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- InvitéInvité
Welcome in my world -
29 juin 2018
Ce matin en se levant Momoko était heureuse : son petit-fils, le plus âgé, Yukio, venait lui rendre visite sur le campus. Elle avait mis du temps à le convaincre de venir voir où elle passait ses journées. En bon adolescent qu’il était il arrivai dans la période où le désaxer de ses seuls centres d’intérêts était compliqué et visiblement sa grand-mère n’en faisait pas, ou plutôt plus , partie. Cette situation apportait beaucoup de souffrance à Momoko qui adorait plus que tout ses petits-enfants. Elle se souvent de moments particulièrement privilégiés autour des fourneaux à préparer avec lui de délicieuse pâtisseries. Elle se doutait que cette visite avait été fortement appuyée par sa fille qui avait certainement mis un coup de pression afin que e jeune vienne en ce jour de juin.
La grand-mère avait grand hâte d’explorer le campus avec lui et de lui faire découvrir les lieux qu’elle adorait. Ils avaient convenu de se retrouver dans le hall d’entrée. Momoko aurait aimé pouvoir lui faire visiter le arc du campus, lieu où elle avait fait de belles rencontres lors de ses balades quotidiennes, mais il pleuvait en ce samedi. Elle espérait une éclaircie pour pouvoir sortir mais ne pouvait décidément pas faire tenir cette journée sur cet espoir. Ils resteraient donc à l’intérieur.
Yukio arriva aux alentours de 9h. Contrairement à ce qu’elle appréhendait, son petit-fils semblait tout de même content d’être là Elle ne savait pas bien par où commencer et lui laissa donc le choix pour ce début de visite.
« Je veux bien savoir à quoi ressemble les salles de classe. Et ton club ? Tu m’as dit que tu avais quoi déjà ? »
Là elle retrouvait le Yukio qu’elle connaissait, débordant d’enthousiasme. Tout en lui annonçant faire partie non pas d’un mais de deux clubs, ceux de théâtre et d’arts plastiques, elle les dirigea vers les amphithéâtres espérant pouvoir y accéder sans que les portes ne soient verrouillées.
Le visiteur ralentit devant les casiers, visiblement impressionné par leur nombre. Dans son lycée rural il n’y en avait pas tant. Il demanda alors à sa grand-mère si elle pouvait lui montrer le sien. Celui-ci n’était pas bien loin, il était plus pratique pour Momoko d’être proche de la porte d’entrée. Avant de l’ouvrir la senior avertit Yukio :
« Je l’ai décoré à ma façon, avec les choses que j’aime et qui me font avancer dans la vie. » Puis elle lui montra l’intérieur décoré de photos familiales.
- Oh non ! Mamie t’as pas mis cette photo ! Me dis pas que des gens l’ont vu ! »
La photo en question le montrait enfant, du chocolat plein le visage après l’un de leur après-midi en cuisine. Momoko eut un rire franc à le voir, grand adolescent, gêné pour si peu de choses.
La grand-mère avait grand hâte d’explorer le campus avec lui et de lui faire découvrir les lieux qu’elle adorait. Ils avaient convenu de se retrouver dans le hall d’entrée. Momoko aurait aimé pouvoir lui faire visiter le arc du campus, lieu où elle avait fait de belles rencontres lors de ses balades quotidiennes, mais il pleuvait en ce samedi. Elle espérait une éclaircie pour pouvoir sortir mais ne pouvait décidément pas faire tenir cette journée sur cet espoir. Ils resteraient donc à l’intérieur.
Yukio arriva aux alentours de 9h. Contrairement à ce qu’elle appréhendait, son petit-fils semblait tout de même content d’être là Elle ne savait pas bien par où commencer et lui laissa donc le choix pour ce début de visite.
« Je veux bien savoir à quoi ressemble les salles de classe. Et ton club ? Tu m’as dit que tu avais quoi déjà ? »
Là elle retrouvait le Yukio qu’elle connaissait, débordant d’enthousiasme. Tout en lui annonçant faire partie non pas d’un mais de deux clubs, ceux de théâtre et d’arts plastiques, elle les dirigea vers les amphithéâtres espérant pouvoir y accéder sans que les portes ne soient verrouillées.
Le visiteur ralentit devant les casiers, visiblement impressionné par leur nombre. Dans son lycée rural il n’y en avait pas tant. Il demanda alors à sa grand-mère si elle pouvait lui montrer le sien. Celui-ci n’était pas bien loin, il était plus pratique pour Momoko d’être proche de la porte d’entrée. Avant de l’ouvrir la senior avertit Yukio :
« Je l’ai décoré à ma façon, avec les choses que j’aime et qui me font avancer dans la vie. » Puis elle lui montra l’intérieur décoré de photos familiales.
- Oh non ! Mamie t’as pas mis cette photo ! Me dis pas que des gens l’ont vu ! »
La photo en question le montrait enfant, du chocolat plein le visage après l’un de leur après-midi en cuisine. Momoko eut un rire franc à le voir, grand adolescent, gêné pour si peu de choses.
- Emma WalkerA l'université ; 2è année■ Age : 30■ Messages : 296■ Inscrit le : 04/12/2022■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-102
❖ Arrivé(e) en : Début Décembre 2017
C’est vendredi, il fait plutôt beau et assez chaud. Pour la journée, j’ai mis une jupe beige avec un t-shirt vert kaki. Ma fête est passée, ça annonce l’été et ici, la saison des pluies. Heureusement qu’aujourd’hui c’est ensoleillé. J’ai étudié une partie de la journée à l’extérieur, révisant pour mes cours de la journée, terminant mes devoirs. J’ai deux cours, l’un avant le repas du midi, le second après celui-ci. Je me demande si je ne croiserais pas Fushita si j’y vais aujourd’hui. Juste y penser, j’en rougi fortement.
Sac sur l’épaule, livre dans les mains, je dois aller chercher quelques trucs que j’ai laissé dans mon casier pour faire mes études. En y arrivant, je tombe sur Madame Inoue, la mamie de littérature. Beaucoup de gens la connaissent de nom dans la filière parce que c’est un peu la grand-maman de tout le monde, peu importe l’année dans laquelle nous sommes. Aujourd’hui, elle est accompagnée d’un jeune homme qui ouvre son casier pour découvrir les photos – des photos que j’ai déjà entrevues, mais je n’ai jamais fait de commentaires sur celles-ci – et s’exclamer.
J’en comprends rapidement qu’ils sont parents et je trouve ça immédiatement mignon. Et c’est sans trop réfléchir que je me lance :
- Bonjour ! Je suis vraiment désolée…
Je ne peux pas m’empêcher de rougir alors que je vois ce jeune homme parler à sa mamie. Je ne veux vraiment pas les interrompre, mais j’ai besoin d’accéder à mon casier.
- Mon casier est juste derrière la porte du votre qui est ouverte.
Je détaille le jeune homme. Je ne peux pas dire qu’il est particulièrement laid, tout au contraire. Fort mignon. Pas du tout dans le style de ce Fushita. J’ai un petit sourire désolé qui se dessine sur mon visage, regardant à la fois Madame Inoue que j’ai croisé quelques fois puisque nos casiers sont voisins.
- C’est une très jolie photo que vous avez-là, lançai-je, légèrement moqueuse.
Mais je suis d’accord pour dire que c’est une belle photo, par contre. Mais voyant la réaction du jeune homme, je ne peux pas m’empêcher de m’en amuser, surtout que la grand-maman s’en amusait grandement de cette photo. Je me demande si un de ces jours j’aurais des enfants, si j’aurais une famille, des petits enfants. Madame Inoue me rappelle un peu ma grand-maman aussi, mais ça, jamais je n’oserais le lui dire, ce serait beaucoup trop gênant.
Sac sur l’épaule, livre dans les mains, je dois aller chercher quelques trucs que j’ai laissé dans mon casier pour faire mes études. En y arrivant, je tombe sur Madame Inoue, la mamie de littérature. Beaucoup de gens la connaissent de nom dans la filière parce que c’est un peu la grand-maman de tout le monde, peu importe l’année dans laquelle nous sommes. Aujourd’hui, elle est accompagnée d’un jeune homme qui ouvre son casier pour découvrir les photos – des photos que j’ai déjà entrevues, mais je n’ai jamais fait de commentaires sur celles-ci – et s’exclamer.
J’en comprends rapidement qu’ils sont parents et je trouve ça immédiatement mignon. Et c’est sans trop réfléchir que je me lance :
- Bonjour ! Je suis vraiment désolée…
Je ne peux pas m’empêcher de rougir alors que je vois ce jeune homme parler à sa mamie. Je ne veux vraiment pas les interrompre, mais j’ai besoin d’accéder à mon casier.
- Mon casier est juste derrière la porte du votre qui est ouverte.
Je détaille le jeune homme. Je ne peux pas dire qu’il est particulièrement laid, tout au contraire. Fort mignon. Pas du tout dans le style de ce Fushita. J’ai un petit sourire désolé qui se dessine sur mon visage, regardant à la fois Madame Inoue que j’ai croisé quelques fois puisque nos casiers sont voisins.
- C’est une très jolie photo que vous avez-là, lançai-je, légèrement moqueuse.
Mais je suis d’accord pour dire que c’est une belle photo, par contre. Mais voyant la réaction du jeune homme, je ne peux pas m’empêcher de m’en amuser, surtout que la grand-maman s’en amusait grandement de cette photo. Je me demande si un de ces jours j’aurais des enfants, si j’aurais une famille, des petits enfants. Madame Inoue me rappelle un peu ma grand-maman aussi, mais ça, jamais je n’oserais le lui dire, ce serait beaucoup trop gênant.
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