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- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 268■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Le pauvre choupinou ! Il me faisait de la peine quand même ! Non je n’étais pas comme ça heureusement, mais ça avait failli… En vrai, je devrais peut-être revenir sur le début pour qu’on comprenne un peu mieux, parce que même moi, j’ai du mal là ! Bon, il était pas loin de midi, l’heure la plus importante de la journée et je dis pas ça parce que c’est celle qui est en haut du cadran. Celle qui indique l’emplacement le plus haut du soleil dans le ciel ou que sais-je ! Non on sait tous très bien pourquoi !
Du coup, je me rendais au réfectoire en compagnie des quelques élèves de ma classe, nous parlions du cours juste avant et de ce que nous pourrions faire pour réviser au mieux les leçons. C’est là que je vis un jeune élève assis sur un banc, visiblement préoccupé. Encore un bully ? Non je n’espère pas. Autant m’en assurer, qui sait peut-être qu’il a juste besoin de parler et qui de mieux que grand-frère Juni pour ça !
J’abandonnai donc mes camarades en leur signalant que je les rejoindrais plus tard et m’assis à côté du jeune homme avec un sourire avenant et détendu. Autant éviter de le brusquer le plus possible, ça ne servirait à rien à part le braquer.
- Ça va ? Tu as l’air d’avoir des soucis, je me trompe ?
Bon, pour un départ, je m’en sors plutôt bien. En plus, il faisait beau aujourd’hui, ça changeait avec le typhon qu’on avait eu. Autant dire que je voulais profiter un peu de ce beau ciel et de l’air pur aussi ! J'étais habillé un peu plus léger, un short sombre et un haut avec motif, une casquette au passage sur la tête. Mais ma principale préoccupation, c’était le jeune homme. Il semblait être japonais en apparence, clairement, je ne voyais rien d’occidental dans son physique. Mais, clairement, il était préoccupé.
- T’en fais pas, je ne suis pas là pour en rajouter une couche ! Enfin sauf si c’est une couche de crème… mais pas sur toi je précise. Non imagine, une couche de crème sur un bon moelleux au chocolat, là tout de suite ! Ça ne te fait pas sourire un peu ?
Je l’observai avant de reprendre avec plus de sérieux.
- Tu es plutôt crème fouettée ou crème brûlée ? Enfin, non laisse tomber ! Sérieusement, qu’est-ce qui se passe ? Quelqu’un t’embête ? Tu te fais harceler ? Ou c’est peut-être familial ?
Tant de possibilités que je laissai mon imagination s’envoler si vite.
- Oh ! Je crois comprendre, tu es un super héros, comme dans certains mangas. Un élève le jour et super héros la nuit, volant au secours des opprimés ! Mais cette double vie t’empêche de te ressourcer et tu t’inquiètes de la sécurité de tes proches ! Franchement, chapeau pour le camouflage en tout cas, tu te fond bien dans le décors lycéen !
Je m’emballai et toussai deux petits coups avant de dire.
- Non pardon, c’était maladroit de ma part. Mais, si tu as besoin de parler, j’écoute. Parfois, ça peut faire que du bien et comme je suis un parfait étranger, il n’y a aucune intention intéressée de ma part. Donc, tu n’as rien à craindre de moi.
J’ajoutai un sourire rassurant en le fixant avec un regard détendu.
Du coup, je me rendais au réfectoire en compagnie des quelques élèves de ma classe, nous parlions du cours juste avant et de ce que nous pourrions faire pour réviser au mieux les leçons. C’est là que je vis un jeune élève assis sur un banc, visiblement préoccupé. Encore un bully ? Non je n’espère pas. Autant m’en assurer, qui sait peut-être qu’il a juste besoin de parler et qui de mieux que grand-frère Juni pour ça !
J’abandonnai donc mes camarades en leur signalant que je les rejoindrais plus tard et m’assis à côté du jeune homme avec un sourire avenant et détendu. Autant éviter de le brusquer le plus possible, ça ne servirait à rien à part le braquer.
- Ça va ? Tu as l’air d’avoir des soucis, je me trompe ?
Bon, pour un départ, je m’en sors plutôt bien. En plus, il faisait beau aujourd’hui, ça changeait avec le typhon qu’on avait eu. Autant dire que je voulais profiter un peu de ce beau ciel et de l’air pur aussi ! J'étais habillé un peu plus léger, un short sombre et un haut avec motif, une casquette au passage sur la tête. Mais ma principale préoccupation, c’était le jeune homme. Il semblait être japonais en apparence, clairement, je ne voyais rien d’occidental dans son physique. Mais, clairement, il était préoccupé.
- T’en fais pas, je ne suis pas là pour en rajouter une couche ! Enfin sauf si c’est une couche de crème… mais pas sur toi je précise. Non imagine, une couche de crème sur un bon moelleux au chocolat, là tout de suite ! Ça ne te fait pas sourire un peu ?
Je l’observai avant de reprendre avec plus de sérieux.
- Tu es plutôt crème fouettée ou crème brûlée ? Enfin, non laisse tomber ! Sérieusement, qu’est-ce qui se passe ? Quelqu’un t’embête ? Tu te fais harceler ? Ou c’est peut-être familial ?
Tant de possibilités que je laissai mon imagination s’envoler si vite.
- Oh ! Je crois comprendre, tu es un super héros, comme dans certains mangas. Un élève le jour et super héros la nuit, volant au secours des opprimés ! Mais cette double vie t’empêche de te ressourcer et tu t’inquiètes de la sécurité de tes proches ! Franchement, chapeau pour le camouflage en tout cas, tu te fond bien dans le décors lycéen !
Je m’emballai et toussai deux petits coups avant de dire.
- Non pardon, c’était maladroit de ma part. Mais, si tu as besoin de parler, j’écoute. Parfois, ça peut faire que du bien et comme je suis un parfait étranger, il n’y a aucune intention intéressée de ma part. Donc, tu n’as rien à craindre de moi.
J’ajoutai un sourire rassurant en le fixant avec un regard détendu.
- Eikichi SugawaraElève ; en 2ème année■ Age : 28■ Messages : 137■ Inscrit le : 05/06/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 16 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-2
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Tire pas la tronche... De cake...
Qu’est-ce qu’il lui veut ? Les gens dans les grandes villes avaient tous une grande gueule ou quoi ?! Quand Eikichi était encore à Nishinomiya, personne n’osait venir l’emmerder comme ça. Ena, Maka, maintenant celui-là ! Il n’avait pas de soucis, c’est lui qui risquait d’en avoir ! Même pas le temps d’en placer une pour rassurer le bon samaritain et avoir la paix. Il enchaînait, et enchaînait les phrases.
Il pourrait bien sourire à une couche de crème sur un moelleux au chocolat, s’il le mangeait tout seul. Le noiraud souffle. Mais qu’est-ce qu’il avait avec la crème p*tain ?! Ca devenait vraiment louche ! Eikichi lui fit des gros yeux et cela sembler faire comprendre à l’intrus dans son espace vital, qu’il en avait assez entendu avec ses desserts.
Familial, ouais, ça l’était. Raison de plus pour qu’il cesse avec ses questions. Toujours renfrogné, le lycéen plongea ses mains dans les poches de son sweat au rebord effiloché d’avoir trop servi. De toute manière, pas besoin d’ouvrir la bouche, ce moulin à paroles faisait bien la conversation tout seul.
Un super-héros... Là tout de suite, Eikichi fut presque habité d’un esprit altruiste. Et s’il lui appelait la psy du campus ? Nan parce qu’il avait manifestement un pète au casque ce mec... Des mots et encore des mots, le brun ne pigeait rien à son baragouinage. Comment on pouvait venir déblatérer autant dans les oreilles d’un parfait inconnu ? C’était réservé aux vieux ça, d’habitude.
Le silence. ENFIN ! La pièce est finie !
"Alors toi... J’sais pas c’que tu veux mais étranger tu vas bien l’rester ! J’t’ai pas d’mander d’venir me pourrir ma tranquillité avec tes films chelous. Et pourquoi j’raconterais ma vie à un mec qui s’en invente déjà pleins tout seul ?"
Qu’il soit inquiet pour son grand-père malade, et tente de calmer le stress des prochaines évaluations à venir, même s’il révisait d’arrache-pied, ça ne regardait personne d’autre que lui. Et peut-être un peu Shinji, mais c’était l’exception qui confirmait la règle.
Il pourrait bien sourire à une couche de crème sur un moelleux au chocolat, s’il le mangeait tout seul. Le noiraud souffle. Mais qu’est-ce qu’il avait avec la crème p*tain ?! Ca devenait vraiment louche ! Eikichi lui fit des gros yeux et cela sembler faire comprendre à l’intrus dans son espace vital, qu’il en avait assez entendu avec ses desserts.
Familial, ouais, ça l’était. Raison de plus pour qu’il cesse avec ses questions. Toujours renfrogné, le lycéen plongea ses mains dans les poches de son sweat au rebord effiloché d’avoir trop servi. De toute manière, pas besoin d’ouvrir la bouche, ce moulin à paroles faisait bien la conversation tout seul.
Un super-héros... Là tout de suite, Eikichi fut presque habité d’un esprit altruiste. Et s’il lui appelait la psy du campus ? Nan parce qu’il avait manifestement un pète au casque ce mec... Des mots et encore des mots, le brun ne pigeait rien à son baragouinage. Comment on pouvait venir déblatérer autant dans les oreilles d’un parfait inconnu ? C’était réservé aux vieux ça, d’habitude.
Le silence. ENFIN ! La pièce est finie !
"Alors toi... J’sais pas c’que tu veux mais étranger tu vas bien l’rester ! J’t’ai pas d’mander d’venir me pourrir ma tranquillité avec tes films chelous. Et pourquoi j’raconterais ma vie à un mec qui s’en invente déjà pleins tout seul ?"
Qu’il soit inquiet pour son grand-père malade, et tente de calmer le stress des prochaines évaluations à venir, même s’il révisait d’arrache-pied, ça ne regardait personne d’autre que lui. Et peut-être un peu Shinji, mais c’était l’exception qui confirmait la règle.
Codage par Libella sur Graphiorum
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 268■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Houlà, mais c’est qu’il a son petit caractère lui, décidément, aurais-je trouvé le pendant masculin de Maya ? Bon, en revanche, je crois qu’en une seule fois, il avait dû autant parler que toutes les fois où j’avais croisé la jeune femme et entendu le son de sa voix. C'était une bonne nouvelle pour lui. Quoi qu’il en soit, il y avait un truc, ou alors c’était juste quelqu’un qui avait mal dormi. M’est avis qu’il en avait bien besoin d’un gâteau au chocolat, là tout de suite.
Quoi qu’il en soit, je n’avais jamais prétendu non plus vouloir devenir son meilleur pote, ni son poto… Enfin, là, c’est plutôt moi qui me le mange, le poteau, mais j’en ai vu d’autres. Ce type a clairement quelque chose qui le tracasse et il ne m’a pas ouvertement dit « Non je ne veux pas en parler », donc je prends ça pour un appel au secours déguisé.
- Bah, où est le mal à inventer des histoires ? La réalité n’est pas déjà assez dure comme ça ? Parfois, s’évader ça fait du bien ! Sans oublier le réel bien sûr, c’est important.
Je l’observais avec un sourire détendu en ajoutant.
- Et t’en fais pas, c’est de bon cœur que je viens à ta rencontre. N’y vois pas une tentative quelconque pour t’embêter. Maintenant… Pourquoi tu raconterais ta vie à un guignol comme moi ? Bonne question effectivement.
Non, je plaisante bien sûr, mais il faut admettre que ce n’était pas évident de se confier à un parfait étranger. Perso, je l’aurais fait sans aucune once d’hésitation, bon peut-être pas forcément tous mes plus noirs secrets d’emblée mais au moins ce qui m’aurait tracassé sur le moment. Une peine de cœur ? Il ne parlait pas avec une femme un peu plus tôt, enfin, au milieu d’un groupe qui passait ? Peut-être une camarade de classe ? Ou bien j’avais eu l’impression et ce n’était pas le cas ? Après tout, je n'étais pas concentré, peut-être que c’était tous de parfaits inconnus et qu’un simple échange de regards m’avait trompé ? Ayant totalement oublié la question un peu plus tôt, j'enchainé.
- Bon alors… vu la défensive… Je dirais… Histoire de cœur ? Tu t’es pris un râteau ? Non parce que si c’est le cas, je peux peut-être t’arranger le coup ! Je suis assez doué pour ça.
Bon, faut pas non plus me demander la lune comme l’autre là avec sa nageuse trop belle pour lui. En vrai, elle était plutôt sympa mais voilà, avec son niveau de confiance en lui, c’était mort d’entrée de jeu. Ce type à côté de moi semblait un peu plus direct, mais je ne le voyais pas franchement aborder une fille sans se ratatiner d’un coup sec en mode timide… Il serait trop mignon, rien que de l’imaginer. Quoi que avec sa bouille, il pourrait devenir un tombeur en vrai !
- Sinon, c’est les études ?! Ça aussi c’est tout un défi, mais je peux peut-être t’aider ! Je n’ai pas franchement eu le niveau universitaire au départ, donc j’ai dû pas mal bosser… Ouais, les lunettes me donnent un air intello alors qu’en réalité, je pourrais mettre un moulin dans ma tête, qu’il tournerait tranquille ! J’ai dû beaucoup bosser pour y parvenir alors, je m’y connais bien dans le domaine.
Je l’observais avec un air un peu plus sympathique après un rire franc, ne restait plus que l'aspect familiale et ça, je pouvais pouvait lui en vouloir de ne pas en parler, ayant une familel atypique.
- C’est toujours sympa une main tendue… Disons que je fais un peu ce qu’on a fait pour moi quand j’en ai eu besoin. Donc, je ne t’oblige pas à me raconter toooouuute ta vie, peut-être que ce qui te tracasse te regarde, mais s’il y a un souci, je peux t’aider au moins un petit peu !
Quoi qu’il en soit, je n’avais jamais prétendu non plus vouloir devenir son meilleur pote, ni son poto… Enfin, là, c’est plutôt moi qui me le mange, le poteau, mais j’en ai vu d’autres. Ce type a clairement quelque chose qui le tracasse et il ne m’a pas ouvertement dit « Non je ne veux pas en parler », donc je prends ça pour un appel au secours déguisé.
- Bah, où est le mal à inventer des histoires ? La réalité n’est pas déjà assez dure comme ça ? Parfois, s’évader ça fait du bien ! Sans oublier le réel bien sûr, c’est important.
Je l’observais avec un sourire détendu en ajoutant.
- Et t’en fais pas, c’est de bon cœur que je viens à ta rencontre. N’y vois pas une tentative quelconque pour t’embêter. Maintenant… Pourquoi tu raconterais ta vie à un guignol comme moi ? Bonne question effectivement.
Non, je plaisante bien sûr, mais il faut admettre que ce n’était pas évident de se confier à un parfait étranger. Perso, je l’aurais fait sans aucune once d’hésitation, bon peut-être pas forcément tous mes plus noirs secrets d’emblée mais au moins ce qui m’aurait tracassé sur le moment. Une peine de cœur ? Il ne parlait pas avec une femme un peu plus tôt, enfin, au milieu d’un groupe qui passait ? Peut-être une camarade de classe ? Ou bien j’avais eu l’impression et ce n’était pas le cas ? Après tout, je n'étais pas concentré, peut-être que c’était tous de parfaits inconnus et qu’un simple échange de regards m’avait trompé ? Ayant totalement oublié la question un peu plus tôt, j'enchainé.
- Bon alors… vu la défensive… Je dirais… Histoire de cœur ? Tu t’es pris un râteau ? Non parce que si c’est le cas, je peux peut-être t’arranger le coup ! Je suis assez doué pour ça.
Bon, faut pas non plus me demander la lune comme l’autre là avec sa nageuse trop belle pour lui. En vrai, elle était plutôt sympa mais voilà, avec son niveau de confiance en lui, c’était mort d’entrée de jeu. Ce type à côté de moi semblait un peu plus direct, mais je ne le voyais pas franchement aborder une fille sans se ratatiner d’un coup sec en mode timide… Il serait trop mignon, rien que de l’imaginer. Quoi que avec sa bouille, il pourrait devenir un tombeur en vrai !
- Sinon, c’est les études ?! Ça aussi c’est tout un défi, mais je peux peut-être t’aider ! Je n’ai pas franchement eu le niveau universitaire au départ, donc j’ai dû pas mal bosser… Ouais, les lunettes me donnent un air intello alors qu’en réalité, je pourrais mettre un moulin dans ma tête, qu’il tournerait tranquille ! J’ai dû beaucoup bosser pour y parvenir alors, je m’y connais bien dans le domaine.
Je l’observais avec un air un peu plus sympathique après un rire franc, ne restait plus que l'aspect familiale et ça, je pouvais pouvait lui en vouloir de ne pas en parler, ayant une familel atypique.
- C’est toujours sympa une main tendue… Disons que je fais un peu ce qu’on a fait pour moi quand j’en ai eu besoin. Donc, je ne t’oblige pas à me raconter toooouuute ta vie, peut-être que ce qui te tracasse te regarde, mais s’il y a un souci, je peux t’aider au moins un petit peu !
- Eikichi SugawaraElève ; en 2ème année■ Age : 28■ Messages : 137■ Inscrit le : 05/06/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 16 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-2
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Tire pas la tronche... De cake...
Malgré sa réticence clairement affichée, cet inconnu persiste. Eikichi commençait à se dire que les gens dans cette école avaient clairement un problème avec la notion de vie privée et d’espace vital. Qu’il vienne de bon cœur ou pas n’était pas la question ! Il ne lui avait rien demandé ! Eikichi pinça l’arrête de son nez entre ses doigts et lâcha un soupir las. En plus il reconnaissait être un guignol !
"J’ai pas besoin de.." il tenta.
Mais trop tard. Il ne l’écoutait même et s’improvisait déjà psychologue. Purée, il devait lutter pour ne pas lui en mettre une. Ici, le brun n’avait pas le droit de faire de vague. L’école coûtait beaucoup trop chère à son père pour tout gâcher.
"J’me suis pas pris d’râteau p*tain ! Mêle toi d’tes fesses."
Est-ce qu’il s’est transformé en courant d’air ? Est-ce que le son de sa voix atteint ses oreilles à cet illuminé de la bienveillance ? Plus il parle, plus le lycéen réfléchit à quitter son banc. D’ordinaire, jamais il ne laisserait un enquiquineur le faire bouger, mais il n’était pas d’humeur à faire jeu de fierté. Eikichi n’avait aucun doute sur le fait que la place des éoliennes étaient clairement sous son crâne. D’où le sentiment de n’être qu’un courant d’air alimentant son moulin à paroles.
Ses épaules s’affaissent. De toute évidence, ce mec n’allait pas le lâcher. Hors de question de parler de sa famille à un inconnu, ça, ça ne changerait pas. Les études, il n’avait pas spécialement de problème, Eikichi était un très bon élève. C’était la pression omniprésente qui lui était compliqué à gérer. Dans son lycée public, le brun ne s’était jamais posé de question, il allait donner le meilleur et réussir, point.
Mais ici, beaucoup était en jeu. Il n’avait simplement pas droit à l’erreur, et surtout, il était loin de tout. De sa petite ville tranquille, de sa famille, de son club de volley-ball. Entouré de personnes trop différentes pour son propre bien... A contre-coeur, Eikichi lâcha quelques bribes d’informations. Si l’inconnu pensait avoir fini de lui tirer les vers du nez, il se trompait.
"J’ai pas de problèmes avec mes études... Juste la pression, et tu pourras pas y faire grand chose."
"J’ai pas besoin de.." il tenta.
Mais trop tard. Il ne l’écoutait même et s’improvisait déjà psychologue. Purée, il devait lutter pour ne pas lui en mettre une. Ici, le brun n’avait pas le droit de faire de vague. L’école coûtait beaucoup trop chère à son père pour tout gâcher.
"J’me suis pas pris d’râteau p*tain ! Mêle toi d’tes fesses."
Est-ce qu’il s’est transformé en courant d’air ? Est-ce que le son de sa voix atteint ses oreilles à cet illuminé de la bienveillance ? Plus il parle, plus le lycéen réfléchit à quitter son banc. D’ordinaire, jamais il ne laisserait un enquiquineur le faire bouger, mais il n’était pas d’humeur à faire jeu de fierté. Eikichi n’avait aucun doute sur le fait que la place des éoliennes étaient clairement sous son crâne. D’où le sentiment de n’être qu’un courant d’air alimentant son moulin à paroles.
Ses épaules s’affaissent. De toute évidence, ce mec n’allait pas le lâcher. Hors de question de parler de sa famille à un inconnu, ça, ça ne changerait pas. Les études, il n’avait pas spécialement de problème, Eikichi était un très bon élève. C’était la pression omniprésente qui lui était compliqué à gérer. Dans son lycée public, le brun ne s’était jamais posé de question, il allait donner le meilleur et réussir, point.
Mais ici, beaucoup était en jeu. Il n’avait simplement pas droit à l’erreur, et surtout, il était loin de tout. De sa petite ville tranquille, de sa famille, de son club de volley-ball. Entouré de personnes trop différentes pour son propre bien... A contre-coeur, Eikichi lâcha quelques bribes d’informations. Si l’inconnu pensait avoir fini de lui tirer les vers du nez, il se trompait.
"J’ai pas de problèmes avec mes études... Juste la pression, et tu pourras pas y faire grand chose."
Codage par Libella sur Graphiorum
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 268■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Je n’étais pas quelqu’un de facile, et je le savais que trop bien, mais en ce moment, je voyais ce garçon qui ne semblait pas dans son assiette, alors instinctivement, je venais l’aider. Évidemment, tout le monde n’est pas réceptif à une main tendue, et celui-là n’était pas à prendre avec des pincettes. Pas de chance, je n’avais que ça sous la main.
- Mes fesses vont bien, je te remercie de t’en préoccuper, mais c’est plus ton cas qui m’inquiète.
Avec un sourire détendu, j’avais répondu le plus naturellement du monde. Ce n’était pas facile de me faire lâcher prise… enfin, si, il suffisait de me dire très sérieusement : « Je n’ai pas envie de parler, s’il te plaît laisse-moi tranquille. » Les mots dans l’ordre précis… ah, et aussi un soir de pleine lune, le 33 janvier à 23h62. Non, je plaisante, il suffisait de le dire simplement. Chose qu’il n’avait pas faite. Au lieu de ça, il m’avait lâché une petite info.
La pression, intéressant. Je m’installai confortablement à côté de lui, redevenant un peu plus sérieux même si je gardais un air détendu sur mon visage. Ça me rappelait des souvenirs.
- Ah, la pression. Je comprends, et je sais ce que c’est. Que ce soit la famille, les amis, les cours, ou le boulot, ce n’est jamais facile à gérer. D’ailleurs, j’ai souvent vu des lycéens à qui je donne des cours d’été en musique se prendre un peu trop la tête sur des choses simples et gaspiller un temps précieux.
Je tapotai doucement dans mes mains en me redressant, réagissant au fait que je ne pourrais pas y faire grand-chose.
- Je prend le pari ! Le plus simple, c’est encore de se vider la tête, et crois-moi ! Je suis un expert dans le domaine !
Un petit rire naturel, je l’observai avec un regard sympathique avant de proposer d’une voix amicale :
- Écoute, je te propose un truc. Viens taper la balle avec moi, même si ce n’est que pour quelques minutes. Ça défoule, et tu verras qu’après, tu pourras attaquer tes soucis, ta pression ou que sais-je avec un regard neuf.
Cela dit, j’aimais bien poser une contrepartie. Après tout, ce ne serait pas amusant sans un petit défi.
- Et si jamais ça ne marche pas, je te paie une bonne glace ! Ou le plat que tu souhaites ! Comme ça, tu ne te sentiras pas floué.
Mais avant de lui laisser le temps de répondre, je me levai et me retournai pour lui tendre la main, physiquement cette fois. Un geste amical, simple, que j’avais l’habitude de faire. Rarement, je m’étais trouvé de l’autre côté de cette main et… admettons-le, cette pensée était quelque peu étrange ! Mais l’intention était là, et j’étais persuadé qu’au-delà de son côté irrité, il devait être sympathique. À bien y réfléchir, j’aurais trouvé le serpent dans Le Livre de la Jungle sympathique aussi, donc je ne suis pas du tout un bon juge du caractère des gens.
- Ruminer dans ton coin, ça ne fera qu’engendrer plus de « pression ». Qu’est-ce que tu as à perdre à part un peu de ton temps ?
- Mes fesses vont bien, je te remercie de t’en préoccuper, mais c’est plus ton cas qui m’inquiète.
Avec un sourire détendu, j’avais répondu le plus naturellement du monde. Ce n’était pas facile de me faire lâcher prise… enfin, si, il suffisait de me dire très sérieusement : « Je n’ai pas envie de parler, s’il te plaît laisse-moi tranquille. » Les mots dans l’ordre précis… ah, et aussi un soir de pleine lune, le 33 janvier à 23h62. Non, je plaisante, il suffisait de le dire simplement. Chose qu’il n’avait pas faite. Au lieu de ça, il m’avait lâché une petite info.
La pression, intéressant. Je m’installai confortablement à côté de lui, redevenant un peu plus sérieux même si je gardais un air détendu sur mon visage. Ça me rappelait des souvenirs.
- Ah, la pression. Je comprends, et je sais ce que c’est. Que ce soit la famille, les amis, les cours, ou le boulot, ce n’est jamais facile à gérer. D’ailleurs, j’ai souvent vu des lycéens à qui je donne des cours d’été en musique se prendre un peu trop la tête sur des choses simples et gaspiller un temps précieux.
Je tapotai doucement dans mes mains en me redressant, réagissant au fait que je ne pourrais pas y faire grand-chose.
- Je prend le pari ! Le plus simple, c’est encore de se vider la tête, et crois-moi ! Je suis un expert dans le domaine !
Un petit rire naturel, je l’observai avec un regard sympathique avant de proposer d’une voix amicale :
- Écoute, je te propose un truc. Viens taper la balle avec moi, même si ce n’est que pour quelques minutes. Ça défoule, et tu verras qu’après, tu pourras attaquer tes soucis, ta pression ou que sais-je avec un regard neuf.
Cela dit, j’aimais bien poser une contrepartie. Après tout, ce ne serait pas amusant sans un petit défi.
- Et si jamais ça ne marche pas, je te paie une bonne glace ! Ou le plat que tu souhaites ! Comme ça, tu ne te sentiras pas floué.
Mais avant de lui laisser le temps de répondre, je me levai et me retournai pour lui tendre la main, physiquement cette fois. Un geste amical, simple, que j’avais l’habitude de faire. Rarement, je m’étais trouvé de l’autre côté de cette main et… admettons-le, cette pensée était quelque peu étrange ! Mais l’intention était là, et j’étais persuadé qu’au-delà de son côté irrité, il devait être sympathique. À bien y réfléchir, j’aurais trouvé le serpent dans Le Livre de la Jungle sympathique aussi, donc je ne suis pas du tout un bon juge du caractère des gens.
- Ruminer dans ton coin, ça ne fera qu’engendrer plus de « pression ». Qu’est-ce que tu as à perdre à part un peu de ton temps ?
- Eikichi SugawaraElève ; en 2ème année■ Age : 28■ Messages : 137■ Inscrit le : 05/06/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 16 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-2
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Tire pas la tronche... De cake...
Encore un spécimen dit j’te-colle-aux-basques-jusqu’à-ce-que-tu-cèdes. Quelque chose ne tourne vraiment pas rond sur ce campus. Ou est-ce qu’un yokai s’amusait à le torturer ?! Pas d’humeur à se battre davantage, aucune envie de bouger, Eikichi est bloqué avec son soi-disant «sauveur des âmes en peine». Voilà qu’il remet de l’eau au moulin. Le brun laisse échapper un soupir et l’écoute d’une oreille, un effort à noter de sa part !
Il donne des cours de musique ? Son senpai est donc moins bête qu’il n’en a l’air. Enfin, encore faut-il qu’il soit un bon prof. Eikichi et son esprit critique battent la mesure. Sursaut de la part du lycéen grognon. Qu’est-ce qu’il a à taper des mains maintenant ?! Oh non... Un expert en tête vide hein, ça a le mérite d’esquisser un sourire en coin à Eikichi.
"C’est ce que tu dis à tes élèves pour les rassurer ?"
Espérons que ses cours sont gratuits. Taper la balle ? Est-ce vraiment suffisant pour relâcher la pression accumulée ? Tout dépend de quelle balle on parle. De volley-ball oui, c’est une évidence, mais d’un autre sport... Puis l’idée du plat gratuit lui paraît plus intéressante, il pourrait mentir, si c’était son genre. Mais Eikichi avait pour rare qualité d’être franc et il n’en démordrait pas.
Eikichi doit avouer que son aîné semble sincère à vouloir l’aider sans en retirer quelque chose. Il n’est pas habitué à ce genre d’altruisme désintéressé. Pour lui, les gens ont toujours une contrepartie voulue en tête. Le lycéen dévisage l’étudiant de haut en bas, non par dédain mais plongé dans une réflexion inhabituelle. Est-ce qu’il devrait accepter ?
La dernière remarque de... Il ne connaît même pas son nom, le fait réfléchir d’autant plus. Ce n’est pas rien pour lui, de prendre une telle décision. Il est trop habitué à son calme exempt de perturbation extérieure. Mais si perdre un peu de temps pouvait vraiment avoir un effet ? Eikichi se renfrogne sur lui-même, mains dans les poches et menton perdu dans le creux de son sweat. Sa tête et son corps pas du tout en accord. L’un étudie l’option, le second la refuse catégoriquement.
"De quelle balle tu parles ?"
Victoire modeste de la tête.
Il donne des cours de musique ? Son senpai est donc moins bête qu’il n’en a l’air. Enfin, encore faut-il qu’il soit un bon prof. Eikichi et son esprit critique battent la mesure. Sursaut de la part du lycéen grognon. Qu’est-ce qu’il a à taper des mains maintenant ?! Oh non... Un expert en tête vide hein, ça a le mérite d’esquisser un sourire en coin à Eikichi.
"C’est ce que tu dis à tes élèves pour les rassurer ?"
Espérons que ses cours sont gratuits. Taper la balle ? Est-ce vraiment suffisant pour relâcher la pression accumulée ? Tout dépend de quelle balle on parle. De volley-ball oui, c’est une évidence, mais d’un autre sport... Puis l’idée du plat gratuit lui paraît plus intéressante, il pourrait mentir, si c’était son genre. Mais Eikichi avait pour rare qualité d’être franc et il n’en démordrait pas.
Eikichi doit avouer que son aîné semble sincère à vouloir l’aider sans en retirer quelque chose. Il n’est pas habitué à ce genre d’altruisme désintéressé. Pour lui, les gens ont toujours une contrepartie voulue en tête. Le lycéen dévisage l’étudiant de haut en bas, non par dédain mais plongé dans une réflexion inhabituelle. Est-ce qu’il devrait accepter ?
La dernière remarque de... Il ne connaît même pas son nom, le fait réfléchir d’autant plus. Ce n’est pas rien pour lui, de prendre une telle décision. Il est trop habitué à son calme exempt de perturbation extérieure. Mais si perdre un peu de temps pouvait vraiment avoir un effet ? Eikichi se renfrogne sur lui-même, mains dans les poches et menton perdu dans le creux de son sweat. Sa tête et son corps pas du tout en accord. L’un étudie l’option, le second la refuse catégoriquement.
"De quelle balle tu parles ?"
Victoire modeste de la tête.
Codage par Libella sur Graphiorum
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 268■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Tiens, il semblait se détendre, non ? J’avais l’impression en tout cas, mais une chose était sûre, il sembla l’espace de quelques instants moins renfrogné. Ou alors, ce n’était qu’une illusion d’optique, peut-être. En tout cas, il semblait un peu plus à l’écoute, ça, je pouvais en mettre ma main au feu pour avoir déjà vu ce genre de situation avec des élèves récalcitrants.
D’ailleurs, il se fendit tout de même d’un petit sourire, et pas forcé, avant de m’envoyer une petite réplique amusante. J’avoue que non, ce n’était pas le genre de chose que je pouvais dire pour les rassurer. Parce que ça ne les rassurerait pas en vérité… Bon, ça, c’est logique ! Je souriais doucement à sa remarque avant de dire d’une voix détendue, limite comme si j’avais pris la chose au sérieux.
- En vérité, je dis plutôt : si moi j’y suis parvenu, n’importe qui peut le faire ! Le mieux, quand on enseigne, c’est encore de rendre l’objet du cours aussi accessible que possible. Même si concrètement, tout le monde ne peut pas réussir, l’essai et la tentative restent assez universels, et partir avec une mentalité perdante n’est carrément pas conseillé.
Le garçon me reprit assez rapidement ensuite sur ma proposition avec une question. Il s’en pose des questions, lui. Pas étonnant qu’il semble se prendre la tête comme ça ! Faut se laisser vivre un peu ! Je l’observais un petit moment, incrédule. Comment ça, quelle balle ? C’était évident, non ? Enfin, pour moi en réalité, mais peut-être pas pour lui… Bon, je pouvais bien lui expliquer.
- Dans la balle, quoi ! Je vais te montrer, tu verras, ce n’est pas compliqué !
Je me relevais alors pour faire quelques pas avant de me retourner. Un petit sourire amusé sur le visage, j’ajoutais.
- T’as qu’à venir avec moi et tu verras bien. Comme je te l’ai dit, au pire, tu auras un repas gratuit, au mieux tu te seras un peu défoulé !
Je lui fis signe de me suivre et m’assurai qu’il venait bien avec moi. Bon, j’aurais été capable de lui passer le bras sur les épaules pour m’assurer qu’il ne se débine pas, mais je n’étais pas sûr qu’il l’aurait bien pris ! Quoi qu’il en soit, je me dirigeais avec lui vers le terrain de baseball, après un petit détour par mon casier pour récupérer une batte et quelques balles. Au moins là, c’était assez clair.
Une fois sur le terrain, je lui tendis la batte en lâchant d’une voix amusée.
- Tâche de ne pas te faire mal avec, surtout. Je vais m’assurer que les balles soient faciles. Tu ne vas peut-être pas y arriver du premier coup, mais ça viendra vite.
Au pire, j’étais assez bon lanceur pour viser la batte de temps en temps sans qu’il ait forcément besoin de le savoir. Le but, c’était quand même qu’il passe un bon moment, pas qu’il devienne un batteur d’exception !
- Alors ? Prêt ?
D’ailleurs, il se fendit tout de même d’un petit sourire, et pas forcé, avant de m’envoyer une petite réplique amusante. J’avoue que non, ce n’était pas le genre de chose que je pouvais dire pour les rassurer. Parce que ça ne les rassurerait pas en vérité… Bon, ça, c’est logique ! Je souriais doucement à sa remarque avant de dire d’une voix détendue, limite comme si j’avais pris la chose au sérieux.
- En vérité, je dis plutôt : si moi j’y suis parvenu, n’importe qui peut le faire ! Le mieux, quand on enseigne, c’est encore de rendre l’objet du cours aussi accessible que possible. Même si concrètement, tout le monde ne peut pas réussir, l’essai et la tentative restent assez universels, et partir avec une mentalité perdante n’est carrément pas conseillé.
Le garçon me reprit assez rapidement ensuite sur ma proposition avec une question. Il s’en pose des questions, lui. Pas étonnant qu’il semble se prendre la tête comme ça ! Faut se laisser vivre un peu ! Je l’observais un petit moment, incrédule. Comment ça, quelle balle ? C’était évident, non ? Enfin, pour moi en réalité, mais peut-être pas pour lui… Bon, je pouvais bien lui expliquer.
- Dans la balle, quoi ! Je vais te montrer, tu verras, ce n’est pas compliqué !
Je me relevais alors pour faire quelques pas avant de me retourner. Un petit sourire amusé sur le visage, j’ajoutais.
- T’as qu’à venir avec moi et tu verras bien. Comme je te l’ai dit, au pire, tu auras un repas gratuit, au mieux tu te seras un peu défoulé !
Je lui fis signe de me suivre et m’assurai qu’il venait bien avec moi. Bon, j’aurais été capable de lui passer le bras sur les épaules pour m’assurer qu’il ne se débine pas, mais je n’étais pas sûr qu’il l’aurait bien pris ! Quoi qu’il en soit, je me dirigeais avec lui vers le terrain de baseball, après un petit détour par mon casier pour récupérer une batte et quelques balles. Au moins là, c’était assez clair.
Une fois sur le terrain, je lui tendis la batte en lâchant d’une voix amusée.
- Tâche de ne pas te faire mal avec, surtout. Je vais m’assurer que les balles soient faciles. Tu ne vas peut-être pas y arriver du premier coup, mais ça viendra vite.
Au pire, j’étais assez bon lanceur pour viser la batte de temps en temps sans qu’il ait forcément besoin de le savoir. Le but, c’était quand même qu’il passe un bon moment, pas qu’il devienne un batteur d’exception !
- Alors ? Prêt ?
- PNJNon validé ; bouhouhou■ Age : 35■ Messages : 6331■ Inscrit le : 31/03/2008
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