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- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
Mon personnage
❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
vendredi 20 Juillet
Après un début de juillet désastreux, le soleil était enfin de retour et pour de bon cette fois. le campus commençait doucement à se vider et Ari avait beaucoup moins de travail, elle ne s’en plaint pas du tout. au contraire, ça lui laisse pas mal de temps libre. déjà elle a repris le sport, doucement, mais ça lui permet de se sentir mieux. Hoshi sa nouvelle collègue lui a aussi appris à prendre soin de ses plantes et plus particulièrement celle de sa terrasse. Enfin, elle passe beaucoup de temps à la plage pour peaufiner son bronzage, sa peau à prit une teinte caramel qu’elle affectionne particulièrement, si les ombrelles pour se cacher du soleil pullulent dans les rues, Arizona elle, cherche le moindre rayon pour se dorer la pilule.
Pour elle aussi ça va un peu, elle a l’impression de trouver petit à petit sa place ici. En peu de temps elle a réussi à lier d’amitié avec deux de ses collègues: Beck et Hoshi toutes les deux très agréables et douces bien qu’un peu réservées. il y a aussi Lizzy son amie d’enfance qu’elle a retrouvé ici, d’ailleurs elles partent ensemble en vacances dans quelques semaines! Et puis il y a Kazane, Alya et Ena ses chouchous! Ces trois-là avaient tous quelque chose de spécial, ils n’avaient rien à voir avec les autres étudiants du campus et chacun avait su à sa manière donner un peu de joie à l’assistante sociale. Et puis il y a Jun… Depuis le festival, Arizona a l’impression qu’il y a du mieux, elle n’en est pas certaine mais peut-être que bientôt…Enfin, elle ne voulait pas trop s’avancer avec Junko, tout est possible avec lui: le meilleur mais aussi le pire.
tout ça réuni fait que la Syrienne se sent au top de sa forme! Alors lorsqu’elle rentre ce soir dans sa petite robe blanche, elle le fait en chantonnant un peu, manque plus que les petits moineaux et c’est une princesse Disney qui rentre tranquillement chez elle. dans le bus, les yeux rivés sur son téléphone, elle ne remarque pas les autres passagers, obnubilés par la paire de chaussures qu’elle va commander. Ce n'est qu’en descendant du bus qu’elle sent une main l’attraper, un peu fermement alors ça la surprend et puis lorsqu’elle se retourne, Arizona reconnaît Kazane. Le visage de la jeune femme s’illumine. Elle adore Kazane, depuis leur dernier rendez-vous assez intense, l’adolescente est revenue la voir plusieurs fois pour lui demander conseils. Ari est attaché à elle depuis le début, cette gamine est vraiment rentrée dans son cœur.
“Kazane!! qu’est-ce que tu fais là,”
L’assistante sociale s’apprête à lui sauter dessus pour la prendre dans ses bras. Après tout, elle est en dehors de l’établissement, elle fait ce qu’elle veut. elle allait vite retombée de 15 étage!
- Tenue:
Citation
- Kazane MitsuguElève ; en 3ème année■ Age : 26■ Messages : 700■ Inscrit le : 12/06/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 17 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-3
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Je t'aime, moi non plus ! Avec Arizona Williams
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Kazane se tenait debout dans le bus, son visage marqué par une expression de contrariété.
La chaleur étouffante à l'intérieur du véhicule lui pesait, ajoutant à son inconfort. La foule compacte autour d'elle ne faisait qu'aggraver son malaise.
À chaque secousse du bus, elle était poussée, secouée, comme une marionnette entre les mains d'un maître indigne.
Elle détestait ça, ça l'enrageait presque. Être au milieu de la foule la mettait mal à l'aise, lui donnait l'impression d'étouffer, d'être prise au piège dans un cocon étroit et étouffant qui se resserrait sur sa cage thoracique et comprimait ses poumons.
Cependant, son esprit était ailleurs. Il était en proie aux souvenirs de l'affaire explosive entre Alya et Mathéo. La demoiselle se revoyait, tenter de résonner sa meilleure amie avec une passion brûlante. Les mots échangés résonnaient encore dans sa tête, empreints de colère et de frustration. Elle ne pouvait pas supporter l'idée de voir Alya être traitée injustement, et pendant la tempête, elle avait pris sa défense sans hésitation.
Et puis, au milieu de cette mer de visages anonymes, la lycéenne l'aperçut. Arizona Williams. Son assistante sociale. La vue de cette femme fit bouillonner la colère en elle.
Alya lui avait dit que c'était cette gaijin qui l'avait encouragée à se lancer avec Mathéo. Comment avait-elle pu ? Comment avait-elle pu pousser Alya dans une folie preille ?
La colère de Kazane monta en flèche, comme une vague déferlante. Elle sentit son cœur battre plus vite, ses poings se serrer involontairement. Une bouffée de chaleur lui monta au visage, faisant briller ses yeux d'une lueur dangereuse.
La jeune femme voulait lui crier dessus, la secouer, lui demander pourquoi elle avait fait ça, pourquoi elle avait poussé Alya vers quelqu'un qui ne la méritait pas.
Quand Arizona se leva pour descendre du bus, Mitsugu sut qu'elle devait agir. Peu importe que ce ne soit pas son arrêt, de toute façon, personne ne l'attendît à la maison. Son père était encore absent à cause d'un imprévu... Encore une soirée seule en perspective.
La japonaise se faufila entre les passagers, jouant des coudes pour atteindre la sortie avant que le véhicule de reprenne sa courses dans les rues de Kobe. Puis, d'un pas rapide, elle se dirigea vers sa cible, ses yeux fixés sur l'orientale.
-« Williams-San ! »
Appela-t-elle d'une voix forte, sa colère imprégnant chaque syllabe.
Elle se rapprocha de son ainée, laissant derrière elle la masse humaine grouillante dans le ventre d'acier du bus pour affronter la femme qui avait bouleversé la vie d'Alya.
Le visage de Kazane se figea, figé dans une expression glaciale. Les yeux d'Arizona, remplis de chaleur et d'excitation, furent accueillis par le regard brûlant de la jeune femme, empreint d'une colère volcanique. La joie de l'assistante sociale fut aussitôt étouffée par l'intensité du regard de Kazane.
-«Kazane!! Qu’est-ce que tu fais là ! »
S'exclama Arizona, ses bras ouverts pour accueillir la jeune femme dans une étreinte chaleureuse.
Mais Kazane ne bougea pas. Elle resta plantée là, ses poings serrés le long de son corps, son regard ne quittant pas Arizona. Puis, d'une voix forte, presque étouffée par la rage qui montait en elle, elle cracha ses mots.
-« Vous m'aviez promis d'arrêter vos manipulations ! Et encore une fois vous m'avez menti ! »
Chaque mot était chargé de colère, chaque syllabe envoyée comme un coup de marteau sur une enclume. Les yeux de Mitsugu brûlaient d'une lueur sombre, leur intensité presque palpable. Ses poings tremblaient de fureur, ses muscles tendus comme des cordes sur le point de se rompre.
-« Vous avez poussé Alya Moore à faire du chantage à Mathéo Takahashi ! Bon sang, j'ai été naïve de croire qu'une américaine puisse tenir parole. »
Sa voix était rauque, presque étranglée par l'émotion qui lui serrait la gorge. Son souffle était court, précipité, comme celui d'un animal enragé. Son cœur, quant à lui, battait la chamade dans sa poitrine, martelant ses côtes avec une force qui pouvait presque les rompre.
-« Vous vous êtes encore moquée de moi ! Plus jamais je ne ferais confiance à des vipère occidentales comme vous ! »
Les mots sortaient de sa bouche comme des projectiles, chacun portant la force de sa colère. Elle se sentait comme une bête sauvage, prête à bondir à la moindre provocation.
KoalaVolantLa chaleur étouffante à l'intérieur du véhicule lui pesait, ajoutant à son inconfort. La foule compacte autour d'elle ne faisait qu'aggraver son malaise.
À chaque secousse du bus, elle était poussée, secouée, comme une marionnette entre les mains d'un maître indigne.
Elle détestait ça, ça l'enrageait presque. Être au milieu de la foule la mettait mal à l'aise, lui donnait l'impression d'étouffer, d'être prise au piège dans un cocon étroit et étouffant qui se resserrait sur sa cage thoracique et comprimait ses poumons.
Cependant, son esprit était ailleurs. Il était en proie aux souvenirs de l'affaire explosive entre Alya et Mathéo. La demoiselle se revoyait, tenter de résonner sa meilleure amie avec une passion brûlante. Les mots échangés résonnaient encore dans sa tête, empreints de colère et de frustration. Elle ne pouvait pas supporter l'idée de voir Alya être traitée injustement, et pendant la tempête, elle avait pris sa défense sans hésitation.
Et puis, au milieu de cette mer de visages anonymes, la lycéenne l'aperçut. Arizona Williams. Son assistante sociale. La vue de cette femme fit bouillonner la colère en elle.
Alya lui avait dit que c'était cette gaijin qui l'avait encouragée à se lancer avec Mathéo. Comment avait-elle pu ? Comment avait-elle pu pousser Alya dans une folie preille ?
La colère de Kazane monta en flèche, comme une vague déferlante. Elle sentit son cœur battre plus vite, ses poings se serrer involontairement. Une bouffée de chaleur lui monta au visage, faisant briller ses yeux d'une lueur dangereuse.
La jeune femme voulait lui crier dessus, la secouer, lui demander pourquoi elle avait fait ça, pourquoi elle avait poussé Alya vers quelqu'un qui ne la méritait pas.
Quand Arizona se leva pour descendre du bus, Mitsugu sut qu'elle devait agir. Peu importe que ce ne soit pas son arrêt, de toute façon, personne ne l'attendît à la maison. Son père était encore absent à cause d'un imprévu... Encore une soirée seule en perspective.
La japonaise se faufila entre les passagers, jouant des coudes pour atteindre la sortie avant que le véhicule de reprenne sa courses dans les rues de Kobe. Puis, d'un pas rapide, elle se dirigea vers sa cible, ses yeux fixés sur l'orientale.
-« Williams-San ! »
Appela-t-elle d'une voix forte, sa colère imprégnant chaque syllabe.
Elle se rapprocha de son ainée, laissant derrière elle la masse humaine grouillante dans le ventre d'acier du bus pour affronter la femme qui avait bouleversé la vie d'Alya.
Le visage de Kazane se figea, figé dans une expression glaciale. Les yeux d'Arizona, remplis de chaleur et d'excitation, furent accueillis par le regard brûlant de la jeune femme, empreint d'une colère volcanique. La joie de l'assistante sociale fut aussitôt étouffée par l'intensité du regard de Kazane.
-«Kazane!! Qu’est-ce que tu fais là ! »
S'exclama Arizona, ses bras ouverts pour accueillir la jeune femme dans une étreinte chaleureuse.
Mais Kazane ne bougea pas. Elle resta plantée là, ses poings serrés le long de son corps, son regard ne quittant pas Arizona. Puis, d'une voix forte, presque étouffée par la rage qui montait en elle, elle cracha ses mots.
-« Vous m'aviez promis d'arrêter vos manipulations ! Et encore une fois vous m'avez menti ! »
Chaque mot était chargé de colère, chaque syllabe envoyée comme un coup de marteau sur une enclume. Les yeux de Mitsugu brûlaient d'une lueur sombre, leur intensité presque palpable. Ses poings tremblaient de fureur, ses muscles tendus comme des cordes sur le point de se rompre.
-« Vous avez poussé Alya Moore à faire du chantage à Mathéo Takahashi ! Bon sang, j'ai été naïve de croire qu'une américaine puisse tenir parole. »
Sa voix était rauque, presque étranglée par l'émotion qui lui serrait la gorge. Son souffle était court, précipité, comme celui d'un animal enragé. Son cœur, quant à lui, battait la chamade dans sa poitrine, martelant ses côtes avec une force qui pouvait presque les rompre.
-« Vous vous êtes encore moquée de moi ! Plus jamais je ne ferais confiance à des vipère occidentales comme vous ! »
Les mots sortaient de sa bouche comme des projectiles, chacun portant la force de sa colère. Elle se sentait comme une bête sauvage, prête à bondir à la moindre provocation.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
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❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
Arizona est prête à accueillir Kazane dans ses bras mais le visage grave de la lycéenne l’en dissuade et l’assistante sociale se demande ce qu’il peut bien lui arriver encore pour qu’elle soit dans cet état. Mais ce n’est pas assez pour entacher sa bonne humeur et la Syrienne se contexte de la regarder un peu perplexe toujours en souriant, l’air un peu bête. Enfin la grande japonaise se décide à parler et Arizona ne comprend toujours pas ce qui se passe. Son sourire disparaît peu à peu mais son humeur reste égale. Arizona ne capte absolument pas ce qu’elle essaye de lui dire. Manipulation? Trahison? Elle parle du dernier épisode de Game of throne? Si c'est ça, elle a pas intérêt à la spoiler, elle n’est pas encore à jour! Kazane a l’air tellement en colère, impossible que ce soit ça.
“Mais qu’est ce que tu racontes?”
Finalement la grande japonaise lui parle d’Alya et de….Mathéo? c’est qui celui-là? Arizona cherche dans ses souvenirs mais ça ne lui dit rien. Kazane continue avec une histoire de chantage et à ce moment là la Syrienne fronce les sourcils, cette histoire avait l’air d’être une affaire d’état où Alya se serait transformé en chef de la mafia italienne et ferait du chantage à Don Mathéo son rival. Impossible elle doit sûrement se tromper de personne. Arizona en est persuadée jusqu’à ce que la Japonaise mentionne ses origines. L’assistante sociale grimace avant de soupirer bruyamment. Cette gamine a un vrai problème avec les Américain, il faudrait d’ailleurs qu’elle lui fasse payer son racisme décomplexé à celle-là. Oui, oui les vilains américain sanguinaires…Mais Arizona peut très bien lui parler du massacre de Nankin ou de l’unité 731. Les japonais n’était pas tout blanc concernant les crimes de guerre et au final c’est souvent les civils qui trinquent et qui portent ensuite les rancoeurs du passé. La syrienne aurait bien prit le temps de donner une petite leçon mais l’adolescente ne semblait pas apte à écouter quoi que ce soit.
“Bon elle va se calmer la Shirō Ishii du 21e siècle?” Elle s’approche doucement de la japonaise pour parler à voix basse. “Et puis arrête de crier tout le monde nous regarde! j’habite dans le quartier moi!”
Se faire appeler l’Américaine, c’est gênant pour elle aussi, car elle n’a aucune attache affective dans ce pays, à part peut-être Elizabeth son amie d’enfance. Mais sinon elle n’en garde pas forcément un bon souvenir. De toute façon, ce n’est pas le moment de penser à ça. Actuellement, elle fait face à une Kazane blessée qui se sent trahie. “ Kazane, je ne comprends absolument pas de quoi tu parles. Alya et…”
et soudain un flash! Elle doit sûrement parler des conseils qu’elle a donné à Alya. C’est vrai qu’elle n’a pas eu de nouvelle depuis, mais connaissant le tempérament d’Alya, elle avait dû s'en sortir à merveille! Alors face à une Kazane toujours en furie, Ari se contente de hausser les épaules pour dédramatiser le truc.
“Alya m’avait dit que tu étais contre! Arrête un peu d’en faire des caisses! Elle voulait des conseils pour sortir avec ce garçon, je lui en ai donné voilà tout…Je ne sais pas quelle manipulation ni quel chantage tu parles mais encore une fois tu t'imagines un tas de choses!”
Arizona sourit malicieusement : “ Alors, j’en conclus qu’elle a réussi? ils sont ensemble? J'suis tellement fière d'elle! hihihi!” et puis soudain. “OH MAIS!!” Elle se rend compte que Kazane est sûrement jalouse de mat..Matthew, oui c’est ça Matthew. Elle est jalouse parce qu’elle est secrètement amoureuse d’Alya. “Kazane…” Dit-elle d’une voix grave en mettant ses mains dans les sienne. “Tu peux me dire la vérité…J’ai deviné tes réels sentiments pour Alya…Tu sais depuis le début je le sais et si je peux te faire une confidence je vous vois parfaitement ensemble toute les deux, vous feriez un couple adorable!” elle pose son doigt sur son menton en réfléchissant. “ Mais tu sais elle m’a dit que ce garçon, ça ne serait qu’un test…un test avant de se rendre compte que c’est toi qu’elle aime! Je suis sûr que c’est ça! Prends ton mal en patience mon chat, ton heure arrive!”
- Tenue:
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- Kazane MitsuguElève ; en 3ème année■ Age : 26■ Messages : 700■ Inscrit le : 12/06/2023■ Mes clubs :
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❖ Âge : 17 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-3
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
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La colère de Kazane grondait en elle, telle une force tellurique enfouie sous la surface, prête à jaillir comme un volcan en éruption. Ses pensées s'embrasaient, alimentant le feu de sa rage, alors que chaque mot d'Arizona résonnait comme une nouvelle preuve que sa colère était juste.
Son cœur battait à tout rompre, martelant sa poitrine comme les tambours d'une armée en marche vers la bataille. Ses mains tremblaient, révélant la violence contenue en elle, prête à se déchaîner comme les flots de lave dévalant les pentes d'un volcan en furie.
Les yeux de la demoiselle lançaient des éclairs, transperçant Arizona de leur regard incandescent, brûlant comme les brasiers d'un cratère en fusion. Chaque insulte, chaque mot venimeux, faisait monter la pression en elle, comme la vapeur s'échappant des entrailles d'un volcan sur le point d'exploser.
Lorsque Arizona osa la traiter d'Ishii, comparant sa colère à celle d'un criminel de guerre, Kazane sentit le sol se dérober sous ses pieds, emportée par le flot de sa propre fureur.
Que Williams soit dans l'incompréhension, Kazane pouvait le concevoir, mais l'insulter de criminel de guerre, elle ne pouvait le supporter. Cette comparaison révoltante, cette accusation infâme, tout cela résonnait en elle comme un coup de poignard en plein cœur. La rage grondait en elle, sourde et dévorante, menaçant d'engloutir toute raison et tout contrôle.
La lycéenne sentit la lave bouillonner dans ses veines, une chaleur brûlante envahissant chaque parcelle de son être. Les mots d'Arizona résonnaient dans sa tête comme un écho sinistre, amplifiant sa colère jusqu'à l'explosion imminente.
Chaque syllabe, chaque insulte, chaque geste de la part de l'assistante sociale alimentait le brasier qui consumait Kazane de l'intérieur. Elle sentait sa respiration s'accélérer, son pouls battre à tout rompre, tandis que ses poings se serraient involontairement, prêts à déverser toute la fureur qui la submergeait.
Lorsque la syrienne s'approcha d'elle avec ce regard condescendant, lui intimant presque de se calmer, Mitsugu sentit une bouffée de colère la submerger. Qui était-elle pour lui donner des ordres, pour lui dicter comment se comporter ? La jeune Japonaise sentit une onde de fureur la submerger, la noyant dans un tourbillon d'émotions indomptables.
Sans même réfléchir, Kazane se laissa emporter par l'impulsion de sa colère. Elle se dressa de toute sa hauteur, fixant Arizona de son regard brûlant de haine. Les mots lui manquaient, submergés par le flot tumultueux de ses émotions, mais son regard en disait bien plus long que n'importe quelle parole.
Sans réfléchir d'avantage, la demoiselle attrapa l'adulte par le col, serrant ses doigts autour du tissu comme les serres d'un rapace sur sa proie.
Son visage déformé par la rage, la japonaise fulminait, laisement d'un volcan sur le point d'entrer en éruption. sant échapper un grondement sourd, tel le
Dans un élan de pure rage, Kazane sentit le besoin viscéral de faire taire cette étrangère infâme, de l'écraser sous le poids de sa propre indignation.
-« Et vous, Gaijin ?»
Cracha-t-elle avec mépris, utilisant le terme désobligeant pour les étrangers dont elle méprisait la nationalité liée à l'oncle Sam.
-« Vous mêlez pas de la vie de couple des autres quand la vôtre n'est qu'un échec.»
Le rire qui s'échappa de ses lèvres était empreint de sarcasme, une sorte de défi lancé à Arizona et à ses prétentions à donner des leçons. Kazane se sentait exaltée, libérée par la vérité cinglante de ses paroles, même si elle savait que cela ne ferait qu'attiser davantage les flammes de leur conflit.
-« Et avec Junko, votre amour déchu, ça avance ? Oh ne vous faites pas, ça sera votre heure ! »
Poursuivit-elle, son ton maintenant chargé d'une ironie glaciale.
-« Vous n'êtes pas discret... Le jeu de l'oie... Le festival... Même pas besoin de faire comme vous et d'espionner, vous vous affichez comme des idoles.»
La jeune femme maintint son regard dans celui d'Arizona, ne reculant pas devant l'intensité du moment. Mitsugu sentait son cœur battre à tout rompre, l'adrénaline pulsant dans ses veines alors qu'elle confrontait l'assistante sociale avec une fermeté renouvelée.
-« Alors, fermez-la avec mon couple, ma meilleure amie, vous ne savez rien... Moi, je sais que Fushita-san mérite mieux qu'une garce qui va le manipuler.»
KoalaVolantSon cœur battait à tout rompre, martelant sa poitrine comme les tambours d'une armée en marche vers la bataille. Ses mains tremblaient, révélant la violence contenue en elle, prête à se déchaîner comme les flots de lave dévalant les pentes d'un volcan en furie.
Les yeux de la demoiselle lançaient des éclairs, transperçant Arizona de leur regard incandescent, brûlant comme les brasiers d'un cratère en fusion. Chaque insulte, chaque mot venimeux, faisait monter la pression en elle, comme la vapeur s'échappant des entrailles d'un volcan sur le point d'exploser.
Lorsque Arizona osa la traiter d'Ishii, comparant sa colère à celle d'un criminel de guerre, Kazane sentit le sol se dérober sous ses pieds, emportée par le flot de sa propre fureur.
Que Williams soit dans l'incompréhension, Kazane pouvait le concevoir, mais l'insulter de criminel de guerre, elle ne pouvait le supporter. Cette comparaison révoltante, cette accusation infâme, tout cela résonnait en elle comme un coup de poignard en plein cœur. La rage grondait en elle, sourde et dévorante, menaçant d'engloutir toute raison et tout contrôle.
La lycéenne sentit la lave bouillonner dans ses veines, une chaleur brûlante envahissant chaque parcelle de son être. Les mots d'Arizona résonnaient dans sa tête comme un écho sinistre, amplifiant sa colère jusqu'à l'explosion imminente.
Chaque syllabe, chaque insulte, chaque geste de la part de l'assistante sociale alimentait le brasier qui consumait Kazane de l'intérieur. Elle sentait sa respiration s'accélérer, son pouls battre à tout rompre, tandis que ses poings se serraient involontairement, prêts à déverser toute la fureur qui la submergeait.
Lorsque la syrienne s'approcha d'elle avec ce regard condescendant, lui intimant presque de se calmer, Mitsugu sentit une bouffée de colère la submerger. Qui était-elle pour lui donner des ordres, pour lui dicter comment se comporter ? La jeune Japonaise sentit une onde de fureur la submerger, la noyant dans un tourbillon d'émotions indomptables.
Sans même réfléchir, Kazane se laissa emporter par l'impulsion de sa colère. Elle se dressa de toute sa hauteur, fixant Arizona de son regard brûlant de haine. Les mots lui manquaient, submergés par le flot tumultueux de ses émotions, mais son regard en disait bien plus long que n'importe quelle parole.
Sans réfléchir d'avantage, la demoiselle attrapa l'adulte par le col, serrant ses doigts autour du tissu comme les serres d'un rapace sur sa proie.
Son visage déformé par la rage, la japonaise fulminait, laisement d'un volcan sur le point d'entrer en éruption. sant échapper un grondement sourd, tel le
Dans un élan de pure rage, Kazane sentit le besoin viscéral de faire taire cette étrangère infâme, de l'écraser sous le poids de sa propre indignation.
-« Et vous, Gaijin ?»
Cracha-t-elle avec mépris, utilisant le terme désobligeant pour les étrangers dont elle méprisait la nationalité liée à l'oncle Sam.
-« Vous mêlez pas de la vie de couple des autres quand la vôtre n'est qu'un échec.»
Le rire qui s'échappa de ses lèvres était empreint de sarcasme, une sorte de défi lancé à Arizona et à ses prétentions à donner des leçons. Kazane se sentait exaltée, libérée par la vérité cinglante de ses paroles, même si elle savait que cela ne ferait qu'attiser davantage les flammes de leur conflit.
-« Et avec Junko, votre amour déchu, ça avance ? Oh ne vous faites pas, ça sera votre heure ! »
Poursuivit-elle, son ton maintenant chargé d'une ironie glaciale.
-« Vous n'êtes pas discret... Le jeu de l'oie... Le festival... Même pas besoin de faire comme vous et d'espionner, vous vous affichez comme des idoles.»
La jeune femme maintint son regard dans celui d'Arizona, ne reculant pas devant l'intensité du moment. Mitsugu sentait son cœur battre à tout rompre, l'adrénaline pulsant dans ses veines alors qu'elle confrontait l'assistante sociale avec une fermeté renouvelée.
-« Alors, fermez-la avec mon couple, ma meilleure amie, vous ne savez rien... Moi, je sais que Fushita-san mérite mieux qu'une garce qui va le manipuler.»
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
Mon personnage
❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
TW : Violence
le trou noir. C’est exactement ce qui s’est passé lorsque Kazane la saisie par le tissu du vêtement, manquant par la même occasion de faire exploser les boutons de sa robe. Arizona a été témoin de beaucoup de violence dans sa vie. De sa plus tendre enfance au départ où la guerre se déroulait juste sous sa fenêtre. à l’abris dans sa prison dorée de fille de diplomate, elle n’en a jamais été le témoin direct mais elle pouvait sentir l’odeur du sang et des corps carbonisé, elle pouvait entendre les pleurs des enfants devenu orphelin, elle pouvait voir les corps désarticulés et et mutilé de ceux qui vivaient sous ses fenêtre. Quelque année plus tard, elle a vécu la violence des mots de ceux qui la haïssaient sans aucune autre raison que d’être née plus à l’est, que de ressembler à ceux qui à la télé les terrorisaient. Plus tard quand elle est arrivée au japon cette violence avait fini par lui manquer, c’était comme si elle ne se sentait vivante qu’à travers elle. Alors plutôt que de mener une petite vie privilégiée de gosse de riche, elle préférait traîner avec ceux que la société japonaise avait rejeté. L’alcool, la drogue, la prostitution, les Yakuza. Elle n’était que spectatrice de tout ça, pour pouvoir garder le contrôle, mais lorsqu’elle voyait toute cette violence se dérouler sous ses yeux elle se sentait à nouveau vivante. Vivante comme lorsqu’elle voyait les obus s’écraser sur les maisons d’en face, vivante comme lorsqu’elle entendait les insultes pleuvoir sur elle et sa famille.
Sa limite avait été atteinte lorsque cette violence s’exprima jusque dans sa chair. les hommes et leur facilité à exercer leur frustration sur les femmes. à trop jouer avec le feu on finit par se brûler et c’est exactement ce qui s’est produit à l’époque. des insultes, une bousculade, des vêtements arrachés puis une gifle et enfin un coup poing. ça arrive tout doucement, de manière insidieuse. Et elle se répétait, “c’est pas grave, j’ai vécu pire…” ou encore “C’est surement ça l’amour.” Arizona avait réussi à avoir le déclic, à sortir de cet engrenage grâce à un ami et elle s’était juré que plus jamais. Plus jamais personne ne lèverait la main sur elle, que plus jamais elle n’allait se complaire dans la violence pour essayer de combler un quelconque vide.
Alors quand Kazane l’attrape par le col, Arizona ne voit plus rien, elle entend à peine ce qu’elle lui dit. Ce besoin constant de contrôle vient de là. Ce qu’elle fait constamment, toucher les autres avant qu’il ne le fasse. tout ça pour éviter l’effet de surprise, tout ça pour ne pas avoir peur. Alors comme un réflexe de protection, elle attrape Kazane par les poignets, et serre avec une force insoupçonnable l’obligeant à la lâcher.
“Je t'interdis de me toucher.” Plantant ses yeux dans ceux de l’adolescente, si le regard de Kazane est de feu, celui d’Arizona est de glace. Elle ne lâche pas pour autant les poignets de la japonaise. “Pour qui tu te prend Kazane?” La jeune femme ressert un peu plus son emprisse autour d’elle. “ T’arrive en me sautant à la gorge alors que je n’sais même pas de quoi tu parles! Tu passes ton temps à juger ceux qui ne pensent pas comme toi! qui réfléchisse différemment parce que forcément il n’y a que ta manière de faire qui est bonne hein toutes les autres sont à jeter! Tout ce qui est différent te fait peur parce que dans le fond t’arrives pas à supporter ta propre image!”
Arizona se rendant compte qu’elle attire les regards avec sa voix qui portent lâchent les poignets de la lycéenne. La Syrienne se rend compte des marque laissées sur les poignets de Kazane à cause de la pression exercée dessus, et elle à comme un mouvement de recul horrifiée par ce qu’elle a fait. Pourtant elle ne décolère pas. “T’as aucune idée de ce que j’ai pu dire à Alya…Et pourtant tu m’as désignée d’avance comme la coupable.” Toutefois Arizona ne savait toujours pas ce qu’il s’était passé, mais au vu de l’état de Kazane, il s’est forcément passé quelque chose.
L’assistante sociale fait quelques pas en arrière. Comment en était-elle arrivée là, elle ne comprenait pas. Elle n’a jamais jugé Kazane sur ses choix ni sur sa personne, au contraire. Elle s’est toujours montrée bienveillante et douce avec elle. Elle l’avait certes un peu manipulée par le passé mais, elle n’a jamais été insultante ni même agressive avec cet enfant, ni avec personne d’autre d’ailleurs. Elle a l’impression de retourner 15 ans en arrière, à San Francisco : les pluies d’insultes quotidiennes. La violence, encore.
“ Tu m’connais pas Kazane. Tu connais ni ma vie, ni mon passé…Alors tu peux bien penser ce que tu veux de moi j’men fou… t’as raison Junko mérite sûrement mieux…maintenant fou moi la paix.”
pourquoi il a fallu qu’elle parle de lui. d’ailleurs si Junko est au courant pour tout ça, évidemment qu’il ne prendrait pas le partie d’Arizona. Au contraire, il serait sûrement très en colère contre elle. Ne pas pleurer, surtout ne pas pleurer. Arizona s’en voulait déjà pour les mots qu’elle venait de prononcer. Alors avant d’être trop submerger, elle tourne le dos à la japonaise et marche en direction de son bâtiment. Elle voit bien tous les regards posés sur elle. Une adulte qui se donne en spectacle dans la rue de cette façon, quelle honte. La fuite, comme une lâche, c’est la seule chose qui lui reste. Elle ira directement voir Alya pour essayer d’arranger la situation, mais pour le moment tout ce que Kazane venait de lui balancer à la figure c’était trop.
le trou noir. C’est exactement ce qui s’est passé lorsque Kazane la saisie par le tissu du vêtement, manquant par la même occasion de faire exploser les boutons de sa robe. Arizona a été témoin de beaucoup de violence dans sa vie. De sa plus tendre enfance au départ où la guerre se déroulait juste sous sa fenêtre. à l’abris dans sa prison dorée de fille de diplomate, elle n’en a jamais été le témoin direct mais elle pouvait sentir l’odeur du sang et des corps carbonisé, elle pouvait entendre les pleurs des enfants devenu orphelin, elle pouvait voir les corps désarticulés et et mutilé de ceux qui vivaient sous ses fenêtre. Quelque année plus tard, elle a vécu la violence des mots de ceux qui la haïssaient sans aucune autre raison que d’être née plus à l’est, que de ressembler à ceux qui à la télé les terrorisaient. Plus tard quand elle est arrivée au japon cette violence avait fini par lui manquer, c’était comme si elle ne se sentait vivante qu’à travers elle. Alors plutôt que de mener une petite vie privilégiée de gosse de riche, elle préférait traîner avec ceux que la société japonaise avait rejeté. L’alcool, la drogue, la prostitution, les Yakuza. Elle n’était que spectatrice de tout ça, pour pouvoir garder le contrôle, mais lorsqu’elle voyait toute cette violence se dérouler sous ses yeux elle se sentait à nouveau vivante. Vivante comme lorsqu’elle voyait les obus s’écraser sur les maisons d’en face, vivante comme lorsqu’elle entendait les insultes pleuvoir sur elle et sa famille.
Sa limite avait été atteinte lorsque cette violence s’exprima jusque dans sa chair. les hommes et leur facilité à exercer leur frustration sur les femmes. à trop jouer avec le feu on finit par se brûler et c’est exactement ce qui s’est produit à l’époque. des insultes, une bousculade, des vêtements arrachés puis une gifle et enfin un coup poing. ça arrive tout doucement, de manière insidieuse. Et elle se répétait, “c’est pas grave, j’ai vécu pire…” ou encore “C’est surement ça l’amour.” Arizona avait réussi à avoir le déclic, à sortir de cet engrenage grâce à un ami et elle s’était juré que plus jamais. Plus jamais personne ne lèverait la main sur elle, que plus jamais elle n’allait se complaire dans la violence pour essayer de combler un quelconque vide.
Alors quand Kazane l’attrape par le col, Arizona ne voit plus rien, elle entend à peine ce qu’elle lui dit. Ce besoin constant de contrôle vient de là. Ce qu’elle fait constamment, toucher les autres avant qu’il ne le fasse. tout ça pour éviter l’effet de surprise, tout ça pour ne pas avoir peur. Alors comme un réflexe de protection, elle attrape Kazane par les poignets, et serre avec une force insoupçonnable l’obligeant à la lâcher.
“Je t'interdis de me toucher.” Plantant ses yeux dans ceux de l’adolescente, si le regard de Kazane est de feu, celui d’Arizona est de glace. Elle ne lâche pas pour autant les poignets de la japonaise. “Pour qui tu te prend Kazane?” La jeune femme ressert un peu plus son emprisse autour d’elle. “ T’arrive en me sautant à la gorge alors que je n’sais même pas de quoi tu parles! Tu passes ton temps à juger ceux qui ne pensent pas comme toi! qui réfléchisse différemment parce que forcément il n’y a que ta manière de faire qui est bonne hein toutes les autres sont à jeter! Tout ce qui est différent te fait peur parce que dans le fond t’arrives pas à supporter ta propre image!”
Arizona se rendant compte qu’elle attire les regards avec sa voix qui portent lâchent les poignets de la lycéenne. La Syrienne se rend compte des marque laissées sur les poignets de Kazane à cause de la pression exercée dessus, et elle à comme un mouvement de recul horrifiée par ce qu’elle a fait. Pourtant elle ne décolère pas. “T’as aucune idée de ce que j’ai pu dire à Alya…Et pourtant tu m’as désignée d’avance comme la coupable.” Toutefois Arizona ne savait toujours pas ce qu’il s’était passé, mais au vu de l’état de Kazane, il s’est forcément passé quelque chose.
L’assistante sociale fait quelques pas en arrière. Comment en était-elle arrivée là, elle ne comprenait pas. Elle n’a jamais jugé Kazane sur ses choix ni sur sa personne, au contraire. Elle s’est toujours montrée bienveillante et douce avec elle. Elle l’avait certes un peu manipulée par le passé mais, elle n’a jamais été insultante ni même agressive avec cet enfant, ni avec personne d’autre d’ailleurs. Elle a l’impression de retourner 15 ans en arrière, à San Francisco : les pluies d’insultes quotidiennes. La violence, encore.
“ Tu m’connais pas Kazane. Tu connais ni ma vie, ni mon passé…Alors tu peux bien penser ce que tu veux de moi j’men fou… t’as raison Junko mérite sûrement mieux…maintenant fou moi la paix.”
pourquoi il a fallu qu’elle parle de lui. d’ailleurs si Junko est au courant pour tout ça, évidemment qu’il ne prendrait pas le partie d’Arizona. Au contraire, il serait sûrement très en colère contre elle. Ne pas pleurer, surtout ne pas pleurer. Arizona s’en voulait déjà pour les mots qu’elle venait de prononcer. Alors avant d’être trop submerger, elle tourne le dos à la japonaise et marche en direction de son bâtiment. Elle voit bien tous les regards posés sur elle. Une adulte qui se donne en spectacle dans la rue de cette façon, quelle honte. La fuite, comme une lâche, c’est la seule chose qui lui reste. Elle ira directement voir Alya pour essayer d’arranger la situation, mais pour le moment tout ce que Kazane venait de lui balancer à la figure c’était trop.
- Tenue:
Citation
- Kazane MitsuguElève ; en 3ème année■ Age : 26■ Messages : 700■ Inscrit le : 12/06/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 17 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-3
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Je t'aime, moi non plus ! Avec Arizona Williams
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Kazane sentit l'étau des mains d'Arizona se refermer sur ses poignets avec une force qui la surprise au vu de la taille et la stature de l'assistante sociale. La pression était si intense que chaque doigt semblait être serré dans un étau de métal. Une douleur lancinante parcourut ses membres, et elle sentit des marques rouges se former sur sa peau blanche sous la pression des mains de la femme à la peau de cuivre.
Instinctivement, l'adolescente lâcha le col de la robe d'Arizona, submergée par la surprise et la douleur.
Alors que Williams continuait à parler, Kazane se massait les poignets droits avec sa main libre, tentant d'apaiser la douleur qui persistait. Ses yeux marrons fixaient Arizona avec une intensité brûlante, emplis de rage débridée, ne demandant qu'à s'exprimer. Chaque mot prononcé par l'assistante sociale résonnait comme une provocation supplémentaire pour l'adolescente, alimentant le feu de la colère qui bouillonnait en elle.
Les yeux de Mitsugu se plantèrent comme des poignard dans le regard noir de son interlocutrice, exprimant toute la frustration, la confusion et la douleur qu'elle ressentait à cet instant. Elle sentait que celle qui voulait autrefois s'immiscer dans sa vie comme une grande soeur, était devenue une furie qui lui crachait ses pensées à la figure, l'insultant presque... Mais dans tout ça, la grande japonaise sentait que la colère avait cessée de monter en elle ...Car elle allait de nouveau éclater comme une tempête .
-«Pour une fois, vous êtes honnête, Williams-san ! Je vois comment vous me percevez. En fait, vous êtes comme ma mère. Beaucoup de promesses et une fausse affection, mais dès qu'il y'a un problème, vous révélez votre vrai visage... »
Kazane, indifférente aux regards curieux qui se posaient sur elles, attrapa le bras d'Arizona avec une force déterminée, l'empêchant de s'échapper. Elle la força à lui faire face, son visage imprégné d'une détermination sans faille.
-« Oh non, vous ne fuirez pas, on est pas dans votre bureau où vous pouvez me congédier. »
Grogna la demoiselle d'une voix cinglante, malgré son ton très digne et féminin.
La lycéenne rapprocha son visage de celui de son interlocutrice, plantant ses yeux dans les siens avec une intensité brûlante.
-« Alors, je vais vous mettre au parfum...Alya a dit à Mathéo qu'elle lui ferait du chantage pour qu'il sorte avec elle. Elle l'a menacé de révéler sa romance homosexuelle à tout le campus... C'est bien vos méthodes ça. »
Cracha-t-elle, sa voix tremblant d'indignation. Elle avait fait confiance en Arizona, elle avait cru que sa promesse de ne pas recommencer ses penchants toxiques de manipulatrice sur elle et sa vie... Kazane se sentait stupide... Mais surtout, trahie.
La colère et l'indignation envahirent à nouveau le cœur de l'adolescente, ravivant la flamme qui brûlait en elle. Les pièces du puzzle s'étaient emboîtées dans son esprit quand Alya l'avait dénoncée, révélant la vérité sur les agissements d'Arizona.
-« Manipulation et subterfuge, deux termes qui vous sied parfaitement.»
Lâcha-t-elle, son ton empreint de mépris en filigrane du tableau verbal dépeint par sa rage.
Puis, d'un geste ample et quelque peu violent, Kazane lâcha le bras de l'américaine, lui lançant un regard chargé de dédain.
-« Non, c'est vrai, votre vie sentimentale ne me regarde pas. Mais je connais Fushita-san et franchement... Je veux son bonheur... Comme je voulais le vôtre avant aujourd'hui...»
Croisant les bras sur sa poitrine, la voix de la fille de Tsushima traghissait son amertume et sa déception profonde...
Elle fit volte-face, prête à partir, mais se retourna une dernière fois pour ajouter avec un sarcasme glacial :
-« Ne vous en faites pas, vous ne reverrez plus cette immonde raciste suicidaire fermée d'esprit que je suis. Après tout, je vaux un criminel de guerre à vos yeux... En fait, je n'étais rien pour vous.»
Puis, sans un regard en arrière, Kazane commençait à s'éloigner.
KoalaVolantInstinctivement, l'adolescente lâcha le col de la robe d'Arizona, submergée par la surprise et la douleur.
Alors que Williams continuait à parler, Kazane se massait les poignets droits avec sa main libre, tentant d'apaiser la douleur qui persistait. Ses yeux marrons fixaient Arizona avec une intensité brûlante, emplis de rage débridée, ne demandant qu'à s'exprimer. Chaque mot prononcé par l'assistante sociale résonnait comme une provocation supplémentaire pour l'adolescente, alimentant le feu de la colère qui bouillonnait en elle.
Les yeux de Mitsugu se plantèrent comme des poignard dans le regard noir de son interlocutrice, exprimant toute la frustration, la confusion et la douleur qu'elle ressentait à cet instant. Elle sentait que celle qui voulait autrefois s'immiscer dans sa vie comme une grande soeur, était devenue une furie qui lui crachait ses pensées à la figure, l'insultant presque... Mais dans tout ça, la grande japonaise sentait que la colère avait cessée de monter en elle ...Car elle allait de nouveau éclater comme une tempête .
-«Pour une fois, vous êtes honnête, Williams-san ! Je vois comment vous me percevez. En fait, vous êtes comme ma mère. Beaucoup de promesses et une fausse affection, mais dès qu'il y'a un problème, vous révélez votre vrai visage... »
Kazane, indifférente aux regards curieux qui se posaient sur elles, attrapa le bras d'Arizona avec une force déterminée, l'empêchant de s'échapper. Elle la força à lui faire face, son visage imprégné d'une détermination sans faille.
-« Oh non, vous ne fuirez pas, on est pas dans votre bureau où vous pouvez me congédier. »
Grogna la demoiselle d'une voix cinglante, malgré son ton très digne et féminin.
La lycéenne rapprocha son visage de celui de son interlocutrice, plantant ses yeux dans les siens avec une intensité brûlante.
-« Alors, je vais vous mettre au parfum...Alya a dit à Mathéo qu'elle lui ferait du chantage pour qu'il sorte avec elle. Elle l'a menacé de révéler sa romance homosexuelle à tout le campus... C'est bien vos méthodes ça. »
Cracha-t-elle, sa voix tremblant d'indignation. Elle avait fait confiance en Arizona, elle avait cru que sa promesse de ne pas recommencer ses penchants toxiques de manipulatrice sur elle et sa vie... Kazane se sentait stupide... Mais surtout, trahie.
La colère et l'indignation envahirent à nouveau le cœur de l'adolescente, ravivant la flamme qui brûlait en elle. Les pièces du puzzle s'étaient emboîtées dans son esprit quand Alya l'avait dénoncée, révélant la vérité sur les agissements d'Arizona.
-« Manipulation et subterfuge, deux termes qui vous sied parfaitement.»
Lâcha-t-elle, son ton empreint de mépris en filigrane du tableau verbal dépeint par sa rage.
Puis, d'un geste ample et quelque peu violent, Kazane lâcha le bras de l'américaine, lui lançant un regard chargé de dédain.
-« Non, c'est vrai, votre vie sentimentale ne me regarde pas. Mais je connais Fushita-san et franchement... Je veux son bonheur... Comme je voulais le vôtre avant aujourd'hui...»
Croisant les bras sur sa poitrine, la voix de la fille de Tsushima traghissait son amertume et sa déception profonde...
Elle fit volte-face, prête à partir, mais se retourna une dernière fois pour ajouter avec un sarcasme glacial :
-« Ne vous en faites pas, vous ne reverrez plus cette immonde raciste suicidaire fermée d'esprit que je suis. Après tout, je vaux un criminel de guerre à vos yeux... En fait, je n'étais rien pour vous.»
Puis, sans un regard en arrière, Kazane commençait à s'éloigner.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
Mon personnage
❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
Son cœur se brise à chacune des paroles de l’adolescente. La langue acérée de la japonaise n’a aucune pitié et Arizona ne se doutait pas qu’elle était capable d’autant de méchanceté. Elle s’est confiée à cette gamine et maintenant elle se sert de ses blessures contre elle…C’est tellement bas. Ça lui servira encore de leçon: ne jamais montrer ses faiblesses, à personne! jamais! Sourire en permanence, rire, mener les autres sur une autre piste. Pourtant elle sait faire, Arizona a passé sa vie à mener les autres en bateau. Pour les tenir éloigné, bien loin de ses peurs et de ses angoisses, pour ne pas qu’on s’en serve contre elle. Kazane malgré sa taille et ses yeux injectés de sang ne l’impressionne pas le moins du monde, elle en a vu d'autres. Des hommes bien plus grands et bien plus fort qui ont tenté de l’impressionner alors c’est pas une lycéenne de mauvaise humeur qui allait lui faire peur. Toutefois les mots de la jeune femme font beaucoup plus mal que les coup porter au visage.
Arizona peut avec ses mots la démolir en moins de deux, elle connaît assez sa vie et son entourage pour l’enterrer avec des phrases. Elle aussi sait faire. Mais ça n’a jamais été son truc et elle a conscience que tout ce que lui vomi Kazane au visage, ce manque de filtre et son impulsivité sont dû essentiellement à son jeune. Elle devrait prendre du recule et ne pas prendre en compte tout ce qu’elle lui dit et pourtant son cœur saigne. Les mots ont toujours plus d’impact quand c’est une personne qu’on aime qui nous les dit, Kazane est rentré dans son corps de manière assez anodine. Elle est comme un petit chat qu’on retrouve abandonné dans un carton un soir de pluie. On l'apprivoise, on en prend soin, on le chéri et lui donne autant d’amour que possible. L’assistante sociale ne ressent aucune pitié pour Kazane, ça n’a jamais été ça. C’est une espèce de sentiment maternelle qui l’envahit à chaque fois qu’il s’agit de la lycéenne et son vœu le plus cher c’est qu’elle soit heureuse. Mais avoir une relation si étroite avec une lycéenne ça s’apprend et Arizona est maladroite. Alors malgré ses manipulations, elle n’a toujours voulu que le bonheur pour elle. Junko a sans doute raison lorsqu’il dit qu’Arizona est étouffante…
Alors, lorsque Kazane commence à s’éloigner après avoir hurler sur la Syrienne, cette dernière est prise d’une rage folle. Comment peut-elle la comparer à sa génitrice malade et alcoolique qui s’est servie d’elle comme un sac de frappe pour extérioriser ses névroses. Comment a-t-elle pu pensé une seconde qu’elle a encouragé Alya à faire du chantage à ce type. Et pourquoi Junko est-il vue comme une énième victime d’Arizona. Toujours la même chose, la vilaine Arizona qui foutait le bordel dans la vie des autres. Y’en a marre! Qu’ils aillent tous se faire foutre! Junko, ce campus à la con et tous ces gens qui étaient en train de profiter du spectacle. Alors la petite brune fonce sur Kazane et l’attrape par le col la forçant à se retourner. Elle lève son bras, l’armant, près à la gifler.
« va te faire foutre Kazane!!! » hurle-t-elle. Maintenant c’est quelques personnes qui se sont réunies autour d’elles. « Comment tu peux me comparer avec ta mère?!! Je t’ai jamais insulté au point que tu perdes confiance en toi ! Je ne t’ai jamais souhaité de mal, ni même espère que tu finisses par faire le trottoire!! Je n’me suis jamais défoulé sur toi parce que je vais pas bien!!! »les yeux de la Syrienne auraient pu sortir de leur orbite tellement elle était hors d’elle. « Espèce de petite-»et alors que sa main encore en l’air s’apprête à s’abattre sur la joue mais pendant une fraction de seconde elle imagine Kazane enfant se protéger face aux coups de sa mère. Finalement elle n’est peut-être pas si différente de cette femme, elle s’apprête à reagir exactement comme elle. C’est une adulte et pourtant elle perd son calme face à une enfant. Exactement comme sa mère malade.
Arizona en a la nausée et le souffle court. Elle finit par baisser sa main tremblante et lâche la japonaise. Le souffle court, elle a du mal à remettre ses idées en place. « J..excuse moi Kazane…je n’ai toujours voulu que ton bonheur…je ne suis pas comme elle… »Ari ne crie plus. C’est comme si toutes ses forces l’avaient abandonnée. Un peu dans un état semi-conscient, elle fixe le sol comme si elle était passée en mode automatique. « Je n’ai jamais dit à Alya de faire du chantage à se type…au contraire je lui ai dit de ne pas faire de chantage et d’être honnête avec lui…mais surtout de faire attention à elle…comme je te l’avais conseillé pour ta relation. »
Arizona reprend peu à peu conscience, son visage se pose sur ceux des passants qui s’étaient arrêtés pour admirer le spectacle. Elle les voit faire des messes basses entre et porter un jugement sur son comportement inapproprié. Elle n’en peut plus de tous ces gens qui la juge en permanence. Tout le temps, tous les jours. Ça devient beaucoup trop lourd pour ces épaules et elle ne supporte plus l’image qu’elle renvoie aux autres. Ses yeux vitreux se posent de nouveau sur Kazane. « Mais si tu as cru à tort que j’ai pu donner ce genre de conseils à Alya…c’est que… » c’est que Kazane comme la plupart des gens ont une très mauvaise image d’elle. Finalement ils ont peut être raison. Finalement elle n’est peut-être pas la bonne personne qu’elle pense être. Elle n’arrive plus à parler et elle sait que si elle tente de dire un mot elle va éclater en sanglots. Alors elle pose les mains sur sa bouche, le visage rouge et les larmes au bord des yeux. Lamentable devant la foule qui la juge, elle ne sait plus vraiment ce qu’elle doit faire.
- Tenue:
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- Kazane MitsuguElève ; en 3ème année■ Age : 26■ Messages : 700■ Inscrit le : 12/06/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 17 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-3
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Je t'aime, moi non plus ! Avec Arizona Williams
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Comme prévu par la japonaise, Arizona ne laissa pas Kazane s'échapper aussi facilement. Avec la célérité d'un rapace, la syrienne rattrape l'adolescente et lu aggripe le col de sa robe avec se serres, menaçant de rompre les boutons de son décolleté.
Les yeux de Mitsugu s'ancrent dans le regard noir de son assistante sociale. L'américaine espiègle et si sure d'elle s'était changée en furie ayant presque l'écume aux lèvres.
A l'origine, l'évocation de Junko était hasardeuse mais l'évolution de la situation donnait raison aux suspicions de la fille de Tsushima.
Au fond d'elle-même, Kazane n'est pas surprise de la réaction de WIlliams, elle aurait eu exactement la même au vu de son caractère volcanique qui faisait parler tant d'elle. Ce qui la choque, c'est l'autre main de l'assistante sociale qui est levée, prête à s'abbattre sur le visage de la demoiselle.
Même si la peur commence à s'insinuer dans ses entrailles, elle refuse de laisser transparaître la moindre trace de faiblesse. Elle conserve fièrement la tête haute, ses yeux lançant des éclairs, défiant Arizona du regard.
Pourtant, à travers la colère brûlante qui consume son esprit, une image familière commence à se former. L'image d'Arizona se confond avec celle de sa mère. Les traits de l'assistante sociale se déforment, prenant les contours de cette figure maternelle qui lui était à la fois si proche et si étrangère. Les mêmes yeux durs, le même regard accusateur, la même main levée menaçante. Une bouffée de nostalgie mêlée à de la rage lui serre la poitrine. Les souvenirs douloureux remontent à la surface, faisant écho à cette scène qui se déroule sous ses yeux.
Mais la jeune femme ne fiblit toujours pas, elle fixe Arizona, un sentiment de défi dans ses prunelles sombres. Elle refuse d'être une fois de plus la victime d'une névrosée... Cependant, elle s'effondre....
La force de volonté aue venait de gonfler sa poitrine retombe comme un soufflet raté... Les larmes perlent le coin de ses yeux en amendes, elle n'en peux plus de cette année où le sort s'acharne.... Elle en assez de sa famille, Kobe, Williams... Tout.
Alors, l'orgeuil reprend le relais et avec une voix tremblante mais forte, elle lance à son interlocutrice :
-«Allez-y Williams-San ! Frappez-moi ! Vous prouverez une fois de plus que je vous ai bien jugée, vous êtes comme elle ! »
Alors que les yeux de Kazane se ferment, se préparant à sentir la morsure du soufflet qui allait s'abattre sur sa joue et laisser une marque rouge brulante sur celle-ci.... Mais rien ne vient.
Les yeux de l'adolescente s'ouvrent lentement, laissant filtrer la lumière ambiante qui baigne les terres nippones en ce jour. Elle voit Arizona la lâcher, la main tremblante et baissée. Un silence pesant s'installe entre elles, seulement brisé par la respiration irrégulière de l'assistante sociale. Kazane la regarde incrédule, essayant de comprendre ce qui se passe, son cœur battant encore fort dans sa poitrine.
Les paroles de Williams résonnent dans l'air, empreintes de regret et de peine. Mitsugu les absorbe sans mot dire, laissant les mots résonner dans son esprit déjà bien tourmenté. Elle sent la colère descendre en elle, lentement, comme la marée se retirant de la plage.
C'est un processus long et difficile, mais la sportive se laisse envahir par un sentiment de compassion. Elle voit Arizona presque en larmes, abattue et vulnérable, loin de l'image d'une peste impénétrable qu'elle avait l'habitude de projeter.
Instinctivement, guidée par une force intérieure forgée par ses lectures et ses expériences, Kazane s'approche doucement de son interlocutrice.
Sans un mot, la demoiselle tend ses bras et enlace l'assistante sociale dans une étreinte réconfortante. C'est un geste instinctif, impulsif, mais Kazane sait que c'est ce qu'il faut faire. Elle sent la chaleur du corps d'Arizona contre le sien, une proximité qui transcende les différences et les conflits qui les ont opposées.
Dans cet instant de tendresse inattendue, Kazane ressent un élan de compassion envers Arizona. Peut-être qu'au fond, elle pensait bien faire, mais que les éléments se sont retournés contre-elle...
Peut-être qu'au fond, elles sont plus semblables qu'elles ne le pensent.
Peut-être qu'elles partagent toutes les deux des cicatrices passées qui les façonnent bien trop aujourd'hui.
Et même si tout n'est pas réglé, même si les cicatrices restent, Kazane sait qu'elle doit aller de l'avant... Il lui faut juste du temps...
KoalaVolantLes yeux de Mitsugu s'ancrent dans le regard noir de son assistante sociale. L'américaine espiègle et si sure d'elle s'était changée en furie ayant presque l'écume aux lèvres.
A l'origine, l'évocation de Junko était hasardeuse mais l'évolution de la situation donnait raison aux suspicions de la fille de Tsushima.
Au fond d'elle-même, Kazane n'est pas surprise de la réaction de WIlliams, elle aurait eu exactement la même au vu de son caractère volcanique qui faisait parler tant d'elle. Ce qui la choque, c'est l'autre main de l'assistante sociale qui est levée, prête à s'abbattre sur le visage de la demoiselle.
Même si la peur commence à s'insinuer dans ses entrailles, elle refuse de laisser transparaître la moindre trace de faiblesse. Elle conserve fièrement la tête haute, ses yeux lançant des éclairs, défiant Arizona du regard.
Pourtant, à travers la colère brûlante qui consume son esprit, une image familière commence à se former. L'image d'Arizona se confond avec celle de sa mère. Les traits de l'assistante sociale se déforment, prenant les contours de cette figure maternelle qui lui était à la fois si proche et si étrangère. Les mêmes yeux durs, le même regard accusateur, la même main levée menaçante. Une bouffée de nostalgie mêlée à de la rage lui serre la poitrine. Les souvenirs douloureux remontent à la surface, faisant écho à cette scène qui se déroule sous ses yeux.
Mais la jeune femme ne fiblit toujours pas, elle fixe Arizona, un sentiment de défi dans ses prunelles sombres. Elle refuse d'être une fois de plus la victime d'une névrosée... Cependant, elle s'effondre....
La force de volonté aue venait de gonfler sa poitrine retombe comme un soufflet raté... Les larmes perlent le coin de ses yeux en amendes, elle n'en peux plus de cette année où le sort s'acharne.... Elle en assez de sa famille, Kobe, Williams... Tout.
Alors, l'orgeuil reprend le relais et avec une voix tremblante mais forte, elle lance à son interlocutrice :
-«Allez-y Williams-San ! Frappez-moi ! Vous prouverez une fois de plus que je vous ai bien jugée, vous êtes comme elle ! »
Alors que les yeux de Kazane se ferment, se préparant à sentir la morsure du soufflet qui allait s'abattre sur sa joue et laisser une marque rouge brulante sur celle-ci.... Mais rien ne vient.
Les yeux de l'adolescente s'ouvrent lentement, laissant filtrer la lumière ambiante qui baigne les terres nippones en ce jour. Elle voit Arizona la lâcher, la main tremblante et baissée. Un silence pesant s'installe entre elles, seulement brisé par la respiration irrégulière de l'assistante sociale. Kazane la regarde incrédule, essayant de comprendre ce qui se passe, son cœur battant encore fort dans sa poitrine.
Les paroles de Williams résonnent dans l'air, empreintes de regret et de peine. Mitsugu les absorbe sans mot dire, laissant les mots résonner dans son esprit déjà bien tourmenté. Elle sent la colère descendre en elle, lentement, comme la marée se retirant de la plage.
C'est un processus long et difficile, mais la sportive se laisse envahir par un sentiment de compassion. Elle voit Arizona presque en larmes, abattue et vulnérable, loin de l'image d'une peste impénétrable qu'elle avait l'habitude de projeter.
Instinctivement, guidée par une force intérieure forgée par ses lectures et ses expériences, Kazane s'approche doucement de son interlocutrice.
Sans un mot, la demoiselle tend ses bras et enlace l'assistante sociale dans une étreinte réconfortante. C'est un geste instinctif, impulsif, mais Kazane sait que c'est ce qu'il faut faire. Elle sent la chaleur du corps d'Arizona contre le sien, une proximité qui transcende les différences et les conflits qui les ont opposées.
Dans cet instant de tendresse inattendue, Kazane ressent un élan de compassion envers Arizona. Peut-être qu'au fond, elle pensait bien faire, mais que les éléments se sont retournés contre-elle...
Peut-être qu'au fond, elles sont plus semblables qu'elles ne le pensent.
Peut-être qu'elles partagent toutes les deux des cicatrices passées qui les façonnent bien trop aujourd'hui.
Et même si tout n'est pas réglé, même si les cicatrices restent, Kazane sait qu'elle doit aller de l'avant... Il lui faut juste du temps...
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
Mon personnage
❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
Cet excès de colère, ça ne lui ressemble pas. Arizona n’est pas du genre à se laisser dévorer par la haine. ça ne lui amène jamais rien de bon. Elle avait mis Evan à la porte lorsqu’elle s’était hors d’elle, et finalement elle n’avait récolter de des remords, elle avait repoussé Junko avec rage lorsqu’il est venu la chercher et finalement aujourd’hui c’est elle qui lui court après et aujourd’hui encore elle s’en prend à une gamine parce que dans le fond elle sait pertinemment que Kazane a raison mais comme toutes les mauvaise personne de ce monde Arizona refuse de voir la vérité en face. Elle passe son temps à fuir lorsqu’elle a mal ou à se noyer dans tous les excès possibles pour oublier, elle s’anesthésie le cœur avec de l’alcool pour ne plus avoir mal. Elle passe son temps à flirter pour flatter son égo refusant de voir l’ignoble personne qu'elle a. Elle se dupe elle-même derrière de faux sourires, une fausse bienveillance. La gentille petite Arizona qui est juste dans le déni de sa propre vie…En réalité elle a parfaitement conscience du mal qu’elle fait autour d’elle, elle sait parfaitement qu’elle fonce droit dans le mur et qu’elle embarque avec elle tous ceux qu’elle croise sur son passage.
Aujourd'hui elle en arrive à lever sa main, prête à abattre violemment sa colère sur une gamine. Et elle ne sait par quel éclair de lucidité son geste s’arrête, puis finit par mourir. Et lorsque la haine disparaît c’est la honte qui fait son apparation. Comme souvent lorsqu’elle se sent submergée, Arizona tente de fuir. ça, c’est sans compter sur Kazane, qui encore une fois fait preuve d’une maturité exceptionnelle pour son jeune âge. Avec douceur, la lycéenne vient envelopper la syrienne d’une étreinte rassurante et chaleureuse et comme une enfant Arizona vient s’y blottir à l’intérieur. Cette gamine exerce un étrange pouvoir sur la jeune femme et plus que quiconque, elle la fait grandir. Si Junko arrive à la mettre dans tous ses états, c'est à cause du sentiment amoureux qu’elle éprouve pour lui. Il détient son cœur alors c’est très facile. Ses doutes, ses joies, ses peines venant de lui n’existent que grâce à l’amour inconditionnel qu’elle ressent pour le japonais. Avec Kazane ce qu’elle ressent est différent bien sûr, néanmoins elle parvient à retourner le cœur et l’esprit de l’assistante sociale. Si beaucoup la compare à un volcan, Ari elle pourrait l'assimiler à une tempête : violente, dévastatrice imprévisible. Mais une tempête qui purge, qui purifie, et après son passage il ne reste plus rien, pas même le négatif. Tout est à reconstruire, en mieux, en plus harmonieux, plus sain. Kazane et de ceux qui vous aident à vous déconstruire pour vous faire devenir meilleur.
alors elle accueille avec tendresse elle aussi la douceur de l’adolescente et referme les bras sur la jeune femme comme un signe de paix et d’apaisement. Pendant de longues minutes elles restent enlacé dans les bras l’une de l’autre. retrouvant peu à peu leur tranquillité devant les passants interdit devant une telle scène. C’est finalement Arizona qui relève la tête vers Kazane essuyant quelques larmes au coin de ses yeux. “Une chance qu’on ne se soit pas donné en spectacle sur le campus hein…” elle sourit doucement avant de caresser tendrement le haut du crâne de l’adolescente. “ Ne restons pas là, viens! suis moi!” La syrienne prend Kazane par la main avant de marcher quelques mètres, elles pénètrent dans son immeuble, grimpent les étages en silence. Elle ne savait pas trop quoi dire, ni quoi faire après le déferlement de colère, la seule chose qu’elle voulait c’était partir loin de tous ses regards. Arizona tourne la clef dans la serrure puis ouvre la porte de son appartement encore baigné de lumière.
Elle retire ses chaussures, puis pointe du doigt son canapé. “Installe toi, fais comme chez toi je vais chercher à boire.” Elle laisse la Japonaise s’installer avant de revenir de la cuisine avec quelque boisson, puis se laisse tomber sur son canapé près de Kazane qui l’attendait sagement. “Aaaaaah! quelle journée” dit-elle en laissant tomber sa tête en arrière. L’assistante sociale soupire en fixant le plafond. Elle a encore foutu une sacré merde autour d’elle. Encore….Elle se redresse doucement et plonge son regard dans celui de la lycéenne. “Je crois que tu attends quelque explication de ma part, n’est-ce pas?”
- Appartement d'Arizona:
Citation
- Kazane MitsuguElève ; en 3ème année■ Age : 26■ Messages : 700■ Inscrit le : 12/06/2023■ Mes clubs :
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❖ Âge : 17 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-3
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Je t'aime, moi non plus ! Avec Arizona Williams
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Kazane suivit Arizona à travers l'entrée de l'immeuble, son regard scrutant chaque recoin avec une nervosité à peine dissimulé par ses traits froids.
Chaque fois qu'elles croisaient un résident ou entendaient des bruits de pas, elle se raidissait, redoutant de rencontrer quelqu'un cotoyant la Kobe High School. Leurs pas résonnaient doucement dans les couloirs alors qu'elles gravissaient les étages, plongeant l'adolescente dans un mélange de tension et de curiosité. Arizona, quant à elle, marchait avec assurance, tenant fermement la main de Kazane, comme Virgil guidant Dante dans les cercles de l'Enfer.
Quand les deux jeunes femme atteignirent l'appartement, l'assistante sociale tourna la clé dans la serrure, et la porte s'ouvrit sur un intérieur baigné de lumière.
Kazane entra, retirant ses chaussures avec soin et les rangeant à côté de celles d'Arizona. Elle jeta un coup d'œil autour d'elle, surprise par l'atmosphère apaisante de l'appartement. La décoration était simple mais élégante, avec des touches personnelles qui donnaient une impression de confort et de sérénité. Les murs clairs, les meubles en bois et les plantes vertes disséminées çà et là contribuaient à une ambiance chaleureuse et accueillante.
Mitsugu s'assit à l'endroit indiqué par son hôte, ajustant sa posture avec soin. Elle ramena ses cheveux en arrière d'un geste délicat de la main droite, puis croisa ses longues jambes drapées de noir, tirant légèrement sur la jupe de sa robe pour paraître plus élégante et faire mourir les plis striant le tissu, rendant son vêtement imparfait.
Tandis que l'adolescente attendait les boissons proposée par a maîtresse de maison, elle laissa son regard errer sur les détails de l'appartement, notant les livres soigneusement rangés, les photographies encadrées et les objets décoratifs qui reflétaient le goût raffiné de l'adulte.
Arizona revint de la cuisine avec les rafraichissements et s'installa sur le canapé près de Kazane qui la remercia.
Elle laissa échapper un long soupir, la tête basculée en arrière, avant de se redresser lentement et de fixer son regard dans celui de la jeune fille.
La demoiselle à la peau de cuivre proposa à la japonaise de lui fournir une exlication sur ce qu'il s'est passé avec Alya dans l'intimité du bureau de l'assistante sociale.
Kazane soupira, ses yeux marron clair se fixant avec une intensité silencieuse sur ceux de l'assistante sociale. Elle pinça légèrement les lèvres, croisa les bras et répondit sans détour :
-« À votre guise... Alya ne m'a pas dit grand-chose...»
Mitsugu se redressa sur le canapé, continuant de fixer l'américaine avec une intensité palpable. Elle laissa échapper un léger soupir avant de lancer d'une voix calme mais déterminée :
-« Pour Fushita-san, j'avais des doutes et j'ai lancé ça au hasard et vous m'avez confirmé...»
Un sourire espiègle apparut brièvement sur ses lèvres rosée, illuminant son visage d'une certaine malice.
Cependant, ce sourire s'évanouit rapidement, remplacé par une expression plus sérieuse et calculatrice.
-« J'use de vos techniques contre vous... »
Dit-elle d'une voix presque murmurée, son regard ne quittant pas celui d'Arizona.
KoalaVolantChaque fois qu'elles croisaient un résident ou entendaient des bruits de pas, elle se raidissait, redoutant de rencontrer quelqu'un cotoyant la Kobe High School. Leurs pas résonnaient doucement dans les couloirs alors qu'elles gravissaient les étages, plongeant l'adolescente dans un mélange de tension et de curiosité. Arizona, quant à elle, marchait avec assurance, tenant fermement la main de Kazane, comme Virgil guidant Dante dans les cercles de l'Enfer.
Quand les deux jeunes femme atteignirent l'appartement, l'assistante sociale tourna la clé dans la serrure, et la porte s'ouvrit sur un intérieur baigné de lumière.
Kazane entra, retirant ses chaussures avec soin et les rangeant à côté de celles d'Arizona. Elle jeta un coup d'œil autour d'elle, surprise par l'atmosphère apaisante de l'appartement. La décoration était simple mais élégante, avec des touches personnelles qui donnaient une impression de confort et de sérénité. Les murs clairs, les meubles en bois et les plantes vertes disséminées çà et là contribuaient à une ambiance chaleureuse et accueillante.
Mitsugu s'assit à l'endroit indiqué par son hôte, ajustant sa posture avec soin. Elle ramena ses cheveux en arrière d'un geste délicat de la main droite, puis croisa ses longues jambes drapées de noir, tirant légèrement sur la jupe de sa robe pour paraître plus élégante et faire mourir les plis striant le tissu, rendant son vêtement imparfait.
Tandis que l'adolescente attendait les boissons proposée par a maîtresse de maison, elle laissa son regard errer sur les détails de l'appartement, notant les livres soigneusement rangés, les photographies encadrées et les objets décoratifs qui reflétaient le goût raffiné de l'adulte.
Arizona revint de la cuisine avec les rafraichissements et s'installa sur le canapé près de Kazane qui la remercia.
Elle laissa échapper un long soupir, la tête basculée en arrière, avant de se redresser lentement et de fixer son regard dans celui de la jeune fille.
La demoiselle à la peau de cuivre proposa à la japonaise de lui fournir une exlication sur ce qu'il s'est passé avec Alya dans l'intimité du bureau de l'assistante sociale.
Kazane soupira, ses yeux marron clair se fixant avec une intensité silencieuse sur ceux de l'assistante sociale. Elle pinça légèrement les lèvres, croisa les bras et répondit sans détour :
-« À votre guise... Alya ne m'a pas dit grand-chose...»
Mitsugu se redressa sur le canapé, continuant de fixer l'américaine avec une intensité palpable. Elle laissa échapper un léger soupir avant de lancer d'une voix calme mais déterminée :
-« Pour Fushita-san, j'avais des doutes et j'ai lancé ça au hasard et vous m'avez confirmé...»
Un sourire espiègle apparut brièvement sur ses lèvres rosée, illuminant son visage d'une certaine malice.
Cependant, ce sourire s'évanouit rapidement, remplacé par une expression plus sérieuse et calculatrice.
-« J'use de vos techniques contre vous... »
Dit-elle d'une voix presque murmurée, son regard ne quittant pas celui d'Arizona.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
Mon personnage
❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
De retour auprès de Kazane, Arizona observe l’étudiante, bien que la colère semble avoir disparu, la japonaise semble toujours un peu tendue. C'est compréhensible pour une adolescente de se retrouver chez l’assistante sociale de son établissement scolaire, ça doit être impressionnant. D'ailleurs pendant quelque seconde Arizona se demande si elle a le droit de faire ça et si elle ne risque pas encore un avertissement pour avoir amené une lycéenne chez elle. De tout façon il valait mieux ça plutôt que de continuer à se donner en spectacle dans la rue. Toujours est-il que la grande brune est maintenant prête à écouter la Syrienne sur ce qu’il s’est passé avec Alya et même si Ari est consciente que ce qui se passe est en partie de sa faute, elle compte bien donner une explication claire. (ndlr : il faut un cap clair!) Néanmoins, avant qu’elle n’ai eu le temps de dire quoi que ce soit, la lycéenne enchaîne directement sur Junko. Arizona prise, au dépourvu se met à rougir en cachant son visage dans ses yeux, elle est à la fois gênée par la situation mais en même temps extrêmement fière que Kazane suive ses enseignements. Cette petite ira loin c’est sûr.
Malgré tout, l’assistante sociale retrouve un peu de prestance et s'éclaircit la gorge afin de masquer tout malaise. “oui…bon Junko…c’est pas le sujet hein! Y’a rien à dire sur lui, les choses sont comme elles sont c'est tout…” Arizona soupire doucement, qu’est ce qu’elle pourrait dire de plus alors qu’elle-même ne sait plus trop où ils en sont tous les deux.
Toujours est-il que le sujet principal c’était la situation d’Alya, alors miss Williams boit quelque gorgée de limonade avant de reprendre un air un peu plus sérieux, il est hors de question de se défiler. Arizona compte bien lui dire la vérité, après ça Kazane pourra la juger en conséquence. “Déjà sache que j’assume complètement ma part de responsabilité concernant ce qui se passe. Si Alya a interprété les choses d’une certaine façon, c’est que je me suis sûrement très mal exprimée.” Ari pensait chacun de ses mots, il est hors de question de remettre la faute sur une adolescente et si ces mots on peut laisser sous-entendre certaines choses c’est qu'à ce moment-là elle n’a pas été assez claire. Malheureusement elle a encore pris la situation à la légère et elle a manqué de fermeté.
“Alya est venue me trouver pour avoir des conseils concernant un garçon avec qui elle voulait sortir. J’ai trouvé ça mignon au début jusqu’à ce qu’elle m’explique que ce garçon lui servirait d'entraînement pour sa “véritable” première relation.”
la jeune femme réalise à ce moment précis son erreur, gênée, elle bidouille ses doigts entre eux. “c’est vrai, j’ai trouvé ça amusant au début mais je l’ai quand même averti qu’elle ne pouvait pas se servir de lui, ou du moins lui cacher la vérité et que si elle lui disait directement la vérité peut-être qu’il accepterait. pour lui rendre service et peut-être qu’ils finiraient par éprouvés de vrais sentiments l’un pour l’autre.” Arizona sourit en repensant à la tête incrédule d’Alya. “Mais tu connais ta meilleure amie…Je pense qu’à ce moment-là, elle m’a vraiment prise pour la dernière des idiotes. alors je lui ai conseillé d’être douce avec lui et de ne surtout pas lui faire de chantage sans qu’il n'ait quelque chose à gagner lui . bien sûr je ne parlais d’un échange malsain mais j’imaginais que cet entraînement pouvait leur servir à tous les deux, ne serait-ce que pour s'entraîner à passer du temps avec une personne, ou avoir un rendez-vous.”
Plus elle refait le fil de la discussion avec l'étudiante, plus elle se rend compte de sa bêtise, à chaque fois c’est la même chose. Une fois que la locomotive est lancée, tant pis si elle fonce droit dans le mur, l’important c’est de foncer. La Syrienne soupire un peu, elle pose son verre puis doucement elle met sa main sur ses jambes avant de se courber solennellement face à Kazane. “ Je n’avais aucunement l’intention de causer du tort à Alya, et je n’avais pas saisi l’importance de cette discussion, je m’excuse.”
Arizona s’excuse car elle prend conscience de son erreur mais ne connait toujours pas les conséquence de cette discussion, alors elle se redresse doucement et penche la tête en regardant Kazane.”Tu veux bien me dire ce qu’il s’est passé avec Alya?”
- Appartement d'Arizona:
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Merci Gaga et Chandidi
- Kazane MitsuguElève ; en 3ème année■ Age : 26■ Messages : 700■ Inscrit le : 12/06/2023■ Mes clubs :
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❖ Âge : 17 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-3
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Je t'aime, moi non plus ! Avec Arizona Williams
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Kazane continuait de fixer Arizona dans les yeux, ne laissant aucun détail échapper à son attention.
Quand l'orientale s'exclama sur Junko, la japonaise ricanna doucement, un sourire amusé se dessinant sur ses lèvres.
-« Ce n'est certes pas le sujet... Pour l'instant, Williams-san...»
Réplique-t-elle, insistant sur le « san » avec un sourire mesquin sur ses lèvres fines.
Ses yeux, d'un brun profond, restaient qaunt à eux, plantés dans ceux de l'assistante sociale, scrutant chaque réaction, chaque infime mouvement. Elle note la rougeur qui monte sur les joues d'Arizona, le léger tremblement de ses mains. La gêne de l'assistante sociale est palpable, et Mitsugu, malgré la tension de la situation, ne peut s'empêcher de trouver cela légèrement attendrissant.
Mais lorsqu'Arizona commence à parler d'Alya, le sourire de l'adolescente s'efface progressivement. Son regard se durcit, ses yeux s'aiguisent, devenant deux lames prêtes à se planter au moindre mot de trop.
Elle écoutait attentivement, ne manquant aucun détail des explications fournies par l'assistante sociale. Ses sentiments sont un mélange équilibré de colère et de déception. Elle sent les braises de la colère renaître dans son cœur, mais elle les contient, déterminée à comprendre la situation du point de vue de cette adulescente avant de réagir.
Au fil de ce récit, le coeur de Kazane ressent un mélange de tristesse et de frustration qui finissent par noyée les flammes de la rage.
Elle se rappelle des moments passés avec Alya, des secrets partagés, des rires échangés. Le fait qu'Arizona ait trouvé la situation « amusante » la pique, mais elle se concentre sur le contenu des explications. Ses pensées tourbillonnent, cherchant à faire sens de ce qu'elle entend.
Ses mains se crispent légèrement sur ses genoux, ses ongles s'enfonçant dans le nylon noir qui recouvre sa chair pour canaliser la frustration montante. Pourtant, la deoiselle continue de fixer Arizona, attentive à chaque mot.
Quand Arizona parle de sa tentative de conseiller sa meilleure amie sur la manière de gérer la situation, Kazane se sent tiraillée. Une partie d'elle veut comprendre, veut croire qu'il y avait de bonnes intentions derrière les conseils maladroits d'Arizona. Mais une autre partie, celle qui protège farouchement ses amis, peine à accepter que cela ait pu causer tant de confusion et de douleur à Alya.
L'interlocutrice termine en s'excusant solennellement La sincérité de son geste n'échappe pas à la jeune Japonaise. Elle reste silencieuse quelques instants, absorbant les mots et les excuses de cette gaijin, d'habitude si fières.
Enfin, Mitsugu soupire doucement, détournant brièvement le regard pour observer le salon d'Arizona. Elle prend une profonde inspiration afin de gonfler sa poitrine de courage avant de se tourner à nouveau vers l'assistante sociale, ses yeux retrouvant leur intensité habituelle.
-« Alya m'a parlé de cette conversation... Elle pensait que vous la compreniez, que vous soutenez son plan. A ses yeux, les personnes ayant un grade supérieur à elle ont toujours raisons et doivent être écoutées comme parole d'évangile... »
Elle marque une pause, cherchant les mots justes. Puis, ses sourcils se froncent et ses dents se serrent, une brides de conversation avec la britannique lui revient.
-« Oh, et vous aviez dit que je suis toujours à côté de la plaque... Mais au vu des conséquences et votre situation actuelle, je dirais que vous avez fait une projection de votre incompétence sur ma personne... A cause de vous, elle a menacée Mathéo Takahashi de révéler à tout le campus qu'il était homosexuel si il refusait ses avances.»
Mots tranchants, pouvant provoquer un saignement dans le coeur de l'interlocuteur. L'intention de Kazane n'est pas de nuire, loin de là... Mais la grande japonaise ne sait tenir sa langue et crache sa franchise comme un cobra jetant son venin dans les yeux d'un potentiel agresseur.
-« Alya n'est pas aussi insensible qu'elle le laisse paraître. Elle a juste du mal à montrer ses vraies émotions. Votre conseil de jouer la comédie avec Takahashi-san... ça l'a perturbée. Elle ne sait pas comment être honnête avec ses sentiments, et elle a pris vos paroles comme une approbation à une tentative de chantage... »
Kazane fixait de nouveau Arizona, ses yeux brillants d'une lueur déterminée.
-« Ce n'est pas uniquement de votre faute, je le sais. Alya doit gérer ses propres sentiments et à être honnête. Mais vous, en tant qu'adulte, vous devriez être plus consciente de l'impact de vos mots. »
Mitsugu soupirait à nouveau, relâchant la tension accumulée depuis qu'elle avait franchi le pas de la porte.
-« Bon, je vais en parler à Alya... Mais vous aussi, vous aussi, vous devriez faire un effort. Soyez plus attentive à ce que vous dites, et à la manière dont vous le faites. »
Kazane se lèva doucement, regardant toujours Williams dans les yeux.
-« Merci pour vos excuses. Je les transmettrai aussi à Alya. Mais souvienez-vous, les mots ont un poids, surtout pour des adolescentes comme nous. »
En deux grandes enjambées, la japonaise était devant l'assistante sociale et se mit accroupie pour que son visage fasse face au sien et ellui lança :
-« Un jour, cela se retournera contre vous... Et je ne veux pas que vous viviez un deuxième Tokyo... »
Tremblante, l'adolescente pose sa main délicate sur l'épaule de la syrienne, se voulant maladroitement rassurante.
-« Vous vallez tellement mieux... Vous méritez mieux que ça...»
KoalaVolantQuand l'orientale s'exclama sur Junko, la japonaise ricanna doucement, un sourire amusé se dessinant sur ses lèvres.
-« Ce n'est certes pas le sujet... Pour l'instant, Williams-san...»
Réplique-t-elle, insistant sur le « san » avec un sourire mesquin sur ses lèvres fines.
Ses yeux, d'un brun profond, restaient qaunt à eux, plantés dans ceux de l'assistante sociale, scrutant chaque réaction, chaque infime mouvement. Elle note la rougeur qui monte sur les joues d'Arizona, le léger tremblement de ses mains. La gêne de l'assistante sociale est palpable, et Mitsugu, malgré la tension de la situation, ne peut s'empêcher de trouver cela légèrement attendrissant.
Mais lorsqu'Arizona commence à parler d'Alya, le sourire de l'adolescente s'efface progressivement. Son regard se durcit, ses yeux s'aiguisent, devenant deux lames prêtes à se planter au moindre mot de trop.
Elle écoutait attentivement, ne manquant aucun détail des explications fournies par l'assistante sociale. Ses sentiments sont un mélange équilibré de colère et de déception. Elle sent les braises de la colère renaître dans son cœur, mais elle les contient, déterminée à comprendre la situation du point de vue de cette adulescente avant de réagir.
Au fil de ce récit, le coeur de Kazane ressent un mélange de tristesse et de frustration qui finissent par noyée les flammes de la rage.
Elle se rappelle des moments passés avec Alya, des secrets partagés, des rires échangés. Le fait qu'Arizona ait trouvé la situation « amusante » la pique, mais elle se concentre sur le contenu des explications. Ses pensées tourbillonnent, cherchant à faire sens de ce qu'elle entend.
Ses mains se crispent légèrement sur ses genoux, ses ongles s'enfonçant dans le nylon noir qui recouvre sa chair pour canaliser la frustration montante. Pourtant, la deoiselle continue de fixer Arizona, attentive à chaque mot.
Quand Arizona parle de sa tentative de conseiller sa meilleure amie sur la manière de gérer la situation, Kazane se sent tiraillée. Une partie d'elle veut comprendre, veut croire qu'il y avait de bonnes intentions derrière les conseils maladroits d'Arizona. Mais une autre partie, celle qui protège farouchement ses amis, peine à accepter que cela ait pu causer tant de confusion et de douleur à Alya.
L'interlocutrice termine en s'excusant solennellement La sincérité de son geste n'échappe pas à la jeune Japonaise. Elle reste silencieuse quelques instants, absorbant les mots et les excuses de cette gaijin, d'habitude si fières.
Enfin, Mitsugu soupire doucement, détournant brièvement le regard pour observer le salon d'Arizona. Elle prend une profonde inspiration afin de gonfler sa poitrine de courage avant de se tourner à nouveau vers l'assistante sociale, ses yeux retrouvant leur intensité habituelle.
-« Alya m'a parlé de cette conversation... Elle pensait que vous la compreniez, que vous soutenez son plan. A ses yeux, les personnes ayant un grade supérieur à elle ont toujours raisons et doivent être écoutées comme parole d'évangile... »
Elle marque une pause, cherchant les mots justes. Puis, ses sourcils se froncent et ses dents se serrent, une brides de conversation avec la britannique lui revient.
-« Oh, et vous aviez dit que je suis toujours à côté de la plaque... Mais au vu des conséquences et votre situation actuelle, je dirais que vous avez fait une projection de votre incompétence sur ma personne... A cause de vous, elle a menacée Mathéo Takahashi de révéler à tout le campus qu'il était homosexuel si il refusait ses avances.»
Mots tranchants, pouvant provoquer un saignement dans le coeur de l'interlocuteur. L'intention de Kazane n'est pas de nuire, loin de là... Mais la grande japonaise ne sait tenir sa langue et crache sa franchise comme un cobra jetant son venin dans les yeux d'un potentiel agresseur.
-« Alya n'est pas aussi insensible qu'elle le laisse paraître. Elle a juste du mal à montrer ses vraies émotions. Votre conseil de jouer la comédie avec Takahashi-san... ça l'a perturbée. Elle ne sait pas comment être honnête avec ses sentiments, et elle a pris vos paroles comme une approbation à une tentative de chantage... »
Kazane fixait de nouveau Arizona, ses yeux brillants d'une lueur déterminée.
-« Ce n'est pas uniquement de votre faute, je le sais. Alya doit gérer ses propres sentiments et à être honnête. Mais vous, en tant qu'adulte, vous devriez être plus consciente de l'impact de vos mots. »
Mitsugu soupirait à nouveau, relâchant la tension accumulée depuis qu'elle avait franchi le pas de la porte.
-« Bon, je vais en parler à Alya... Mais vous aussi, vous aussi, vous devriez faire un effort. Soyez plus attentive à ce que vous dites, et à la manière dont vous le faites. »
Kazane se lèva doucement, regardant toujours Williams dans les yeux.
-« Merci pour vos excuses. Je les transmettrai aussi à Alya. Mais souvienez-vous, les mots ont un poids, surtout pour des adolescentes comme nous. »
En deux grandes enjambées, la japonaise était devant l'assistante sociale et se mit accroupie pour que son visage fasse face au sien et ellui lança :
-« Un jour, cela se retournera contre vous... Et je ne veux pas que vous viviez un deuxième Tokyo... »
Tremblante, l'adolescente pose sa main délicate sur l'épaule de la syrienne, se voulant maladroitement rassurante.
-« Vous vallez tellement mieux... Vous méritez mieux que ça...»
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
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❖ Âge : 24 ans
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Les excuses qu’elle formule ne lui coûtent pas vraiment et elles sont sincères. Malgré les apparences, Arizona sait reconnaître ses torts et se remet constamment en question surtout lorsque ça fait du mal aux autres. Kazane qui accepte les excuses de l’assistante sociale ne peut cependant pas s’empêcher de cracher encore un peu de venin. Elle a toujours eu du mal à comprendre ce genre de façon de fonctionner, appuyer là où ça fait mal, se servir de la faiblesse des autres contre eux et leur rappeler à quel point ils sont misérables. Après tout, si ça peut lui faire du bien. Arizona sourit doucement, elle ne lui en tient pas rigueur mais cette jeune fille aussi prometteuse soit elle devait apprendre à mettre les formes. Être franche et honnête c’est bien, être méchante sous couvert d’honnêteté ça l’était moins.
« Je pense que tu as interprété ce que j’ai voulu dire. Mais c’est sûrement de ma faute. Quand j’ai dit que tu étais à côté de la plaque c’était concernant la volonté d’Alya de se trouver un copain et j’ai juste eu l’impression que tu la surprotéger, à raison évidemment. »Elle prend une petite pause avant de reprendre. « Par contre je vois que tu ne peux t’empêcher d’être blessante malgré mes excuses. Il faut peut-être que je me flagelle pour que tu sois satisfaite. »dit-elle en haussant les épaules. « Je pense que Alya avait déjà son idée toutes faite en tête, elle avait juste besoin qu’on la valide juste un tout petit peu pour foncer. Effectivement j’aurais dû calmer ses ardeurs, je suis totalement responsable de ce fiasco… »
Elle n’a pas envie de repartir dans un débat stérile et surtout elle n’est pas certaine que Kazane soit encore prête à entendre tout ça. Elle qui a l’air si sûr de sa façon de faire. Et puis la Syrienne commence à avoir mal à la tête. Mais alors qu’elle ferme les yeux et commence à se masser les tempes, Kazane se relève pour s’accroupir devant l’assistante sociale qui ouvre les yeux et trouve le visage de la lycéenne à quelque centimètre du sien. Son visage reste stoïque lorsque la japonaise lui dit qu’elle risque de vivre un deuxième Tokyo. Elle sent son corps devenir chaud et ses cœur battre de plus en plus vite. De la colère…un sentiment d’injustice…c’est donc ça quand une personne te donne un conseil sur une chose qu’elle ne maîtrise pas…
Arizona se relève doucement sans dire un mot. Elle ouvre la porte fenêtre qui mène à la terrasse et laisse entrer une petite brise. Elle s’adosse à la vitre avant d’allumer une cigarette. « c’est marrant que tu penses que ce qu’il s’est passé entre nous c’est forcément de ma faute…tu me vois vraiment comme la méchante de toutes les histoires hein… »dit-elle doucement en recrachant la fumée par la bouche. Il n’y avait aucune agressivité dans sa voix. « Après tout ça me parait évidemment de penser que l’assistante sociale incompétente soit fautive dans toutes les mésaventure qui lui arrive. »
Dans le fond elle préférait plutôt que l’inverse et tant que l’image de Junko est sauve c’est le principal. Junko a toujours été d’un soutien inconditionnel mais maintenant que c’est terminé elle a l’impression de ne plus avoir personne. Il était sa source de lumière et maintenant on la voit sûrement telle qu’elle est réellement: manipulatrice et méchante. « Mais tu as raison, Junko est un homme bien…prends soin de lui. »
- Tenue:
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