"Quoi, ça te gêne d’être regardé de haut ?"

La suite te surprend, t’embarrasse, te gêne et te fait rougir. Et que fait une Maya qui est gênée ? Elle attaque.

"Ah bah c’est bien ça les mecs. Une paire de bas, une robe - parce que c’est n’est pas une jupe - et ça y est, vous vous excitez."

Et s’il fait mine de jeter un regard vers le bas de ton corps, il va se prendre un coup de pied dans les dents. Ce pervers. Ce misérable.

"Donc je note de t’appeler "hé"."

Magnifique manière de botter en touche.

"Arrête avec ça."

Alors, arrête de rougir à chaque fois qu’il dit ça ? Moi je dis ça, je ne dis rien.

"Mais je comprends qu’une fille comme moi te fasse perdre tous tes moyens."

Heum... oui bon creuse ta tombe en effet.

"Oh, et je dois faire quoi pour avoir ton nom ? Te briser l’autre pied ? Te faire comprendre que c’est toi qui es en position d’infériorité ? Mais ça n’est pas comme si ton nom m’intéresse."

Tu hausses les épaules, un air satisfait sur ton visage.

Il souriait de satisfaction, il avait fais mouche, elle rougissait et me posa cette fameuse question Oh oui, les hommes si terrible à matter sous les jupes de filles ! Il mimait quelqu'un d'effrayer et rigola Comme si que j'avais un quelconque intérêt pour tes dessous, cependant, je sais que si une brise fais soulever ta jupe et que malencontreusement je vois en dessous, tu vas me faire une autre crise inutile il la fixa assez agacé par la reproche, malgré que c'était ce qu'il voulait.
Appel moi comme tu veux, je m'en contrefiche Tant qu'elle n'insultait pas son nom de famille, elle resterait en vie.
Arrêtez quoi ? De te dire que t'es mignonne ? Il rigolait un peu, comme si que c'était un compliment digne d'un don juan, levant les yeux au ciels il se tourna vers elle, pour la répondre cette fois-ci sérieusement
C'est très simple, que tu t'assois toi aussi à coter de cet arbre, au lieu de me regarder de haut, t'a pas besoin de ça pour être arrogante je pense non ?

"Ca n’est pas drôle."

Ça, c’est du ton accusateur.

"Tu c’est que c’est un crime, hum ? Tu veux que je gagne du temps et que j’appelle la police maintenant ?"

Tu pourrais réellement le faire. Quant à savoir pourquoi sa remarque suivante te vexe un peu, mystère et boule de gomme. Tu es une femme bizarre et relativement instable après tout.

"Et bien arrête de regarder dans ma direction."

Tu as toujours une solution aux problèmes qui se présentent à toi. Ce ne sont pas toujours de bonnes solutions, toutefois.

"Pas de soucis, Abruti."

Tu insistes légèrement sur le "A" pour lui faire comprendre sa nouvelle dénomination.

"Je suppose que je peux t’autorisé à m’appeler Princesse en compensation."

Comme ça ce misérable chevalier pourra enfin servir à quelque chose.

"Je te pensais assez malin pour comprendre ta position."

Tu te rapproches de lui, te penches un peu - histoire qu’il se fasse mal au cou en te regardant dans les yeux - et si tu as hésité à lui donner une baffe pour le principe, finalement ta main ralentit entre temps pour finir a coté de son visage, contre le tronc.

"Je suis arrogante si je veux, Abruti."

Tu es assez consciente que tu es arrogante, désagréable et horrible avec les mecs.

"Et tu pus la transpiration, je ne vais pas m’assoir à côté de toi."

Tu as simplement besoin d’une excuse.

Il se leva alors, et s'approcha, la fixant, d'une tête de plus qu'elle Appel donc la police, la seule personne qui a commis une violence c'est toi en me marchant le pied, enfin..le seul qui a des séquelles du moins il lui souria l'air sadique Je suis sûr que j'ai sois une foulure ou un énorme hématome.

Malheureusement, je n'appelerais une femme "Princesse" que si elle est tellement importante pour moi que je peux donner ma vie pour elle... Oh, c'était ce que tu voulais ? Tu veux qu'on soit aussi proche ? il resouria, s'approchant et chuchotta alors doucement Tu peux être arrogante si tu en es digne, cependant... au vu que tu sais que je sens la transpiration.. il prit ses distance mîmant la surprise M'aurais-tu senti ?! alors que j'étais aussi loin de toi ?! Oh lala et ça traite les hommes de pervers, on dirait que la demoiselle n'est pas mieux Il souriait d'un air joueur.

"Il suffit que je dise que c’était en défense pour ton agression."

Quand tu veux, tu peux être assez manipulatrice et logique. Même si ça n’est pas vraiment dans tes principes, si tu peux utiliser les avantages d’être une femme dans ce genre de cas...

"Oui, bien sûr, je te crois."

Bien sûr que non.

"Un chevalier des temps modernes n’est-il pas censé donner sa vie pour n’importe quelle dame ? Je pense bien que si."

Tu hausses les épaules.

"Si tu veux qu’on soit plus proche je suis désolé, mais tu n’as pas ce qu’il faut."

Il n’est pas assez mûr, c’est sur. Le doyen est un homme, un vrai.

"Parce que ça ce sent de loin, abruti."

Il t’énerve, il t’énerve !

"C’est beau, tu te fais des espoirs. Tu as raison, je devrai arrêter de te prêter attention, ça n’en vaut vraiment pas la peine."

Il souria alors d'un air amusé Agression ? Tu as une quelconque marque sur toi qui pourrais prouver tes dires ?Je ne pense pas. Alors que moi, je souffre tellement... je pourrais boiter à la moindre occasion
Comme si qu'elle lui avais fais mal, ce n'est rien comparer à un coup de shinaï.
Je crois qu'il y a un quiproquo, je ne suis pas un chevalier, je suis un guerrier. Que tu sois dame ou homme je te verrai comme une menace si tu m'attaques. Et pour la "princesse" c'est un choix judicieux je l'entend, mais cela fais seulement que quelques minutes que nous nous sommes rencontrés, je ne pense pas que je devrais faire de conclusion hâtive avec toi, je me trompe ?
Comme si que tu en avais quelque chose à faire d'elle Moi ? plus proche d'elle... Rah je voulais juste m'expliquer avec elle j'espère que ça ne tourne pas en quiproquo il se gratta légérement la tête et la fixa pendant plusieurs seconde Ne te fais pas de fausse idées s'il te plaît, je ne cherche pas à être plus proche de toi. Je cherche simplement à trouver un terrain d'entente.
Il s'arrêta de parler, la laissant s'expliquer après qu'elle l'est senti Oh, la vieille excuse de l'odeur de loin, malheureusement à part si tu es une vraie chienne je ne pense pas que tu pourrais sentir mon odeur d'aussi loin très chère. Tu as du la sentir quand tu m'as marché sur le pied et que tu t'en rappelles depuis tout ce temps prouve qu'elle t'a marqué il lui souriait d'un air si satisfait qu'on pouvait voir ses dents blanche, d'un sourire presque carnassier. Il approcha son visage proche du sien et souriait toujours
Oh oui, j'avais tant d'espoir à l'idée que tu sentes ma puanteur, mademoiselle la perverse ahah il lui rigola au visage et pris ses distances Si tu me laisses tranquille je peux recommencer à faire mon entraînement du coup ?

"Ne tente pas de jouer à ça, je peux trouver une solution pour tout."  

Tu peux être très inventive, et tu peux pourrir admirablement bien la vie des gens. Quand tu veux, tu es une horrible personne.

"Dommage, un chevalier c’est plus classe qu’un guerrier. Après tout les guerriers ne sont que des abrutis sans cervelles."  

Ça, c’est dit.

"Une princesse c’est un statut. Ça n’est pas parce que tu ne m’appelles pas princesse que je n’en suis pas une."  

Ça, ça s’appelle être hautaine. Mais tu l’es un peu de manière générale, pas vrai ? Et puis franchement, qui t’appelle princesse ? Exactement : personne. Mais tu aimerais bien qu’on t’appelle ainsi. Surtout l’élu(e) de ta vie, pas vrai ?

"Humf, j’espère bien."  

Être plus proche que ça avec un mec... l’horreur. Tu ne peux pas vraiment imaginer ça pour l’instant.

"Bah oui, une odeur de merde, ça marque."  

Tu te demandes si à l’inverse, il a retenu l’odeur de ton léger parfum. Encore une fois, tu es plus coquette que tu le montres.

"Rapproche-toi encore une fois comme ça et c’est une baffe que tu auras."  

Et tu tiens tes promesses.

"Je ne sais pas si j’ai envie de te donner cette autorisation."  

Tu as envie de l’embêter un peu plus. Tu ne sais pas pourquoi. Et bien sur tu fais une tête bien supérieure.

"J’ai quoi en retour ?"  

Rien, bien évidemment.

Oh mais je ne joue pas, si tu cherches tant que ça a appelé la police, je peux moi aussi trouver certaines solutions
Et puis toute façon, comme si qu'allait en garde à vue allez me déranger pensait-il en haussant un sourcil presque amusé
Je ne cherche pas la classe ou la reconnaissance, je suis ce que je suis et je l'assume, contrairement à toi visiblement Il s'approcha et murmure proche de son oreille Petite

Il rigola et pris ses distances Si j'avai eu une vraie odeur de merde tu aurais été offusqué à l'idée de m'approcher mais tu as l'air plutôt enervé. . . Alors deux choix à ce moment là, sois tu as l'habitude de vivre avec de la merde, sois tu es une belle menteuse Je penche plus pour la deuxième option, une aussi belle demoiselle ne peux pas sentir la merde autant dans sa vie un petit rictus en coin puis changea rapidement d'émotion à la surprise, enfin une imitation surjoué de la surprise

Oh je crois que je me suis approché encore une fois... aurais-je mérité cette fameuse baffe ? Cela me ferais une preuve en plus pour la police donc, mets-y autant de force que tu peux vas y Il tendit sa joue droite vers elle avec un sourire carnassier Et j'ai l'habitude de la douleur avec le kendo de toute façon ahah
Ah et avant que tu frappes, ce que tu aurais en échange serais que je te laisse tranquille, que tu lises ton livre tranquillement sous cette arbre, ce n'est pas si mal non ?
Il attendait sa réaction, ses choix allait décider de la suite des événements.

Tu ne réponds pas à cette histoire de police. Ça ne sert à rien. Tu sais gérer ce genre de chose, donc bon, c’est ce qui compte le plus.

"J’assume très bien ce que je suis."

Ça, c’est sur. Un tempérament aussi trempé que toi et une volonté de vouloir être différente fait que tu aimes bien qui tu es.

Quant à son dernier point sur ta taille... Tu as un deuxième pied, lui aussi, et ils décident de se rencontrer. Ça lui apprendra à se rapprocher autant pour t’insulter. Même s’il t’a fait... frissonner ? De dégout, bien évidemment.

"Continue de m’insulter et je vais faire plus que te piétiner."

Il n’a pas besoin de ses noisettes, après tout.

"Oh, masochiste, donc."

S’il est si enclin à vouloir se faire frapper, tu suis ses directives. Et pourtant, tu n’y vas pas à fond. Suffisamment pour qu’il ait mal, mais pas toute ta force non plus.

"Oups, j’ai oublié de signer le reste du contrat. Quel dommage."

Horreur, malheur, dharma !

"Mais je présume que je peux te laisser reprendre ton entrainement, hum ?"

Tu n’as pas envie d’admettre que tu es un peu curieuse de voir comment il s’entraine.

Alors oui globalement tu assumes qui tu es, sauf pour ta petite taille. Mais ça tu n’y peux rien, c’est génétique, ça n’est pas comme si la soupe ou le lait sont des solutions miracles (oui, tu as tenté). On s’est suffisamment moqué de ta petite taille pour que tu prennes chaque remarque par rapport à ta grandeur comme négative. Raison pour laquelle tu as décidé qu’il ne mérite pas d’avoir un deuxième pied.

"Plutôt mourir que de danser avec toi."

Ça, ça vient du fond du cœur. Ironiquement, il a raison sur le fait que tu es assez tactile avec tes amis - mais pas de manière violente.

"Et t’n’as encore rien vu !"

La baffe prouve qu’on peut être jolie, mignonne, petite, en robe en dentelle, et dangereuse. Bon, les seuls adjectifs qui s’appliquent à toi dans cette phrase sont : .

"C’est pour ça que je porte des gants. Je vais devoir le désinfecter. Je te ferai parvenir la note."

Alors non, jamais tu ne dépendras d’un mec pour ça. Mais ça t’énerve d’avoir sali ton gant pour apprendre à un abruti sa position. Et il continue d’insister en te chuchotant à l’oreille !

"Alors tu vas..."

Tu n’as pas le temps de finir ta phrase que tu couines de douleur. Peut être que la surprise amplifie la douleur, mais il faut dire qu’il n’y ait pas allé de pied (de main) mort(e). Par contre, ça te fait voir rouge. VRAIMENT rouge.

"Enfoiré."

Tu lui foncededans afin de le renverser, l’écrasant de tout ton (relativement léger) poids.

"Mais t’es complètement malade !"

Dis celle qui a commencé tout ceci...