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- Shin SaitoA l'université ; 1è année■ Age : 39■ Messages : 266■ Inscrit le : 29/06/2024
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-107
❖ Arrivé(e) en : Septembre 2018
Coup de tonnerre
ft. Naoki Harada
28 novembre 2018
Arrêt sur image. Blouson sur le dos, casque en main. Reliquat de la leçon qui vient de terminer. Mais pour rentrer il est piéton. L'orage l'a surpris. Pourtant il est là, immobile et incrédule. Papillon hypnotisé devant un panneau lumineux. De loin, il en a discerné les contours. Les couleurs, surtout. Yeux perspicaces, malgré la pluie battante. Cheveux en panache, sourire enjôleur. Il a déjà vu cette photo, mais... Ca fait un drôle d'effet. Un petit côté narcissique, de s'être arrêté là, pour la contempler. (Heureusement personne n'est là pour le voir.)
L'université n'est plus très loin. Abri temporaire. Il doit se dépêcher. Tête levée vers le ciel. Il voit enfin une accalmie. Sa marche reprend. Rapide.
SPLAASH
Quand il réalise c'est trop tard. Hébété. Immobile, à nouveau. Immobile et détrempé. Une seule pensée lui traverse l'esprit comme un grincement de dents.
- Mon père va me tuer.
L'université n'est plus très loin. Abri temporaire. Il doit se dépêcher. Tête levée vers le ciel. Il voit enfin une accalmie. Sa marche reprend. Rapide.
SPLAASH
Quand il réalise c'est trop tard. Hébété. Immobile, à nouveau. Immobile et détrempé. Une seule pensée lui traverse l'esprit comme un grincement de dents.
- Mon père va me tuer.
- Naoki HaradaA l'université ; 2è année■ Age : 30■ Messages : 445■ Inscrit le : 07/02/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-4
❖ Arrivé(e) en : Début Janvier 2018
Cheveux: Une mèche violette vers la gauche
Yeux: Verres de contact bleus-gris
Ce qui est vraiment bien de vivre en appartement avec deux colocataires, c'est qu'en dehors de ma chambre, je n'ai pas à toucher au ménage. C'est qui est encore mieux, c'est qu'en général, on mange bien parce que c'Est moi qui prépare les repas pour tout le monde. Ce qui est moins bien... C'est que pour m'assurer de ce que je vais cuisiner, c'Est moi qui doit faire les course. C'est pas tant pénible en vrai. Ce qui est pénible, c'est que là, il pleut. Porter les courses sous la pluie... Beurk! Une chance que la route n'est pas trop longue. C'est donc armé de mon sac isothermique sur roulette et de mon parapluie que je sors affronter la pluie. Brrr... Elle me semble encore plus glaciale par ce froid. En chemin, la pluie cesse enfin. Je le remarque suite au changement de son sur mon toit portatif ainsi que l'absence de mouvement dans les flaques au sol. Eh bien... Y'a quand même eut une bonne accumulation. On est loin de l'inondation, mais la ville asphaltée à cette fâcheuse tendance à avoir beaucoup de creux pour accumuler l'eau et l'asphalte... Ça n'absorbe pas l'eau comme la terre.
Je secoue un peu mon parapluie et le referme en espérant que la pluie ne revienne pas de suite et continue mon bout de chemin un moment en songeant, entre autre, que je suis partit tard pour faire les courses. J'espère ne pas subir la fermeture de l'épicerie... Alors que je tourne sur une nouvelle rue peu achalandée à cause du mauvais temps, j'assiste à un spectacle des plus effroyables... Une voiture n'a pas pris la peine de ralentir ou même de se tasser un peu et voilà que quelqu'un se fait malencontreusement éclabousser de la tête aux pieds. Je ne réfléchit pas longtemps et cours à sa rencontre pour voir s'il va bien. Tant pi si je dois reporter les courses. On se fera livrer un resto, au pire.
-Hey! Vous allez bien?? Je peux vous aider?
En m'approchant je constate que c'Est un garçon... Dans ma tranche d'âge même. je dirais. Instinctivement, je délaisse mon chariot et pose mon parapluie dessus, puis je retire mon manteau. Tant pis, j'apprendrai à survivre à ce temps frais avec le molleton à capuche que j'ai, heureusement, eut envie de mettre avant de partir. Je pose mon manteau chaud sur ses épaule. être mouillé par cette fraicheur, c'est loin d'être l'idéal. Espérons qu'il ne se remette pas à pleuvoir en plus de cela.
-Met mon manteau pour ne pas tomber malade!
Je ne sais pas quel karma a infusé ce bout de rue, mais voilà que le froid me saisit d'un coup dans le dos... Encore une voiture qui n'a pas fait attention.. Mon dos a tout prit cette fois et je rejoint le clubs des mouillés de la tête au pied. Sans rien dire, tenant toujours le manteau que j'étais en train de poser sur les épaule de l'inconnu, j'en profite pour le pousser légèrement pour nous déplacer loin de cette flaque d'eau du diable... En espérant que l'inconnu ne m'en veuille pas.
Yeux: Verres de contact bleus-gris
Ce qui est vraiment bien de vivre en appartement avec deux colocataires, c'est qu'en dehors de ma chambre, je n'ai pas à toucher au ménage. C'est qui est encore mieux, c'est qu'en général, on mange bien parce que c'Est moi qui prépare les repas pour tout le monde. Ce qui est moins bien... C'est que pour m'assurer de ce que je vais cuisiner, c'Est moi qui doit faire les course. C'est pas tant pénible en vrai. Ce qui est pénible, c'est que là, il pleut. Porter les courses sous la pluie... Beurk! Une chance que la route n'est pas trop longue. C'est donc armé de mon sac isothermique sur roulette et de mon parapluie que je sors affronter la pluie. Brrr... Elle me semble encore plus glaciale par ce froid. En chemin, la pluie cesse enfin. Je le remarque suite au changement de son sur mon toit portatif ainsi que l'absence de mouvement dans les flaques au sol. Eh bien... Y'a quand même eut une bonne accumulation. On est loin de l'inondation, mais la ville asphaltée à cette fâcheuse tendance à avoir beaucoup de creux pour accumuler l'eau et l'asphalte... Ça n'absorbe pas l'eau comme la terre.
Je secoue un peu mon parapluie et le referme en espérant que la pluie ne revienne pas de suite et continue mon bout de chemin un moment en songeant, entre autre, que je suis partit tard pour faire les courses. J'espère ne pas subir la fermeture de l'épicerie... Alors que je tourne sur une nouvelle rue peu achalandée à cause du mauvais temps, j'assiste à un spectacle des plus effroyables... Une voiture n'a pas pris la peine de ralentir ou même de se tasser un peu et voilà que quelqu'un se fait malencontreusement éclabousser de la tête aux pieds. Je ne réfléchit pas longtemps et cours à sa rencontre pour voir s'il va bien. Tant pi si je dois reporter les courses. On se fera livrer un resto, au pire.
-Hey! Vous allez bien?? Je peux vous aider?
En m'approchant je constate que c'Est un garçon... Dans ma tranche d'âge même. je dirais. Instinctivement, je délaisse mon chariot et pose mon parapluie dessus, puis je retire mon manteau. Tant pis, j'apprendrai à survivre à ce temps frais avec le molleton à capuche que j'ai, heureusement, eut envie de mettre avant de partir. Je pose mon manteau chaud sur ses épaule. être mouillé par cette fraicheur, c'est loin d'être l'idéal. Espérons qu'il ne se remette pas à pleuvoir en plus de cela.
-Met mon manteau pour ne pas tomber malade!
Je ne sais pas quel karma a infusé ce bout de rue, mais voilà que le froid me saisit d'un coup dans le dos... Encore une voiture qui n'a pas fait attention.. Mon dos a tout prit cette fois et je rejoint le clubs des mouillés de la tête au pied. Sans rien dire, tenant toujours le manteau que j'étais en train de poser sur les épaule de l'inconnu, j'en profite pour le pousser légèrement pour nous déplacer loin de cette flaque d'eau du diable... En espérant que l'inconnu ne m'en veuille pas.
- Shin SaitoA l'université ; 1è année■ Age : 39■ Messages : 266■ Inscrit le : 29/06/2024
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-107
❖ Arrivé(e) en : Septembre 2018
Coup de tonnerre
ft. Naoki Harada
La pensée est obsédante. Il a vite retiré son blouson pour évaluer les dégâts. La doublure n'a pas trop pris l'eau. Un frisson secoue ses épaules. (Ce n'est pas le jour le plus chaud du mois.) Surtout sous la pluie. Il ne réalise pas tout de suite qu'elles sont à nouveau couvertes.
Regard incrédule relevé vers l'étranger, doigts resserrés sur le cuir humide. Un bon samaritain débarqué du coin de la rue. Sensiblement la même taille, sensiblement le même âge, une couleur de cheveux aussi improbable que la sienne... C'est tout ce qu'il a le temps d'analyser. Bouche entrouverte pour lui rendre son bien. Le blouson peut encore l'abriter. Avant la nouvelle vague.
SPLAASH
(Un son familier.)
... il n'a même pas eu le temps de le remercier.
Quelques éclaboussures, ce n'est rien comparé à la première rincée. Clignement d'yeux. (Ca c'est parce que...) Il ne peut pas en dire autant de son bienfaiteur. Le jeune homme a fait barrage avec son corps. A son grand désarroi. Mais... il le pousse ?!
- Que... ?
Geste inattendu. Il comprend vite son intention, mais sans avertissement son équilibre s'en retrouve menacé. Et son pied glisse.
Rattrapage in extremis aux bras de son bien malheureux sauveur. Ses yeux s'ouvrent, une excuse pour son geste incontrôlé, bien vite supplantée par un air effaré. Il tente aussitôt de rattraper son précieux blouson (comme s'il était assez rapide). Mais cuir et casque trempent déjà dans l'eau boueuse du torrent.
Tout se passe très vite. D'une main, il tient le col du blouson et le casque alourdis d'eau de pluie. De l'autre, il attrape le poignet du malheureux qui a tenté de l'aider. Il l'entraîne sous un porche, à l'écart de la route.
Beaucoup trop de choses sont arrivées en un laps de temps bien trop court. Air dépité. Visage défait. Il tend son manteau à son propriétaire. Seul point positif de l'histoire. Lui a la chance d'être resté sec.
- C'est gentil d'avoir essayé. Un petit sourire, malgré tout. Lèvres étirées sur un risque qu'il ne calcule pas. On peut dire que tu t'es mouillé pour moi.
Regard incrédule relevé vers l'étranger, doigts resserrés sur le cuir humide. Un bon samaritain débarqué du coin de la rue. Sensiblement la même taille, sensiblement le même âge, une couleur de cheveux aussi improbable que la sienne... C'est tout ce qu'il a le temps d'analyser. Bouche entrouverte pour lui rendre son bien. Le blouson peut encore l'abriter. Avant la nouvelle vague.
SPLAASH
(Un son familier.)
... il n'a même pas eu le temps de le remercier.
Quelques éclaboussures, ce n'est rien comparé à la première rincée. Clignement d'yeux. (Ca c'est parce que...) Il ne peut pas en dire autant de son bienfaiteur. Le jeune homme a fait barrage avec son corps. A son grand désarroi. Mais... il le pousse ?!
- Que... ?
Geste inattendu. Il comprend vite son intention, mais sans avertissement son équilibre s'en retrouve menacé. Et son pied glisse.
Rattrapage in extremis aux bras de son bien malheureux sauveur. Ses yeux s'ouvrent, une excuse pour son geste incontrôlé, bien vite supplantée par un air effaré. Il tente aussitôt de rattraper son précieux blouson (comme s'il était assez rapide). Mais cuir et casque trempent déjà dans l'eau boueuse du torrent.
Tout se passe très vite. D'une main, il tient le col du blouson et le casque alourdis d'eau de pluie. De l'autre, il attrape le poignet du malheureux qui a tenté de l'aider. Il l'entraîne sous un porche, à l'écart de la route.
Beaucoup trop de choses sont arrivées en un laps de temps bien trop court. Air dépité. Visage défait. Il tend son manteau à son propriétaire. Seul point positif de l'histoire. Lui a la chance d'être resté sec.
- C'est gentil d'avoir essayé. Un petit sourire, malgré tout. Lèvres étirées sur un risque qu'il ne calcule pas. On peut dire que tu t'es mouillé pour moi.
- Naoki HaradaA l'université ; 2è année■ Age : 30■ Messages : 445■ Inscrit le : 07/02/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-4
❖ Arrivé(e) en : Début Janvier 2018
Zut! Je l'ai brusqué ou surpris, mais je le sens, sous mes mains, qu'il perd pied. Il se rattrape tant bien que mal à mon bras et je tente de l'aider à rester debout. La mission est plutôt réussie, je crois? Sa veste et son casque on profité du manque de vigilance pour faire trempette. L'inconnu les ramasse et me saisit le poignet pour me trainer à l'abri. Au passage, j'attrape, de ma main libre, mon petit chariot qui se marre bien de la scène en compagnie de mon parapluie. Heureusement que je n'ai pas encore fait les courses. Il n'y a donc pas urgence de nourriture en danger de mort. Nous sommes enfin à l'abri sous un porche, loin du triangle des Bermudes. Est-ce que ça fait de nous des survivants?
L'inconnu me tends mon manteau et je le prends mais choisi de ne pas l'enfiler. Il me remercie ensuite pour la tentative ratée de l'aider avec même une pointe d'humour innocente. J'affiche un grand sourire qui se voulait rassurant alors que la pluie recommençait à marteler le toit au dessus de nos têtes.
-C'était tout naturel de vouloir aider. Ce serais dommage qu'un si joli visage tombe malade...
Ah, mes habitudes prennent involontairement le dessus. Une pointe de charme qui se faufile à l'improviste. Cependant, mon intention reste purement gentillesse. J'en profite tout de même pour l'observer discrètement à travers mes verres de contact bleu-gris. Ce doux visage, la couleur particulière de ses cheveux... Je détourne momentanément le regard pour observer la pluie avant de revenir à mon compagnon de baignade non désirée qui semble avoir eut plus de chance au final...
-Est-ce que ça va aller? Tu ne vas pas avoir trop froid? Est-ce que tu as un endroit proche pour te mettre au sec? Un parapluie? Oh! En passant, moi c'Est Naoki Harada!
Quel impoli je suis à lui poser toutes ces question pour m'assurer qu'il va bien alors que je ne me suis même pas présenté.
L'inconnu me tends mon manteau et je le prends mais choisi de ne pas l'enfiler. Il me remercie ensuite pour la tentative ratée de l'aider avec même une pointe d'humour innocente. J'affiche un grand sourire qui se voulait rassurant alors que la pluie recommençait à marteler le toit au dessus de nos têtes.
-C'était tout naturel de vouloir aider. Ce serais dommage qu'un si joli visage tombe malade...
Ah, mes habitudes prennent involontairement le dessus. Une pointe de charme qui se faufile à l'improviste. Cependant, mon intention reste purement gentillesse. J'en profite tout de même pour l'observer discrètement à travers mes verres de contact bleu-gris. Ce doux visage, la couleur particulière de ses cheveux... Je détourne momentanément le regard pour observer la pluie avant de revenir à mon compagnon de baignade non désirée qui semble avoir eut plus de chance au final...
-Est-ce que ça va aller? Tu ne vas pas avoir trop froid? Est-ce que tu as un endroit proche pour te mettre au sec? Un parapluie? Oh! En passant, moi c'Est Naoki Harada!
Quel impoli je suis à lui poser toutes ces question pour m'assurer qu'il va bien alors que je ne me suis même pas présenté.
- Shin SaitoA l'université ; 1è année■ Age : 39■ Messages : 266■ Inscrit le : 29/06/2024
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-107
❖ Arrivé(e) en : Septembre 2018
Coup de tonnerre
ft. Naoki Harada
Accalmie de courte durée. (Ils ne peuvent pas être plus mouillés de toute façon.) Mais ils sont au moins, loin de la route et de la flaque prédatrice. Assez pour se rasséréner. Reprendre contenance. Un sourire répond au sien. Réaction honnête à son trait d'esprit. (Bon point.) Son interlocuteur ne manque pas d'humour.
Ce serait dommage... (Ah.)
Compliment glissé. Il est visiblement tombé sur une personne qui, comme lui, parle avant d'avoir terminé sa pensée. (Non qu'il semble le regretter.) Son aide pourtant, est désintéressée, il en est convaincu. Son sourire s'étire, amusé.
- Oui, vraiment...
Son compagnon d'infortune se détourne vers l'intempérie au moment où il va lui retourner la politesse. (Pour qu'il ne voie pas son regard ?) Trop tard pour ça. Doigts devant ses lèvres pour ne pas trahir son humeur. Devrait-il le lui faire remarquer ?
Désintéressé ou non, le jeune homme se montre véritablement concerné par son sort. Car son attention revient bientôt sur lui. Pour aussitôt le bombarder de questions. De quoi assommer n'importe qui. Ce qui ne fait qu'agrandir son sourire.
- Ca va aller. J'ai un peu froid. L'université n'est pas loin. Pas de parapluie.
Compliqué en moto. Un t-shirt à manches longues, un jean ample et solide. Désormais détrempés. Et les premières victimes de sa malchance, le blouson et le casque imbibés. Le jeune homme peut le voir. Il n'a même pas de sac avec lui. C'est tout ce qu'il porte.
- C'est un joli nom.
Vent léger, surlignant par sa fraîcheur l'humidité qui lui colle à la peau. Il avait oublié son inconfort jusqu'à ce que l'inconnu le lui rappelle. Mais rien de grave. Est-ce qu'il relèvera... ? Son amusement est palpable.
Ce serait dommage... (Ah.)
Compliment glissé. Il est visiblement tombé sur une personne qui, comme lui, parle avant d'avoir terminé sa pensée. (Non qu'il semble le regretter.) Son aide pourtant, est désintéressée, il en est convaincu. Son sourire s'étire, amusé.
- Oui, vraiment...
Son compagnon d'infortune se détourne vers l'intempérie au moment où il va lui retourner la politesse. (Pour qu'il ne voie pas son regard ?) Trop tard pour ça. Doigts devant ses lèvres pour ne pas trahir son humeur. Devrait-il le lui faire remarquer ?
Désintéressé ou non, le jeune homme se montre véritablement concerné par son sort. Car son attention revient bientôt sur lui. Pour aussitôt le bombarder de questions. De quoi assommer n'importe qui. Ce qui ne fait qu'agrandir son sourire.
- Ca va aller. J'ai un peu froid. L'université n'est pas loin. Pas de parapluie.
Compliqué en moto. Un t-shirt à manches longues, un jean ample et solide. Désormais détrempés. Et les premières victimes de sa malchance, le blouson et le casque imbibés. Le jeune homme peut le voir. Il n'a même pas de sac avec lui. C'est tout ce qu'il porte.
- C'est un joli nom.
Vent léger, surlignant par sa fraîcheur l'humidité qui lui colle à la peau. Il avait oublié son inconfort jusqu'à ce que l'inconnu le lui rappelle. Mais rien de grave. Est-ce qu'il relèvera... ? Son amusement est palpable.
- Naoki HaradaA l'université ; 2è année■ Age : 30■ Messages : 445■ Inscrit le : 07/02/2023■ Mes clubs :
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❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-4
❖ Arrivé(e) en : Début Janvier 2018
Il a un peu froid, mais il n’a pas de parapluie pour reprendre son chemin. La pluie n’est pas des plus abondantes, mais elle risque de l’achever puisqu’il est déjà mouillé. Je réfléchit à un moyen de l’aider alors qu’il conclu en mentionnant que mon nom est joli. Cela à pour effet d’effacer mon air inquiet par un petit sourire, presque subtilement gêné. Je ne sais pas si c’était délibéré ou non, mais lui aussi a eut le compliment facile. Je trouve cependant que mon nom a tout d’ordinaire. Mon petit sourire reste et accompagne maintenant un regard qui se veut le plus bienveillant possible pour lui proposer des solutions avant qu’il ne tombe malade.
-Je… Tu dois être pensionnaire à la Kobe High School alors? C’est le campus du coin… Je connais bien, j’y étudie.
Étudier est le bon mot puisque pour ma part, je n’y suis plus pensionnaire, ayant mon appartement pas loin avec mes deux colocataires. J’enchaîne avec mes solutions. D’une main, je tiens déjà mon manteau et de l’autre, j’attrape mon parapluie posé dans mon chariot.
-Tiens! Je te prêtes mon parapluie! Tu pourras te protéger… Et Prends mon manteau aussi pour ne pas avoir froid! Tu me les rendras un de ces jours!
Et moi? Je peux bien endurer un peu -beaucoup- de froid si c’est pour empêcher l’inconnu de tomber malade. Et puis s’il met un temps à me les remettre, j’ai un autre manteau chez moi… Je crois… Je me débrouillerai!
-Je… Tu dois être pensionnaire à la Kobe High School alors? C’est le campus du coin… Je connais bien, j’y étudie.
Étudier est le bon mot puisque pour ma part, je n’y suis plus pensionnaire, ayant mon appartement pas loin avec mes deux colocataires. J’enchaîne avec mes solutions. D’une main, je tiens déjà mon manteau et de l’autre, j’attrape mon parapluie posé dans mon chariot.
-Tiens! Je te prêtes mon parapluie! Tu pourras te protéger… Et Prends mon manteau aussi pour ne pas avoir froid! Tu me les rendras un de ces jours!
Et moi? Je peux bien endurer un peu -beaucoup- de froid si c’est pour empêcher l’inconnu de tomber malade. Et puis s’il met un temps à me les remettre, j’ai un autre manteau chez moi… Je crois… Je me débrouillerai!
- Shin SaitoA l'université ; 1è année■ Age : 39■ Messages : 266■ Inscrit le : 29/06/2024
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❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-107
❖ Arrivé(e) en : Septembre 2018
Coup de tonnerre
ft. Naoki Harada
Inquiétude évaporée. En réalité toujours là. Il connaît bien. Seulement moins visible, cachée. Un petit sourire l'a remplacée. Un peu flatté, un peu gêné. Et un regard affable. Un bien étrange miroir. (Il n'a pas remarqué.)
- Je suis interne en effet.
Non que cela change quoi que ce soit à leur problème actuel. Mais il est en quelque sorte ravi de croiser un autre étudiant en dehors du campus. (Il n'a pas l'air d'un lycéen.) Malgré les circonstances.
Frisson, encore. Son bras libre vient instinctivement se resserrer autour de son corps. Les tremblements courent sur sa peau crénelée. T-shirt collé sur elle comme s'il voulait s'y fondre. Beaucoup trop humide pour être confortable. Il serait mieux sans. (Pour la différence que ça ferait...) Il l'empêche de se réchauffer. Et la pluie n'est pas prête de s'arrêter.
Maintenant qu'il en a conscience, il n'a plus qu'une hâte, rentrer. Il n'a qu'à courir. Pour rejoindre l'université. Pour se mettre à l'abri. Il peut bien endurer quelques minutes de plus.
Mais ça, c'est sans compter sur la générosité de l'étudiant qui l'a pris en pitié. (Étudiant tout aussi... trempé que lui.) Et lui, visiblement, est en possession d'un parapluie. Lequel se retrouve sous son nez. Il le regarde. Il l'écoute. Et fait une moue sous son sourire.
- Non. (C'est un peu brusque, non ?) Je veux dire c'est hors de question. (Guère plus explicite.) Je veux dire, c'est très gentil de ta part. Mais je ne peux pas accepter. Tu en as autant besoin que moi.
L'un ou l'autre, à la rigueur. Certainement pas les deux. Le jeune homme n'est en rien contraint de lui venir en aide. Et lui, refusera qu'il s'expose davantage pour lui. Pour un inconnu.
Son interlocuteur ne le laissera pas partir comme ça. Du peu qu'il a pu voir de sa personnalité, il le comprend. Il semble bien décidé à le préserver. Alors qu'il n'est personne, à ses yeux. (Il ferait la même chose.) Il lui ressemble beaucoup trop pour ça. L'un ou l'autre ne suffira pas. Alors il ne voit qu'une solution. Un compromis.
- Je suppose qu'avec tout ça tes plans sont tombés à l'eau. (Haha... ha...) Alors je veux bien accepter ton manteau... si on partage le parapluie.
Car vu son propre état, le bon samaritain va rentrer c'est sûr. (Ce serait mieux pour lui.) Et si malgré ses suppositions, l'université n'est pas sa destination, alors il restera toujours sa première proposition. (Celle qu'il n'a pas prononcée à voix haute, évidemment.)
- Je suis interne en effet.
Non que cela change quoi que ce soit à leur problème actuel. Mais il est en quelque sorte ravi de croiser un autre étudiant en dehors du campus. (Il n'a pas l'air d'un lycéen.) Malgré les circonstances.
Frisson, encore. Son bras libre vient instinctivement se resserrer autour de son corps. Les tremblements courent sur sa peau crénelée. T-shirt collé sur elle comme s'il voulait s'y fondre. Beaucoup trop humide pour être confortable. Il serait mieux sans. (Pour la différence que ça ferait...) Il l'empêche de se réchauffer. Et la pluie n'est pas prête de s'arrêter.
Maintenant qu'il en a conscience, il n'a plus qu'une hâte, rentrer. Il n'a qu'à courir. Pour rejoindre l'université. Pour se mettre à l'abri. Il peut bien endurer quelques minutes de plus.
Mais ça, c'est sans compter sur la générosité de l'étudiant qui l'a pris en pitié. (Étudiant tout aussi... trempé que lui.) Et lui, visiblement, est en possession d'un parapluie. Lequel se retrouve sous son nez. Il le regarde. Il l'écoute. Et fait une moue sous son sourire.
- Non. (C'est un peu brusque, non ?) Je veux dire c'est hors de question. (Guère plus explicite.) Je veux dire, c'est très gentil de ta part. Mais je ne peux pas accepter. Tu en as autant besoin que moi.
L'un ou l'autre, à la rigueur. Certainement pas les deux. Le jeune homme n'est en rien contraint de lui venir en aide. Et lui, refusera qu'il s'expose davantage pour lui. Pour un inconnu.
Son interlocuteur ne le laissera pas partir comme ça. Du peu qu'il a pu voir de sa personnalité, il le comprend. Il semble bien décidé à le préserver. Alors qu'il n'est personne, à ses yeux. (Il ferait la même chose.) Il lui ressemble beaucoup trop pour ça. L'un ou l'autre ne suffira pas. Alors il ne voit qu'une solution. Un compromis.
- Je suppose qu'avec tout ça tes plans sont tombés à l'eau. (Haha... ha...) Alors je veux bien accepter ton manteau... si on partage le parapluie.
Car vu son propre état, le bon samaritain va rentrer c'est sûr. (Ce serait mieux pour lui.) Et si malgré ses suppositions, l'université n'est pas sa destination, alors il restera toujours sa première proposition. (Celle qu'il n'a pas prononcée à voix haute, évidemment.)
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