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- InvitéInvité
Les cours étaient finis depuis un moment et comme à son habitude, Soren s’était rendu au club de Kendo. Il y passa un moment avec Riku tout en s’entrainant. Visiblement, ils avaient une nouvelle référente pour le club de Kendo, ce qui semblait être une bonne nouvelle pour tout le monde. Le jeune homme se dit qu’il se présenterait dès que possible car depuis quelques jours, il n’avait pas pu venir au club.
Fidèle à ses habitudes, l’étudiant décida de rester un peu plus longtemps pour continuer à s’exercer, ce qui fit soupirer sa blonde de sœur qui lui demanda rapidement si c’était pour forcer et se faire encore mal comme la dernière fois avec Lizzy. Soren la rassura bien vite pour lui confirmer qu’il voulait en profiter pour répéter la chorée pour le prochain spectacle dans le restaurant de leur oncle.
Elle le laissa tranquille sans cherché plus loin, préférant savoir cela que de s’imaginé son frère en faire trop. Il sourit doucement en voyant la porte se referme derrière elle. Il posa son téléphone et récupéra un long paquet qu’il avait posé dans un coin de la pièce à son arrivé. Le jeune homme y rangea son shinai pour en sortir un sabre de bois, plus lourd et muni d’un fourreau. Comme le Kenbu imposé de souvent dégainé et rengainé son arme, il était bien plus idéal pour s’entrainé. Il glissa donc le sabre à la ceinture de sa tenue bleu nuit.
Même si les sabres durant les danses n’était pas des armes mortels au tranchant acéré, le risque zéro n’existait pas et seul l’expérience pouvait prévenir certaine blessure dans la pratique. Surtout quand il s’agissait de vouloir rendre la danse aussi réaliste que possible. Alors, à défaut d’un vrai sabre, il avait ce qui s’en rapprochait le plus et largement lesté pour reproduire le poids d’un sabre de danse.
- Bon, un peu de musique est c’est parti.
Après avoir mis une musique d’ambiance, le jeune homme ne tarda pas à danser, dégainant son arme et la rangeant avec habilité. Il était souple et savait s’y prendre dans la pratique du Kenbu. En fait, il était même plus doué pour ça que pour la pratique du Kendo. En plein milieu de sa chorégraphie, la porte s’ouvrit et il se retourna vivement pour faire face à la personne entrante. Il se permit de dire d’une voix détendu après avoir rangé son « arme ».
- Bonsoir… Si vous cherchez quelqu’un, la séance de club et terminé depuis un moment.
Un détail interpella le jeune homme, il avait entendu la porte se referme, mais pas s’ouvrir… depuis combien de temps était-elle la ?
Fidèle à ses habitudes, l’étudiant décida de rester un peu plus longtemps pour continuer à s’exercer, ce qui fit soupirer sa blonde de sœur qui lui demanda rapidement si c’était pour forcer et se faire encore mal comme la dernière fois avec Lizzy. Soren la rassura bien vite pour lui confirmer qu’il voulait en profiter pour répéter la chorée pour le prochain spectacle dans le restaurant de leur oncle.
Elle le laissa tranquille sans cherché plus loin, préférant savoir cela que de s’imaginé son frère en faire trop. Il sourit doucement en voyant la porte se referme derrière elle. Il posa son téléphone et récupéra un long paquet qu’il avait posé dans un coin de la pièce à son arrivé. Le jeune homme y rangea son shinai pour en sortir un sabre de bois, plus lourd et muni d’un fourreau. Comme le Kenbu imposé de souvent dégainé et rengainé son arme, il était bien plus idéal pour s’entrainé. Il glissa donc le sabre à la ceinture de sa tenue bleu nuit.
Même si les sabres durant les danses n’était pas des armes mortels au tranchant acéré, le risque zéro n’existait pas et seul l’expérience pouvait prévenir certaine blessure dans la pratique. Surtout quand il s’agissait de vouloir rendre la danse aussi réaliste que possible. Alors, à défaut d’un vrai sabre, il avait ce qui s’en rapprochait le plus et largement lesté pour reproduire le poids d’un sabre de danse.
- Bon, un peu de musique est c’est parti.
Après avoir mis une musique d’ambiance, le jeune homme ne tarda pas à danser, dégainant son arme et la rangeant avec habilité. Il était souple et savait s’y prendre dans la pratique du Kenbu. En fait, il était même plus doué pour ça que pour la pratique du Kendo. En plein milieu de sa chorégraphie, la porte s’ouvrit et il se retourna vivement pour faire face à la personne entrante. Il se permit de dire d’une voix détendu après avoir rangé son « arme ».
- Bonsoir… Si vous cherchez quelqu’un, la séance de club et terminé depuis un moment.
Un détail interpella le jeune homme, il avait entendu la porte se referme, mais pas s’ouvrir… depuis combien de temps était-elle la ?
- Musique sur le téléphone au moment ou Soren entend la porte se refermer.:
- InvitéInvité
La journée de cours était enfin finie, ça à été plutôt chargé aujourd’hui, c’est fou tous les problèmes que ces élèves peuvent s’attirer. Malheureusement ce n’est pas non plus complètement fini pour moi. Quand je suis arrivée on m’a annoncé que le club de kendo du campus n’avait pas de référent alors bonne poire comme je suis, je me suis dit que ce serait une bonne idée.
En vrai j’exagère, déjà ça me donnera un cadre pour continuer à m’entrainer, je n’ai pas continué de pratiquer toute ces années pour m’arrêter maintenant. Mais depuis que je suis arrivée je n’ai pas eu beaucoup de temps à y consacrer. Je me suis donc obligée à y aller aujourd’hui.
Me voilà donc en chemin vers la salle du club, je me demande s’il y aura encore quelqu’un, j’ai trainé un peu pou finir de remplir quelques papiers donc peut être qu’ils sont tous partis. Au moins je pourrais avoir un meilleur aperçu des lieux.
J’ouvre donc la porte et j’entends immédiatement une musique, je ne suis donc pas seule. En relevant la tête j’aperçois un garçon, environ vingt ans je dirais, en train de pratiquer des mouvements de kenbu. J’y est été initiée quelque peu mais ce n’est pas vraiment mon fort.
Je reste donc la un instant à l’observer, j’ai déjà deviné de qui il s’agit, j’ai quand même pris la peine de me renseigner sur qui était le président de ce club. Soren Haruka, et de ce qu’on m’a dit il est plutôt doué, même si sa petite sœur ne serait pas à plaindre non plus.
Après une ou deux minutes je referme la porte derrière moi de manière à ce qu’il l’entende. Rien ne sert de l’observer en silence trop longtemps, je ne voudrais pas lui faire peur. Il range donc son sabre en bois avant de s’adresser à moi. Je me rapproche de lui et sans surprise il m’arrive à peu près au niveau du menton.
« Bonsoir, excuse-moi de ne pas être venue me présenter plus tôt, je m’appelle Hanna Johansen, je suis la nouvelle référente. Et tu dois être Haruka-san n’est-ce pas ? »
Je suis presque sûre de moi, mais sait-on jamais. D’ailleurs puisqu’il est la autant en profiter.
« Je comptais faire une petite séance d’entrainement, cela te tente de m’accompagner ? »
J’aimerais voir si tout ce qu’on m’a dit est bel et bien fondé.
En vrai j’exagère, déjà ça me donnera un cadre pour continuer à m’entrainer, je n’ai pas continué de pratiquer toute ces années pour m’arrêter maintenant. Mais depuis que je suis arrivée je n’ai pas eu beaucoup de temps à y consacrer. Je me suis donc obligée à y aller aujourd’hui.
Me voilà donc en chemin vers la salle du club, je me demande s’il y aura encore quelqu’un, j’ai trainé un peu pou finir de remplir quelques papiers donc peut être qu’ils sont tous partis. Au moins je pourrais avoir un meilleur aperçu des lieux.
J’ouvre donc la porte et j’entends immédiatement une musique, je ne suis donc pas seule. En relevant la tête j’aperçois un garçon, environ vingt ans je dirais, en train de pratiquer des mouvements de kenbu. J’y est été initiée quelque peu mais ce n’est pas vraiment mon fort.
Je reste donc la un instant à l’observer, j’ai déjà deviné de qui il s’agit, j’ai quand même pris la peine de me renseigner sur qui était le président de ce club. Soren Haruka, et de ce qu’on m’a dit il est plutôt doué, même si sa petite sœur ne serait pas à plaindre non plus.
Après une ou deux minutes je referme la porte derrière moi de manière à ce qu’il l’entende. Rien ne sert de l’observer en silence trop longtemps, je ne voudrais pas lui faire peur. Il range donc son sabre en bois avant de s’adresser à moi. Je me rapproche de lui et sans surprise il m’arrive à peu près au niveau du menton.
« Bonsoir, excuse-moi de ne pas être venue me présenter plus tôt, je m’appelle Hanna Johansen, je suis la nouvelle référente. Et tu dois être Haruka-san n’est-ce pas ? »
Je suis presque sûre de moi, mais sait-on jamais. D’ailleurs puisqu’il est la autant en profiter.
« Je comptais faire une petite séance d’entrainement, cela te tente de m’accompagner ? »
J’aimerais voir si tout ce qu’on m’a dit est bel et bien fondé.
- InvitéInvité
Soren s’était retourné vivement en entendant la porte se refermer et vit une personne qu’il n’avait encore jamais rencontrée auparavant. Une adulte, visiblement, était-elle perdue ? Possible. Il proposa donc son aide sans hésiter, non sans stopper la musique au passage par respect. Cependant, l’inconnue ne semblait pas vraiment perdue, elle semblait même être là où elle voulait être.
Elle se présenta, Hanna Johansen et elle était la nouvelle référente du club. Oui, Soren en avait entendu parler. Le club avait eu une nouvelle référente. La conseillère d’orientation, déjà certain membre masculin du club s’était réjouis de la nouvelle. Mais Soren l’observa calmement avant de se présenter à son tour.
- Ravi de faire votre connaissance Johansen-San. Je m’appelle Soren Haruka, le capitaine du club si on veut. Même si je n’exerce plus pour les compétitions.
Il sourit à la proposition de la femme, un entraînement. Soren n’était jamais vraiment contre et puis ça lui permettrait de connaître bien vite le niveau de la nouvelle référente du club.
- Bien sûr, juste un petit instant que je récupère le bon sabre. Celui-là est un peu trop fragile pour un vrai combat et beaucoup plus lourd aussi.
Soren se dirigea vers ses affaires et déposa soigneusement le sabre de danse pour récupérer son shinai. Il n’enfila même pas l’armure, car il était conscient que sa défense serait toujours suffisante. Après tout, il parvenait même à tenir tête à l’assaut de son père qui était plutôt agressif au Kendo. Quand ce n’était pas sa sœur, cependant, il crut bon de précisé un petit détail.
- Par contre, j’ai un angle mort sur tout mon côté droit vu que je suis borgne. Donc, je vous serais reconnaissant de ne pas en profiter.
Le jeune homme rigola doucement et attendit qu’elle soit prête, faisant des petits moulinets de la main pour faire travailler ses articulations. Il était curieux d’en savoir un peu plus sur elle, après tout en tant que référente, elle devait sûrement avoir des connaissances dans les domaines. Qu’apprendrait-il donc d’un entraînement avec elle ? Soren se dit que poser des questions ne serait pas un mal.
- Vous faites du Kendo depuis longtemps ?
Elle se présenta, Hanna Johansen et elle était la nouvelle référente du club. Oui, Soren en avait entendu parler. Le club avait eu une nouvelle référente. La conseillère d’orientation, déjà certain membre masculin du club s’était réjouis de la nouvelle. Mais Soren l’observa calmement avant de se présenter à son tour.
- Ravi de faire votre connaissance Johansen-San. Je m’appelle Soren Haruka, le capitaine du club si on veut. Même si je n’exerce plus pour les compétitions.
Il sourit à la proposition de la femme, un entraînement. Soren n’était jamais vraiment contre et puis ça lui permettrait de connaître bien vite le niveau de la nouvelle référente du club.
- Bien sûr, juste un petit instant que je récupère le bon sabre. Celui-là est un peu trop fragile pour un vrai combat et beaucoup plus lourd aussi.
Soren se dirigea vers ses affaires et déposa soigneusement le sabre de danse pour récupérer son shinai. Il n’enfila même pas l’armure, car il était conscient que sa défense serait toujours suffisante. Après tout, il parvenait même à tenir tête à l’assaut de son père qui était plutôt agressif au Kendo. Quand ce n’était pas sa sœur, cependant, il crut bon de précisé un petit détail.
- Par contre, j’ai un angle mort sur tout mon côté droit vu que je suis borgne. Donc, je vous serais reconnaissant de ne pas en profiter.
Le jeune homme rigola doucement et attendit qu’elle soit prête, faisant des petits moulinets de la main pour faire travailler ses articulations. Il était curieux d’en savoir un peu plus sur elle, après tout en tant que référente, elle devait sûrement avoir des connaissances dans les domaines. Qu’apprendrait-il donc d’un entraînement avec elle ? Soren se dit que poser des questions ne serait pas un mal.
- Vous faites du Kendo depuis longtemps ?
- InvitéInvité
J’avais vu juste il s’agit bien de lui, il esquisse un petit sourire lorsque je lui propose de s’entrainer. Si j’en crois ce qu’on m’a dit il aura plus à m’apprendre que l’inverse mais c’est toujours intéressant. Je fais mine de rien lorsqu’il m’annonce ne plus participer aux compétitions, j’hésite à lui poser la question mais s’il ne l’a pas mentionné je ne veux pas le forcer. Personnellement j’ai toujours adoré ça, mais c’est surement mon côté compétitif qui parle.
Il part donc récupérer un sabre plus adapté et je vais en chercher un aussi. Je vois qu’il choisit de ne pas enfiler d’armure, intéressant. Pour ma part j’enfile quand même les gants, on n’est jamais trop prudente, sans compter qu’avec le déménagement j’ai été un peu moins assidue ces derniers temps. Je laisse le casque à sa place, je pense que ni lui ni moi ne comptons y aller de toute nos forces de toute façon.
Je fais quelques étirements de rigueur pour ne pas partir a froid puis je viens me mettre en place lorsqu’il trouve utile de préciser une dernière chose, assez importante en effet.
« Merci de m’avoir prévenue je m’en serais voulu d’en avoir profité sans le savoir, je tâcherais de faire attention »
Nous sommes donc prêts à commencer, j’y vais en douceur pour me chauffer un peu et en très peu de temps cela me revient facilement, mes coups sont plus précis et ma prise sur mon shinai est plus affirmée.
Je fais bien attention à éviter son angle mort, même si rien ne semble pouvoir vraiment le perturber, on dirait vraiment qu’il à ça dans le sang. Sans compter que je doute fortement qu’il soit à son maximum.
« Un peu plus de dix ans maintenant, je pense que je devais avoir quelques années de moins que toi lorsque je m’y suis mise. Et toi ? Si j’ai bien compris tu en fais presque depuis que tu à appris à marcher ? »
Il part donc récupérer un sabre plus adapté et je vais en chercher un aussi. Je vois qu’il choisit de ne pas enfiler d’armure, intéressant. Pour ma part j’enfile quand même les gants, on n’est jamais trop prudente, sans compter qu’avec le déménagement j’ai été un peu moins assidue ces derniers temps. Je laisse le casque à sa place, je pense que ni lui ni moi ne comptons y aller de toute nos forces de toute façon.
Je fais quelques étirements de rigueur pour ne pas partir a froid puis je viens me mettre en place lorsqu’il trouve utile de préciser une dernière chose, assez importante en effet.
« Merci de m’avoir prévenue je m’en serais voulu d’en avoir profité sans le savoir, je tâcherais de faire attention »
Nous sommes donc prêts à commencer, j’y vais en douceur pour me chauffer un peu et en très peu de temps cela me revient facilement, mes coups sont plus précis et ma prise sur mon shinai est plus affirmée.
Je fais bien attention à éviter son angle mort, même si rien ne semble pouvoir vraiment le perturber, on dirait vraiment qu’il à ça dans le sang. Sans compter que je doute fortement qu’il soit à son maximum.
« Un peu plus de dix ans maintenant, je pense que je devais avoir quelques années de moins que toi lorsque je m’y suis mise. Et toi ? Si j’ai bien compris tu en fais presque depuis que tu à appris à marcher ? »
- InvitéInvité
Cette journée semblait lui réserver de plus en plus de surprise. Le jeune homme devait bien admettre qu’il ne l’avait pas vu venir. Mais s’entraîner avec la référente ne serait sûrement pas une mauvaise expérience. Le jeune homme n’avait aucun mal à voir qu’elle avait un physique entretenu qui plus est, donc ce serait forcément un challenge intéressant.
Mais le jeune homme ne pouvait pas partir avec un handicap d’entrée de jeu et préféra lui parler de son angle de vue mort. Après tout, il ne fallait pas qu’elle en profite, ou alors le simple fait de lui en avoir parlé pourrait sans doute lui donner un avantage. Soren décida cependant de lui faire confiance, elle n’avait aucun intérêt à gagner à tout prix contre lui après tout.
Hanna ne manqua d’ailleurs pas de lui retourner la question qu’il venait de lui poser. Le jeune homme ne put s’empêcher de sourire. Bien qu’il ne se souvienne pas vraiment de sa vie au-delà de ses 4 ans, tout était trouble mis à part quelques moments marquants. Soren ne se souvenait pas du moment où il avait vraiment eu un sabre en bois ou en bambou dans sa main. Son père lui avait appris les bases très tôt et une fois assez grand, il avait pris en main sa formation. Soren avoua d’une voix détendue.
- D’aussi loin que je me souvienne, oui. C’est bizarre, j’imagine, mais dans ma famille, c’est comme ça. Il faut admettre que le fait de posséder un Dojo impose quelques responsabilités en plus.
La fin était sèche, il n’appréciait pas cet état de fait, mais avait grandi avec malgré tout. Le jeune homme affirma d’ailleurs, sûr de lui.
- D’ailleurs, si vous souhaitez un challenge plus intense. Je vous suggère de proposer à ma sœur un entraînement un jour. Elle est bien meilleure que moi.
Soren sourit, de la fierté, oui, il en avait pour sa blonde de sœur qui en était venue à le surpasser dans ce milieu avec le temps. Après tout, le jeune homme préféré clairement le domaine de l’art, mais enseigner le Kendo ne l’avait jamais vraiment déranger non plus. Soso observa la référente et demanda sur un ton plus sérieux.
- Vous êtes prête ?
Les mots sonnaient plus comme un défi, le jeune homme se dit qu’il ne fallait pas qu’elle change d’avis. Il se mit d’ailleurs en position, mais dans l’attente, car il n’avait aucune intention de porter un coup. Avouant d’une voix un peu mal-à-l’aise.
- Je m’excuse d’avance, mais vous allez gagner à coup sûr. Je suis incapable de lever la main sur une femme.
Il ne dit pas ça d’un ton insultant, simplement, c’était dans sa nature.
Mais le jeune homme ne pouvait pas partir avec un handicap d’entrée de jeu et préféra lui parler de son angle de vue mort. Après tout, il ne fallait pas qu’elle en profite, ou alors le simple fait de lui en avoir parlé pourrait sans doute lui donner un avantage. Soren décida cependant de lui faire confiance, elle n’avait aucun intérêt à gagner à tout prix contre lui après tout.
Hanna ne manqua d’ailleurs pas de lui retourner la question qu’il venait de lui poser. Le jeune homme ne put s’empêcher de sourire. Bien qu’il ne se souvienne pas vraiment de sa vie au-delà de ses 4 ans, tout était trouble mis à part quelques moments marquants. Soren ne se souvenait pas du moment où il avait vraiment eu un sabre en bois ou en bambou dans sa main. Son père lui avait appris les bases très tôt et une fois assez grand, il avait pris en main sa formation. Soren avoua d’une voix détendue.
- D’aussi loin que je me souvienne, oui. C’est bizarre, j’imagine, mais dans ma famille, c’est comme ça. Il faut admettre que le fait de posséder un Dojo impose quelques responsabilités en plus.
La fin était sèche, il n’appréciait pas cet état de fait, mais avait grandi avec malgré tout. Le jeune homme affirma d’ailleurs, sûr de lui.
- D’ailleurs, si vous souhaitez un challenge plus intense. Je vous suggère de proposer à ma sœur un entraînement un jour. Elle est bien meilleure que moi.
Soren sourit, de la fierté, oui, il en avait pour sa blonde de sœur qui en était venue à le surpasser dans ce milieu avec le temps. Après tout, le jeune homme préféré clairement le domaine de l’art, mais enseigner le Kendo ne l’avait jamais vraiment déranger non plus. Soso observa la référente et demanda sur un ton plus sérieux.
- Vous êtes prête ?
Les mots sonnaient plus comme un défi, le jeune homme se dit qu’il ne fallait pas qu’elle change d’avis. Il se mit d’ailleurs en position, mais dans l’attente, car il n’avait aucune intention de porter un coup. Avouant d’une voix un peu mal-à-l’aise.
- Je m’excuse d’avance, mais vous allez gagner à coup sûr. Je suis incapable de lever la main sur une femme.
Il ne dit pas ça d’un ton insultant, simplement, c’était dans sa nature.
- InvitéInvité
Même un sabre peut danser
Soren Haruka
emme
Soren Haruka
Il dit qu’il a grandi dans un dojo avec un ton très froid, je suppose qu’il n’y a pas que des avantages là-dedans. Il doit y avoir une histoire là-dessous, ça m’intrigue évidemment mais je ne vais pas le forcer à m’en parler, s’il ne ressent pas le besoin de s’étendre dessus c’est son droit. Je suis bien plus intéressée lorsqu’il me parle de sa sœur.
« Je n’y manquerais pas, cela pourrait être intéressant en effet. Je suis prête oui. »
Je m’étais préparée à commencer tranquillement, déjà parce que sa réputation le précède mais aussi parce que ça reste un élève mais sa dernière remarque me brosse le poil dans le mauvais sens. Il ne s’en rend surement même pas compte mais ça reste sexiste. Et ça me donne juste envie de donner le meilleur de ce que je peux.
J’attaque donc d’entrée du mieux que je peux, voyons si ça va l’inciter à devenir un peu plus offensif. Ce serait dommage qu’il se contente de défendre, ça enlève la moitié du fun après tout.
« Je n’y manquerais pas, cela pourrait être intéressant en effet. Je suis prête oui. »
Je m’étais préparée à commencer tranquillement, déjà parce que sa réputation le précède mais aussi parce que ça reste un élève mais sa dernière remarque me brosse le poil dans le mauvais sens. Il ne s’en rend surement même pas compte mais ça reste sexiste. Et ça me donne juste envie de donner le meilleur de ce que je peux.
J’attaque donc d’entrée du mieux que je peux, voyons si ça va l’inciter à devenir un peu plus offensif. Ce serait dommage qu’il se contente de défendre, ça enlève la moitié du fun après tout.
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