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- Pablo K. MoraElève ; en 3ème année
■ Age : 30■ Messages : 492■ Inscrit le : 25/02/2021■ Mes clubs :![[SANCTUAIRE MEIJI] Karma et traditions MGjyI85](https://i.imgur.com/MGjyI85.png)
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❖ Âge : 18 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-1
❖ Arrivé(e) en : Fin Novembre 2016
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Karma et traditions
- Vendredi 28 avril, à l’heure du repas:
- Ça y est, c’est l’heure. Le cours de musique vient d’finir et j’ai tout remballé en prenant mon temps, pour sortir le dernier cette fois. Étonnant, mais pas tellement vu que j’ai pioncé à moitié pendant toute la deuxième partie du cours, pendant que les autres torturaient leurs flûtes chacun leur tour. Je m’étire et j’vérifie une dernière fois que j’ai mes pochoirs et mes deux bombes de peintures, histoire de rien avoir oublié et éviter de faire un détour par mon casier. Tout est là, c’est parti.
Tout l’monde file à la cantoche pendant que j’me dirige vers l’administration et la salle des profs. Même eux, ils attendent pas trop pour aller manger et ça m’arrange grave ! J’fais un détour par le secrétariat avec comme excuse de prendre des infos sur la GW de ce soir, l’heure de rdv sur le parking et ce qu’on doit embarquer de spécifique. Quand on a fini de parler, le secrétaire aussi se casse pour manger, et il me dit d’pas traîner. Deux-trois autres élèves sont encore dans le coin, mais trop occupés pour me voir me faufiler dans la salle des profs.
Discrétos, j’referme la porte en silence et j’file devant les casiers. Celui de Kobayashi doit bien être là. Ce prof est toujours sur mon dos, à vouloir me tirer vers le haut ou à me rappeler à l’ordre, il s’implique trop et j’ai envie de l’emmerder dès le début de l’année pour marquer le coup. J’ai juste envie de le faire chier. J’met des gants, un masque sur ma bouche et j’sors le premier pochoir avec la bombe de peinture rouge, pour remplir le visage de l’Oni que j’ai préparé. J’retire délicatement le pochoir, quand j’ai fini, le jette sans en foutre partout, puis sors l’autre pochoir pour mettre la peinture noire cette fois. J’fais bien gaffe à le positionner comme il faut pour pas décaler les contours de l’Oni, pour que ce soit bien centré et tout, et quand j’ai fini j’le décolle tout doucement aussi.
J’me recule au niveau de la porte pour voir l’allure du tag et j’souris comme un con, trop fier de moi. J’l’ai bien réussi en vrai ! J’signe mon oeuvre d’un “De vinci askip” et je vais jeter le pochoir, les bombes (j’avais juste assez pour ça) et mes gants/masques. Avant de filer, j’prends une photo de mon oeuvre, puis je sors discrètement de la salle et vais à la cantine l’air de rien. L’air de rien, mais avec un air satisfait sur la tronche. Mouahaha.- Le fameux tag:
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Samedi 29 avril, à 9h40
Aaah, ce trajet en bus était bien plus tranquille que celui d'hier. En même temps, 10 minutes ca passe vite mais Mori était plus discret. Par contre, Nolan m'fait trop rire à passer la tête entre les sièges pour faire la discut'. Il a l'air survolté et l'truc c'est que moi, ça m'rend insupportable aussi. J'arrête pas d'me retourner sur mon siège pour faire signe aux bros et tout, et pour emmerder un peu Mitsuki et Seiko en passant. Les profs m'ont d'jà dit de me remettre bien sur mon siège parce que si y'a un accident, j'peux être éjecté ou j'sais pas quoi, mais franchement c'est pas en ville qu'on va avoir un choc si violent !
Quand on sort du bus, j'm'étire de tout mon long et passe devant Kobayashi en gardant mon p'tit air insolent, le même que j'ai depuis hier midi à chaque fois que j'le croise. Pour éviter toute confrontation, j'l'ai habilement esquivé toute la soirée d'hier, parce que j'veux pas m'chopper d'heures de colle pendant une semaine de vacances quoi. Mais dans son regard, j'sais qu'il doit se douter. J'sais qu'il a VU son casier et la signature. Je sais qu'il sait, obligé. Mais tant qu'il vient pas m'chopper, j'me dis que j'peux encore profiter pour faire le con jusqu'à ce que la punition tombe, alors autant en profiter.
Là d'vant nous, y'a un long chemin pour aller au sanctuaire et de ce qui se disait dans le bus, c'est méga traditionnel. J'sens que j'vais m'emmerder, j'suis pas bouddhiste moi, si j'dois être un peu proche d'une religion, c'est les chrétiens vu que ma mère est méga croyante et tout, mais voilà. En passant, j'bouscule Mitsuki en rigolant :
- Héééé Mitsuki, c'est ici qu'tu vas t'marier ? MDR !
Elle m'répond d'un "ouais ouais pas convaincu", genre laisse moi tranquille quoi, mais j'l'embête un peu encore jusqu'à ce que qu'on m'interpelle. Ah, Kobayashi-sensei. Merde.
- Tenue:
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Time will only make it worse but was it all well deserved ?
So small in a massive universe, I'll find my place when I stop living with this curse
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- Gareth N. KobayashiPersonnel ; prof d'arts plastiques
■ Age : 28■ Messages : 1022■ Inscrit le : 27/08/2020■ Mes clubs :![[SANCTUAIRE MEIJI] Karma et traditions Rf83Pu6](https://i.imgur.com/rf83Pu6.png)
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : 1 (Appart)
❖ Arrivé(e) en : Septembre 2016
♫ Karma et traditions ♫
Vendredi 28 avril - Heure du midi
Samedi 29 avril - 9h40 - Sanctuaire Meiji
Durant le trajet d’hier, les élèves avaient été plutôt agités. Rien d’étonnant pour une telle sortie, tout le monde a hâte de changer d’air, notamment ceux qui n’ont jamais quitté Kobe. Certains s’étaient démarqués plus que d’autres par leur côté turbulent, comme Pablo ou Nolan par exemple. Il ne tenaient décidément pas en place et leur voix portaient jusqu’à l’avant du bus. J’avais pourtant laissé mes collègues se charger de l’autorité. Les transports me malmenaient l’estomac et le seul moyen d’y échapper avait été de somnoler un peu sur mon siège.
Le bus s’arrêta devant le chemin menant au sanctuaire. Je m’occupe de compter les élèves sortant et appui sur le mot «quinze» en comptant l’insolent aux yeux verts. Nos regards se croisent, il sait que je sais. Le groupe avance le long du chemin et je l’observe tenter d’engager une conversation pour, je suppose, me dissuader de l’interpeller. Seulement sa chance s’est expirée dès l’instant où il a quitté le bus.
« De Vinci-kun ! Si tu laissais Iroka-san choisir son lieu de mariage et venais par ici ? »
J’affiche un sourire narquois qui n’a rien de rassurant tandis qu’il se rapproche, l’air un tantinet moins fier.
« Alors comme ça, tu as été tellement fasciné par ma tête de Oni que tu l’as reproduite, il y a de quoi être flatté ! J’aurais aimé que tu partages ta passion avec moi au lieu de t’enfuir à ma vue. Mais bon... Tout n’est pas perdu, on a toute la visite d’aujourd’hui pour ça... »
Et le piège se referme... Mouahaha.
- Spoiler:
- Mon dernier cours de la matinée prend fin à la sonnerie. Voilà un mois que la rentrée a eu lieu, ma première vraie rentrée à Kobe. Il y a quelque chose de particulier à commencer une nouvelle année. Tout le monde part de ses nouvelles résolutions, élèves comme professeurs, chacun est motivé à donner le meilleur de soi-même. La difficulté ? Maintenir cette motivation sur une année entière, un challenge.
Je range mon ordinateur dans sa pochette puis passe la sangle sur mon épaule avant de quitter la classe. Un tour à la salle des professeurs pour tout déposer et je rejoins des collègues à la cantine. Une belle routine s’est installée, et les moments de difficultés liés à mon adaptation sont loin derrière moi. Sasaki-san comme à son habitude, jalouse gentiment mon bento bien garni et je lui promet de lui en faire un s’il me bat au chi-fu-mi. C’est son jour de chance ! Il lâche un petit « Yosha !» qui fait rire toute la table.
L’heure passe vite, il est déjà temps de retourner au travail. J’entre tranquillement dans la salle des professeurs suivi de mes collègues, me dirige vers mon casier pour récupérer des documents, et me fige. La tête de Oni n’est pas sans me rappeler ma photo dans le journal, et cette signature... Il ne se cache même pas.
« Ce sale gosse... » Je murmure.
« Un problème Kobayashi-san ? » Demande Sasaki-san.
Je me décale pour le laisser admirer mon casier, l’air blasé. Une ribambelle de «Ooh» mi-admiratifs, mi-choqués s’élève. En reposant mes yeux sur le tag, je l’analyse plus en détail. Le pire est que ce sale gamin est plutôt doué, mais utiliser son talent à bon escient n’est pas dans ses priorités. C’est mon âme d’artiste qui me permet de ne pas être en colère. Je sais qu’il me provoque, qu’il me teste même peut-être, qu’il veut que je lâche l’affaire en me montrant quel genre d’adolescent insupportable il peut être. Un fin sourire étire mes lèvres alors que je sors mon téléphone pour prendre une photo, histoire de garder une preuve du méfait.
« C’est inadmissible ! Et mérite une sanction exemplaire ! » S’exclame sévèrement la professeure de japonais.
« J’y réfléchirai, soyez-en sûre Kimura-san... »
Tout en sachant en mon fond intérieur que le punir reviendrait à jouer son jeu. Non... Ce qu’il faut c’est avoir un coup d’avance, montrer que ça ne m’atteint pas le moins du monde.
D’ailleurs, pour un pseudo rebelle tagueur de casier, je ne vois qu’un fuyard dans les couloirs. Il pense que je ne l’ai pas repéré en plus... J’ai hâte d’être à Tôkyô...
Samedi 29 avril - 9h40 - Sanctuaire Meiji
Durant le trajet d’hier, les élèves avaient été plutôt agités. Rien d’étonnant pour une telle sortie, tout le monde a hâte de changer d’air, notamment ceux qui n’ont jamais quitté Kobe. Certains s’étaient démarqués plus que d’autres par leur côté turbulent, comme Pablo ou Nolan par exemple. Il ne tenaient décidément pas en place et leur voix portaient jusqu’à l’avant du bus. J’avais pourtant laissé mes collègues se charger de l’autorité. Les transports me malmenaient l’estomac et le seul moyen d’y échapper avait été de somnoler un peu sur mon siège.
Le bus s’arrêta devant le chemin menant au sanctuaire. Je m’occupe de compter les élèves sortant et appui sur le mot «quinze» en comptant l’insolent aux yeux verts. Nos regards se croisent, il sait que je sais. Le groupe avance le long du chemin et je l’observe tenter d’engager une conversation pour, je suppose, me dissuader de l’interpeller. Seulement sa chance s’est expirée dès l’instant où il a quitté le bus.
« De Vinci-kun ! Si tu laissais Iroka-san choisir son lieu de mariage et venais par ici ? »
J’affiche un sourire narquois qui n’a rien de rassurant tandis qu’il se rapproche, l’air un tantinet moins fier.
« Alors comme ça, tu as été tellement fasciné par ma tête de Oni que tu l’as reproduite, il y a de quoi être flatté ! J’aurais aimé que tu partages ta passion avec moi au lieu de t’enfuir à ma vue. Mais bon... Tout n’est pas perdu, on a toute la visite d’aujourd’hui pour ça... »
Et le piège se referme... Mouahaha.
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Gareth gazouille en japonais #00cc99
Gareth gazouille en anglais #9933cc
Chiaki gazouille en japonais/anglais #6699cc
Hanae parle en japonais/anglais #cc99cc
- Pablo K. MoraElève ; en 3ème année■ Age : 30■ Messages : 492■ Inscrit le : 25/02/2021■ Mes clubs :
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Karma et traditions
J’fais un big smile à peine exagéré en m’arrêtant sur place quand l’prof m’appelle, avant d’me retourner.
- Heyyy sensei ! J’la conseillais juste, mais j’vois que j’vous manque déjà !
J’rigole en faisant le mariole avec mon big sourire, le comportement d’effronté et tout, en marchant les mains dans les poches. Son sourire m’dit rien qui vaille, alors j’me calme un peu mais j’arrête pas pour autant.
- J’vois pas d’quoi vous parlez, c’est quoi ? Une œuvre que vous avez vu récemment dans un musée ? J’serai curieux d’voir ça d’mes propres yeux vu que vous avez l’air d’avoir autant kiffé haha ! En tout cas, merci d’penser à moi en tant qu’artiste reconnu, j’suis trop méga flatté. Si vous voulez, j’vous ferai un beau dessin quand on r’tourne à l’hotel. Ca vous va ?
J’me frotte l’arriêre de la tête en enchaînant mes conneries, mais j’joue le jeu à fond pour lui tirer les vers du nez. S’il complimente mon Oni à ce point, c’est que ça a dû lui plaire, sinon il m’aurait déjà défoncé non ?
- J’aimerai bien rester avec vous hein mais c’est pas trop bien vu de squatter avec les profs ! Mais j’vous fuis pas, j’vous jure, en plus j’suis sûr qu’y a plein d’élèves qui voudraient prendre ma place et discuter avec vous là. Après... si je vous manque vraiiiment trop, dites le moi texto et j'reste !
J'tourne la tête vers lui avec mon air effronté en souriant de nouveau. Il est trop marrant à provoquer ce prof. Même si j'suis sûre de me prendre une colle à un moment ou un autre.
- Heyyy sensei ! J’la conseillais juste, mais j’vois que j’vous manque déjà !
J’rigole en faisant le mariole avec mon big sourire, le comportement d’effronté et tout, en marchant les mains dans les poches. Son sourire m’dit rien qui vaille, alors j’me calme un peu mais j’arrête pas pour autant.
- J’vois pas d’quoi vous parlez, c’est quoi ? Une œuvre que vous avez vu récemment dans un musée ? J’serai curieux d’voir ça d’mes propres yeux vu que vous avez l’air d’avoir autant kiffé haha ! En tout cas, merci d’penser à moi en tant qu’artiste reconnu, j’suis trop méga flatté. Si vous voulez, j’vous ferai un beau dessin quand on r’tourne à l’hotel. Ca vous va ?
J’me frotte l’arriêre de la tête en enchaînant mes conneries, mais j’joue le jeu à fond pour lui tirer les vers du nez. S’il complimente mon Oni à ce point, c’est que ça a dû lui plaire, sinon il m’aurait déjà défoncé non ?
- J’aimerai bien rester avec vous hein mais c’est pas trop bien vu de squatter avec les profs ! Mais j’vous fuis pas, j’vous jure, en plus j’suis sûr qu’y a plein d’élèves qui voudraient prendre ma place et discuter avec vous là. Après... si je vous manque vraiiiment trop, dites le moi texto et j'reste !
J'tourne la tête vers lui avec mon air effronté en souriant de nouveau. Il est trop marrant à provoquer ce prof. Même si j'suis sûre de me prendre une colle à un moment ou un autre.
- Tenue:
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- Gareth N. KobayashiPersonnel ; prof d'arts plastiques■ Age : 28■ Messages : 1022■ Inscrit le : 27/08/2020■ Mes clubs :
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♫ Karma et traditions ♫
C’est que la confiance lui colle à la peau jusqu’à fusionner avec, c’en est impressionnant. Bien des professeurs se seraient déjà agacés de son sourire insolant au possible.
« Si tu me manques ? Mais tu es un de mes élèves préféré ! »
Sérieusement, qui y croit ? J’écoute tranquillement sa tentative de feindre l’innocence mais ma moue peu convaincue doit déjà lui avoir mis la puce à l’oreille. C’est peine perdue mon p’tit. Je sors mon téléphone et lui montre la photo prise la veille.
« Tu ne vois vraiment pas de quoi je parle ? Je suis sûr que si je demandais à la classe qui se plaint de ne pas être De Vinci, elle scanderait ton nom. Mora, Mora ! J’imagine que ça te ferais plaisir au final. »
Le téléphone retrouve la poche de ma sacoche et puis je prends un pensif suite à sa proposition.
« C’est une bonne idée le dessin. Je vais réfléchir à quelle partie du sanctuaire je veux pouvoir contempler grâce à toi, merci beaucoup ! Et puis comme tu es un garçon appliqué, c’est une occasion en or d’augmenter ta moyenne ! »
Vraiment, je dois le remercier pour m’avoir soufflé une toute nouvelle idée de punition. Tant de générosité chez un si jeune garçon. Mais s’il pense que cette dernière le sauvera de ma compagnie, c’est mal me connaître. Encore une fois, tant de dévouement me touche, je ne peux ignorer son appel à l’aide dissimulé. Il y aurait-t-il quelque chose dont il voudrait me parler seul à seul qui le tracasse ? J’ai bien quelques heures pour le découvrir. En tant que professeur, je dois aussi savoir faire preuve de générosité et donner de mon temps.
« Pas trop bien vu par qui ? Les professeurs adorent quand les élèves s’intéressent à ce qu’ils ont à transmettre tu sais. Ah pardon, tu veux dire mal vu par tes amis peut-être ? Figure-toi que ça me peinerais si tu partais, on va faire le tour du sanctuaire ensemble et comme ça tu pourras les narguer de toutes tes connaissances sur sa construction ! Qu’en dis-tu ? Oh quelle question, évidemment que tu es d’accord ! »
Je bouscule gentiment son épaule du poing non sans une pointe de sadisme dans le regard. J’espère qu’il a les oreilles bien ouvertes car l’histoire de l’architecture du sanctuaire Meiji est pas-sion-nante ! J’en ai des frissons rien que d’y penser !
« Si tu me manques ? Mais tu es un de mes élèves préféré ! »
Sérieusement, qui y croit ? J’écoute tranquillement sa tentative de feindre l’innocence mais ma moue peu convaincue doit déjà lui avoir mis la puce à l’oreille. C’est peine perdue mon p’tit. Je sors mon téléphone et lui montre la photo prise la veille.
« Tu ne vois vraiment pas de quoi je parle ? Je suis sûr que si je demandais à la classe qui se plaint de ne pas être De Vinci, elle scanderait ton nom. Mora, Mora ! J’imagine que ça te ferais plaisir au final. »
Le téléphone retrouve la poche de ma sacoche et puis je prends un pensif suite à sa proposition.
« C’est une bonne idée le dessin. Je vais réfléchir à quelle partie du sanctuaire je veux pouvoir contempler grâce à toi, merci beaucoup ! Et puis comme tu es un garçon appliqué, c’est une occasion en or d’augmenter ta moyenne ! »
Vraiment, je dois le remercier pour m’avoir soufflé une toute nouvelle idée de punition. Tant de générosité chez un si jeune garçon. Mais s’il pense que cette dernière le sauvera de ma compagnie, c’est mal me connaître. Encore une fois, tant de dévouement me touche, je ne peux ignorer son appel à l’aide dissimulé. Il y aurait-t-il quelque chose dont il voudrait me parler seul à seul qui le tracasse ? J’ai bien quelques heures pour le découvrir. En tant que professeur, je dois aussi savoir faire preuve de générosité et donner de mon temps.
« Pas trop bien vu par qui ? Les professeurs adorent quand les élèves s’intéressent à ce qu’ils ont à transmettre tu sais. Ah pardon, tu veux dire mal vu par tes amis peut-être ? Figure-toi que ça me peinerais si tu partais, on va faire le tour du sanctuaire ensemble et comme ça tu pourras les narguer de toutes tes connaissances sur sa construction ! Qu’en dis-tu ? Oh quelle question, évidemment que tu es d’accord ! »
Je bouscule gentiment son épaule du poing non sans une pointe de sadisme dans le regard. J’espère qu’il a les oreilles bien ouvertes car l’histoire de l’architecture du sanctuaire Meiji est pas-sion-nante ! J’en ai des frissons rien que d’y penser !
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Karma et traditions
Ohhh ouais, la foule qui scande mon nom, le gros kiff ! J’aimerai trop entendre ça dans un stade de foot, ce serait la grosse classe. J’me perds dans mon imagination puis regarde le téléphone avec le sourire, ca vient tout seul sans que j’puisse me contrôler. Il a pris en photo mon tag quoi ! Il a K-I-F-F-E !
- Qui cracherait sur des points en plus, moi j’dis pas nom en tout cas. Mais ce sera avec mon style à moi hein, j’suis pas architecte non plus ! Ni DE VINCI, hahaha.
Je m’apprête à lui faire un « bye bye » de la main après mon speech sur le fait que j’ai pas envie de traîner avec un prof, mais il me retient le bougre. J’garde le sourire malgré tout parce que s’il veut pourrir ma matinée, j’peux m’en donner à cœur joie moi aussi. J’regarde son p’tit coup d’poing contre mon épaule de travers, genre il joue les potes maintenant ? Il est ptete pas aussi vieux que le doyen, mais de là à faire copain-copain, faut pas déconner !
- Traîner avec les profs, ça fait un peu lèche-cul alors bon. Mais tout l’monde sait que c’est pas mon genre alors j’peux bien vous accorder une matinée, vu que vous avez l’air de tenir à la passer avec moi !
J’lui rend son petit coup de poing contre l’épaule même s’il est plus grand que moi, histoire de rester dans son délire de vieux qui veut être jeune. Juste après, j’lui donne un coup de coude en faisant un clin d’œil :
- Hé n’empêche, qui aurait cru que j’étais votre chouchou sérieux ? j’vais pouvoir le dire à toute la classe, cheh pour eux. En tout cas, vous en fait pas prof, j’vais rendre la matinée I-NOU-BLI-ABLE.
J’sais pas s’il sait ce que ça veut dire « cheh », mais tant pis il captera bien l’idée ! J’plonge les mains dans mes poches et lève la tête pour regarder le genre d’arche sous lequel on passe avant d’regarder le prof :
- Bah alors, vous commencez quand à m’raconter ? Y’a bien des trucs à savoir sur cette arche là non ? J’suis sur, si on reste en dessous et qu’on fait un vœu, ça marche ! Attendez on essaie !
Je joins mes mains l’une contre l’autre devant mon torse et ferme les yeux en m’arrêtant sur place, super concentré.
- Je souhaite que…
Et j’garde la suite pour moi, eh. Faut pas rêver.
- Qui cracherait sur des points en plus, moi j’dis pas nom en tout cas. Mais ce sera avec mon style à moi hein, j’suis pas architecte non plus ! Ni DE VINCI, hahaha.
Je m’apprête à lui faire un « bye bye » de la main après mon speech sur le fait que j’ai pas envie de traîner avec un prof, mais il me retient le bougre. J’garde le sourire malgré tout parce que s’il veut pourrir ma matinée, j’peux m’en donner à cœur joie moi aussi. J’regarde son p’tit coup d’poing contre mon épaule de travers, genre il joue les potes maintenant ? Il est ptete pas aussi vieux que le doyen, mais de là à faire copain-copain, faut pas déconner !
- Traîner avec les profs, ça fait un peu lèche-cul alors bon. Mais tout l’monde sait que c’est pas mon genre alors j’peux bien vous accorder une matinée, vu que vous avez l’air de tenir à la passer avec moi !
J’lui rend son petit coup de poing contre l’épaule même s’il est plus grand que moi, histoire de rester dans son délire de vieux qui veut être jeune. Juste après, j’lui donne un coup de coude en faisant un clin d’œil :
- Hé n’empêche, qui aurait cru que j’étais votre chouchou sérieux ? j’vais pouvoir le dire à toute la classe, cheh pour eux. En tout cas, vous en fait pas prof, j’vais rendre la matinée I-NOU-BLI-ABLE.
J’sais pas s’il sait ce que ça veut dire « cheh », mais tant pis il captera bien l’idée ! J’plonge les mains dans mes poches et lève la tête pour regarder le genre d’arche sous lequel on passe avant d’regarder le prof :
- Bah alors, vous commencez quand à m’raconter ? Y’a bien des trucs à savoir sur cette arche là non ? J’suis sur, si on reste en dessous et qu’on fait un vœu, ça marche ! Attendez on essaie !
Je joins mes mains l’une contre l’autre devant mon torse et ferme les yeux en m’arrêtant sur place, super concentré.
- Je souhaite que…
Et j’garde la suite pour moi, eh. Faut pas rêver.
- Tenue:
-
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♫ Karma et traditions ♫
Regardez-le s’emballer et se croire malin. Ris donc, Mora-kun.
« Ca peut aussi baisser ta moyenne, aurais-je oublié de le préciser ? Mais bon pour un artiste tel que toi ce n’est que formalités ! »
On ne peut pas le nier, il est très doué pour cacher qu’être loin de moi lui serait préférable. Ce n’est pourtant pas avec cette comédie qu’il me fera céder sous prétexte que «si ça ne l’ennuie pas ce n’est pas une punition», nous n’en sommes qu’au début... Mon sourire s’élargit légèrement à son poing sur mon épaule puis son coude qui cogne mon gras. Dis donc il ne prendrait pas un peu ses aises par hasard ?
« Et moi donc ?! Il y avait d’autres façons de me témoigner ton admiration tu sais, j’en ferai part aussi à la classe, c’est trop émouvant pour que je le garde pour moi ! Passons donc une matinée i-nou-bli-able, comme tu dis ! »
Nous passons sous l’arche du sanctuaire et c’est que Mora-kun est pressé de s’instruire !
« J’y viens, j’y viens ! Tu ferais mieux de prendre des notes d’ailleurs, un dessin est toujours mieux avec une explication à côté. »
S’il pense pouvoir simplement s’amuser, c’est mal me connaître. Mais avant que je commence à lui remplir la tête, un vœu hein... Mains jointes, je réfléchis un peu... Souffle du nez lorsque Mora-kun décide de ne pas finir sa phrase.
« Je souhaite que... Mora-kun passe une matinée exceptionnelle ! Oh non j’avais oublié, les vœux qu’on révèle ne se produisent pas c’est triste... Alors, débutons. Le sanctuaire a été construit en 1920, en l’honneur de l’empereur Meiji et l’impératrice Shoken. Tu l’auras compris, il fêtera ses 100 ans dans 3 ans ! L’une des particularités de ce sanctuaire est que les 100 000 arbres s’y trouvant viennent des quatre coins du monde, l’empereur Meiji a grandement participé à l’occidentalisation du Japon. Le couple impérial adorait les iris, c’est pourquoi on en retrouve une multitude au jardin intérieur. Dessiner des fleurs est un vrai défi, je garde ça dans un coin. »
S’en suit une véritable encyclopédie parlante, entrecoupés par intervalle de regards en direction de Mora-kun pour m’assurer qu’il m’écoute et note quelques informations. Non des plus sadiques, je fais tout de même en sorte de le faire participer.
« Ce qui est le plus étonnant, c’est que ce sanctuaire ne servait pas seulement à prier. Entre 1924 et 1942 il accueillait même les jeux du Meiji-jingu dans le stade du jardin extérieur, c’était la première compétition sportive nationale du pays ! Qui a dit que les sanctuaires étaient toujours calmes. Et devine quel sport était représenté à chaque édition ? »
Il ne devrait pas avoir du mal à trouver, c’est littéralement l’un des plus célèbre et sacré ici.
« Ca peut aussi baisser ta moyenne, aurais-je oublié de le préciser ? Mais bon pour un artiste tel que toi ce n’est que formalités ! »
On ne peut pas le nier, il est très doué pour cacher qu’être loin de moi lui serait préférable. Ce n’est pourtant pas avec cette comédie qu’il me fera céder sous prétexte que «si ça ne l’ennuie pas ce n’est pas une punition», nous n’en sommes qu’au début... Mon sourire s’élargit légèrement à son poing sur mon épaule puis son coude qui cogne mon gras. Dis donc il ne prendrait pas un peu ses aises par hasard ?
« Et moi donc ?! Il y avait d’autres façons de me témoigner ton admiration tu sais, j’en ferai part aussi à la classe, c’est trop émouvant pour que je le garde pour moi ! Passons donc une matinée i-nou-bli-able, comme tu dis ! »
Nous passons sous l’arche du sanctuaire et c’est que Mora-kun est pressé de s’instruire !
« J’y viens, j’y viens ! Tu ferais mieux de prendre des notes d’ailleurs, un dessin est toujours mieux avec une explication à côté. »
S’il pense pouvoir simplement s’amuser, c’est mal me connaître. Mais avant que je commence à lui remplir la tête, un vœu hein... Mains jointes, je réfléchis un peu... Souffle du nez lorsque Mora-kun décide de ne pas finir sa phrase.
« Je souhaite que... Mora-kun passe une matinée exceptionnelle ! Oh non j’avais oublié, les vœux qu’on révèle ne se produisent pas c’est triste... Alors, débutons. Le sanctuaire a été construit en 1920, en l’honneur de l’empereur Meiji et l’impératrice Shoken. Tu l’auras compris, il fêtera ses 100 ans dans 3 ans ! L’une des particularités de ce sanctuaire est que les 100 000 arbres s’y trouvant viennent des quatre coins du monde, l’empereur Meiji a grandement participé à l’occidentalisation du Japon. Le couple impérial adorait les iris, c’est pourquoi on en retrouve une multitude au jardin intérieur. Dessiner des fleurs est un vrai défi, je garde ça dans un coin. »
S’en suit une véritable encyclopédie parlante, entrecoupés par intervalle de regards en direction de Mora-kun pour m’assurer qu’il m’écoute et note quelques informations. Non des plus sadiques, je fais tout de même en sorte de le faire participer.
« Ce qui est le plus étonnant, c’est que ce sanctuaire ne servait pas seulement à prier. Entre 1924 et 1942 il accueillait même les jeux du Meiji-jingu dans le stade du jardin extérieur, c’était la première compétition sportive nationale du pays ! Qui a dit que les sanctuaires étaient toujours calmes. Et devine quel sport était représenté à chaque édition ? »
Il ne devrait pas avoir du mal à trouver, c’est littéralement l’un des plus célèbre et sacré ici.
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- Pablo K. MoraElève ; en 3ème année■ Age : 30■ Messages : 492■ Inscrit le : 25/02/2021■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 18 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-1
❖ Arrivé(e) en : Fin Novembre 2016
Karma et traditions
J’décolle mes mains et me marre quand il souffle du nez. S’il a cru que j’allais lui dévoiler mon souhait le plus cher, il se met le doigt où j’pense le sensei ! J’hausse un sourcil quand il prononce le sien de souhait et réagit aussitôt en soupirant trop dégouté :
- Ouais, vous venez de tout foutre en l’air… Tsch.
Comme si c’était pas fait exprès ! Il commence à faire tout son speech et j’l’écoute qu’à moitié, plongeant mes mains dans mes poches et trainant des pieds. Si j’dois me taper son discours pendant toute la matinée, faut pas s’attendre à ce que j’le fasse avec entrain et avec le sourire, ni en sautillant de joie à côté ! Un sanctuaire de 100 ans ? C’est pas si vieux pour un truc aussi mythique. Si c’était un humain, il serait ptete déjà 6 pieds sous terre. Pas de quoi en faire une légende non plus.
- Euh ouais mais j’ai pas d’quoi noter moi ! C’était pas prévu au programme hein. J’vous enregistre avec mon tel, c’est pareil, j’écrirais tout ça euh… plus tard !
Bon, j’dois avouer qu’il réussit un minimum à piquer mon intérêt quand il a parlé du jardin et des plantes. Autant de variété dans un seul endroit, avec un seul type de terre et de climat, ça part contre c’est une p’tite réussite pas négligeable. J’me racle la gorge et détourne le regard au moment où il m’observe. Même s’il a du capté avoir piqué mon intérêt, j’veux pas qu’il croit que ça va durer. Ça lui ferait trop plaisir alors je feins l’indifférence pour la suite et j’baille aux corneilles. Blablabla blablabla. Voilà tout ce que j’entends le long du chemin.
- J’sais pas, pas l’foot en tout cas...
C’est quoi ses questions à deux balles là en plus… Tout du long j’l’enregistre avec mon téléphone. Il a cru qu’on se trimballait avec nos cahiers h24 ou quoi ? Prendre des notes, faut pas rêver. En plus il a un débit de parole, j’vous dit pas. Pire qu’une cruche qui parle de célébrités !
- Allez, le baseball au pif ? ? Et pourqui ils font ça ici d’abord, si c’est un endroit religieux et tout. C’est pas respectueux des masses tout ça…
C’est bien le seul sport du pays que j’apprécie j’crois, même si j’rechigne jamais à me dépenser peu importe le type de sport que les profs nous font faire en cours, au contraire.
- Ouais, vous venez de tout foutre en l’air… Tsch.
Comme si c’était pas fait exprès ! Il commence à faire tout son speech et j’l’écoute qu’à moitié, plongeant mes mains dans mes poches et trainant des pieds. Si j’dois me taper son discours pendant toute la matinée, faut pas s’attendre à ce que j’le fasse avec entrain et avec le sourire, ni en sautillant de joie à côté ! Un sanctuaire de 100 ans ? C’est pas si vieux pour un truc aussi mythique. Si c’était un humain, il serait ptete déjà 6 pieds sous terre. Pas de quoi en faire une légende non plus.
- Euh ouais mais j’ai pas d’quoi noter moi ! C’était pas prévu au programme hein. J’vous enregistre avec mon tel, c’est pareil, j’écrirais tout ça euh… plus tard !
Bon, j’dois avouer qu’il réussit un minimum à piquer mon intérêt quand il a parlé du jardin et des plantes. Autant de variété dans un seul endroit, avec un seul type de terre et de climat, ça part contre c’est une p’tite réussite pas négligeable. J’me racle la gorge et détourne le regard au moment où il m’observe. Même s’il a du capté avoir piqué mon intérêt, j’veux pas qu’il croit que ça va durer. Ça lui ferait trop plaisir alors je feins l’indifférence pour la suite et j’baille aux corneilles. Blablabla blablabla. Voilà tout ce que j’entends le long du chemin.
- J’sais pas, pas l’foot en tout cas...
C’est quoi ses questions à deux balles là en plus… Tout du long j’l’enregistre avec mon téléphone. Il a cru qu’on se trimballait avec nos cahiers h24 ou quoi ? Prendre des notes, faut pas rêver. En plus il a un débit de parole, j’vous dit pas. Pire qu’une cruche qui parle de célébrités !
- Allez, le baseball au pif ? ? Et pourqui ils font ça ici d’abord, si c’est un endroit religieux et tout. C’est pas respectueux des masses tout ça…
C’est bien le seul sport du pays que j’apprécie j’crois, même si j’rechigne jamais à me dépenser peu importe le type de sport que les profs nous font faire en cours, au contraire.
- Tenue:
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Time will only make it worse but was it all well deserved ?
So small in a massive universe, I'll find my place when I stop living with this curse
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- Gareth N. KobayashiPersonnel ; prof d'arts plastiques■ Age : 28■ Messages : 1022■ Inscrit le : 27/08/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : 1 (Appart)
❖ Arrivé(e) en : Septembre 2016
♫ Karma et traditions ♫
« Et surveille ton langage ou je te garde toute la journée. »
Parce qu’il ne faut pas pousser non plus, mais c’est toujours dit avec un brin de sadisme bien sûr. Alors, cette visite guidée ! Le sanctuaire est impatient d’entendre parler de lui à des oreilles aussi attentives.
« Comme quoi tes pouces ne servent qu’aux textos et jeux vidéos, mais pour le reste on repassera... ! »
Surtout que ce sera bien plus long de devoir me réécouter pour noter que de s’en charger sur son téléphone, mais puisqu’il préfère se compliquer la tache, qui suis-je pour l’en empêcher ? Je débute donc par la construction et note que son intérêt s’éveille lorsque j’aborde le sujet des plantes. Hmm ? Un jardinier se cacherait-il sous la terre meuble ? Pris en flagrant délit, inutile de faire semblant ! Je souris d’un air narquois et fait comme si de rien n’était. Pas le foot, ça on est d’accord. La réponse n’est pas difficile à trouver ! Sa question est plutôt légitime et quelque part, ça me fait plaisir qu’il en pose une même si ça lui écorche la bouche. J’ai vraiment affaire à un chiot qui grogne et vous mordille les doigts, se pensant très très menaçant.
« Comme tu le sais, les japonais ont leur façon de voir les choses. Pou eux ces jeux servaient à honorer la mémoire de l’empereur en rassemblant le peuple autour du sanctuaire et éveiller leur esprit citoyen. On a donc sur 300 000 mètres-carré, deux stades de base-ball, un de rugby, un club de tennis et même une piscine-patinoire ! Tout pour rappeler l’esprit d’unité autre que par la prière. »
Nous avançons encore et je prends plaisir à lui remplir le crâne d’anecdotes, certaines plus intéressantes que d’autres. Je n’oublies pas de parler des ginkgo biloba, ces arbres qui longent le chemin jusqu’à la galerie d’œuvres. Plantés en 1923, la teinte jaune d’or de leur feuille est fêtée à chaque fin d’automne au festival Jingūgai-en gingko.
« Bien, petit quizz ! En quelle année a été construit le sanctuaire et comment s’appelait l’impératrice ? »
Ah quelle belle journée... !
Parce qu’il ne faut pas pousser non plus, mais c’est toujours dit avec un brin de sadisme bien sûr. Alors, cette visite guidée ! Le sanctuaire est impatient d’entendre parler de lui à des oreilles aussi attentives.
« Comme quoi tes pouces ne servent qu’aux textos et jeux vidéos, mais pour le reste on repassera... ! »
Surtout que ce sera bien plus long de devoir me réécouter pour noter que de s’en charger sur son téléphone, mais puisqu’il préfère se compliquer la tache, qui suis-je pour l’en empêcher ? Je débute donc par la construction et note que son intérêt s’éveille lorsque j’aborde le sujet des plantes. Hmm ? Un jardinier se cacherait-il sous la terre meuble ? Pris en flagrant délit, inutile de faire semblant ! Je souris d’un air narquois et fait comme si de rien n’était. Pas le foot, ça on est d’accord. La réponse n’est pas difficile à trouver ! Sa question est plutôt légitime et quelque part, ça me fait plaisir qu’il en pose une même si ça lui écorche la bouche. J’ai vraiment affaire à un chiot qui grogne et vous mordille les doigts, se pensant très très menaçant.
« Comme tu le sais, les japonais ont leur façon de voir les choses. Pou eux ces jeux servaient à honorer la mémoire de l’empereur en rassemblant le peuple autour du sanctuaire et éveiller leur esprit citoyen. On a donc sur 300 000 mètres-carré, deux stades de base-ball, un de rugby, un club de tennis et même une piscine-patinoire ! Tout pour rappeler l’esprit d’unité autre que par la prière. »
Nous avançons encore et je prends plaisir à lui remplir le crâne d’anecdotes, certaines plus intéressantes que d’autres. Je n’oublies pas de parler des ginkgo biloba, ces arbres qui longent le chemin jusqu’à la galerie d’œuvres. Plantés en 1923, la teinte jaune d’or de leur feuille est fêtée à chaque fin d’automne au festival Jingūgai-en gingko.
« Bien, petit quizz ! En quelle année a été construit le sanctuaire et comment s’appelait l’impératrice ? »
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Karma et traditions
J’l’écoute en haussant un sourcil, à moitié convaincu… puis l’illumination vient.
- Aaaaaaah ouais je vois ! En gros, « on prie pas mais on est tous ensemble » quoi ? C’est bon j’ai compris !
J’lui fait un clin d'oeil complice et hoche la tête, méga-convaincu puis j’continue de suivre le professeur pour la visite, en continuant d’enregistrer tout ce qu’il raconte sur mon tel. J’réagis un peu plus quand il me parle des arbres, et j’lui raconte même ma vie pour le coup. Comme quoi ma grand-mère prend des compléments a base de ginkgo biloba parce qu’askip, ça aide à réduire plein de problèmes de santé qui peuvent se pointer à son âge. J’crois que la photo sur leur cheminée, c’est sous des arbres de ce genre là en vrai. Ptête qu’ils se sont mariés ici ? J’leur ai jamais demandé mais faut que j’y pense, alors j’rapproche ma bouche du micro pour le murmurer, note à moi-même. Et surtout, faut que j’pense à pas donner le fichier audio au prof, même si j’dois tout réécrire. Les petites notes persos que j’me fait en murmurant par moment, ca le regarde pas !
- Hein ?
M*rde, qu’est-ce qu’il vient de me demander ? L’année d‘un truc mais j’ai pas tout capté, j’étais trop focus sur mon post-it vocal là…
- Euuuh… Votre année de naissance ! Ou pas loin en tout cas ! Et c’est Sissi l’impératrice j’crois !
J’lui fait un grand sourire tout fier, genre colgate maxi white, truc du genre, parce que la deuxième question j’suis presque sûr d’avoir bon. Ma mère elle kiffe ce genre de vieux films étrangers, même si c’est trop naze. Ce qui est bizarre, c’est que le prof a pas l’air convaincu… Ptete que c’est pas connu ici en fait, et du coup ca veut dire que ça a rien a voir avec la visite, alors j’fais faux bond ! P*tain, y’a pas un panneau dans le coin pour m’aider là ? J’m’agite, remuant les mains devant lui pour l’arrêter dans sa marche et l’interpelle :
- Attendez attendez, j’suis sur que j’vais trouver ! Euuuh… Euh… C’est l’impératriceuuuuh… AH JE SAIS ! Son nom il ressemble à Shuriken ! Shuuuu… Shoo… SHOKEN c’est ça !!!
- Aaaaaaah ouais je vois ! En gros, « on prie pas mais on est tous ensemble » quoi ? C’est bon j’ai compris !
J’lui fait un clin d'oeil complice et hoche la tête, méga-convaincu puis j’continue de suivre le professeur pour la visite, en continuant d’enregistrer tout ce qu’il raconte sur mon tel. J’réagis un peu plus quand il me parle des arbres, et j’lui raconte même ma vie pour le coup. Comme quoi ma grand-mère prend des compléments a base de ginkgo biloba parce qu’askip, ça aide à réduire plein de problèmes de santé qui peuvent se pointer à son âge. J’crois que la photo sur leur cheminée, c’est sous des arbres de ce genre là en vrai. Ptête qu’ils se sont mariés ici ? J’leur ai jamais demandé mais faut que j’y pense, alors j’rapproche ma bouche du micro pour le murmurer, note à moi-même. Et surtout, faut que j’pense à pas donner le fichier audio au prof, même si j’dois tout réécrire. Les petites notes persos que j’me fait en murmurant par moment, ca le regarde pas !
- Hein ?
M*rde, qu’est-ce qu’il vient de me demander ? L’année d‘un truc mais j’ai pas tout capté, j’étais trop focus sur mon post-it vocal là…
- Euuuh… Votre année de naissance ! Ou pas loin en tout cas ! Et c’est Sissi l’impératrice j’crois !
J’lui fait un grand sourire tout fier, genre colgate maxi white, truc du genre, parce que la deuxième question j’suis presque sûr d’avoir bon. Ma mère elle kiffe ce genre de vieux films étrangers, même si c’est trop naze. Ce qui est bizarre, c’est que le prof a pas l’air convaincu… Ptete que c’est pas connu ici en fait, et du coup ca veut dire que ça a rien a voir avec la visite, alors j’fais faux bond ! P*tain, y’a pas un panneau dans le coin pour m’aider là ? J’m’agite, remuant les mains devant lui pour l’arrêter dans sa marche et l’interpelle :
- Attendez attendez, j’suis sur que j’vais trouver ! Euuuh… Euh… C’est l’impératriceuuuuh… AH JE SAIS ! Son nom il ressemble à Shuriken ! Shuuuu… Shoo… SHOKEN c’est ça !!!
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Mon personnage
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❖ Chambre/Zone n° : 1 (Appart)
❖ Arrivé(e) en : Septembre 2016
♫ Karma et traditions ♫
« Exactement ! »
Aussi étonnant que cela puisse être, l’histoire des arbres et fleurs a l’air de beaucoup l’intéresser. Il en vient même à me parler de sa grand-mère et de ses compléments à base de ginkgo biloba et j’ajoute que la mienne en prend même du thé ! Un remède à retenir pour plus tard. Ce petit malin m’enregistre avec son téléphone, je le vois parfois murmurer dedans sans forcément entendre ce qu’il y baragouine. De toute manière je crois que c’est en espagnol... Pas sûr. Il est tellement concentré sur son message qu’il ne m’écoute que d’une oreille.
« Mon année de... Ben merci ! J’ai l’air si vieux ?! »
Je ris doucement, le reste de sa réponse n’est pas mieux. Ce sale gosse a bien du culot.
« Tu es sûr de toi ? »
Mon rire ne s’arrête pas alors que je continue d’avancer en lui jetant quelques regards en arrière. Eh bien ? On panique ? Le voir s’agiter de la sorte m’amuse. Shuriken, on se rapproche.
« Ah c’est le bon pays déjà, bravo tu progresses ! »
Evidemment, je me moque ouvertement de lui. Pablo-kun finit par me donner la bonne réponse. C’est aussi étonnant qu’affligeant qu’il ait du chercher et qu’il ait retrouvé dans tout son manque de volonté. Il fait un petit effort quand même. Je me retourne pour lui faire face.
« Bien joué ! J’ai bien cru que j’aurais dû te faire baisser au classement de mes meilleurs élèves. »
Petit sarcasme pour le taquiner avant qu’on se remette en route.
« Je pense qu’on a fait un joli tour de ce côté, il y aurait encore beaucoup à dire mais... Je ne voudrais pas prendre toute la mémoire de ton téléphone... Alors ton devoir-punition... Je veux que tu prennes une photo, comme tu souhaites, d’un endroit du jardin, et ne te moque pas de moi en prenant le sol hein ! Un coin fleuris tiens, et que tu m’en fasse un croquis couleur. Et, un essaie d’au moins une copie double sur le rôle et l’importance du sanctuaire Meiji pour le Japon et ses habitants, tout en donnant aussi ton avis sur la question bien sûr. Tu as jusqu’à la rentrée. Passionnant non ? »
Aussi étonnant que cela puisse être, l’histoire des arbres et fleurs a l’air de beaucoup l’intéresser. Il en vient même à me parler de sa grand-mère et de ses compléments à base de ginkgo biloba et j’ajoute que la mienne en prend même du thé ! Un remède à retenir pour plus tard. Ce petit malin m’enregistre avec son téléphone, je le vois parfois murmurer dedans sans forcément entendre ce qu’il y baragouine. De toute manière je crois que c’est en espagnol... Pas sûr. Il est tellement concentré sur son message qu’il ne m’écoute que d’une oreille.
« Mon année de... Ben merci ! J’ai l’air si vieux ?! »
Je ris doucement, le reste de sa réponse n’est pas mieux. Ce sale gosse a bien du culot.
« Tu es sûr de toi ? »
Mon rire ne s’arrête pas alors que je continue d’avancer en lui jetant quelques regards en arrière. Eh bien ? On panique ? Le voir s’agiter de la sorte m’amuse. Shuriken, on se rapproche.
« Ah c’est le bon pays déjà, bravo tu progresses ! »
Evidemment, je me moque ouvertement de lui. Pablo-kun finit par me donner la bonne réponse. C’est aussi étonnant qu’affligeant qu’il ait du chercher et qu’il ait retrouvé dans tout son manque de volonté. Il fait un petit effort quand même. Je me retourne pour lui faire face.
« Bien joué ! J’ai bien cru que j’aurais dû te faire baisser au classement de mes meilleurs élèves. »
Petit sarcasme pour le taquiner avant qu’on se remette en route.
« Je pense qu’on a fait un joli tour de ce côté, il y aurait encore beaucoup à dire mais... Je ne voudrais pas prendre toute la mémoire de ton téléphone... Alors ton devoir-punition... Je veux que tu prennes une photo, comme tu souhaites, d’un endroit du jardin, et ne te moque pas de moi en prenant le sol hein ! Un coin fleuris tiens, et que tu m’en fasse un croquis couleur. Et, un essaie d’au moins une copie double sur le rôle et l’importance du sanctuaire Meiji pour le Japon et ses habitants, tout en donnant aussi ton avis sur la question bien sûr. Tu as jusqu’à la rentrée. Passionnant non ? »
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Karma et traditions
J’souris à moitié crispé quand il capte que je l’ai vieilli d’un coup, mais j’ai pas de scrupule à ça et puis c’est trop fun de l’emm*rder ce prof en vrai. Et puis lui se prive pas non plus !
Mon cheminement de recherche est long et compliqué, mais je finis tant bien que mal (et avec les encouragements de Kobatruc-sensei) par réussir à trouver la réponse à sa question. Tout fier, je m’agite et le fixe quand il se retourne vers moi, me figeant sur place. Qu’est-ce qu’il va me faire maintenant ?
- Ah, merci héhé ! C’est clair que ce serait dommage de me retirer de ce podium ! La lumière, ça m’va bien au teint.
J’rigole mais en même temps, c’est pas faux non plus. J’ai toujours aimé les cours de théâtre où on doit jouer des rôles, se donner à fond, mais aussi être au centre de l’attention pour faire rire les potes ou faire des c*nneries, évidemment. Une c*nnerie qui ne fait pas de vague et que personne ne remarque, c’est une c*nnerie ratée. Selon moi en tout cas. On reprend finalement la route pour poursuivre la visite et le prof reprend la parole.
Pour une fois, je l’écoute attentivement, histoire de pas me faire avoir comme pour la question qui est sortie de nulle part ! Beaucoup à dire mais ? Il va s’arrêter là ? Ma punition est finie ? Ah, joie de courte durée en fait. J’soupire et écoute la suite : un devoir quoi.
- Bah le sol c’est pourtant dans le jardin ! Mais… je pense que je sais déjà quoi prendre en photo.
Pas besoin de réfléchir très longtemps en vrai, parce que j’ai encore bien en tête les arbres que grand-mère a en photo sur sa cheminée. Et puis, peut-être qu’il y a des plantes sympas autour, j’verrais. Au pire un paysage avec s’t’arbre là en cible principale, ça peut être pas dégueu. J’sors de mes pensées quand il en arrive à m’parler de son essai sur copie double. Je m’arrête, penche la tête en arrière avec un ENORME soupir et le fixe alors qu’il s’arrête un peu plus loin en remarquant ma disparition à ses côtés.
- Pff… Vous êtes sûr que le croquis couleur suffirait pas ? J’peux ptête faire un combo en faisant une mise en scène ou un truc du genre non ? Ou une quelques cases pour faire une ptite histoire, j’sais pas ! En plus, que j’suis meilleur en dessin qu’à l’écrit…
J’soupire une fois de plus en traînant des pieds pour revenir à côté de lui, regardant le sol puis finit par le fixer et hausse les épaules, un p’tit sourire mesquin aux lèvres :
- Enfin bon, si c’est s’que vous voulez… C’est d’accord, mais j’vous signale que c’est vous qui allez devoir lire toute façon donc vous l’aurez voulu sensei. Ca va vous faire un sacré cadeau de rentrée ! Bonne fin de visite senseiiiiiiiiiii !
J’hausse un sourcil pour accompagner la sournoiserie sous-entendue dans tout ça, lui fait un énorme sourire, puis lui fait un signe de la main en m’éloignant rapidement. Y’a pas de raison que cette punition ne soit que pour moi, après tout.
Mon cheminement de recherche est long et compliqué, mais je finis tant bien que mal (et avec les encouragements de Kobatruc-sensei) par réussir à trouver la réponse à sa question. Tout fier, je m’agite et le fixe quand il se retourne vers moi, me figeant sur place. Qu’est-ce qu’il va me faire maintenant ?
- Ah, merci héhé ! C’est clair que ce serait dommage de me retirer de ce podium ! La lumière, ça m’va bien au teint.
J’rigole mais en même temps, c’est pas faux non plus. J’ai toujours aimé les cours de théâtre où on doit jouer des rôles, se donner à fond, mais aussi être au centre de l’attention pour faire rire les potes ou faire des c*nneries, évidemment. Une c*nnerie qui ne fait pas de vague et que personne ne remarque, c’est une c*nnerie ratée. Selon moi en tout cas. On reprend finalement la route pour poursuivre la visite et le prof reprend la parole.
Pour une fois, je l’écoute attentivement, histoire de pas me faire avoir comme pour la question qui est sortie de nulle part ! Beaucoup à dire mais ? Il va s’arrêter là ? Ma punition est finie ? Ah, joie de courte durée en fait. J’soupire et écoute la suite : un devoir quoi.
- Bah le sol c’est pourtant dans le jardin ! Mais… je pense que je sais déjà quoi prendre en photo.
Pas besoin de réfléchir très longtemps en vrai, parce que j’ai encore bien en tête les arbres que grand-mère a en photo sur sa cheminée. Et puis, peut-être qu’il y a des plantes sympas autour, j’verrais. Au pire un paysage avec s’t’arbre là en cible principale, ça peut être pas dégueu. J’sors de mes pensées quand il en arrive à m’parler de son essai sur copie double. Je m’arrête, penche la tête en arrière avec un ENORME soupir et le fixe alors qu’il s’arrête un peu plus loin en remarquant ma disparition à ses côtés.
- Pff… Vous êtes sûr que le croquis couleur suffirait pas ? J’peux ptête faire un combo en faisant une mise en scène ou un truc du genre non ? Ou une quelques cases pour faire une ptite histoire, j’sais pas ! En plus, que j’suis meilleur en dessin qu’à l’écrit…
J’soupire une fois de plus en traînant des pieds pour revenir à côté de lui, regardant le sol puis finit par le fixer et hausse les épaules, un p’tit sourire mesquin aux lèvres :
- Enfin bon, si c’est s’que vous voulez… C’est d’accord, mais j’vous signale que c’est vous qui allez devoir lire toute façon donc vous l’aurez voulu sensei. Ca va vous faire un sacré cadeau de rentrée ! Bonne fin de visite senseiiiiiiiiiii !
J’hausse un sourcil pour accompagner la sournoiserie sous-entendue dans tout ça, lui fait un énorme sourire, puis lui fait un signe de la main en m’éloignant rapidement. Y’a pas de raison que cette punition ne soit que pour moi, après tout.
- Tenue:
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So small in a massive universe, I'll find my place when I stop living with this curse
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- Gareth N. KobayashiPersonnel ; prof d'arts plastiques■ Age : 28■ Messages : 1022■ Inscrit le : 27/08/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : 1 (Appart)
❖ Arrivé(e) en : Septembre 2016
♫ Karma et traditions ♫
La lumière lui va bien, rien que ça ! On ne peut pas dire qu’il ne brille pas par sa confiance en lui c’est sûr ! Voyons si elle tiendra le coup une fois que j’aurais donné mes consignes pour sa punition. J’ai bien fait d’anticiper !
« Tu vois, je fais bien de préciser ! »
Après tout, je ne suis pas né de la dernière pluie, j’ai quasi 100 ans, n’est-ce-pas ? En réalité, je me doute que cette partie-là sera la moins punitive pour lui, c’est la raison pour laquelle, je corse un peu les choses. C’est uniquement pédagogique bien entendu, aucun sadisme, jamais, c’est contre mes principes ! Bon, j’ai tout de même du mal à dissimuler mon sourire satisfait de sa déchéance.
« Oh non non, tu ne vas pas me priver de tes talents rédactionnels ! Surtout pas en m’ayant fait part de ton enthousiasme de cette manière ! »
N’oublions pas l’objectif de tout ceci voyons. Traînant des pieds, Mora-kun se rapproche de moi, la pilule étant passée rapidement à en croire son sourire mesquin. Ce gamin est abonné à cette expression, il en aura des crampes un jour. Je ris doucement à la pensée qui lui a traversée l’esprit.
« Oh ne t’en fais pas pour moi, je manquais de support sur lequel m’entraîner à faire des cercles... »
Je lui jette un regard moqueur, signe que je plaisante. Faire comprendre à mes élèves que j’attends un échec de leur part n’est pas quelque chose auquel je m’adonne.
« Fais-moi un beau cadeau alors ! Bonne fin de visite, sale gosse ! »
Il ne l’a pas volé, même si de ma bouche cela sonne plus affectueux qu’autre chose.
« Tu vois, je fais bien de préciser ! »
Après tout, je ne suis pas né de la dernière pluie, j’ai quasi 100 ans, n’est-ce-pas ? En réalité, je me doute que cette partie-là sera la moins punitive pour lui, c’est la raison pour laquelle, je corse un peu les choses. C’est uniquement pédagogique bien entendu, aucun sadisme, jamais, c’est contre mes principes ! Bon, j’ai tout de même du mal à dissimuler mon sourire satisfait de sa déchéance.
« Oh non non, tu ne vas pas me priver de tes talents rédactionnels ! Surtout pas en m’ayant fait part de ton enthousiasme de cette manière ! »
N’oublions pas l’objectif de tout ceci voyons. Traînant des pieds, Mora-kun se rapproche de moi, la pilule étant passée rapidement à en croire son sourire mesquin. Ce gamin est abonné à cette expression, il en aura des crampes un jour. Je ris doucement à la pensée qui lui a traversée l’esprit.
« Oh ne t’en fais pas pour moi, je manquais de support sur lequel m’entraîner à faire des cercles... »
Je lui jette un regard moqueur, signe que je plaisante. Faire comprendre à mes élèves que j’attends un échec de leur part n’est pas quelque chose auquel je m’adonne.
« Fais-moi un beau cadeau alors ! Bonne fin de visite, sale gosse ! »
Il ne l’a pas volé, même si de ma bouche cela sonne plus affectueux qu’autre chose.
Codage par Libella sur Graphiorum
#terminé
Gareth gazouille en japonais #00cc99
Gareth gazouille en anglais #9933cc
Chiaki gazouille en japonais/anglais #6699cc
Hanae parle en japonais/anglais #cc99cc
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