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- Jun ZariElève ; en 1ère année■ Age : 21■ Messages : 74■ Inscrit le : 20/08/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 15 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-2
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Samedi 29 septembre 2018 – 11h
Non.
Non.
Mon père me fait des clins d’œil tout sauf discrets, un large sourire aux lèvres, essayant tant bien que mal de cacher aux autres voyageurs qu’il se marre.
Un grand étranger en débardeur (on est presqu’en octobre !) s’est placé à mes côtés, le bras levé pour se tenir à la sangle et ne pas chuter dans le train.
C’est stupide.
C’est stupide parce que ce train est bondé. Même s’il le voulait, il ne pourrait pas tomber : plus personne ne peut bouger ! Et c’est stupide aussi parce que ses aisselles sont mises à nu. Et que j’ai une belle vue sur ses longs poils fins d’étranger roux. Et que je sens sa sueur dégueulasse d’étranger au cérumen humide.
Mon visage doit être à mourir de rire parce que je vois ma mère commencer à pleurer, ses lèvres relevées dans un rictus moqueur qu’elle tente gentiment de dissimuler avec ses doigts.
Je n’aurais pas dû les laisser s’asseoir tout à l’heure. Quand le couple de vieux s’en est allé, j’aurais dû empêcher ce nouveau couple de vieux de poser ses fesses à leurs places chaudes.
Maintenant, je me retrouve en anaérobie, tendu, à essayer de repousser la meuf à ma droite et le mec derrière moi pour que ma peau n’entre pas en contact avec cette pilosité auburn et abondante. Même si je disais à l'étranger de baisser les bras... Il ne comprendrait pas... Et... Je ne me rappelle plus comment on le dit en anglais...
« Bientôt, le train entrera à Houryuuji Station. »
Encore deux arrêts. Encore deux arrêts à retenir mon souffle. Deux arrêts. Ça fait environ quatre minutes. Le record est de 11 minutes et 35 secondes. Ça se tente. Mais je ne m’y suis pas préparé pendant des années comme le type qui a accompli cet exploit.
Les portes s’ouvrent brutalement, la dame à ma droite s’y dirige avec difficulté en murmurant des « désolée » aux pieds qu’elle écrase. Je prends plusieurs grandes inspirations moyennement bruyantes dans sa direction et tente de me mettre à sa place… Mais les nouveaux arrivants s’entassent déjà et je me retrouve collé serré contre l’étranger, lui-même compressé par les autres voyageurs sur sa gauche.
Purée… Cette foule de cons qui ont eu la même idée.
Aller à Nara pour contempler les higanbana dans le temple des lycoris. MAIS C’ÉTAIT SÛR, EN FAIT, C’ÉTAIT SÛR ! J’aurais dû me douter que c’est là qu’ils m’amèneraient, mes vieux. Ces tocards qui continuent de se payer ma tronche !
Je ne sais pas encore comment me venger ; et je sais qu’ils y sont préparés… Mais aujourd’hui, je vais leur faire la misère, comme ils ont choisi de me la mettre à l’envers.
Non.
Non.
Mon père me fait des clins d’œil tout sauf discrets, un large sourire aux lèvres, essayant tant bien que mal de cacher aux autres voyageurs qu’il se marre.
Un grand étranger en débardeur (on est presqu’en octobre !) s’est placé à mes côtés, le bras levé pour se tenir à la sangle et ne pas chuter dans le train.
C’est stupide.
C’est stupide parce que ce train est bondé. Même s’il le voulait, il ne pourrait pas tomber : plus personne ne peut bouger ! Et c’est stupide aussi parce que ses aisselles sont mises à nu. Et que j’ai une belle vue sur ses longs poils fins d’étranger roux. Et que je sens sa sueur dégueulasse d’étranger au cérumen humide.
Mon visage doit être à mourir de rire parce que je vois ma mère commencer à pleurer, ses lèvres relevées dans un rictus moqueur qu’elle tente gentiment de dissimuler avec ses doigts.
Je n’aurais pas dû les laisser s’asseoir tout à l’heure. Quand le couple de vieux s’en est allé, j’aurais dû empêcher ce nouveau couple de vieux de poser ses fesses à leurs places chaudes.
Maintenant, je me retrouve en anaérobie, tendu, à essayer de repousser la meuf à ma droite et le mec derrière moi pour que ma peau n’entre pas en contact avec cette pilosité auburn et abondante. Même si je disais à l'étranger de baisser les bras... Il ne comprendrait pas... Et... Je ne me rappelle plus comment on le dit en anglais...
« Bientôt, le train entrera à Houryuuji Station. »
Encore deux arrêts. Encore deux arrêts à retenir mon souffle. Deux arrêts. Ça fait environ quatre minutes. Le record est de 11 minutes et 35 secondes. Ça se tente. Mais je ne m’y suis pas préparé pendant des années comme le type qui a accompli cet exploit.
Les portes s’ouvrent brutalement, la dame à ma droite s’y dirige avec difficulté en murmurant des « désolée » aux pieds qu’elle écrase. Je prends plusieurs grandes inspirations moyennement bruyantes dans sa direction et tente de me mettre à sa place… Mais les nouveaux arrivants s’entassent déjà et je me retrouve collé serré contre l’étranger, lui-même compressé par les autres voyageurs sur sa gauche.
Purée… Cette foule de cons qui ont eu la même idée.
Aller à Nara pour contempler les higanbana dans le temple des lycoris. MAIS C’ÉTAIT SÛR, EN FAIT, C’ÉTAIT SÛR ! J’aurais dû me douter que c’est là qu’ils m’amèneraient, mes vieux. Ces tocards qui continuent de se payer ma tronche !
Je ne sais pas encore comment me venger ; et je sais qu’ils y sont préparés… Mais aujourd’hui, je vais leur faire la misère, comme ils ont choisi de me la mettre à l’envers.
color=#006699
- Akari ArasakaElève ; en 2ème année■ Age : 24■ Messages : 19■ Inscrit le : 01/06/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 17 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-4
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Floraison des Higanbana à Nara
Samedi 29 septembre 2018 – 11h
Les murmures discernables dans le wagon se mêlaient au bruit de roulement produit par les roues glissant sur les voies sous l'effet des vibrations à celles qu'Akari ressentait sous ses doigts. S'il y a bien une chose qui lui déplaisait à Kobe, c'était bien le métro. Un lieu étroit et confiné regorgeant de monde entassé dans un si petit espace, où il fallait parfois compter sur un miracle pour trouver une place libre. Akari était une fille plutôt chanceuse, telle une représentation humaine d'un maneki-neko, sa bonne-fortune lui avait permi de trouver une place assise qui n'attendait qu'elle dès son entrée dans le wagon où tous les usagers semblaient être en pleine forme. Pas de personne handicapée, pas d'adulte fébrile ni de personne âgée à qui céder sa place avec le sourire, l'adolescente avait pu passer son trajet en restant assise confortablement, les yeux rivés sur le téléphone qu'elle tenait d'une main en tapotant l'écran avec son pouce. Son autre main retint un bâillement alors qu'elle redressa la tête, regardant d'abord brièvement les personnes autour d'elle qui semblaient tout aussi impatients qu'elle de quitter ce huis clos, puis ses yeux se dirigèrent sur le petit écran montrant la progression du métro en temps réel. Il ne restait plus beaucoup d'arrêts avant Nara. Plus que quelques minutes à s'ennuyer aux côtés de cette myriade d'être humains, à se faire emporter par la fatigue à force de rester stagnante sur place avant d'enfin pouvoir goûter à l'air frais. Et malgré qu'elle soit une fille très attachée aux humains en terme général, ils étaient bien trop entassés à son goût là-dedans. Elle préférait mille fois les bus où chacun restait assis à sa place bien plus confortable, avec bien moins d'allées et venues et les allées entièrement vides rendant l'air respirable. Mais surtout... Ayant le chat pour animal totem, la blonde commençait à avoir sacrément envie de bouger pour dépenser toute cette énergie s'accumulant en elle à force de rester passive !
Mais malgré ce début de journée catastrophique, la Kawagoenne ne regrettait absolument pas d'être là au lieu de partir se dépenser quelque part dans Kobe. L'écran de son téléphone affichait plusieurs onglets de page détaillant toutes les choses intéressantes à voir à Nara ainsi que toutes les activités à y faire, sans manquer de parler du côté traditionnel de cette ville qui ravira tous les puristes d'un magnifique Japon persistant à quelques endroits. Et pour être honnête, Akari était loin, bien loin d'être ce genre de puriste. Pour une fille rayonnante, elle préférait paradoxalement les grandes villes mouvementées regorgeant de bâtiments à perte de vue et de grandes allées remplies de commerces aussi basiques que farfelus. Elle n'aurait jamais quittée Kobe un samedi pour visiter une ville aussi traditionnelle que celle qui l'avait lassée... Ça, c'était avant de connaître Kazane. Avant de connaître cette fille qui faisaient grimper en elle de drôles de sentiments incompréhensibles, avant de chercher à l'inviter à un endroit qui lui plairait. Et bien que Akari soit avant tout du genre à improviser ses journées et sa vie, à se laisser porter par ses envies et ce qui s'offrait à elle, elle ressentait cette fois le besoin d'aller tâter le terrain. Pour ne pas inviter sa senpai dans une ville où elle s'ennuieraient à en taper des cailloux dans un parc en attendant désespérément l'heure du retour à Kobe. Peut-être... Qu'elle en faisait beaucoup trop ? Ou alors pas assez.
Le métro s'arrêta à quelques stations, lors d'escales servant autant à vider que remplir le wagon dans lequel était installée Akari, comme un cycle sans fin d'allées et venues condamnant la cabine à ne jamais se vider purement et simplement. Il ne restait donc plus qu'à attendre son propre arrêt libérateur qui pointa enfin le bout de son nez après de trop longues minutes. Le crissement des roues s'arrêtant pour ralentir en glissant sur les rails retentit jusqu'aux oreilles d'Akari, comme une résonnance libératrice lui annonçant que son calvaire allait enfin prendre fin après ce long bruit familier et étrangement apaisant. Et très honnêtement, c'était pas trop tôt ! Ses jambes tremblantes d'impatientes frappèrent doucement le sol à l'annonce de l'arrêt à Nara, Akari se redressant alors rapidement pour s'apprêter à mettre les voiles. Elle était enfin debout, au milieu d'une foule entassée comme du bétail au milieu de laquelle l'adolescente progressa assez difficilement alors qu'elle veillait à rentrer en contact avec le moins de personnes possibles. Si Akari n'avait aucune réticence avec les contacts physiques à la base, il en était tout autre dans le métro où tout le monde paraissait étrangement sale. Mais si personne ne faisait exception, il devait sûrement en être de même pour elle aux yeux des autres. À croire que le mot métro est l'antonyme du mot douche.
Une fois sortie, Akari se félicitait intérieurement d'être une fille si prévoyante lorsqu'elle mit la main sur sa bombe de déodorant pour en asperger ses vêtements. Sait-on jamais quelles particules étranges circulent dans un tel endroit, le mieux reste de s'en débarasser ! Le parfum de damscone se répandit autour d'elle, se mariant à merveilles avec l'odeur de ses produits de bain au litchi pour la laisser toute fraîche après être sortie de cet enfer urbain. Par ce temps hiverneux, Akari trônait fièrement habillée d'un jean délavé rentré dans ses bottes hautes dont les lacets étaient parfaitement noués en contrastant à merveille avec le tissus de son jean, qui lui se mariait parfaitement avec son t-shirt blanc. Son manteau kaki à fourrure venait de battre un record de longévité en étant resté parfaitement enfilé autour du buste d'Akari pendant tout le trajet, bien qu'il commençait déjà à montrer des signes de faiblesses en commençant à tomber des épaules de la blonde sans qu'elle prenne la peine de le remettre en place, signifiant qu'elle commençait déjà à ne plus le supporter. Mais son attention était de toute façon focalisée sur son téléphone, sur lequel elle regardait un plan de la ville en regardant ce qu'elle allait faire en premier lieu, tout en venant remettre son serre-tête orné de deux cornes rouges en place sur sa chevelure dorée.
Les murmures discernables dans le wagon se mêlaient au bruit de roulement produit par les roues glissant sur les voies sous l'effet des vibrations à celles qu'Akari ressentait sous ses doigts. S'il y a bien une chose qui lui déplaisait à Kobe, c'était bien le métro. Un lieu étroit et confiné regorgeant de monde entassé dans un si petit espace, où il fallait parfois compter sur un miracle pour trouver une place libre. Akari était une fille plutôt chanceuse, telle une représentation humaine d'un maneki-neko, sa bonne-fortune lui avait permi de trouver une place assise qui n'attendait qu'elle dès son entrée dans le wagon où tous les usagers semblaient être en pleine forme. Pas de personne handicapée, pas d'adulte fébrile ni de personne âgée à qui céder sa place avec le sourire, l'adolescente avait pu passer son trajet en restant assise confortablement, les yeux rivés sur le téléphone qu'elle tenait d'une main en tapotant l'écran avec son pouce. Son autre main retint un bâillement alors qu'elle redressa la tête, regardant d'abord brièvement les personnes autour d'elle qui semblaient tout aussi impatients qu'elle de quitter ce huis clos, puis ses yeux se dirigèrent sur le petit écran montrant la progression du métro en temps réel. Il ne restait plus beaucoup d'arrêts avant Nara. Plus que quelques minutes à s'ennuyer aux côtés de cette myriade d'être humains, à se faire emporter par la fatigue à force de rester stagnante sur place avant d'enfin pouvoir goûter à l'air frais. Et malgré qu'elle soit une fille très attachée aux humains en terme général, ils étaient bien trop entassés à son goût là-dedans. Elle préférait mille fois les bus où chacun restait assis à sa place bien plus confortable, avec bien moins d'allées et venues et les allées entièrement vides rendant l'air respirable. Mais surtout... Ayant le chat pour animal totem, la blonde commençait à avoir sacrément envie de bouger pour dépenser toute cette énergie s'accumulant en elle à force de rester passive !
Mais malgré ce début de journée catastrophique, la Kawagoenne ne regrettait absolument pas d'être là au lieu de partir se dépenser quelque part dans Kobe. L'écran de son téléphone affichait plusieurs onglets de page détaillant toutes les choses intéressantes à voir à Nara ainsi que toutes les activités à y faire, sans manquer de parler du côté traditionnel de cette ville qui ravira tous les puristes d'un magnifique Japon persistant à quelques endroits. Et pour être honnête, Akari était loin, bien loin d'être ce genre de puriste. Pour une fille rayonnante, elle préférait paradoxalement les grandes villes mouvementées regorgeant de bâtiments à perte de vue et de grandes allées remplies de commerces aussi basiques que farfelus. Elle n'aurait jamais quittée Kobe un samedi pour visiter une ville aussi traditionnelle que celle qui l'avait lassée... Ça, c'était avant de connaître Kazane. Avant de connaître cette fille qui faisaient grimper en elle de drôles de sentiments incompréhensibles, avant de chercher à l'inviter à un endroit qui lui plairait. Et bien que Akari soit avant tout du genre à improviser ses journées et sa vie, à se laisser porter par ses envies et ce qui s'offrait à elle, elle ressentait cette fois le besoin d'aller tâter le terrain. Pour ne pas inviter sa senpai dans une ville où elle s'ennuieraient à en taper des cailloux dans un parc en attendant désespérément l'heure du retour à Kobe. Peut-être... Qu'elle en faisait beaucoup trop ? Ou alors pas assez.
Le métro s'arrêta à quelques stations, lors d'escales servant autant à vider que remplir le wagon dans lequel était installée Akari, comme un cycle sans fin d'allées et venues condamnant la cabine à ne jamais se vider purement et simplement. Il ne restait donc plus qu'à attendre son propre arrêt libérateur qui pointa enfin le bout de son nez après de trop longues minutes. Le crissement des roues s'arrêtant pour ralentir en glissant sur les rails retentit jusqu'aux oreilles d'Akari, comme une résonnance libératrice lui annonçant que son calvaire allait enfin prendre fin après ce long bruit familier et étrangement apaisant. Et très honnêtement, c'était pas trop tôt ! Ses jambes tremblantes d'impatientes frappèrent doucement le sol à l'annonce de l'arrêt à Nara, Akari se redressant alors rapidement pour s'apprêter à mettre les voiles. Elle était enfin debout, au milieu d'une foule entassée comme du bétail au milieu de laquelle l'adolescente progressa assez difficilement alors qu'elle veillait à rentrer en contact avec le moins de personnes possibles. Si Akari n'avait aucune réticence avec les contacts physiques à la base, il en était tout autre dans le métro où tout le monde paraissait étrangement sale. Mais si personne ne faisait exception, il devait sûrement en être de même pour elle aux yeux des autres. À croire que le mot métro est l'antonyme du mot douche.
Une fois sortie, Akari se félicitait intérieurement d'être une fille si prévoyante lorsqu'elle mit la main sur sa bombe de déodorant pour en asperger ses vêtements. Sait-on jamais quelles particules étranges circulent dans un tel endroit, le mieux reste de s'en débarasser ! Le parfum de damscone se répandit autour d'elle, se mariant à merveilles avec l'odeur de ses produits de bain au litchi pour la laisser toute fraîche après être sortie de cet enfer urbain. Par ce temps hiverneux, Akari trônait fièrement habillée d'un jean délavé rentré dans ses bottes hautes dont les lacets étaient parfaitement noués en contrastant à merveille avec le tissus de son jean, qui lui se mariait parfaitement avec son t-shirt blanc. Son manteau kaki à fourrure venait de battre un record de longévité en étant resté parfaitement enfilé autour du buste d'Akari pendant tout le trajet, bien qu'il commençait déjà à montrer des signes de faiblesses en commençant à tomber des épaules de la blonde sans qu'elle prenne la peine de le remettre en place, signifiant qu'elle commençait déjà à ne plus le supporter. Mais son attention était de toute façon focalisée sur son téléphone, sur lequel elle regardait un plan de la ville en regardant ce qu'elle allait faire en premier lieu, tout en venant remettre son serre-tête orné de deux cornes rouges en place sur sa chevelure dorée.
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