Kenichiro Matsuda - 20 ans - Bully [TW : Harcèlement, violence]

Kenichiro Matsuda

Age : 20 ans
Nationalité : Japonaise
Préférence sexuelle : Bisexuel (du mal à l’assumer)
Classe choisie : 1ère année Université (cursus sportif au choix)

Sur l'avatar : Hanma Shuji - Tokyo Revengers

Résumé du caractère :

Franc - sanguin - acharné - vulgaire - sportif - intrépide - faux-cancre - menteur - prompt à la violence - impatient - charismatique - aime avoir le contrôle - plus dépendant qu’il ne le pense - obsessif - fumeur - essaye de se repentir - a du mal à tenir ses objectifs - loyal - proche de sa mère

Résumé de l'histoire :

• Né dans une petite famille sans prétention. Il a un frère aîné avec qui il entre très tôt en conflit (ils sont tellement semblables qu’ils ne peuvent pas se supporter). Sa mère est très effacée et son père fait souvent preuve de violence, d'abord sur son épouse, puis son aîné, et enfin sur son dernier.
• Caïd de l'école, il s'entoure d'une petite bande avec qui il terrifie les plus faibles. Il a de bons rapports avec ses potes, même s'il les trouve parfois vachement stupides.
• Côté notes, il s'arrange pour avoir la moyenne, bien qu'il n'aille clairement pas au bout de ses capacités.
• Pendant son adolescence, ses parents finissent par se séparer et si sa mère parvient à obtenir leur garde, l'aîné enfile rapidement les chaussures du paternel. Kenichiro et lui en viennent fréquemment aux mains, jusqu'au départ de son grand frère. Aux dernières nouvelles, il aurait rejoint un gang.
• A la sortie du lycée, il voulu rejoindre la même université que sa victime préférée mais manque de pot, il fut recalé. Il rongea son frein dans un établissement de moins bonne renommée et c'est avec la distance qu'il se rendit compte que ouais, l'autre imbécile lui manquait.
• Tirant quelques ficelles, il apprend dans quel établissement Kotai a atterri, et il se démène pour y être transféré.

Lien avec mon personnage :

Kotai Kinzoku - Victime personnelle - Depuis leur plus tendre enfance, Keni’ a pris en grippe cette petite chiffe-molle. Il souriait pas. Ne parlait pas. Ne jouait pas avec les autres. Vraiment trop bizarre ! Du coup, bah il l’a un peu poussé du pied parfois pour lui tirer quelques mots, quelques larmes. Logique quoi. Ce qui est moins logique, c’est que quand d’autres s’en sont pris à l’autre merdeux, Keni’ n’a pas aimé. C’était son looser ! Son défouloir privé ! Et il aurait beau partir à l’autre bout du pays, il ne pourrait pas lui échapper.