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- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 594■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Jamais deux sans trois
Ft. Leonardo Gallagher Dimanche 30 avril 2017
▬ Ça va, t'as bientôt fini de te trouver des excuses ?
Froide. Tranchante. Sans la moindre compassion. Une colère clairement exprimée malgré une voix qui se veut discrète. Vu l'heure, et vu le lieu, elle ne pouvait pas se permettre de trop hausser la voix, de perdre son calme, au risque de partager une frustration qui ne regarde qu'elle et sa mère. Pourquoi a-t-il fallu que la soirée vire de la sorte ? Un bon 180°... La journée avait pourtant bien commencé. Le réveil était étonnement calme malgré la présence de Riku dans la chambre et les visites de la journée, bien que légèrement fatiguantes, avaient permis à la brune de se changer idées. Sa participation à ce voyage en lui-même était prévue à cet effet ; il fallait qu'elle s'occupe, passe du temps avec ses amis, pour oublier sa frustration. Mais quand Elizabeth vit le numéro de sa mère s'afficher sur son portable, alors qu'elle s'était isolée dans un coin de l'hôtel afin de laisser sa colocataire vaguer à ses occupations tout en faisant de même, son visage s'est décomposé. Et c'est avec une grande difficulté qu'elle a finit par décrocher. Dire que c'était la partie la plus facile... Car la vraie difficulté, à savoir garder son calme, elle n'a pas su la surmonter...
▬ Écoute, je n'ai aucune envie de te parler, tu comprends ça ?! Je veux juste que tu me laisses tranquille. Va te plaindre auprès de ton amant, vous passez assez de temps ensemble, non ?
Mépris. Une nouvelle qu'elle n'a toujours pas digéré venant de cette mère qui l'a complètement délaissée, tout comme son père, pour un homme qu'elle ne peut même pas voir en peinture.
▬ Ouais, c'est ça.
Elle raccroche, soupire, pour ensuite retourner aussitôt à ses occupations. La création d'une petite peluche en tricot. Encore faut-il qu'elle se décide sur la forme finale...
Froide. Tranchante. Sans la moindre compassion. Une colère clairement exprimée malgré une voix qui se veut discrète. Vu l'heure, et vu le lieu, elle ne pouvait pas se permettre de trop hausser la voix, de perdre son calme, au risque de partager une frustration qui ne regarde qu'elle et sa mère. Pourquoi a-t-il fallu que la soirée vire de la sorte ? Un bon 180°... La journée avait pourtant bien commencé. Le réveil était étonnement calme malgré la présence de Riku dans la chambre et les visites de la journée, bien que légèrement fatiguantes, avaient permis à la brune de se changer idées. Sa participation à ce voyage en lui-même était prévue à cet effet ; il fallait qu'elle s'occupe, passe du temps avec ses amis, pour oublier sa frustration. Mais quand Elizabeth vit le numéro de sa mère s'afficher sur son portable, alors qu'elle s'était isolée dans un coin de l'hôtel afin de laisser sa colocataire vaguer à ses occupations tout en faisant de même, son visage s'est décomposé. Et c'est avec une grande difficulté qu'elle a finit par décrocher. Dire que c'était la partie la plus facile... Car la vraie difficulté, à savoir garder son calme, elle n'a pas su la surmonter...
▬ Écoute, je n'ai aucune envie de te parler, tu comprends ça ?! Je veux juste que tu me laisses tranquille. Va te plaindre auprès de ton amant, vous passez assez de temps ensemble, non ?
Mépris. Une nouvelle qu'elle n'a toujours pas digéré venant de cette mère qui l'a complètement délaissée, tout comme son père, pour un homme qu'elle ne peut même pas voir en peinture.
▬ Ouais, c'est ça.
Elle raccroche, soupire, pour ensuite retourner aussitôt à ses occupations. La création d'une petite peluche en tricot. Encore faut-il qu'elle se décide sur la forme finale...
Japonais en F79D6C - Anglais en A75502 - Français en ff9999
- InvitéInvité
Elizabeth Jones
Jamais deux sans troisHôtel, dimanche 30 avril 2017
J’avais méga, méga envie d’une ramune litchi.
D’habitude, j’aime pas trop ça parce que c’est trois fois trop sucré et que je dois boire de l’eau mais là, j’suis super mou et je pense qu’un peu de sucre me ferait pas de mal. Et en plus, j’ai envie de cette ramune. Du coup, j’ai chopé ma veste, et je suis allé faire un tour rapide dehors histoire de m’en acheter une. Et quand je reviens, je passe pas loin d’un des coins canapés isolés de l’hôtel.
D’où une voix me parvient. Une voix que je reconnais, sans trop savoir de qui il s’agit. Alors comme l’idiot un peu trop curieux que je suis, je m’avance un peu plus et je vois que c’est Elizabeth. Et évidemment, j’entends des trucs que je ne devrais pas entendre. Maintenant, je m’en veux. Et j’ai pas envie de mentir à qui que ce soit. Ce serait stupide de faire comme si je n’avais rien entendu, et encore plus suspect. Par contre, inutile de mentionner le fait que j’étais là exprès. Du coup, j’attends qu’elle raccroche et je m’avance pour poser mes mains sur ses épaules d’un coup.
« BOO ! »
J’ai peut-être sept ans et demi mais tant pis. La discussion avait pas l’air super joyeuse et je suis un changeur d’idées professionnel. Pas forcément un super psy’ ou quoi, en revanche. Les conseils sont pas vraiment mon fort, pour être honnête. Alors je me marre un peu et je viens m’appuyer sur la table en face d’elle, croisant les bras et les jambes.
« Dure soirée ? »
Faut bien commencer quelque-part.
D’habitude, j’aime pas trop ça parce que c’est trois fois trop sucré et que je dois boire de l’eau mais là, j’suis super mou et je pense qu’un peu de sucre me ferait pas de mal. Et en plus, j’ai envie de cette ramune. Du coup, j’ai chopé ma veste, et je suis allé faire un tour rapide dehors histoire de m’en acheter une. Et quand je reviens, je passe pas loin d’un des coins canapés isolés de l’hôtel.
D’où une voix me parvient. Une voix que je reconnais, sans trop savoir de qui il s’agit. Alors comme l’idiot un peu trop curieux que je suis, je m’avance un peu plus et je vois que c’est Elizabeth. Et évidemment, j’entends des trucs que je ne devrais pas entendre. Maintenant, je m’en veux. Et j’ai pas envie de mentir à qui que ce soit. Ce serait stupide de faire comme si je n’avais rien entendu, et encore plus suspect. Par contre, inutile de mentionner le fait que j’étais là exprès. Du coup, j’attends qu’elle raccroche et je m’avance pour poser mes mains sur ses épaules d’un coup.
« BOO ! »
J’ai peut-être sept ans et demi mais tant pis. La discussion avait pas l’air super joyeuse et je suis un changeur d’idées professionnel. Pas forcément un super psy’ ou quoi, en revanche. Les conseils sont pas vraiment mon fort, pour être honnête. Alors je me marre un peu et je viens m’appuyer sur la table en face d’elle, croisant les bras et les jambes.
« Dure soirée ? »
Faut bien commencer quelque-part.
- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 594■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Jamais deux sans trois
Ft. Leonardo Gallagher Dimanche 30 avril 2017
Elle ne sait pas trop si elle a envie de rire ou de pleurer de la situation. Pour une femme qui lui a toujours répété qu'il fallait assumer ses actes et être honnête avec ses proches, la mère de famille s'est montrée bien hypocrite. Durant bien trop longtemps, par-dessus le marché. Sans doute est-ce là la base de toute la rancœur de la brune ; si elle s'était contentée d'être franche depuis le début, Elizabeth ne lui en aurait pas autant voulu. Et si elle avait divorcé avant d'aller jouer avec cet autre homme, elle ne lui en aurait pas voulu du tout. Ou quasiment pas. Mais l'irréparable a été fait et le coup est dur pour une fille qui a toujours vu en ses parents le couple idéal, capable de surmonter tous les obstacles.
Plongée dans ses pensées, reprenant peu à peu son calme, la brune ne remarque pas la petite fouine qui se rapproche d'elle, sursautant littéralement lorsque deux mains tombent sur ses épaules... Et qu'une voix qu'elle ne peut que reconnaître s'élève pour appuyer l'effet de surprise. Oui, si elle n'a pas la meilleure de toutes les mémoires - ou disons plutôt qu'elle est assez sélective - elle n'a aucun mal à reconnaître son entourage grâce à ce genre de chose. Enfin, si on peut dire que Leo fait parti de son entourage. C'est assez complexe quand ça le concerne.
▬ Dis-moi, tu me dénonceras si tu te retrouves avec un œil au beurre noir ?!
Le cœur encore en arrêt, Elizabeth souffle un grand coup tout en prononçant ces mots. Ses yeux ambrés suivent le jeune homme du regard avant de descendre sur son portable. Un instant d'hésitation.
▬ Je ne saurais pas dire. Pas encore en tout cas.
Soupire.
Elle lève de nouveau les yeux. Comment ça "dure soirée" ? S'il y a bien une chose que la jeune femme a appris à faire, grâce à sa mère, c'est à repérer un maximum de petits sous-entendus dans les paroles de ses interlocuteurs. Et à en juger par cette question, soit Leo est là depuis au moins quelques secondes, soit la brune est une piètre actrice. Enfin non, elle joue bien la comédie quand il le faut - c'est à dire rarement - mais là, elle n'avait pas de raison de faire semblant d'aller bien vu qu'elle se pensait seule.
▬ T'es là depuis longtemps ?
Une question qui relève plus de la curiosité que du reproche. Si elle avait quelque chose à lui reprocher... En vrai, elle s'en fiche.
▬ Si tu débarques à chaque fois qu'il m'arrive un sale truc, je vais commencer à croire que tu es mon ange gardien.
Elle sourit doucement, une pointe d'excuses lisible sur son visage. Un sourire avec un sous-entendu bien clair : "et moi ton aimant à problèmes. Désolée, je t'embête encore".
▬ Rassure-moi que je sais encore lire l'heure ; ce n'est pas déjà l'heure de ta ronde ?! Qu'est-ce qui t'amène ici ? Tu t'ennuies ?
Plongée dans ses pensées, reprenant peu à peu son calme, la brune ne remarque pas la petite fouine qui se rapproche d'elle, sursautant littéralement lorsque deux mains tombent sur ses épaules... Et qu'une voix qu'elle ne peut que reconnaître s'élève pour appuyer l'effet de surprise. Oui, si elle n'a pas la meilleure de toutes les mémoires - ou disons plutôt qu'elle est assez sélective - elle n'a aucun mal à reconnaître son entourage grâce à ce genre de chose. Enfin, si on peut dire que Leo fait parti de son entourage. C'est assez complexe quand ça le concerne.
▬ Dis-moi, tu me dénonceras si tu te retrouves avec un œil au beurre noir ?!
Le cœur encore en arrêt, Elizabeth souffle un grand coup tout en prononçant ces mots. Ses yeux ambrés suivent le jeune homme du regard avant de descendre sur son portable. Un instant d'hésitation.
▬ Je ne saurais pas dire. Pas encore en tout cas.
Soupire.
Elle lève de nouveau les yeux. Comment ça "dure soirée" ? S'il y a bien une chose que la jeune femme a appris à faire, grâce à sa mère, c'est à repérer un maximum de petits sous-entendus dans les paroles de ses interlocuteurs. Et à en juger par cette question, soit Leo est là depuis au moins quelques secondes, soit la brune est une piètre actrice. Enfin non, elle joue bien la comédie quand il le faut - c'est à dire rarement - mais là, elle n'avait pas de raison de faire semblant d'aller bien vu qu'elle se pensait seule.
▬ T'es là depuis longtemps ?
Une question qui relève plus de la curiosité que du reproche. Si elle avait quelque chose à lui reprocher... En vrai, elle s'en fiche.
▬ Si tu débarques à chaque fois qu'il m'arrive un sale truc, je vais commencer à croire que tu es mon ange gardien.
Elle sourit doucement, une pointe d'excuses lisible sur son visage. Un sourire avec un sous-entendu bien clair : "et moi ton aimant à problèmes. Désolée, je t'embête encore".
▬ Rassure-moi que je sais encore lire l'heure ; ce n'est pas déjà l'heure de ta ronde ?! Qu'est-ce qui t'amène ici ? Tu t'ennuies ?
Japonais en F79D6C - Anglais en A75502 - Français en ff9999
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