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- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 269■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Une après-midi tranquille sous un soleil de plomb, l'entraînement se déroulait bien et je me réjouissais des efforts que j'avais fournis durant les vacances, qui semblaient avoir porté leurs fruits. C'était un petit match amical sans trop d'importance au niveau des points, juste pour nous entraîner. Pas de compétition inutile donc ! Cependant, mon entraînement prit fin lorsque j'aperçus du coin de l’œil un visage familier que je n'avais pas vu depuis un moment. La jeune femme qui avait brisé le cœur d'un camarade de classe ! Enfin, le terme est fort, c'était surtout pour rire !
Quoi qu'il en soit, beaucoup d'eau avait coulé sous les ponts depuis. Je l'observais avec un peu plus de sérieux pour m'assurer que c'était bien elle marchant plus loin sur le chemin, et j'eus rapidement confirmation. Elle était avec une amie à elle, mais cela ne m'arrêterait pas ! Je me tournai vers un joueur de mon équipe et lui lançai mon gant en avouant.
- J'ai quelque chose à faire ! Tu peux prendre ma place, je ne sais pas si je vais revenir tout de suite !
Après un hochement de tête, je rejoignis le vestiaire pour me changer rapidement. Par chance, l'entraînement ne durait pas assez longtemps pour nécessiter une douche, et une fois rafraîchi et mes lunettes habituelles remises — tiens, d'ailleurs, je me rappelle que je ne les portais pas la dernière fois que je l'avais vue, cette fille. Peu importe !
Je la rattrapai en suivant la direction qu'elle avait prise et je la retrouvai, désormais seule, dans le parc ! Parfait ! Une approche tranquille pour ne pas l'effrayer, et rester dans le cadre de la courtoisie surtout !
- Eh ! Salut, je ne sais pas si tu te souviens de moi. On s'est croisés rapidement à la piscine.
"Rapidement" était le mot juste. Quoi qu'il en soit, autant entrer directement dans le vif du sujet pour anticiper une éventuelle clôture prématurée de la discussion de son côté au cas-ou l'eau n'avait pas autant coulé !
- Rassure-toi, je viens en ami de ma propre initiative ! Personne ne m'envoie cette fois-ci, tu peux être tranquille. Juste, je suis venu présenter des excuses.
Oui, c'était la moindre des choses, même si au fond, j'avais agi autant pour son bien que pour celui de l'autre personne ! Difficile à concevoir dans l'état actuel des choses ! J'ajoutai sur un ton détendu en observant la jeune femme avec un regard amical.
- Enfin, des excuses comme ça ne valent pas grand-chose, ce ne sont que des mots. Donc, si tu as un peu de temps, ou une prochaine fois, je voudrais te proposer de t'inviter à manger un morçeau et peut-être te donner une meilleure impression que la première fois ! Voilà, c'est la moindre des choses quand même de ma part !
Elle était intelligente, non ? Elle comprendrait sûrement qu'une seconde impression n'était jamais néfaste. En riant, j'ajoutai.
- Promis, c'est en toute amitié, mais ça, tu le sais déjà ! Juste que la dernière fois que j'ai invité quelqu'un à manger au restaurant, c'était mal compris.
Je m'assurai de marquer le ton pour qu'elle comprenne que c'était une plaisanterie, me rappelant bien ce qu'elle m'avait dit à ce sujet la dernière fois. Cela dit, j'avais le souvenirs d'Hima et de notre journée ou on était pas sur si c'était un rendez-vous galant ou non ... merci mon père pour ça. Du coup, je précise toujours maintenant !
Quoi qu'il en soit, beaucoup d'eau avait coulé sous les ponts depuis. Je l'observais avec un peu plus de sérieux pour m'assurer que c'était bien elle marchant plus loin sur le chemin, et j'eus rapidement confirmation. Elle était avec une amie à elle, mais cela ne m'arrêterait pas ! Je me tournai vers un joueur de mon équipe et lui lançai mon gant en avouant.
- J'ai quelque chose à faire ! Tu peux prendre ma place, je ne sais pas si je vais revenir tout de suite !
Après un hochement de tête, je rejoignis le vestiaire pour me changer rapidement. Par chance, l'entraînement ne durait pas assez longtemps pour nécessiter une douche, et une fois rafraîchi et mes lunettes habituelles remises — tiens, d'ailleurs, je me rappelle que je ne les portais pas la dernière fois que je l'avais vue, cette fille. Peu importe !
Je la rattrapai en suivant la direction qu'elle avait prise et je la retrouvai, désormais seule, dans le parc ! Parfait ! Une approche tranquille pour ne pas l'effrayer, et rester dans le cadre de la courtoisie surtout !
- Eh ! Salut, je ne sais pas si tu te souviens de moi. On s'est croisés rapidement à la piscine.
"Rapidement" était le mot juste. Quoi qu'il en soit, autant entrer directement dans le vif du sujet pour anticiper une éventuelle clôture prématurée de la discussion de son côté au cas-ou l'eau n'avait pas autant coulé !
- Rassure-toi, je viens en ami de ma propre initiative ! Personne ne m'envoie cette fois-ci, tu peux être tranquille. Juste, je suis venu présenter des excuses.
Oui, c'était la moindre des choses, même si au fond, j'avais agi autant pour son bien que pour celui de l'autre personne ! Difficile à concevoir dans l'état actuel des choses ! J'ajoutai sur un ton détendu en observant la jeune femme avec un regard amical.
- Enfin, des excuses comme ça ne valent pas grand-chose, ce ne sont que des mots. Donc, si tu as un peu de temps, ou une prochaine fois, je voudrais te proposer de t'inviter à manger un morçeau et peut-être te donner une meilleure impression que la première fois ! Voilà, c'est la moindre des choses quand même de ma part !
Elle était intelligente, non ? Elle comprendrait sûrement qu'une seconde impression n'était jamais néfaste. En riant, j'ajoutai.
- Promis, c'est en toute amitié, mais ça, tu le sais déjà ! Juste que la dernière fois que j'ai invité quelqu'un à manger au restaurant, c'était mal compris.
Je m'assurai de marquer le ton pour qu'elle comprenne que c'était une plaisanterie, me rappelant bien ce qu'elle m'avait dit à ce sujet la dernière fois. Cela dit, j'avais le souvenirs d'Hima et de notre journée ou on était pas sur si c'était un rendez-vous galant ou non ... merci mon père pour ça. Du coup, je précise toujours maintenant !
- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 594■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ft. Junichi Yasuhisa
Elle doit te porter malheur. C'est la seule explication qui te vient à l'esprit lorsque la voix du jeune homme fait vibrer tes tympans. Toi, tu n'avais fait que l'accompagner à l'entraînement de son petit-ami, sans trop te soucier du reste. Pendant qu'ils échangeaient quelques mots doux, tu répondais à tes messages, organisais certaines choses. Rien de bien passionnant. Tu ne demandais rien à personne. Et pourtant, il est là, n'a pas attendu que tu te sentes seule pour te sauter dessus - pas littéralement, merci -.
▬ Oui ?
Est-il vraiment nécessaire de répondre à sa question ? Ton demi-sourire parle de lui-même : bien sûr que tu te souviens de lui : L'éclaireur, comme tu l'avais appelé. Ça ne c'était pas très bien fini la dernière fois mais tu n'es pas du genre de rancunière. Alors tu ne le rejettes pas, l'invites à parler, tout en demeurant sur la réservé. Mais le jeune homme te rassure rapidement et s'excuse. OK, celle-là, tu ne l'avais pas vue venir. C'est une bonne surprise.
▬ Excuses acceptées. Je n'y pensais déjà plus de toute façon. dis-tu, souriant davantage. ▬ Manger un morceau ?
Malicieuse. Tu te doutes bien qu'il ne s'agit pas d'un rendez-vous (ce qu'il confirme) mais tu es ainsi : tu ne peux pas t'en empêcher. Ça te rappelle à quel point il parle beaucoup quand il s'agit de s'expliquer...
▬ Comme tu le dis, je le sais déjà, je ne te demandais pas de te justifier. Mais... Tu marques une pause, le temps de te redresser. ▬ J'avoue que je suis curieuse maintenant. Donc j'accepte ta proposition. Tu pensais à un un restaurant en particulier, ou un fast-food ? Je te suis.
▬ Oui ?
Est-il vraiment nécessaire de répondre à sa question ? Ton demi-sourire parle de lui-même : bien sûr que tu te souviens de lui : L'éclaireur, comme tu l'avais appelé. Ça ne c'était pas très bien fini la dernière fois mais tu n'es pas du genre de rancunière. Alors tu ne le rejettes pas, l'invites à parler, tout en demeurant sur la réservé. Mais le jeune homme te rassure rapidement et s'excuse. OK, celle-là, tu ne l'avais pas vue venir. C'est une bonne surprise.
▬ Excuses acceptées. Je n'y pensais déjà plus de toute façon. dis-tu, souriant davantage. ▬ Manger un morceau ?
Malicieuse. Tu te doutes bien qu'il ne s'agit pas d'un rendez-vous (ce qu'il confirme) mais tu es ainsi : tu ne peux pas t'en empêcher. Ça te rappelle à quel point il parle beaucoup quand il s'agit de s'expliquer...
▬ Comme tu le dis, je le sais déjà, je ne te demandais pas de te justifier. Mais... Tu marques une pause, le temps de te redresser. ▬ J'avoue que je suis curieuse maintenant. Donc j'accepte ta proposition. Tu pensais à un un restaurant en particulier, ou un fast-food ? Je te suis.
L'amour a ses raisons
Japonais en F79D6C - Anglais en A75502 - Français en ff9999
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 269■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
La bonne nouvelle, c’est qu’elle ne semblait pas me tenir rigueur de la dernière fois. De toute façon, le contexte était un peu particulier aussi ! En temps normal, je n’aborde pas une femme pour lui demander si elle est célibataire ou non, pas sans raison du moins. Je pense qu’Elizabeth doit être quelqu’un de sympathique, même si, agacée, la personne la plus sympathique du monde peut sembler un peu fermée sur le moment.
C’est pour ça qu’une seconde impression est toujours importante et qu’elle s’avère même souvent être la bonne. Malgré tout, je la rassure sur mes intentions, même si elle s’en doute déjà bien à la base, et à ma grande surprise… bon d’accord, pas vraiment surpris, juste enthousiaste de voir qu’elle accepte ! Je lui propose sur un ton détaché :
-Bon… eh bien je vais juste prendre une douche avant quand même ! Si ça te convient, on se rejoint devant les casiers dans 15 minutes. Et pour le resto, j’en connais un sympa qui a ouvert il n’y a pas longtemps, et je voulais tester.
Oui, parce que pour moi, un restaurant qui a ouvert et que je n’ai pas goûté, c’est juste impensable. Donc autant faire d’une pierre deux coups. On dit que mon cerveau serait plus souvent en contact avec mon estomac que l’inverse, et merci le sport de me permettre d’éliminer mes excès de gourmandise.
Bref, comme promis, après un rapide passage au vestiaire pour une bonne douche bien revigorante, je me rends à mon casier pour y déposer mon sac, avec deux minutes d’avance, c’est à noter. Peut-être qu’Elizabeth était déjà là. Mais à ma grande surprise, enfin agréable surprise, le casier à côté du mien s’ouvrit et je saluai Himawari avec un sourire détendu. La discussion s’enchaîna alors naturellement, mais je ne savais clairement pas comment me tenir. Adoptant une pose, puis une autre, et le plus bizarre, c’est qu’elle faisait pareil… Non, c’est mon imagination qui me joue des tours, enfin je crois.
Quoi qu’il en soit, il fallait bien qu’elle retourne à ses occupations, même si j’avais la sensation qu’aucun de nous n’avait réellement envie de partir. Je ne devais pas oublier Elizabeth. Hima referma son casier, mais sans réellement rompre le contact visuel, et après un petit au revoir, même si bon, on se doutait bien qu’on s’enverrait des messages plus tard, elle s’en alla en prenant la direction du couloir. Moi… bah je suis resté planté là, la main sur la porte de mon casier, captivé par les mouvements de la jeune femme, l’observant partir jusqu’à ce qu’à ma surprise, elle se retourne ! Mince, elle a dû voir que je la regardais ! Vite, faire un truc ! Je levai la main pour lui faire un signe, et elle me gratifia d’un sourire avant de partir enfin. … Attends, avant, elle n’était pas en train de rougir ? Non, c’est juste mon imagination. C'est forcement mon imagination même. Je refermai enfin mon casier et me retournai pour tomber nez à nez avec Elizabeth.
- Oh ben tu es là ! J’allais te cher… Attends, tu es là !? Depuis combien de temps ?
Ouais, plus discret tu meurs. Enfin bref, je réhaussai mes lunettes sur mon nez, et je n’aurais pas su dire si j’avais rougi aussi, mais en tout cas, ça m’était passé. Je rattrapai le coup en ajoutant sur un ton décontracté, plus naturel même que prévu. Je parlais en rigolant malgré tout, preuve que je n’étais pas sérieux dans mes propos, avant de le redevenir en posant ma question sur un ton plus sympathique :
- Non, parce que ce n’est pas très poli d’observer les gens dans le dos comme ça ! Prête pour bien manger ?
Je ne sais pas si c’est à elle que je disais ça, ou à moi-même en réalité. Je m’avançai vers la sortie du bâtiment, espérant simplement que le sujet ne tombe pas. Sauver les apparences, ça je sais encore faire, heureusement… Enfin, je crois !
C’est pour ça qu’une seconde impression est toujours importante et qu’elle s’avère même souvent être la bonne. Malgré tout, je la rassure sur mes intentions, même si elle s’en doute déjà bien à la base, et à ma grande surprise… bon d’accord, pas vraiment surpris, juste enthousiaste de voir qu’elle accepte ! Je lui propose sur un ton détaché :
-Bon… eh bien je vais juste prendre une douche avant quand même ! Si ça te convient, on se rejoint devant les casiers dans 15 minutes. Et pour le resto, j’en connais un sympa qui a ouvert il n’y a pas longtemps, et je voulais tester.
Oui, parce que pour moi, un restaurant qui a ouvert et que je n’ai pas goûté, c’est juste impensable. Donc autant faire d’une pierre deux coups. On dit que mon cerveau serait plus souvent en contact avec mon estomac que l’inverse, et merci le sport de me permettre d’éliminer mes excès de gourmandise.
Bref, comme promis, après un rapide passage au vestiaire pour une bonne douche bien revigorante, je me rends à mon casier pour y déposer mon sac, avec deux minutes d’avance, c’est à noter. Peut-être qu’Elizabeth était déjà là. Mais à ma grande surprise, enfin agréable surprise, le casier à côté du mien s’ouvrit et je saluai Himawari avec un sourire détendu. La discussion s’enchaîna alors naturellement, mais je ne savais clairement pas comment me tenir. Adoptant une pose, puis une autre, et le plus bizarre, c’est qu’elle faisait pareil… Non, c’est mon imagination qui me joue des tours, enfin je crois.
Quoi qu’il en soit, il fallait bien qu’elle retourne à ses occupations, même si j’avais la sensation qu’aucun de nous n’avait réellement envie de partir. Je ne devais pas oublier Elizabeth. Hima referma son casier, mais sans réellement rompre le contact visuel, et après un petit au revoir, même si bon, on se doutait bien qu’on s’enverrait des messages plus tard, elle s’en alla en prenant la direction du couloir. Moi… bah je suis resté planté là, la main sur la porte de mon casier, captivé par les mouvements de la jeune femme, l’observant partir jusqu’à ce qu’à ma surprise, elle se retourne ! Mince, elle a dû voir que je la regardais ! Vite, faire un truc ! Je levai la main pour lui faire un signe, et elle me gratifia d’un sourire avant de partir enfin. … Attends, avant, elle n’était pas en train de rougir ? Non, c’est juste mon imagination. C'est forcement mon imagination même. Je refermai enfin mon casier et me retournai pour tomber nez à nez avec Elizabeth.
- Oh ben tu es là ! J’allais te cher… Attends, tu es là !? Depuis combien de temps ?
Ouais, plus discret tu meurs. Enfin bref, je réhaussai mes lunettes sur mon nez, et je n’aurais pas su dire si j’avais rougi aussi, mais en tout cas, ça m’était passé. Je rattrapai le coup en ajoutant sur un ton décontracté, plus naturel même que prévu. Je parlais en rigolant malgré tout, preuve que je n’étais pas sérieux dans mes propos, avant de le redevenir en posant ma question sur un ton plus sympathique :
- Non, parce que ce n’est pas très poli d’observer les gens dans le dos comme ça ! Prête pour bien manger ?
Je ne sais pas si c’est à elle que je disais ça, ou à moi-même en réalité. Je m’avançai vers la sortie du bâtiment, espérant simplement que le sujet ne tombe pas. Sauver les apparences, ça je sais encore faire, heureusement… Enfin, je crois !
- Ps ::
- J'ai l'autorisation d'Himawari pour qu'elle apparaisse dans ma réponse !!!
- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 594■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ft. Junichi Yasuhisa
Un hochement de tête et un sourire entendu. Tu jettes ton sac par dessus ton épaule, te remémorant l'époque où tu peinais à aborder les autres. L'époque où le rouge te montait facilement aux joues. Ironiquement, l'époque où tu enchaînais les relations comme tu changeais de chemise. Jamais satisfaite, disait-on. C'est vrai, tu n'étais pas jamais satisfaite... de toi-même. Ça semble loin et pourtant, c'est comme si c'était hier.
▬ Ok, ne sois pas en retard. Un clin d'œil.
(...) Tu pardonnes, en quelque sorte. Parce que le spectacle vaut le coup. Parce qu'il t'est impossible de ne pas sourire, amusée, devant leur embarras. Devant cet instant de douceur. Ils sont comme des enfants, font remonter bien des souvenirs des abysses de ta mémoire. Quand la jolie jeune femme s'éloigne, tu fais mine de t'occuper, attends de voir après combien de temps le jeune homme compte réagir.
Trop.
Alors tu fais un pas vers lui. Un pas de loup.
Trop.
Mais une fois de plus, difficile de lui en vouloir.
▬ Depuis qu'il est l'heure ?
Un rapide coup d'œil sur sa montre, puis tu relèves les yeux vers le jeune homme, le regard empli de malice.
▬ Bien sur, monsieur l'éclaireur qui écoutait aux portes.
Tu lui emboîtes le pas, remontes facilement à sa hauteur.
▬ Elle est belle. lances-tu tout en le regardant du coin de l'œil. ▬ C'est elle, la fameuse personne que tu avais invitée au restaurant ? Une pause. ▬ Ce n'était pas discret. Le temps était au ralenti et pourtant, trop court. N'est-ce pas ? Un sourire. ▬ Tu n'as pas peur qu'elle se pose des questions ?
Aller cette fois, c'est toi qui enchaîne.
▬ Ok, ne sois pas en retard. Un clin d'œil.
(...) Tu pardonnes, en quelque sorte. Parce que le spectacle vaut le coup. Parce qu'il t'est impossible de ne pas sourire, amusée, devant leur embarras. Devant cet instant de douceur. Ils sont comme des enfants, font remonter bien des souvenirs des abysses de ta mémoire. Quand la jolie jeune femme s'éloigne, tu fais mine de t'occuper, attends de voir après combien de temps le jeune homme compte réagir.
Trop.
Alors tu fais un pas vers lui. Un pas de loup.
Trop.
Mais une fois de plus, difficile de lui en vouloir.
▬ Depuis qu'il est l'heure ?
Un rapide coup d'œil sur sa montre, puis tu relèves les yeux vers le jeune homme, le regard empli de malice.
▬ Bien sur, monsieur l'éclaireur qui écoutait aux portes.
Tu lui emboîtes le pas, remontes facilement à sa hauteur.
▬ Elle est belle. lances-tu tout en le regardant du coin de l'œil. ▬ C'est elle, la fameuse personne que tu avais invitée au restaurant ? Une pause. ▬ Ce n'était pas discret. Le temps était au ralenti et pourtant, trop court. N'est-ce pas ? Un sourire. ▬ Tu n'as pas peur qu'elle se pose des questions ?
Aller cette fois, c'est toi qui enchaîne.
L'amour a ses raisons
Japonais en F79D6C - Anglais en A75502 - Français en ff9999
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 269■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Bon, décidément, je ne savais plus franchement où me mettre sur l’instant. Ce n’est pas que j’étais mal à l’aise, mais un peu comme si j’étais un enfant qu’on avait surpris en train de voler un bonbon entre deux repas. Puis ce regard… Cette fille était assez maligne pour comprendre des choses que même moi j’étais incapable d’accepter. Bon, cela dit, j’étais quand même assez bon acteur pour donner le change, et sa réponse me fit même plutôt rire.
- Quel genre d’éclaireur je serais si je ne le faisais pas ? Avoue que si tu pouvais te changer en petite souris pour observer les autres, tu ne t’en priverais pas !
Après tout, c’est un peu le boulot d’un éclaireur, non ? Écouter aux portes, tâter le terrain. On peut dire que j’étais plutôt doué en la matière… ou en tout cas, j’aimais m’en vanter. Autant commencer à marcher, sauf que bien évidemment, les questions fusent, et d’un coup, je commence déjà à comprendre son petit jeu. Un petit lever d’yeux au ciel avec un soupir, pas si contraint puisque je souriais. Si moi j’étais l’enfant qui piquait un bonbon, elle était la petite qui posait les pires questions possibles, mettant les adultes dans des positions délicates ! Mais c’était une image, bien sûr ! D’enfant, elle ne devait avoir que l’esprit espiègle en ce moment. Malgré tout, je n’étais pas du genre à mentir quand ça m’arrange, autant être honnête puisque, de toute façon, je n’avais rien à cacher.
- Eh, dis donc toi ! Je t’en pose des questions sur ta vie sentimenta… Ah, ben oui, je l’ai un peu fait la dernière fois… Bon, ok ! On va dire balle au centre pour cette fois. Oui, c’est elle, mais ce n’était pas un rendez-vous… Enfin, c’est compliqué !
Ça l’est toujours de toute façon… Et oui, elle était belle, mais ça, je n’allais pas le reconnaître de vive voix. Cela dit, je n’avais pas honte de dire quand une femme était belle. Où est le mal ?
- Attends, ce n’était pas si long que ça, ça a à peine duré quelques secondes au max. Enfin, je n’ai pas l’impression qu’elle ait trouvé le temps si long de son côté.
Ouais, bon, autant dire que je n’avais pas du tout compris son image. Je ne me suis jamais vanté d’être un génie, cela dit ! Quoi qu'il en soit, ouais, il y avait bien un truc, mais c’était difficile d’en parler comme ça. Autant éluder un peu l’histoire, sans quoi je risquais de la perdre dans des méandres scénaristiques assez compliqués… Ce qui était souvent le cas quand mon père se mêlait de mes affaires d’un peu trop près.
- Je pense qu’elle s’en pose déjà, pour être honnête. Mais c’est un peu de ma faute : je nous… enfin « je »… Bref, je nous ai mis dans une situation un peu délicate, et maintenant, bah, je ne sais plus franchement comment m’en sortir. D’ailleurs, en parlant d’amour délicat, il va falloir que je te parle de ton amoureux transi de la dernière fois. Je t’ai arrangé le coup, en un sens, parce que je suppose que tu as dû remarquer qu’il n’est plus vraiment dans les parages depuis un moment.
Bref, de toute façon, nous n’allions pas parler de ça sur le chemin. Je proposais de remettre la discussion à plus tard. Le trajet ne fut pas si long : un bus, deux ou trois arrêts, un peu de marche, à peine cinq minutes à tout casser, et nous voila à l'endroit ou je souhaité allé. En vérité, c’était l’ambiance que j’aimais bien, mais la nourriture semblait vraiment délicieuse. Un petit restaurant japonais assez traditionnel, pas cher en plus, mais bien planqué entre de grosses enseignes. L’endroit était simple mais visiblement accueillant : on pouvait commander au comptoir et une serveuse apportait les plats à table. Deux zones, une simple et une plus zen, avec un bassin à carpes et même le bambou qui tape régulièrement pour l’ambiance. Évidemment, spécialités japonaises : ramens, grillades, etc. Cela dit, de la plupart des restaurants que j’avais pu trouver, il semblait être un des meilleurs sur le rapport qualité-prix, et sur ce point, gros mangeur que j’étais, je pouvais me vanter de m’y connaître !
- Bon, je te laisse commander en premier, parce qu’après tu risques de me dire que je ne suis pas galant. Et je te laisse même choisir où tu veux t’asseoir !
Pitié, le bambou, j’adore, c’est presque hypnotisant je trouve !
- Quel genre d’éclaireur je serais si je ne le faisais pas ? Avoue que si tu pouvais te changer en petite souris pour observer les autres, tu ne t’en priverais pas !
Après tout, c’est un peu le boulot d’un éclaireur, non ? Écouter aux portes, tâter le terrain. On peut dire que j’étais plutôt doué en la matière… ou en tout cas, j’aimais m’en vanter. Autant commencer à marcher, sauf que bien évidemment, les questions fusent, et d’un coup, je commence déjà à comprendre son petit jeu. Un petit lever d’yeux au ciel avec un soupir, pas si contraint puisque je souriais. Si moi j’étais l’enfant qui piquait un bonbon, elle était la petite qui posait les pires questions possibles, mettant les adultes dans des positions délicates ! Mais c’était une image, bien sûr ! D’enfant, elle ne devait avoir que l’esprit espiègle en ce moment. Malgré tout, je n’étais pas du genre à mentir quand ça m’arrange, autant être honnête puisque, de toute façon, je n’avais rien à cacher.
- Eh, dis donc toi ! Je t’en pose des questions sur ta vie sentimenta… Ah, ben oui, je l’ai un peu fait la dernière fois… Bon, ok ! On va dire balle au centre pour cette fois. Oui, c’est elle, mais ce n’était pas un rendez-vous… Enfin, c’est compliqué !
Ça l’est toujours de toute façon… Et oui, elle était belle, mais ça, je n’allais pas le reconnaître de vive voix. Cela dit, je n’avais pas honte de dire quand une femme était belle. Où est le mal ?
- Attends, ce n’était pas si long que ça, ça a à peine duré quelques secondes au max. Enfin, je n’ai pas l’impression qu’elle ait trouvé le temps si long de son côté.
Ouais, bon, autant dire que je n’avais pas du tout compris son image. Je ne me suis jamais vanté d’être un génie, cela dit ! Quoi qu'il en soit, ouais, il y avait bien un truc, mais c’était difficile d’en parler comme ça. Autant éluder un peu l’histoire, sans quoi je risquais de la perdre dans des méandres scénaristiques assez compliqués… Ce qui était souvent le cas quand mon père se mêlait de mes affaires d’un peu trop près.
- Je pense qu’elle s’en pose déjà, pour être honnête. Mais c’est un peu de ma faute : je nous… enfin « je »… Bref, je nous ai mis dans une situation un peu délicate, et maintenant, bah, je ne sais plus franchement comment m’en sortir. D’ailleurs, en parlant d’amour délicat, il va falloir que je te parle de ton amoureux transi de la dernière fois. Je t’ai arrangé le coup, en un sens, parce que je suppose que tu as dû remarquer qu’il n’est plus vraiment dans les parages depuis un moment.
Bref, de toute façon, nous n’allions pas parler de ça sur le chemin. Je proposais de remettre la discussion à plus tard. Le trajet ne fut pas si long : un bus, deux ou trois arrêts, un peu de marche, à peine cinq minutes à tout casser, et nous voila à l'endroit ou je souhaité allé. En vérité, c’était l’ambiance que j’aimais bien, mais la nourriture semblait vraiment délicieuse. Un petit restaurant japonais assez traditionnel, pas cher en plus, mais bien planqué entre de grosses enseignes. L’endroit était simple mais visiblement accueillant : on pouvait commander au comptoir et une serveuse apportait les plats à table. Deux zones, une simple et une plus zen, avec un bassin à carpes et même le bambou qui tape régulièrement pour l’ambiance. Évidemment, spécialités japonaises : ramens, grillades, etc. Cela dit, de la plupart des restaurants que j’avais pu trouver, il semblait être un des meilleurs sur le rapport qualité-prix, et sur ce point, gros mangeur que j’étais, je pouvais me vanter de m’y connaître !
- Bon, je te laisse commander en premier, parce qu’après tu risques de me dire que je ne suis pas galant. Et je te laisse même choisir où tu veux t’asseoir !
Pitié, le bambou, j’adore, c’est presque hypnotisant je trouve !
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