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- InvitéInvité
Akayama
Masashi
Lawson
Shintaro
Casse-Noisette
Quelle plaie d’encore devoir déménager…
Cela faisait maintenant plusieurs mois que Masashi était arrivé à l’université de Kobe où son père l’avait envoyé. Il s’était installé dans une des chambre du dortoir avec un colocataire, tous se passait bien et le jeune homme n’était pas à plaindre. Le sort en avait pourtant décidé autrement, car au bout de quelques mois, son compagnon de chambre était transféré dans une autre université à l’étranger pour ses études. Masashi fut donc changé de chambre pour combler le vide d’une autre chambre. Il achevait enfin son déplacement en ce début d’après midi, vêtu d’un simple gilet, d’un jean grisâtre et d’un débardeur noir, tout le reste était déjà dans la chambre, il avait choisi un samedi après midi afin d’être tranquille avec les cours et de ne pas avoir à courir pour déplacer ses possessions. Toutefois, il appréhendait un peu, après tout il ne savait pas sur qui il allait tomber, et il n’avait pas envie de se retrouver dans une mauvaise ambiance. Il n’arrivait pas à s’imaginer dans une chambre avec une personne super studieuse qui serait sur son dos 24 heures sur 24, cela allait l’agacer très vite.
Le déménagement s’achevait en tous cas aujourd’hui avec son matériel musical: une platine sommaire de petite taille et deux launchpad et un casque, tout ce qu’il fallait au petit DJ en devenir pour élaborer ses sets en toute tranquillité. Il avait tout rangé dans un carton et un grand étui pour la platine, d’ailleurs ça pesait une tonne, vouloir tout prendre d’un coup était une mauvaise idée. Perdu dans ses pensées, l’arrivant venait d’arriver devant la porte de sa nouvelle chambre. Il posa alors ses cartons pour se libérer une de ses main afin de vérifier que le label sur l’anneau de la clé qu’on lui a fournit correspondait bien avec la porte devant laquelle il était planté.
U-12, ouf au moins je suis au bon endroit…
Il glissa la clé dans la serrure et tourna la poignée. Sans vraiment porter attention il se saisit de ses cartons à nouveau et transporta ses dernières affaires à l’intérieur. Bon au moins le plus dur était déjà fait, ses vêtements étaient déjà dans l’armoire, son ordinateur portable trônait fièrement sur le bureau et quelques cartons se faisaient encore désirer, avide d’être enfin vidés et d’achever ce deuxième emménagement. Masashi s’exécuta, commençant par ce qu’il portait en arrivant. Il dégagea ses launchpads de leurs carton et la platine de son étuis, normalement tout rentrait sur le bureau. Après un peu de manutention et d’arrangements de câbles, la station de travail de Masashi était pile poil. Bon, le bureau était certes un peu surchargé, mais le jeune homme régla la question du travail papier en partant du principe que s’il avait besoin de plancher sur un devoir particulier, il n’aurait qu’à bouger son laptop et ça lui laisserai l’espace nécessaire.
Il prit le temps de défaire ses autres cartons, rangeant ses affaires au fur et à mesure. C’était ennuyant au possible, mais comme il craignait son nouveau coloc il voulait faire bonne impression et pas laisser trop de désordre. Il en laissera bien assez plus tard de toute façon. Cela lui avait pris pas mal de temps et on arrivait déjà en fin d’après midi. Un peu fier de lui, le jeune homme essuya son front d’un revers de main, contemplant la chambre, à présent en ordre. Son regard vagabonda jusqu’à se poser sur le bureau où trônait ses petits trésors, ils semblaient presque scintiller dans la lueur ambiante, comme s’ils l’appelaient. En retour, il ne se fit pas prier et s’installa sur son bureau, casque sur les oreilles, et commença à composer quelques arrangements et à jouer au launchpad avec quelques sonorités et quelques basses.
Cela faisait maintenant plusieurs mois que Masashi était arrivé à l’université de Kobe où son père l’avait envoyé. Il s’était installé dans une des chambre du dortoir avec un colocataire, tous se passait bien et le jeune homme n’était pas à plaindre. Le sort en avait pourtant décidé autrement, car au bout de quelques mois, son compagnon de chambre était transféré dans une autre université à l’étranger pour ses études. Masashi fut donc changé de chambre pour combler le vide d’une autre chambre. Il achevait enfin son déplacement en ce début d’après midi, vêtu d’un simple gilet, d’un jean grisâtre et d’un débardeur noir, tout le reste était déjà dans la chambre, il avait choisi un samedi après midi afin d’être tranquille avec les cours et de ne pas avoir à courir pour déplacer ses possessions. Toutefois, il appréhendait un peu, après tout il ne savait pas sur qui il allait tomber, et il n’avait pas envie de se retrouver dans une mauvaise ambiance. Il n’arrivait pas à s’imaginer dans une chambre avec une personne super studieuse qui serait sur son dos 24 heures sur 24, cela allait l’agacer très vite.
Le déménagement s’achevait en tous cas aujourd’hui avec son matériel musical: une platine sommaire de petite taille et deux launchpad et un casque, tout ce qu’il fallait au petit DJ en devenir pour élaborer ses sets en toute tranquillité. Il avait tout rangé dans un carton et un grand étui pour la platine, d’ailleurs ça pesait une tonne, vouloir tout prendre d’un coup était une mauvaise idée. Perdu dans ses pensées, l’arrivant venait d’arriver devant la porte de sa nouvelle chambre. Il posa alors ses cartons pour se libérer une de ses main afin de vérifier que le label sur l’anneau de la clé qu’on lui a fournit correspondait bien avec la porte devant laquelle il était planté.
U-12, ouf au moins je suis au bon endroit…
Il glissa la clé dans la serrure et tourna la poignée. Sans vraiment porter attention il se saisit de ses cartons à nouveau et transporta ses dernières affaires à l’intérieur. Bon au moins le plus dur était déjà fait, ses vêtements étaient déjà dans l’armoire, son ordinateur portable trônait fièrement sur le bureau et quelques cartons se faisaient encore désirer, avide d’être enfin vidés et d’achever ce deuxième emménagement. Masashi s’exécuta, commençant par ce qu’il portait en arrivant. Il dégagea ses launchpads de leurs carton et la platine de son étuis, normalement tout rentrait sur le bureau. Après un peu de manutention et d’arrangements de câbles, la station de travail de Masashi était pile poil. Bon, le bureau était certes un peu surchargé, mais le jeune homme régla la question du travail papier en partant du principe que s’il avait besoin de plancher sur un devoir particulier, il n’aurait qu’à bouger son laptop et ça lui laisserai l’espace nécessaire.
Il prit le temps de défaire ses autres cartons, rangeant ses affaires au fur et à mesure. C’était ennuyant au possible, mais comme il craignait son nouveau coloc il voulait faire bonne impression et pas laisser trop de désordre. Il en laissera bien assez plus tard de toute façon. Cela lui avait pris pas mal de temps et on arrivait déjà en fin d’après midi. Un peu fier de lui, le jeune homme essuya son front d’un revers de main, contemplant la chambre, à présent en ordre. Son regard vagabonda jusqu’à se poser sur le bureau où trônait ses petits trésors, ils semblaient presque scintiller dans la lueur ambiante, comme s’ils l’appelaient. En retour, il ne se fit pas prier et s’installa sur son bureau, casque sur les oreilles, et commença à composer quelques arrangements et à jouer au launchpad avec quelques sonorités et quelques basses.
- HRP:
- Et voilà pour le commencement de cette coloc à la fois géniale et improbable. Hâte de voir où tout cela va nous mener
- Shintaro LawsonA l'université ; 2è année■ Age : 32■ Messages : 739■ Inscrit le : 04/08/2021■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-11
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Je serai bien rentré à Kyoto ce week end, mais c'était sans compter sur Genzo, mon "boss" à Kobe, qui m'a réquisitionné pour l'aider à bosser sur son dernier projet. Un gros évènement à venir en prévision des fêtes de fin d'année du peu qu'il m'en a dit pour le moment. Le problème, c'est qu'il ne revient que dans la soirée. Ce qui veut dire journée de libre. Ça pourrait être cool si je ne savais pas que mon nouveau colloc devait également débarquer cet aprem. Et franchement, je n'ai absolument pas envie d'être présent à ce moment là. Entamer les civilités et avoir l'impression d'être obligé de l'aider à porter des choses sans intérêt auxquelles je n'ai pas envie de prêter la moindre attention, très peu pour moi.
Après avoir déjeuner rapidement à la cantine ce midi, je suis passé récupérer mon ordinateur et mon casque dans la chambre et j'ai directement pris la direction de la salle commune. Il commence à faire bien trop frais pour rester dehors maintenant. Installé sur l'une des tables les plus isolées, je m’attèle au montage de la prochaine video que je voudrais poster. Toutes les prises audio enregistrées, je n'ai plus qu'à assembler le tout correctement à l'aide de certains logiciels.
Et ça a l'énorme avantage de me faire passer le temps sans que je ne m'en rende compte. L'après midi est déjà bien avancée quand mon crâne me fait savoir qu'il serait temps d'envisager une pause. Je remballe mes affaires et ... Bon, bah à un moment je ne peux pas non plus reculer l'échéance éternellement. Je prends mon air le plus décontracté possible quand j'ouvre la porte. Et comme je m'y attendais, un nouvel arrivant est déjà sur place. Fini la tranquillité.
Bon, l'avantage, c'est qu'il est de dos, un casque sur les oreilles. Au moins, je ne suis pas obligé de trouver quoi dire pour entamer une conversation. C'est bien ça. Non mais ce serait dommage de le déranger. En plus, il a l'air très occupé devant un launchpad. Ok, il y a peut-être un peu de matos qui me rend curieux. Ce n'est peut-être pas si mal barré.
Je vais directement de mon côté de la chambre, ne cherchant pas particulièrement à attirer son attention, et dépose mon ordinateur et mon casque sur mon bureau, avant d'attraper mon téléphone.
Après avoir déjeuner rapidement à la cantine ce midi, je suis passé récupérer mon ordinateur et mon casque dans la chambre et j'ai directement pris la direction de la salle commune. Il commence à faire bien trop frais pour rester dehors maintenant. Installé sur l'une des tables les plus isolées, je m’attèle au montage de la prochaine video que je voudrais poster. Toutes les prises audio enregistrées, je n'ai plus qu'à assembler le tout correctement à l'aide de certains logiciels.
Et ça a l'énorme avantage de me faire passer le temps sans que je ne m'en rende compte. L'après midi est déjà bien avancée quand mon crâne me fait savoir qu'il serait temps d'envisager une pause. Je remballe mes affaires et ... Bon, bah à un moment je ne peux pas non plus reculer l'échéance éternellement. Je prends mon air le plus décontracté possible quand j'ouvre la porte. Et comme je m'y attendais, un nouvel arrivant est déjà sur place. Fini la tranquillité.
Bon, l'avantage, c'est qu'il est de dos, un casque sur les oreilles. Au moins, je ne suis pas obligé de trouver quoi dire pour entamer une conversation. C'est bien ça. Non mais ce serait dommage de le déranger. En plus, il a l'air très occupé devant un launchpad. Ok, il y a peut-être un peu de matos qui me rend curieux. Ce n'est peut-être pas si mal barré.
Je vais directement de mon côté de la chambre, ne cherchant pas particulièrement à attirer son attention, et dépose mon ordinateur et mon casque sur mon bureau, avant d'attraper mon téléphone.
Shintaro s'en fout en [#cc6633]
- InvitéInvité
Akayama
Masashi
Lawson
Shintaro
Casse-Noisette
Aaaah l’enfer! J’arrive pas à trouver une harmonie qui me plaît et je m’emmêle les pinceaux sur le launchpad.
Cela fait à présent un peu plus d’une heure que le jeune homme est en train de plancher sur ses morceaux. Il cherche de nouvelles manière d’arranger des sons. Ces derniers temps l’inspiration pour créer de nouvelles musiques se faisait plus rare et il n’arrivait plus à se satisfaire de ce qu’il était capable de produire. La moutarde commence petit à petit à lui monter au nez et ça devenait de plus en plus difficile de travailler dans de bonnes conditions. S’avouant vaincu, Masashi enlève son casque et s’ébouriffe les cheveux en poussant un soupir d’exaspération mêlé d’un grognement d’agacement. Il pose l’accessoire audio sur son support et ensuite il ferme doucement le laptop sur lequel il travaillait. Cela ne sert à rien de s’énerver pour si peu, du coup, autant remettre ça à plus tard et se changer les idées. D’autant plus qu’il n’avait pas encore retravaillé ses cours, et s’il ne s’y met pas rapidement il va encore recevoir un savon de la part du professeur de physique-chimie. Très peu pour lui… Et puis il sera bientôt l’heure de manger et le déménagement fait passer à son corps l’envie de veiller cette nuit. Alors autant s’y mettre maintenant avant de regretter, même si un bon film ou une série serait plus aux goûts du jeune homme.
Ainsi, il pivote sur sa chaise de bureau et quelle ne fut pas sa surprise de voir que son colocataire était rentré, et ce, sans même qu’il ne l’ait entendu. L’apparition soudaine de ce dernier ne rate pas de faire manquer un battement au cœur à Masashi qui prévoyait juste de poursuivre sa routine. Pris d’un sursaut, il dégringole de sa chaise, s’affalant lourdement au sol devant le bureau. Heureusement pour lui, c’est son épaule gauche qui amortit sa chute, et mis à part une articulation endolorie et probablement quelques hématomes, les dommages ne semblent pas très graves. Son égo en revanche aurait pu se passer du crayon qui se mit à rouler à la surface de l’étude, se jetant du haut de son promontoire pour atterrir au sommet du crâne du jeune homme dans un * POC * sonore.
L’orgueil blessé et les esprits retrouvé, le jeune homme se releva non sans quelques bougonnement. Tu parles d’une première impression, se dit-il. Une fois sur pied, il fait une révérence, après tout il serait de bon ton d’enfin se présenter.
L'étudiant de la filière scientifique se voulait le plus sympathique et souriant possible, cherchant à se montrer assez accommodant auprès l'inconnu qui se présentait devant lui. Puisqu'il il allait bien devoir partager le cadre de vie avec lui, alors autant que l'entente soit la plus agréable possible. C’est vrai, après tout, même si Masashi était un peu désordonné dans son quotidien, la plupart du temps cela ne se reflétait que de son côté. Ce n’est pas correct de s’étendre au-delà et le jeune homme s’appliquait à ne pas s’imposer plus que nécessaire. Il n’aime pas qu’on lui prenne la tête donc il fait en sorte de ne pas déranger les autres. Cela lui semble tout naturel. D’entrée de jeu il s’est permis de tutoyer son interlocuteur qui, à vue de nez, semble avoir le même âge que lui. Par Conséquent cela ne semble pas nécessaire pour l’adulescent aux cheveux en pétards de se formaliser plus que ça. En théorie, il n'y a pas de raisons que cela se passe mal. En tous cas, Masashi l'espère de tout cœur.
Cela fait à présent un peu plus d’une heure que le jeune homme est en train de plancher sur ses morceaux. Il cherche de nouvelles manière d’arranger des sons. Ces derniers temps l’inspiration pour créer de nouvelles musiques se faisait plus rare et il n’arrivait plus à se satisfaire de ce qu’il était capable de produire. La moutarde commence petit à petit à lui monter au nez et ça devenait de plus en plus difficile de travailler dans de bonnes conditions. S’avouant vaincu, Masashi enlève son casque et s’ébouriffe les cheveux en poussant un soupir d’exaspération mêlé d’un grognement d’agacement. Il pose l’accessoire audio sur son support et ensuite il ferme doucement le laptop sur lequel il travaillait. Cela ne sert à rien de s’énerver pour si peu, du coup, autant remettre ça à plus tard et se changer les idées. D’autant plus qu’il n’avait pas encore retravaillé ses cours, et s’il ne s’y met pas rapidement il va encore recevoir un savon de la part du professeur de physique-chimie. Très peu pour lui… Et puis il sera bientôt l’heure de manger et le déménagement fait passer à son corps l’envie de veiller cette nuit. Alors autant s’y mettre maintenant avant de regretter, même si un bon film ou une série serait plus aux goûts du jeune homme.
Ainsi, il pivote sur sa chaise de bureau et quelle ne fut pas sa surprise de voir que son colocataire était rentré, et ce, sans même qu’il ne l’ait entendu. L’apparition soudaine de ce dernier ne rate pas de faire manquer un battement au cœur à Masashi qui prévoyait juste de poursuivre sa routine. Pris d’un sursaut, il dégringole de sa chaise, s’affalant lourdement au sol devant le bureau. Heureusement pour lui, c’est son épaule gauche qui amortit sa chute, et mis à part une articulation endolorie et probablement quelques hématomes, les dommages ne semblent pas très graves. Son égo en revanche aurait pu se passer du crayon qui se mit à rouler à la surface de l’étude, se jetant du haut de son promontoire pour atterrir au sommet du crâne du jeune homme dans un * POC * sonore.
Aie
L’orgueil blessé et les esprits retrouvé, le jeune homme se releva non sans quelques bougonnement. Tu parles d’une première impression, se dit-il. Une fois sur pied, il fait une révérence, après tout il serait de bon ton d’enfin se présenter.
Excuse moi j’étais plongé dans ma musique et avec le casques je t’ai pas entendu rentrer. Je me présente je m’appelle Masashi Akayama et je suppose que nous serons colocataire à partir de maintenant. J’espère qu’on va bien s’entendre, si jamais il y a quoi que ce soit qui t’embête tu peux me le dire, généralement je suis pas trop prise de tête comme gars.
L'étudiant de la filière scientifique se voulait le plus sympathique et souriant possible, cherchant à se montrer assez accommodant auprès l'inconnu qui se présentait devant lui. Puisqu'il il allait bien devoir partager le cadre de vie avec lui, alors autant que l'entente soit la plus agréable possible. C’est vrai, après tout, même si Masashi était un peu désordonné dans son quotidien, la plupart du temps cela ne se reflétait que de son côté. Ce n’est pas correct de s’étendre au-delà et le jeune homme s’appliquait à ne pas s’imposer plus que nécessaire. Il n’aime pas qu’on lui prenne la tête donc il fait en sorte de ne pas déranger les autres. Cela lui semble tout naturel. D’entrée de jeu il s’est permis de tutoyer son interlocuteur qui, à vue de nez, semble avoir le même âge que lui. Par Conséquent cela ne semble pas nécessaire pour l’adulescent aux cheveux en pétards de se formaliser plus que ça. En théorie, il n'y a pas de raisons que cela se passe mal. En tous cas, Masashi l'espère de tout cœur.
Enfin voilà, ravi de faire ta connaissance. Comment est ce que tu t’appelles du coup ?
- Shintaro LawsonA l'université ; 2è année■ Age : 32■ Messages : 739■ Inscrit le : 04/08/2021■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-11
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Très occupé à répondre au dernier message envoyé par le plus jeune de mes frères, ce n'est qu'en entendant le brouahah qui se produit à côté que je tourne la tête vers mon nouveau colloc, juste à temps pour le voir finir par terre dans une posture qui ne doit pas être des plus agréables. Qu'est-ce qu'il a foutu ? Ne m'attendant clairement pas à ce qui vient de se passer, sorti trop rapidement de mes pensées, je reste sur place, immobile, quelques secondes. Un crayon se charge d'ailleurs de poursuivre un peu plus longtemps l'action en cours, me laissant le temps de bien intégrer ce qui vient de se passer.
- "Heu..."
Ok, je ne sais clairement pas quoi dire. Ce n'est pas comme si ce genre de situation se produisait tous les jours non plus. Tu vas bien ? Oui, c'est sûrement ce qui aurait dû sortir spontanément, mais le temps que j'en arrive à cette conclusion, l'autre engage la conversation... Enfin, en commençant par s'excuser. Et pourquoi je devrais l'excuser ? C'est lui qui vient de se casser la figure !!
En réalisant que tout ça est totalement absurde, je me lève finalement, repose mon téléphone et m'approche de celui qui se présente comme Masashi Akayama. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que lui n'a pas trop de soucis pour ce qui est de parler. Ça va clairement me changer de mon ancien colloc. Est-ce que c'est une mauvaise chose ? Aucune idée, on verra bien.
- "Je... Hm, Shintaro Lawson et, ouais, on va être collocs."
Super, bravo captain obvious. Bon, là je commence à franchement ne pas être super à l'aise. Comment est-ce qu'il peut afficher une mine aussi réjouie alors qu'il vient de se vautrer ? Je secoue légèrement la tête, comme si ça pouvait m'aider à remettre un peu d'ordre dans tout ce chaos.
- "Ça va ? J'veux dire, tu t'es pas fait trop mal ?"
Oui, voilà, c'est beaucoup mieux comme ça.
- "Heu..."
Ok, je ne sais clairement pas quoi dire. Ce n'est pas comme si ce genre de situation se produisait tous les jours non plus. Tu vas bien ? Oui, c'est sûrement ce qui aurait dû sortir spontanément, mais le temps que j'en arrive à cette conclusion, l'autre engage la conversation... Enfin, en commençant par s'excuser. Et pourquoi je devrais l'excuser ? C'est lui qui vient de se casser la figure !!
En réalisant que tout ça est totalement absurde, je me lève finalement, repose mon téléphone et m'approche de celui qui se présente comme Masashi Akayama. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que lui n'a pas trop de soucis pour ce qui est de parler. Ça va clairement me changer de mon ancien colloc. Est-ce que c'est une mauvaise chose ? Aucune idée, on verra bien.
- "Je... Hm, Shintaro Lawson et, ouais, on va être collocs."
Super, bravo captain obvious. Bon, là je commence à franchement ne pas être super à l'aise. Comment est-ce qu'il peut afficher une mine aussi réjouie alors qu'il vient de se vautrer ? Je secoue légèrement la tête, comme si ça pouvait m'aider à remettre un peu d'ordre dans tout ce chaos.
- "Ça va ? J'veux dire, tu t'es pas fait trop mal ?"
Oui, voilà, c'est beaucoup mieux comme ça.
Shintaro s'en fout en [#cc6633]
- InvitéInvité
Akayama
Masashi
Lawson
Shintaro
Casse-Noisette
A l’extérieur, le soleil est déjà sur le déclin et l’obscurité commence doucement à s’installer alors que les dernières volutes orangées zèbrent le ciel de l’ouest. Dans le dortoir, la situation ne perd rien de son ridicule, un nouvel arrivant par terre et un colocataire perplexe face à ce numéro. Une chose est sûre, c’est que la fierté de Masashi a subi plus de dommages que le corps du garçon. Il se permet même de faire quelques rotation avec son épaule afin de réveiller un peu son articulation endolorie. Pendant ce temps, l’inconnu se présente en retour et le nom du colocataire se révèle enfin.
Bien sûr, la préoccupation première du jeune homme aux cheveux de neige est de savoir si l’énergumène maladroit qui vient de se ramasser devant lui ne s’est pas blessé. Ainsi après s’être brièvement introduit, il s’enquiert de l’état de son compagnon de chambre.
Masashi arrête de gigoter son bras et se relaxe un petit peu. La rencontre est un peu bizarre mais ça aurait pu être pire. Shintaro à pas l’air d’être très causant mais au moins la glace est brisée, ce qui est un bon début.
Le jeune musicien est un peu gêné par son introduction et l’austérité de son interlocuteur l’intimide quelque peu.
Lawson ? Ce n’est pas un nom japonais, plutôt anglais... Trop cool !
Bien sûr, la préoccupation première du jeune homme aux cheveux de neige est de savoir si l’énergumène maladroit qui vient de se ramasser devant lui ne s’est pas blessé. Ainsi après s’être brièvement introduit, il s’enquiert de l’état de son compagnon de chambre.
Enchanté Lawson-san! Merci pour ta sollicitude, mais ça à l’air d’aller. Mon épaule me fait un peu mal, rien de grave cependant, je crois.
Masashi arrête de gigoter son bras et se relaxe un petit peu. La rencontre est un peu bizarre mais ça aurait pu être pire. Shintaro à pas l’air d’être très causant mais au moins la glace est brisée, ce qui est un bon début.
Mais ouais je t’ai pas entendu rentrer et du coup et après avoir bien taffé j’ai voulu faire une pause. Résultat, je me suis retourné, et comme je m’attendais à voir quelqu’un d’autre apparaître de nul part dans la chambre, bah ça m’a surpris. Pas super comme première impression, je dois avoir l’air fin, haha…
Le jeune musicien est un peu gêné par son introduction et l’austérité de son interlocuteur l’intimide quelque peu.
- Shintaro LawsonA l'université ; 2è année■ Age : 32■ Messages : 739■ Inscrit le : 04/08/2021■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-11
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Je hoche légère la tête quand il me dit ne pas s'être fait si mal. Je ne sais pas bien si je peux vraiment le croire, mais j'imagine que si ça avait été grave, il ne ferait pas cette tronche là en ce moment. On va dire que ça me suffit pour le moment. Ça aurait été assez embêtant de devoir l'amener à l'infirmerie. Un peu plus relaxé, je vais pour me rassoir sur ma chaise, quand mon colloc commence à m'expliquer tout ce qui s'est passé en détails. Ok, j'aurais peut-être pu m'en passer de ça. Mais je n'ai pas spécialement envie d'imposer une ambiance pourrie avec une réponse un peu trop acerbe, alors je le laisse poursuivre sans rien dire.
- "Bof, non, c'est normal. T'étais concentré, t'avais mieux à faire que de surveiller ce qui se passe autour, je comprends."
Peut-être que de là à en tomber à la renverse ça fait beaucoup, mais je suis assez bien placé pour savoir que la fatigue peut faire faire des choses non enviables. D'ailleurs, c'est davantage sa façon de parler de travail qui m'intrigue que tout le reste. J'ai bien vu qu'il a l'air de maîtriser, mais avec le casque, je n'ai évidemment aucune idée du rendu qu'il peut avoir.
- "Qu'est-ce que tu faisais exactement là dessus ?"
Un léger signe de tête en direction de ce qu'il a reposé avant de se casser la figure pour indiquer de quoi je parle, je pense que c'est encore la meilleure manière d'avoir l'air un minimum sociable. Parce que c'est sûrement l'un des seuls sujets de conversation qui peut m'intéresser dans l'immédiat.
- "Bof, non, c'est normal. T'étais concentré, t'avais mieux à faire que de surveiller ce qui se passe autour, je comprends."
Peut-être que de là à en tomber à la renverse ça fait beaucoup, mais je suis assez bien placé pour savoir que la fatigue peut faire faire des choses non enviables. D'ailleurs, c'est davantage sa façon de parler de travail qui m'intrigue que tout le reste. J'ai bien vu qu'il a l'air de maîtriser, mais avec le casque, je n'ai évidemment aucune idée du rendu qu'il peut avoir.
- "Qu'est-ce que tu faisais exactement là dessus ?"
Un léger signe de tête en direction de ce qu'il a reposé avant de se casser la figure pour indiquer de quoi je parle, je pense que c'est encore la meilleure manière d'avoir l'air un minimum sociable. Parce que c'est sûrement l'un des seuls sujets de conversation qui peut m'intéresser dans l'immédiat.
Shintaro s'en fout en [#cc6633]
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