[FB]Why accept failure when success is free ? (Partie III)

Why accept failure when success is free ? (Partie III)

avec Elizabeth Jones

20 juillet, après 12h, fin d'examen de philosophie

Les jours qui avaient précédés avaient été plutôt compliqués moralement parlant. L’état de santé de son grand-père s’était dégradé et sa grand-mère l’avait appelé pour l’en informer. Neil avait tenté tant bien que mal de la rassurer, lui demandant explicitement ce qu’avait dit le médecin de famille et la suite des évènements. Son cousin, par contre, avait été beaucoup plus impulsif. Les deux avaient finis par se disputer, incapable de se comprendre l’un l’autre, et le petit dernier avait pris la décision de rentrer chez les grands-parents. Venir à Kobe lui pesait, rentrer lui semblait tout indiqué. Le 15 juillet, après avoir une ultime fois essayé de le convaincre de rester résultant sur une dispute, il partit définitivement. Neil était resté maussade et d’une humeur changeante, restant dans sa chambre pour réviser, et ce jusqu’à l’examen théorique de physique deux jours plus tard. Celui-ci se passa sans encombre et il partit manger avec Kakeru ensuite, pour se détendre et se changer les idées. La compagnie de son meilleur ami était des plus qualifiées dans le domaine.

Aujourd’hui 20 juillet, après une matinée plutôt tranquille de son côté passée à réviser dans sa chambre, Neil attend dans le hall de l'université qu'Elizabeth sorte de son examen. Plus tôt dans la semaine, il lui avait proposé d'aller manger ensemble pour qu'elle souffle après son épreuve de quatre heures, ce qu’elle avait accepté malgré les quelques différents qu'ils avaient eu récemment. Il pianote sur son téléphone, les sourcils froncés, et le range quand elle arrive à son niveau, Elizabeth l’ayant rejoint d’un pas rapide en sortant de l’examen de philosophie :

Neil : Salut ! Alors, ça a été ?
Elizabeth : Salut ! Je ne sais pas trop.  J'avoue que je ne m'attendais pas à certaines questions et que je n'avais pas trop la tête à ça.
Neil : Oh, fais pas la modeste, j'suis sûr que ça a dû aller !

Elle force un sourire, nerveuse. Il lui sourit en retour, se voulant rassurant, mais le sourire nerveux d'Elizabeth le fait douter lui-même. Qu'est-ce qui aurait pu la déstabiliser ? Elle avait bien révisé pourtant.

Elizabeth : Et toi ? Tu ne m'as pas beaucoup parlé pour ton examen de physique de l'autre jour.
Neil : L'exam de physique c'est bien passé, alors il n’y avait rien de spécial à en redire. Je suis allé manger avec Kakeru après et ça m'est sorti de la tête, pas de quoi s’inquiéter. On y va ?
Elizabeth : Hm ok. Allons-y !

Il lui fait un petit signe de tête vers la sortie de l'université. La brune fit mine d'observer ses chevilles avant de grimaçant en relevant la tête vers son ami, l'air de dire "c'est une catastrophe ; elles sont trop grosses". Neil sourit en la voyant regarder ses chevilles et lève les yeux au ciel, se mettant en route sans tarder.

Neil : Pas besoin d'aiguille pour cette fois, si tu veux mon avis.

Elle s'attendait clairement à ce qu'il cherche à en savoir plus mais visiblement, il a du mal à s'occuper des autres ces derniers temps.... Mais elle ne dit rien et le suit à l'extérieur de l'université.

Elizabeth : Tu veux aller dans un endroit en particulier ? J'ai envie d'un bon repas ! Et je ne parle pas de poulet ...

Neil : Je sais pas trop, j'irai bien dans un steakhouse, mais on va éviter... Dis-moi plutôt où t'as envie de manger, c'est toi qui sors d'examen après tout.

Neil hausse les épaules sans plus de réaction et lui répond sans trop d'émotions. Elle l'observe du coin de l'œil, se pinçant les lèvres face à ce qui semble presque être un manque total de motivation. Lui a-t-il proposé d'aller manger par pure politesse plutôt que par envie de passer du temps avec elle ?

Elizabeth : En effet ... Dit-elle sur un ton qui sous-entend "ouais tu sais que je ne suis pas fan de viande jour mais fait semblant que ça ne dérange pas, il y a pire dans la vie". Je me laisserai bien tentée par un plat français ou italien. Ça te dit ? Je suppose qu'il y aura bien un menu avec un bon steak pour toi !
Neil : Français alors, c'est parti. J'ai justement une adresse en tête.
Elizabeth : Parfait ! Je te suis.

Neil a déjà gouté à la cuisine de la fille Harada et l'avait apprécié, alors la cuisine de sa mère devait être d'autant plus raffinée comme elle le disait elle-même. Il lui avait promis de penser un jour à venir y manger, alors même si ça faisait de long mois, il était temps de tenir sa promesse. Et puis, peut-être qu'ils y croiseraient d'autres têtes connues, même si ce n'était pas le but. Neil sort son téléphone et appelle un taxi, heureusement l'un d'eux était près du campus et ne tarda pas à arriver. En attendant, il échange un regard avec Elizabeth pour relancer la discussion :

Neil : C'est hors de question que je monte dans un métro. La quantité de microbes au centimètre carré est à vomir...

La jeune femme ne fut pas surprise de voir son ami appeler un taxi ; elle sait parfaitement qu'il fait très attention à l'hygiène, que ce soit de son environnement ou de la sienne, et même celle des autres.

Elizabeth : Je ne peux pas te contredire là-dessus. Le côté positif, c'est qu'on pourra profiter d'un bon repas plus rapidement !

Neil acquiesça en souriant, satisfait. Le taxi ne tarde pas à arriver, Neil ouvre la porte à son amie par habitude et monte ensuite en indiquant l’adresse au chauffeur. Elizabeth profite du trajet pour observer la ville... Ou peut-être qu'elle fait attention au trajet. Qui sait, si le restaurant lui plaît, peut-être qu'elle y retournera !

Elizabeth :  C'est un restaurant où tu as déjà été ? Ou on t'en a parlé ?
Neil : Je n'y suis jamais allée, mais Harada-san est une bonne cuisinière et c'est le restaurant de sa famille. C'est la meilleure amie de Yorke, je ne sais pas si tu la connais. Enfin bref, j'ai déjà eu l'occasion de goûter à sa cuisine et je lui avais promis de passer là-bas un jour.

Elizabeth écoute attentivement les explications de Neil, fermant un instant les yeux quand il lui parle de promesse.

Elizabeth :  Connaître non mais je vois qui c'est. Elle a de longs cheveux noirs et sort avec un garçon roux, non ?

Neil acquiesce à la mention de sa description physique mais s'étonne d'entendre qu'elle a un petit ami. Comme quoi Harada n'est pas si niaise et timide quand elle veut. Les pensées du blond dérivent un instant vers les petits plats, puis il s'adresse à Elizabeth de nouveau, réagissant seulement alors au fait que ça la dérangerait peut-être qu'il pense à honorer sa promesse, plutôt que de chercher un endroit qui lui conviendrait d'abord. Même si ça entrait dans le critère "cuisine française".

Neil : Hum, ça te va toujours du coup ?

Un moment de silence dont elle profite. Pas qu'elle ne veut pas parler mais cet examen l'a tout de même fatigué. Mais lorsque Neil lui demande si ça va toujours, elle se tourne vers lui, surprise. Il allait répondre à son "pourquoi" mais elle reprend avant qu'il n'ait terminé d'aligner ses pensées. Peut-être pour le mieux.

Elizabeth :  Pourquoi ça n'irait plus ? Une pause avant de reprendre. Si c'est parce que c'est la meilleure amie de Yorke, je ne me base pas sur les relations des autres. Si c'est pour autre chose, bah je n'ai pas de soucis. Et puis, si c'est une promesse, autant la tenir en faisant d'une pierre deux coups !  

Neil : Non c'est juste... Je ne sais pas, j'préférais demander.

C'est juste qu'il ne voulait pas qu'elle pense que c'était la une manière détournée de croiser Tessa ou ce genre de chose, mais lui-même en y pensant se disait que c'était totalement débile et qu'il n'avait aucune envie particulière de la croiser d'ailleurs. Tout ça était idiot. Elle lui sourit doucement.

Elizabeth : C'est ton amie ?
Neil : Harada ? Ce n'est pas mon amie non, mais ça ne lui enlève pas quelques qualités dans son lot de défauts.

Neil ne le disait pas méchamment, Meyuki n'était simplement pas le genre de fille qu'il pouvait supporter. Il avait lui-même très peu d'ami(e)s de son point de vue, mais n'avait pas le même niveau d'exigences que d'autres à ce niveau. Elizabeth se contente d'hocher la tête, quelque peu hésitante. Elle sait que Neil n'est pas le plus expressif des hommes qu'elle connait, y compris avec elle... Mais elle sait encore voir quand il cache quelque chose derrière son silence ou ses brèves réponses, sans pour autant toujours comprendre de quoi il s'agit. Il faut dire qu'elle est loin d'être sa confidente ; tout en ayant une certaine proximité avec le jeune homme, Elizabeth ne s'était pourtant jamais sentie plus unique qu'une autre, plus importante d'une quelconque façon que ce soit. Alors elle ne demande rien.

Elizabeth : Je vois.


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Why accept failure when success is free ? (Partie III)

avec Elizabeth Jones

Une fois arrivés à destination, Neil ouvre la porte a Elizabeth et passe l'entrée à sa suite. Les deux jeunes sont rapidement accueillis à l'entrée du restaurant et emmenés à une table bien éloignée du centre du restaurant... Comme Lizzy les aime. Elle n'aime pas se sentir trop entourée lorsqu'elle se pose quelque part, préférant être près d'au moins un mur. Ne lui demandez pas pourquoi. Neil apprécie la tranquillité donnée par l’emplacement de la table et s’installe en face d’elle.

Elizabeth : C'est beau ici ! dit-elle tout en observant le menu, à commencer par les boissons. - Je me laisserai bien tentée par un thé glacé pour boire !

Neil suit la serveuse du regard en s'installant et la voit discuter avec Meyuki au loin. Il ne cracherait pas sur un changement de serveuse, histoire de pouvoir compter sur la franchise de Meyuki et ses goûts culinaires. Il blond plonge alors son regard dans le menu, acquiesçant le commentaire de Lizzy d'un simple "oui, pas mal" avant de poursuivre sa lecture. Un détail qui a toute son importance : d'ordinaire, lorsqu'elle va au restaurant, Elizabeth aime prendre un petit apéritif, une boisson alcoolisée, même légèrement. Mais comme c'est Neil en face d'elle, elle s'abstient. Il lève le nez du menu quand elle choisit sa boisson, un sourcil levé et lui dit sur un ton moqueur :

Neil : T'as retrouvé un semblant de conscience, pour prendre un ice tea Elizabeth ? Je vais prendre ça aussi, je pense.

A la remarque de son ami, Elizabeth leva les yeux du menu, le regard presque noir. Ce n'est pas qu'elle s'attendait à un merci de sa part mais tout de même, son ton ne lui plait pas plus que ça.

Elizabeth : Profite-en, ça pourrait vite changer !

Ou comment dire ; fais-moi la remarque encore une fois et je prends leur alcool le plus fort.

Neil : Oh ça va, je rigole, relax.

Neil lève les yeux au ciel en rigolant et repenche la tête sur le menu, le parcourant en se tenant le menton, pas décidé du tout. Relax. Relax. Ce n'est pas qu'elle ne veut pas mais elle commence vraiment à perdre patience avec ses changements d'humeurs et ses remarques. Cela dit, elle prend de nouveau sur elle, car elle doit bien avouer qu'il l'a prise en compte en venant dans ce restaurant plutôt qu'un autre débordant de viande ! Finalement, Neil repose son menu sur la table et croise les bras poliment, attendant qu'une personne vienne s'occuper d'eux. Il lève le regard sur le menu d’Elizabeth et lui demande :

Neil : Tu as choisis ton repas ?
Elizabeth : Ouais, j'ai choisi !

Sur ces mots, les deux étudiants appelèrent une serveuse. Il reconnaît Meyuki quand elle approche et sourit de la voir si gênée.

Neil : Bonjour Meyuki, vous avez un joli restaurant ta famille et toi. Elizabeth, honneur aux dames.

Neil la laisse passer commande la première, galanterie oblige, et ne quitte pas Meyuki des yeux essayant de deviner ce qui la gêne exactement. Sa présence, ou de la voir avec une autre personne que son amie ? Elizabeth lui offre un sourire à la fois poli et amical, avant de passer commande comme le veut la galanterie.

Elizabeth : Bonsoir Harada-san. Hm, pour moi ce sera une salade de chèvre chaud comme entrée et des noix de St. Jacques pour le plat, s'il vous plaît.

Elle verra plus tard pour le dessert. Neil commande a sa suite et fait un signe de tête à la demoiselle pour la remercier. Entre temps, une fois que Neil a pris commande, Elizabeth se tourne vers ce dernier. Tout de même, elle est un peu inquiète.

Elizabeth : Ça va toi ? Je te trouve distrait ces derniers temps ?
Neil : Ça va oui, pourquoi ?

Neil se tourne et hausse un sourcil circonspect aux questions d'Elizabeth alors que la serveuse s'en va. Pourquoi ? Elizabeth pousse un soupire, secoue le liquide à l'intérieur de son verre, comme légèrement absente.

Elizabeth : Comme je te l'ai dit, je te trouve distrait, moins attentif que d'ordinaire. Ça va une minute puis celle d'après, c'est comme si l'univers t'avait causé du tort... Elle lève enfin les yeux vers lui, le fixe. Quelque chose ne va pas ?

Plissant les yeux et fronçant les sourcils, il avale sa bouchée, plante sa fourchette avec vigueur et répond du tac-o-tac, un peu plus irrité et sans patience :

Neil : Comment ça, pas attentif ? J'suis la non ? Et puisque je te dis que je vais bien !

Face à cette soudaine irritation qui - en l'état actuel des choses - n'avait rien de surprenant pour la brune, cette dernière pointa Neil du doigt... Comme pour dire "ah voilà !".

Elizabeth : C'est exactement de ça dont je parle, Neil. Un mot de travers, tu t'énerve d'un coup. On s'inquiète pour toi, tu t'énerves. On a mangé un cookie à place d'un biscuit, tu t'énerves.

Et s'il n'y avait que ça...

Neil : Être énervé et ne pas être attentif, ça n'a rien a voir. Et puis je ne m'enerve pas tant que ça. C'est dans mon caractère, comme dans le tien Elizabeth

Il prend un petit air suffisant, avant de couper sa viande. Elizabeth fronce les sourcils, son cœur commençant à de resserrer dans sa poitrine.

Elizabeth : Non, tu n'es pas comme d'habitude avec moi. Et de manière globale. Elle prend une bouchée, rapide, avant de reprendre la parole. Tu étais où quand j'étais mal au juste ?

Il l'aurait vu directement en temps normal et ne l'aurait pas ignorée. Elle croit ? Neil continue de ruminer en coupant sa viande, en mange un bout puis un deuxième, et essaie de coller les morceaux. Qu'est-ce qu'il a bien pu manquer ?

Neil : Je vois pas ce qui change de d'habitude entre nous. On a eu une bonne note a l'exposé d'histoire, je ne t'évite pas à ce que je sache, et en revenant sur le devoir, ça s'est même bien passé tout le long à trois...

Il réfléchit, puis met enfin le doigt sur un élément qui "coince".

Neil : J'ai raté la première séance, mais t'as été en retard toi aussi une fois, j'pense pas que le souci vienne de-... Oh. Ton retard. Je ne t’en veux pas hein, si jamais. Ce n’était même pas 5-10 minutes. C'est ça, dont je ne t’ai pas reparlé ?

À la réponse du blond, l'américaine appuie son regard, comme pour lui dire "ce n'est pas ça, réfléchis encore un peu...". Mais la suite n'a rien de concluant et ça, ça étonne Lizzy autant que ça l'agace... Mais surtout, ça lui fait du mal. Elle serre les dents, tous ses sentiments clairement visibles sur son visage.

Elizabeth : Je m'en fiche de ça, Neil. Depuis quand tu es autant à l'ouest ?!

Elle inspire profondément, tente tant bien que mal de ne pas s'emballer davantage. Non pas pour Neil mais par principe : ils sont dans un restaurant après tout. En entendant ces derniers mots, Neil monte sur ses grands chevaux. Il fronce les sourcils et râle :


Neil : A l'ouest ? Mais qu'est-ce que tu racontes ?
Elizabeth : Tu dis que tout va bien mais je ne t'ai jamais vu aussi lunatique et...  

... Inconscient vis-à-vis de son état... Mais elle ne prononce pas ses mots, se contente de mordre sa lèvre... Elle n'avait pas besoin de ça en plus dernièrement. Il s’énerve en la voyant s'arrêter à mi-chemin de sa phrase, fronçant un peu plus les sourcils et montant le ton pour qu'elle parle, s’offusquant vu qu'il ne comprend pas ce qu'elle lui reproche :

Neil : Lunatique, vous avez tous ce mot là à la bouche alors que c'est pas du tout le cas ! Je suis peut-être un peu tendu par les examens, mais rien d'autre. Qu'est-ce que t'as à la fin ? Attends, ce ne serait pas ta mauvaise période du mois par hasard ?

Il attrape son verre pour en boire une gorgée. À l'ouest, c'est bien ce qu'elle dit. À aucun moment il ne semble comprendre que le problème vient de lui, qu'il s'enfonce de plus en plus.... Jusqu'à toucher le fond, balayant le peu de patience qu'il restait à Elizabeth.

Le geste fût rapide. Deux secondes, peut-être. Le verre de l'une vide. Le visage de l'autre trempé.

Elizabeth : Parce qu'en plus d'être à l'ouest, tu es devenu con ?!

Elle marque une pause, le fixe, sévère, avant de rassembler ses affaires. Elle dépose de l'argent sur la table et s'en va, sans un mot, sans un regard.

Neil, lui, est immobile et ne prononce pas un mot. Son regard affiche un mélange de surprise et de colère. La douche froide. Ses yeux se sont fermés tout seul au contact du liquide sur son visage. Il repose lentement son verre, attrape la serviette pour s’essuyer le visage, avant d’éponger au mieux sa chemise.

Meyuki revient à ce moment là, voyant Elizabeth quitter le restaurant. Elle s’inquiète de la situation et propose son aide, mais Neil la refuse aussitôt. Il les excuse pour la gêne occasionnée, payant leurs boissons, le repas et le dédommagement avant de quitter le restaurant sans plus de cérémonie pour rentrer chez lui et non sur le campus. Le remord d’avoir lancé la pique de trop se mêle à l’incompréhension de tout ce qui a précédé.

Qu’est-ce qu’il a pu rater de si important pour qu’ils en arrivent là ? Une question qu’il lui faudra éluder, mais encore faut-il qu’Elizabeth veuille bien lui reparler.

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