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- InvitéInvité
On fuit le passé mais il nous rattrape
FEAT. Milan
Hanw il a eu peuuur ! Comme n’importe quelle personne normale vous me direz. Je hausse les épaules en réponse à Milan. De ce que je vois, son frère n’a pas plus que ça l’envie de se poser pour l’instant. Il préfère lui courir après et remettre notre famille sur le devant de la scène. Ça demande pas mal de temps et d’énergie ! Sans compter que les autres l’attendent au tournant, après tout, il reste un jeunot aux dents longues lui aussi.
Avance rapide jusque dans l’ascenseur et une rencontre dont je me serais bien passée. Yukinaga ne digère toujours pas son râteau à tel point qu’il en devient parano. S’il pense que s’en prendre à Milan va lui faire marquer des points, j’veux bien lui mettre le doigt dans les deux yeux. Même si... Là tout de suite c’est plutôt à Milan que j’ai envie de faire ça ! C’est quoi cette répartie à deux balles ?! Il s’écrase comme un soumit je rêve ! Sidérée, je le regarde en faisant les gros yeux et secoue la tête. Y’a vraiment tout à refaire avec cet énergumène. Et Yukinaga qui s’en donne à cœur joie, c’est quoi ce sourire mesquin.
« En effet avec un répondant aussi pointu, j’ai été bête de me faire des idées. Aucune chance. Et-»
Ding. Les portes s'ouvrent, c'est notre étage.
« Bien, voilà tu es rassuré, maintenant pousse-toi qu’on sorte, bonne soirée. Allez viens toi. »
Puisqu’il lui faut au moins deux secondes pour réaliser que oui, je viens de l’envoyer paître, je suis obligée de lui mettre un léger coup dans l’épaule pour qu’il se décale. C’est que l’ascenseur n’a pas tout notre temps en fait ! D’habitude je reste un minimum respectueuse mais vu comme il vient de se comporter, je range les gants. Quand Milan se tient près de moi et que j’arrive devant ma porte, je lui jette un regard tout en cherchant mes clés dans ma sacoche.
« Toi, il va vraiment falloir que j’te donne des phrases toutes faites pour avoir l’air moins simplet et impressionnable. C’était quoi çaaa ? »
Je tends le bras vers l’ascenseur et laisse mon bras retombée. J’suis comme une mère déçue par son fils qui s’est pris une raclée là. J’ouvre la porte et le laisse entrer en premier puis referme.
« Fais comme chez toi. »
Après avoir retiré mes chaussures et ma veste, je vais prendre deux verres dans la cuisine, pour sa boisson et je sors une canette de coca et des glaçons du frigo. J’apporte tout ça sur la table basse devant le canapé et m’assois.
« C’est pas super grand mais largement assez pour une personne !... Ou deux, c’est un canapé-lit tu sais... »
Je fais un sourire taquin, m’attendant déjà à son refus mais je ne peux pas m’en empêcher. J’allume la télé pour qu’il y ait un fond sonore et met une chaîne au hasard.
Avance rapide jusque dans l’ascenseur et une rencontre dont je me serais bien passée. Yukinaga ne digère toujours pas son râteau à tel point qu’il en devient parano. S’il pense que s’en prendre à Milan va lui faire marquer des points, j’veux bien lui mettre le doigt dans les deux yeux. Même si... Là tout de suite c’est plutôt à Milan que j’ai envie de faire ça ! C’est quoi cette répartie à deux balles ?! Il s’écrase comme un soumit je rêve ! Sidérée, je le regarde en faisant les gros yeux et secoue la tête. Y’a vraiment tout à refaire avec cet énergumène. Et Yukinaga qui s’en donne à cœur joie, c’est quoi ce sourire mesquin.
« En effet avec un répondant aussi pointu, j’ai été bête de me faire des idées. Aucune chance. Et-»
Ding. Les portes s'ouvrent, c'est notre étage.
« Bien, voilà tu es rassuré, maintenant pousse-toi qu’on sorte, bonne soirée. Allez viens toi. »
Puisqu’il lui faut au moins deux secondes pour réaliser que oui, je viens de l’envoyer paître, je suis obligée de lui mettre un léger coup dans l’épaule pour qu’il se décale. C’est que l’ascenseur n’a pas tout notre temps en fait ! D’habitude je reste un minimum respectueuse mais vu comme il vient de se comporter, je range les gants. Quand Milan se tient près de moi et que j’arrive devant ma porte, je lui jette un regard tout en cherchant mes clés dans ma sacoche.
« Toi, il va vraiment falloir que j’te donne des phrases toutes faites pour avoir l’air moins simplet et impressionnable. C’était quoi çaaa ? »
Je tends le bras vers l’ascenseur et laisse mon bras retombée. J’suis comme une mère déçue par son fils qui s’est pris une raclée là. J’ouvre la porte et le laisse entrer en premier puis referme.
« Fais comme chez toi. »
Après avoir retiré mes chaussures et ma veste, je vais prendre deux verres dans la cuisine, pour sa boisson et je sors une canette de coca et des glaçons du frigo. J’apporte tout ça sur la table basse devant le canapé et m’assois.
« C’est pas super grand mais largement assez pour une personne !... Ou deux, c’est un canapé-lit tu sais... »
Je fais un sourire taquin, m’attendant déjà à son refus mais je ne peux pas m’en empêcher. J’allume la télé pour qu’il y ait un fond sonore et met une chaîne au hasard.
- Appartement:
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Pfiou, on dirait qu'il accepte de s'ôter cette idée absurde de la tête. Bon, il doit me juger un peu, c'est clair, mais ça c'est vraiment le dernier de mes soucis. Il peut bien penser ce qu'il veut de moi, tant qu'il ne s'imagine pas qu'avec Akira... Ok, je comprends d'un coup un peu trop bien ce qu'elle voulait dire quand elle parlait de l'impossibilité totale avec mon frère. Vraiment trop chelou à envisager. Brr. Pense à autre chose là.
Ah, bah il suffit de demander. Le regard et le reproche qui me tombent dessus alors qu'on arrive devant chez elle me sortent bien vite de toutes mes pensées chaotiques.
- "Eh, c'est que j'étais pas préparé à ça aussi !! Comment je pouvais savoir que t'avais déjà réussi à frustrer tes voisins ?!"
Bah non, bien sûr que ce n'est pas de ma faute ! Légèrement bougon de me faire réprimander, j'entre à la suite tout en me déchaussant et jette un rapide coup d’œil à l'appartement.
- "Et puis j'le connais pas ce mec. Imagine je l'ai en prof à la rentrée ! Le malaise ! Alors je préfère qu'il me prenne pour faible que de l'énerver direct. Et toi aussi te devrais faire gaffe à ne pas les laisser s'imaginer n'importe quoi ! Même sans l'avoir en prof c'est probable que je le croise sur le campus ! Tu ne vas pas tenir très longtemps comme surveillante si ce genre de rumeur commence à circuler !"
C'est peut-être la solution ? Mais en fait non, je vois très vite que même si elle se faisait virer, ça ne l'empêcherait pas de rester à Kobe. Parce qu'elle n'est clairement pas venue ici pour exercer sa vocation... Peut-être même que ça accélèrerait ma sentence.
J'essaie de me détendre un peu, oubliant ce passage relou, pour attraper le verre tendu. Je m'installe une fois que Akira s'est assise et un petit sourire apparait à sa remarque. Bien sûr que je n'ai pas l'intention de squatter ici (encore moins maintenant que j'ai croisé l'un de ses voisins !!!).
- "C'est clair que vos apparts sont carrément plus grands que nos chambres ! Et même pas obligés de les partager, c'est trop le luxe ! Mais, j'ai appris à me débrouiller seul tu sais ! Enfin, sauf quand je rate le couvre feu ahah, ça, c'est encore un peu compliqué des fois ! Mais, je ne compte pas dormir ici."
Je laisse un petit rire m'échapper en repensant au nombre de fois où j'ai terminé la nuit dans un macdo ou un manga café en attendant de pouvoir revenir à l'école parce que j'oublie trop vite l'heure...
Ah, bah il suffit de demander. Le regard et le reproche qui me tombent dessus alors qu'on arrive devant chez elle me sortent bien vite de toutes mes pensées chaotiques.
- "Eh, c'est que j'étais pas préparé à ça aussi !! Comment je pouvais savoir que t'avais déjà réussi à frustrer tes voisins ?!"
Bah non, bien sûr que ce n'est pas de ma faute ! Légèrement bougon de me faire réprimander, j'entre à la suite tout en me déchaussant et jette un rapide coup d’œil à l'appartement.
- "Et puis j'le connais pas ce mec. Imagine je l'ai en prof à la rentrée ! Le malaise ! Alors je préfère qu'il me prenne pour faible que de l'énerver direct. Et toi aussi te devrais faire gaffe à ne pas les laisser s'imaginer n'importe quoi ! Même sans l'avoir en prof c'est probable que je le croise sur le campus ! Tu ne vas pas tenir très longtemps comme surveillante si ce genre de rumeur commence à circuler !"
C'est peut-être la solution ? Mais en fait non, je vois très vite que même si elle se faisait virer, ça ne l'empêcherait pas de rester à Kobe. Parce qu'elle n'est clairement pas venue ici pour exercer sa vocation... Peut-être même que ça accélèrerait ma sentence.
J'essaie de me détendre un peu, oubliant ce passage relou, pour attraper le verre tendu. Je m'installe une fois que Akira s'est assise et un petit sourire apparait à sa remarque. Bien sûr que je n'ai pas l'intention de squatter ici (encore moins maintenant que j'ai croisé l'un de ses voisins !!!).
- "C'est clair que vos apparts sont carrément plus grands que nos chambres ! Et même pas obligés de les partager, c'est trop le luxe ! Mais, j'ai appris à me débrouiller seul tu sais ! Enfin, sauf quand je rate le couvre feu ahah, ça, c'est encore un peu compliqué des fois ! Mais, je ne compte pas dormir ici."
Je laisse un petit rire m'échapper en repensant au nombre de fois où j'ai terminé la nuit dans un macdo ou un manga café en attendant de pouvoir revenir à l'école parce que j'oublie trop vite l'heure...
"Tired of being what you want me to be I don't know what you're expecting of me
Put under the pressure of walking in your shoes Every step that I take is another mistake to you"
Linkin Park - Numb
Milan parle en japonais :#cc3333
Milan baragouine comme il peut en anglais avec un très fort accent : #cc6600
Put under the pressure of walking in your shoes Every step that I take is another mistake to you"
Linkin Park - Numb
Milan parle en japonais :#cc3333
Milan baragouine comme il peut en anglais avec un très fort accent : #cc6600
- InvitéInvité
On fuit le passé mais il nous rattrape
FEAT. Milan
« Justement ! Où est la ré-par-tie ?! Et puis il se frustre tout seul ! »
Si monsieur s’est mit en tête qu’il avait une chance ce n’est quand même pas ma faute ! La suite de ses paroles me fait rouler des yeux. Non mais voilà qu’il sait parler maintenant ? Et qu’il ose me réprimander en plus ! Alors que c’est lui qui ne réfléchit pas !
« Mais tu vas t’calmer oui ! J’aurais voulu que tu sois aussi doué pour faire des phrases tout à l’heure ! Et puis réfléchis, s’il était prof sur ton campus tu penses vraiment que je lui aurais parlé comme ça ? Môsieur ego surdimensionné travaille dans un cabinet comptable, et m’a bien déroulé son CV pour m’attirer, alors détresse ! »
Ahlala, ça m’avait manqué qu’on se chamaille quand même. N’empêche, j’en aurais rien eu à faire d’être virée, ce n’est pas comme si j’étais là pour le plaisir de surveiller des gosses et si Milan fait bien ses devoirs. Une fois assise, je verse du coca dans mon verre et attend à peine pour prendre une gorgée. C’est vrai que je ne suis pas mal lotie, en même temps, l’école s’est assurée que le personnel trouve un logement sans problème.
« Bien sûr bien sûr, je proposais c’est tout... Si tu préfères les coins de Mcdo ouverts h24 c’est toi... »
Je souris et pose mon verre sur la table basse. Ici on ne s’arrête jamais de travailler, c’est comme les konbini ouvert 24h/24. Et puis, quand on est dehors tard le soir, c’est toujours pratique pour boucher un trou.
« De toute façon... Je t’ai donné un délai, t’as pas oublié. »
Alors ses couvre-feux et les voisins qui pourraient penser qu’il se passe quelque chose, il peut les oublier, puisqu’il vit ses derniers jours à Kobe.
Si monsieur s’est mit en tête qu’il avait une chance ce n’est quand même pas ma faute ! La suite de ses paroles me fait rouler des yeux. Non mais voilà qu’il sait parler maintenant ? Et qu’il ose me réprimander en plus ! Alors que c’est lui qui ne réfléchit pas !
« Mais tu vas t’calmer oui ! J’aurais voulu que tu sois aussi doué pour faire des phrases tout à l’heure ! Et puis réfléchis, s’il était prof sur ton campus tu penses vraiment que je lui aurais parlé comme ça ? Môsieur ego surdimensionné travaille dans un cabinet comptable, et m’a bien déroulé son CV pour m’attirer, alors détresse ! »
Ahlala, ça m’avait manqué qu’on se chamaille quand même. N’empêche, j’en aurais rien eu à faire d’être virée, ce n’est pas comme si j’étais là pour le plaisir de surveiller des gosses et si Milan fait bien ses devoirs. Une fois assise, je verse du coca dans mon verre et attend à peine pour prendre une gorgée. C’est vrai que je ne suis pas mal lotie, en même temps, l’école s’est assurée que le personnel trouve un logement sans problème.
« Bien sûr bien sûr, je proposais c’est tout... Si tu préfères les coins de Mcdo ouverts h24 c’est toi... »
Je souris et pose mon verre sur la table basse. Ici on ne s’arrête jamais de travailler, c’est comme les konbini ouvert 24h/24. Et puis, quand on est dehors tard le soir, c’est toujours pratique pour boucher un trou.
« De toute façon... Je t’ai donné un délai, t’as pas oublié. »
Alors ses couvre-feux et les voisins qui pourraient penser qu’il se passe quelque chose, il peut les oublier, puisqu’il vit ses derniers jours à Kobe.
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Oui bah j'veux bien avoir de la répartie, mais pas quand je me sens agressé de la sorte. Ça n'aurait servi qu'à empirer la situation et ce n'est clairement pas dans mes habitudes. Mais je sais aussi que ce n'est pas ce que Akira veut attendre, alors je garde bien sagement cette remarque pour moi. Cela dit, je dois bien admettre que je suis plus à l'aise avec elle qu'avec un inconnu.
Je souffle un coup alors qu'elle m'en dit un peu plus sur ce type qui doit à la fois être jaloux et me prendre pour un minable. Ok, peut-être que je suis un peu rassuré de savoir que je ne vais pas avoir à le recroiser à l'avenir. Je m'enfonce un peu plus dans le canapé en essayant de déstresser. C'est vrai que c'est plutôt confortable en fait. Sûrement plus que tout ce que j'ai connu ces dernières heures. Et si je ne faisais pas gaffe, je pourrais me laisser happer par ce piège moelleux et fermer les yeux. Mais c'est que j'ai un tout autre programme de prévu moi, pas question d'échouer maintenant !
- "Eh, j'suis quand même capable de me trouver de meilleurs plans qu'une table au macdo pour passer les vacances ! Ça fait un moment que je suis dans le coin!"
Ouais, les premiers temps je faisais avec les moyens du bord, mais depuis le temps que je suis arrivé à Kobe, j'ai eu le temps de multiplier les connaissances qui sont prêtes à m'accueillir pour quelques nuits. Même si j'admets que je n'aurais pas forcément parié sur Tessa à la base. Enfin, c'est sûrement parce qu'on passe pas mal de temps ensemble dernièrement. Non mais parce que clairement, elle n'a pas le profil de ces personnes qui invitent un quasi inconnu à dormir chez elles.
J'attrape mon verre et prends une gorgée de ma boisson, mon estomac ayant accepté de stopper cette rébellion dont j'ai été victime un peu plus tôt. Et ce malgré le sujet que Akira remet directement sur le tapis.
- "Ouais ouais, je me doute bien que tu ne vas pas te découvrir une nouvelle vocation en restant au sein de l'établissement. Mais tu sais... Je trouverai toujours de nouvelles excuses pour éviter d'avoir à partir..."
Un demi sourire qui se veut à la fois sincère et désolé, évidemment que j'aurais pu seulement lui affirmer réfléchir sérieusement à la question dans les jours à venir. Mais je sais déjà très clairement que je n'arriverai jamais à la conclusion que je souhaite remettre les pieds à Sendai. Et Akira me connait bien assez pour savoir comment je fonctionne. Dire oui pour faire plaisir à mon interlocuteur tout en trouvant une raison pour annuler au dernier moment et faire seulement ce dont moi j'ai envie.
- "Tu ne crois pas que tu pourrais... Réussir à le faire patienter un peu plus longtemps ?"
Toujours en demander plus, c'est souvent un bon moyen pour obtenir au moins un peu mieux que l'offre initiale. Si elle avait juste voulu se débarrasser de ce job qu'on lui a refilé, elle ne se serait pas embêtée à prendre toutes ces mesures. Alors, quitte à ce qu'elle soit désormais bien installée à Kobe, je peux peut-être en profiter un peu ?
Je souffle un coup alors qu'elle m'en dit un peu plus sur ce type qui doit à la fois être jaloux et me prendre pour un minable. Ok, peut-être que je suis un peu rassuré de savoir que je ne vais pas avoir à le recroiser à l'avenir. Je m'enfonce un peu plus dans le canapé en essayant de déstresser. C'est vrai que c'est plutôt confortable en fait. Sûrement plus que tout ce que j'ai connu ces dernières heures. Et si je ne faisais pas gaffe, je pourrais me laisser happer par ce piège moelleux et fermer les yeux. Mais c'est que j'ai un tout autre programme de prévu moi, pas question d'échouer maintenant !
- "Eh, j'suis quand même capable de me trouver de meilleurs plans qu'une table au macdo pour passer les vacances ! Ça fait un moment que je suis dans le coin!"
Ouais, les premiers temps je faisais avec les moyens du bord, mais depuis le temps que je suis arrivé à Kobe, j'ai eu le temps de multiplier les connaissances qui sont prêtes à m'accueillir pour quelques nuits. Même si j'admets que je n'aurais pas forcément parié sur Tessa à la base. Enfin, c'est sûrement parce qu'on passe pas mal de temps ensemble dernièrement. Non mais parce que clairement, elle n'a pas le profil de ces personnes qui invitent un quasi inconnu à dormir chez elles.
J'attrape mon verre et prends une gorgée de ma boisson, mon estomac ayant accepté de stopper cette rébellion dont j'ai été victime un peu plus tôt. Et ce malgré le sujet que Akira remet directement sur le tapis.
- "Ouais ouais, je me doute bien que tu ne vas pas te découvrir une nouvelle vocation en restant au sein de l'établissement. Mais tu sais... Je trouverai toujours de nouvelles excuses pour éviter d'avoir à partir..."
Un demi sourire qui se veut à la fois sincère et désolé, évidemment que j'aurais pu seulement lui affirmer réfléchir sérieusement à la question dans les jours à venir. Mais je sais déjà très clairement que je n'arriverai jamais à la conclusion que je souhaite remettre les pieds à Sendai. Et Akira me connait bien assez pour savoir comment je fonctionne. Dire oui pour faire plaisir à mon interlocuteur tout en trouvant une raison pour annuler au dernier moment et faire seulement ce dont moi j'ai envie.
- "Tu ne crois pas que tu pourrais... Réussir à le faire patienter un peu plus longtemps ?"
Toujours en demander plus, c'est souvent un bon moyen pour obtenir au moins un peu mieux que l'offre initiale. Si elle avait juste voulu se débarrasser de ce job qu'on lui a refilé, elle ne se serait pas embêtée à prendre toutes ces mesures. Alors, quitte à ce qu'elle soit désormais bien installée à Kobe, je peux peut-être en profiter un peu ?
"Tired of being what you want me to be I don't know what you're expecting of me
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Milan baragouine comme il peut en anglais avec un très fort accent : #cc6600
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FEAT. Milan
Bien sûr, admettons, je veux bien le croire. Mais est-ce qu’il pense passer le reste de sa scolarité à squatter chez ses amis à chaque vacances ? C’est qu’ils ont sûrement autre chose à faire, peu importe à quel point sa rotation trouve de points de chute. On ne s’incruste pas chez les gens indéfiniment, aussi bons peuvent-ils l’être, ils finissent toujours par en avoir ras-le-bol un jour... Mais bon, je vais le laisser s’en rendre compte par lui-même.
« D’accord d’accord, tant mieux hein. »
Revenons-en à l’essentiel. C’est que Milan est bien déterminé à s’enraciner à Kobe pour un bout de temps. Quitte à trouver des excuses, comme si j’allais à chaque fois y céder bien gentiment. C’est de l’optimisme où je ne m’y connais pas !
« Il y a un moment où tes excuses me passeront au-dessus de la tête tu sais... »
Ça a l’air de le faire réfléchir. Même si je me doute que ce stratagème pourrait lui octroyer quelques semaines en plus, ça ne ferait que retarder l’inévitable. Bien que ce mot n’est pas l’air d’exister dans le vocabulaire de Milan. Le faire patienter ?
« Mais j’ai qu’ça à f*utre ? »
C’est la première réponse qui me vient à l’esprit, le verre figé devant ma bouche. Je ne suis pas ici par plaisir, c’est difficile à imprimer dans sa petite tête on dirait. Je dévisage Milan longuement, je sens venir sa tête de chien battu. Il a passé plus de temps à la perfectionner qu’à s’entraîner sur un tatami c’est sûr, finesse des traits, froncement contrôlé des sourcils, bouche pendante de moitié. Il me prend pour qui ?
« T’as conscience que faire patienter ton frère c’est aggraver ton cas et empirer ce qu’il te réserve ? C’est pas la meilleure idée. Mais bon si tu préfères souffrir hein, je t’aurais prévenu. Par contre, je ne vais pas pleurer pour toi alors s’il accepte tant mieux, sinon tu feras tes valises et basta. »
« D’accord d’accord, tant mieux hein. »
Revenons-en à l’essentiel. C’est que Milan est bien déterminé à s’enraciner à Kobe pour un bout de temps. Quitte à trouver des excuses, comme si j’allais à chaque fois y céder bien gentiment. C’est de l’optimisme où je ne m’y connais pas !
« Il y a un moment où tes excuses me passeront au-dessus de la tête tu sais... »
Ça a l’air de le faire réfléchir. Même si je me doute que ce stratagème pourrait lui octroyer quelques semaines en plus, ça ne ferait que retarder l’inévitable. Bien que ce mot n’est pas l’air d’exister dans le vocabulaire de Milan. Le faire patienter ?
« Mais j’ai qu’ça à f*utre ? »
C’est la première réponse qui me vient à l’esprit, le verre figé devant ma bouche. Je ne suis pas ici par plaisir, c’est difficile à imprimer dans sa petite tête on dirait. Je dévisage Milan longuement, je sens venir sa tête de chien battu. Il a passé plus de temps à la perfectionner qu’à s’entraîner sur un tatami c’est sûr, finesse des traits, froncement contrôlé des sourcils, bouche pendante de moitié. Il me prend pour qui ?
« T’as conscience que faire patienter ton frère c’est aggraver ton cas et empirer ce qu’il te réserve ? C’est pas la meilleure idée. Mais bon si tu préfères souffrir hein, je t’aurais prévenu. Par contre, je ne vais pas pleurer pour toi alors s’il accepte tant mieux, sinon tu feras tes valises et basta. »
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Je ne peux que lui adresser un sourire lorsqu'elle me répond de façon aussi franche. Ce genre de sourire à la fois timide mais qui laisse en même temps deviner un petit air de défi qui se cache derrière. Bien sûr que je sais que mes petits stratagèmes ont leurs limites. S'ils étaient infaillibles je ne me retrouverais pas ici. Mais... Ouais, gagner du temps, repousser éternellement les problèmes jusque me les prendre un jour de pleine face et n'avoir d'autre choix que de trouver une solution extrême, je connais. Et il faut croire que je ne suis pas près à changer de façon de faire.
Le problème avec Akira, c'est que je ne peux pas vraiment me contenter de seulement lui dire ce qu'elle a envie d'entendre tout en m’aplatissant d'excuses lorsqu'elle pointe les incohérences dans mon comportement. Alors, autant être plus direct. Et puis, je dois admettre que parfois, ça fait du bien quand même. Ouais, même si je ne peux pas dire être très enthousiaste par sa réapparition soudaine dans ma vie, je dois admettre que ces retrouvailles ont un côté réconfortant que je n'aurais jamais soupçonné. Non, je n'ai pas envie de retourner à Sendai, encore moins de revoir la tête de mon frère, mais malgré tout, c'est ancré en moi. Ça fait partie de ma vie, quand bien même j'essaie de l'effacer depuis mon départ.
- "Ne t'inquiète pas pour ça. Je suis sûr que je n'apprécierai pas ce qui se passera quand on se reverra alors, qu'il soit un peu plus désagréable suite à une attente supérieure à ce qu'il espérait, ça ne changera rien pour moi. Sauf que j'aurais eu un petit temps de répit supplémentaire."
Oui, je sais désormais que je n'y couperai pas. Mais plus je peux repousser l'échéance, mieux c'est. Parce que même si par miracle j'arrivais à ne pas quitter Kobe, il finira probablement par faire le déplacement lui-même. Sauf que ça, ce serait vraiment la pire option. Trop de témoins potentiels ici. Non, bien sûr que je vais finir par devoir bouger. Mais je préfèrerai pouvoir oublier encore pour quelque temps ce problème.
Je termine mon verre et me relève du canapé. Je n'avais pas prévu de rester très longtemps, et je sais qu'il ne faudrait pas que je me laisse emporté par tous ces souvenirs qui reviennent un peu trop vite.
- "Je suis désolé de continuer à t'attirer des ennuis... J'aurais préféré que ce soit quelqu'un d'autre en fait."
C'est vrai. Je sais bien que sans moi sa vie aurait sûrement été plus facile. Tout comme je sais parfaitement qu'elle ne doit pas être particulièrement enchantée de se retrouver à Kobe, à jouer les nounous pour ados friqués qui plus est. Malheureusement, nos intérêts ne vont cette fois clairement pas dans la même direction.
- "Alors, je vais te laisser profiter de la fin des vacances tranquille. Et... Essaie de ne pas te faire détester de tous tes voisins !"
Je retrouve mon petit air joueur plus habituel. Non mais je n'ai pas non plus envie de partir sur une ambiance trop pesante.
Le problème avec Akira, c'est que je ne peux pas vraiment me contenter de seulement lui dire ce qu'elle a envie d'entendre tout en m’aplatissant d'excuses lorsqu'elle pointe les incohérences dans mon comportement. Alors, autant être plus direct. Et puis, je dois admettre que parfois, ça fait du bien quand même. Ouais, même si je ne peux pas dire être très enthousiaste par sa réapparition soudaine dans ma vie, je dois admettre que ces retrouvailles ont un côté réconfortant que je n'aurais jamais soupçonné. Non, je n'ai pas envie de retourner à Sendai, encore moins de revoir la tête de mon frère, mais malgré tout, c'est ancré en moi. Ça fait partie de ma vie, quand bien même j'essaie de l'effacer depuis mon départ.
- "Ne t'inquiète pas pour ça. Je suis sûr que je n'apprécierai pas ce qui se passera quand on se reverra alors, qu'il soit un peu plus désagréable suite à une attente supérieure à ce qu'il espérait, ça ne changera rien pour moi. Sauf que j'aurais eu un petit temps de répit supplémentaire."
Oui, je sais désormais que je n'y couperai pas. Mais plus je peux repousser l'échéance, mieux c'est. Parce que même si par miracle j'arrivais à ne pas quitter Kobe, il finira probablement par faire le déplacement lui-même. Sauf que ça, ce serait vraiment la pire option. Trop de témoins potentiels ici. Non, bien sûr que je vais finir par devoir bouger. Mais je préfèrerai pouvoir oublier encore pour quelque temps ce problème.
Je termine mon verre et me relève du canapé. Je n'avais pas prévu de rester très longtemps, et je sais qu'il ne faudrait pas que je me laisse emporté par tous ces souvenirs qui reviennent un peu trop vite.
- "Je suis désolé de continuer à t'attirer des ennuis... J'aurais préféré que ce soit quelqu'un d'autre en fait."
C'est vrai. Je sais bien que sans moi sa vie aurait sûrement été plus facile. Tout comme je sais parfaitement qu'elle ne doit pas être particulièrement enchantée de se retrouver à Kobe, à jouer les nounous pour ados friqués qui plus est. Malheureusement, nos intérêts ne vont cette fois clairement pas dans la même direction.
- "Alors, je vais te laisser profiter de la fin des vacances tranquille. Et... Essaie de ne pas te faire détester de tous tes voisins !"
Je retrouve mon petit air joueur plus habituel. Non mais je n'ai pas non plus envie de partir sur une ambiance trop pesante.
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FEAT. Milan
C’est une manière de voir les choses on va dire. De flippette si vous voulez mon avis, mais une manière quand même. J’ai toujours préféré affronter les choses d’entrée de jeu sans prendre de gant. Mais je sais bien que Milan n’est pas comme moi là-dessus et sur beaucoup d’autres choses.
« Comme tu voudras, je te tiens au courant. »
Il a eu toutes les mises en garde possible, à ce niveau je ne peux rien de plus. Alors, advienne que pourra... On termine notre verre chacun de notre côté puis Milan se met debout. On dirait qu’il a déjà décidé de partir. Je serais bien restée à discuter avec encore un peu mais bon, on a le temps pour ça. Cette soirée est déjà assez riche pour lui. Ses excuses me font sourire. Pas un sourire moqueur, plutôt celui que j’avais l’habitude lui faire, bienveillant.
« Tu sais bien que j’aime les ennuis, encore plus quand ils s’appellent Milan. »
Elle m’a vraiment manqué sa petite tête. Je me lève aussi pour le raccompagner jusqu’à la porte. Mais Milan ne peut évidemment pas partir sans un dernier conseil pour moi, hein. Je lui mets une petite tape sur l’épaule.
« Tu plaisantes ? Ils m’adorent, j’arrive pas à m’en débarrasser. Profite aussi, à plus tard. »
Quand il passe la porte je le regarde s’éloigner, pensive. Et maintenant je vais devoir gérer Fugu la grosse tête, gé-ni-al. Qu’est-ce qu’il me ferait pas faire ! Autant que j’appelle tout de suite. Je rejoins le canapé, attrape mon téléphone puis choisi son numéro dans la liste. J’attends quelques secondes et... Fugu est exactement comme son père.
« Tu l’a trouvé ? »
Je roule des yeux.
« Ouais, il était chez moi, il vient de partir. »
« Développe. »
« Je lui ai dans un premier temps donné la fin des vacances comme délai. Mais comme tu t’en doute, il n’a pas l’intention de me suivre. »
« Le contraire m’aurait étonné. Ensuite ? »
« Il m’a demandé s’il ne pouvait pas avoir un peu plus de temps avant de partir. Je te laisse répondre à cette question. »
Il y a un silence de l’autre côté, même si j’entends clairement son bruyant soupire exaspéré.
« De toute manière l’enlever de force déclencherait une alerte enlèvement et on n’a clairement pas besoin de ça. Les flics remonteraient sans mal jusqu’à nous de fil en aiguille. »
Parce qu’il serait difficile voire impossible de pousser Milan à inventer une excuse même par la force. Les coups, il y était habitué et possédait la force, surtout mentale, de les supporter. Sans parler du fait que je n’avais aucune envie de lui faire ça. Ce serait le trahir à mon tour de reproduire ce schéma. On ne vise jamais la famille... N'était-ce pas la première règle que nous avait enseigné Oji-chan ? J'aurais aimé la voir respectée. ... Sauf si elle le mérite. Est-ce qu'il le méritait vraiment ?
« Combien de temps ? »
« Tu as trois mois. Ça te donnera assez de temps pour en apprendre plus sur lui et avoir plus de moyens de pression. On connaît la chanson, là c’est trois mois, puis il demandera encore un mois etc. Je veux l’avoir en face de moi d’ici juin ! »
« Compris. »
L’appel se coupe de son côté et je laisse doucement le portable rebondir sur le canapé. Trois mois... Le connaissant c’est plutôt généreux. Mais je comprends sa démarche.
« Comme tu voudras, je te tiens au courant. »
Il a eu toutes les mises en garde possible, à ce niveau je ne peux rien de plus. Alors, advienne que pourra... On termine notre verre chacun de notre côté puis Milan se met debout. On dirait qu’il a déjà décidé de partir. Je serais bien restée à discuter avec encore un peu mais bon, on a le temps pour ça. Cette soirée est déjà assez riche pour lui. Ses excuses me font sourire. Pas un sourire moqueur, plutôt celui que j’avais l’habitude lui faire, bienveillant.
« Tu sais bien que j’aime les ennuis, encore plus quand ils s’appellent Milan. »
Elle m’a vraiment manqué sa petite tête. Je me lève aussi pour le raccompagner jusqu’à la porte. Mais Milan ne peut évidemment pas partir sans un dernier conseil pour moi, hein. Je lui mets une petite tape sur l’épaule.
« Tu plaisantes ? Ils m’adorent, j’arrive pas à m’en débarrasser. Profite aussi, à plus tard. »
Quand il passe la porte je le regarde s’éloigner, pensive. Et maintenant je vais devoir gérer Fugu la grosse tête, gé-ni-al. Qu’est-ce qu’il me ferait pas faire ! Autant que j’appelle tout de suite. Je rejoins le canapé, attrape mon téléphone puis choisi son numéro dans la liste. J’attends quelques secondes et... Fugu est exactement comme son père.
« Tu l’a trouvé ? »
Je roule des yeux.
« Ouais, il était chez moi, il vient de partir. »
« Développe. »
« Je lui ai dans un premier temps donné la fin des vacances comme délai. Mais comme tu t’en doute, il n’a pas l’intention de me suivre. »
« Le contraire m’aurait étonné. Ensuite ? »
« Il m’a demandé s’il ne pouvait pas avoir un peu plus de temps avant de partir. Je te laisse répondre à cette question. »
Il y a un silence de l’autre côté, même si j’entends clairement son bruyant soupire exaspéré.
« De toute manière l’enlever de force déclencherait une alerte enlèvement et on n’a clairement pas besoin de ça. Les flics remonteraient sans mal jusqu’à nous de fil en aiguille. »
Parce qu’il serait difficile voire impossible de pousser Milan à inventer une excuse même par la force. Les coups, il y était habitué et possédait la force, surtout mentale, de les supporter. Sans parler du fait que je n’avais aucune envie de lui faire ça. Ce serait le trahir à mon tour de reproduire ce schéma. On ne vise jamais la famille... N'était-ce pas la première règle que nous avait enseigné Oji-chan ? J'aurais aimé la voir respectée. ... Sauf si elle le mérite. Est-ce qu'il le méritait vraiment ?
« Combien de temps ? »
« Tu as trois mois. Ça te donnera assez de temps pour en apprendre plus sur lui et avoir plus de moyens de pression. On connaît la chanson, là c’est trois mois, puis il demandera encore un mois etc. Je veux l’avoir en face de moi d’ici juin ! »
« Compris. »
L’appel se coupe de son côté et je laisse doucement le portable rebondir sur le canapé. Trois mois... Le connaissant c’est plutôt généreux. Mais je comprends sa démarche.
#terminé
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Re: On fuit le passé, mais il nous rattrape toujours [Ft. Milan]
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