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- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 269■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
J’avoue que je ne comprenais pas tout, il était presque 16h ce samedi quand je me fis rattraper par un ami… non plutôt camarade de classe, on parlait souvent mais pas non plus extrêmement bien. En revanche, je lui devais un service car il m’avait passé ses cours une fois pour que je puisse rattraper après une bonne angine qui m’avait cloué au lit, comme chaque année à la même époque en octobre.
Bref, visiblement, il était temps pour moi de payer l’addition et j’étais jouasse ! J’avais qu’une envie, aller faire un peu de baseball mais il en avait décidé autrement. D’abord, on était passé par le dortoir pour que je prenne mes affaires de piscine… Ok … Je ne comprenais pas tout mais il me certifia que toute la révélation arriverait une fois sur place.
Après avoir enfilé un short de bain et rejoint mon pote dans l’eau, je profitais d’ailleurs de ce moment de fraîcheur avant que le corps ne s’habitue à la température de l’eau… Un bonheur quand ce n’est pas ce qu’on voulait faire à la base ! Mais bon, je gardais le sourire et écoutais mon pote qui m’indiquait une jeune femme plus loin, assise sur le rebord de la piscine et parlant avec d’autres filles. Aie… je crois saisir.
- Tu vois la nageuse assise là-bas, elle s’appelle Elizabeth et ça fait un moment que je voudrais l’aborder… Elle me plaît ! Mais je n’y arrive pas. Je sais que toi, tu as aucun mal avec ça, tu ne veux pas essayer de m’arranger le coup ?
J’observais la jeune femme par à-coups pour ne pas qu’elle nous remarque, mais j’avais la sensation que c’était déjà trop tard pour ça. Si ce n’était pas elle, c’était une du groupe. Enfin, quoi qu’il en soit, c’était une femme plutôt belle de visage et le maillot de bain permettait malgré tout d’en voir bien assez pour comprendre une chose, beaucoup trop de qualités déjà sur le physique… je ne voyais pas du tout mon camarade de classe avec elle. Ce type était ambitieux mais là…
- Tu n’as aucune chance ! Laisse tomber ! De rien ! Au revoir !
Je sortis de l’eau après avoir rendu mon verdict mais il insista malgré tout pour que je tente le diable. Pff, une chose est sûre, je ne lui demanderai plus jamais les cours ou même me retrouverai dans la position de lui rendre un service. Je hochais la tête après un soupir suivi d’un sourire forcé. Autant bâcler cette histoire une bonne fois pour toutes ! Après avoir nettoyé rapidement mes lunettes de sports. Oui les vraies étant dans le casier, j’avais pris celles que j’utilisais pour le baseball, elles servaient aussi pour nager heureusement. Je m’approchais de la jeune femme, non il n’y a pas à dire… même de dos, faut qu'il laisse tomber l'autre ! Cette fille est forcément déjà prise ! Pas mon type cela dit… Pourquoi je pense à du vert d’un coup ! Ce n’est pas le moment !
- Eh salut, excuse-moi de t’embêter ! Je peux te parler seul à seul ? Promis, ce n’est pas pour un truc chelou !
L’une des filles du groupe m’apostropha en me disant de la laisser tranquille. Évidemment, ça devait arriver même si l’une des autres filles me dévorait un peu du regard. Mais je n’y prêtais pas attention, la drague tout ça, ça ne me disait rien pour le moment. Bon, c’est sûr que torse nu, ça faisait moins binoclard premier de la classe de scientifique en apparence, ce n’était pas compliqué de deviner que j’étais en sport. J’ajoutais sur un ton amusé.
- Bon d’accord, dans ce cas, ce sera en public. Autant en finir de suite et je ne veux pas de jalouse ou d’histoire, ce n’est pas pour moi, je précise ! Dis-moi tu es célibataire ? Elizabeth… C’est ça ?
Je n’avais réalisé que quelques jours plus tard qu’une telle approche pouvait être sujette à questionnement. Mais sur le moment, je voulais qu’elle me dise un bon « Non », que je retourne voir mon pote, que je tire « le pansement d’un coup sec » comme on dit et retourner à ma vie habituelle. En soi, c’est moi qui me taperais la honte pour lui, mais franchement, j’en rigolerais plus qu’autre chose !
Bref, visiblement, il était temps pour moi de payer l’addition et j’étais jouasse ! J’avais qu’une envie, aller faire un peu de baseball mais il en avait décidé autrement. D’abord, on était passé par le dortoir pour que je prenne mes affaires de piscine… Ok … Je ne comprenais pas tout mais il me certifia que toute la révélation arriverait une fois sur place.
Après avoir enfilé un short de bain et rejoint mon pote dans l’eau, je profitais d’ailleurs de ce moment de fraîcheur avant que le corps ne s’habitue à la température de l’eau… Un bonheur quand ce n’est pas ce qu’on voulait faire à la base ! Mais bon, je gardais le sourire et écoutais mon pote qui m’indiquait une jeune femme plus loin, assise sur le rebord de la piscine et parlant avec d’autres filles. Aie… je crois saisir.
- Tu vois la nageuse assise là-bas, elle s’appelle Elizabeth et ça fait un moment que je voudrais l’aborder… Elle me plaît ! Mais je n’y arrive pas. Je sais que toi, tu as aucun mal avec ça, tu ne veux pas essayer de m’arranger le coup ?
J’observais la jeune femme par à-coups pour ne pas qu’elle nous remarque, mais j’avais la sensation que c’était déjà trop tard pour ça. Si ce n’était pas elle, c’était une du groupe. Enfin, quoi qu’il en soit, c’était une femme plutôt belle de visage et le maillot de bain permettait malgré tout d’en voir bien assez pour comprendre une chose, beaucoup trop de qualités déjà sur le physique… je ne voyais pas du tout mon camarade de classe avec elle. Ce type était ambitieux mais là…
- Tu n’as aucune chance ! Laisse tomber ! De rien ! Au revoir !
Je sortis de l’eau après avoir rendu mon verdict mais il insista malgré tout pour que je tente le diable. Pff, une chose est sûre, je ne lui demanderai plus jamais les cours ou même me retrouverai dans la position de lui rendre un service. Je hochais la tête après un soupir suivi d’un sourire forcé. Autant bâcler cette histoire une bonne fois pour toutes ! Après avoir nettoyé rapidement mes lunettes de sports. Oui les vraies étant dans le casier, j’avais pris celles que j’utilisais pour le baseball, elles servaient aussi pour nager heureusement. Je m’approchais de la jeune femme, non il n’y a pas à dire… même de dos, faut qu'il laisse tomber l'autre ! Cette fille est forcément déjà prise ! Pas mon type cela dit… Pourquoi je pense à du vert d’un coup ! Ce n’est pas le moment !
- Eh salut, excuse-moi de t’embêter ! Je peux te parler seul à seul ? Promis, ce n’est pas pour un truc chelou !
L’une des filles du groupe m’apostropha en me disant de la laisser tranquille. Évidemment, ça devait arriver même si l’une des autres filles me dévorait un peu du regard. Mais je n’y prêtais pas attention, la drague tout ça, ça ne me disait rien pour le moment. Bon, c’est sûr que torse nu, ça faisait moins binoclard premier de la classe de scientifique en apparence, ce n’était pas compliqué de deviner que j’étais en sport. J’ajoutais sur un ton amusé.
- Bon d’accord, dans ce cas, ce sera en public. Autant en finir de suite et je ne veux pas de jalouse ou d’histoire, ce n’est pas pour moi, je précise ! Dis-moi tu es célibataire ? Elizabeth… C’est ça ?
Je n’avais réalisé que quelques jours plus tard qu’une telle approche pouvait être sujette à questionnement. Mais sur le moment, je voulais qu’elle me dise un bon « Non », que je retourne voir mon pote, que je tire « le pansement d’un coup sec » comme on dit et retourner à ma vie habituelle. En soi, c’est moi qui me taperais la honte pour lui, mais franchement, j’en rigolerais plus qu’autre chose !
- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 594■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ft. Junichi Yasuhisa
Tu aimes être ici. D'aussi loin que tu t'en souviennes, tu as toujours été entourée d'eau. Ça fait partie de ta vie. Tu t'y sens bien, apaisée, loin de tous les problèmes du monde. Loin de tes problèmes, si futiles comparés à ceux de certains et qui, pourtant, guident un peu trop tes pas. Cet été te l'a bien prouvé, une fois de plus. Si tu n'avais pas été aussi bien entourée, le manque aurait certainement eu raison de toi. Les vieilles habitudes ont la vie dure à ce qu'il paraît ; tu estimes que c'est à la fois vrai et faux. Ces derniers mois, tu penses avoir été très raisonnable et une part de toi voudrait que ça continue. Mais une autre a encore du mal à s'y faire.
Aujourd'hui, pas de club ; c'est journée libre à la piscine. Justement ce qu'il te fallait pour décompresser. Tu as beau adorer ton rôle au sein du club de natation, ainsi qu'apprécier tes camarades, il y a des moments où tu dois bien admettre que certains te fatiguent... Et pas de la bonne façon. Enfin, personne n'est parfait, même pas toi.
Assise au bord de la piscine, entourée de bonnes connaissances, tu profites de l'odeur du chlore tout en discutant avec elles de leurs vacances. De temps en temps, tu lèves les yeux, regardes ce qu'il se passe autour de vous : simple réflexe de présidente. Un réflexe qui te permet de remarquer ces petits regards qu'on te lance depuis l'autre coté de la piscine. Tu n'y prêtes cependant pas trop attention, trop occupée à suivre la conversation qui se déroule près de toi.
Enfin ça, c'était jusqu'à ce qu'un jeune homme vous approche et t'interpelle.
Tu hausses dans un premier temps les sourcils, un plus que l'autre ; ok c'est chelou. Mais tu n'as pas le temps de répondre quoi que ce soit qu'une des filles chasse presque l'intrus d'un revers de la main. Ok tu n'aimes pas vraiment qu'on réponde à ta place mais bon, tu sais qu'elle ne le fait pas méchamment et que c'est presque un réflexe chez elle. Alors pour ne pas gâcher l'ambiance, tu laisses couler pour cette fois et te contentes de lui dire que tout va bien.
Tu te penches en arrière pour regarder le jeune homme avec un léger sourire sur le visage.
▬ C'est ça.
Une pause, le temps de traiter la question. Tu comprends mieux maintenant, pourquoi lui et son pote te regardaient.
▬ Et oui, je suis célibataire. Je ne vais pas te demander pour quelle raison tu me poses cette question. C'est pour ton ami, là-bas ?
Pourquoi tu ne le sens pas ?
Dans ta tête, il y a cette petite alarme qui clignote. Ce genre de situation n'est jamais bon signe...
▬ T'es sûr de vouloir faire ça en public, l'éclaireur ?
Aujourd'hui, pas de club ; c'est journée libre à la piscine. Justement ce qu'il te fallait pour décompresser. Tu as beau adorer ton rôle au sein du club de natation, ainsi qu'apprécier tes camarades, il y a des moments où tu dois bien admettre que certains te fatiguent... Et pas de la bonne façon. Enfin, personne n'est parfait, même pas toi.
Assise au bord de la piscine, entourée de bonnes connaissances, tu profites de l'odeur du chlore tout en discutant avec elles de leurs vacances. De temps en temps, tu lèves les yeux, regardes ce qu'il se passe autour de vous : simple réflexe de présidente. Un réflexe qui te permet de remarquer ces petits regards qu'on te lance depuis l'autre coté de la piscine. Tu n'y prêtes cependant pas trop attention, trop occupée à suivre la conversation qui se déroule près de toi.
Enfin ça, c'était jusqu'à ce qu'un jeune homme vous approche et t'interpelle.
Tu hausses dans un premier temps les sourcils, un plus que l'autre ; ok c'est chelou. Mais tu n'as pas le temps de répondre quoi que ce soit qu'une des filles chasse presque l'intrus d'un revers de la main. Ok tu n'aimes pas vraiment qu'on réponde à ta place mais bon, tu sais qu'elle ne le fait pas méchamment et que c'est presque un réflexe chez elle. Alors pour ne pas gâcher l'ambiance, tu laisses couler pour cette fois et te contentes de lui dire que tout va bien.
Tu te penches en arrière pour regarder le jeune homme avec un léger sourire sur le visage.
▬ C'est ça.
Une pause, le temps de traiter la question. Tu comprends mieux maintenant, pourquoi lui et son pote te regardaient.
▬ Et oui, je suis célibataire. Je ne vais pas te demander pour quelle raison tu me poses cette question. C'est pour ton ami, là-bas ?
Pourquoi tu ne le sens pas ?
Dans ta tête, il y a cette petite alarme qui clignote. Ce genre de situation n'est jamais bon signe...
▬ T'es sûr de vouloir faire ça en public, l'éclaireur ?
Grandes Ambitions
Japonais en F79D6C - Anglais en A75502 - Français en ff9999
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 269■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
On ne peut pas dire que cette entrée en matière soit la meilleure qui soit ! Mais bon, quand y a pas le choix, y a pas le choix. Je venais de me faire quasi-rembarrer par une de ses potes, cela dit, la demoiselle Elizabeth avait visiblement les pieds plus sur terre... Bon, là, elle les avait dans l'eau, mais bon, c'est pareil !
Quoi qu'il en soit, elle me confirma être Elizabeth en se penchant en arrière, m'offrant par la même occasion une vue sur son décolleté malgré le maillot... Volontaire ? Non, je ne pense pas, et j'étais assez respectueux pour ne pas en profiter... Ou plutôt pas complètement fou pour en profiter avec trois filles autour ! Ouais, c'est plutôt ça ! L'instinct de survie, tout ça ! J'étais limite en territoire hostile là ! Donc tentant, mais non merci !
Cela dit, bien que je la regardais dans les yeux, les bons je précise !, elle m'annonça rapidement ne pas être prise et aïe, percé à jour en l'espace de si peu de temps, ça fait mal. Bon, faut admettre que la discrétion n'était pas mon fort et c'est un mec limite rentre-dedans qui le dit. Donc, je lâchais sur un ton détendu et mystérieux, un peu surjoué au départ mais plus sérieux sur la fin, ponctué d'un rire amusé.
- Qui sait, peut-être qu'on a juste tiré à la courte paille pour savoir qui s'y collerait et que c'est moi qui ai perdu. Mais si une personne m'avait missionné pour arranger le coup avec la femme sur laquelle il craque, tu penses vraiment qu'il serait avisé qu'il se trouve à quelques mètres de là à l'instant T?
Ouais ! Je n'étais pas non plus là pour lui coller une cible sur le dos, c'est moi qui ai eu cette approche, c'est à moi de l'assumer et pas à lui d'en payer les pots cassés. Mais clairement, ce type n'était pas non plus le plus avisé qui soit. Je n'étais pas non plus sans cœur et le protégeais donc un peu. La jeune femme me laissa une porte de sortie visiblement salvatrice. Je souriais doucement, amusé et rassuré d'avoir enfin le choix.
- Dans l'idéal, non, on peut faire plus éclairés comme choix, tu ne trouves pas ?! Mais je ne peux pas te forcer à me suivre pour qu'on en discute. Donc, à toi de voir ! Même si par décence envers lui, je préfère quand même lui éviter ça. Ce n'est pas mon meilleur ami... mais quand même, il ne mérite pas ça. Surtout si on lui rajoute un râteau en prime !
Ouais, un petit jeu de mot, éclairés, éclaireur, c'est marrant. Mais en revanche, pas besoin d'être un génie pour voir que cette fille en a dans la caboche.
Quoi qu'il en soit, elle me confirma être Elizabeth en se penchant en arrière, m'offrant par la même occasion une vue sur son décolleté malgré le maillot... Volontaire ? Non, je ne pense pas, et j'étais assez respectueux pour ne pas en profiter... Ou plutôt pas complètement fou pour en profiter avec trois filles autour ! Ouais, c'est plutôt ça ! L'instinct de survie, tout ça ! J'étais limite en territoire hostile là ! Donc tentant, mais non merci !
Cela dit, bien que je la regardais dans les yeux, les bons je précise !, elle m'annonça rapidement ne pas être prise et aïe, percé à jour en l'espace de si peu de temps, ça fait mal. Bon, faut admettre que la discrétion n'était pas mon fort et c'est un mec limite rentre-dedans qui le dit. Donc, je lâchais sur un ton détendu et mystérieux, un peu surjoué au départ mais plus sérieux sur la fin, ponctué d'un rire amusé.
- Qui sait, peut-être qu'on a juste tiré à la courte paille pour savoir qui s'y collerait et que c'est moi qui ai perdu. Mais si une personne m'avait missionné pour arranger le coup avec la femme sur laquelle il craque, tu penses vraiment qu'il serait avisé qu'il se trouve à quelques mètres de là à l'instant T?
Ouais ! Je n'étais pas non plus là pour lui coller une cible sur le dos, c'est moi qui ai eu cette approche, c'est à moi de l'assumer et pas à lui d'en payer les pots cassés. Mais clairement, ce type n'était pas non plus le plus avisé qui soit. Je n'étais pas non plus sans cœur et le protégeais donc un peu. La jeune femme me laissa une porte de sortie visiblement salvatrice. Je souriais doucement, amusé et rassuré d'avoir enfin le choix.
- Dans l'idéal, non, on peut faire plus éclairés comme choix, tu ne trouves pas ?! Mais je ne peux pas te forcer à me suivre pour qu'on en discute. Donc, à toi de voir ! Même si par décence envers lui, je préfère quand même lui éviter ça. Ce n'est pas mon meilleur ami... mais quand même, il ne mérite pas ça. Surtout si on lui rajoute un râteau en prime !
Ouais, un petit jeu de mot, éclairés, éclaireur, c'est marrant. Mais en revanche, pas besoin d'être un génie pour voir que cette fille en a dans la caboche.
- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 594■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ft. Junichi Yasuhisa
Tu attends sa réponse, silencieuse, sans le lâcher du regard, montrant ainsi que tu es toute ouïe. Et lorsqu'il tente de semer le doute tout en se la jouant mystérieux, tu ne peux réprimer un sourire à la fois amusé et moqueur.
▬ Vu la subtilité de ton approche, oui, je le pense vraiment.
Mais tu es sympa quand même, donc tu ne tentes pas non plus d'enfoncer le moindre couteau tu-ne-sais-où. Au contraire, tu lui offres même la possibilité de limiter de potentiels dégâts en lui proposant de s'éloigner un peu du groupe. S'il y a une chose que tu as toujours pensé, c'est que les femmes peuvent être de vraies vipères quand il s'agit d'humilier quelqu'un, de prendre le contrôle. Ô c'est aussi le cas de nombreux hommes, mais tu as moins souvent été témoin de ce genre de cas.
▬ Si je te le propose... dis-tu dans un léger soupire tout en te redressant.
Tu prends conger de tes camarades, dont l'une qui semble particulièrement déçue de ne pas pouvoir se rincer l'eau davantage. Tant pis. Au moins, elle aura une meilleure vue d'ensemble.
Évidement, tu ne t'éloignes pas non plus au point de semer inutilement le doute. Ce n'est pas ton genre. Mais vous aurez un minimum la paix comme ça.
▬ Pourquoi il n'est pas venu de lui-même, ton pote ? C'est dommage de se tirer une balle dans le pied comme ça. Et ne me parle pas de timidité.
▬ Vu la subtilité de ton approche, oui, je le pense vraiment.
Mais tu es sympa quand même, donc tu ne tentes pas non plus d'enfoncer le moindre couteau tu-ne-sais-où. Au contraire, tu lui offres même la possibilité de limiter de potentiels dégâts en lui proposant de s'éloigner un peu du groupe. S'il y a une chose que tu as toujours pensé, c'est que les femmes peuvent être de vraies vipères quand il s'agit d'humilier quelqu'un, de prendre le contrôle. Ô c'est aussi le cas de nombreux hommes, mais tu as moins souvent été témoin de ce genre de cas.
▬ Si je te le propose... dis-tu dans un léger soupire tout en te redressant.
Tu prends conger de tes camarades, dont l'une qui semble particulièrement déçue de ne pas pouvoir se rincer l'eau davantage. Tant pis. Au moins, elle aura une meilleure vue d'ensemble.
Évidement, tu ne t'éloignes pas non plus au point de semer inutilement le doute. Ce n'est pas ton genre. Mais vous aurez un minimum la paix comme ça.
▬ Pourquoi il n'est pas venu de lui-même, ton pote ? C'est dommage de se tirer une balle dans le pied comme ça. Et ne me parle pas de timidité.
Grandes Ambitions
Japonais en F79D6C - Anglais en A75502 - Français en ff9999
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 269■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Elle m’avait grillé, évidemment, c’était trop simple sinon. Mais bon, ça ne me décourageait pas pour autant même si, en soi, elle aurait pu s’en tirer avec un simple « Non, pas intéressée, merci et au revoir. » Mais au final, elle semblait plutôt vouloir faire les choses dans les règles. Ou alors elle était un peu sadique et n’avait pas hésité à sauter sur l’occasion de se faire une nouvelle victime en tournant autour du pot. Auquel cas on m’avait juste probablement jeté à une lionne… Les lionnes sont-elles vraiment des reines ? Je n’allais pas tarder à le savoir.
- Bah comme j’aime à dire, une approche subtile est aussi une approche louche. Autant tout de suite montrer patte blanche !
Oui, sur ce point-là, j’étais honnête. Ou bien ce n’était vraiment pas mon truc, mais on ne pouvait carrément pas m’enlever l’honnêteté de ma démarche. Quoi qu’il en soit, elle se leva et j’avoue que je ne pouvais que comprendre ce qui plaisait chez elle. Elle avait tout pour elle visiblement, mais attirait-elle les bonnes personnes, c’était un autre débat et puis mince, je n’étais pas son psy non plus ! Bon, le maillot aidait beaucoup aussi et j’imaginais facilement mon camarade se rincer discrètement l’œil pendant qu’on s’éloignait un peu. Rapidement, l’interrogatoire commença, inévitable, et j’avoue que j’aurais dû le voir venir. D’autant qu’elle énonça une vérité tout en balayant une possibilité de réponse. Avec un sourire, j’avouai, détendu :
- Pourtant, on n’en est pas si loin, je parlerais plutôt d’intimidité… C’est un jeu de mots bien sûr, on n’est pas si idiots en sport ! Mais, le connaissant, je pense surtout qu’il est intimidé.
C’était un sujet sensible et même si je n’en donnais pas l’air, je guettais son visage au cas où pour m’assurer de ne pas voir un air moqueur, que ce soit dans le regard ou le sourire, avant d’ajouter :
- Moi, perso, je suis à l’aise et pour être totalement honnête, je me moque des râteaux. Ça fait partie de la vie ! Mais tout le monde ne pense pas pareil et aborder une femme, c’est plutôt effrayant pour pas mal de garçons.
Je marquai une pause, là je le faisais un peu passer pour un froussard et je ne lui rendais pas service. Alors j’ajoutai avec un regard un peu plus posé dans les yeux d’Elizabeth :
- J’anticipe, avant que tu ne perdes toute estime de sa personne, vois-le plutôt comme un compliment. Je suppose qu’il te trouve belle, tu as l’air droit dans tes bottes… Enfin là tu n’en as pas… et je ne sais même pas si tu en portes au quotidien ! Mais ce n’est pas le sujet ! Et puis, je ne vais pas non plus t’inonder de compliments. Je pense que tu as saisi l’idée. Puis le côté occidental doit bien y jouer aussi, j’en mettrais ma main au feu… même si perso, ça ne m’atteint pas plus que ça.
Je pris une petite inspiration, non parce que là, j’avais juste l’impression de brasser de l’air et même si j’aime bien ça en temps normal, là ce n’était pas le moment. Je repris avec un air plus sympathique :
- Mais tu peux appeler ça une balle dans le pied… Surtout qu’en plus, c’est moi qui m’y colle. Franchement je ne vais pas te démentir. Cependant, je te promets qu’il ne pense pas à mal et qu’il comprendra ta décision. Ça va soit lui faire faire trois longueurs de piscine d’un coup… soit le dévaster pendant un petit moment, mais dans tous les cas, il n’insistera pas.
En observant l’endroit où se trouvait mon camarade, il n’était plus là… On avait sûrement trop regardé dans sa direction et il avait dû avoir un coup de flippe. J’ajoutai, blasé à voix un peu plus basse.
- Enfin… faut pas non plus trop compter sur lui en temps de guerre.
Puis me reprenant.
- Mais ! Ça reste un bon gars quand même ! D’autres questions, Elizabeth ? Ça fait bizarre à dire comme prénom, j’ai pas l’habitude. Désolé si je l’écorche.
- Bah comme j’aime à dire, une approche subtile est aussi une approche louche. Autant tout de suite montrer patte blanche !
Oui, sur ce point-là, j’étais honnête. Ou bien ce n’était vraiment pas mon truc, mais on ne pouvait carrément pas m’enlever l’honnêteté de ma démarche. Quoi qu’il en soit, elle se leva et j’avoue que je ne pouvais que comprendre ce qui plaisait chez elle. Elle avait tout pour elle visiblement, mais attirait-elle les bonnes personnes, c’était un autre débat et puis mince, je n’étais pas son psy non plus ! Bon, le maillot aidait beaucoup aussi et j’imaginais facilement mon camarade se rincer discrètement l’œil pendant qu’on s’éloignait un peu. Rapidement, l’interrogatoire commença, inévitable, et j’avoue que j’aurais dû le voir venir. D’autant qu’elle énonça une vérité tout en balayant une possibilité de réponse. Avec un sourire, j’avouai, détendu :
- Pourtant, on n’en est pas si loin, je parlerais plutôt d’intimidité… C’est un jeu de mots bien sûr, on n’est pas si idiots en sport ! Mais, le connaissant, je pense surtout qu’il est intimidé.
C’était un sujet sensible et même si je n’en donnais pas l’air, je guettais son visage au cas où pour m’assurer de ne pas voir un air moqueur, que ce soit dans le regard ou le sourire, avant d’ajouter :
- Moi, perso, je suis à l’aise et pour être totalement honnête, je me moque des râteaux. Ça fait partie de la vie ! Mais tout le monde ne pense pas pareil et aborder une femme, c’est plutôt effrayant pour pas mal de garçons.
Je marquai une pause, là je le faisais un peu passer pour un froussard et je ne lui rendais pas service. Alors j’ajoutai avec un regard un peu plus posé dans les yeux d’Elizabeth :
- J’anticipe, avant que tu ne perdes toute estime de sa personne, vois-le plutôt comme un compliment. Je suppose qu’il te trouve belle, tu as l’air droit dans tes bottes… Enfin là tu n’en as pas… et je ne sais même pas si tu en portes au quotidien ! Mais ce n’est pas le sujet ! Et puis, je ne vais pas non plus t’inonder de compliments. Je pense que tu as saisi l’idée. Puis le côté occidental doit bien y jouer aussi, j’en mettrais ma main au feu… même si perso, ça ne m’atteint pas plus que ça.
Je pris une petite inspiration, non parce que là, j’avais juste l’impression de brasser de l’air et même si j’aime bien ça en temps normal, là ce n’était pas le moment. Je repris avec un air plus sympathique :
- Mais tu peux appeler ça une balle dans le pied… Surtout qu’en plus, c’est moi qui m’y colle. Franchement je ne vais pas te démentir. Cependant, je te promets qu’il ne pense pas à mal et qu’il comprendra ta décision. Ça va soit lui faire faire trois longueurs de piscine d’un coup… soit le dévaster pendant un petit moment, mais dans tous les cas, il n’insistera pas.
En observant l’endroit où se trouvait mon camarade, il n’était plus là… On avait sûrement trop regardé dans sa direction et il avait dû avoir un coup de flippe. J’ajoutai, blasé à voix un peu plus basse.
- Enfin… faut pas non plus trop compter sur lui en temps de guerre.
Puis me reprenant.
- Mais ! Ça reste un bon gars quand même ! D’autres questions, Elizabeth ? Ça fait bizarre à dire comme prénom, j’ai pas l’habitude. Désolé si je l’écorche.
- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 594■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ft. Junichi Yasuhisa
Tu lui décroches un léger sourire, glissé au coin des lèvres, malgré l'envie de soupirer lourdement. Tu écoutes, polie, guettant le moment où tu pourras en placer une dans cet océan de justifications et... de tu ne sais trop quoi. Quelque part, tu regrettes presque ton honnêteté et ta bonté. Mais tu n'as jamais aimé régler tes histoires en compagnie des autres ; soit on est concerné dès le début, soit on dégage, c'est aussi simple que ça. Les exceptions sont plutôt rares. Mais soyons honnêtes ; ce garçon parle beaucoup. Ce n'est pas tant le soucis, mais il se perd et tu ne sais plus où donner de la tête avec toutes les informations qu'il te jette à la figure. Alors, lorsque tu entrevois une ouverture, tu sautes sur l'occasion.
▬ Tu sais que tu n'es pas obligé de te défendre ? J'ai bien compris que tu n'étais pas là pour toi, et je sais ce qui plaît chez moi en général.
Tu hausses les épaules. C'est peut-être arrogant comme réponse mais tu as toujours été ainsi en réalité, tout comme tu sais reconnaître tes défauts.
Tu aurais sûrement ris en remarquant que l'autre bout de la piscine était désormais vide. Pas pour te moquer cela dit. Tout est dans la remarque. Pourtant, ton rire se fait très bref, discret.
▬ Je vois ça.
Un soupire.
Tu ne sais pas trop quoi penser de tout ça, quoi faire. Dans ta tête, c'est un champ de bataille. Pas seulement là ... depuis ces dernières vacances, tu ne sais plus où tu en es. Ou peut-être que tu es simplement dans le déni. Les paroles de ta meilleure amie résonnent encore dans ton esprit, innocentes et pourtant lourdes de conséquences. Comme toujours, tu te perds. Tu joues avec les limites.
▬ Ce n'est pas grave, j'ai l'habitude. dis-tu en secouant la tête. ▬ Eh bien, quand ton ami aura retrouvé un peu de courage, dis-lui de venir me voir. J'irai bien moi-même mais je préfère éviter la crise cardiaque, s'il n'est pas prêt. ajoutes-tu sur le ton de la plaisanterie, en levant les yeux au ciel.
▬ Tu sais que tu n'es pas obligé de te défendre ? J'ai bien compris que tu n'étais pas là pour toi, et je sais ce qui plaît chez moi en général.
Tu hausses les épaules. C'est peut-être arrogant comme réponse mais tu as toujours été ainsi en réalité, tout comme tu sais reconnaître tes défauts.
Tu aurais sûrement ris en remarquant que l'autre bout de la piscine était désormais vide. Pas pour te moquer cela dit. Tout est dans la remarque. Pourtant, ton rire se fait très bref, discret.
▬ Je vois ça.
Un soupire.
Tu ne sais pas trop quoi penser de tout ça, quoi faire. Dans ta tête, c'est un champ de bataille. Pas seulement là ... depuis ces dernières vacances, tu ne sais plus où tu en es. Ou peut-être que tu es simplement dans le déni. Les paroles de ta meilleure amie résonnent encore dans ton esprit, innocentes et pourtant lourdes de conséquences. Comme toujours, tu te perds. Tu joues avec les limites.
▬ Ce n'est pas grave, j'ai l'habitude. dis-tu en secouant la tête. ▬ Eh bien, quand ton ami aura retrouvé un peu de courage, dis-lui de venir me voir. J'irai bien moi-même mais je préfère éviter la crise cardiaque, s'il n'est pas prêt. ajoutes-tu sur le ton de la plaisanterie, en levant les yeux au ciel.
Grandes Ambitions
Japonais en F79D6C - Anglais en A75502 - Français en ff9999
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 269■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Est-ce que je parle trop ? Non, bien sûr ! Puis il faut bien communiquer pour que les informations circulent, non ? Quoi qu'il en soit, elle avait mis le doigt sur ma façon de me dédouaner de cette affaire et sur ce point, elle n’avait pas tort. En temps normal, je ne me serais probablement pas défendu, ce n’était pas elle le problème, mais bel et bien moi. Peut-être la crainte que cette histoire remonte aux oreilles d’autres personnes.
Enfin bref, dans tous les cas, elle finit par conclure à propos de cette situation qu’il serait préférable que mon camarade retrouve sa paire de… -courage !- pour venir la voir en face. Non, clairement, ça me semblait impossible dans ce sens… mais attends voir deux secondes… L’illumination se fit alors que je lâchais sur un ton presque blasé.
- Si c’était aussi simple, on ne perdrait pas du temps tous les deux… Oh mais ! En voilà une idée qu’elle est bonne !
Statistiquement, toutes les fois où j’avais dit ça n’avaient jamais rien donné de bon. Cependant, sur le moment, l’idée me semblait presque trop parfaite. S’il était impossible d’amener le problème à la solution, peut-être qu’amener la solution au problème serait plus viable… Qu’est-ce qui pouvait mal se passer ?!
- En fait, je pense que c’est pile ce qu’il lui faut, une bonne crise cardiaque. Alors je te propose un truc et après, tu pourras retrouver ta Bella Vita en toute sérénité ! Tu veux bien me suivre jusqu’à l’entrée des vestiaires, il doit sûrement y être, je me charge de le convaincre, tu le plaques, il déprime un temps puis tout ira mieux !
Dit comme ça, je ne devais pas franchement passer pour un ami en or, mais en réalité, c’était malheureusement la réalité qui l’attendait. Je la regardais avec un air un peu plus sérieux en lâchant sur un ton posé :
- Quoi !? C’est ça l’amour ! Ce n’est pas moi qui l’ai inventé et tu peux me croire que si je l’avais fait, je n’en aurais rien changé. Il vaut mieux une cruelle vérité qu’un doux mensonge !
Cependant, je m’abstenais de dire une chose. Elle ne correspondait pas du tout à l’image qu’il m’en avait fait. Du moins, l’image mentale. J’avais mis le doigt sur un détail mais nous y reviendrons plus tard. J’invitais donc la jeune femme à me suivre en l’assurant que tout se passerait bien et une fois qu’elle était à sa place, je rejoignais mon pote dans le vestiaire. Sans surprise, il était là.
Après une rapide discussion, je parvins à le convaincre, sans forcing… enfin un petit peu. Cependant, je n’avais pas dit qu’elle était directement là, à la sortie du vestiaire, juste derrière la porte. Alors qu’il avançait doucement vers celle-ci, l'hésitation se fit sentir et il faiblit. Cependant, je lâchais sur un ton détendu :
- Allons ! Depuis qu’on se connaît, est-ce que je t’ai déjà envoyé dans un mur ?
- Euh non… pas que je sache.
- Eh ben ! Il faut un début à tout !
Sur ces mots, assez fort pour être entendus depuis l’extérieur, je le poussais par la porte qui se referma derrière lui, maintenue par votre serviteur pour anticiper toute tentative de fuite. J’avais l’impression de sentir ses tremblements jusque dans le sol sur le moment. Un petit sourire amusé, j’observais la scène par le biais de la petite vitre qui me laissait entrevoir son visage. Il m’observait, un appel au secours dans le regard. À voix basse, il me demanda ce qu’il pouvait dire. Moi, je lui répondais à voix basse, cette fois audible que par mon pote :
- Dis-lui quelque chose ! Je ne sais pas moi, qu’elle est charmante ! Brillante ! Belle ! N’importe quoi ! Lance-toi !
Cependant, je n’avais pas pris en compte la faible épaisseur de la porte qui pouvait altérer la nature de mes propos, qui d’ailleurs avaient été agrémentés d’autres qualificatifs entre-temps et autant dire que je manquais de m’écrouler lorsque j’entendis :
- Euh… Je te trouve… euh phosphorescente ?!
Ouais bon, pas exactement ce que j’aurais dit, mais bon… Attends quoi ! Cette situation prenait une tournure complètement incontrôlable ! Sur le moment, après le choc, je repassais en revue tous les qualificatifs que j’avais pu dire en les comptant sur mes doigts pour essayer de comprendre le chemin mental qu’il avait pris pour sortir une bêtise pareille avant de lâcher un regard d'incompréhension et de glisser le long du mur, pris par un fou rire que je tentais tant bien que mal de garder discret.
- Quel boulet ! Ce n’est pas possible que ce type ait réussi à vivre aussi longtemps !
Dis-je pour moi-même. Il s’était mis dans une situation juste impossible et je préférais ne plus l’aider. Cela dit, il parvint malgré tout à contrôler un peu son dérapage en lâchant sur un ton un peu plus sûr de lui :
- Je veux dire par là que… tu te nourris de la beauté du soleil pour n’en être que plus lumineuse la nuit !… Et que… tu me plais un peu…
Eh ! Mais c’est pas mal ça ! Bon, ça se rattrape aux branches quand même un peu, mais il y a un peu de style. Sur un malentendu, ça pourrait presque le faire ! Silencieux, je restais à l’écoute, m’éloignant malgré tout de la porte pour éviter de me la manger. Cette fille avait beau avoir l’air correcte, ça faisait toujours mal ! La rupture hein ! Pas la porte ! Enfin si, ca faisait mal aussi ! Mais on s'est compris !
Enfin bref, dans tous les cas, elle finit par conclure à propos de cette situation qu’il serait préférable que mon camarade retrouve sa paire de… -courage !- pour venir la voir en face. Non, clairement, ça me semblait impossible dans ce sens… mais attends voir deux secondes… L’illumination se fit alors que je lâchais sur un ton presque blasé.
- Si c’était aussi simple, on ne perdrait pas du temps tous les deux… Oh mais ! En voilà une idée qu’elle est bonne !
Statistiquement, toutes les fois où j’avais dit ça n’avaient jamais rien donné de bon. Cependant, sur le moment, l’idée me semblait presque trop parfaite. S’il était impossible d’amener le problème à la solution, peut-être qu’amener la solution au problème serait plus viable… Qu’est-ce qui pouvait mal se passer ?!
- En fait, je pense que c’est pile ce qu’il lui faut, une bonne crise cardiaque. Alors je te propose un truc et après, tu pourras retrouver ta Bella Vita en toute sérénité ! Tu veux bien me suivre jusqu’à l’entrée des vestiaires, il doit sûrement y être, je me charge de le convaincre, tu le plaques, il déprime un temps puis tout ira mieux !
Dit comme ça, je ne devais pas franchement passer pour un ami en or, mais en réalité, c’était malheureusement la réalité qui l’attendait. Je la regardais avec un air un peu plus sérieux en lâchant sur un ton posé :
- Quoi !? C’est ça l’amour ! Ce n’est pas moi qui l’ai inventé et tu peux me croire que si je l’avais fait, je n’en aurais rien changé. Il vaut mieux une cruelle vérité qu’un doux mensonge !
Cependant, je m’abstenais de dire une chose. Elle ne correspondait pas du tout à l’image qu’il m’en avait fait. Du moins, l’image mentale. J’avais mis le doigt sur un détail mais nous y reviendrons plus tard. J’invitais donc la jeune femme à me suivre en l’assurant que tout se passerait bien et une fois qu’elle était à sa place, je rejoignais mon pote dans le vestiaire. Sans surprise, il était là.
Après une rapide discussion, je parvins à le convaincre, sans forcing… enfin un petit peu. Cependant, je n’avais pas dit qu’elle était directement là, à la sortie du vestiaire, juste derrière la porte. Alors qu’il avançait doucement vers celle-ci, l'hésitation se fit sentir et il faiblit. Cependant, je lâchais sur un ton détendu :
- Allons ! Depuis qu’on se connaît, est-ce que je t’ai déjà envoyé dans un mur ?
- Euh non… pas que je sache.
- Eh ben ! Il faut un début à tout !
Sur ces mots, assez fort pour être entendus depuis l’extérieur, je le poussais par la porte qui se referma derrière lui, maintenue par votre serviteur pour anticiper toute tentative de fuite. J’avais l’impression de sentir ses tremblements jusque dans le sol sur le moment. Un petit sourire amusé, j’observais la scène par le biais de la petite vitre qui me laissait entrevoir son visage. Il m’observait, un appel au secours dans le regard. À voix basse, il me demanda ce qu’il pouvait dire. Moi, je lui répondais à voix basse, cette fois audible que par mon pote :
- Dis-lui quelque chose ! Je ne sais pas moi, qu’elle est charmante ! Brillante ! Belle ! N’importe quoi ! Lance-toi !
Cependant, je n’avais pas pris en compte la faible épaisseur de la porte qui pouvait altérer la nature de mes propos, qui d’ailleurs avaient été agrémentés d’autres qualificatifs entre-temps et autant dire que je manquais de m’écrouler lorsque j’entendis :
- Euh… Je te trouve… euh phosphorescente ?!
Ouais bon, pas exactement ce que j’aurais dit, mais bon… Attends quoi ! Cette situation prenait une tournure complètement incontrôlable ! Sur le moment, après le choc, je repassais en revue tous les qualificatifs que j’avais pu dire en les comptant sur mes doigts pour essayer de comprendre le chemin mental qu’il avait pris pour sortir une bêtise pareille avant de lâcher un regard d'incompréhension et de glisser le long du mur, pris par un fou rire que je tentais tant bien que mal de garder discret.
- Quel boulet ! Ce n’est pas possible que ce type ait réussi à vivre aussi longtemps !
Dis-je pour moi-même. Il s’était mis dans une situation juste impossible et je préférais ne plus l’aider. Cela dit, il parvint malgré tout à contrôler un peu son dérapage en lâchant sur un ton un peu plus sûr de lui :
- Je veux dire par là que… tu te nourris de la beauté du soleil pour n’en être que plus lumineuse la nuit !… Et que… tu me plais un peu…
Eh ! Mais c’est pas mal ça ! Bon, ça se rattrape aux branches quand même un peu, mais il y a un peu de style. Sur un malentendu, ça pourrait presque le faire ! Silencieux, je restais à l’écoute, m’éloignant malgré tout de la porte pour éviter de me la manger. Cette fille avait beau avoir l’air correcte, ça faisait toujours mal ! La rupture hein ! Pas la porte ! Enfin si, ca faisait mal aussi ! Mais on s'est compris !
- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 594■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ft. Junichi Yasuhisa
Tu sais faire preuve de patience, surtout lorsque tu dois éviter une exécution publique. Mais là, ton interlocuteur joue avec les limites sans même s'en rendre compte. Que les gens parlent n'a jamais été un problème pour toi mais là... quelque chose te dérange fortement. Il insiste. Il veut faire ça vite. Et si tu étais prête à laisser une chance à son ami, là, tu souhaites juste en finir rapidement. Ton sang commence à bouillir dans tes veines et ça, ce n'est jamais bon signe. Pas en de telles circonstances. Tout est juste trop... exagéré, presque irréaliste. Ça te met mal à l'aise. Ça t'agace. Tu veux tout envoyer promener, regrettant presque d'avoir accepter de parler à l'éclaireur. Regrettant presque d'être aussi "gentille", si on peut dire ça comme ça. Plaquer... comme si vous étiez ensemble. Plaquer... comme si tu avais dit non. Plaquer... comme si tu n'avais pas le choix, comme si tu n'avais pas ton mot à dire et que les pensées du bruns étaient une réalité.
Tu acceptes de suivre le jeune homme, en prenant sur toi, en lui disant - un peu trop sèchement - que tu ne t'inquiétais pas, qu'il n'avait pas besoin de te rassurer sur quoi que ce soit. À vrai dire, il s'inquiète pour la mauvaise personne et surtout, pour les mauvaises raisons.
La suite ne fit que te mettre encore plus mal à l'aise. C'est... de pire en pire. Ce n'est même plus la réalité là : c'est un manga ! Avec toutes les maladresses qui vont avec. Les yeux ronds, tu ne sais pas si tu veux rire ou pleurer, si c'est juste une blague ou si le pauvre est réellement perdu.
▬ Phosphorescente ? dis-tu lentement, essayant de ne pas te faire plus intimidante que nécessaire.
Parce que vraiment, tu ne t'attendais pas à ça.
Un soupire t'échappe lorsqu'il essaie de se rattraper. Mais vraiment, tu ne lui en veux pas.
▬ Ok, écoute... Je te remercie pour le compliment, vraiment. Même si c'est maladroit. Tu forces un petit sourire avant de reprendre un air sérieux, distant malgré toi. ▬ Mais...
Tu te déplaces pour ouvrir la porte derrière laquelle se cache l'autre phénomène, d'un mouvement assez vif pour qu'ils comprennent ton agacement.
▬ Comme je l'ai dis, je préfère qu'on vienne me trouver directement. Sans intermédiaire pour écouter et insister pour forcer les choses. Je suis venue à la piscines avec des potes, c'est pas pour m'énerver parce qu'on ne sait pas m'écouter. Une pause. ▬ Vous voyez où je veux en venir ?Tu regardes l'un. ▬ Comme je l'ai dis à ton ami, tu peux venir me voir quand tu veux, ailleurs, je ne te mangerai pas. Enfin, si tu en as toujours envie. Tu te tournes vers l'autre. ▬ Moi, j'y retourne. ajoutes-tu sur un ton qui laisse clairement comprendre que la discussion est close pour aujourd'hui.
Tu acceptes de suivre le jeune homme, en prenant sur toi, en lui disant - un peu trop sèchement - que tu ne t'inquiétais pas, qu'il n'avait pas besoin de te rassurer sur quoi que ce soit. À vrai dire, il s'inquiète pour la mauvaise personne et surtout, pour les mauvaises raisons.
La suite ne fit que te mettre encore plus mal à l'aise. C'est... de pire en pire. Ce n'est même plus la réalité là : c'est un manga ! Avec toutes les maladresses qui vont avec. Les yeux ronds, tu ne sais pas si tu veux rire ou pleurer, si c'est juste une blague ou si le pauvre est réellement perdu.
▬ Phosphorescente ? dis-tu lentement, essayant de ne pas te faire plus intimidante que nécessaire.
Parce que vraiment, tu ne t'attendais pas à ça.
Un soupire t'échappe lorsqu'il essaie de se rattraper. Mais vraiment, tu ne lui en veux pas.
▬ Ok, écoute... Je te remercie pour le compliment, vraiment. Même si c'est maladroit. Tu forces un petit sourire avant de reprendre un air sérieux, distant malgré toi. ▬ Mais...
Tu te déplaces pour ouvrir la porte derrière laquelle se cache l'autre phénomène, d'un mouvement assez vif pour qu'ils comprennent ton agacement.
▬ Comme je l'ai dis, je préfère qu'on vienne me trouver directement. Sans intermédiaire pour écouter et insister pour forcer les choses. Je suis venue à la piscines avec des potes, c'est pas pour m'énerver parce qu'on ne sait pas m'écouter. Une pause. ▬ Vous voyez où je veux en venir ?Tu regardes l'un. ▬ Comme je l'ai dis à ton ami, tu peux venir me voir quand tu veux, ailleurs, je ne te mangerai pas. Enfin, si tu en as toujours envie. Tu te tournes vers l'autre. ▬ Moi, j'y retourne. ajoutes-tu sur un ton qui laisse clairement comprendre que la discussion est close pour aujourd'hui.
Grandes Ambitions
Japonais en F79D6C - Anglais en A75502 - Français en ff9999
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 269■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Bien sûr que ça ne s'est pas bien passé, ça ne peut jamais bien se passer. La jeune femme semblait plus que lassée par cette histoire, et je pouvais la comprendre sur ce point. Cela dit, si la situation avait traîné, cela aurait probablement été pire. Il n'aurait jamais eu le courage de l'aborder ouvertement et aurait continué à tourner autour d'elle, cherchant désespérément un moyen de s'approcher.
Je ne le connaissais pas bien, mais suffisamment pour comprendre sa façon de fonctionner. En plus, il semblait avoir une image un peu biaisée de Lizzy, la description qu'il m'en avait faite — enfin, mentalement, parce que physiquement, difficile de se tromper ! Mais l'image qu'il avait d'elle relevait davantage du fantasme, une erreur commune. Il fallait de toute urgence le confronter à la réalité, sinon il s'imaginerait tout un univers.
Elle était directe, un peu froide, mais bon, comment ne pas la comprendre. Je le cachais bien, mais même moi, j'en avais assez. Cependant, lorsque la porte s'ouvrit et qu'un léger sourire apparut sur mon visage, je l'observais me parler et quitter la discussion sous le regard un peu abasourdi de mon camarade. Il ne semblait même pas m'en vouloir au final, bien qu'il aurait eu de quoi. Contrairement aux apparences, et même si j'avais envie d'en finir vite, j'avais fait cela pour son bien ! Il irait mieux et je comptais bien le soutenir.
- Message reçu ! Bonne baignade !
L'eau fraîche lui ferait clairement du bien ! Je me tournais vers l'autre avec un regard un peu plus détendu avant de lâcher sur un ton compatissant.
- Allez, viens, on va boire quelque chose de bien frais et en discuter si tu veux, je pense que ça te fera du bien.
Il aurait pu avoir envie de refuser — il en avait le droit ! Mais contre toute attente, il accepta.
Rapidement, nous passâmes une partie de la journée à en parler, plus calmement. Ses sentiments semblaient s'être un peu dissipés, le temps ferait le reste et il se rendait doucement compte de sa façon d'appréhender le couple. Apparemment, il n'avait pas beaucoup d'expérience, mais qui pourrait lui en vouloir ? Tout le monde doit bien commencer quelque part.
- Tu sais, un râteau, ce n’est pas la fin de tout ! Vois ça comme une occasion d'apprendre de tes erreurs. Déjà fait jamais appel à moi pour ce genre de chose. Disons que je t’en dois toujours une pour le coup ! Mais vraiment, il ne faut jamais, mais vraiment jamais ! Avoir des sentiments avant d'apprendre à connaître une personne. Je pense que cette fille que tu m'as vendue, ce n'est pas du tout celle que nous avons rencontrée.
Je soupirais doucement avant d'ajouter, en prenant une gorgée de ma boisson au passage.
- Je parie même que tu t'en rends compte toi-même !
Voyant son visage songeur, je m'attendris un peu. Il n'était pas mauvais, juste inexpérimenté, et sur ce point, je suis mal placé pour lui jeter la pierre, ma façon de faire n'était pas meilleure. Après tout, il m'avait un peu forcé la main...
- Écoute, ne te prends pas la tête avec ça, ça viendra tout seul quand tu ne t'y attendras pas ! Plus tu te prends la tête, moins ça marche.
Il se confiait, me posait des questions comme s'il pensait que j'étais plus expérimenté. Oui, j'avais vécu des choses, mais chaque histoire est différente, et mon expérience ne valait pas grand-chose en réalité. Quoi qu'il en soit, lorsque vint le moment de vaquer chacun à nos occupations, j'avais l'impression que cette discussion lui avait fait du bien. Maintenant, il fallait laisser le temps au temps !
Je ne le connaissais pas bien, mais suffisamment pour comprendre sa façon de fonctionner. En plus, il semblait avoir une image un peu biaisée de Lizzy, la description qu'il m'en avait faite — enfin, mentalement, parce que physiquement, difficile de se tromper ! Mais l'image qu'il avait d'elle relevait davantage du fantasme, une erreur commune. Il fallait de toute urgence le confronter à la réalité, sinon il s'imaginerait tout un univers.
Elle était directe, un peu froide, mais bon, comment ne pas la comprendre. Je le cachais bien, mais même moi, j'en avais assez. Cependant, lorsque la porte s'ouvrit et qu'un léger sourire apparut sur mon visage, je l'observais me parler et quitter la discussion sous le regard un peu abasourdi de mon camarade. Il ne semblait même pas m'en vouloir au final, bien qu'il aurait eu de quoi. Contrairement aux apparences, et même si j'avais envie d'en finir vite, j'avais fait cela pour son bien ! Il irait mieux et je comptais bien le soutenir.
- Message reçu ! Bonne baignade !
L'eau fraîche lui ferait clairement du bien ! Je me tournais vers l'autre avec un regard un peu plus détendu avant de lâcher sur un ton compatissant.
- Allez, viens, on va boire quelque chose de bien frais et en discuter si tu veux, je pense que ça te fera du bien.
Il aurait pu avoir envie de refuser — il en avait le droit ! Mais contre toute attente, il accepta.
Rapidement, nous passâmes une partie de la journée à en parler, plus calmement. Ses sentiments semblaient s'être un peu dissipés, le temps ferait le reste et il se rendait doucement compte de sa façon d'appréhender le couple. Apparemment, il n'avait pas beaucoup d'expérience, mais qui pourrait lui en vouloir ? Tout le monde doit bien commencer quelque part.
- Tu sais, un râteau, ce n’est pas la fin de tout ! Vois ça comme une occasion d'apprendre de tes erreurs. Déjà fait jamais appel à moi pour ce genre de chose. Disons que je t’en dois toujours une pour le coup ! Mais vraiment, il ne faut jamais, mais vraiment jamais ! Avoir des sentiments avant d'apprendre à connaître une personne. Je pense que cette fille que tu m'as vendue, ce n'est pas du tout celle que nous avons rencontrée.
Je soupirais doucement avant d'ajouter, en prenant une gorgée de ma boisson au passage.
- Je parie même que tu t'en rends compte toi-même !
Voyant son visage songeur, je m'attendris un peu. Il n'était pas mauvais, juste inexpérimenté, et sur ce point, je suis mal placé pour lui jeter la pierre, ma façon de faire n'était pas meilleure. Après tout, il m'avait un peu forcé la main...
- Écoute, ne te prends pas la tête avec ça, ça viendra tout seul quand tu ne t'y attendras pas ! Plus tu te prends la tête, moins ça marche.
Il se confiait, me posait des questions comme s'il pensait que j'étais plus expérimenté. Oui, j'avais vécu des choses, mais chaque histoire est différente, et mon expérience ne valait pas grand-chose en réalité. Quoi qu'il en soit, lorsque vint le moment de vaquer chacun à nos occupations, j'avais l'impression que cette discussion lui avait fait du bien. Maintenant, il fallait laisser le temps au temps !
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