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- Le DoyenPersonnel ; directeur (pnj)■ Age : 17■ Messages : 7830■ Inscrit le : 20/11/2007
Mon personnage
❖ Âge : 69
❖ Chambre/Zone n° : Chez lui
❖ Arrivé(e) en : Depuis toujours
Toute histoire a deux facettes. La vôtre et celle de l’autre parti. Bien que la conclusion soit similaire, vos versions du pourquoi divergent. Un seul et même écueil, des actions aux retombées exponentielles, des opinions qui divergent… Le fait est que vous avez fauté et avez écopé de 2 heures de colle.
Un événement, deux versions. Deux individus, deux histoires. Ce que l'on voit n'est jamais qu'un pourcentage infime de la vérité dans son ensemble. Et pour vous, à quoi sont dues ces deux heures de colle ?
À travers un seul post d’un maximum de 1 500 mots chacun, vous devrez, dans cette épreuve, montrer une perception d’un événement. Votre binôme en fera de même en montrant une perception différente du même événement. Comment votre personnage vit-il cet événement ? Comment réagit-il ? Que fait-il ? Pourquoi est-il là ? Que pense-t-il ? Dévoilez-nous l'iceberg dans son intégralité.
▬ Cette épreuve est un duo Alter Ego.
▬ Vous avez deux jours pour poster chacun 1 réponse.
▬ L'épreuve se termine donc le dimanche 16 octobre à 23h59.
▬ Les réponses sont limitées à 1500 mots maximum.
- Pentalemon A. De KaramaInvité
- Présentation de Lacrimosa:
- Suite à une énième guerre nucléaire, l’humanité survit dans une unique ville (Pandémonium), sur une Terre dévastée et irradiée, qui flotte dans l’espace, protégée par un énorme bouclier appelé Gaïa. La grande majorité des gens vivent dans la pauvreté, très peu d’élus ont accès à l’eau courante ou à l’électricité.
Il existe plusieurs types de créatures qui arpentent les rues animées de la ville: les humains, les plus nombreux.
Les manticores, des descendants d’hybrides humains x animaux.
Les caduties, des sortes de mages qui possèdent chacun un pouvoir unique (mais s’en servir entraine toujours un contre-coup) et ils souffrent tous de maladies génétiques à cause d’une trop grande consanguinité.
Les vampires qui sont donc nos buveurs de sang locaux.
Les démons qui viennent continuer à tourmenter l’humanité pour récolter des âmes.
Les anges qui sont là pour assurer les missions qui leurs sont confiées par le Très Haut (Créatorem, c’est son nom chez nous) et s’assurer que les démons ne se gavent pas trop.
Depuis la création du forum on a eu plusieurs gros events, dont une nouvelle Apocalypse qui a projeté la planète dans un nouveau système solaire, et on retrouve un système de saison et de météo qui sème un peu la zizanie (parce que ça n’existait plus ça 8’) ) et plus récemment on a eu le Déluge 2.0 aussi. Les terres autour de Pandémonium ne sont plus irradiées donc on commence à avoir de l’exploration.
- Présentation de Pentalemon:
- Penny est le Prince démoniaque de l’Envie. Cinquième fils de Lucifer, commandant sa horde de plusieurs milliers de démon, il a développé très tôt une fascination pour l’humanité et son évolution. Il a la collectionnite aigüe de ceux qui aiment posséder, entassant ses trésors dans le dernier musée de la planète, Son musée.
C’est un personnage haut en couleur, charismatique mais pourtant facile d’accès. Il est possessif avec ceux qui l’entourent (il considère qu’ils sont sa possession, au même titre que les objets du musée), astucieux et manipulateur.
Bref, tout ce qu’on attend d’un démon, surtout d’un qui ne manque jamais d’idée pour s’amuser et qui évite l’ennui avec l’assiduité d’un génie.
Il est décrit dans les traités de démonologie comme le « Prince aux mille et une paires d’yeux et aux mille et un tentacules ».
Pour résumer, comme le dit si bien Illy : « Penny est un conglomérat de tentacules démoniaques et d'envies - les siennes ou celles d'autrui. »
Ah… Le Japon. La beauté de ses cerisiers en fleur, le goût délicat de ses sashimis de fugu, la fraicheur innocente de ses lycéennes en uniforme… Ce sentiment qui m’étreignait, les mortels l’auraient sans doute traduit par « un peu de Paradis sur Terre ».
Comme si le Paradis leur tendait les bras, merveilleux de splendeur ! Elles déchanteraient bien vite, toutes ces âmes déjà perverties par les désirs les plus sombres enfouis dans les tréfonds de leur cœur. Je ne pouvais que me régaler d’avance du chaos que j’allais laisser dans mon sillage.
Un démon de mon rang n’avait évidemment pas besoin d’un travail pour vivre, encore moins d’un travail honnête, cela allait de soi. Mais j’étais des curieux qui aimaient se glisser au plus près de leurs proies, me prenant au jeu d’une humanité que je ne possédais pas mais que je pouvais feindre à la perfection, pour mieux ferrer celles et ceux finalement satisfaits de s’offrir à moi.
Fascinantes créatures à la cupidité sans égale !
Ainsi avais-je fini par postuler sur un campus au slogan accrocheur, créé sans aucun doute pour faire rêver ces très chères petites têtes blondes, penseurs et faiseurs de demain : « L'université de Kobe, faire naître le meilleur en chacun de nous ! »
Vraiment ?
Il était grand temps de mettre en lumière ce qui n’était que rêve et vaine chimère, un odieux conte pour enfant : la seule chose que l’on finissait toujours par exprimer, c’était ce qu’il y avait de plus vil en chacun de nous…
Une flamboyante chevelure rousse attira mon regard et détourna mon attention de mes sombres desseins, l’espace d’un cours instant. L’uniforme du campus ne laissait aucun doute sur son identité, le peloton d’étudiantes au rire bête quelques pas derrière lui non plus : un étudiant.
Oh que son cœur était lourd de noirceur ! Et surtout, les Envies y était multiples, une partie fermement muselée… Un vrai délice en devenir, le fumet prometteur de ses désirs ne pouvant me laisser froid.
Cigarette aux lèvres, une odeur de tabac froid imprégnait jusqu’à chaque cellule de son épiderme, le vice et l’amour du jeu lui collant à la peau comme ses vêtements impeccablement taillés. La fierté dans son port de tête, le dédain de son attitude… Rien qu’une image, une illusion pour cacher ses failles et ses faiblesses.
O belle âme fragile, je serai ta cruelle déchéance !
~°~
L’altercation était inévitable.
Il ne m’avait pas fallu un instant d’hésitation avant d’interpeller l’étudiant étranger à propos de cette même cigarette fumant entre ses lèvres, le réprimandant sévèrement pour mieux lui rappeler les règles élémentaires de notre chère école : les clopes, dans la zone à clope, point barre !
Ce n’était qu’un prétexte, un moyen de mettre le feu aux poudres, une nouvelle manière de m’amuser. Oh comme je jubilais à l’intérieur ! Je pouvais voir la moutarde lui monter progressivement au nez alors que le pauvre bâtonnet de nicotine avait fini arraché d’entre ses lèvres pour mieux mourir écrasé sous la semelle de ma chaussure.
Le début des hostilités fut verbal et je pris un malin plaisir à cette joute, restant toujours politiquement correct, jouant sur les mots et leur sens sans me laisser diminuer ou démonter par son verbe qu’il avait fleuri. Comme attendu, je ne le laissai pas dupe, le garnement était loin d’être idiot, ajoutant à ma jubilation intérieure trop rapidement pour sa propre sécurité.
Mais trop impulsif, manquant de patience, il signa son arrêt de mort – aka, deux bonnes heures de colle en ma charmante et unique compagnie – lorsqu’il décida que trop c’était trop : de verbale, sa violence devint physique.
Dommage pour lui, je n’étais pas simplement le nouveau prof à la gueule d’ange que le lycée avait accueilli récemment. J’avais fait la guerre bien avant sa naissance et l’art du combat n’avait aucun secret pour la créature ancienne que j’étais.
Oh bien sûr, pour l’amour du jeu, je ne me contentai pas de le mettre K.O. en une frappe bien placé ou en une clé de bras, non, je fis durer l’échange quelques instants, lui laissant même croire à un moment qu’il pouvait avoir le dessus, mes longs cheveux mauves auréolant cette danse martiale comme la traine d’une étoile filante.
Derrière nous, les groupies s’étaient enfuies, sans aucun doute parties chercher de l’aide, une présence neutre pour « me venir en aide ». Si elles savaient, les pauvres petites !
Une minute plus tard, j’avais effectué une superbe feinte pour mieux mettre notre vigoureux étudiant au tapis, l’immobilisant au sol sans autre forme de procès.
« Bien bien bien, Monsieur Lawrence. Je vois que vous avez de l’énergie à revendre, qui serait d’ailleurs bien plus utile pleinement consacrée à votre éducation ! Ne croyez pas que ce petit écart restera sans conséquence. Vous aurez droit à une retenue, la semaine prochaine. Et je veillerai moi-même à ce que vous y soyez… Assidu. »
J’avais chuchoté le dernier mot non loin de son oreille, une longue mèche de cheveux mauve venant caresser sa joue. Assidu, un mot prononcé comme une caresse, emprunt d’un mystère qui ne collait pas avec son sens premier.
Comment pouvait-il deviner que ses Envies étaient déjà miennes et que cette semaine allait s’avérer plus pénible que toutes celles qu’il avait vécu jusqu’alors ? Mon pouvoir ravagerait son cœur juvénile avec la cruauté indélicate de celui qui aimait posséder pour mieux vous laisser exsangue…
~°~
Le soleil continuait sa course inlassablement, baignant la salle d’un camaïeu de rouge absolument sublime. Pourtant, nul regard pour observer ce spectacle éblouissant. Comme deux lutteurs nous, nous observions, mon collé et moi.
L’altercation avait eu lieu la semaine précédente et j’avais eu tout le loisir de croiser son chemin de nombreuses fois. Il y avait dans son regard cette étincelle indomptable des âmes meurtries et l’Envie de le faire mien n’avait pas tardé à s’imposer comme une nouvelle lubie.
Quand bien même il avait tenté plus d’une fois d’échapper à mon emprise, il ne faisait que s’y empêtrer un peu plus à chaque détour de couloir, à chaque altercation, à chaque mot venimeux qui m’était adressé…
L’Envie chevillé au corps, dérangeante et sournoise, suçait la moelle succulente de ses plus sombres désirs…
Ces heures de colles autrefois prétextées étaient devenues légitimes face à sa verve et aux coups qui avait rapidement succédé à son manque de patience… Et dans ce pays, on ne rigolait ni avec l’autorité, ni avec le refus d’obtempérer… Déjà si jeune…
Le sourire qui étirait la commissure de mes lèvres restait discret mais mon regard ne pouvait dissimuler mon amusement face à cette situation.
Car derrière la porte close de la salle de classe, dans ce bâtiment désert où nous étions seuls au monde, qui pouvait prétendre connaître à l’avance le déroulé des prochains évènements ? Elijah, lui, était loin – ô oui bien loin ! – d’être au bout de ses peines.
Et de ses surprises.
- Elijah G. LawrenceInvité
Si le Japon n’était pas ton pays de choix, c’est là que la vie t’avait trainé de force. Une offre d’emploi plus avantageuse pour ton père. Ce n’est pas ce que tu souhaitais, en toute honnêteté. Toi qui avais déjà une mauvaise réputation de l’autre côté du globe. Un enfant à problème qu’on essaie en vain d’encadrer proprement. Puis plus fermement. Une main de fer dans un gant de velours, c’est l’approche que les adultes ont toujours avec toi.
Toi qui étais une cible si facile pour la population nippone, après tout, tu avais tout pour sortir du lot malgré ton bon vouloir.
Après tout, es-tu réellement oppressé? Tu es roux.
Que tu le veuilles ou non, tu sors du lot. Tu es grand, ta chevelure flamboyante attire facilement les regards curieux, comme ce regard azuré d’une froideur troublante.
Tu as tout pour déranger.
Ta prononciation du dialecte nippon porte souvent à confusion, d’autant plus que ton accent Britannique n’aide en rien à la bonne compréhension.
Rajoutes à cela que tu es un jeune homme avec une patience quasi inexistante. Un dossier bien gras et négatif. Tu marches sur une ligne que trop maigre.
Et pourtant? Tu avais survécu au lycée dans une contrée qui n’était pas la tienne. Mieux encore, tu as été admis dans cette université, parce que tes résultats sont plus que satisfaisants.
Parce que, malgré tes poings qui te démangent sur une base trop régulière, tes résultats scolaires demeurent irréprochables.
Comme quoi même la plus grande des brute peut savoir usée de sa tête lorsque nécessaire.
Oh pas que tu cherchais absolument à agresser quiconque. Mais tu n’as plus 15 ans Elijah, tu n’as plus peur de te salir les mains.
Enfin, pas que tu as déjà eu peur de te salir les mains.
Elles sont entachées de sang depuis trop longtemps déjà.
Mais ce jour-là, ce n’était pas spécialement ce que tu avais en tête.
Ce jour-là, tu voulais seulement retourner chez toi après un cours trop long de 4 heures.
Ce jour-là, tu voulais seulement retrouver ton petit ami, décrocher, te verser un verre trop rempli de whiskey et simplement te la couler douce.
Ce jour-là, tu voulais seulement savourer une énième cigarette avant de prendre le métro pour retrouver le confort de ton appartement trop petit pour le Britannique que tu étais.
Cette nicotine qui se mêlait si parfaitement à ton odeur corporel si propre à ta personne, un étrange mélange entre le café et l’alcool. Le whiskey plus exactement. Un parfum que tu consommais un peu trop jalousement depuis quelques années.
Mais la vie avait d’autres plans pour toi, alors qu’un énergumène avait jugé pertinent de t’accrocher.
À en juger sa tenue trop propre, tu devenais un employé du campus.
À en juger ce minois totalement inconnu à ton registre mental, c’était sans doute un petit nouveau qui cherchait à plaire à la direction en te prenant de haut.
Il se croyait au lycée?
Tu n’avais plus 15 ans et pourtant, tu étais traité tel un jouvenceau qui avait fauté.
Sans surprise, ta première réaction se voulait négative.
Tu n’étais pas en faute, enfin, pas totalement.
Car si tu ne fumais pas ta douce et précieuse nicotine à l’endroit approprié, tu étais d’abord et avant tout sur ton départ. Ton veston déboutonné, ton sac balancé par-dessus ton épaule et ton téléphone portable en main démontrait bel et bien que, ta journée sur le campus était terminée.
Tu étais sur ton départ, prêt à retrouver l’être qui te faisait battre ton cœur de pierre.
Mais cet homme avait d’autres plans.
« Seriously? »
Oh c’était plus fort que toi.
Toi qui était maintenant un adulte, fraîchement sortie du jardin d’enfance qu’est le lycée, tu te permettais plus ouvertement de répondre à cette fausse autorité que se donnaient encore les adultes. ‘Je suis plus vieux, je suis supérieur!’ Et puis quoi encore?
Cette mentalité te fumait tellement fort.
Et ce remplaçant?
Car un professeur d’expérience ne serait pas assez con pour tomber aussi bas avec toi.
Il te faisait soupirer, alors que pourtant, un sourire narquois caressait tes lèvres.
Enfin, un sourire qui ne fut que trop bref, alors que ce sombre idiot jugeait adéquat de jouer trop près de ton visage. Il avait l’audace de t’arracher ta clope, ce qui ne manquait pas de provoquer un mouvement de recul chez ta personne.
Sitôt tes mirettes se montraient plus froides, alors que ton visage se crispait sous un certain énervement.
S’il y a bien une chose que tu ne pouvais pas endurer dans ce pays, c’est la fausse supériorité que les gens aimaient tant se donner ici. Et bien sûr, tu n’allais pas garder les bras croiser, alors que tu te faisais bêtement, et injustement, sermonné.
Si tu l’entendais, tu ne l’écoutais que trop peu. Est-ce son dialecte, son accent ou bien sa sale tronche qui t’agaçait le plus?
Tu le fixais sur la moindre de ses coutures, tu l’analysais, le jugeais de haut même. Ce n’était pas bien difficile du haut de ton mètre quatre-vingt cinq.
Tu sors facilement du lot Elijah, être roux n’est qu’un bonus pour toi.
« C’est bon, t’as terminé? »
Une erreur parmi tant d’autres.
Tu commettais beaucoup d’erreurs plus ou moins sans le réaliser en ce moment.
Mais ta plus grande était dû à ton manque de patience.
Parce que le chien, oui ton respect pour cette chose n' était que trop bas en ce moment, il te poussait à bout.
Il aboyait, encore et encore. Mais au bout d’un moment, tu craquais. Un simple coup d’épaule pour marquer ton départ. Un coup d’épaule pour imposer ton mouvement. Mais bien sûr, il jugeait nécessaire de t’attraper par le bras. Te retenir de force.
Une poigne qui te poussait à le regarder lentement de la tête au torse. Une poigne qui t’arrachait un rictus, alors ton impulsivité avait le meilleur de ta personne.
Ton poing s’était envolé de lui-même, venant se fracasser contre la joue de celui qui te poussait tant à bout.
Un coup suffirait pour vous éloigner, n’est-ce pas?
Ah si seulement la vie était plus simple.
Mais non, tu te retrouvais à te battre, dans tout les sens possibles du terme, avec ce sombre idiot.
Parce que oui, il trouvait à répliquer. Et pour rajouter injure à l’insulte, il avait, étonnement, le dessus sur toi. Physiquement, c’était rare.
Toi qui avait fracassé plus d’un nez avant de te retrouver ici.
Finalement, tu te retrouvais plaqué au sol, le souffle étouffé, coupé même, alors que tu le fusillais du regard.
Avais-tu seulement perdu une bagarre contre un professeur?
Tout ça pour une clope qu’il jugeait mal placée?
Si seulement.
Cette menace ne glissait pas dans l’oreille d’un sourd.
Il voulait que tu sois assidu?
Pourquoi ressentais-tu un écœurement des plus totales? Était-ce seulement légal un tel abus de pouvoir?
Si tu voyais tes études s’envoler avec ton orgueil, les conséquences t’étonnaient encore plus.
Car non, tu n’avais pas été renvoyé, voir même expulsé.
Non.
Une seule et unique colle t’attendait avec cet énergumène, une seule et unique colle où tu devais passer non pas une mais bien deux heures avec ce gaspillage d’oxygène.
Tu soupirais.
Éternel impatient impulsif que tu es Elijah.
Mais malgré ton égo un peu dérangé en ce moment, tu étais néanmoins assidu, comme demandé, exigé?
Malgré ton esprit compétitif qui aimait confronter tout et rien, tu avais fait acte de présence.
Oh tu n’étais pas dupe pour autant, tu devinais bien les desseins plus sombres de cet énergumène, pourquoi voudrait-il être sûr d’être seul, loin des regards indiscrets?
Tu roulais des yeux, non sans longuement battre tes cils fournis aux teintes de braises.
Deux heures, tu devais l’endurer pendant deux heures.
Peut-être que si tu le fixais assez longtemps, tu arriverais à dissocier pour mieux oublier que tu devais moisir avec un adulte en manque d’attention?
Qui sait.
“Ne m’attends pas pour le repas, je serai en retard”
Un message dédié à ton partenaire, pas que tu voulais être en retard. Mais tu ne voulais pas donner la satisfaction à ce déchet de professeur de te donner pire comme conséquences.
Merci d'avoir été mon partenaire pour l'interforum!
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