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- Ena OkazakiElève ; en 2ème année■ Age : 31■ Messages : 216■ Inscrit le : 23/08/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 16 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-6
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Somewhere we'll find a new way of living
♫ La la la lalala la la la LA LAAA ♫
Dans le sac la la la laaa ♪. Et voilà lalaa ♪
Il range soigneusement ses derniers T.Shirts du placard en chantonnant, guilleret. L’ensemble de ses vêtements rentrent dans son grand sac de sport, il a juste besoin d’un peu d’aide pour être fermé : il lui saute les fesses dessus. Une fois, deux fois, tralalaaa. Il lui faut forcer un peu sur la fermeture mais l’opération se passe bien ! Tout est parfait. Comment il pourrait en être autrement de toute façon ? Aujourd’hui est un jour merveilleux, le plus beau de tous les temps ! Enfin. ENFIIIIIIIIIIIIIIIIN l’administration avait daigné leur trouver une chambre ! Hiro et lui ne seraient plus condamnés à une vie nocturne séparée ! En apprenant la nouvelle en début de semaine, il en avait chialé toute sa réserve lacrymale de l’année. Enfin, ils auront une chambre, rien qu’à eux ! Du moins, à 2 détails près : des collocs’, encore. Deux noms que la secrétaire lui avait laissé mais qui ne lui disent rien. Assurément, ils ne sont pas dans leur classe – il a eu le temps de mémoriser le nom de tout le monde depuis la rentrée -, ce sont sûrement des premières ou dernières années. Mais peu importe ! Il s’en contre-fou ! Qui que vous soyez futurs collocs, prenez garde car rien n’entravera plus leur bonheur de se retrouver chaque soir ! Haaaaaaaaaaaaah. Rien que d’y penser, il se sent revivre.
La musique sur son téléphone change : silly goofy music for silly goofy Humans. Parfait. Génial. Totalement dans l’ambiance ! Il sautille de partout, tournoie sur lui-même et se dandine n’importe comment. L’heure n’est pas à la technique mais à la joie. « Youhouuuu »
Il vide le reste de son bureau et récolte les quelques livres et affaires qu’il lui reste à prendre. Il en blinde son sac à dos, le reste finit dans un sac en plastique. Nickel Chrom, tout rentre. L’avantage de voyager léger ! Il remet son oreiller en place, sur son lit dépourvu de draps. Il en aura épongé de ses larmes celui-là ! Il ne retient pourtant pas la moindre trace de son existence. Puisque c'est le moment de partir, il accorde une demie seconde de silence à sa chambre... Non, c’est faux ! Il récupère le sac plastique, jette sur ses épaules son sac de cours et met en bandoulière son sac de sport : allez, on se tire ! Il quitte les lieux sans un regret, lance tout juste derrière lui un « Salut les gars ! Merci pour tout, bye bye, des cœurs sur vous ~~ ». La libertééééééé !! Son frère chérit qui l’attend, aaaaah que la vie est belle !
Il toque trois fois à la porte de la L2 avant d’entrer, sans attendre qu’on ne vienne lui ouvrir, comme à son habitude. Il jette tout ce qui l'encombre sur le sol – à l’exception de son sac à dos qu’il fait glisser en douceur pour ne pas ruiner son PC portable - et prend la pose pour s’annoncer. Dramatiquement, il se met à chanter. Sous à air de sérénade, il s’approche de son frère. «♫ Miawww Miawmiawmiaw Miaaaw Miawmiawmiaw ~ ♫ »~. En miaulant, parce que ce ne serait pas drôle sinon.
« Mon Hiro d'amour ♫. On y va ?? T’es prêt ??? », il lui demande avec un sourire à s’en décrocher la mâchoire. Comme il remarque une présence autre que celle de son frère – c’est à dire indésirable – il tourne la tête pour la souligner du regard. Son sourire lui monte jusqu’aux oreilles. « Salut, Eikichou~ ça roule ? ». Même Grincheux ne ruinera pas son bonheur aujourd'hui.
Dans le sac la la la laaa ♪. Et voilà lalaa ♪
Il range soigneusement ses derniers T.Shirts du placard en chantonnant, guilleret. L’ensemble de ses vêtements rentrent dans son grand sac de sport, il a juste besoin d’un peu d’aide pour être fermé : il lui saute les fesses dessus. Une fois, deux fois, tralalaaa. Il lui faut forcer un peu sur la fermeture mais l’opération se passe bien ! Tout est parfait. Comment il pourrait en être autrement de toute façon ? Aujourd’hui est un jour merveilleux, le plus beau de tous les temps ! Enfin. ENFIIIIIIIIIIIIIIIIN l’administration avait daigné leur trouver une chambre ! Hiro et lui ne seraient plus condamnés à une vie nocturne séparée ! En apprenant la nouvelle en début de semaine, il en avait chialé toute sa réserve lacrymale de l’année. Enfin, ils auront une chambre, rien qu’à eux ! Du moins, à 2 détails près : des collocs’, encore. Deux noms que la secrétaire lui avait laissé mais qui ne lui disent rien. Assurément, ils ne sont pas dans leur classe – il a eu le temps de mémoriser le nom de tout le monde depuis la rentrée -, ce sont sûrement des premières ou dernières années. Mais peu importe ! Il s’en contre-fou ! Qui que vous soyez futurs collocs, prenez garde car rien n’entravera plus leur bonheur de se retrouver chaque soir ! Haaaaaaaaaaaaah. Rien que d’y penser, il se sent revivre.
La musique sur son téléphone change : silly goofy music for silly goofy Humans. Parfait. Génial. Totalement dans l’ambiance ! Il sautille de partout, tournoie sur lui-même et se dandine n’importe comment. L’heure n’est pas à la technique mais à la joie. « Youhouuuu »
Il vide le reste de son bureau et récolte les quelques livres et affaires qu’il lui reste à prendre. Il en blinde son sac à dos, le reste finit dans un sac en plastique. Nickel Chrom, tout rentre. L’avantage de voyager léger ! Il remet son oreiller en place, sur son lit dépourvu de draps. Il en aura épongé de ses larmes celui-là ! Il ne retient pourtant pas la moindre trace de son existence. Puisque c'est le moment de partir, il accorde une demie seconde de silence à sa chambre... Non, c’est faux ! Il récupère le sac plastique, jette sur ses épaules son sac de cours et met en bandoulière son sac de sport : allez, on se tire ! Il quitte les lieux sans un regret, lance tout juste derrière lui un « Salut les gars ! Merci pour tout, bye bye, des cœurs sur vous ~~ ». La libertééééééé !! Son frère chérit qui l’attend, aaaaah que la vie est belle !
Il toque trois fois à la porte de la L2 avant d’entrer, sans attendre qu’on ne vienne lui ouvrir, comme à son habitude. Il jette tout ce qui l'encombre sur le sol – à l’exception de son sac à dos qu’il fait glisser en douceur pour ne pas ruiner son PC portable - et prend la pose pour s’annoncer. Dramatiquement, il se met à chanter. Sous à air de sérénade, il s’approche de son frère. «♫ Miawww Miawmiawmiaw Miaaaw Miawmiawmiaw ~ ♫ »~. En miaulant, parce que ce ne serait pas drôle sinon.
« Mon Hiro d'amour ♫. On y va ?? T’es prêt ??? », il lui demande avec un sourire à s’en décrocher la mâchoire. Comme il remarque une présence autre que celle de son frère – c’est à dire indésirable – il tourne la tête pour la souligner du regard. Son sourire lui monte jusqu’aux oreilles. « Salut, Eikichou~ ça roule ? ». Même Grincheux ne ruinera pas son bonheur aujourd'hui.
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- Hiro OkazakiElève ; en 2ème année■ Age : 33■ Messages : 147■ Inscrit le : 22/09/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 17 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-6
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
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9 juin 2018
Tu as enfin obtenu gain de cause. Et si tu dis enfin, c'est parce qu'il a fallu batailler plus de deux mois avec l'administration. Ce n'était pourtant pas sorcier de comprendre qu'il est impératif que ton frère et toi soyez dans la même chambre. L'envie de les insulter, eux et leur paperasse, t'avait démangé mais tu n'avais jamais haussé le ton. Tu avais même tenté un sourire aimable et compati à leur charge de travail. Et ce à deux reprises, faisant un total de trois allers-retours dans ce bureau affable. La troisième fois semblait avoir été la bonne. Deux semaines plus tard, vous receviez la nouvelle. La L-6 serait votre nouvelle demeure. Tu en avais été si soulagé que tu avais toi aussi, Hiro, exprimer de la joie. Un sourire avait fleuri sur tes lèvres après avoir été inondé des chutes du Niagar-Ena.
Ton quart de chambre est relativement vide. Aucune décoration sur ton mur, aucun bibelot sur ton bureau. Que des manuels, des cahiers, des stylos parfaitement rangés dans un pot à crayons, des surligneurs alignés et triés par couleur. Il en est de même dans ta penderie. Rien ne dépasse. Tes chemises sont accrochées à leurs cintres, tes t-shirts sont pliés soigneusement. Boxers et chaussettes ont chacun leur tiroir. Tout est logique et clair. Aux yeux des autres, c'est d'un ennui mortel. A tes yeux, c'est l'assurance de la tranquillité. La paix, tu l'avais avec tes trois colocataires actuels. Qu'en serait-il des deux prochains ? Cela ne t'inquiète pas outre mesure. Ena remportera toujours la palme de l'emmerdement maximal. Il n'y a qu'à voir la tête que tire Eikichi à chaque fois que ton frère débarque dans la chambre.
Ton sac se remplit progressivement. Tu es organisé et méthodique si bien qu'il ne te faut pas longtemps pour en sceller le contenu. Ena ne devrait pas tar- Ah tiens, quand on parle du loup ! Tu relèves la tête, un sourcil dressé. Un jour peut-être attendra-t-il qu'on l'invite avant de pénétrer dans une pièce après avoir toqué. Mais ce n'est pas ici et maintenant. Aujourd'hui, tu as le droit d'être heureux. Alors réprimander Ena sur les bonnes manières ne fait pas parti du programme. Et puis, difficile de lui en vouloir alors qu'il s'approche de toi avec autant d'enthousiasme. Sa petite chansonnette te fait arquer davantage le sourcil. Pourquoi un chat ? Tu chasses bien vite cette question de ta tête pour te concentrer sur ce qui est réellement important.
« Presque. Je vérifie que j'ai rien oublié dans mon bureau et on peut y aller. »
Certes, la chambre n'est pas loin si tu as oublié quelque chose mais tu vaux mieux que ça. Vérifier n'est pas tricher. Alors que tu te retournes pour ouvrir le premier tiroir à ta portée, le surnom donné à Eikichi t'interpelle. Les voies d'Ena sont impénétrables et leur camarade semble faire parti des personnes sur qui ton frère a choisi de jeter son dévolu. Tu n'as jamais questionné les raisons. Cependant, tu suis avec attention l'évolution de leur relation. Et tu sais d'avance qu'Eikichi ne va pas être aussi chou que son surnom l'indique. Tu ne dis évidemment rien et poursuis ta vérification. Mais le coin de tes lèvres tressaille.
Ton quart de chambre est relativement vide. Aucune décoration sur ton mur, aucun bibelot sur ton bureau. Que des manuels, des cahiers, des stylos parfaitement rangés dans un pot à crayons, des surligneurs alignés et triés par couleur. Il en est de même dans ta penderie. Rien ne dépasse. Tes chemises sont accrochées à leurs cintres, tes t-shirts sont pliés soigneusement. Boxers et chaussettes ont chacun leur tiroir. Tout est logique et clair. Aux yeux des autres, c'est d'un ennui mortel. A tes yeux, c'est l'assurance de la tranquillité. La paix, tu l'avais avec tes trois colocataires actuels. Qu'en serait-il des deux prochains ? Cela ne t'inquiète pas outre mesure. Ena remportera toujours la palme de l'emmerdement maximal. Il n'y a qu'à voir la tête que tire Eikichi à chaque fois que ton frère débarque dans la chambre.
Ton sac se remplit progressivement. Tu es organisé et méthodique si bien qu'il ne te faut pas longtemps pour en sceller le contenu. Ena ne devrait pas tar- Ah tiens, quand on parle du loup ! Tu relèves la tête, un sourcil dressé. Un jour peut-être attendra-t-il qu'on l'invite avant de pénétrer dans une pièce après avoir toqué. Mais ce n'est pas ici et maintenant. Aujourd'hui, tu as le droit d'être heureux. Alors réprimander Ena sur les bonnes manières ne fait pas parti du programme. Et puis, difficile de lui en vouloir alors qu'il s'approche de toi avec autant d'enthousiasme. Sa petite chansonnette te fait arquer davantage le sourcil. Pourquoi un chat ? Tu chasses bien vite cette question de ta tête pour te concentrer sur ce qui est réellement important.
« Presque. Je vérifie que j'ai rien oublié dans mon bureau et on peut y aller. »
Certes, la chambre n'est pas loin si tu as oublié quelque chose mais tu vaux mieux que ça. Vérifier n'est pas tricher. Alors que tu te retournes pour ouvrir le premier tiroir à ta portée, le surnom donné à Eikichi t'interpelle. Les voies d'Ena sont impénétrables et leur camarade semble faire parti des personnes sur qui ton frère a choisi de jeter son dévolu. Tu n'as jamais questionné les raisons. Cependant, tu suis avec attention l'évolution de leur relation. Et tu sais d'avance qu'Eikichi ne va pas être aussi chou que son surnom l'indique. Tu ne dis évidemment rien et poursuis ta vérification. Mais le coin de tes lèvres tressaille.
- Eikichi SugawaraElève ; en 2ème année■ Age : 28■ Messages : 137■ Inscrit le : 05/06/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 16 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-2
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Somewhere we’ll find a new way of living
La dernière fois. Ce sera la dernière fois qu’Ena se permet de rentrer dans leur chambre après avoir toqué sans même attendre qu’on lui dise d’entrer. Eikichi avait cela en horreur et savoir qu’il n’aurait plus à supporter les intrusions du frère démon le remplissait d’une joie toute contenue.
Pourquoi miaulait donc cet idiot ? Le noiraud soupira au-dessus de son livre de géographie, ouvert sur ses cuisses pliées en tailleur au milieu de son lit. Oui oui, qu’il prenne donc son Hiro d’amour au plus vite, l’air manquait déjà ! Eikichou ?! De mieux en mieux. Ce qui roulait étaient surtout ses yeux dans ses orbites. Répondre ou ne pas répondre ? Dans les deux cas, Eikichi était à peu près certain que le résultat serait le même. Dire le fond de sa pensée lui traversa l’esprit, foutu pour foutu, l’option fut vite choisie. Le brun garda les yeux rivés sur la page de son livre recensant les routes commerciales de la mer de Chine.
"Ca peut pas aller mieux."
Maintenant que tu te casses. Il se retint d’ajouter cette dernière phrase tout de même. Inutile de provoquer des vagues quand la paix n’était qu’à quelques coups de rames.
Pourquoi miaulait donc cet idiot ? Le noiraud soupira au-dessus de son livre de géographie, ouvert sur ses cuisses pliées en tailleur au milieu de son lit. Oui oui, qu’il prenne donc son Hiro d’amour au plus vite, l’air manquait déjà ! Eikichou ?! De mieux en mieux. Ce qui roulait étaient surtout ses yeux dans ses orbites. Répondre ou ne pas répondre ? Dans les deux cas, Eikichi était à peu près certain que le résultat serait le même. Dire le fond de sa pensée lui traversa l’esprit, foutu pour foutu, l’option fut vite choisie. Le brun garda les yeux rivés sur la page de son livre recensant les routes commerciales de la mer de Chine.
"Ca peut pas aller mieux."
Maintenant que tu te casses. Il se retint d’ajouter cette dernière phrase tout de même. Inutile de provoquer des vagues quand la paix n’était qu’à quelques coups de rames.
Codage par Libella sur Graphiorum
- Ena OkazakiElève ; en 2ème année■ Age : 31■ Messages : 216■ Inscrit le : 23/08/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 16 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-6
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Somewhere we'll find a new way of living
« ça ne peut pas aller mieux gnagnagna » répète exagérément Ena dans sa tête. Ce vieil aigris aurait une pancarte intitulée « Bon débarras » que ça ne serait pas aussi parlant ! Et ça l’agace quand même un peu. Il peut s’amuser du fait que Grincheux ne le porte pas dans son coeur mais il apprécie bien moins qu’il sous-entende qu’Hiro n’est pas une grande perte. Il lui tend une belle perche: un manque de considération pour son frère. Alors, forcément... Ena la saisit à pleines mains. Ses lèvres s’étirent, ses yeux frétillent… qu’à cela ne tienne ! Il prend de l’élan et se jette sur lui pour faire une bombe. Ici, pas d’eau à faire déborder, juste des draps à froisser mais ça marche aussi. Devant le lycéen, il feint la naïveté et demande :
« Qu'est-ce qui t'arrives, Eikinounet ? T'es malade ?? C'est ton livre qui t'fait cet effet là ? »
Il s’étale malgré toute résistance et lui vole le bouquin du bout des doigts. Les pages se mélangent et s’entrechoquent, Ena a juste le temps de jeter un œil au titre que déjà il s’élance à l’autre bout du lit. Il est temps de soigner Grincheux, pas question de le voir de bonne humeur aujourd'hui ! Surtout pas parce qu'Hiro s'en va.
« Géographie ? Hmm... si tu veux vraiment apprendre quelque chose, laisse tomber ce livre. T'as conscience que t'y trouveras que des pseudo introductions, pas vrai ? »
Il le pousse du pied et balance le livre au dessus du vide, en direction de son frère. Ses traits dessinent toute la condescendance et la moquerie dont il peut faire preuve. Il jette un œil à son jumeau et ricane.
« Il croit vraiment apprendre quelque chose avec ça… Pffft. Franchement, Hiro....Tu pourrais être sympas et lui prêter tes livres ! »
Il tourne la tête vers Eikichi, tout sourire. "Tu veux un bon livre de Géo, Eikipoulet ?"
« Qu'est-ce qui t'arrives, Eikinounet ? T'es malade ?? C'est ton livre qui t'fait cet effet là ? »
Il s’étale malgré toute résistance et lui vole le bouquin du bout des doigts. Les pages se mélangent et s’entrechoquent, Ena a juste le temps de jeter un œil au titre que déjà il s’élance à l’autre bout du lit. Il est temps de soigner Grincheux, pas question de le voir de bonne humeur aujourd'hui ! Surtout pas parce qu'Hiro s'en va.
« Géographie ? Hmm... si tu veux vraiment apprendre quelque chose, laisse tomber ce livre. T'as conscience que t'y trouveras que des pseudo introductions, pas vrai ? »
Il le pousse du pied et balance le livre au dessus du vide, en direction de son frère. Ses traits dessinent toute la condescendance et la moquerie dont il peut faire preuve. Il jette un œil à son jumeau et ricane.
« Il croit vraiment apprendre quelque chose avec ça… Pffft. Franchement, Hiro....Tu pourrais être sympas et lui prêter tes livres ! »
Il tourne la tête vers Eikichi, tout sourire. "Tu veux un bon livre de Géo, Eikipoulet ?"
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- Hiro OkazakiElève ; en 2ème année■ Age : 33■ Messages : 147■ Inscrit le : 22/09/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 17 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-6
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
Somewhere we'll find a new way of living
9 juin 2018
Eikichi aurait mieux fait de se taire. Il n'a pourtant rien dit de répréhensible. Mais c'est le ton qu'il emploie. Cette froideur. Comme si Ena et toi n'étiez que de la vermine qu'il convient d'éradiquer. Si votre camarade savait à quel point il a tort, il s'en mordrait les doigts. Mais tu n'étales pas ta richesse pour fanfaronner. Contrairement à Eikichi, tu sais que tu réussiras dans la vie. Tu oses même penser que tu réussiras mieux. Alors oui, Hiro, il se peut que cette pensée motive ton absence de réaction à l'explosion d'Ena. Et peut-être que dans l'euphorie de la supériorité, tes lèvres s'étirent davantage lorsqu'un nouveau surnom jaillit. Tu jettes un coup d’œil à la situation alors que tu refermes ta valise.
Et soudain tes mains rattrapent le livre. Te voilà embarqué dans cette croisade. Si Ena en est le porte-étendard, quel est ton rôle ? Tu n'es certainement pas un simple fantassin. Tu quittes ton lit pour se rapprocher d'eux au cas où ça dégénérerait. Mais soldat du feu ne t'attire pas non plus alors tu t'improvises lancier. Qui s'y frotte s'y pique.
« Il faut bien qu'il lise les introductions avant de comprendre mes livres, Ena. »
Cet arrogant premier degré est la pièce maîtresse d'un engagement sans faille face à ton futur gargantuesque. Tout le monde n'est pas voué à un grand avenir. Et au vu de ses éclats de fureur, tu crains que votre camarade ne se retrouve jamais dans le haut du panier. Dommage pour Eiki... poulet ? Tes pommettes se contractent. Tu sens l'hilarité te gagner. Elle remonte des tréfonds de ton être. Il lui aura fallu du temps pour se montrer. Mais quand enfin elle éclate, tu ne l'arrêtes plus.
Et tu ris. Grands dieux, tu ris. A gorge déployée.
La vue brouillée, tu procèdes à l'échange. Le livre retrouve la couverture de l'opprimé tandis que ta main tire sur le bras d'Ena pour le ramener à toi. Tu ris encore quand tu l'enjoins à te suivre :
« Viens, on y va ! »
Tu as mal aux joues, au ventre et tu te sèches rapidement les yeux. Mieux vaut déguerpir avant que le dragon ne vous carbonise. La valise d'une main et Ena de l'autre, tu t'apprêtes à passer la porte quand tu te retournes et t'inclines.
« Passe un bon week-end Eiki... » Non, tu n'oserais quand même pas. Tu laisses planer le doute plus que nécessaire et conclus : « ...chi. » Puis tu te redresses et retrouves ton visage sérieux. Seule subsiste une lueur dans tes yeux alors que tu complètes : « On se revoit lundi en maths. »
Et soudain tes mains rattrapent le livre. Te voilà embarqué dans cette croisade. Si Ena en est le porte-étendard, quel est ton rôle ? Tu n'es certainement pas un simple fantassin. Tu quittes ton lit pour se rapprocher d'eux au cas où ça dégénérerait. Mais soldat du feu ne t'attire pas non plus alors tu t'improvises lancier. Qui s'y frotte s'y pique.
« Il faut bien qu'il lise les introductions avant de comprendre mes livres, Ena. »
Cet arrogant premier degré est la pièce maîtresse d'un engagement sans faille face à ton futur gargantuesque. Tout le monde n'est pas voué à un grand avenir. Et au vu de ses éclats de fureur, tu crains que votre camarade ne se retrouve jamais dans le haut du panier. Dommage pour Eiki... poulet ? Tes pommettes se contractent. Tu sens l'hilarité te gagner. Elle remonte des tréfonds de ton être. Il lui aura fallu du temps pour se montrer. Mais quand enfin elle éclate, tu ne l'arrêtes plus.
Et tu ris. Grands dieux, tu ris. A gorge déployée.
La vue brouillée, tu procèdes à l'échange. Le livre retrouve la couverture de l'opprimé tandis que ta main tire sur le bras d'Ena pour le ramener à toi. Tu ris encore quand tu l'enjoins à te suivre :
« Viens, on y va ! »
Tu as mal aux joues, au ventre et tu te sèches rapidement les yeux. Mieux vaut déguerpir avant que le dragon ne vous carbonise. La valise d'une main et Ena de l'autre, tu t'apprêtes à passer la porte quand tu te retournes et t'inclines.
« Passe un bon week-end Eiki... » Non, tu n'oserais quand même pas. Tu laisses planer le doute plus que nécessaire et conclus : « ...chi. » Puis tu te redresses et retrouves ton visage sérieux. Seule subsiste une lueur dans tes yeux alors que tu complètes : « On se revoit lundi en maths. »
- PNJNon validé ; bouhouhou■ Age : 35■ Messages : 6345■ Inscrit le : 31/03/2008
- Eikichi SugawaraElève ; en 2ème année■ Age : 28■ Messages : 137■ Inscrit le : 05/06/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 16 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-2
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
Somewhere we’ll find a new way of living
"Mais dégage de là !"
Ce mec vient tout droit des tréfonds des enfers, il cachait ses cornes, c’était pas possible autrement ! Même avec la plus grande volonté du monde, Eikichi ne pourrait pas être aussi insupportable. D’ailleurs jamais personne ne lui a hérissé le poil à ce point ! Les deux lycéens se débattent pendant que le jumeaux au mono-neurones tente de lui voler son livre et finit par y arriver. Eikichi plaque son poing contre son front, il n’a qu’une envie, le pousser du pied jusqu’au sol. Mais il a appris lors de leur dernière joute verbale qu’Ena ne savait rien faire d’autre. Inutile de se fatiguer pour lui. Tout ce qu’il avait à faire, c’est attendre qu’il débarrasse le plancher !
"Je ne veux rien venant de vous."
Qu’Hiro entre dans le jeu puéril de son frère faisait presque naître une pointe de déception en lui. Lui qui pensait qu’il avait raflé toute l’intelligence, ce qui aurait expliqué pourquoi Ena pouvait être aussi bête, voilà qu’il se trompait. Il savait juste mieux le cacher. Pas un pour rattraper l’autre. Bon débarras, cassez-vous.
La dernière chose dont Eikichi avait besoin était d’entendre Hiro se fendre la poire. Ah ouais... Donc même l’humour bas de plafond fonctionnait avec lui, de pire en pire. Ses yeux roulent dans leurs orbites lorsqu’Hiro lui souhaite un bon week-end et s’interrompt au milieu de son prénom. Lundi, ouais, malheureusement...
"Vous forcez pas."
Il crache sans retenue. Enfin le calme dans cette chambre. Eikichi souffle bruyamment et reprend son livre de géographie. La couverture est pliée et les pages qui la suivent, une bonne dizaine également.
"P*tain font ch*er ces c*ns !"
Après toute une nuit écrasé sous d’autres bouquins pour qu’au moins les pages reprennent leur place, le livre se ferme correctement mais les traces de pliures sont toujours visibles. Il n’était pas pressé de devoir le rendre... Ce week-end sans voir leur visage, Eikichi comptait bien le savourer comme il se devait.
Ce mec vient tout droit des tréfonds des enfers, il cachait ses cornes, c’était pas possible autrement ! Même avec la plus grande volonté du monde, Eikichi ne pourrait pas être aussi insupportable. D’ailleurs jamais personne ne lui a hérissé le poil à ce point ! Les deux lycéens se débattent pendant que le jumeaux au mono-neurones tente de lui voler son livre et finit par y arriver. Eikichi plaque son poing contre son front, il n’a qu’une envie, le pousser du pied jusqu’au sol. Mais il a appris lors de leur dernière joute verbale qu’Ena ne savait rien faire d’autre. Inutile de se fatiguer pour lui. Tout ce qu’il avait à faire, c’est attendre qu’il débarrasse le plancher !
"Je ne veux rien venant de vous."
Qu’Hiro entre dans le jeu puéril de son frère faisait presque naître une pointe de déception en lui. Lui qui pensait qu’il avait raflé toute l’intelligence, ce qui aurait expliqué pourquoi Ena pouvait être aussi bête, voilà qu’il se trompait. Il savait juste mieux le cacher. Pas un pour rattraper l’autre. Bon débarras, cassez-vous.
La dernière chose dont Eikichi avait besoin était d’entendre Hiro se fendre la poire. Ah ouais... Donc même l’humour bas de plafond fonctionnait avec lui, de pire en pire. Ses yeux roulent dans leurs orbites lorsqu’Hiro lui souhaite un bon week-end et s’interrompt au milieu de son prénom. Lundi, ouais, malheureusement...
"Vous forcez pas."
Il crache sans retenue. Enfin le calme dans cette chambre. Eikichi souffle bruyamment et reprend son livre de géographie. La couverture est pliée et les pages qui la suivent, une bonne dizaine également.
"P*tain font ch*er ces c*ns !"
Après toute une nuit écrasé sous d’autres bouquins pour qu’au moins les pages reprennent leur place, le livre se ferme correctement mais les traces de pliures sont toujours visibles. Il n’était pas pressé de devoir le rendre... Ce week-end sans voir leur visage, Eikichi comptait bien le savourer comme il se devait.
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- Ena OkazakiElève ; en 2ème année■ Age : 31■ Messages : 216■ Inscrit le : 23/08/2023■ Mes clubs :
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❖ Âge : 16 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-6
❖ Arrivé(e) en : Avril 2018
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Haaaaaaaah. Il ne comprendra jamais, cet idiot d’Eikichi. C’est pourtant pas compliqué : chercher à effacer une tâche d’encre avec son poing est la meilleure façon de l’étaler et de s’en foutre partout ! Pas besoin d’être un grand philosophe pour comprendre ça, un minimum de logique suffirait. Plus il lui demande de déguerpir, plus il lui montre à quel point il lui est antipathique et plus Ena prend un malin plaisir à le coller. De tout son être. C’est comme ça que ça fonctionne avec lui, il est attiré par tout ce qui le repousse. Parce que personne n’a le droit de le faire se sentir indésirable. Son père et sa mère le font déjà bien assez, il ne laissera personne d’autre le lui faire ressentir. C’est lui qui décide avec qui jouer, où, quand et comment. La fin du jeu, c’est aussi lui qui la décide. Et pour une fois qu'il arrive à embarquer Hiro dans la partie, il est prêt à en remettre une booonne couche. Mais le rire franc de son frère met fin à tous les plans machiavéliques qui lui passent en tête. Hiro qui rit comme ça, c’est suffisamment rare pour attirer toute son attention.
En suricate, Ena se redresse sur le lit, yeux émerveillés pointés sur son frère. Haha... il a réussit à l’amuser avec son surnom pourri ! Incroyable. Son jumeau à le rire contagieux, Ena se fend la poire aussi. Docile, il laisse Hiro l’extirper hors du lit. Il n’a rien à ajouter, son frère conclut parfaitement l’affaire. Oh god, que ça fait du bien de rire comme ça après tout ce stress et cette souffrance ! Ena rit tellement qu’il ne s’intéresse plus à Eikichi, il n’a pas même un regard pour lui en passant le pas de la porte. C’est l’hésitation d’Hiro qui le met sur silencieux, il jette un coup d’œil narquois sur le ptit poulet puis sur son frère. « HAHAHAHAHAHAHAHA »
Du fond du couloir, on l’entend encore rire. Hiro a tellement hésité que c’est comme s’il l’avait surnommé Eikipoulet aussi. Venant de lui, c’est encore plus drôle. Il échange un regard complice avec son jumeau en trimbalant toutes leurs affaires dans leur nouvelle chambre. Lorsqu’ils entrent sur les lieux de leur nouvelle paix intérieure, Ena est surexcité de bonheur.
« Salut les gars ! »
Il se désigne du doigt :« Ena »
Mouvement des mains gracieux pour introduire son frère : « et Hiro »
Grand final, il ouvre les bras et passe l'un d'eux derrière son jumeau.
« Okazaki ! »
Il écoute les quelques applaudissements imaginaires qui lui dorlotent l'oreille avant de conclure.
« On vient vivre avec vouuus. Enchantés~ ».
Enfin, tout retrouve son ordre. Terminé les nuits de souffrance privé de son oxygène.
En suricate, Ena se redresse sur le lit, yeux émerveillés pointés sur son frère. Haha... il a réussit à l’amuser avec son surnom pourri ! Incroyable. Son jumeau à le rire contagieux, Ena se fend la poire aussi. Docile, il laisse Hiro l’extirper hors du lit. Il n’a rien à ajouter, son frère conclut parfaitement l’affaire. Oh god, que ça fait du bien de rire comme ça après tout ce stress et cette souffrance ! Ena rit tellement qu’il ne s’intéresse plus à Eikichi, il n’a pas même un regard pour lui en passant le pas de la porte. C’est l’hésitation d’Hiro qui le met sur silencieux, il jette un coup d’œil narquois sur le ptit poulet puis sur son frère. « HAHAHAHAHAHAHAHA »
Du fond du couloir, on l’entend encore rire. Hiro a tellement hésité que c’est comme s’il l’avait surnommé Eikipoulet aussi. Venant de lui, c’est encore plus drôle. Il échange un regard complice avec son jumeau en trimbalant toutes leurs affaires dans leur nouvelle chambre. Lorsqu’ils entrent sur les lieux de leur nouvelle paix intérieure, Ena est surexcité de bonheur.
« Salut les gars ! »
Il se désigne du doigt :« Ena »
Mouvement des mains gracieux pour introduire son frère : « et Hiro »
Grand final, il ouvre les bras et passe l'un d'eux derrière son jumeau.
« Okazaki ! »
Il écoute les quelques applaudissements imaginaires qui lui dorlotent l'oreille avant de conclure.
« On vient vivre avec vouuus. Enchantés~ ».
Enfin, tout retrouve son ordre. Terminé les nuits de souffrance privé de son oxygène.
#terminé
Just like the stars I can't be without the sky
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