Shopping en quête du Mont Peluche Ft Beck

La psychologue avait passé la plupart de sa soirée à écrire les comptes rendus sur son ordinateur portable pour se mettre à jour dans ses dossiers de ses patients et elle ne s'était pas couché tôt la veille. Le soleil se levait, et se redressait dans son lit en observait les rayons de l'astre solaire percer les rideaux de son appartement tout en marchant d'un pas lent en quête d'un bon café. La jeune femme fit couler son café doucement dans sa tasse en porcelaine, tout en se servant dans le frigo de confiture et se faire griller quelques tartines de pain complet.

Une fois son petit déjeuner terminé, la jeune femme s'habillait de sa belle robe rouge style pull-over et qui donnait un côté classe pour pouvoir sortir dehors. Elle avait quelques courses à faire et devait remplir son frigo davantage pour faire quelques emplettes en plus et vu qu'elle avait reçue sa paie il y a peu, elle voulait en profiter un petit peu pour remplir ses placards. Elle prit le tramway avec ses petits cabas pour se diriger vers le centre commercial et acheter quelques fournitures utiles pour sa maison.

Elle pensait également qu'il fallait qu'elle égaye davantage ses peluches dans son bureau et qu'il fallait en prendre un petit peu, elle était fan de ce genre de choses et cela pouvait paraître étrange, mais certains patients aimaient les serrer contre eux lors des thérapies un peu lourde et cet objet de l'enfance avait cette tendance à être réconfortantes, d'autres pensaient à quelque chose de glauque dans les films d'horreur ou que ça allait s'animer. Les peluches pouvaient les mettre davantage mal à l'aise.



On pourrait prendre la jeune femme pour une folle parce qu'elle se parlait toute seule, mais ce n'est pas grave. Beaucoup de gens le font ! Elle prit un panier pour se diriger dans les rayons et prendre quelques bricoles pour pouvoir se sustenter durant la semaine qui allait suivre. La jeune femme marchait d'un pas assuré, mais il était probable qu'elle se dirigeait vers un rayon qu'elle appréciait comme le mont peluche et voir toutes les nouveautés qu'il y avait de proposé.

Une fois arrivée à destination, la psychologue vit de jolies peluches en forme d'ours tout duveteux. C'était plutôt tentant de pouvoir en acheter un ou deux afin de remplir sa collection de son office. Elle vit une tête blonde passer devant elle, un peu intriguée car cette tête lui paraissait familière. Elle ne l'avait que croisé dans les couloirs et non en consultation, entendue peut être des étudiants l'appeler par son prénom, mais rien de plus. Aucun lien ne les liait, mais Beck voulait tenter et savoir si c'était bien la personne qu'elle pensait être.



Ce n'était pas dans les habitudes de Beck d'interpeller des gens comme ça dans des lieux publics, surtout que certains passants s'étaient retournés à l'appel du prénom de son interlocuteur. En espérant que la jeune femme ne se soit pas trompé de personne car ce serait vraiment gênant dans l'immédiat de se tromper de cette manière ! Elle s'approchait de l'homme avec ces quelques bricoles dans son panier pour parler plus près de ce dernier et éviter de parler à distance, cela serait stupide.

La psychologue était contente que c'était bien kazuki. Avec ces deux peluches dans son panier, elle était grillée qu'elle allait ajouter cela à sa collection du mont peluches dans son bureau. C'était tout doux, tout duveteux et agréable afin de faire des câlins. Parler à un doudou qui ne répondrais pas, mais quand on était enfant, on le faisait.

Elle se rappelait un souvenir de son passé, avec ce petit linge qui avait l'odeur de sa mère et qui l'a réconfortait lors des moments de doutes ou de tristesse. La jeune femme en gardait de bons moments en mémoire, cela peut être un peu bête vu sous cet angle, mais c'était assez compliqué en tant que gosse traumatisé par le côté social. Manque de peau, son métier l'était.



Elle ne faisait rien aujourd'hui, du coup elle en profitait pour remplir son frigo presque vide. En tant que célibataire, les courses n'étaient fréquentes mais elle en faisait au moins toutes les deux semaines. La psychologue était heureuse de pouvoir discuter un peu avec Ikeda.



Elle souriait quelques instants pour pouvoir guider l'étudiant en route pour le présentoir où il y avait toutes sortes de peluches qualitative. Beaucoup de clients s'y rendait pour acheter cela à leur bambins ou pour faire des cadeaux à leur petits enfants. La peluches étaient en quinconces et se présentaient en forme pyramidale géante et était même impressionnante.

Des oursins, des girafes, des licornes ou d'autres en tout genre trônaient devant. La psychologue observait cette chose impressionnante.

Lors des séances de psychologie, les patients avaient tendance à serrer très fort dans leur bras les dîtes peluches. En ayant besoin de réconfort il le fallait. Les patients partaient souvent avec l'une d'entre elles s'il y tenait vraiment. De temps en temps, la demoiselle se fournissait dans ce centre commercial ou allant dans d'autres endroits pour pouvoir varier un peu les choix et les propositions que les magasins pouvaient faire.

Chez elle, Beck en avait quelques unes qui trônaient sur son étagère au dessus de son lit. Sa chambre faisait penser à une chambre d'enfant, mais pas du tout. Elle trouvait une sorte de réconfort et d'une enfance qu'elle n'a pas vraiment vécue, profité durant sa jeunesse. La jeune femme n'était pas honteuse, certains adultes dorment encore avec des doudous mais vu qu'elle n'avait qu'un chat dans son appartement, il n y avait que lui qui pouvait la juger sur ce genre de pratique.

Elle affichait un petit sourire en guise d'approbation et regardant Kazuki qui semblait être émerveillé par ce truc pyramidale de peluches.



Qui ne craquerait pas devant ses peluches toutes duveteuses et toute douce qui ont l'air toute câline. La psychologue appréciait collectionner certaines peluches, un peu plus rares de certaines marques qu'elle conservait chez elle et qu'elle rangeait soigneusement. Ses commodes et étagères étaient rangées minutieusement et chaque peluche avait sa place.




La jeune femme se sentait un peu ridicule de parler d'un truc rempli de coton ou de d'autres matière pour le rendre agréable au toucher. Parler de cela avec un étudiant, bien que certains trouvent ça étrange cette passion pour les ours ou autres animaux en peluches qu'elle affectionnait particulièrement. Elle n'en avait pas partout, n'allez pas croire mais Beck avait ce manque et il est vrai que si elle avait un enfant, il en serait pourri gâté !

Ce n'est effectivement pas facile de se confier à quelqu'un, surtout d'inconnus. Après, certains patients on l'a culpabilité de ne pas en avoir parlé à leurs parents ou proche du soucis qui les travaillent. On dit très souvent que c'est plus facile de se confier à quelqu'un que l'on ne connait pas et qu'il y a pas forcément cette sensation d'être jugé puisque c'est le métier du professionnel. Avoir les bonnes astuces pour se remettre d'un traumatisme n'était jamais évident !

Elle acquiesça en marchant lentement dans les rayons pour éviter de monopoliser le stand et empêcher d'autres potentiels acheteurs de prendre ce qui leur plaît au niveau du choix assez conséquent de peluches qui avaient l'air qualitatifs. Elle prenait quelques articles frais dans son panier, des oeufs, du jambon, un peu de fromage et deux, trois bouteilles de lait. Ensuite, ils avancerons vers les légumes en attendant Kazuki s'il avait quelque chose d'autre à prendre dans les rayons.



Elle prenait quelques oranges pour pouvoir se concocter du jus d'orange maison, du raisin et puis quelques clémentines. Un bon mélange de fruits pour faire le plein de vitamines avant de partir au travail ! Les journées étaient assez fatiguante, malgré de rester sur une chaise à écouter geindre des personnes. Et surtout tenter de trouver des solutions à leurs problèmes. Ce n'est pas évident, Beck adore écouter les gens et parfois leur donner des petites solutions grâce à son vécu.



La jeune femme souriait à Kazuki, prenant du plaisir à discuter avec les étudiants qu'elle pouvait croiser dans les endroits publics. La psychologue était quelqu'un de très sociable, bien que vouée à la solitude quotidienne.

Elle remarquait que Kazuki semblait à l'aise de sa présence et qu'il ne semblait pas du tout dérangé de faire ces achats en présence de la psychologue scolaire. La jeune femme souriait toujours, marchant lentement dans les rayons histoire de ne pas manquer un article de sa liste de course ou de ne pas manquer quelque chose d'intéressant pour lui donner des idées de recettes. Elle trouvera ensuite des algues, avec du riz rond et collant pour ensuite prendre une boite de légumes vert ainsi que du saumon. La jeune femme avait envie de se cuisiner de Sushi et des makis ce soir.

Puis elle prendra des sauces épicées, d'autres sucrées et de tous choix pour remplir son placard. Son frigo était vide et il fallait le remplir pour la semaine. Au fil de la marche, son panier de course se remplissait à vu d'œil et la jeune femme pouvait se permettre étant donné qu'elle était seule, alors elle pouvait sr faire plaisir. Surtout côté culinaire, c'était son petit plaisir comme certains s'attarderait devant les stands de jeux vidéos.



Une simple question lancée comme ça pour mener une conversation, sans laisser de blanc gênant pendant la marche. Et il y avait aucun mal à discuter avec un élève de l'établissement de KHS. La psychologue n'avait pas de gêne de ce côté là et que statistiquement, elle aurait plus de chance de rencontrer un étudiant qu'un employé. Après, l'approche n'est pas du tout la même et elle savait le reconnaître.

Beck viendra ensuite prendre dans les rayons des gousses de soja ou d'autres choses intéressante pour faire des salades de saison. Elle était inspirée et ce magasin regorgeait de nourriture plus ou moins intéressante pour les recettes qu'elle a pu voir passer sur les émissions qui passe aux mêmes heures le soir. Une véritable femme au foyer !

La discussion semblait simple entre les deux protagonistes. La jeune femme prenait du plaisir à discuter avec Kazuki, elle prenait soin de ne pas monopoliser le rayon et de ne pas rester en plein milieu. Elle appréciait cet échange, ce moment où l'autre tentait d'apprendre davantage sur l'autre histoire de faire connaissance et l'étudiant ne semblait pas désintéressé de la chose, essayant de prendre soin de s'intéresser aux passions de la psychologue.



Certains étudiants n'ont pas envie de s'embêter à cuisiner par manque de temps et préfère acheter des trucs à réchauffer au micro onde en cinq minutes. Dans un sens ils ont pas tords, mais dans l'autre ce n'est pas très diététique bien qu'un étudiant bouge beaucoup alors ce n'est pas comme ça qu'il deviendra obèse.

Une conversation qui ne donnait pas l'impression d'une conversation entre un élève et un adulte. Juste deux personnes qui se connaissaient et qui discutaient de la pluie, du beau temps. Oribe avec ses traumatismes sociaux, il est difficile de devoir d'enlever la casquette de psychologue. Mais, les étudiants de Kobe la mettait à l'aise.

La thérapeute continuait à marcher un peu dans les allées pour prendre d'autres articles et continuer la conversation avec le blondinet.



Quand on est étudiants, pas le temps de cuisiner comme de faisait la remarque Oribe. La psychologue savait bien que kazuki pouvait avoir recours à ce genre de facilité, mais c'était logique et Beck n'allait pas blâmer les personnes faisant appel à ce genre de facilité ou les Konbini. Ce n'était pas un crime.



Ce n'était pas rare que les jeunes préféraient être enfermé chez eux, à flâner sur les réseaux sociaux. Et surtout que de moins en moins sortent boire un verre dehors, en bonne compagnie ou entre amis. La jeune femme le savait pertinemment qu'il fallait qu'elle sorte plus de chez elle.

Beck a eu son appartement depuis qu'elle est étudiante, les économies et ceux de ses parents lui avait permis de pouvoir avoir son chez elle. Pendant ses études, il lui arrivait d'aller faire quelques services en restauration pour pouvoir payer son loyer. Mais après, elle a réussie à intégrer un cabinet privé, alors les moyens étaient bien meilleur après ses études et donc cela lui permettait d'avoir une vie plus aisée.

La psychologue réfléchissait comment remplir son frigo davantage avec tout ces choix dans les rayons. Dans ce magasin, il y avait énormément de choses à acheter et parfois on ressortirait avec plus d'articles que prévus.



Une question banale mais qui démontre que la psychologue s'intéressait au parcours scolaire des étudiants. Même s'il y avait peu de probabilité que kazuki vienne dans son office pour parler de ses tourments ou même de ses doutes concernant les examens. Car oui, même des étudiants de KHS venaient dans son bureau pour parler de leurs angoisses. Et Beck était là en quelque sorte pour les rassurer, avec ses mots.



La jeune femme regardait son téléphone et ensuite sa liste de courses pour voir s'il ne lui manquait rien. La psychologue était contente de savoir que cette conversation n'ennuyait guère son interlocuteur, en tout cas de ce que ce dernier lui faisait ressentir.

La conversation était des plus naturelle, tout en gardant en tête que c'était quelque chose de constructif et positif. La thérapeute prenait le temps de discuter, elle n'avait rien à faire et pas de choses vraiment froide dans son panier pour respecter la chaîne de froid du surgelé etc.

Alors elle s'autorisait le luxe de discuter avec un étudiant, essayant d'apprendre à vivre avec son époque et essayant de connaître comment vivait les étudiants aujourd'hui. Si c'était différent de l'époque où elle était en faculté de psychologie. Peut être ? Mais les méthodes n'ont pas changé, peut être moins de gadgets et de technologies. Plus le nez dans les livres de bibliothèque que flâner sur internet, en tout cas c'était la situation que Beck connaissait.



certains avaient la chance de pouvoir ouvrir un livre de cours et juste lire une, deux fois. Après c'était enregistré dans le cerveau et le lendemain, les informations étaient toujours bien ancrées. Alors que d'autres, il fallait des heures voir du par cœur pour apprendre la leçon afin que les résultats à la fin soient sympathique.



La jeune femme parlait sans se rendre compte de ses expériences personnelles et kazuki faisait au mieux pour suivre ses dires. En tout cas, il ne semblait pas désintéressé et la conversation semblait ne pas s'arrêter pour le moment car il y avait toujours un sujet. Et Beck appréciait ce moment !

Kazuki avait raison de ne pas rester sur ses acquis. Il ne faut pas se contenter du minimum pour avoir le minimum syndical. Ce n'est pas quelque chose de toléré, surtout par des élèves qui eux révisent des heures pour obtenir des résultats satisfaisants. Beck écoutait avec beaucoup d'enthousiasme le discours de l'élève concernant sa manière de réviser.

Faire petit à petit les choses afin que les informations rentrent progressivement dans notre cerveau. C'est mieux, car trop d'infos d'un seul coup, nous en sommes noyés st nous ne retenons que cinquante pourcents voir moins qu'il était convenu.



Kazuki semblait être mature et réfléchi. En tout cas, des apparences qu'il en donnait à la psychologue. C'était une conversation très sympathique et parfois dans les mots de l'étudiant, la jeune femme pouvait s'y retrouver dans ses mots.



Elle continuera à marcher lentement dans les rayons pour mettre dans son panier des articles qui lui servirait pour faire une soupe miso, une soupe au poisson....

La conversation semblait être passionnante. Parler de livres ou de passions qui pouvaient animer les deux protagonistes. La psychologue avait un grand sourire, écoutant méticuleusement chaque mot que pouvait dire l'homme. La lecture sur ordinateur, elle n'y avait jamais pensé. Mais Beck faisait partie de la vieille école.

Il est vrai que son panier était rempli de pleins de bonnes choses qui pouvait lui permettre de fabriquer de bons repas pour le midi ou le soir. La cuisine était l'une de ses plus grande passions, à vrai dire, elle se sentait exister quand elle faisait ce genre d'art. Car oui, la cuisine est un art.



Ils avançaient progressivement vers la caisse. La thérapeute était heureuse de mener une telle discussion, même avec quelqu'un comme la personnalité de kazuki qui semblait avoir des sujets de conversation plus qu'intéressants les uns que les autres. Rencontrer des gens au supermarché était quelque chose de banale, mais encore mieux quand on connaissait quelques têtes.

Il lui arrivait rarement de rencontrer ou d'aborder les gens de cette manière. Mais Oribe avait quelque peu changé ses habitudes ! Enfin, comme toute personne elle aime bien être tranquille quand elle faisait ses courses. Elle passera par le rayon librairie, où il y avait toute sorte de livres selon la thématique préférée du client. On pouvait passer du romantique au policier, voir même horreur. La jeune femme examinait les auteurs ainsi que les nouveautés présentes.

Un bon petit déjeuner à l'anglaise était quelque chose d'intéressant et qui pouvait tenir au corps. C'était important de bien démarrer la journée avec quelque chose qui tienne jusqu'à l'heure du déjeuner, il y a même certaines personnes qui font le jeune intermittent. C'est à dire bien manger le matin et ne manger que le soir, et le corps s'en sort très bien. Il pouvait arriver à Beck de faire cette méthode pour maintenir son corps en forme toute la journée et elle n'éprouve pas cette sensation de faim.

Un bon petit déjeuner salé avec du bacon, des oeufs, du fromage et quelque chose qui tienne au corps comme des céréales ou un bol de müesli. La jeune femme souriait à écouter les dires de Kazuki avec une grande attention, elle n'était pas la seule à manger des petits déjeuner consistant pour bien commencer sa journée.



La thérapeute n'était pas là pour faire un cours de diététique, mais il est important d'avoir une bonne alimentation. Comme on dit,  ne pas manger trop gras, trop sucré et trop salé. Manger cinq fruits et légumes par jour, enfin cela dépend pour qui cela est valable. Car parfois, certains corps ne supportent pas trop de légumes ou de fruits. On ne vous fera pas un dessin !

Kazuki semblait un fin connaisseur concernant les livres qu'il pouvait proposer à la jeune femme. Elle attendait patiemment avec son panier au bras et puis voyant le livre que ce dernier lui proposait. Alors, elle vint à le prendre en main, toujours avec un grand sourire sur les lèvres. Une nouvelle lecture à dévorer les soirs en rentrant du travail pour s'occuper l'esprit. Etant seule, ce n'est pas son chat qui allait l'empêcher de bouquiner.



C'était certainement la dernière question que Beck poserait à l'étudiant. Elle ne voulait pas l'assaillir de questions et surtout qu'il devait avoir besoin de faire autre chose qu'à perdre son temps à papoter avec la psychologue scolaire.

Quand on a des amis qui ont des cursus différents du notre, il est difficile de jongler entre les emplois du temps de chacun. Mais d'après les dires de kazuki, ils arrivent à trouver leur organisation et c'est très bien ainsi. Réussir à faire des sorties avec les autres, des jeux et arriver à se distraire entre les études qui doivent prendre un temps fou. Beck comprenait l'implication qu'il fallait donner dans les études, peu importe soit t'elles.

Elle affichait toujours ce doux sourire, approchant doucement de la caisse tout en écoutant l'étudiant qui semblait être prit dans la discussion.



En parlant d'occupation, c'est difficile à avoir des activités en dehors. Surtout quand la période d'examen demande pas mal d'implication auprès des élèves qui sont dans le stress, l'anxiété des révisions et surtout d'avoir peur de ne pas y arriver.

Faire l'impasse entre vie personnelle et les cours c'est difficile pour un jeune. Enfin, même pour nous en tant qu'adulte, faire abstraction est compliqué. Mais kazuki ne semblait pas faire partie de ces élèves qui étaient en difficulté de ce côté là. La psychologue réfléchissait à sa réponse concernant à ce qu'elle allait dire à l'étudiant qui semblait ne pas couper court à la conversation.

Beck n'avait pas le temps de se dire que le temps passait trop lentement. Ses journées étaient trop occupés et trop compliqué de trouver du temps libre parfois pour respirer. Mais quand elle était plus jeune, le temps passait plus lentement. En théorie, c'est qu'on s'ennuie et que ce que l'on fait sur l'instant même est que l'on s'ennuie.

La psychologue le savait pertinemment que chacun ne percevait pas forcément les choses de la même manière ou que ceux qui sont impatients ne perçoivent pas la notion du temps pareil. Suite à cela, la japonaise affichait un petit sourire à Kazuki.



La proposition de kazuki concernant ses produits frais et de passer devant était une proposition des plus gentilles. La psychologue affichait toujours ce même visage, un élève bien éduqué et qui semblait être de bonne attention. La conversation arrivait bientôt à sa fin, ils avaient bien discutés et la jeune femme se sentait bien.

Il est vrai que cet après midi, elle n'avait pas le temps de se poser. Quelques rendez-vous de prévu avec des étudiants dans le besoin et parfois une boîte d'intérim pouvait faire appel à elle pour des services de cuisine à domicile pour les personnes âgées isolées.



Beck savait que ce n'était pas la dernière fois qu'elle voyait le blondinet. Elle savait qu'elle le reverrait peut être à la rentrée s'il était encore là. En tout cas, une personne tout à fait sympathique.