- Pablo K. MoraElève ; en 3ème année■ Age : 30■ Messages : 445■ Inscrit le : 25/02/2021■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 18 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-1
❖ Arrivé(e) en : Fin Novembre 2016
Ce qui ne t’appartient pas ne peut te causer qu’embarras
Samedi 1er septembre, vers 10 heures
L’atmosphère confiné et le ronronnement des machines rendait la laverie assez monotone de manière général, mais c’est ce que je trouvais justement de bien dans ce cadre pour laisser tourbillonner mes pensées, avant de les coucher sur le papier. Voilà ce qu’était le passage à la laverie à mes yeux, un de mes moments de calme et de retrouvailles avec moi-même. Un moyen facile de sortir mon journal discrètement, puisque les gens restent rarement regarder leur linge tourner derrière le hublot.
Le poids des derniers examens, la pression qui retombait petit à petit, cette sortie tous ensemble à la plage avec l’autre là, le premier rencard avec Emma et le changement dans notre relation, le retour chez les vieux… Autant de choses que j’avais à noter aujourd’hui dans mon carnet. Ça fait un mois que je « plane » sur mon petit nuage, que je rêvasse et laisse mes penser filer vers la jolie brunette qui a partage mes sentiments, et faut dire qu’entre ça, les rattrapages, et les sorties avec les copains… J’avais mieux à faire qu’écrire dans mon journal. Mais la rentrée approche, et un petit récapitulatif de l’été ne fait pas de mal.
Assis sur l’un des bancs, une jambe allongée et l’autre repliée sous mes fesses, je griffonne dans mon journal, détaille certains ressentis, note quelques rimes avant de les oublier quand ça me passe par la tête... Et alors que je m’enfonce dans mes pensées et dans ma rédaction, la porte de la laverie s’ouvre, me faisant relever la tête aussitôt.
Venant briser ma solitude, la silhouette d’un étudiant se dessine dans l’encadrure de la porte. Quand mon regard croise le sien, je le suis du regard jusqu’à ce qu’il me dépasse avec ses fringues sales. Je referme alors aussitôt mon journal, essaie de le coincer discrètement mais rapidement entre deux machines à laver derrière le banc, puis me relève l’air de rien pour lui faire face.
Eh bien, eh bien, eh bien, si ce n'est pas le super petit-ami parfait que voilà.
J’hausse un sourcil en le détaillant du regard et lui dit avec un rictus :
J’pensais pas que t’étais du genre à laver ton linge sale en public, j’te voyais plus cachottier que ça, bizarrement.
L’atmosphère confiné et le ronronnement des machines rendait la laverie assez monotone de manière général, mais c’est ce que je trouvais justement de bien dans ce cadre pour laisser tourbillonner mes pensées, avant de les coucher sur le papier. Voilà ce qu’était le passage à la laverie à mes yeux, un de mes moments de calme et de retrouvailles avec moi-même. Un moyen facile de sortir mon journal discrètement, puisque les gens restent rarement regarder leur linge tourner derrière le hublot.
Le poids des derniers examens, la pression qui retombait petit à petit, cette sortie tous ensemble à la plage avec l’autre là, le premier rencard avec Emma et le changement dans notre relation, le retour chez les vieux… Autant de choses que j’avais à noter aujourd’hui dans mon carnet. Ça fait un mois que je « plane » sur mon petit nuage, que je rêvasse et laisse mes penser filer vers la jolie brunette qui a partage mes sentiments, et faut dire qu’entre ça, les rattrapages, et les sorties avec les copains… J’avais mieux à faire qu’écrire dans mon journal. Mais la rentrée approche, et un petit récapitulatif de l’été ne fait pas de mal.
Assis sur l’un des bancs, une jambe allongée et l’autre repliée sous mes fesses, je griffonne dans mon journal, détaille certains ressentis, note quelques rimes avant de les oublier quand ça me passe par la tête... Et alors que je m’enfonce dans mes pensées et dans ma rédaction, la porte de la laverie s’ouvre, me faisant relever la tête aussitôt.
Venant briser ma solitude, la silhouette d’un étudiant se dessine dans l’encadrure de la porte. Quand mon regard croise le sien, je le suis du regard jusqu’à ce qu’il me dépasse avec ses fringues sales. Je referme alors aussitôt mon journal, essaie de le coincer discrètement mais rapidement entre deux machines à laver derrière le banc, puis me relève l’air de rien pour lui faire face.
Eh bien, eh bien, eh bien, si ce n'est pas le super petit-ami parfait que voilà.
J’hausse un sourcil en le détaillant du regard et lui dit avec un rictus :
J’pensais pas que t’étais du genre à laver ton linge sale en public, j’te voyais plus cachottier que ça, bizarrement.
- Tenue de Pablo:
Made by Meuh
Pablo te rentre dedans en #cc0000
Time will only make it worse but was it all well deserved ?
So small in a massive universe, I'll find my place when I stop living with this curse
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