Victoria Vankov

Physique
Bon la section que j’aime le moins remplir, le physique. Une photo ne dévoile pas tout, mais cela donne une bonne idée. Je suis rousse, mais cela saute aux yeux de n’importe qui, je pense que même les lumières fermés on arrive à voir que je suis rousse. Je tiens cela du sang de mes ancêtres et je suis la seule de ma famille en à avoir hérité. De moins selon les textes et les photos, je suis le portait craché de mon arrière-grand-mère. Donc, mes cheveux ondules jusqu’à la fin de mon dos, juste avant la naissance de mes fesses. Mes yeux son bleu pâle avec une petite teinte de vert, ce qui ressemble plus ou moins au turquoise, mais cela change selon l’angle et si j’ai le soleil qui m’aveugle ou non.

Ne vous étonnez pas si je vous regarde la tête bien haute et oui je ne suis pas grande, 1mètre53 à vrai dire, je suis la plus petite de ma famille, même mes deux plus jeunes sœurs - Jumelle – sont plus grande que moi. Aucun tatouage, aucun piercing mon travail ne me le permet pas, ce qui me dérange grandement.

Suis-je musclé? Oui, je m’entraine religieusement pour garder la forme, pour ne pas prendre trop de rondeur mais surtout, je n’ai aucun régime je mange ce que je veux, je dois donc compenser quelque part. Mon corps est affilé, ferme et j’ai des bonnes courbes à la bonne place.

Pour cela je ne vais pas rentrer dans les détails, mais ça saute également aux yeux. Sérieusement, je suis désolée pour mon physique j’ai bien beau me regarder encore et encore dans le miroir sous tous les angles je ne trouve pas grand-chose à rajouter. Et si vous, vous questionnez sur mon style de vêtement je l’ignore moi-même, personnellement j’aime les choses simples, pas trop tape à l’œil, tout le contraire de ce que je porte lors des shootings photo.

Caractère
Je vais commencer par mes défauts si vous le voulez bien. Je suis une fille très curieuse, que dis-je trop curieuse et cela m’attire souvent des ennuis. J’ai peur de déplaire, peur du rejet et peur d’être seule. Quand on est un enfant du milieu, et qu’on est rejeté par les plus vieux et trop vieille pour les plus jeunes on passe beaucoup de temps seule et cette solitude est devenu un monstre qui me hante, je le crains, je le redoute. Je fais également confiance rapidement et parfois trop rapidement, pour moi y a que des bonnes personnes dans le monde qui ont simplement des mauvaises idées. Qui suis-je pour juger, je suis peut-être facilement manipulable, mais vous trouverez jamais une personne aussi fidèle que moi, je donnerais ma vie pour les gens qui entre dans la mienne. Pour moi l’amitié c’est sacré, je n’ai jamais eu la chance d’avoir des amis, et j’en rêve secrètement chaque soir.

Je suis dynamiquement positive, je pense que je peux mettre cela dans les qualités, j’aime pousser mes limites dans leur retranchement. Oh et j’ai une faiblesse, je n’ai jamais eu de petit copain donc quand mon regard croise le regard d’un garçon qui est mignon je perds tous mes moyens je deviens complètement rouge et je cherche un trou ou me caché, mais je pense que toutes les filles sont plus ou moins comme cela.

Si on joue un jeu de survie, je ne serais pas la première debout pour être la chef, mais je serais toujours la personne derrière qui l’aide et la pousse à continuer. Le bras droit en gros.

Ce que j’aime :
Saveur glace : Vanille
Type de garçon : Celui qui ne cherche pas les regards ou celui qui semble cacher un secret
Couleur : Pourpre
Saison : Automne
Soleil : Le couché
Animal : Chat
Matière : Sport
Chanson : Country

Ce que je n’aime pas :
Repas : Le tartare
Le noir
La solitude
Les orages
Être perdue dans une forêt
Ne rien comprendre
n’être personne

Pour le reste, venez me parler, pas trop rapidement laisser moi le temps de comprendre!

«Jeune fille, chaque membres de cette famille apporte quelque chose à sa renommer. Tes ancêtres étaient des vikings, leur sang coule dans tes veines. »
Encore cette phrase craché par mon père qui m’observe du coin de l’œil, face à une peinture représentant le passé. Vankov, un nom qui me tache la peau, pourtant à son sens, ce mot ne semble en rien au terme du passé, lorsqu’on imagine les vikings comme dans les films on pense tout de suite à Astrid, Frigg,  Loki, Ragnar etc. Disions qu’avec les époques le nom de ma famille fut déformé pour devenir Vankov, ce qui sonne beaucoup plus Russe à mes oreilles, mais bon qui suis-je pour juger des centaines d’années d’histoire.

Tant qu’à parler des Vankov, sachez que je suis la viande froide du milieu et avant même que vous posez la question, non je suis la seule rouquine de la famille, du moins de vivant. Mon arrière-grand-mère avait la même couleur de cheveux que moi et étrangement cela à sauter bien gènes avant de revenir dans la famille.  Donc, j’ai deux frères plus vieux que moi et deux jeunes sœurs plus jeunes que moi, tous promis à de glorieuses carrière et moi qui vague entre ‘’Je ne sais pas’’ et ‘’Ma vie n’a aucun sens’’ Ce qui déplais à mon père. Depuis ma naissance et dû à ma chevelure de flamme mes parents ont décidé que je serais un mannequin de renom et mon lancer dans ce monde de lumière. Cela ne me déplaît point, mais c’est beaucoup d’effort, beaucoup de temps et beaucoup de questionnement.

Selon les coutumes de notre famille, mon frère Adrian est le seul à hérité du domaine, toutefois chaque membres de la famille reçoit assez d’argent pour n’avoir aucun problème jusqu’à leur mort et vue que je travaille depuis mes 3 ans… Et oui, la jeune fille sur la pub des couches de bébé super absorbante qui absorbe tellement que même le bébé disparait c’est moi, que mon compte bancaire déborde de chiffre.

Donc, en gros je suis libre de faire ce que je veux tant que mes actions ne salie pas le nom de mes ancêtres.
Bon, revenons donc à mon père, celui qui parle à des tableaux… C’était un soir comme tous les autres, il observait le tableau qui se trouvait dans le couloir, planté debout devant la porte ouverte de ma chambre.

Pour ma part, j’étais assise à mon ordinateur, le nez dans les bouquins pour terminer mon cours, car vous voyez ici on fait l’école à la maison. «Père…»Et je fis tourner la chaise dans sa direction, le regard braqué sur lui. Il était temps que je parle, il était temps que je parte. « Vous, vous souvenez de nôtre discussion sur mon avenir que j’ignorais encore si je voulais poursuivre dans le mannequina» Petite pause stratégique, l’observant, son visage et ses mains le trahissait souvent. Ses yeux se posèrent un moment en direction du plafond, signe qu’il ne se souvenait pas «Oui… Victoria est-ce que tu y a pensé» Je dû alors me faire violence pour ne pas affiché un petit sourire en coin avant de poursuivre, le regard en direction de mon ordinateur ouvrant alors la page d’une école de renom mais qui se trouvait très loin de la maison « Je me suis inscrite à cet établissement» Petite pause, avant d’ouvrir un nouvel onglet, le regard de mon père sur l’écran «En sport» Le silence règne.

Bref, je vous évite la contestation de mon paternel, le déjeuner en famille qui suivie avec tous esprits contradictoire qui refusaient le départ d’un membre de la famille. Ce fut mon redressement brusque et mon regard froid qui trancha alors «J’étouffe dans cette famille, ici je ne suis personne, personne qu’une photo, qu’une publicité je veux devenir une vrai personne, avoir des vrai amis et réussir par moi-même et non par mon nom»
Ma famille n’avait donc pas eu le choix, toutefois j’avais quitté la demeure familiale sous le regard désapprobateur des autres membres, personne ne m’avait accompagné à l’aéroport et personne ne m’avait dit au revoir. Mon frère ainé cracha simplement un «Tu reviendras en pleure demander ton pardon» .

J’aime ma famille, mais j’avais le sentiment que si je restais parmi eux, je n’aurais jamais eu de place dans ce monde. J’ai donc pris sur moi, il me restait quelques mois avant de partir de chez moi et déjà ma famille avait commencé à m’ignorer comme si je venais de les trahir. Je pris un professeur de langue afin d’apprendre le japonais, langue que j’avais entendu lors de mes écoutes d’anime, toutefois j’avais bien du mal à comprendre et le temps filait rapidement, encore aujourd’hui je me promène avec un petit livre et je demande aux gens de ne pas parler trop rapidement.

Je suis donc arrivée le cœur mitigé, l’esprit dans le brouillard me demandant si j’avais fait le bon choix, si j’avais seulement le droit d’être autres chose qu’une Vankov. Ce qui était sûr, c’est que j’étais terriblement seule et perdu dans ce monde nouveau. Voici une partie de mon histoire, certes j’aurais pu débuter à ma naissance, mais qui veut connaitre ses détailles ? Cela fait donc quelques mois que je suis arrivé et je cherche encore mes marques, je ne cache pas que je suis un mannequin, mon gérant était emballé à mon voyage, pour lui c’était la meilleure chose pour toucher un nouveau marché. Voyons voir ce que l’avenir me réserve. Ce qui est sûr c’est que je ne compte pas revenir chez moi, du moins pas dans les prochaines années.

Le gaélique irlandais : 100% Langue de mon pays natale.
Anglais: 80%, Je le parle très bien, le comprend très bien mais l'écrire c'est autre chose.
Ulstèr-Scotch: 30% J'ai après quelques mots avec des connaissances du village, mais encore c'est pas très bien disons que je sais demander mon chemin, comment trouver les toilettes et quelques gros mots !
Français: 10% Je sais même pas pourquoi je l'inscrits, quelques mots, un peu de compréhension
Japonais: 55% Je le comprend, si c'est parlé pas trop rapidement, je le parle avec un peu d'hésitation et si ce n'était pas de mon ami le portable je n'arriverais pas à l'écrire ni le lire.