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- Félix FortunePersonnel ; bibliothécaire■ Age : 26■ Messages : 141■ Inscrit le : 06/07/2024
Mon personnage
❖ Âge : 32 ans
❖ Chambre/Zone n° : 2 - Appart
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Avril 2018
Comité d'accueil
Septembre 2018
Cette journée avait pourtant si bien commencé... Enfin ! "Si bien commencé". Il fallait le dire vite. Aussi bien que pouvait débuter une journée dans un établissement peuplé de délinquants avec trop peu de respect pour les livres. Mais bref... Il avait finit par s'y faire. Il fallait bien. Mais si vous voulez, gérer des élèves, c'étaient une chose, être pris pour un chien guide, s'en était une autre !
Alors que Félix était en plein exercice de ses fonctions en vérifiant la liste des livres présents sur le campus, ceux emprunté, leurs dates de retour, tout ça, tout ça. Bref, de l'archivage. Alors qu'il faisait de l'archivage, donc, le voila qui se fit alpaguer par une autre membre du personnel. Mmh. Elle ne travaillait pas à la bibliothèque celle-ci... Il avait beau ne pas être très proche de ses collèges, Félix connaissait au moins vaguement ses confrères directs. Oh. Et elle n'était pas seule. Quelle. Joie. La nouvelle venu s'empressa d'expliquer la situation, qui était son acolyte, etc. Apparemment il s'agissait d'un nouveau membre dans l'équipe en charge de la bibliothèque. Charmant. Et en tant que tel, il fallait quelqu'un pour lui présenter les lieux, le travail, bref, faire du onboarding comme disent les jeunes ou les vieux qui veulent faire croire qu'ils sont encore dans le coup. De mieux en mieux... Quand bien même Félix avait fait l'effort d'afficher un sourire aussi poli que faux tout au long des explications, la perspective de servir de nounou à un nouveau venu ne l'enchantait guère. Après tout, ça ne faisait pas parti de son travail ! Aider les étudiants, c'étaient une chose, mais un collègues ? Il pouvait bien se débrouiller tout seul, non ?! D'un autre côté, il ne pouvait pas non plus simplement les envoyer paitre, ce serait confier sa sacro-sainte bibliothèque à une personne qu'il ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam et qui ne ferait que semer davantage de désordre, il en était sûr !
Après un certain temps, les explications arrivèrent à leurs termes et la femme quitta les lieux, abandonnant les deux hommes à leur sort. ... Bon, et bien quitte à devoir se le coltiner une parti de la journée, autant ne pas perdre de temps. Sans se départir de son sourire, Félix tendit sa main libre au nouvel arrivant.
- Monsieur Mandelli donc ? Enchanté, je me nomme Félix Fortune, comme vous avez pu l'entendre.
Quand bien même la personne qui l'avait amené ici les avait plus ou moins présenté, ça ne faisait pas de mal de remettre les choses à plat.
- Je vous souhaite la bienvenu au sein de l'établissement, c'est un plaisir de vous accueillir.
Il avait rarement dit quelque chose d'aussi faux, mais que voulez-vous, la première règle de la politesse, c'est de mentir pour éviter le malaise. Si on était tout le temps franc, je vous raconte pas le foutoir.
Félix prit le temps de détailler son interlocuteur. Entre son nom, ses cheveux clair et la couleur de ses yeux... Non, clairement, ce n'était pas un japonais. Mmh... Italien peut-être ? Valente, ça sonnait italien. Sans parlait du nom qui finissait en "i".
Codage par Libella sur Graphiorum
Japonais #990000 | Français #6699cc | Anglais #669933
- Cosmo Valente MandelliPersonnel ; bibliothécaire■ Age : 30■ Messages : 8■ Inscrit le : 14/09/2024
Mon personnage
❖ Âge : 31 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 2 - Appart
❖ Arrivé(e) en : Septembre 2018
Comité d'accueil.
Ft. Félix FortuneLes premières fois, c’était toujours un peu intimidant. On a le coeur qui s’envole et dégringole, les jambes un peu tremblantes, les mains moites… Les mots pouvaient peiner à sortir, notre regard prenait la fuite, ou au contraire, se fixait sur un point sans oser le quitter d’un millimètre. En clair, c’était le trac. Et c’était exactement l’impression que renvoyait la jolie secrétaire qui était venue l’accueillir. Peut-être s’était-elle pensée malchanceuse quand on lui avait annoncé une heure plus tôt qu’elle devrait s’occuper de la visite du nouveau bibliothécaire, mais elle avait depuis révisé son jugement. D’un clin d’oeil charmeur, il l’avait mise en confiance, et avec un brin de tchatche et d’humour, il était même parvenu à lui soutirer un petit rire cristallin. Adorable ~
La visite fut agréable, rythmée par ses boutades et par les sourires de plus en plus rougissant de la jeune femme. Elle n’était pas exactement son type, mais il était bon de se faire bien voir par ses collègues. Après tout, les bonnes relations sont la clé d’un cadre de travail agréable, au même titre que des barrières claires permettent de maintenir des relations saines.
La pensée entraîne le geste. Machinalement, il se gratte les paumes des mains alors que la visite des locaux arrive à son terme et que la secrétaire pousse les portes de son nouveau lieu de travail. L’odeur du papier vient immédiatement envahir ses narines, au même titre que le bruissement discret de quelques voix d’élèves. Rayonnages à perte de vue. Oh. Il ne manquait que la vieille bibliothécaire acariâtre et le cliché serait parfait. Derrière son sourire confiant et chaleureux, il ne fallait pas se leurrer : il n’avait pas spécialement envie d’être là, à pourrir entre deux rangées de livres poussiéreux. Mais force est de constater que ce métier, aussi ennuyeux qu’il s’annonçait, présentait tout de même quelques avantages. Des horaires fixes pour commencer, et de semaine. Ce qui était un must pour lui laisser du temps à passer en compagnie de la lumière de son existence. Les vacances marquaient également un bon point sur sa liste, et si cette secrétaire n’était que la partie visible de l’iceberg, il lui tardait de rencontrer le reste du personnel.
Main tendue dans sa direction, l’italien s’empresse de la serrer tout en plantant son regard bicolore dans celui terne et… sérieux et… Wow mais il avait quel âge pour avoir une ride du lion aussi marquée ? Et cette tenue… Quelle horreur ! Son style flirtait quasiment avec le néant, nulle trace de bonheur ou de légèreté dans cet homme, et bien évidemment, une absence totale de bon goût. De la praticité, le blond pouvait éventuellement le concevoir, mais c’était un raisonnement de vieille personne démotivée et grincheuse que de croire qu’on devait se priver de style pour être à l’aise.
Prenez par exemple… au pif, lui-même ! Pour un premier jour, il avait opté pour une tenue faussement sobre, un petit costume taillé main de chez Brioni et qu’il avait réhaussé de quelques dorures : boutons de manchette, épingle à cravate, montre à gousset glissée dans la poche de la veste, et bien évidemment des boucles d’oreilles discrètes, mais présentes. Il était à l’aise, et il avait du style, contrairement à son nouveau collègue. Ugh.
La jeune femme s’éclipse, déception temporaire qu’il oubliera d’ici quelques secondes. Conservant son sourire de façade, il hoche la tête.
« Un plaisir partagé, Monsieur Fortune. Il me tarde de découvrir vos méthodes de travail. » qui seront sans doute aussi insipides que votre tenue.
Echange de regard. Fortune. A moins d’un pseudonyme et d’une chirurgie esthétique extrême, il y avait peu de chance que son nouveau collègue soit japonais, et à son oreille, l’ensemble sonnait définitivement français. Pourtant, avec son manque gravissime d’esthétique, il l'aurait plutôt imaginé tout droit venu de la province anglaise, maussade et pluvieuse, mais soit. Personne n’était à l’abri des erreurs, pas même la quasi perfection incarnée qu’il était, et que l’autre homme détaillait de son côté. Oh, son regard critique et cerné de fatigue ne lui avait guère échappé, mais il était peut-être un peu tôt pour lui conseiller des crèmes adaptées, aussi bien à ses bagages qu'à ses rides marquées.
« Je vous passerai l’adresse de mon tailleur si vous le souhaitez, mais peut-être pourrions-nous avant cela nous concentrer sur la prise de mes fonctions ? ~ » piqua-t-il d’un ton moqueur.
La classe à l'italienne ~
La visite fut agréable, rythmée par ses boutades et par les sourires de plus en plus rougissant de la jeune femme. Elle n’était pas exactement son type, mais il était bon de se faire bien voir par ses collègues. Après tout, les bonnes relations sont la clé d’un cadre de travail agréable, au même titre que des barrières claires permettent de maintenir des relations saines.
La pensée entraîne le geste. Machinalement, il se gratte les paumes des mains alors que la visite des locaux arrive à son terme et que la secrétaire pousse les portes de son nouveau lieu de travail. L’odeur du papier vient immédiatement envahir ses narines, au même titre que le bruissement discret de quelques voix d’élèves. Rayonnages à perte de vue. Oh. Il ne manquait que la vieille bibliothécaire acariâtre et le cliché serait parfait. Derrière son sourire confiant et chaleureux, il ne fallait pas se leurrer : il n’avait pas spécialement envie d’être là, à pourrir entre deux rangées de livres poussiéreux. Mais force est de constater que ce métier, aussi ennuyeux qu’il s’annonçait, présentait tout de même quelques avantages. Des horaires fixes pour commencer, et de semaine. Ce qui était un must pour lui laisser du temps à passer en compagnie de la lumière de son existence. Les vacances marquaient également un bon point sur sa liste, et si cette secrétaire n’était que la partie visible de l’iceberg, il lui tardait de rencontrer le reste du personnel.
Main tendue dans sa direction, l’italien s’empresse de la serrer tout en plantant son regard bicolore dans celui terne et… sérieux et… Wow mais il avait quel âge pour avoir une ride du lion aussi marquée ? Et cette tenue… Quelle horreur ! Son style flirtait quasiment avec le néant, nulle trace de bonheur ou de légèreté dans cet homme, et bien évidemment, une absence totale de bon goût. De la praticité, le blond pouvait éventuellement le concevoir, mais c’était un raisonnement de vieille personne démotivée et grincheuse que de croire qu’on devait se priver de style pour être à l’aise.
Prenez par exemple… au pif, lui-même ! Pour un premier jour, il avait opté pour une tenue faussement sobre, un petit costume taillé main de chez Brioni et qu’il avait réhaussé de quelques dorures : boutons de manchette, épingle à cravate, montre à gousset glissée dans la poche de la veste, et bien évidemment des boucles d’oreilles discrètes, mais présentes. Il était à l’aise, et il avait du style, contrairement à son nouveau collègue. Ugh.
La jeune femme s’éclipse, déception temporaire qu’il oubliera d’ici quelques secondes. Conservant son sourire de façade, il hoche la tête.
« Un plaisir partagé, Monsieur Fortune. Il me tarde de découvrir vos méthodes de travail. » qui seront sans doute aussi insipides que votre tenue.
Echange de regard. Fortune. A moins d’un pseudonyme et d’une chirurgie esthétique extrême, il y avait peu de chance que son nouveau collègue soit japonais, et à son oreille, l’ensemble sonnait définitivement français. Pourtant, avec son manque gravissime d’esthétique, il l'aurait plutôt imaginé tout droit venu de la province anglaise, maussade et pluvieuse, mais soit. Personne n’était à l’abri des erreurs, pas même la quasi perfection incarnée qu’il était, et que l’autre homme détaillait de son côté. Oh, son regard critique et cerné de fatigue ne lui avait guère échappé, mais il était peut-être un peu tôt pour lui conseiller des crèmes adaptées, aussi bien à ses bagages qu'à ses rides marquées.
« Je vous passerai l’adresse de mon tailleur si vous le souhaitez, mais peut-être pourrions-nous avant cela nous concentrer sur la prise de mes fonctions ? ~ » piqua-t-il d’un ton moqueur.
La classe à l'italienne ~
Giapponese : #FABC3F | Italiano : #E85C0D
Inglese : #C7253E | Francese : #821131
- Félix FortunePersonnel ; bibliothécaire■ Age : 26■ Messages : 141■ Inscrit le : 06/07/2024
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❖ Âge : 32 ans
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❖ Arrivé(e) en : Rentrée Avril 2018
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Septembre 2018
On dit que la première impression est toujours la bonne. La majorité du temps, c'est des conneries. Mais des fois, oui des fois, c'est vrai ! Et en l’occurrence Félix avait l'impression qu'il était témoin d'une de ces rares fois. Déjà qu'il ne partait pas avec un bon à priori sur le nouveau venu, ces premiers échanges ne faisaient que renforcer son impression. La remarque sur le tailleur était au mieux maladroite, au pire insultante. Et malheureusement, le ton utilisé ne laissez pas de place au doute. Sans se départir de son sourire, le bibliothécaire détailla son nouveau collègue des pied à la tête, faisant plusieurs allez retour bien lent, tel un rapace. Le costume en lui même n'était pas laid, mais le doré un peu partout... Urgh. Ça faisait bling bling, et que dire des boucles d'oreille ? Enfin. Les attaques sur la tenu, c'était l'apanage des simple d'esprit ou des gens mal dans leur peau. Un peu comme les roquets, ça aboi fort pour se faire remarquer mais il n'y rien derrière. Enfin bref. De toute façon, si son tailleur acceptait des clients pareils, c'est qu'il ne devait pas valoir la peine d'être rencontré. Même sans ça, par pur orgueil, il ne pouvait se permettre d'accepter.
- Sans façon, merci.
Fit-il, toujours tout sourire.
- Suivez-moi, je vais vous faire visiter les lieux et vous donner quelques explications en chemin.
Il posa le registre sur son bureau. Mmh. C'est vrai qu'il faudra expliquer la paperasse... Urgh. Plus tard, autant commencer par faire en sorte que Mandelli se familiarise avec l'environnement. Plus vite il pourrait vadrouiller seul et plus vite Félix n'aurait plus à le supporter. Sans attendre de réponse, il tourna les talons et se mit à déambuler entre les étagères. Marche ou crève comme on dit. Au fur et à mesure, il indiquait les différentes zones de la bibliothèque, les sujets des livres qu'elles contenaient, etc.
- Mais vous devez déjà avoir une expérience précédente, ça ne doit pas trop vous changer jusque là ?
Allez, on pouvait prier qu'il s'était déjà fait les dents ailleurs et que même s'il n'était pas doué, il ne serait pas une menace pour le bâtiment.
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- Cosmo Valente MandelliPersonnel ; bibliothécaire■ Age : 30■ Messages : 8■ Inscrit le : 14/09/2024
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❖ Âge : 31 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 2 - Appart
❖ Arrivé(e) en : Septembre 2018
Comité d'accueil.
Ft. Félix FortuneUn refus. Oh, l’italien ne s’en formalisa pas une seule seconde. Après tout, quand on était habitué à se baigner dans la fange, il était difficile d’en sortir le nez et d’accepter de se faire aider. Ce cher monsieur Fortune n’était guère le premier acariâtre borné qu’il avait pu croiser au cours de sa merveilleuse existence, et il semblait assez grand pour décider de ne pas faire d’efforts. Et quelque part, cela l’arrangeait, à côté de lui, le blond n’aurait aucun problème à étinceler.
Sourire toujours ancré aux lèvres, ses yeux colorés suivirent brièvement les gestes de son aîné et, avec un bref hochement de tête, il lui emboîta le pas au milieu des différents rayonnages. Bien évidemment, il ne manquait pas une occasion de se présenter aux collègues qui croisaient leur chemin, et il lui arrivait même de rester plusieurs minutes à discuter, à prendre des nouvelles comme s’il travaillait déjà ici depuis plusieurs mois. A l’aise ? Toujours. Et il aimait tant les regards curieux qui se posaient sur lui, qui essayaient de percer au delà de sa sympathie affichée. Mais cela ne durait pas, et les petites abeilles de la bibliothèque devaient tôt ou tard ployer devant la mauvaise humeur du vilain bourdon qui l’accompagnait. Quelle plaie. Alors, d’une oreille un peu distraite, il consentit à écouter la suite de ses explications.
La question ne fit même pas trembler son masque affable, et il se permit même un petit rire satisfait.
« Oh bien sûr ! En revanche, ce n’était guère dans un cadre scolaire, il me faudra certainement un petit temps d’adaptation. » mentit-il sans la moindre gêne.
Et quelque part, était-ce véritablement un mensonge ? Il avait été bibliothécaire pour un show obscur qui n’avait pas dû dépasser les mille visionnages, mais.. ça devait bien compter, non ? Et puis, ce n’était pas comme s’il s’agissait d’un métier compliqué, il allait juste passer ses journées à ranger des livres et peut-être conseiller des élèves. Non, clairement la partie la plus compliquée serait certainement de devoir supporter le vilain cloporte à qui on l’avait confié.
« Mais n’ayez crainte, à la moindre question je n’hésiterai pas à me tourner vers vous, Fortune-senpai. »
Un sourire. Un plissement d’yeux. Mais il n’en pensait pas le moindre mot.
Sourire toujours ancré aux lèvres, ses yeux colorés suivirent brièvement les gestes de son aîné et, avec un bref hochement de tête, il lui emboîta le pas au milieu des différents rayonnages. Bien évidemment, il ne manquait pas une occasion de se présenter aux collègues qui croisaient leur chemin, et il lui arrivait même de rester plusieurs minutes à discuter, à prendre des nouvelles comme s’il travaillait déjà ici depuis plusieurs mois. A l’aise ? Toujours. Et il aimait tant les regards curieux qui se posaient sur lui, qui essayaient de percer au delà de sa sympathie affichée. Mais cela ne durait pas, et les petites abeilles de la bibliothèque devaient tôt ou tard ployer devant la mauvaise humeur du vilain bourdon qui l’accompagnait. Quelle plaie. Alors, d’une oreille un peu distraite, il consentit à écouter la suite de ses explications.
La question ne fit même pas trembler son masque affable, et il se permit même un petit rire satisfait.
« Oh bien sûr ! En revanche, ce n’était guère dans un cadre scolaire, il me faudra certainement un petit temps d’adaptation. » mentit-il sans la moindre gêne.
Et quelque part, était-ce véritablement un mensonge ? Il avait été bibliothécaire pour un show obscur qui n’avait pas dû dépasser les mille visionnages, mais.. ça devait bien compter, non ? Et puis, ce n’était pas comme s’il s’agissait d’un métier compliqué, il allait juste passer ses journées à ranger des livres et peut-être conseiller des élèves. Non, clairement la partie la plus compliquée serait certainement de devoir supporter le vilain cloporte à qui on l’avait confié.
« Mais n’ayez crainte, à la moindre question je n’hésiterai pas à me tourner vers vous, Fortune-senpai. »
Un sourire. Un plissement d’yeux. Mais il n’en pensait pas le moindre mot.
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Inglese : #C7253E | Francese : #821131
- Félix FortunePersonnel ; bibliothécaire■ Age : 26■ Messages : 141■ Inscrit le : 06/07/2024
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Septembre 2018
Un papillon social. O joie. Remarquez, ça ferait spectacle pour ceux qui cherchaient une excuse pour tirer au flanc... Ils ne traineraient plus dans ses pattes. Mais ça fera du travail en plus. Urgh... A part les occasionnelles présentations qui stoppaient la visite quelques minutes, rien de spécial n'arriva. Lorsque le tour de la bibliothèque fut terminé, Félix se dirigea tranquillement vers le bureau des bibliothécaires. Bon, maintenant, il fallait expliquer la paperasse, l'archivage, les listes de livres emprunté, ce qu'il fallait faire lorsqu'il était rendu... L'homme avait beau dire avoir une expérience précédente, on était jamais trop prudent. Et puis Félix ne souhaitait pas être dérangé tant que ça, alors l'annonce que son collègue n'hésiterait pas à venir le voir lui hérissa quelque cheveux dans le cou... Même s'il n'en laissa rien paraitre.
- Et je vous répondrai avec plaisir.
Ou pas. Surtout "ou pas" en fait.
- Puis-je savoir dans quel cadre était votre précédent poste ?
Pas tant que la vie de son nouveau collègue l'intéressait mais il préférait commencer à estimer le nombre de fois où il serait dérangé parce que l'arrivant paniquerait à la vue des délinquants peuplant cet établissement. Mmh ? Oh. Non, il ne comptait pas aider, mais il fallait estimer la fréquence de fois où il allait devoir disparaitre dans les rayons ou être "trop occupé" pour aider avec quoi que ce soit.
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