Recensement des membres jusqu'au 30 Novembre!
Les comptes non recensés seront supprimés lors de la maintenance alors n'oubliez pas de poster dans ce sujet !
Les comptes non recensés seront supprimés lors de la maintenance alors n'oubliez pas de poster dans ce sujet !
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Les vacances. Un terme dont tu n’avais plus entendu parler depuis plusieurs années maintenant. Même pendant tes périodes lycées, tu avais toujours cherché un petit boulot pour mettre de l’argent de côté. Tu ne connaissais plus le repos, le fait de ne plus être occupé constamment, de ne pas voir le temps passé. Aujourd’hui, tu redécouvrais le fait de s’ennuyer, de se chercher des occupations.
Si le début à été compliqué, tu réussis quand même à te lancer dans tes devoirs. Quitte à ne rien faire, autant essayer de t’avancer un maximum, pour être tranquille plus tard. Enfin oui, mais être tranquille pour quoi ? La majorité des étudiants ne sont pas présent la semaine et c’était bien trop calme sur le campus, même pour toi. C’est pour cela, qu’une fois que ton cerveau est suffisamment surchauffé sur tes obligations, ton regard se porta sur ton destrier.
Sous la lumière du soleil, il brillait et t’appelait. Flamboyant, resplendissant, tant tu en prends soin. Pourquoi pas après tout. Quelques tours pour se dégourdir les jambes. Quelques tours qui finirent par devenir une routine dans la semaine de plusieurs heures. Soit à parcourir la ville, soit simplement dans le parc. Ce dernier est un bon endroit pour croiser les quelques courageux sportifs comme toi. Les quelques que tu allais chercher à affronter sans aucune raison.
Tu en avais repéré un. Il a aussi son habitude mais il court. Pourtant, sans que tu ne le saches pourquoi, quelque chose t’avait titillé dans sa manière d’être, à force de le croiser. Un étudiant que tu n’avais jamais rencontré, ni jamais vu auparavant, qui ne semble pas appartenir à ta filière. Si le premier jour, vous vous étiez ignoré, les suivant il a tenté d’entrer en communication avec toi. Mais pas seulement. A force de faire le tour du parc, tu avais pris la confiance, à le faire de plus en plus vite. Et tu avais remarqué un truc avec ce gars.
Aujourd’hui, ce serait un peu différent. Enfourchant ton vélo, tu partis toute berzingue en direction du parc. Aujourd’hui, tu allais t’amuser un peu. Laisser un peu de ton toi ressurgir, après ces quelques mois à le contenir. Le coureur était là. Quand tu passas à ses côtés, tu pris un peu de vitesse. Tu fis le tour pour le rattraper et le dépasser une deuxième fois. Tu sentis son accélération et, un coup d’œil en arrière te confirma qu’il tentait de te rattraper. Un grand sourire monta sur ton visage, tandis que tu faisais le tour une troisième fois.
Vous vous recroisâtes à un virage. Une montée de vitesse en plus. Pourquoi ralentir ? Tu… Perdrais contre lui après tout. Tu te penchas dangereusement en le dépassant, ta pédale frottant légèrement sur le sol. Rien à faire de cela. Soufflant, tu ralentis légèrement, une fois sur que tu lui étais passé devant une nouvelle fois. Te retournant, tu ne pus te retenir de lui servir un sourire carnassier. Ainsi que d’une belle main levée, avec que le majeur de tendu.
Si le début à été compliqué, tu réussis quand même à te lancer dans tes devoirs. Quitte à ne rien faire, autant essayer de t’avancer un maximum, pour être tranquille plus tard. Enfin oui, mais être tranquille pour quoi ? La majorité des étudiants ne sont pas présent la semaine et c’était bien trop calme sur le campus, même pour toi. C’est pour cela, qu’une fois que ton cerveau est suffisamment surchauffé sur tes obligations, ton regard se porta sur ton destrier.
Sous la lumière du soleil, il brillait et t’appelait. Flamboyant, resplendissant, tant tu en prends soin. Pourquoi pas après tout. Quelques tours pour se dégourdir les jambes. Quelques tours qui finirent par devenir une routine dans la semaine de plusieurs heures. Soit à parcourir la ville, soit simplement dans le parc. Ce dernier est un bon endroit pour croiser les quelques courageux sportifs comme toi. Les quelques que tu allais chercher à affronter sans aucune raison.
Tu en avais repéré un. Il a aussi son habitude mais il court. Pourtant, sans que tu ne le saches pourquoi, quelque chose t’avait titillé dans sa manière d’être, à force de le croiser. Un étudiant que tu n’avais jamais rencontré, ni jamais vu auparavant, qui ne semble pas appartenir à ta filière. Si le premier jour, vous vous étiez ignoré, les suivant il a tenté d’entrer en communication avec toi. Mais pas seulement. A force de faire le tour du parc, tu avais pris la confiance, à le faire de plus en plus vite. Et tu avais remarqué un truc avec ce gars.
Aujourd’hui, ce serait un peu différent. Enfourchant ton vélo, tu partis toute berzingue en direction du parc. Aujourd’hui, tu allais t’amuser un peu. Laisser un peu de ton toi ressurgir, après ces quelques mois à le contenir. Le coureur était là. Quand tu passas à ses côtés, tu pris un peu de vitesse. Tu fis le tour pour le rattraper et le dépasser une deuxième fois. Tu sentis son accélération et, un coup d’œil en arrière te confirma qu’il tentait de te rattraper. Un grand sourire monta sur ton visage, tandis que tu faisais le tour une troisième fois.
Vous vous recroisâtes à un virage. Une montée de vitesse en plus. Pourquoi ralentir ? Tu… Perdrais contre lui après tout. Tu te penchas dangereusement en le dépassant, ta pédale frottant légèrement sur le sol. Rien à faire de cela. Soufflant, tu ralentis légèrement, une fois sur que tu lui étais passé devant une nouvelle fois. Te retournant, tu ne pus te retenir de lui servir un sourire carnassier. Ainsi que d’une belle main levée, avec que le majeur de tendu.
- Junko FushitaA l'université ; 3è année■ Age : 28■ Messages : 307■ Inscrit le : 03/12/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 23 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-107
❖ Arrivé(e) en : Fin Juin 2018
Lundi 6 août 2018.
Les cours terminés, les examens passés, il aurait bien pris quelques vacances mais... Junko va taffer tout l'été. Les frais de scolarité de Kobe coutant un bras, il ne doit pas lâcher un seul instant alors quand son patron lui a proposé de passer en temps plein pour la période des congés d'août, il n'a pas hésité une seule seconde. Et donc, barman étant un travail plutôt nocturne, son rythme de vie a aussi été bousculé par cette décision. Junko ne peut décemment pas se lever à 7h du matin comme il le faisait avant pour aller courir et faire sa routine habituelle. Le job est fatiguant, voire éreintant parfois, mais avec les tips donnés par les clients, le pot d'économie se remplit à vue d'oeil. Avec ça, il est certain aussi de pouvoir payer les frais d'entrée au collège de June, une de ses jeunes sœurs. Si Juniper n'a encore aucune idée de l'endroit où elle veut aller, sa jumelle a une idée bien arrêtée sur la question. Il l'accompagnera d'ailleurs pour sa rentrée des classes le 4 septembre, manquant une petite journée d'internat mais bon... La famille d'abord.
Tout ça pour dire que le grand brun va plutôt courir maintenant en fin de matinée. Le voici donc arpentant le parc dans une foulée régulière, écouteurs dans les oreilles et regard droit devant lui quoique dissociant complètement. Junko est dans sa bulle, il essaye de ne penser à rien, profitant de son footing pour décompresser. Mine de rien, il se demande s'il pourra renouveler ses frais de scolarité à Kobe pour l'an prochain. Il n'est pas certain avec le collège que June vise, de pouvoir suivre lui aussi. S'il le faut, il se sacrifiera pour elle, évidemment mais... peut-être devrait-il se pencher à nouveau vers un commerce de produits illicites. C'est de l'argent facile après tout, et dans son taff de barman en boîte, il se trouvera une clientèle facilement.
Enfin, il a raccroché de tout ça, en quittant Tokyo.
Pourtant, l'option lui trotte dans la tête.
Un cycliste lui passe devant. Vite, et le frôle. Junko se contente de le regarder filer en fronçant les sourcils. Ce gars là, avec ses cheveux rouges, ça fait plusieurs fois qu'il le voit le matin alors que lui court. Il n'a pas du faire attention. Pas comme s'il y a du monde à cette heure-ci mais, il lui laisse le bénéfice du doute.
Pourtant... Quelques minutes plus tard, rebelotte. Junko accélère d'instinct en sentant le deux roues passer plus près encore. Il sent que ça chauffe, que ça le titille. Il bouillonne un peu. Il veut quoi cet abruti ?
Plus de doute possible au troisième dépassement tant il sent la pédale presque lui griffer la jambe.
Oh ça... Impossible pour lui de ne pas mordre à l'hameçon, il va pas se laisser faire par un connard sorti de nul qui a pour lubie de l'emmerder pendant son footing. Surtout avec ce que dernier lui lance, dans un grand sourire et un majeur tendu. Junko fait flasher ses canines entre ses lèvres. Lui, il sait pas à qui il se frotte.
Le tokyoïte passe à la vitesse supérieure. Il n'est pas stupide, il sait que le vélo va plus vite que lui et qu'il serait impossible pour lui de le rattraper en termes de physique pur. Junko sait comment gruger et gagner du terrain. Si l'autre veut le dépasser une quatrième fois, il va devoir pédaler jusqu'à plus sentir ses mollets.
Le basketteur quitte la route qu'ils empruntaient jusque-là et file à travers la pelouse. Il connait ce parc comme sa poche pour y avoir couru très régulièrement depuis son arrivée en juin. Il sait où passer. Il sait qu'il retrouvera la piste de leur course improvisée plus loin, juste en face de la pelouse. Junko donne du sien, il n'est plus question de foulées tranquilles. Il sprinte. Ça lui rappelle Tokyo quand soudain il devait se barrer d'un coup fourré ou parce qu'un abruti d'ami venait de trop attirer l'attention et que les flics leur collaient au cul. Il rejoint la piste d'un saut preste. Il a du prendre un peu d'avance comme ça mais il a pas dit son dernier mot. C'est pas fini.
Il ne se laissera pas passer une quatrième fois.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Tiens tiens tiens… Mais c’est qu’il en redemanderait le piéton ? A cavaler de plus en plus vite, dans l’espoir de simplement toucher l’idée de te rattraper. Ou pas forcément de te rattraper. Cela pourrait être juste de t’empêcher de le dépasser une nouvelle fois. L’un ou l’autre, il allait devoir courir plus vite que cela. Et toi pédaler à une cadence plus frénétique et prendre des chemins différents.
Tu le vois disparaitre derrière toi alors que tu reprends le même chemin que depuis le début. Bien que tu fasses des tours de ce parc depuis un moment, tu ne connaissais pas encore les raccourcis, les cuts te permettant d’optimiser une course. A la base, ce n’est pas ce que tu avais prévu en venant pédaler en ce lieu. Cela aurait dû être plus chill. Est-ce que cela te dérangeait ? Aucunement ! Tu appréciais même que l’on cherche à te donner du fil à retordre. Il se fait rare en ce moment, que l’on s’oppose à toi. Surtout depuis que tu es dans ce campus.
Oh tu l’aimes, il prodigue des cours plus que corrects et l’ambiance y est agréable. Mais bordel, qu’est-ce que les gens peuvent trop gentils, mielleux, à l’attention de tous. C’est certains qu’il y en a d’autres des comme toi… Le problème n’est qu’aucun d’entre vous ne doit côtoyer personne, donc vous ne vous croisez pas. L’idée d’un club pourrait être une bonne idée, en réfléchissant sur le fait que les associables ne monteraient pas un club pour se rencontrer. Cela irait à l’encontre de leurs idéaux.
Tu tournas un peu la tête pour le surprendre en pleine course sur l’herbe. Un large sourire se maintenait sur ton visage. Ouais, il faisait vraiment tout pour concourir contre toi, tu le ressentais jusque dans les pédales de ta monture. De la même trempe que toi. Quitte à perdre, autant le faire avec panache. Sur un malentendu, tu peux même gagner. Et si tu le laissais faire ? Naaaaan pour qu’elle raison tu ferais une telle chose ? Alors que tu ne laisserais même pas gagner ta mère sur un jeu dénué d’intérêt.
Tu tentes toi aussi de trouver un chemin plus court, en évitant de te perdre ou de te retrouver sur une route encombrée. Heureusement, il est tôt ce matin et peu de monde traverse le parc. A part deux fous furieux. Si on vous observe de loin, on vous prendrait pour des détraqués. Un parc tranquille, de quoi faire de belles balades et vous deux. Complètement obnubiler par ce défi lancé pour rien.
Surtout qu’il va bientôt se finir. Tu finis par le rattraper. Enfin, presque. Vous vous retrouvez au même endroit que la dernière fois. Tu as les jambes en feu, la respiration qui halète de plus en plus, les poumons n’arrivant pas à oxygéner suffisamment. La transpiration te coule dans les yeux, piquant et empêchant de bien voir. Encore un simple coup de pédale supplémentaire. Pour gagner.
Allongé dans l’herbe, tu as du mal à déterminer lequel de vous deux à gagner finalement. Il semble être dans le même état d’épuisement que toi, non loin. Tu cherches à reprendre ton souffle, le sol herbeux faisant un coussin moelleux et doux sous ton dos. Tu pourrais presque t’endormir sur place. A place, tu tends le bras vers le ciel, pousse vers le haut.
- C’était une super course !
Tu le vois disparaitre derrière toi alors que tu reprends le même chemin que depuis le début. Bien que tu fasses des tours de ce parc depuis un moment, tu ne connaissais pas encore les raccourcis, les cuts te permettant d’optimiser une course. A la base, ce n’est pas ce que tu avais prévu en venant pédaler en ce lieu. Cela aurait dû être plus chill. Est-ce que cela te dérangeait ? Aucunement ! Tu appréciais même que l’on cherche à te donner du fil à retordre. Il se fait rare en ce moment, que l’on s’oppose à toi. Surtout depuis que tu es dans ce campus.
Oh tu l’aimes, il prodigue des cours plus que corrects et l’ambiance y est agréable. Mais bordel, qu’est-ce que les gens peuvent trop gentils, mielleux, à l’attention de tous. C’est certains qu’il y en a d’autres des comme toi… Le problème n’est qu’aucun d’entre vous ne doit côtoyer personne, donc vous ne vous croisez pas. L’idée d’un club pourrait être une bonne idée, en réfléchissant sur le fait que les associables ne monteraient pas un club pour se rencontrer. Cela irait à l’encontre de leurs idéaux.
Tu tournas un peu la tête pour le surprendre en pleine course sur l’herbe. Un large sourire se maintenait sur ton visage. Ouais, il faisait vraiment tout pour concourir contre toi, tu le ressentais jusque dans les pédales de ta monture. De la même trempe que toi. Quitte à perdre, autant le faire avec panache. Sur un malentendu, tu peux même gagner. Et si tu le laissais faire ? Naaaaan pour qu’elle raison tu ferais une telle chose ? Alors que tu ne laisserais même pas gagner ta mère sur un jeu dénué d’intérêt.
Tu tentes toi aussi de trouver un chemin plus court, en évitant de te perdre ou de te retrouver sur une route encombrée. Heureusement, il est tôt ce matin et peu de monde traverse le parc. A part deux fous furieux. Si on vous observe de loin, on vous prendrait pour des détraqués. Un parc tranquille, de quoi faire de belles balades et vous deux. Complètement obnubiler par ce défi lancé pour rien.
Surtout qu’il va bientôt se finir. Tu finis par le rattraper. Enfin, presque. Vous vous retrouvez au même endroit que la dernière fois. Tu as les jambes en feu, la respiration qui halète de plus en plus, les poumons n’arrivant pas à oxygéner suffisamment. La transpiration te coule dans les yeux, piquant et empêchant de bien voir. Encore un simple coup de pédale supplémentaire. Pour gagner.
Allongé dans l’herbe, tu as du mal à déterminer lequel de vous deux à gagner finalement. Il semble être dans le même état d’épuisement que toi, non loin. Tu cherches à reprendre ton souffle, le sol herbeux faisant un coussin moelleux et doux sous ton dos. Tu pourrais presque t’endormir sur place. A place, tu tends le bras vers le ciel, pousse vers le haut.
- C’était une super course !
- Junko FushitaA l'université ; 3è année■ Age : 28■ Messages : 307■ Inscrit le : 03/12/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 23 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-107
❖ Arrivé(e) en : Fin Juin 2018
Junko passe comme une fuser à côté de deux étudiants marchant main dans la main. Un jeune couple qui s'offusque presque du coup de vent, mais il ne leur accorde même pas un pardon poli. Le tokyoïte ne perd pas de temps, pas de vitesse : il lui faut rattraper ce cycliste ou au moins l'empêcher de le doubler encore une fois. Trop c'est trop, et Junko ne compte pas se faire manquer de respect comme ça. Il n'est pas du genre à se laisser marcher dessus. Ici comme à Tokyo, les choses ne changeraient pas sur ça.
Ça y est, il l'entend arriver de derrière. Le roulement du pédalier et de la chaîne se rapproche, mais il est à deux pas d'arriver là où ils se sont quittés. A deux pas de gagner. Junko donne tout ce qu'il a, il allonge sa foulée et contracte ses muscles. Allez, encore un effort et...
Etalé par terre dans l'herbe verte du parc, le souffle très court et sa poitrine se soulevant à un rythme effréné, Junko a du mal à se remettre de cette course. Le cycliste inconnu est dans le même état. Un bras sur les yeux, Jun essaye de calmer sa respiration. Il a les jambes et les poumons en feu. Ça fait longtemps qu'il n'a pas couru aussi vite et finalement, il n'est pas peu fier de son cardio. Les entraînements portent leurs fruits, et ça fait plaisir.
Bon, là, il est aux portes de la mort mais... ça en valait la peine.
Son adversaire du jour s'exclame enfin, et Junko ne peut qu'être d'accord avec ça. Au final, il ne sait même pas s'il a gagné ou pas, de son point de vue oui mais ça a du se jouer à quelques millisecondes à peine. Il répond du même geste, pouce en l'air, reprend son souffle. Après quelques minutes, sa respiration s'est calmée, et il se redresse, assis dans l'herbe, darde ses yeux bruns sur le cycliste. Cheveux d'un rouge vif, dégaine assurée, physique carré, requin de compétition... Intéressant.« Junko Fushita. » se présente t-il en tendant son poing pour un check de paix.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Autour de toi, le monde semble retrouver une forme un peu moins flou. Ta respiration se fait beaucoup moins lancinante, plus calme. Ton torse chauffe beaucoup moins et tu peux te relever. Ce que tu fais en même temps que celui que tu avais tenté de battre à la course. Encore un point entre vous qu’il allait falloir décider. Naturellement, tu te mets à le détailler un peu plus intensivement.
Ton regard s’enflamma. Avec le temps, les bastons et tout ton bordel de vie, tes estimations corporelles ont toujours été juste, à plus ou moins cinq centimètres et kilos. Le type qui est en face de toi, il est légèrement plus grand que toi, avec une carrure plus épaisse. De pas grand-chose mais suffisamment pour que votre catégorie de poids en boxe ne soit pas la même. Surtout qu’il semble avoir pas mal bagarré dans sa vie aussi. De la même manière que toi ou non, lui, tu ne sais pas si tu serais capable de te le faire à mains nues.
Quand son poing se leva, tu fis de même, te retenant légèrement en entendant son prénom. Junko… Ce n’était pas à ton habitude, mais après une telle course, ton cerveau n’avait sans doute pas assez d’oxygène pour réguler ton attitude habituelle. Du coup, tes joues se gonflèrent et tu explosas d’un rire puissant et franc, qui dura une bonne dizaine de seconde. Essuyant une petite larme du coin de l’œil, tu lui offris un sourire ravageur en lui rendant son check avec plaisir
- Loin d’moi l’idée d’me moquer d’toi… J’m’appelle Naomi… Naomi Sato.
Voilà pourquoi tu avais été hilare. Et qui pourrait aussi le faire rire. Vous étiez tous les deux assis dans l’herbe, après avoir fait une compétition puérile. A avoir un physique bien différent d’un Japonais moyen. Tous les deux affublés d’un prénom qui vous a sans doute valu des moqueries tout au long de votre vie. Lui aussi, possédait un prénom mixte, avec une consonance un peu plus féminine.
Ton regard s’enflamma. Avec le temps, les bastons et tout ton bordel de vie, tes estimations corporelles ont toujours été juste, à plus ou moins cinq centimètres et kilos. Le type qui est en face de toi, il est légèrement plus grand que toi, avec une carrure plus épaisse. De pas grand-chose mais suffisamment pour que votre catégorie de poids en boxe ne soit pas la même. Surtout qu’il semble avoir pas mal bagarré dans sa vie aussi. De la même manière que toi ou non, lui, tu ne sais pas si tu serais capable de te le faire à mains nues.
Quand son poing se leva, tu fis de même, te retenant légèrement en entendant son prénom. Junko… Ce n’était pas à ton habitude, mais après une telle course, ton cerveau n’avait sans doute pas assez d’oxygène pour réguler ton attitude habituelle. Du coup, tes joues se gonflèrent et tu explosas d’un rire puissant et franc, qui dura une bonne dizaine de seconde. Essuyant une petite larme du coin de l’œil, tu lui offris un sourire ravageur en lui rendant son check avec plaisir
- Loin d’moi l’idée d’me moquer d’toi… J’m’appelle Naomi… Naomi Sato.
Voilà pourquoi tu avais été hilare. Et qui pourrait aussi le faire rire. Vous étiez tous les deux assis dans l’herbe, après avoir fait une compétition puérile. A avoir un physique bien différent d’un Japonais moyen. Tous les deux affublés d’un prénom qui vous a sans doute valu des moqueries tout au long de votre vie. Lui aussi, possédait un prénom mixte, avec une consonance un peu plus féminine.
- Junko FushitaA l'université ; 3è année■ Age : 28■ Messages : 307■ Inscrit le : 03/12/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 23 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-107
❖ Arrivé(e) en : Fin Juin 2018
Et alors que leurs poings se rencontrent, Junko voit l'autre se fendre d'un rire éclatant qui dura... longtemps. Assez du moins pour laisser le grand basketteur un peu perplexe, quoiqu'il sait à peu près ce pourquoi l'autre se marre. C'est son prénom. Junko, c'est un prénom de fille. Mais ça fait si longtemps qu'il le porte, et si longtemps qu'on se moque, qu'il en a plus rien à foutre. Disons que ça le fait même rire lui aussi, et le brun fait flasher ses dents dans un sourire en attendant que le cycliste se calme.
C'est dans un sourire aussi que le gars aux cheveux rouges se présente à son tour, soutenant qu'il ne se moquait pas de lui. Junko n'en croit pas un traître mot, et lui lance un regard entendu et amusé, un poil provocateur et joueur.
Enfin, c'est appréciable de faire face à autant de franchise et Junko pense qu'il peut se permettre de dépasser certaines limites qu'impose normalement l'étiquette japonaise. De toute façon, ils viennent de faire la course dans un parc où c'est normalement interdit. Pas comme si Jun en a vraiment quelque chose à faire aussi.
Il ne peut pas s'empêcher d'ajouter la pique d'un air railleur, mais il sent que Naomi y sera positivement réceptif et il s'attend à une contre-attaque directe. Ce gars semble ne pas avoir sa langue dans sa poche et à part avec Rindo, ça fait longtemps que Junko n'a pas délié la sienne.
C'est gentillet, rien de sérieux, juste histoire de se chercher un peu, titiller les nerfs de l'un et de l'autre. Naomi semble fait du même bois, après tout. Ce sont des choses qui, étrangement, se ressentent bien. Junko darde ses yeux bruns sur lui, arrache quelques touffes d'herbe machinalement pour s'occuper les mains.
C'est dans un sourire aussi que le gars aux cheveux rouges se présente à son tour, soutenant qu'il ne se moquait pas de lui. Junko n'en croit pas un traître mot, et lui lance un regard entendu et amusé, un poil provocateur et joueur.
« Bien la peine d'en rire, Naomi. » répond t-il en insistant chaque syllabe du prénom de son adversaire du jour.
Enfin, c'est appréciable de faire face à autant de franchise et Junko pense qu'il peut se permettre de dépasser certaines limites qu'impose normalement l'étiquette japonaise. De toute façon, ils viennent de faire la course dans un parc où c'est normalement interdit. Pas comme si Jun en a vraiment quelque chose à faire aussi.
« Je pense pas t'avoir croisé déjà, je m'en serais souvenu. » lance t-il la conversation. « Même si t'as une dégaine passe-partout.»
Il ne peut pas s'empêcher d'ajouter la pique d'un air railleur, mais il sent que Naomi y sera positivement réceptif et il s'attend à une contre-attaque directe. Ce gars semble ne pas avoir sa langue dans sa poche et à part avec Rindo, ça fait longtemps que Junko n'a pas délié la sienne.
C'est gentillet, rien de sérieux, juste histoire de se chercher un peu, titiller les nerfs de l'un et de l'autre. Naomi semble fait du même bois, après tout. Ce sont des choses qui, étrangement, se ressentent bien. Junko darde ses yeux bruns sur lui, arrache quelques touffes d'herbe machinalement pour s'occuper les mains.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Il ne semble pas prendre en sérieux tes excuses, te pensant pas sincère quand à ce que tu viens de lui dire. Pourtant, c’était le cas. Tu ne t’en offusquais que peu et haussais les épaules en l’entendant articuler ton prénom avec lenteur. Comme pour appuyer chaque syllabe de celui-ci. Te rappeler ce qu’il tout aussi de particulier que son prénom. C’était un juste retour des choses nous dirons. Une petite vengeance de sa part par rapport à ton rire.
Tu fronces légèrement les sourcils à sa blague. Une dégaine passe-partout ? C’est bien la première fois que tu entends dire quelqu’un dire cela de toi. Bien que tu saches qu’il disait cela pour te faire réagir, tu n’appréciais pas vraiment. Ton physique a souvent une source d’ennuis. Être une grande perche japonaise n’est pas vraiment bien vu. Encore moins quand celle-ci utilise son avantage pour taper sur les autres plus facilement.
- Au vu d’la trempe qu’j’viens d’te mettre à la course, tu t’souviendras plus facilement d’moi maintenant. Sinon, ça peut s’régler une nouvelle fois.
Ton regard s’embrasa à ces mots pendant que tu te redressais et te relevais. Tu sautillas sur place pour dégourdir tes jambes et te tourna vers lui. Menton relevé, position de défi à son encontre. Avais-tu de nouveau de l’énergie pour repartie sur un tel acte ? Pas vraiment mais cela importait très peu. Le shoot d’adrénaline que cela te filera suffira amplement à lui mettre la misère facilement.
- Ou alors, on va s’prendre un truc à graille et s’poser ailleurs.
Tu fronces légèrement les sourcils à sa blague. Une dégaine passe-partout ? C’est bien la première fois que tu entends dire quelqu’un dire cela de toi. Bien que tu saches qu’il disait cela pour te faire réagir, tu n’appréciais pas vraiment. Ton physique a souvent une source d’ennuis. Être une grande perche japonaise n’est pas vraiment bien vu. Encore moins quand celle-ci utilise son avantage pour taper sur les autres plus facilement.
- Au vu d’la trempe qu’j’viens d’te mettre à la course, tu t’souviendras plus facilement d’moi maintenant. Sinon, ça peut s’régler une nouvelle fois.
Ton regard s’embrasa à ces mots pendant que tu te redressais et te relevais. Tu sautillas sur place pour dégourdir tes jambes et te tourna vers lui. Menton relevé, position de défi à son encontre. Avais-tu de nouveau de l’énergie pour repartie sur un tel acte ? Pas vraiment mais cela importait très peu. Le shoot d’adrénaline que cela te filera suffira amplement à lui mettre la misère facilement.
- Ou alors, on va s’prendre un truc à graille et s’poser ailleurs.
- Junko FushitaA l'université ; 3è année■ Age : 28■ Messages : 307■ Inscrit le : 03/12/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 23 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-107
❖ Arrivé(e) en : Fin Juin 2018
« T'as un problème avec le second degré, toi. »
Junko hausse un sourcil, l'air joueur sur son visage éclairant son regard brun. Ce Naomi semble avoir le sang plus que chaud, ça en est limite ridicule mais c'est très amusant. Il aurait pu en rire et ne pas plonger tête la première dans la pique du basketteur, mais finalement, c'est encore plus amusant qu'il le prenne au sérieux alors que Junko avait signé sa phrase d'un trait d'humour. Il le regarde se lever, lui toujours assis dans l'herbe, et sautiller sur place pour se dégourdir les pattes comme s'il s'apprête à lui en coller une.
Le fin sourire du brun s'accentue quelque peu, et il comprend pas trop trop trop pourquoi d'un coup le cycliste le menace comme un adolescent réglant ses comptes uniquement avec ses poings. Junko cligne un peu des yeux, son sourire hésitant entre l'amusement et le "il est sérieux ?". Il guette l'attitude menton relevée de l'autre, puis se lève tranquillement.
« Je crève la dalle, à force de t'avoir couru après. » lâche t-il en se mettant à marcher.
Junko détache ses cheveux puis les rattache en chignon tout en marchant, dégageant sa nuque. Il a encore un peu chaud de la course, et ça lui fait du bien de remettre sa tignasse en place. D'un geste simple, il délie quelques mèches sur le devant de son visage, et engage la conversation.
« T'es d'où ? T'as pas l'accent d'un richou. » demande t-il pour s'intéresser à lui.
Toujours intéressant de voir les origines de quelqu'un. Ici à Kobe, ça en dit beaucoup sur les gens. Des richous, des aisés, ou des galériens comme lui. Junko, il a l'accent tokyoïte. Pas celui du citadin lambda, mais de ceux qui ont un peu trop traîné dans les rues, à jouer au basket dans la rue et faire des passes, de temps à autre. Ou plus que ça, même. A faire la fête jusqu'à pas d'heure dans les banlieues. A explorer des zones industriels laissées à l'abandon. A trainer aux abords des rails. Tout plein d'autres choses qu'un fils à papa ferait pas quoi.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Tu haussais les épaules a sa réflexion, sans y faire attention. Cela n’était pas la première fois que tu entendais quelqu’un te le dire et ce ne serait sans doute pas la dernière fois. L’humour, le second degré, ce n’était pas pour toi. Tu prenais un peu trop tout trop à cœur quand on te parlait, avec un sérieux et une franchise extrême. Si cela peut être une qualité par moment, cela se révélait être un beau défaut quand la situation ne s’y prêtait pas. Beaucoup de malentendu à cause de cela. Le monde semble vouloir s’exprimer à demi-mots de nos jours, sans être franc avec le reste.
Bien, il avait faim. Tout comme toi. Vous pourriez au moins vous entendre sur un point ensemble. De ce côté-là, tu n’étais pas trop compliqué. Partager un repas, aussi minime soit-il, avec une personne, te rapprochait facilement. Tu avais développé une espèce de pseudo psychologie de la nourriture. Juste en regardant ce que la personne prend à manger et la manière dont elle le mange, tu te fais une idée assez facile de comment elle peut être dans la vie. Végé’, carni’, délicatesse ou goinfrerie, tous ces détails peuvent révéler un comportement bien spécifique et un mode de vie.
- Si on allait s’trouver un truc à graille ? Y a de quoi acheter pas trop loin d’ici.
Tu ouvrais la voix pendant que monsieur se recoiffait. Une belle tignasse qu’il avait là, soigneusement ordonné. Tu serais presque jaloux. Tu peux rien faire de tes cheveux, c’est toujours un beau bordel a coiffer et à entretenir. Pire qu’une gonzesse, parfois à passer des heures, juste à tenter qu’ils tiennent en place d’une belle manière. Que ce soit tombant devant tes yeux, en arrière, il y a toujours une mèche qui se balade à droite à gauche si tu ne fais pas attention.
- J’viens d’Osaka. J’y es toujours vécu. Et toi ?
Si lui avait un accent, tu ne t’en serais pas douté. C’est rarement quelque chose que tu remarques chez une personne. Il en existe un qui fait richou ? Première nouvelle. En général, tu le vois à l’attitude, mais il est possible qu’il y ait des tics de langages plus prononcé. Un peu comme toi qui mache tes mots, mange des voyelles. Un peu par flemme d’abord et par miroir. C’est ainsi que tu as entendu parler ton entourage. Il fallait que tu t’adaptes en premier lieu, pour te faire accepter. Prendre les habitudes d’un groupe social est plus simple.
Bien, il avait faim. Tout comme toi. Vous pourriez au moins vous entendre sur un point ensemble. De ce côté-là, tu n’étais pas trop compliqué. Partager un repas, aussi minime soit-il, avec une personne, te rapprochait facilement. Tu avais développé une espèce de pseudo psychologie de la nourriture. Juste en regardant ce que la personne prend à manger et la manière dont elle le mange, tu te fais une idée assez facile de comment elle peut être dans la vie. Végé’, carni’, délicatesse ou goinfrerie, tous ces détails peuvent révéler un comportement bien spécifique et un mode de vie.
- Si on allait s’trouver un truc à graille ? Y a de quoi acheter pas trop loin d’ici.
Tu ouvrais la voix pendant que monsieur se recoiffait. Une belle tignasse qu’il avait là, soigneusement ordonné. Tu serais presque jaloux. Tu peux rien faire de tes cheveux, c’est toujours un beau bordel a coiffer et à entretenir. Pire qu’une gonzesse, parfois à passer des heures, juste à tenter qu’ils tiennent en place d’une belle manière. Que ce soit tombant devant tes yeux, en arrière, il y a toujours une mèche qui se balade à droite à gauche si tu ne fais pas attention.
- J’viens d’Osaka. J’y es toujours vécu. Et toi ?
Si lui avait un accent, tu ne t’en serais pas douté. C’est rarement quelque chose que tu remarques chez une personne. Il en existe un qui fait richou ? Première nouvelle. En général, tu le vois à l’attitude, mais il est possible qu’il y ait des tics de langages plus prononcé. Un peu comme toi qui mache tes mots, mange des voyelles. Un peu par flemme d’abord et par miroir. C’est ainsi que tu as entendu parler ton entourage. Il fallait que tu t’adaptes en premier lieu, pour te faire accepter. Prendre les habitudes d’un groupe social est plus simple.
- Junko FushitaA l'université ; 3è année■ Age : 28■ Messages : 307■ Inscrit le : 03/12/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 23 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-107
❖ Arrivé(e) en : Fin Juin 2018
Junko s'engage aux côtés du cycliste, ses mains trouvant refuge dans ses poches et un léger sourire flottant sur son air habituellement nonchalant et désinvolte. Il darde son regard brun non pas sur Naomi mais sur le parc qu'ils traversent sous le rythme de leur foulée et du roulement régulier des roues du vélo. D'un geste simple, Junko vient essuyer la sueur de son front qui finit de perler de l'effort qu'il a donné. Sa température corporelle redescend enfin, mais il sait qu'elle va stagner un moment dans le chaud. Après un exercice physique, c'est toujours le cas après tout. Il machonne un peu, la bouche sèche. Il a oublié de prendre à boire. Mais il ne doute pas de trouver de quoi s'hydrater là où Naomi l'emmène chercher à manger.
Enfin, il écoute le grand gaillard lui répondre.
Osaka, alors ? Ouais mais pas dans le centre ville alors, ou alors comme Jun, il a peut-être passé un peu trop de temps dehors. En fait, il a pas la dégaine ni le caractère lisse de la plupart des gens d'ici. Déjà, sa façon de prendre la mouche pour une petite blague alors qu'il s'est permis la même juste avant, mmh... Bon Junko le lui a rendu avec sa remarque sur son look atypique, mais ce n'était pas méchant après tout. C'était de l'humour. Il faut vraiment être peu confiant en soi-même pour s'agacer de si peu comme il l'avait fait.
Les yeux bruns coulissent sur son interlocuteur, pour répondre à son tour.
Tokyo, la grande et vivante capitale du Japon. Tokyo, et ses entrailles. Tokyo, où il y a toujours quelque chose à faire. Tokyo, et ses lumières, ses attractions, couverture parfaite de ses jeux dangereux dans lesquels il a un peu trop trempé. Mais Junko s'interroge sur ce Naomi. C'est pas tous les jours qu'on fait une course improvisée sans parler avec un parfait inconnu. Alors naturellement, Junko, il s'intéresse.
Loin de lui l'idée d'être méprisant ou moqueur, c'est une question sincère et tout à fait intéressée. Dans le bon sens.
Junko est à l'aise pour faire la conversation, poser des questions, ce genre de choses. Il n'a jamais eu de mal à se faire des potes partout où il se rendait dans Tokyo. Même à l'école, les moqueries des autres sur son prénom ont rapidement cessé, déjà parce qu'il avait du répondant, ensuite parce qu'il a rapidement fait preuve d'autodérision, désarçonnant ses potentiels agresseurs. Au final, il s'est parfaitement adapté aux autres et même si, encore aujourd'hui pour preuve Naomi, son prénom fait parfois des remarques, ça lui passe bien largement au-dessus.
Enfin, il écoute le grand gaillard lui répondre.
Osaka, alors ? Ouais mais pas dans le centre ville alors, ou alors comme Jun, il a peut-être passé un peu trop de temps dehors. En fait, il a pas la dégaine ni le caractère lisse de la plupart des gens d'ici. Déjà, sa façon de prendre la mouche pour une petite blague alors qu'il s'est permis la même juste avant, mmh... Bon Junko le lui a rendu avec sa remarque sur son look atypique, mais ce n'était pas méchant après tout. C'était de l'humour. Il faut vraiment être peu confiant en soi-même pour s'agacer de si peu comme il l'avait fait.
Les yeux bruns coulissent sur son interlocuteur, pour répondre à son tour.
« Tokyo. » déclare t-il dans un léger sourire.
Tokyo, la grande et vivante capitale du Japon. Tokyo, et ses entrailles. Tokyo, où il y a toujours quelque chose à faire. Tokyo, et ses lumières, ses attractions, couverture parfaite de ses jeux dangereux dans lesquels il a un peu trop trempé. Mais Junko s'interroge sur ce Naomi. C'est pas tous les jours qu'on fait une course improvisée sans parler avec un parfait inconnu. Alors naturellement, Junko, il s'intéresse.
« Et le vélo, ça te vient d'où ? Y'a pas tant de cyclistes ici. » demande t-il, l'éclat de ses yeux s'allumant d'une certaine curiosité.
Loin de lui l'idée d'être méprisant ou moqueur, c'est une question sincère et tout à fait intéressée. Dans le bon sens.
Junko est à l'aise pour faire la conversation, poser des questions, ce genre de choses. Il n'a jamais eu de mal à se faire des potes partout où il se rendait dans Tokyo. Même à l'école, les moqueries des autres sur son prénom ont rapidement cessé, déjà parce qu'il avait du répondant, ensuite parce qu'il a rapidement fait preuve d'autodérision, désarçonnant ses potentiels agresseurs. Au final, il s'est parfaitement adapté aux autres et même si, encore aujourd'hui pour preuve Naomi, son prénom fait parfois des remarques, ça lui passe bien largement au-dessus.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Tokyo hein ? La capitale du pays. Un endroit empreint de lumière, d’activités et d’évènements en tout genre. Sans doute une ville où tu ne devrais pas mettre les pieds à l’intérieur en étant seul. Tu risquerais de créer des problèmes à la moindre occasion. Trop de monde, trop de regard. Trop de travers aussi, beaucoup qui te ferais de nouveau perdre pied dans un univers un peu trop underground pour cette lumière à laquelle tu aspires maintenant.
- Et pourquoi v’nir dans c’coin ? Besoin d’un air plus pur ?
Aucune moquerie dans cette question, plutôt intéressé même. Tu avais rencontré peu de gens venant de Tokyo. Tous t’ont laissé une certaine impression négative. A se plaindre en permanence. Ne jamais être content des magasins, des transports… Le seul fait sur lequel il s’accordait, c’est que l’air dans… ‘’La campagne’’, était plus respirable qu’a Tokyo. Putain de citadins, à toujours juger ceux qui ne sont pas de chez eux. En espérant que Junko ne soit pas de ceux-là. L’exception confirmant la règle.
Une nouvelle question de sa part. Tu ne pouvais lui retirer qu’il était curieux de ta personne. Autant l’endroit où tu vis t’importe peu, autant qu’il t’interroge sur une de tes passions… Ton regard s’alluma un peu plus, appréciant qu’il te le demande. Surtout que vous veniez d’en faire une course. Peut-être une certaine reconnaissance. Même si c’est juste pour ta singularité quant à ce sport méconnu au Japon. Cela te faisait quand même plaisir d’en discuter.
- Quand j’étais gamin, j’avais pas vraiment d’activité ou d’passion. Un jour, j’suis passé d’vant une télé qui diffusait une compétition de cyclisme internationnal. J’en suis tombé amoureux instantanément.
Tu en fais depuis, à t’en arracher les mollets, à en avoir les poumons en feu. Ce que tu ne dis pas, c’est qu’avec ton arrivée à l’école, les cours que tu suis, tu vises un sommet différent. Tu adorerais faire partie de ses grands, de faire ta place, en tant que Japonais. Et cela en dehors du Keirin. Pas besoin d’une école pour devenir cycliste hors pair. Tu leur prouveras en participant à une des prochaines compétitions nationales.
- J’aimerais monter et entrainer un groupe, une team, pour l’emmener suffisamment loin. La faire rayonner aussi à l’étranger. Qu’on soit reconnu par tous.
Un rêve. Tu n’en avais pas eu jusque récemment. Le fait que tu sois à Kobe, que tu es repris tes études, avais ouvert des opportunités dont tu n’aurais jamais soupçonné l’existence. Devenir une meilleure personne que ce que tu n’ais maintenant. Apprendre à vivre autrement que par la violence et les crimes. C’est ainsi que tu vois ton futur, bien que tu saches qu’il y aura toujours des embuches sur ton chemin. Que tu sauras appréhender et éviter.
- De ton côté ? Des passions, un sport qu’tu pratiques ?
- Et pourquoi v’nir dans c’coin ? Besoin d’un air plus pur ?
Aucune moquerie dans cette question, plutôt intéressé même. Tu avais rencontré peu de gens venant de Tokyo. Tous t’ont laissé une certaine impression négative. A se plaindre en permanence. Ne jamais être content des magasins, des transports… Le seul fait sur lequel il s’accordait, c’est que l’air dans… ‘’La campagne’’, était plus respirable qu’a Tokyo. Putain de citadins, à toujours juger ceux qui ne sont pas de chez eux. En espérant que Junko ne soit pas de ceux-là. L’exception confirmant la règle.
Une nouvelle question de sa part. Tu ne pouvais lui retirer qu’il était curieux de ta personne. Autant l’endroit où tu vis t’importe peu, autant qu’il t’interroge sur une de tes passions… Ton regard s’alluma un peu plus, appréciant qu’il te le demande. Surtout que vous veniez d’en faire une course. Peut-être une certaine reconnaissance. Même si c’est juste pour ta singularité quant à ce sport méconnu au Japon. Cela te faisait quand même plaisir d’en discuter.
- Quand j’étais gamin, j’avais pas vraiment d’activité ou d’passion. Un jour, j’suis passé d’vant une télé qui diffusait une compétition de cyclisme internationnal. J’en suis tombé amoureux instantanément.
Tu en fais depuis, à t’en arracher les mollets, à en avoir les poumons en feu. Ce que tu ne dis pas, c’est qu’avec ton arrivée à l’école, les cours que tu suis, tu vises un sommet différent. Tu adorerais faire partie de ses grands, de faire ta place, en tant que Japonais. Et cela en dehors du Keirin. Pas besoin d’une école pour devenir cycliste hors pair. Tu leur prouveras en participant à une des prochaines compétitions nationales.
- J’aimerais monter et entrainer un groupe, une team, pour l’emmener suffisamment loin. La faire rayonner aussi à l’étranger. Qu’on soit reconnu par tous.
Un rêve. Tu n’en avais pas eu jusque récemment. Le fait que tu sois à Kobe, que tu es repris tes études, avais ouvert des opportunités dont tu n’aurais jamais soupçonné l’existence. Devenir une meilleure personne que ce que tu n’ais maintenant. Apprendre à vivre autrement que par la violence et les crimes. C’est ainsi que tu vois ton futur, bien que tu saches qu’il y aura toujours des embuches sur ton chemin. Que tu sauras appréhender et éviter.
- De ton côté ? Des passions, un sport qu’tu pratiques ?
- Junko FushitaA l'université ; 3è année■ Age : 28■ Messages : 307■ Inscrit le : 03/12/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 23 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-107
❖ Arrivé(e) en : Fin Juin 2018
La question de Naomi est legit. Ce n'est pas la première fois que Junko doit y répondre. C'est vrai qu'à Tokyo, il y a tout. Il y faisait ses études après tout et la seule raison pour laquelle il est venu ici dans cours d'année scolaire, c'est pour retrouver Arizona Williams. La syrienne a guidé ses pas jusqu'à Kobe. Mais ça, Junko ne le dira pas. Il hausse les épaules légèrement, son sourire doux scotché sur le visage.
Voilà, c'est simple, concis et ça fait sens. La réalité c'est qu'il a eu de la chance que l'université de Kobe propose le même cursus que celui qu'il suivait à Tokyo. Sans ça, il ne sait pas trop ce qu'il aurait fait. Peut-être qu'il aurait attendu de finir ses études. Et peut-être que du coup, le temps aurait passé et avec lui la page de son histoire avec la syrienne. Peut-être ouais, et finalement il ne sait pas si ça n'aurait pas été pour le mieux que ça se passe comme ça. Après tout, il se retrouve un peu con maintenant qu'elle l'a rejeté. Il est coincé ici à Kobe, alors que ses petites sœurs sont à Tokyo. Plus jamais il plaque tout pour une meuf, c'est clair, ça lui a servi de leçon.
Il écoute Naomi parler de lui, et d'où lui est venu sa passion pour le cyclisme. Depuis tout petit, a priori. Junko jette ses yeux bruns sur lui. Il n'a pas de passion qu'il a gardé depuis l'enfance lui. Il l'entend lui parler de son envie de monter une team, de rêve de reconnaissance dans son sport. Jun sourit à ses mots. C'est un beau rêve. Une réelle ambition.
Des questions en amènent d'autres, évidemment et la conversation se fait de fil en aiguille entre les deux jeunes hommes. C'est à Naomi de lui demander ce qu'il fait de son temps libre. Junko fait beaucoup de choses. Mais une passion... Il réfléchit un peu.
Pas pour rien qu'il se coltine des études de médecine après tout. Une plaie mais enfin, il faut ce qu'il faut. Et après, il pourra payer les études de ses sœurs et c'est surtout ça qui compte.
« Nan, du tout. J'aime beaucoup Tokyo. Mais le programme à Kobe était plus intéressant que dans l'université où j'étais. »
Voilà, c'est simple, concis et ça fait sens. La réalité c'est qu'il a eu de la chance que l'université de Kobe propose le même cursus que celui qu'il suivait à Tokyo. Sans ça, il ne sait pas trop ce qu'il aurait fait. Peut-être qu'il aurait attendu de finir ses études. Et peut-être que du coup, le temps aurait passé et avec lui la page de son histoire avec la syrienne. Peut-être ouais, et finalement il ne sait pas si ça n'aurait pas été pour le mieux que ça se passe comme ça. Après tout, il se retrouve un peu con maintenant qu'elle l'a rejeté. Il est coincé ici à Kobe, alors que ses petites sœurs sont à Tokyo. Plus jamais il plaque tout pour une meuf, c'est clair, ça lui a servi de leçon.
Il écoute Naomi parler de lui, et d'où lui est venu sa passion pour le cyclisme. Depuis tout petit, a priori. Junko jette ses yeux bruns sur lui. Il n'a pas de passion qu'il a gardé depuis l'enfance lui. Il l'entend lui parler de son envie de monter une team, de rêve de reconnaissance dans son sport. Jun sourit à ses mots. C'est un beau rêve. Une réelle ambition.
« Ouais je vois l'idée. Mais c'est pour ça que t'es venu faire tes études à Kobe ? »
Des questions en amènent d'autres, évidemment et la conversation se fait de fil en aiguille entre les deux jeunes hommes. C'est à Naomi de lui demander ce qu'il fait de son temps libre. Junko fait beaucoup de choses. Mais une passion... Il réfléchit un peu.
« Je fais du basket en club ici, mais ça n'a rien à voir avec celui que je pratiquais dans la rue à Tokyo. C'était plus fun. » Il a un léger accroc dans son sourire en y repensant. Il n'a que des bons souvenirs du basket de rue tokyoïte. « Sinon, je dirais que je m'intéresse à tout. Je fais aussi du karaté ici, et de la musculation de mon côté. L'idée c'est de devenir coach sportif avec un aspect centré sur la nutrition. »
Pas pour rien qu'il se coltine des études de médecine après tout. Une plaie mais enfin, il faut ce qu'il faut. Et après, il pourra payer les études de ses sœurs et c'est surtout ça qui compte.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Ainsi, il était lui aussi à l’école de Kobe. Ce n’est pas déconnant. Tu as aussi mené quelques recherches, pour comparer avec quelle autre école tu aurais pu t’en sortir. Plus chère, plus exigeante, trop loin ou ne rentrant pas vraiment de ce que tu cherchais. Là où tu te trouvais, sans doute le meilleur compromis que tu ne pourrais trouver dans tout le Japon. C’est une bonne chose de le savoir.
Il faisait donc une université avant ? Tu n’y connais pas grand-chose mais tu te doutes que ce n’est pas du tout le même environnement. Un côté plus libre, moins encadré. Si pour certains cela aide à un épanouissement des études, ce n’est pas le cas pour tout le monde. Comme toi. Une université ? Décidé si tu vas en cours ou non ? Pas sûr que cela aurait été une très bonne idée. Alors qu’un suivi est une motivation supplémentaire pour éviter que tu ne cherches à t’esquiver.
- J’l’ai pas vraiment choisi. On va dire qu’c’est pour ça qu’j’y reste surtout.
Après tout, ce sont tes parents qui ont décidé de t’y envoyer sans te demander ton avis. Tu les en remerciais. Sans cela, ta vie aurait dérivé dans une toute direction. Peu enclin à une vie de société normal, dans le droit chemin. Tu te serais arrêté sur le bas-côté, cherchant à emprunter un chemin détourné, loin des regards indiscrets, perdu dans l’ombre. Une vie courte, sans aucun doute, où tu aurais fini en prison, si ce n’est pire. La lumière, bien que tu n’y sois pas habitué, te fais une toute aussi belle cape.
Basket, karaté, musculation. Au vu de la carrure de l’individu, tu ne peux que le croire. A s’entretenir, faire en sorte que son corps soit ce que certains appellent un temple sacré. Y faire attention, qu’il soit pur. Bien que tu ne le connaisses pas assez pour déterminer s’il en fait partie. Karaté… Il doit savoir se battre. Le fait qu’il parle de la street te fait penser qu’il a connu aussi des combats de rues. Si en plus il connait des arts martiaux, serais-tu en mesure de l’affronter ? Bien que tu ais de l’expérience, ceux s’entrainant réellement à cela sont d’un tout autre niveau. Autant qu’un amateur et un pro.
- C’cool comme envie ça. Si ça s’concrétise d’nos deux côtés, faudrait qu’j’garde tes coordonnées. J’pourrais avoir b’soin d’toi. Du coup, tu fais aussi des études sportives ? En quelle année ?
Ce n’était pas insensé. Vu ses objectifs et hobbys, s’était même une évidence. Vous vous ressembliez presque, bien qu’il te fasse penser à un bad-boy charmeur de donzelle. Tant de points communs pour tout autant de différence. Pourriez-vous être ami ? Sans que tu cherches cela particulièrement, il faudrait apprendre un peu plus à vous connaitre. Bien que monter un business ensemble vous rapprocherais sans aucun doute.
Il faisait donc une université avant ? Tu n’y connais pas grand-chose mais tu te doutes que ce n’est pas du tout le même environnement. Un côté plus libre, moins encadré. Si pour certains cela aide à un épanouissement des études, ce n’est pas le cas pour tout le monde. Comme toi. Une université ? Décidé si tu vas en cours ou non ? Pas sûr que cela aurait été une très bonne idée. Alors qu’un suivi est une motivation supplémentaire pour éviter que tu ne cherches à t’esquiver.
- J’l’ai pas vraiment choisi. On va dire qu’c’est pour ça qu’j’y reste surtout.
Après tout, ce sont tes parents qui ont décidé de t’y envoyer sans te demander ton avis. Tu les en remerciais. Sans cela, ta vie aurait dérivé dans une toute direction. Peu enclin à une vie de société normal, dans le droit chemin. Tu te serais arrêté sur le bas-côté, cherchant à emprunter un chemin détourné, loin des regards indiscrets, perdu dans l’ombre. Une vie courte, sans aucun doute, où tu aurais fini en prison, si ce n’est pire. La lumière, bien que tu n’y sois pas habitué, te fais une toute aussi belle cape.
Basket, karaté, musculation. Au vu de la carrure de l’individu, tu ne peux que le croire. A s’entretenir, faire en sorte que son corps soit ce que certains appellent un temple sacré. Y faire attention, qu’il soit pur. Bien que tu ne le connaisses pas assez pour déterminer s’il en fait partie. Karaté… Il doit savoir se battre. Le fait qu’il parle de la street te fait penser qu’il a connu aussi des combats de rues. Si en plus il connait des arts martiaux, serais-tu en mesure de l’affronter ? Bien que tu ais de l’expérience, ceux s’entrainant réellement à cela sont d’un tout autre niveau. Autant qu’un amateur et un pro.
- C’cool comme envie ça. Si ça s’concrétise d’nos deux côtés, faudrait qu’j’garde tes coordonnées. J’pourrais avoir b’soin d’toi. Du coup, tu fais aussi des études sportives ? En quelle année ?
Ce n’était pas insensé. Vu ses objectifs et hobbys, s’était même une évidence. Vous vous ressembliez presque, bien qu’il te fasse penser à un bad-boy charmeur de donzelle. Tant de points communs pour tout autant de différence. Pourriez-vous être ami ? Sans que tu cherches cela particulièrement, il faudrait apprendre un peu plus à vous connaitre. Bien que monter un business ensemble vous rapprocherais sans aucun doute.
- Junko FushitaA l'université ; 3è année■ Age : 28■ Messages : 307■ Inscrit le : 03/12/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 23 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-107
❖ Arrivé(e) en : Fin Juin 2018
Comment ça, pas choisi ? C'est étrange quand même. Junko aimerait bien en savoir un peu plus, ça pique sa curiosité. Il fixe quelques instants Naomi avant de jeter ses yeux sur le parc qu'ils quittent. Peut-être qu'il ne voulait pas faire d'études et qu'on l'y force. Peut-être qu'il est redevable à quelqu'un, quelque chose. Peut-être qu'il est là par nécessité, et dans un sens, Junko c'est un peu pareil. Il fait surtout des études pour se sortir de la misère dans laquelle il a grandi.
Rien ne lui coûte de demander en tout cas, et il est curieux de connaître les raisons de sa présence à l'université de Kobe, s'il n'a pas choisi de lui-même d'en être.
Enfin, Naomi tire la conclusion qu'il fait des études dans la filière sportive. C'est après tout logique avec ce qu'il vient de dire sur ses activités, mais c'est totalement faux. En tout cas, il y a un vif intérêt de sa part sur son projet professionnel, et quelque part, ça gonfle un peu son égo.
Un choix atypique pour l'objectif qu'il s'est donné. Mais qui peut le plus, peut le moins, après tout. Et les cours de médecine lui donnent une approche bien plus approfondi sur la science du corps humain que tout ce qu'il aurait pu espérer apprendre en filière sportive. Junko ne regrette pas son choix. C'est extrêmement fatiguant, avec l'internat à l'hôpital, les cours encore intenses et les heures passées à gratter du papier à la bibliothèque pour remplir ses notes mais... Il ne regrette pas. Nul doute que s'il obtient son diplôme, la satisfaction d'avoir réussi sera bien plus grande que s'il avait choisi le chemin de la facilité. Et puis, médecine, ça lui donne un bagage énorme pour démarrer son activité. Médecine, ça pèse dans le game comme on dit.
Ou peut-être devenir coach lui aussi. Junko pose ses yeux sur lui. Plus la conversation avance et plus ça devient intéressant tout ça.
« Comment ça ? »
Rien ne lui coûte de demander en tout cas, et il est curieux de connaître les raisons de sa présence à l'université de Kobe, s'il n'a pas choisi de lui-même d'en être.
Enfin, Naomi tire la conclusion qu'il fait des études dans la filière sportive. C'est après tout logique avec ce qu'il vient de dire sur ses activités, mais c'est totalement faux. En tout cas, il y a un vif intérêt de sa part sur son projet professionnel, et quelque part, ça gonfle un peu son égo.
« Nan, je suis en médecine. En 3ème année. »
Un choix atypique pour l'objectif qu'il s'est donné. Mais qui peut le plus, peut le moins, après tout. Et les cours de médecine lui donnent une approche bien plus approfondi sur la science du corps humain que tout ce qu'il aurait pu espérer apprendre en filière sportive. Junko ne regrette pas son choix. C'est extrêmement fatiguant, avec l'internat à l'hôpital, les cours encore intenses et les heures passées à gratter du papier à la bibliothèque pour remplir ses notes mais... Il ne regrette pas. Nul doute que s'il obtient son diplôme, la satisfaction d'avoir réussi sera bien plus grande que s'il avait choisi le chemin de la facilité. Et puis, médecine, ça lui donne un bagage énorme pour démarrer son activité. Médecine, ça pèse dans le game comme on dit.
« J'en conclus que toi, t'es en filière sportive. Pour faire quoi ? Tu veux te professionnaliser dans une pratique ? »
Ou peut-être devenir coach lui aussi. Junko pose ses yeux sur lui. Plus la conversation avance et plus ça devient intéressant tout ça.
- Naomi SatoA l'université ; 1è année■ Age : 30■ Messages : 89■ Inscrit le : 16/04/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-103
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Normal qu’il soit confus quand à ta réponse. Ce n’est pas la première fois qu’on te la pose d’ailleurs et que tu observes cette réaction. Après tout, en général, les gens décident de faire des études supérieures ou non. Surtout quand celles-ci coutent un rein. Ou un bras. Ou un œil. Sans motivation, ce n’est que de l’argent jeté par les fenêtres pour pas grand-chose.
- Mes parents m’ont fait la surprise d’m’inscrire ici. Sans qu’j’ai vraiment jamais d’mandé ou formuler l’fait de vouloir faire des études. Du coup, j’tente ma chance.
Parce que tu leur faisais confiance. S’ils étaient prêts à débourser et croire en toi, tu ne devais pas te permettre de laisser tomber. T’accrocher jusqu’au bout. Bien qu’il y ait que peu d’année à faire en soit. Cela ne devrait pas être trop dur de tenir le coup sans vouloir partir de là.
Tu fus surpris quand il t’annonça qu’il était en troisième année de médecine. Cela étant, cela concordait aussi avec le fait qu’il s’intéresse à tout ce qui est nutritif. Mais faire médecine, qui sont des études particulièrement lourdes, pour un résultat aussi… Sous-qualifié ? Mais bon, c’est son problème après tout. Il a le physique pour le côté sportif, pourquoi pas prendre plutôt une formation de nutritionniste simplement ? A moins qu’il ne craigne que cela ne fonctionne pas et qu’il garde son diplôme sous le coude en cas de coup dur.
- Médecine hein ? Ça doit pas être facile tous les jours.
Tu ne pouvais pas mieux dire. Sans les étudies les plus prenantes, tant physiquement, que mentalement. Il fallait s’accrocher pour éviter une perte complète de motivation. Il avait du cran de s’être lancé dans une telle aventure et tu ne pouvais que le respecter pour cela.
- Ouaip, j’suis en sportive. Pas pour me spé’ mais plutôt… Pour apprendre à manager. J’sais pas si c’ra fait pour moi, si j’voudrais pas être sur le terrain plutôt. Mais j’aimerais essayer.
En fait, cela allait plus loin que ça. Donner une passion à des jeunes, à de ceux qui seraient en perdition. Les remettre sur le droit chemin. Être une alternative, leur donner ce que tu n’as jamais pu recevoir. Faire en sorte qu’ils se redécouvrent, apprennent. Par le sport. Par un aspect physique différent.
- Mes parents m’ont fait la surprise d’m’inscrire ici. Sans qu’j’ai vraiment jamais d’mandé ou formuler l’fait de vouloir faire des études. Du coup, j’tente ma chance.
Parce que tu leur faisais confiance. S’ils étaient prêts à débourser et croire en toi, tu ne devais pas te permettre de laisser tomber. T’accrocher jusqu’au bout. Bien qu’il y ait que peu d’année à faire en soit. Cela ne devrait pas être trop dur de tenir le coup sans vouloir partir de là.
Tu fus surpris quand il t’annonça qu’il était en troisième année de médecine. Cela étant, cela concordait aussi avec le fait qu’il s’intéresse à tout ce qui est nutritif. Mais faire médecine, qui sont des études particulièrement lourdes, pour un résultat aussi… Sous-qualifié ? Mais bon, c’est son problème après tout. Il a le physique pour le côté sportif, pourquoi pas prendre plutôt une formation de nutritionniste simplement ? A moins qu’il ne craigne que cela ne fonctionne pas et qu’il garde son diplôme sous le coude en cas de coup dur.
- Médecine hein ? Ça doit pas être facile tous les jours.
Tu ne pouvais pas mieux dire. Sans les étudies les plus prenantes, tant physiquement, que mentalement. Il fallait s’accrocher pour éviter une perte complète de motivation. Il avait du cran de s’être lancé dans une telle aventure et tu ne pouvais que le respecter pour cela.
- Ouaip, j’suis en sportive. Pas pour me spé’ mais plutôt… Pour apprendre à manager. J’sais pas si c’ra fait pour moi, si j’voudrais pas être sur le terrain plutôt. Mais j’aimerais essayer.
En fait, cela allait plus loin que ça. Donner une passion à des jeunes, à de ceux qui seraient en perdition. Les remettre sur le droit chemin. Être une alternative, leur donner ce que tu n’as jamais pu recevoir. Faire en sorte qu’ils se redécouvrent, apprennent. Par le sport. Par un aspect physique différent.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum