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- InvitéInvité
Mardi 24 Avril 2018
Aujourd'hui il fait bien moche, et ce n'est pas ma journée préférée. Quoiqu'on dise n'avoir qu'une seule heure de cours à la première heure, c'est rude. Pluie oblige, je sors en imperméable même si ne il fait pas bien froid. Dessous je reste léger, chemise blanche et jupe noire tout simplement. Au départ j'avais décidé de passer la journée dans ma chambre pour jouer à la Switch mais en vrai ça m'a rapidement ennuyée. Je ne suis pas une gameuse comme Tsu', du moins pas encore au point où je pourrais passer une journée sur le PC ou la console. Besoin de me changer les idées et pourquoi ne pas aller faire un tour à la bibliothèque de Kobe.
C'est après un petit détour à la cafeteria que je me suis décidée d'y aller. Ce n'est pas la première fois que je pénètre l'endroit mais je n'y suis jamais restée longtemps. La dernière fois c'était pour récupérer des bouquins afin de suivre les cours. Je ne m'étais pas rendue compte à quel point l'endroit était grand. Tout est bien rangé, par genre, par sections, par ordre alphabétique et pour nous aider on pouvait consulter le personnel présent et les ordinateurs à disposition. Au passage je salue la bibliothécaire.
Bon, déjà faut que je m'installe, ensuite trouver un plan d'action, car oui... que faire ici? Il y a tellement à faire que je ne sais pas trop par quoi commencer. Je pose mon sac à dos noir au pied d'une table faisant face à la fenêtre puis mon imperméable sur le dossier de la chaise la plus proche de celle-ci. Il n'a pas arrêté de pleuvoir depuis que je suis levée, au moins il fera beau après coup en regardant vers l'exterieur donnant sur le parc de l'établissement.
Ce qui est sur c'est qu'en restant assise je ne risquais pas de faire grand chose, du coup je m'en vais chasser des livres, mais quoi? Puis bon comme on ne doit pas juger un livre par sa couverture, je n'allais clairement pas me décider en passant dans les rayons comme ça, je commence à prendre des livres, je les dépose à la table et je continue, dans la section des romans policiers, dans les revues scientifiques, et dans la psychologie.
Me voilà bien embêtée, en face de trois piles de livres en tout genre, dont j'ai bien pris une heure à tout réunir je ne savais pas du tout par quoi commencer. C'est alors que j'attrape les trois livres du haut des trois piles de livres et je me décide à les lire en même temps. Le premier livre est sur des affaires policières non résolues, l'autre sur l'archéologie et le dernier est un livre de première année en psychologie. Comme ça si un sujet m'ennuyait, je pouvais changer et ne jamais me lasser.
- Emma WalkerA l'université ; 2è année■ Age : 30■ Messages : 296■ Inscrit le : 04/12/2022■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-102
❖ Arrivé(e) en : Début Décembre 2017
Aujourd’hui, c’est la tristesse, il fait moche. Je suis quand même un peu déçue surtout que ses temps-ci il fait beau comme tout. Je ne peux pas m’empêcher d’avoir une petite moue déprimée en voyant par l’une des fenêtres le temps. Ma journée n’est pas très chargée, heureusement. Un cours d’histoire en début d’aprem et après j’ai la journée toute à moi en somme. Non sans un petit manque de motivation, je décide d’aller faire un petit tour à la bibliothèque, non sans avoir pris le temps de prendre un parapluie, une fois habillée en mode paresseuse (un jean, un t-shirt, un veston gris). Mon sac en main avec tous mes trucs pour mon cours de tout à l’heure, me voilà partie pour la bibliothèque.
Je regarde autour de moi et je me rends compte qu’il y a beaucoup de personnes qui ont décidé de filer à la bibliothèque, je dois dire que je comprends parfaitement au vu de comment la température se dessine aujourd’hui. Avant de m’attaquer mes devoirs, je me dis qu’il serait bien de lire un petit truc, question de décompresser un peu avant de me mettre à faire mes devoirs. J’ai au moins bien avancé ce que je devais faire en psycho, j’ai seulement besoin de lire un livre. Je dois avouer par contre, je ne sais pas quoi lire. Je vais me perdre dans les rayons, cherchant un truc que je connais bien. Heureusement qu’il y aussi des romans, parce que sinon, ce serait long longtemps avec seulement des ouvrages de références et de recherche. C’est cool à lire, mais parfois, c’est bien de relâcher avec d’autres choses. Je me promène. Je regarde un peu les livres de romances, mais visiblement, c’est un truc qui me donne encore envie de vomir.
Je suis clairement d’humeur meh, je finis donc dans la section des romans policiers et pas si loin de ça, de l’horreur. La section horreur me fait bien sourire et me rappelle ces livres de Patrick Sénécal que j’ai lu lorsque j’étais encore au Québec. C’est une amie qui me les avait conseillés. C’est vraiment… PFOU ! J’ai difficilement les mots pour ça. Heureusement que j’avais commencé « soft ». Mais honnêtement, il y en a certain que je n’ai pas lu, parce que c’est trop intense, ou sinon certains me donnaient mal au cœur.
Je me dis alors, mais pourquoi pas y aller avec du Stephen King ? Je regarde les ouvrages de l’auteur et finit par prendre « Bazar » qui me semble intéressant selon sa description. Une fois tout ça fait, je vais m’installer à une table. Elle n’est pas trop occupée, il y a seulement une dudette avec une tonne de livres sur sa table. Moi j’en ai seulement un, ce n’est pas si mal. Je m’assis pas directement en face d’elle, je suis légèrement en diagonale, parce que sinon, ce serait un peu malaisant. Par politesse, je lui fais un petit sourire en guise de salutation avant de poser mes fesses. Puis, après un court moment à regarder ses piles…
- Tu vas lire tout ça ?, ne puis-je m’empêcher de chuchoter à la demoiselle en face de moi.
Non pas que je trouve ça excessif, c’est juste que… comment dire… euh… C’est intense. À moins qu’elle veut tout emprunter ? Là ça fait beaucoup quand même. Je me pose un peu plus confortablement sur ma chaise.
Je regarde autour de moi et je me rends compte qu’il y a beaucoup de personnes qui ont décidé de filer à la bibliothèque, je dois dire que je comprends parfaitement au vu de comment la température se dessine aujourd’hui. Avant de m’attaquer mes devoirs, je me dis qu’il serait bien de lire un petit truc, question de décompresser un peu avant de me mettre à faire mes devoirs. J’ai au moins bien avancé ce que je devais faire en psycho, j’ai seulement besoin de lire un livre. Je dois avouer par contre, je ne sais pas quoi lire. Je vais me perdre dans les rayons, cherchant un truc que je connais bien. Heureusement qu’il y aussi des romans, parce que sinon, ce serait long longtemps avec seulement des ouvrages de références et de recherche. C’est cool à lire, mais parfois, c’est bien de relâcher avec d’autres choses. Je me promène. Je regarde un peu les livres de romances, mais visiblement, c’est un truc qui me donne encore envie de vomir.
Je suis clairement d’humeur meh, je finis donc dans la section des romans policiers et pas si loin de ça, de l’horreur. La section horreur me fait bien sourire et me rappelle ces livres de Patrick Sénécal que j’ai lu lorsque j’étais encore au Québec. C’est une amie qui me les avait conseillés. C’est vraiment… PFOU ! J’ai difficilement les mots pour ça. Heureusement que j’avais commencé « soft ». Mais honnêtement, il y en a certain que je n’ai pas lu, parce que c’est trop intense, ou sinon certains me donnaient mal au cœur.
Je me dis alors, mais pourquoi pas y aller avec du Stephen King ? Je regarde les ouvrages de l’auteur et finit par prendre « Bazar » qui me semble intéressant selon sa description. Une fois tout ça fait, je vais m’installer à une table. Elle n’est pas trop occupée, il y a seulement une dudette avec une tonne de livres sur sa table. Moi j’en ai seulement un, ce n’est pas si mal. Je m’assis pas directement en face d’elle, je suis légèrement en diagonale, parce que sinon, ce serait un peu malaisant. Par politesse, je lui fais un petit sourire en guise de salutation avant de poser mes fesses. Puis, après un court moment à regarder ses piles…
- Tu vas lire tout ça ?, ne puis-je m’empêcher de chuchoter à la demoiselle en face de moi.
Non pas que je trouve ça excessif, c’est juste que… comment dire… euh… C’est intense. À moins qu’elle veut tout emprunter ? Là ça fait beaucoup quand même. Je me pose un peu plus confortablement sur ma chaise.
- InvitéInvité
Je lève les yeux vers la jolie demoiselle qui n'est clairement pas japonaise, elle s'installe à ma table et me laisse un petit sourire, que je retourne discrètement avant de me replonger, dans lequel j'étais déjà? Tant pis je passe sur l'archéologie. Je commence à douter de la manière dont je lis ces 3 bouquins car si je n'arrive pas à comprendre ce que je lis, ça risque d'être bien compliqué. Je relève la tête pour écouter ce qu'elle me dit, et aussi confirmer que c'est bien à moi qu'elle parle. C'est vrai que y'a beaucoup de livres et que je ne suis pas Superman.
"Mais non je ne vais pas tout lire, je suis juste indécise, déjà que 3 livres je n'y arrive pas. Je crois que je me suis emmêlée les pinceaux... J'en suis à me dire qu'un os de T-rex a empoisonné un couple d'hikkikomoris dans un parc d'attraction."
En fait c'est clair que je ne comprends rien à lire 3 livres à la fois mais d'un effort créatif, je tombe sur des scénarios sympa, peut-être pour un JdR. Faut voir le bon côté des choses, je ne vois pas du tout le temps passer. Je décale un peu ma pile de livre et je tapote les trois livres. Je jette un coup d'œil sur mon téléphone pour voir l'heure puis je regarde la blonde. "Ca fait bien 2 heures que je suis ici, et le temps passe vite ! Tu viens d'où ? Amérique du Nord? J'aime bien ton style." Elle est venue me parler alors autant tenir la conversation avant qu'on se tape un silence cringe. "Je suis nouvelle par ici et je vois beaucoup d'étranger c'est fascinant." Puis je me penche sur ma revue d'affaires policières. "C'est abusé le nombre de cas de pervers au Japon, oh euh je m'appelle Hina Murai étudiante en psy' enchantée. Du coup ne laisse pas tes affaires traîner, ce n'est pas ton téléphone qu'on vol par ici mais tes sous vêtements." Au moins qu'en tant qu'étrangère elle soit prévenue.
"Mais non je ne vais pas tout lire, je suis juste indécise, déjà que 3 livres je n'y arrive pas. Je crois que je me suis emmêlée les pinceaux... J'en suis à me dire qu'un os de T-rex a empoisonné un couple d'hikkikomoris dans un parc d'attraction."
En fait c'est clair que je ne comprends rien à lire 3 livres à la fois mais d'un effort créatif, je tombe sur des scénarios sympa, peut-être pour un JdR. Faut voir le bon côté des choses, je ne vois pas du tout le temps passer. Je décale un peu ma pile de livre et je tapote les trois livres. Je jette un coup d'œil sur mon téléphone pour voir l'heure puis je regarde la blonde. "Ca fait bien 2 heures que je suis ici, et le temps passe vite ! Tu viens d'où ? Amérique du Nord? J'aime bien ton style." Elle est venue me parler alors autant tenir la conversation avant qu'on se tape un silence cringe. "Je suis nouvelle par ici et je vois beaucoup d'étranger c'est fascinant." Puis je me penche sur ma revue d'affaires policières. "C'est abusé le nombre de cas de pervers au Japon, oh euh je m'appelle Hina Murai étudiante en psy' enchantée. Du coup ne laisse pas tes affaires traîner, ce n'est pas ton téléphone qu'on vol par ici mais tes sous vêtements." Au moins qu'en tant qu'étrangère elle soit prévenue.
- Emma WalkerA l'université ; 2è année■ Age : 30■ Messages : 296■ Inscrit le : 04/12/2022■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-102
❖ Arrivé(e) en : Début Décembre 2017
- Oula ! J’avoue que ça pourrait faire un bon roman policier, tout ce mélange.
Je crois que dans une autre vie, j’aimerais être écrivaine. Je pourrais écrire ce genre de livres complètement déjantés où il se passe des trucs absolument improbables, mais qu’au final, toutes les pièces du puzzle s’imbriquent pour faire un truc qui a du sens. Ça me fait encore une fois penser à du Patrick Sénécal – quel dieu de l’horreur québébois – Il faudrait que je demande à mes parents de m’en envoyer quelques-uns en vrai. Ça me manque une peu. Ou juste une collection de livres québécois… Des trucs un peu plus récents que ce que j’ai l’habitude de lire et relire. J’ai entendu dire récemment que du David Goudreault c’était vraiment bien – perturbant, mais très bien quand même – Peut-être que je pourrais m’y essayer. En tout cas, je pourrais leur demander ça pour mon anniversaire qui va arriver l’un de ces jours.
À chaque fois que je vais à la bibliothèque, je me dis qu’il y a une couple de lire que j’aimerais beaucoup trop lire et que je devrais prendre comme résolution d’en lire davantage. Je vais tenter ma chance l’un de ces jours et le faire pour de vrai.
En tout cas, ce sera pour un autre débat intérieur. La demoiselle me parle à nouveau, j’écoute ce qu’elle me dit et bien rapidement elle me demande d’où je viens. J’ai toujours des envies de niaiser quand on me demande ce genre de question et répondre un truc qui ne fait aucun sens., c’est que j’ai un humour douteux par moment. Mais, comme à chaque fois, je me retiens. En même temps, ça me fait bien plaisir de parler de mon coin de pays.
- Ouais, je viens d’Amérique du Nord, du Canada plus précisément. C’est vrai qu’il y a une grande communauté qui vient de l’extérieur du Japon, c’est vraiment un établissement multiculturel. En tout cas, si tu as des questions du coin d’où je viens, n’hésite pas !
Bah ouais, si ça peut permettre à des gens de savoir que non, on ne vit pas dans des maisons en rondin de bois… quoi qu’il doit y avoir des personnes qui le font, qu’on ne porte pas constamment des chapeaux en peau de castor et qu’on mange pas seulement de la poutine, ça va me faire plaisir.
D’ailleurs, la dudette finit par se présent Hina Murai. Disons que son nom montre assez bien ses origines. Alors je préfère ne pas trop poser de questions sur le sujet, ça ne me servirait pas à grand-chose. Et elle est également étudiante en psycho. Je suis également le cours, mais je n’ai pas souvenir de l’avoir vu dans ma classe. Il faudrait que j’y porte plus attention la prochaine fois. Elle est quand même intrigante cette Murai qui parle un peu de tout et n’importe quoi, sautant du coq à l’âne. Je comprends qu’elle ne veut pas laisser mes trucs traîner. À vrai dire, c’est quand même un truc qui me laisse mal à l’aise, parce que, je sais que ça se fait au Japon, mais au Canada, je ne m’y risquerais pas tant.
- Enchantée, moi, c’est Emma Walker, je suis étudiante en histoire-géo, mais j’ai aussi des cours de danse et de psycho. Un beau mélange de tout et n’importe quoi. Et promis, je ferais attention à ne pas me laisser traîner. C’est vrai que les gars, ça peut faire du gros n’importe quoi.
Surtout lorsqu’ils sont en groupe, j’ai envie d’ajouter, mais je me retiens.
- En tout cas, j’espère que tu vas te plaire par ici, c’est quand même un coin sympa.
- InvitéInvité
La première chose que je me dis c'est "est-ce qu'on peut danser sur des faits historiques" et surement que oui ! Par exemple fêter la victoire d'une guerre en danse mais je me perds, c'est bien trop aléatoire comme choix de matière pour y trouver un quelconque sens. Emma Walker ? En effet ça sonne réellement NA franchement si elle ne m'avait pas dit Canada, j'aurais parié sur une provenance des States. J'ai beau être au courant de ce qu'il se passe dans les différentes cultures, savoir que Kobe est un vrai refuge à étrangers au Japon et le fait qu'elle soit en histoire, elle aura des choses à raconter. Les historiens ont toujours un point de vu sur les choses très intéressantes. Savoir comment le Canada s'est bâti c'est cool, avoir tout une histoire et des générations de familles c'est beaucoup mieux. Alors j'attrape l'hameçon et je lui demande :
"Oh Canada ! J'y suis souvent allée, je pourrais te dire quel dinosaures ont vécu là-bas ! Et je ne parle pas des vieux shnocks de bûcherons, mais des trucs archéologiques ! C'est une vraie mine d'infos' pour retracer l'histoire de l'humanité. T'es d'où?! Alberta ? Ou plutôt osti leua que j'te porle leua les Fronçais du québec!"
Ca me fait marrer et j'en ai même pas honte, je ne parle pas du tout français mais c'est toujours marrant d'apprendre des trucs locaux. D'un coup j'attrape mon livre sur l'archéologie et je l'ouvre sur les dinosaures, sur exactement le Centrosaurus et je lui montre sur mon livre. Le Canada et surtout Alberta Park c'est réellement l'un de mes endroits préférés au Canada, ma mère y va souvent pour des conférences et de ce fait moi aussi. Après lui avoir montré je repasse sur un autre livre et je lui explique alors :
"Boarf non tu ne crains rien ici ! C'est plutôt tes affaires qui sont en danger. Bon à part te faire peloter dans le train tu ne risques rien ! Par contre étendre ton linge dehors et ta petite culotte peut disparaître ! Y'en a qui ont volé plus de 3000 petites culottes à travers e Japon comme souvenirs disait-il. Puis ici à Kobe c'est un lieu intéressant vu le nombre d'étrangers qu'on croise. Ce n'est pas l'un des premiers ports international du Japon pour rien."
J'étale encore ma science et peut-être que ça l'ennuie. C'est vrai c'est pourri au Japon il ne se passe jamais rien, c'est l'un des pays au taux de policiers par habitants le plus faible pour un pays développé. Le Canada par contre il doit y avoir une liste au moins 2 fois plus longue que ma taille en terme de cas jamais résolus de meurtres, le pied alors que ça reste un pays avec une histoire bien jeune. Le Canada comparé au Japon c'est bien un pays né de la dernière pluie.
Les pervers au Canada ça s'passe comment ça mate des Caribous? Non je plaisante, il doit y avoir des cas de malades tant il y a de forêts et d'endroits bien sombre...
"Oh Canada ! J'y suis souvent allée, je pourrais te dire quel dinosaures ont vécu là-bas ! Et je ne parle pas des vieux shnocks de bûcherons, mais des trucs archéologiques ! C'est une vraie mine d'infos' pour retracer l'histoire de l'humanité. T'es d'où?! Alberta ? Ou plutôt osti leua que j'te porle leua les Fronçais du québec!"
Ca me fait marrer et j'en ai même pas honte, je ne parle pas du tout français mais c'est toujours marrant d'apprendre des trucs locaux. D'un coup j'attrape mon livre sur l'archéologie et je l'ouvre sur les dinosaures, sur exactement le Centrosaurus et je lui montre sur mon livre. Le Canada et surtout Alberta Park c'est réellement l'un de mes endroits préférés au Canada, ma mère y va souvent pour des conférences et de ce fait moi aussi. Après lui avoir montré je repasse sur un autre livre et je lui explique alors :
"Boarf non tu ne crains rien ici ! C'est plutôt tes affaires qui sont en danger. Bon à part te faire peloter dans le train tu ne risques rien ! Par contre étendre ton linge dehors et ta petite culotte peut disparaître ! Y'en a qui ont volé plus de 3000 petites culottes à travers e Japon comme souvenirs disait-il. Puis ici à Kobe c'est un lieu intéressant vu le nombre d'étrangers qu'on croise. Ce n'est pas l'un des premiers ports international du Japon pour rien."
J'étale encore ma science et peut-être que ça l'ennuie. C'est vrai c'est pourri au Japon il ne se passe jamais rien, c'est l'un des pays au taux de policiers par habitants le plus faible pour un pays développé. Le Canada par contre il doit y avoir une liste au moins 2 fois plus longue que ma taille en terme de cas jamais résolus de meurtres, le pied alors que ça reste un pays avec une histoire bien jeune. Le Canada comparé au Japon c'est bien un pays né de la dernière pluie.
Les pervers au Canada ça s'passe comment ça mate des Caribous? Non je plaisante, il doit y avoir des cas de malades tant il y a de forêts et d'endroits bien sombre...
- Emma WalkerA l'université ; 2è année■ Age : 30■ Messages : 296■ Inscrit le : 04/12/2022■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-102
❖ Arrivé(e) en : Début Décembre 2017
Je ne peux pas m’empêcher de pouffer de rire légèrement lorsqu’elle me parle des dinosaures. Je dois admettre que pendant un moment, je me suis réellement demandée si elle parlait réellement des vieux trucs tous osseux… ou plutôt de vieux shnocks de genre 10000 ans humanoïdes et fort peu sympathiques. Quoi que ça et les dinos, même chose à vrai dire. Les deux ça gueulent sur ce qui passe devant soit et qui a la tronche un peu plus sympathiques.
Mais je divague. Ce n’est pas être irrespectueux envers nos aînés, c’est que RÉELLEMENT il y en a quelques-uns qui sont beaucoup moins sympathiques que d’autres. Au moins mes grands-parents ont toujours été cool. Je re-divague.
Au moins, je suis contente qu’elle connaisse les dinosaures et l’Alberta. Par contre, lorsqu’elle tente une imitation très à peu près du québécois, ça me fait grincer des dents un peu. C’est que j’ai toujours l’impression que les gens ne comprennent pas la différence entre notre accent et celui des français de France. C’est comme si on nous prend pour des hommes de cro-magnon ou un truc du genre, alors que c’est seulement qu’on a gardé un espèce de dialecte qui se rapproche plutôt du vieux français, avec une pointe d’expression anglo parce qu’on a été colonisé par la suite par les brits, alors que les français nous ont lâchement lâchés dans leurs propres intérêts. En tout cas. On n’est pas ici pour faire un cours d’histoire. C’est seulement qu’on n’a pas le même accent, comme les français du Nord et du Sud n’ont pas le même, comme nous ne parlons pas comme les acadiens (j’admets que par boute, je comprends absolument rien de ce qu’ils disent).
Je prends un petit air gêné, bien malgré moi. Au moins, elle n’est pas en mode je parle français, alors par moi Queb’, parce que sinon, j’en serais morte. Je passe une mèche blonde derrière mon oreille et je lui réponds :
- Je viens en effet du Québec, j’ai toujours pas mal habité à Montréal.
Vu qu’elle connait un peu le coin, je me dis qu’il y a des chances qu’elle connaisse Montréal.
Au moins, la conversation bifurque un peu
- Je m’y connais en histoire, mais pas tellement en archéologie.
J’ai toujours pensé que les dinosaures, c’était pour les gamins âgés entre 6 et 10 ans. Et bien que certains sont ben mignons, ce n’est pas tous et puis bon. Au moins, ça permet d’aller dans des musées d’histoire naturel… Ce que je n’ai pas fait assez souvent dans ma vie, clairement. Histoire oui, histoire naturelle, moins. Je regarde celui qu’elle me présente avec quand même de l’intérêt et surtout qu’il a vraiment une sacrée tronche… Pas bizarre… Mais genre particulière. Disons que je m’ennuie de Petit-Pied le dinosaure.
On retourne bien vite sur les trucs plutôt d’enquête, de mystère et de vols. Je l’écoute attentivement. Me faire peloter dans le train. Non merci. Clairement que ce n’est pas un truc qui me tente, loin de là.
- Dégueulasse.
Non mais, je n’ai pas de meilleures expressions pour exprimer mon dégoût face à tous ces voler de petites culottes. Genre parfois les gens sont tellement trop bizarres avec ce genre de trucs. Fétichisme. Ça donne envie de vomir. Presque. Je me demande s’il y a un marché pour les petites culottes de dudettes internationales. Et une partie de moi qui me dit que si j’y ai pensé, c’est que ça existe. Ça donne toujours froid dans le dos. Murai me demande s’il y a des gens, des pervers au Canada.
- Ouais bah… Y’en a… Mais j’sais pas trop comment ils font ça. Y’a quelques romans policiers qui parlent parfois de ça, ou de d’autres sujets un peu sensibles. En même temps, c’est quand même romancer. Pis je pense que dans les grandes villes, il doit avoir pas mal de gens louches… y’a plus de monde, alors c’est plus facile de mater ou de faire des choses pas correctes.
En même temps, c’est pas tellement dans mes champs d’intérêts, je ne veux pas juger, mais c’est quand même l’impression que ça donne.
Mais je divague. Ce n’est pas être irrespectueux envers nos aînés, c’est que RÉELLEMENT il y en a quelques-uns qui sont beaucoup moins sympathiques que d’autres. Au moins mes grands-parents ont toujours été cool. Je re-divague.
Au moins, je suis contente qu’elle connaisse les dinosaures et l’Alberta. Par contre, lorsqu’elle tente une imitation très à peu près du québécois, ça me fait grincer des dents un peu. C’est que j’ai toujours l’impression que les gens ne comprennent pas la différence entre notre accent et celui des français de France. C’est comme si on nous prend pour des hommes de cro-magnon ou un truc du genre, alors que c’est seulement qu’on a gardé un espèce de dialecte qui se rapproche plutôt du vieux français, avec une pointe d’expression anglo parce qu’on a été colonisé par la suite par les brits, alors que les français nous ont lâchement lâchés dans leurs propres intérêts. En tout cas. On n’est pas ici pour faire un cours d’histoire. C’est seulement qu’on n’a pas le même accent, comme les français du Nord et du Sud n’ont pas le même, comme nous ne parlons pas comme les acadiens (j’admets que par boute, je comprends absolument rien de ce qu’ils disent).
Je prends un petit air gêné, bien malgré moi. Au moins, elle n’est pas en mode je parle français, alors par moi Queb’, parce que sinon, j’en serais morte. Je passe une mèche blonde derrière mon oreille et je lui réponds :
- Je viens en effet du Québec, j’ai toujours pas mal habité à Montréal.
Vu qu’elle connait un peu le coin, je me dis qu’il y a des chances qu’elle connaisse Montréal.
Au moins, la conversation bifurque un peu
- Je m’y connais en histoire, mais pas tellement en archéologie.
J’ai toujours pensé que les dinosaures, c’était pour les gamins âgés entre 6 et 10 ans. Et bien que certains sont ben mignons, ce n’est pas tous et puis bon. Au moins, ça permet d’aller dans des musées d’histoire naturel… Ce que je n’ai pas fait assez souvent dans ma vie, clairement. Histoire oui, histoire naturelle, moins. Je regarde celui qu’elle me présente avec quand même de l’intérêt et surtout qu’il a vraiment une sacrée tronche… Pas bizarre… Mais genre particulière. Disons que je m’ennuie de Petit-Pied le dinosaure.
On retourne bien vite sur les trucs plutôt d’enquête, de mystère et de vols. Je l’écoute attentivement. Me faire peloter dans le train. Non merci. Clairement que ce n’est pas un truc qui me tente, loin de là.
- Dégueulasse.
Non mais, je n’ai pas de meilleures expressions pour exprimer mon dégoût face à tous ces voler de petites culottes. Genre parfois les gens sont tellement trop bizarres avec ce genre de trucs. Fétichisme. Ça donne envie de vomir. Presque. Je me demande s’il y a un marché pour les petites culottes de dudettes internationales. Et une partie de moi qui me dit que si j’y ai pensé, c’est que ça existe. Ça donne toujours froid dans le dos. Murai me demande s’il y a des gens, des pervers au Canada.
- Ouais bah… Y’en a… Mais j’sais pas trop comment ils font ça. Y’a quelques romans policiers qui parlent parfois de ça, ou de d’autres sujets un peu sensibles. En même temps, c’est quand même romancer. Pis je pense que dans les grandes villes, il doit avoir pas mal de gens louches… y’a plus de monde, alors c’est plus facile de mater ou de faire des choses pas correctes.
En même temps, c’est pas tellement dans mes champs d’intérêts, je ne veux pas juger, mais c’est quand même l’impression que ça donne.
- InvitéInvité
"Et ça ne t'intéresse pas d'en savoir plus? Imagine, le soir tombé, entre deux rondes des surveillants, un élève ouvre la porte de ta chambre discrètement. Toi tu dors profondément et jamais tu suspecterais quoique ce soit, tu es à Kobe depuis 5 années et il ne s'est jamais rien passé. La garde baissée, la porte qui ne ferme pas à clefs, il fouille dans tes affaires et repars avec ta petite culotte favorite. Plus jamais tu ne reverras cet objet qui te tiens à cœur. La seule explication logique que tu trouves, c'est de l'avoir égarée à la laverie, mais le crime est fait ! Tout les jours quelqu'un te "indirect" sniff, et tu ne le sauras jamais."
C'est toujours génial les affaires du genre, des petits crimes pour des grands malades, aucune justice, aucune sentences. C'est pour cela que je veux travailler dedans plus tard. J'espère qu'elle ne va pas prendre peur pour ses affaires même si statistiquement on a toujours un pervers dans son entourage. Je tiens à la rassurer.
"C'est le genre de trucs qui peuvent très bien arriver même ici à Kobe, c'est fascinant ! Comprendre pourquoi les pervers agissent, et déjouer leurs crimes. Je compte y faire mon job dans la vie ! Pas de voler les gens non, d'enquêter afin de résoudre ces affaires de vols. T'en fais pas tant que je serais à Kobe, les pervers n'auront qu'à bien se tenir !"
Je m'emporte et je ne suis pas sûre d'avoir été rassurante. Si je veux travailler pour la police pour résoudre des trucs un peu plus costauds il va falloir faire preuve de beaucoup de patience et surtout je dois me montrer beaucoup plus sereine dans ce que je fais. Si je n'arrive pas à la rassurer, je pense qu'il va falloir revoir mes méthodes.
"Sache qu'aujourd'hui je bouquine beaucoup d'affaires en tout genre et je suis certaine qu'il ne se passera jamais rien à toi car ici à Kobe on est en sécurité. Si il ne s'est rien passé pour toi jusqu'à présent, ce ne sera pas demain que ça changera."
C'est toujours génial les affaires du genre, des petits crimes pour des grands malades, aucune justice, aucune sentences. C'est pour cela que je veux travailler dedans plus tard. J'espère qu'elle ne va pas prendre peur pour ses affaires même si statistiquement on a toujours un pervers dans son entourage. Je tiens à la rassurer.
"C'est le genre de trucs qui peuvent très bien arriver même ici à Kobe, c'est fascinant ! Comprendre pourquoi les pervers agissent, et déjouer leurs crimes. Je compte y faire mon job dans la vie ! Pas de voler les gens non, d'enquêter afin de résoudre ces affaires de vols. T'en fais pas tant que je serais à Kobe, les pervers n'auront qu'à bien se tenir !"
Je m'emporte et je ne suis pas sûre d'avoir été rassurante. Si je veux travailler pour la police pour résoudre des trucs un peu plus costauds il va falloir faire preuve de beaucoup de patience et surtout je dois me montrer beaucoup plus sereine dans ce que je fais. Si je n'arrive pas à la rassurer, je pense qu'il va falloir revoir mes méthodes.
"Sache qu'aujourd'hui je bouquine beaucoup d'affaires en tout genre et je suis certaine qu'il ne se passera jamais rien à toi car ici à Kobe on est en sécurité. Si il ne s'est rien passé pour toi jusqu'à présent, ce ne sera pas demain que ça changera."
- Emma WalkerA l'université ; 2è année■ Age : 30■ Messages : 296■ Inscrit le : 04/12/2022■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-102
❖ Arrivé(e) en : Début Décembre 2017
L’étudiante dit des trucs dignes d’un film d’horreur ou encore d’un film de suspense. Déjà que je DÉTESTE les films d’horreur, j’ai clairement pas envie qu’il se passe un truc du genre. Je sais que le taux de criminalité au Japon est quelque chose d’absolument ridicule, mais quand même, comme la vieille émission québécoise disait « un tueur si proche »… Ça à quoi donner des frissons dans le dos – et sur les bras et même sur les orteils – clairement, il ne faut pas trop y penser dans la vie à ce genre de truc sinon on va devenir complètement paranoïaques et vouloir se méfier de tout le monde. Je crois quand même encore un peu, assez, en la vie et au karma pour me dire qu’un jour, je vais avoir de bonnes choses qui vont se produire dans ma vie pour balancer tous ces moments de malheur que j’ai déjà vécu. Peut-être qu’il allait vers ça, un crime, un meurtre. M’a-t-il déjà voler une culotte sans que j’en sois au courant. Bref. Murai me donner tout ce qu’elle peut pour faire aller mon imagination – parfois très débordante – et imaginer les pires scénarios possibles avant une fin du monde, la fin de mon monde. Heureusement que je me dis qu’il y a peu de chance qu’il me retrouve au Japon. Il doit très certainement avoir la flemme de faire un voyage. Il a déjà pris le temps de prendre de mes nouvelles par une amie interposée et je ne serais pas surprise qu’il veuille reprendre, un de ces jours, contact encore une fois avec moi.
En tout cas.
C’est fini. C’est tout ce que j’ai besoin de dire.
Je ne veux même plus penser à lui, encore moins penser à son nom. Je veux seulement qu’il disparaisse. C’est seulement que je me dis qu’avec les péripéties que j’ai vécues avec lui, ça aurait pu encore plus mal virer que ça a déjà mal viré.
Mais tout est bien qui fini bien et me voilà ailleurs, à faire une nouvelle vie, bien que parfois je pense encore à lui. Je sais que je ne suis pas claire dans mes idées, mais peu importe. Je préfère me concentrer sur la conversation avec Murai que de ressasser le passé. Je le fais déjà bien assez souvent, pas besoin d’en rajouter une couche supplémentaire. Je suis quand même dégoûtée par ce qu’elle raconte. Il y a vraiment des gens aussi mal intentionnés que ça ici ? Quoi que je me dis que ça serait du genre au Harada de faire ça.
Refrissons.
- C’est quand même cool de savoir que tu veuilles veiller sur les petites culottes des pauvres filles sans défense, c’est très honorable.
J’ai dit ça avec un ton légèrement taquin. Ce n’est rien de bien méchant. Je vois bien cette petite bouille devenir enquêtrice pour les crimes majeurs ou mineur ou juste des crimes tout simplement. Analyser les pervers et comprendre leurs comportements à la NCIS ou encore comme les Experts ou Bones. Ça fait une éternité que je n’ai pas regardé ces séries d’ailleurs. C’était des trucs qu’on regardait en famille à l’époque. Les vendredis soirs étaient dédiés aux histoires de crimes, des films et des mangas même.
Elle a quand même de la chance, Murai. Elle sait ce qu’elle veut faire dans les prochains mois, semaines, années. Moi j’en sais tellement rien. Je veux vivre une bonne vie. Je devrais définitivement aller voir le conseiller d’orientation l’un de ces jours. Mon futur m’inquiète par moment, même si je me dis que j’ai la vie devant moi pour penser à mon futur bon job. Je veux seulement que mes parents soient fiers de moi.
- Au moins, c’est rassurant de savoir qu’il y a peu de chance que ça m’arrive. Comment tu en es arrivé au point de te dire que c’est ce que tu souhaites faire dans la vie ? Tu as eu une illumination ou tu as regardé trop de séries d’enquêtes policières ?
Je suis juste curieuse de savoir comment elle en est arrivée à cette conclusion. Parce que moi, j’en ai pas, je n’ai pas cette conclusion. Je sais que je ne serais jamais danseuse professionnelle. Et être prof d’histoire… Je me dis que je n’ai pas le profil. Je me trouve nulle quand vient le temps d’expliquer les choses aux autres.
En tout cas.
C’est fini. C’est tout ce que j’ai besoin de dire.
Je ne veux même plus penser à lui, encore moins penser à son nom. Je veux seulement qu’il disparaisse. C’est seulement que je me dis qu’avec les péripéties que j’ai vécues avec lui, ça aurait pu encore plus mal virer que ça a déjà mal viré.
Mais tout est bien qui fini bien et me voilà ailleurs, à faire une nouvelle vie, bien que parfois je pense encore à lui. Je sais que je ne suis pas claire dans mes idées, mais peu importe. Je préfère me concentrer sur la conversation avec Murai que de ressasser le passé. Je le fais déjà bien assez souvent, pas besoin d’en rajouter une couche supplémentaire. Je suis quand même dégoûtée par ce qu’elle raconte. Il y a vraiment des gens aussi mal intentionnés que ça ici ? Quoi que je me dis que ça serait du genre au Harada de faire ça.
Refrissons.
- C’est quand même cool de savoir que tu veuilles veiller sur les petites culottes des pauvres filles sans défense, c’est très honorable.
J’ai dit ça avec un ton légèrement taquin. Ce n’est rien de bien méchant. Je vois bien cette petite bouille devenir enquêtrice pour les crimes majeurs ou mineur ou juste des crimes tout simplement. Analyser les pervers et comprendre leurs comportements à la NCIS ou encore comme les Experts ou Bones. Ça fait une éternité que je n’ai pas regardé ces séries d’ailleurs. C’était des trucs qu’on regardait en famille à l’époque. Les vendredis soirs étaient dédiés aux histoires de crimes, des films et des mangas même.
Elle a quand même de la chance, Murai. Elle sait ce qu’elle veut faire dans les prochains mois, semaines, années. Moi j’en sais tellement rien. Je veux vivre une bonne vie. Je devrais définitivement aller voir le conseiller d’orientation l’un de ces jours. Mon futur m’inquiète par moment, même si je me dis que j’ai la vie devant moi pour penser à mon futur bon job. Je veux seulement que mes parents soient fiers de moi.
- Au moins, c’est rassurant de savoir qu’il y a peu de chance que ça m’arrive. Comment tu en es arrivé au point de te dire que c’est ce que tu souhaites faire dans la vie ? Tu as eu une illumination ou tu as regardé trop de séries d’enquêtes policières ?
Je suis juste curieuse de savoir comment elle en est arrivée à cette conclusion. Parce que moi, j’en ai pas, je n’ai pas cette conclusion. Je sais que je ne serais jamais danseuse professionnelle. Et être prof d’histoire… Je me dis que je n’ai pas le profil. Je me trouve nulle quand vient le temps d’expliquer les choses aux autres.
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