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- Le DoyenPersonnel ; directeur (pnj)■ Age : 17■ Messages : 7830■ Inscrit le : 20/11/2007
Mon personnage
❖ Âge : 69
❖ Chambre/Zone n° : Chez lui
❖ Arrivé(e) en : Depuis toujours
La situation a beau être banale, le quotidien n’en reste pas moins attrayant. Que vous attendiez la fin du cycle de la machine à laver, que vous mangiez le même dessert à la cantine toutes les semaines, que vous patientiez la tête contre la vitre d’un bus, ces fragments de vie sont les rouages d’une trame bien huilée. A vous de sélectionner un de ces instants du quotidien et d’y déceler la beauté dans l’ordinaire.
Vous devrez rédiger votre texte en 3 paragraphes.
La 1ère phrase de chaque paragraphe devra faire parti d'un haïku qui, une fois assemblé, résume l'intégralité de votre texte.
▬ Cette épreuve est un solo.
▬ Vous avez 24 heures pour poster votre réponse.
▬ L'épreuve se termine le dimanche 16 octobre à 23h59.
▬ Les réponses sont limitées à 1500 mots maximum.
- Kristopher MoreauInvité
- Présentation personnage:
- Kristopher Moreau, soldat de la Garnison actif, est anciennement victime d'une attaque d'esclavagiste qui avait alors décider de faire un raid sur son ancien village. Les événements traumatiques qu'il avait ensuite vécus à leurs mains en ont fait un homme cynique, presque misanthrope et bien froid. Seul Rashieka Barthels put s'approcher du Loup.
Des yeux qui ont vu ma peine.
Dehors, la pluie battait son plein. Le ciel était gris. Les nuages, ondulant comme des rideaux dans le vent, laissait parfois passer une brève clarté dans l’horizon. Assis sur une table, Kristopher avait une feuille de papier devant lui. Des mots qu’il venait d’écrire. Il y en avait tout un carnet dans sa chambre. Mais ce carnet n’était pas le sien.
Son regard se glissa vers une fenêtre donnant sur le dehors. Sa silhouette découpant dans le paysage grisâtre, Rashieka se laissait bercer par le vent. Sa longue chevelure rouge ondulait. Ses yeux vert émeraude scintillaient. L’herbe autour d’elle était balayée par le vent. Comme si elle était une déesse.
Des blessures, mémoires du passés.
Des bruits de pas dans l’herbe. Rashieka ne séparait pas son regard du paysage. Elle sentit le bras de l’homme autour de son épaule.
Dans les bras de la rousse, un bébé, qui avait les yeux du père et le nez et les joues de sa mère, observait aussi l’horizon, enveloppé dans une couverture.
Sur la table, le crayon était posé sur le papier.
Ensemble, nous guérirons.
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