois fois en m'inclinant et me faufile jusqu'à la rangée où se trouve la jolie Chandini, en plus une place est encore libre à ses côtés. Je la salue tout bas et dis bonjour à Junko à côté d'elle, m'asseoit rapidement et sort un bloc-note et ma trousse pour entamer la prise de note.
Ah, la pathologie générale. Dans ma tête, j'ai toujours associé ça à un genre de "Qui est-ceé géant aux risques bien plus concret qu'une partie de jeu de société, tant les possibilités sont grandes. Mais le principe reste le même, il faut se poser les bonnes questions et faire les examens qui nous donneront les bonnes réponses pour trouver la cible ! A force de voir des images peu ragôutantes en cours, je crois que la plupart d'entre nous est vaccinés contre les malaises et vomito incontrôlés. Mais il y a toujours des coeurs sensibles.
Je jette un petit coup d'oeil aux notes de Junko et Chandini en les entendant papoter, les petits dessins qui s'y trouvent me font sourire et voir les notes de Junko dans tous les sens aussi. Tant qu'il s'y retrouve, je crois que c'est le principal ! Mon attention se redirige alors vers le professeur, quand le vif du sujet démarre. Les cas concrets. Les participations se succèdent, et je lève timidement la main à mon tour, disant tout haut quand j'en ai l'occasion : Si elle affecte surtout les extrémités, la gastrite peut aussi évoluer en pangastrite, notamment au Japon où il y a plus de risque, et ça causerait des atrophies... Je crois que l'acidité peut aussi causer des soucis au niveau de l'oesophage et des dents sur le long terme, non ?
- Tenue de Meyu:
Meyuki parle : Japonais en #901e62, Français en #339999 et Anglais en #3366cc
- Chandini AppachettyA l'université ; 4è année■ Age : 31■ Messages : 767■ Inscrit le : 17/07/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-7
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Suivre ses cours
ft. Étudiants en Médecine
Alors que tu essayais de t'enfoncer dans ton siège suite à ta prise de parole non contrôlée, la voix de Junko se fit entendre quelques secondes après la tienne pour y apporter une précision assez importante. Et tu t'en voulais encore plus. Tu le SAVAIS et tu n'avais pourtant rien dit. Tu t'insultais mentalement de tous les noms en te demandant ce qui avait bien pu se passer pour que tu passes ce détail à la trappe et, dans un faible soupir, tentas de reprendre tes esprits après avoir ajusté tes lunettes. S'il pouvait arrêter de te regarder comme ça aussi… c'était très déstabilisant. La réponse de Meyuki ne fit qu'aggraver ton état. Ne jamais rester focaliser sur un seul détail, voire toujours en grand pour rétrécir au fur et à mesure. C'était pourtant la base et tu en étais visiblement incapable.
Ce que tu avais envie de te retourner pour espérer voir Milan, qu'il te sourit et que tu te dises que ce n'était que toi qui te faisait des films. Tu tentas de tourner ton visage, puis tes yeux vers le haut de l'amphithéâtre mais sa petite tête blonde semblait être hors d'atteinte pour tes yeux. Zut… À quoi ça te servirait de le voir alors qu'il t'ignorait complètement ? Tu te mordais la lèvre inférieure et finis par retirer tes lunettes, utilisant tes doigts pour masser doucement le coin de ses yeux. La fatigue. Les larmes qui montaient. Tu changeas d'arme pour opter pour un crayon à papier, demandant sur un coin de feuille à chacun de tes voisins ce qu'ils comptaient manger ce midi. Et en regardant le jeune homme, tu commenças à fouiller dans ton sac pour lui proposer une barrette.
« Tu as quand même de beaux cheveux…, chuchotais-tu avant de te tourner vers Meyuki, N'est-ce pas ? »
tenue
Ce que tu avais envie de te retourner pour espérer voir Milan, qu'il te sourit et que tu te dises que ce n'était que toi qui te faisait des films. Tu tentas de tourner ton visage, puis tes yeux vers le haut de l'amphithéâtre mais sa petite tête blonde semblait être hors d'atteinte pour tes yeux. Zut… À quoi ça te servirait de le voir alors qu'il t'ignorait complètement ? Tu te mordais la lèvre inférieure et finis par retirer tes lunettes, utilisant tes doigts pour masser doucement le coin de ses yeux. La fatigue. Les larmes qui montaient. Tu changeas d'arme pour opter pour un crayon à papier, demandant sur un coin de feuille à chacun de tes voisins ce qu'ils comptaient manger ce midi. Et en regardant le jeune homme, tu commenças à fouiller dans ton sac pour lui proposer une barrette.
« Tu as quand même de beaux cheveux…, chuchotais-tu avant de te tourner vers Meyuki, N'est-ce pas ? »
tenue
surviving…
Code by Joy- Junko FushitaA l'université ; 3è année■ Age : 28■ Messages : 307■ Inscrit le : 03/12/2023■ Mes clubs :
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❖ Âge : 23 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-107
❖ Arrivé(e) en : Fin Juin 2018
Meyuki rajoute habilement sa participation. Le prof va être content, il a devant lui une classe réactive après tout. Si tôt, ça tient presque de l'exploit. Junko darde ses yeux sur ce dernier, la tête posée dans le creux de sa main, l'autre jouant avec son stylo au-dessus de sa feuille de note. Il fait coulisser ses yeux bruns sur sa voisine. Chandini n'a pas l'air très à l'aise. Elle frotte ses yeux d'un air fatigué, posant ses lunettes sur la table.
Junko s'en empare avec délicatesse et les essaye. Au premier rang, oui, mais ça ne les empêche pas de discuter un peu. Les verres ne sont évidemment pas fait à sa vision, mais il parcourt la salle du regard. Ca lui pique les yeux. Il tourne la tête vers Chandini, lorsqu'elle lui chuchote un compliment à propos de ses cheveux. Junko sourit doucement.
Chandini aussi, elle a des beaux cheveux. Elle lui tend une barrette, et Junko la prend en lui rendant ses lunettes de vue. Il darde ses yeux vers Meyuki de l'autre côté, puisque Chandini lui a aussi demandé son avis, tout en clipsant l'accessoire et dégager son visage d'une mèche l'encadrant. Il n'est pas étranger à avoir des choses dans ses cheveux. C'est souvent que ses soeurs s'amuse à le coiffer à Tokyo. S'amusaient, du moins.
Junko répond sur le petit papier qu'elle lui a glissé. Il aimerait bien qu'il y ait de l'omelette à la cantine pour déjeuner.
Le compliment est sincère. Elle a une belle crinière bien épaisse, d'un noir profond. Comme sa couleur à lui, mais il possède plutôt des cheveux typiquement japonais, bien lisses. Il jette ses yeux vers Meyuki. Elle aussi, elle a des beaux cheveux. Ils font une belle brochette de chevelus à eux trois. La pensée le fait sourire quelque peu. Il soupire, puis dissocie en repassant sur ses notes son stylo, son sourire disparaissant pour une expression bien plus neutre.
Junko s'en empare avec délicatesse et les essaye. Au premier rang, oui, mais ça ne les empêche pas de discuter un peu. Les verres ne sont évidemment pas fait à sa vision, mais il parcourt la salle du regard. Ca lui pique les yeux. Il tourne la tête vers Chandini, lorsqu'elle lui chuchote un compliment à propos de ses cheveux. Junko sourit doucement.
« Merci. »
Chandini aussi, elle a des beaux cheveux. Elle lui tend une barrette, et Junko la prend en lui rendant ses lunettes de vue. Il darde ses yeux vers Meyuki de l'autre côté, puisque Chandini lui a aussi demandé son avis, tout en clipsant l'accessoire et dégager son visage d'une mèche l'encadrant. Il n'est pas étranger à avoir des choses dans ses cheveux. C'est souvent que ses soeurs s'amuse à le coiffer à Tokyo. S'amusaient, du moins.
Junko répond sur le petit papier qu'elle lui a glissé. Il aimerait bien qu'il y ait de l'omelette à la cantine pour déjeuner.
« Toi aussi Chandini, tu as des beaux cheveux. » lui chuchote t-il en observant la tignasse brune.
Le compliment est sincère. Elle a une belle crinière bien épaisse, d'un noir profond. Comme sa couleur à lui, mais il possède plutôt des cheveux typiquement japonais, bien lisses. Il jette ses yeux vers Meyuki. Elle aussi, elle a des beaux cheveux. Ils font une belle brochette de chevelus à eux trois. La pensée le fait sourire quelque peu. Il soupire, puis dissocie en repassant sur ses notes son stylo, son sourire disparaissant pour une expression bien plus neutre.
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
C'est vrai ça. Rindo a raison. Ça ne me ressemble pas du tout cette absence totale de motivation. Même pour un cours à 8h du mat avec un prof incroyablement barbant. Heureusement, la réaction de ma voisine de classe réussi à m'arracher un petit sourire.
- "Ahah nan, je n'oserai jamais jouer toute la nuit sans toi. Ce ne serait pas aussi intéressant."
Je lui réponds toujours doucement, ne voulant sûrement pas attirer l'attention de notre professeur. Je préfère largement laisser le premier rang assurer leur rôle de bons élèves.
- "Je suis juste un peu fatigué. Du mal à dormir en ce moment. J'te raconterai plus tard."
Parce que les cours ne sont clairement pas l'endroit idéal. Et puis, je crois que j'ai pas très envie de repenser à tout ça pour le moment. Non, j'ai la chance d'avoir Rindo à côté de moi, autant en profiter pour essayer de me changer un peu les idées. Alors, même si c'est un peu dur, je me fais finalement violence pour ignorer Chandini devant moi.
- "Mais bon, tu vas pas me dire que tu trouves ce cours super passionnant ?"
Ça ne me ressemble peut-être pas trop de jouer au mauvais élève comme ça, mais j'ai l'impression que c'est mon mood du moment, et je n'arrive manifestement plus à faire semblant ces derniers jours. Alors... tant pis. Ce n'est pas comme si les cours avaient encore une quelconque importance à mes yeux.
- "Ahah nan, je n'oserai jamais jouer toute la nuit sans toi. Ce ne serait pas aussi intéressant."
Je lui réponds toujours doucement, ne voulant sûrement pas attirer l'attention de notre professeur. Je préfère largement laisser le premier rang assurer leur rôle de bons élèves.
- "Je suis juste un peu fatigué. Du mal à dormir en ce moment. J'te raconterai plus tard."
Parce que les cours ne sont clairement pas l'endroit idéal. Et puis, je crois que j'ai pas très envie de repenser à tout ça pour le moment. Non, j'ai la chance d'avoir Rindo à côté de moi, autant en profiter pour essayer de me changer un peu les idées. Alors, même si c'est un peu dur, je me fais finalement violence pour ignorer Chandini devant moi.
- "Mais bon, tu vas pas me dire que tu trouves ce cours super passionnant ?"
Ça ne me ressemble peut-être pas trop de jouer au mauvais élève comme ça, mais j'ai l'impression que c'est mon mood du moment, et je n'arrive manifestement plus à faire semblant ces derniers jours. Alors... tant pis. Ce n'est pas comme si les cours avaient encore une quelconque importance à mes yeux.
"Tired of being what you want me to be I don't know what you're expecting of me
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Linkin Park - Numb
Milan parle en japonais :#cc3333
Milan baragouine comme il peut en anglais avec un très fort accent : #cc6600
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- PNJNon validé ; bouhouhou■ Age : 35■ Messages : 6331■ Inscrit le : 31/03/2008
Cours de médecine
Etudiants en médecine
A savoir
▬ Il n’y a pas d’ordre pour vos réponses.
▬ Le PNJ passera chaque semaine pour relancer le sujet et animer le cours.
▬ Pour plus de fluidité, chaque RP doit faire 400 mots maximum.
Si vous avez des questions, n'hésitez pas à les poser en MP au Staff sur le forum ou sur Discord.
Silence, le cours commence
Tsukamoto-san balayait l'amphithéâtre d'un regard froid, le visage légèrement crispé. On pouvait distinguer sur son front la naissance d'une ride, non pas celle générée par l'inquiétude d'un professeur attaché à la bonne compréhension de ses cours, mais plutôt celle d'un homme visiblement frustré d'être présent et très pressé de rentrer chez lui. Frustration double puisque son auditorat ne semblait guère passionné par les merveilles des pathologies gastro-œsophagiennes. "Quel gâchis...", se dit-il en poussant un soupir avant de rebondir sur l'intervention d'une étudiante.
Merci pour vos réponses, vous deux, dit-il en pointant Junko et Chandini.
Et pas mal, mademoiselle..., il marqua une pause, chercha dans ses papiers pour retrouver le nom de l'étudiante.
Mademoiselle Harada. Pourriez-vous dire en quoi la population japonaise, ou plus largement les populations d'Asie, sont sujettes à ces troubles ?
Il redressa le nez de ses fiches pour changer préparer la slide suivante puis attarda son regard sur une bande d'étudiants décidément peu passionnés par l'exposé sur les gastrites. Un nouveau soupir, une nouvelle frustration dans sa journée. Il déballa sans rien dire une règle télescopique de sa poche et la tapa plusieurs fois sur le bureau en sifflant.
Nul doute que les derniers potins à la mode sur qui a embrassé qui à la dernière soirée soient d'une importance capitale, cependant, les pathologies ORL feront l'objet d'un autre chapitre. Donnez-moi tous les deux un autre exemple de complication, puisque vous semblez être prompts à bavasser., dit-il en direction de Rindo et Milan.
S'il y avait bien quelque chose qui pouvait le mettre hors de lui, c'était les bavardages en classe. Déjà adolescent, il avait tenté de luter contre ce fléau lorsqu'il était délégué de classe et ce, plusieurs années de suite entre le collège et le lycée. Bien que, aussi étonnant cela puisse paraître, lui aussi a été jeune, il porte une plus grande attention à l'apprentissage de l'art noble de la médecine qu'aux palabres de jeunes adultes.
Alors ? Plus personne ?, lança-t-il avec un ton sévère.
- Rindo KurokawaA l'université ; 4è année■ Age : 24■ Messages : 91■ Inscrit le : 11/11/2022■ Mes clubs :
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❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-1
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Cours de médecine
En seulement quelques mots, Milan se montre soudainement bien plus intéressant que le cours qui se déroule devant elle. S'il a quelque chose à lui raconter qui lui donne du mal à dormir, Rindo s'attend évidemment à quelque chose de beaucoup plus croustillant qu'un prof aigri qui déblatère son exposé sur les gastrites ! Et en plus ils se font carry par le premier rang, ce qui leur laisse tout le loisir de discuter en se donnant mutuellement une mauvaise influence.
« Mais bon, tu vas pas me dire que tu trouves ce cours super passionnant ?
—Pas le moins du monde ! »
S'exclama-t-elle, d'un air las, sur son timbre de voix exagérément dépité en haussant les épaules tout en roulant des yeux. Pour finalement croiser le regard du prof. Oups. On dirait bien qu'elle s'est un peu trop emportée. La furie reprend donc son air désintéressé en soutenant le regard du prof jusqu'à ce que celui-ci s'arme d'une règle pour frapper sur son bureau en lâchant une belle punchline sans doute préparée depuis des lustres.
« Donnez-moi tous les deux un autre exemple de complication, puisque vous semblez être prompts à bavasser. »
S'il y avait bien quelque chose qui la met hors d'elle, la Rindo, c'était... Beaucoup de choses en fait. Mais les profs qui imposent à quelqu'un de répondre à une question en faisaient partie. Sérieusement pas. Si on répond pas c'est qu'on a pas la réponse ou qu'on a pas envie de la partager, c'est pas difficile à comprendre. Et en l'occurrence elle n'avait pas envie, parce que discuter c'était bien plus intéressant que de flamber en disant à haute voix des réponses que toute la promo est censée avoir pour montrer à tout le monde qu'on a appris nos cours.
« L'inflammation peut mener à une fibrose, ou bien s'accompagner de saignements. Notamment d'une hématémèse débouchant sur une anémie, qui peuvent être symptôme d'une hémorragie digestive haute. »
Le buste légèrement penché en avant, sa tête reposant sur sa main surélevée et accoudée à la table, elle quitta le professeur des yeux pour les poser sur Milan à côté d'elle, en espérant bien qu'il ait lui aussi de quoi en boucher un coin au professeur et qu'il lâche leur veste.
« Mais bon, tu vas pas me dire que tu trouves ce cours super passionnant ?
—Pas le moins du monde ! »
S'exclama-t-elle, d'un air las, sur son timbre de voix exagérément dépité en haussant les épaules tout en roulant des yeux. Pour finalement croiser le regard du prof. Oups. On dirait bien qu'elle s'est un peu trop emportée. La furie reprend donc son air désintéressé en soutenant le regard du prof jusqu'à ce que celui-ci s'arme d'une règle pour frapper sur son bureau en lâchant une belle punchline sans doute préparée depuis des lustres.
« Donnez-moi tous les deux un autre exemple de complication, puisque vous semblez être prompts à bavasser. »
S'il y avait bien quelque chose qui la met hors d'elle, la Rindo, c'était... Beaucoup de choses en fait. Mais les profs qui imposent à quelqu'un de répondre à une question en faisaient partie. Sérieusement pas. Si on répond pas c'est qu'on a pas la réponse ou qu'on a pas envie de la partager, c'est pas difficile à comprendre. Et en l'occurrence elle n'avait pas envie, parce que discuter c'était bien plus intéressant que de flamber en disant à haute voix des réponses que toute la promo est censée avoir pour montrer à tout le monde qu'on a appris nos cours.
« L'inflammation peut mener à une fibrose, ou bien s'accompagner de saignements. Notamment d'une hématémèse débouchant sur une anémie, qui peuvent être symptôme d'une hémorragie digestive haute. »
Le buste légèrement penché en avant, sa tête reposant sur sa main surélevée et accoudée à la table, elle quitta le professeur des yeux pour les poser sur Milan à côté d'elle, en espérant bien qu'il ait lui aussi de quoi en boucher un coin au professeur et qu'il lâche leur veste.
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- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
On s'emballe peut-être un peu trop ? C'est vrai qu'on est en cours. Pourtant, ces quelques minutes (secondes ?) à discuter avec Rindo réussissent à me redonner le sourire. Certes, ce n'est pas ce qui augmentera mon quota de sommeil, mais ça me fait un bien fou. Je vis beaucoup trop renfermé ces derniers jours, sauf que moi j'ai toujours eu besoin de contact humain. Enfin, dépression et sociabilité sont rarement faits pour aller ensemble.
Alors quand le professeur nous interrompt, c'est comme si ma petite bulle de légèreté qui venait de se créer éclate violemment. Trop violemment.
Pris de cours, je me redresse, bien droit, le coeur qui accélère subitement alors que tout tourne dans ma tête. Je n'ai jamais aimé faire mauvaise impression. Et pourtant, hormis cette réaction purement physique, au fond de moi, je m'en fiche. Je ne ressens rien de particulier. Pas de honte. Pas de pression. Pas de peur, comme j'aurais pu en ressentir il y encore quelques semaines de ça.
Alors quand Rindo prend naturellement la parole, avec un charisme inégalable, c'est avec une admiration totale que je l'écoute. Elle est vraiment très forte. Rebondir de la sorte, répondre aussi spontanément alors qu'on se fait clairement réprimander...
Ah et il faudrait peut-être que je réfléchisse moi aussi à dire quelque chose hein. Je m'en rends compte alors que ma voisine termine ma réponse. Mince. Je ne me souviens même pas des réponses des autres. Qu'est-ce qu'ils ont dit déjà ? Je n'ai rien écouté évidemment. J'étais bien trop concentré sur ma discussion avec Rindo.
Ok, peut-être que la panique commence à arriver finalement, laissant quelques secondes de silence peser sur l’amphithéâtre.
- "Hum, eh bien..."
Tout tourne trop vite dans ma tête. Tout ce que j'ai appris, ou est-ce que ça se cache ? Je sais que je dois avoir des réponses. J'ai toujours bossé mes cours. Mais dans mon état actuel, c'est comme s'il fallait que je me batte avec ma mémoire pour qu'elle accepte de m'accorder une simple réponse.
- "Si... si ce n'est pas traité, qu'on laisse les choses s'aggraver, ça peut aller jusqu'au cancer de l'estomac. Même si c'est rare d'en arriver jusque là."
Ma voix n'a rien d'assuré. Je me contente de réciter péniblement des lignes apprises par cœur il y a je ne sais combien de temps de ça (en croisant les doigts pour que cette réponse n'ait pas déjà été énoncée). Mais au moins, ça me permet de sortir quelque chose.
Alors quand le professeur nous interrompt, c'est comme si ma petite bulle de légèreté qui venait de se créer éclate violemment. Trop violemment.
Pris de cours, je me redresse, bien droit, le coeur qui accélère subitement alors que tout tourne dans ma tête. Je n'ai jamais aimé faire mauvaise impression. Et pourtant, hormis cette réaction purement physique, au fond de moi, je m'en fiche. Je ne ressens rien de particulier. Pas de honte. Pas de pression. Pas de peur, comme j'aurais pu en ressentir il y encore quelques semaines de ça.
Alors quand Rindo prend naturellement la parole, avec un charisme inégalable, c'est avec une admiration totale que je l'écoute. Elle est vraiment très forte. Rebondir de la sorte, répondre aussi spontanément alors qu'on se fait clairement réprimander...
Ah et il faudrait peut-être que je réfléchisse moi aussi à dire quelque chose hein. Je m'en rends compte alors que ma voisine termine ma réponse. Mince. Je ne me souviens même pas des réponses des autres. Qu'est-ce qu'ils ont dit déjà ? Je n'ai rien écouté évidemment. J'étais bien trop concentré sur ma discussion avec Rindo.
Ok, peut-être que la panique commence à arriver finalement, laissant quelques secondes de silence peser sur l’amphithéâtre.
- "Hum, eh bien..."
Tout tourne trop vite dans ma tête. Tout ce que j'ai appris, ou est-ce que ça se cache ? Je sais que je dois avoir des réponses. J'ai toujours bossé mes cours. Mais dans mon état actuel, c'est comme s'il fallait que je me batte avec ma mémoire pour qu'elle accepte de m'accorder une simple réponse.
- "Si... si ce n'est pas traité, qu'on laisse les choses s'aggraver, ça peut aller jusqu'au cancer de l'estomac. Même si c'est rare d'en arriver jusque là."
Ma voix n'a rien d'assuré. Je me contente de réciter péniblement des lignes apprises par cœur il y a je ne sais combien de temps de ça (en croisant les doigts pour que cette réponse n'ait pas déjà été énoncée). Mais au moins, ça me permet de sortir quelque chose.
"Tired of being what you want me to be I don't know what you're expecting of me
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- PNJNon validé ; bouhouhou■ Age : 35■ Messages : 6331■ Inscrit le : 31/03/2008
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A savoir
▬ Il n’y a pas d’ordre pour vos réponses.
▬ Le PNJ passera chaque semaine pour relancer le sujet et animer le cours.
▬ Pour plus de fluidité, chaque RP doit faire 400 mots maximum.
Si vous avez des questions, n'hésitez pas à les poser en MP au Staff sur le forum ou sur Discord.
Silence, le cours commence
Tsukamoto-san lança un "Huh" satisfait en réponse à celle formulée par Rindo. Au moins une qui semblait attentive, même si elle avait pris le temps de discuter pendant son cours. Merde à la fin, c'était pourtant pas compliqué de donner de l'attention sur deux heures de cours, si ? Autant le médecin connaissait les ravages des réseaux sociaux sur le taux de concentration des jeunes, mais à ce point là... Décidément, la prochaine génération ressemblait de plus en plus à une génération perdue d'avance. Il plaignait les patients.
C'est exact, Mlle Kurokawa, cependant j'aimerais que vous continuiez de vous concentrer sur mon cours et laissiez votre petit ami m'écouter., dit-il avec un sourire narquois.
D'ailleurs, M. Cray, il serait avisé d'arrêter de bavasser, sinon je vous invite à prendre la porte. Au sens figuré, j'aimerais que vos capacités de compréhension ne vous poussent pas à rentrer chez vous avec le matériel de l'établissement.
Il ajusta le col de son tablier et reprit le déroulé de son cours. Il passa de slide en slide, décrivant divers cas plus ou moins graves de pathologies gastriques, de l'ulcère à la gastrite, en passant par plusieurs formes de cancer, bien évidemment. Il passa relativement vite sur le chapitre des cancers car ce n'était pas sa spécialité. Il arrêta son diaporama sur le début de prochain chapitre : les maladie nosocomiales.
Passons à la suite. Comme vous le savez tous, du moins je l'espère, le terme "nosocomial" vient du grec ancien nosos qui signifie maladie et de komein qui veut dire soigner, qui forment le mot nosokomia, soins qu’on donne aux malades. On considère qu'une infection est nosocomiale lorsqu'elle est absente lors de l'admission du patient à l'hôpital et s'y développe sous les 48H après admission en moyenne., commença-t-il en balayant du regard l'amphithéâtre.
Bref, vous connaissez la chanson : qui a des exemples de maladies nosocomiales en stock et pourrait expliquer à la classe ?
En espérant que cette fois, l'auditoire soit plus réactif...
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