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Venez comme vous êtes !
FEAT. Hiroki
Vendredi 23 juin 2017 - En soirée
Cette semaine m’a lessivée. Je ne sais pas si c’est le beau temps mais, ils étaient bruyants ces sales gosses, insupportables ! J’essaie tant bien que mal de ne pas perdre patience et surtout, mon calme, mais hier et aujourd’hui, c’était limite. Heureusement que mes regards noirs suffisaient la plupart du temps.
Je rentre enfin chez moi, après avoir passé plus de temps que d’habitude dans les transports. Quand on a une belle voiture qui dort au garage, c’est deux fois plus agaçant, mais bon, couverture oblige. Ramener Milan n’aurait pas dû me prendre autant de temps alors je n’avais pas jugé nécessaire de me prendre une citadine plus passe partout, j’ai eu tort. Son frère s’impatiente en plus, mais il doit bien comprendre que je ne peux pas juste le kidnapper en pensant que personne ne se posera de questions !
Traînant des pieds, je sors de l’ascenseur direction mon appartement. Une bonne odeur flotte dans le couloir et réveille ma faim déjà présente depuis le métro. Qui est l’être vil et cruel qui ose me faire ça lors que j’ai tout bonnement la flemme de cuisiner ? Une des portes est ouverte et la lumière s’y fait son chemin, ben tiens... Me semble que c’est celle du nouveau cuisinier sur le campus... Me rappelle plus de son nom, pas que ça me chagrine. Encore quelques pas et je passerai devant.
Cette semaine m’a lessivée. Je ne sais pas si c’est le beau temps mais, ils étaient bruyants ces sales gosses, insupportables ! J’essaie tant bien que mal de ne pas perdre patience et surtout, mon calme, mais hier et aujourd’hui, c’était limite. Heureusement que mes regards noirs suffisaient la plupart du temps.
Je rentre enfin chez moi, après avoir passé plus de temps que d’habitude dans les transports. Quand on a une belle voiture qui dort au garage, c’est deux fois plus agaçant, mais bon, couverture oblige. Ramener Milan n’aurait pas dû me prendre autant de temps alors je n’avais pas jugé nécessaire de me prendre une citadine plus passe partout, j’ai eu tort. Son frère s’impatiente en plus, mais il doit bien comprendre que je ne peux pas juste le kidnapper en pensant que personne ne se posera de questions !
Traînant des pieds, je sors de l’ascenseur direction mon appartement. Une bonne odeur flotte dans le couloir et réveille ma faim déjà présente depuis le métro. Qui est l’être vil et cruel qui ose me faire ça lors que j’ai tout bonnement la flemme de cuisiner ? Une des portes est ouverte et la lumière s’y fait son chemin, ben tiens... Me semble que c’est celle du nouveau cuisinier sur le campus... Me rappelle plus de son nom, pas que ça me chagrine. Encore quelques pas et je passerai devant.
- Hiroki SatoPersonnel ; cuisinier■ Age : 31■ Messages : 62■ Inscrit le : 14/02/2022■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 25 ans
❖ Chambre/Zone n° : 2 (Appart)
❖ Arrivé(e) en : Avril 2016
La journée avait été agréable pour toi, forcément, c'était la fin de semaine. Bon, même si pour toi en soit ça ne veux rien dire, il faut bien les nourrir les jeunes qui restent sur le campus. Et de toute façon, tu ne te pleins pas, les horaires sont correct pour toi. L'inactivité tu as un peu de mal. En plus, qu'est ce que tu ferais d'un week end entier. T'as personne dans ta vie en ce moment mis à part l'ombre d'une voix qui tourne dans ta tête quand tu repense à ce coup de foudre complètement idiot qui te suis depuis quelques années. Et à force de zoner dans ton canapé tu en avais eu marre. Quoi de mieux pour tromper l'ennui que de cuisiner? Ce que tu commence à faire donc, tu as des ingrédients à passer. Alors c'est parti. Tu ouvre la porte pour faire un courant d'air dans l'appartement, histoire que la vapeur ne fasse pas sonner de détecteur à fumée.
Le problème de ta cuisine en soit c'est qu'elle est assez petite, forcément quand on à l'habitude de travailler dans les grandes cuisines d'un grand établissement. Des casseroles un peu partout trainent autour de toi. Depuis la porte d'entrée on peux voir ta cuisine mais pas le salon, heureusement d'ailleurs parce que tu n'a comme qui dirais pas défait ton linge encore sur l'étendoir. Rien qui ne soit inhabituel en plus pour un célibataire, mais quand même. Tu n'est pas gêné qu'on te vois cuisiner en chantant chez toi, de là à ce que tu soit à l'aise avec ton petit bordel quotidien, c'est pas encore ça, tu as un certain sens des devoirs d'un hôte pour penser à ranger un peu quand même.
Tu te tourne à un moment pour déposer la pièce de viande grillée le temps de pouvoir cuire une sauce et tes légumes avant de voir ta voisine vers la porte. Tu lui parles pas souvent, en fait tu ne parles à quasiment personne dans cet immeuble. Et pour toi qui est hyper sociable, c'est super triste. Tu lui fait donc un geste avec un sourire, l'air de lui dire "eh coucou viens me parler". Mais soit elle ne t'a pas vu soit elle n'a pas compris vu qu'elle ne semble pas se stopper. Refuser? Qu'elle idée bien étrange, en plus tu sais qu'elle travaille à l'académie aussi, pourquoi elle t'enverrais chier hein? C'est pas super gentil.
- Eh! Bonjour! Enfin bonsoir! Je n'avais jamais eu l'occasion de vous parler réellement encore! Enchanté, je m'appelle Hiroki! Je vous dérange pas trop au moins, vous rentrer du boulot non? Venez je vous offre une bière j'en ai au frais! Ah vous avez faim? J'ai fait des feuilletés au chorizo a grignoter!
Oui tu propose comme ça, tu ne te dit pas non plus que tu ennuie la personne. Tu as encore du mal avec le fait que certains préfèrent juste être seul. C'est un truc que tu pige pas, il y a tellement de chose et de gens et d'histoire à découvrir, pourquoi on voudrais s'en couper? Surtout quand y a de la bouffe et bière gratuite quoi, tu met les chances de ton côté cette fois!
Le problème de ta cuisine en soit c'est qu'elle est assez petite, forcément quand on à l'habitude de travailler dans les grandes cuisines d'un grand établissement. Des casseroles un peu partout trainent autour de toi. Depuis la porte d'entrée on peux voir ta cuisine mais pas le salon, heureusement d'ailleurs parce que tu n'a comme qui dirais pas défait ton linge encore sur l'étendoir. Rien qui ne soit inhabituel en plus pour un célibataire, mais quand même. Tu n'est pas gêné qu'on te vois cuisiner en chantant chez toi, de là à ce que tu soit à l'aise avec ton petit bordel quotidien, c'est pas encore ça, tu as un certain sens des devoirs d'un hôte pour penser à ranger un peu quand même.
Tu te tourne à un moment pour déposer la pièce de viande grillée le temps de pouvoir cuire une sauce et tes légumes avant de voir ta voisine vers la porte. Tu lui parles pas souvent, en fait tu ne parles à quasiment personne dans cet immeuble. Et pour toi qui est hyper sociable, c'est super triste. Tu lui fait donc un geste avec un sourire, l'air de lui dire "eh coucou viens me parler". Mais soit elle ne t'a pas vu soit elle n'a pas compris vu qu'elle ne semble pas se stopper. Refuser? Qu'elle idée bien étrange, en plus tu sais qu'elle travaille à l'académie aussi, pourquoi elle t'enverrais chier hein? C'est pas super gentil.
- Eh! Bonjour! Enfin bonsoir! Je n'avais jamais eu l'occasion de vous parler réellement encore! Enchanté, je m'appelle Hiroki! Je vous dérange pas trop au moins, vous rentrer du boulot non? Venez je vous offre une bière j'en ai au frais! Ah vous avez faim? J'ai fait des feuilletés au chorizo a grignoter!
Oui tu propose comme ça, tu ne te dit pas non plus que tu ennuie la personne. Tu as encore du mal avec le fait que certains préfèrent juste être seul. C'est un truc que tu pige pas, il y a tellement de chose et de gens et d'histoire à découvrir, pourquoi on voudrais s'en couper? Surtout quand y a de la bouffe et bière gratuite quoi, tu met les chances de ton côté cette fois!
- InvitéInvité
Venez comme vous êtes !
FEAT. Hiroki
Je continue d’avancer et comme n’importe qui, en passant devant la porte, mes yeux scrute l’entrée rapidement. Assez pour voir le dit voisin en pleine préparation culinaire. Le problème, - si on peut dire -, c’est qu’il tourne la tête dans ma direction au même moment. Bien qu’un peu associable, je reste tout de même polie et lui rend son geste avec un micro-sourire. Et c’est tout. La porte de mon appartement me fait de l’oeil, mais j’ai à peine repris ma marche qu’il m’interpelle. Ah ? C’était une invitation à discuter ? Bon, j’avais pas compris.
« Bonsoir. »
J’évite de trop discuter avec mes collègues car je ne cherche pas à créer de liens sur Kobe, ce n’est pas ma ville et la mienne commence d’ailleurs à me manquer. Malgré tout je l’écoute, je peux comprendre le besoin d’échanger avec une collègue quand on vient de débarquer. Ah oui, Hiroki, ça me revient ! En fait non. Mais j’imprime cette fois. Hiroki ne me laisse pas vraiment le temps de répondre à ses questions, un bavard. Mais un bavard qui sait comment m’intéresser.
« Non du tout, et oui j’en rentre tout juste. »
J’en déduis qu’aujourd’hui il était du service du midi vu qu’il a l’air d’être chez lui depuis un petit moment vu ce qui est sur le feu. Bon, une bière et des feuilletés au chorizo, ce serait mal vu de refuser !
« Je m’appelle Akira, enchantée. Si gentiment proposé, difficile de dire non. »
« Bonsoir. »
J’évite de trop discuter avec mes collègues car je ne cherche pas à créer de liens sur Kobe, ce n’est pas ma ville et la mienne commence d’ailleurs à me manquer. Malgré tout je l’écoute, je peux comprendre le besoin d’échanger avec une collègue quand on vient de débarquer. Ah oui, Hiroki, ça me revient ! En fait non. Mais j’imprime cette fois. Hiroki ne me laisse pas vraiment le temps de répondre à ses questions, un bavard. Mais un bavard qui sait comment m’intéresser.
« Non du tout, et oui j’en rentre tout juste. »
J’en déduis qu’aujourd’hui il était du service du midi vu qu’il a l’air d’être chez lui depuis un petit moment vu ce qui est sur le feu. Bon, une bière et des feuilletés au chorizo, ce serait mal vu de refuser !
« Je m’appelle Akira, enchantée. Si gentiment proposé, difficile de dire non. »
- Hiroki SatoPersonnel ; cuisinier■ Age : 31■ Messages : 62■ Inscrit le : 14/02/2022■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 25 ans
❖ Chambre/Zone n° : 2 (Appart)
❖ Arrivé(e) en : Avril 2016
- Description de l'appartement:
- La porte d'entrée de l'appartement ouvre sur une vue de la cuisine. Le comptoir de celle ci directement alignée a la porte apres un petit couloir ou traine un porte manteau et le meuble à chaussure. La cuisine en elle même est impressionnante et l'espace salon à été clairement sacrifier pour un plan de travail en plus. L'équipement est moderne et efficace. Le comptoir sers également de table au vu des trois tabouret qui trônes devant. Côté salon, on peux aviser un simple divan, une télévision avec une vieille console et une petite table basse. La porte sur la droite du couloir d'entrée donne dans une salle de bain classique et la porte de gauche dans la chambre, qui reste fermée. Quand bien même la porte d'entrée est souvent ouverte. Peu de meuble et beaucoup de place, il y a quelques bibelot de décoration et des pots d'herbes aromatiques sur les plans de travail mais l'intérieur est assez.. neutre.
Durant presque une longue vingtaine de seconde, tu commences à croire que la jeune femme va te mettre un vent monumental. Autant tu comprendrais mais sans mentir, tu le vivrais un tout petit peu mal. C'est pas comme si tu étais méchant, mais il est vrai que c'est pas forcément écrit sur ta tronche. Quand elle s'arrête après son bonjour tu ne peux t'empêcher d'avoir un petit soupire de soulagement, la légère inquiétude dans tes yeux se changent bien vite. Un bonheur de pouvoir parler à quelqu'un. Bon d'accord tu as discuter avec les collègues ce matin, mais c'est pas pareil, rendez vous comptes que ça fait presque 5h que tu n'a pas parler à un être vivant! C'est un enfer!
Ah! C'est plaisant de voir que la bière et la nourriture sont toujours une valeur sure!
Tu va fouiller ton frigo et décapsuler la bière pour la poser sur le comptoir et attendre que la jeune femme approche. Akira donc, tu te souviens bien de l'avoir vu, mais tu n'arrive même pas à savoir où. En tous les cas elle travaille bien à l'université- lycée comme toi. Par contre à quel endroit ou quel moment de la chaine de l'éducation ça tu n'en sais rien. Tu peux affirmer l'avoir vue dans certains couloirs et l'avoir vue parler à des élèves. Ca ne t'aide pas à savoir ou elle travaille. Parce qu'elle pourrait aussi bien être de l'administratif que professeur.. quoi que tu ne crois pas l'avoir vue en salle des profs.. Tu finira bien par trouver non? Tu va chercher les feuilletés et les poser avant de t'appuyer au comptoir en face d'elle comme si tu était au bar. Non décidément, tu aimes ta cuisine.
Enchanté Akira! C'est un plaisir d'enfin pouvoir faire connaissance avec le voisinage! J'espère que je ne vous ai pas trop ennuyée avec mes lubies de faire les travaux pour avoir une vraie cuisine.. sérieusement, ils appellent ça équipés avec un four qui cuit même pas correctement!
Tu secoue la tête, les gens et les propriétaires surtout ne sont pas capable de comprendre que le véritable atout d'une maison c'est une cuisine efficace! Tu étais arrivé sur un désastre et franchement tu est gentil en parlant de désastre. Deux planches qui se courent après pour faire office de plan de travail, un pauvre placard un peu branlant, un vieux four et même pas de frigo digne de ce nom.. c'était d'une tristesse
Oh.. pardon on se connais à peine et je parles déjà trop... Navré je suis assez.. bavard si on ne m'arrête pas...
- InvitéInvité
Venez comme vous êtes !
FEAT. Hiroki
Et ce n’est pas moi qui vais le contredire !
« L’expression «tenir par le ventre» n’existe pas pour rien. »
Je lui souris tout en faisant mes premiers pas dans le couloir. J’enlève mes chaussures et les pose sur le meuble prévu à cet effet puis me redresse. Son appartement n’est pas agencé comme le mien. Sa cuisine prend énormément de place, quoi de plus étonnant chez un cuisinier. Tout son budget a l’air d’y être passé, le salon est plutôt simple comparé à son lieu de prédilection.
Hiroki me décapsule une bière. Je prends place sur un tabouret en le remerciant. C’est vrai qu’on ne peut pas dire que je lui ai offert le meilleur accueil qui soit. En général quand on habite aussi près entre collègue, on fait tout pour intégrer les nouveaux. Ce n’est pas contre lui, j’ai juste tellement d’autres choses à gérer. Même si je suis sur Kobe, je dois tout de même me tenir au courant de ce qui se passe à Sendai, histoire de ne pas être larguée à mon retour.
« Navrée pour l’accueil, j’ai été plutôt occupée ces derniers temps. Je ne passe pas beaucoup de temps chez moi alors je n’ai pas trop entendu vos travaux, pas de souci de ce côté ! Jolie cuisine en passant. »
Rien à voir avec la mienne qui n’est pourtant pas si mal dans son genre. Imaginer sa tête à son arrivée, devant ses deux pauvres plaques me fait pouffer. Si lui-même a conscience d’être bavard, c’est déjà une bonne nouvelle. Mais bon, un peu de compagnie occasionnelle ça ne fait pas de mal.
« Je ne le suis pas vraiment alors ça compense. Je vous dirais stop si vous parlez trop, d’accord ? »
Je le taquine. Ce qui se voit sur mon sourire moqueur même caché derrière le goulot de ma bière.
« Alors, qu’est-ce qui vous amène à Kobe ? Sauf si vous y étiez déjà. »
« L’expression «tenir par le ventre» n’existe pas pour rien. »
Je lui souris tout en faisant mes premiers pas dans le couloir. J’enlève mes chaussures et les pose sur le meuble prévu à cet effet puis me redresse. Son appartement n’est pas agencé comme le mien. Sa cuisine prend énormément de place, quoi de plus étonnant chez un cuisinier. Tout son budget a l’air d’y être passé, le salon est plutôt simple comparé à son lieu de prédilection.
Hiroki me décapsule une bière. Je prends place sur un tabouret en le remerciant. C’est vrai qu’on ne peut pas dire que je lui ai offert le meilleur accueil qui soit. En général quand on habite aussi près entre collègue, on fait tout pour intégrer les nouveaux. Ce n’est pas contre lui, j’ai juste tellement d’autres choses à gérer. Même si je suis sur Kobe, je dois tout de même me tenir au courant de ce qui se passe à Sendai, histoire de ne pas être larguée à mon retour.
« Navrée pour l’accueil, j’ai été plutôt occupée ces derniers temps. Je ne passe pas beaucoup de temps chez moi alors je n’ai pas trop entendu vos travaux, pas de souci de ce côté ! Jolie cuisine en passant. »
Rien à voir avec la mienne qui n’est pourtant pas si mal dans son genre. Imaginer sa tête à son arrivée, devant ses deux pauvres plaques me fait pouffer. Si lui-même a conscience d’être bavard, c’est déjà une bonne nouvelle. Mais bon, un peu de compagnie occasionnelle ça ne fait pas de mal.
« Je ne le suis pas vraiment alors ça compense. Je vous dirais stop si vous parlez trop, d’accord ? »
Je le taquine. Ce qui se voit sur mon sourire moqueur même caché derrière le goulot de ma bière.
« Alors, qu’est-ce qui vous amène à Kobe ? Sauf si vous y étiez déjà. »
- Hiroki SatoPersonnel ; cuisinier■ Age : 31■ Messages : 62■ Inscrit le : 14/02/2022■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 25 ans
❖ Chambre/Zone n° : 2 (Appart)
❖ Arrivé(e) en : Avril 2016
Tu te met à rire, tenir par le ventre oui, c'est un peu ton crédo.. et aussi la seule manière que tu connais d'efficace pour draguer étrangement. Le chemin le plus court vers le coeur d'un homme c'est par l'estomac il parait. Alors vers le coeur tu peux pas l'affirmer. Mais vers l'entrejambe avec un peu d'épices aphrodisiaque ça fonctionne très bien. Enfin c'est pas exactement une pensée à partager avec une encore inconnue hein. Alors tu te contente du rire sincère et de retourner à tes casseroles le temps que la belle demoiselle prenne place. Elle ne semble pas t'en vouloir des travaux, tu t'es assuré de tout faire faire assez rapidement et en journée pour ne déranger personne ou en tout cas le moins de monde possible. Tu n'est pas assez idiot pour croire qu'il est possible de n'ennuyer personne. Il y aura toujours ce petit vieux qui va gueuler que tu l'empêche de regarder son émission favorite. Ou cet étudiant qui va argumenter qu'il peut pas travailler parce qu'il y a du bruit. Bon, eh, c'est pas comme si tu comptait en faire toute l'année c'est l'histoire d'une semaine mais c'est quand même chiant de devoir t'excuser.
Ah.. merci, je pouvais pas avec la cuisine fournie. Sérieusement, a peine la place de poser un saladier et même pas de four correct.. impossible de faire chauffer quelque chose uniformément. Quand j'ai manger mon premier plat ici, cramé sur les côté et froid au milieu j'ai cru que j'allais pleurer. Et comme de toute manière je ne compte pas déménager avant un très long moment, autant mettre la cuisine au niveau!
Et c'est peu dire, cette histoire de plat mal cuit, tu avais eu des soucis avec les plaques aussi, elles n'arrêtaient pas de s'éteindre. Alors tu te demande vaguement, est ce que c'est uniquement ta cuisine qui était dans un état de délabrement proche de l'encéphalogramme plat ou bien c'est tout l'immeuble. Parce que si c'est le cas tu te demande comment font les gens ici pour manger. Mais là encore, vous avez un 7eleven juste à côté alors..si y a bien une chose que tu ne peux pas reprocher aux konbini du genre c'est que leur plats et bento sont plutôt honorable.. leur ramen vendu en caisse est très bon aussi et ce n'est même pas très cher donc c'est une alternative correcte pour se nourrir tu en conviens. Mais tout de même, le plaisir de cuisiner soit même disparais avec ça. Et cuisiner c'est tellement déstressant que tu ne pourrais pas t'en passer quoi qu'il arrive.
Je ne suis pas né à Kobe même mais vraiment pas loin d'ici, j'ai juste avancer vers la grande ville, comme tous le monde j'imagine. J'ai fait des études de cuisine et il y avait un poste à l'université, j'ai pas chercher beaucoup plus loin vous savez? Je suis simple, les choses se mettent en place toutes seules je vais pas dire non. Et vous alors? Qu'est ce qui vous à menée vers la ville?
Tu pose la question pour lui retourner la discussion. Mais en soit si elle ne veux pas répondre tu ne t'en formaliserais pas, certains ont une vie bien plus difficile que la tienne tu le sais. Tu as conscience de la chance de ta vie simple qui s'aligne correctement. Tu ne va pas chercher plus loin de toute façon. Et tu va sortir quelque chose du four pour le déposer devant elle, les fameux petit four au chorizo. Rien que d'importer les ingrédients te coute un bras, tu n'en fait pas souvent, mais ta paie est énorme pour toi seul, tu n'a pas à te plaindre alors tu te fait plaisir de temps en temps avec ce genre de délicatesses.
Dites moi ce que vous en pensez! J'ai fait importer le chorizo d'espagne, vous avez pas idée du prix de ce genre de choses!!
Ah.. merci, je pouvais pas avec la cuisine fournie. Sérieusement, a peine la place de poser un saladier et même pas de four correct.. impossible de faire chauffer quelque chose uniformément. Quand j'ai manger mon premier plat ici, cramé sur les côté et froid au milieu j'ai cru que j'allais pleurer. Et comme de toute manière je ne compte pas déménager avant un très long moment, autant mettre la cuisine au niveau!
Et c'est peu dire, cette histoire de plat mal cuit, tu avais eu des soucis avec les plaques aussi, elles n'arrêtaient pas de s'éteindre. Alors tu te demande vaguement, est ce que c'est uniquement ta cuisine qui était dans un état de délabrement proche de l'encéphalogramme plat ou bien c'est tout l'immeuble. Parce que si c'est le cas tu te demande comment font les gens ici pour manger. Mais là encore, vous avez un 7eleven juste à côté alors..si y a bien une chose que tu ne peux pas reprocher aux konbini du genre c'est que leur plats et bento sont plutôt honorable.. leur ramen vendu en caisse est très bon aussi et ce n'est même pas très cher donc c'est une alternative correcte pour se nourrir tu en conviens. Mais tout de même, le plaisir de cuisiner soit même disparais avec ça. Et cuisiner c'est tellement déstressant que tu ne pourrais pas t'en passer quoi qu'il arrive.
Je ne suis pas né à Kobe même mais vraiment pas loin d'ici, j'ai juste avancer vers la grande ville, comme tous le monde j'imagine. J'ai fait des études de cuisine et il y avait un poste à l'université, j'ai pas chercher beaucoup plus loin vous savez? Je suis simple, les choses se mettent en place toutes seules je vais pas dire non. Et vous alors? Qu'est ce qui vous à menée vers la ville?
Tu pose la question pour lui retourner la discussion. Mais en soit si elle ne veux pas répondre tu ne t'en formaliserais pas, certains ont une vie bien plus difficile que la tienne tu le sais. Tu as conscience de la chance de ta vie simple qui s'aligne correctement. Tu ne va pas chercher plus loin de toute façon. Et tu va sortir quelque chose du four pour le déposer devant elle, les fameux petit four au chorizo. Rien que d'importer les ingrédients te coute un bras, tu n'en fait pas souvent, mais ta paie est énorme pour toi seul, tu n'a pas à te plaindre alors tu te fait plaisir de temps en temps avec ce genre de délicatesses.
Dites moi ce que vous en pensez! J'ai fait importer le chorizo d'espagne, vous avez pas idée du prix de ce genre de choses!!
- InvitéInvité
Venez comme vous êtes !
FEAT. Hiroki
Hiroki me fait marrer. Pauvre cuisinier en détresse devant son plat trop cuit sur les côtés et froid au milieu ! Bizarrement, je n’ai aucun mal à l’imaginer sangloter en voyant son plat, préparé avec tant de dévotion, gâché par un four obsolète. Je ne me moque pas de lui cela dit, j’aime bien les gens passionnés. Moi aussi j’enrage quand je commande une pizza et qu’elle arrive mal cuite et froide, oui bon chacun ses standards hein !
Ça c’est quand j’ai vraiment la flemme. Pour avoir passé ma vie dans le restaurant de ma mère, elle aurait honte de moi si je ne savais pas cuisiner sa carte. Ce n’est juste pas quelque chose que j’aime spécialement faire, sûrement parce que j’ai passé trop de temps dans toutes ces odeurs de nourriture.
« Je comprends que ce soit agaçant. Ma mère a son propre restaurant et tient à peu près le même discours. »
Mon voisin m’explique ce qui l’amène à Kobe et je dois dire, que je suis surprise de la raison tout simple. Un voisin simple sans prise de tête, je suis bien tombée pour le coup. Si ses petits fours au chorizo sont bons, je crois que je lui rendrai plus souvent visite. La prochaine fois j’emmènerai l’alcool, politesse oblige.
« Les décisions simples sont les meilleures, là-dessus on est d’accord. J’étais serveuse au resto de ma mère, les cuisines c’est pas trop mon truc même si je me débrouille. J’ai eu envie de changer sans trop savoir dans quoi. Il y avait une annonce, j’ai postulé et voilà ! »
Les mensonges simples sont aussi au-dessus du panier. Hiroki sort ses petits fours et les installe entre nous. Ça sent drôlement bon ! Je lui fais des gros yeux quand il précise commander directement son chorizo d’Espagne. Oh si j’ai idée du prix, mais ça je me garde bien de le dire !
« Carrément d’Espagne ? Je ne veux pas savoir combien ça vous coûte ! »
Après la formule de politesse avant un repas, je prend un petit four entre mes doigts et souffle dessus. Je mords dedans et... C’est vraiment trop bon ! La cuisson est parfaite et le chorizo est bien assaisonné, il n’y a qu’en Espagne (le Portugal se défend bien aussi) qu’on en trouve d’aussi bon.
« C’est délicieux. Ça valait le coup de le faire venir d’aussi loin. »
Ça c’est quand j’ai vraiment la flemme. Pour avoir passé ma vie dans le restaurant de ma mère, elle aurait honte de moi si je ne savais pas cuisiner sa carte. Ce n’est juste pas quelque chose que j’aime spécialement faire, sûrement parce que j’ai passé trop de temps dans toutes ces odeurs de nourriture.
« Je comprends que ce soit agaçant. Ma mère a son propre restaurant et tient à peu près le même discours. »
Mon voisin m’explique ce qui l’amène à Kobe et je dois dire, que je suis surprise de la raison tout simple. Un voisin simple sans prise de tête, je suis bien tombée pour le coup. Si ses petits fours au chorizo sont bons, je crois que je lui rendrai plus souvent visite. La prochaine fois j’emmènerai l’alcool, politesse oblige.
« Les décisions simples sont les meilleures, là-dessus on est d’accord. J’étais serveuse au resto de ma mère, les cuisines c’est pas trop mon truc même si je me débrouille. J’ai eu envie de changer sans trop savoir dans quoi. Il y avait une annonce, j’ai postulé et voilà ! »
Les mensonges simples sont aussi au-dessus du panier. Hiroki sort ses petits fours et les installe entre nous. Ça sent drôlement bon ! Je lui fais des gros yeux quand il précise commander directement son chorizo d’Espagne. Oh si j’ai idée du prix, mais ça je me garde bien de le dire !
« Carrément d’Espagne ? Je ne veux pas savoir combien ça vous coûte ! »
Après la formule de politesse avant un repas, je prend un petit four entre mes doigts et souffle dessus. Je mords dedans et... C’est vraiment trop bon ! La cuisson est parfaite et le chorizo est bien assaisonné, il n’y a qu’en Espagne (le Portugal se défend bien aussi) qu’on en trouve d’aussi bon.
« C’est délicieux. Ça valait le coup de le faire venir d’aussi loin. »
- Hiroki SatoPersonnel ; cuisinier■ Age : 31■ Messages : 62■ Inscrit le : 14/02/2022■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 25 ans
❖ Chambre/Zone n° : 2 (Appart)
❖ Arrivé(e) en : Avril 2016
Tu laisse réchauffer ta préparation avant d'aller t'installer en face de la jeune femme avec un petit rire, sa mère tiens un restaurant? Alors elle comprends forcément. En même temps quand les études te force presque à apprendre à te servir d'un véritable plan de travail et de bien organiser ton espace.. ça nécessite un espace de base. Et tu n'aurais pas survécu sans, tu ne sais plus survivre sans en réalité. Et autant il t'arrive de manger quelques plats aux micro onde, quand tu est malade en général et que tu n'a pas la force de cuisiner mais là quand même c'était un peu trop pour toi. Tu prends une longue gorgée de bière avant de hocher la tête.
J'ai l'impression que cette université est vraiment une aubaine. Comme si c'était prévu qu'on vienne y travailler pouf, voilà une demande ou une offre d'emploi, je trouve que c'est assez.. bien foutu? Nan.. que ça pousse a la réflexion?
Tu mange un petit four également en attendant sa réaction mais ça ne t'empêche pas de juger toi même. Pour toi il est pas si mal, bien assaisonné et un gout inégalé, il faut dire que vu le prix que tu y met, si tu n'avait pas de goût tu aurait certainement de quoi pleurer. Et c'est pas exactement ton envie actuelle, tu as plutôt envie de profiter, bien sur tu n'en à utiliser qu'un petit morceau pour faire ça et le reste est précieusement planquer. D'une part pour empêcher qu'il sèche trop vite ou que quelqu'un vienne se servir par simple envie mais surtout, surtout, pour éviter que tu vienne t'en couper une tranche quand l'envie t'en prends. Parce que vu le goût tu risque d'en avoir envie assez rapidement.
Ah je suis content! Si vous aimez bien! Ca vous plairait de prendre une assiette du plat? Je doute que vous avez à faire chez vous mais je prépare souvent beaucoup et bien que j'en donne pas mal si vous souhaitez en ramener un peu ça me ferais plaisir.. Je n'ai qu'une purée de carotte aux épices, des pommes de terre sauter et du boeuf grillé aux herbes.. Ah et bien sur mon ragout de poisson en train de cuire mais je pense lui donner encore une petite heure ou deux alors..
Tu n'a pas envie de monopoliser la jeune femme qui semble véritablement sympathique, parce qu'une bonne relation avec ses voisins il parait que c'est important. Et si tu peux en avoir une bonne avec elle ce serait bien. Déjà parce que vous travailler au même endroit et que ça te permettrait de pouvoir avoir des discussions autres que les sempiternels débat en cuisine. Et aussi parce que si tu as bien compris, elle est surveillante, donc elle a peut être des ragots sur les élèves, et les cieux savent à quel point tu est friand de ragots en tout genre. La mégère de service. Le trou à potin et tu n'a encore trouver PERSONNE pour t'alimenter et c'est d'une tristesse infinie.
Enfin tout a fait autre chose mais vous connaissez bien les élèves du coup non? Surtout les turbulents j'imagine...
J'ai l'impression que cette université est vraiment une aubaine. Comme si c'était prévu qu'on vienne y travailler pouf, voilà une demande ou une offre d'emploi, je trouve que c'est assez.. bien foutu? Nan.. que ça pousse a la réflexion?
Tu mange un petit four également en attendant sa réaction mais ça ne t'empêche pas de juger toi même. Pour toi il est pas si mal, bien assaisonné et un gout inégalé, il faut dire que vu le prix que tu y met, si tu n'avait pas de goût tu aurait certainement de quoi pleurer. Et c'est pas exactement ton envie actuelle, tu as plutôt envie de profiter, bien sur tu n'en à utiliser qu'un petit morceau pour faire ça et le reste est précieusement planquer. D'une part pour empêcher qu'il sèche trop vite ou que quelqu'un vienne se servir par simple envie mais surtout, surtout, pour éviter que tu vienne t'en couper une tranche quand l'envie t'en prends. Parce que vu le goût tu risque d'en avoir envie assez rapidement.
Ah je suis content! Si vous aimez bien! Ca vous plairait de prendre une assiette du plat? Je doute que vous avez à faire chez vous mais je prépare souvent beaucoup et bien que j'en donne pas mal si vous souhaitez en ramener un peu ça me ferais plaisir.. Je n'ai qu'une purée de carotte aux épices, des pommes de terre sauter et du boeuf grillé aux herbes.. Ah et bien sur mon ragout de poisson en train de cuire mais je pense lui donner encore une petite heure ou deux alors..
Tu n'a pas envie de monopoliser la jeune femme qui semble véritablement sympathique, parce qu'une bonne relation avec ses voisins il parait que c'est important. Et si tu peux en avoir une bonne avec elle ce serait bien. Déjà parce que vous travailler au même endroit et que ça te permettrait de pouvoir avoir des discussions autres que les sempiternels débat en cuisine. Et aussi parce que si tu as bien compris, elle est surveillante, donc elle a peut être des ragots sur les élèves, et les cieux savent à quel point tu est friand de ragots en tout genre. La mégère de service. Le trou à potin et tu n'a encore trouver PERSONNE pour t'alimenter et c'est d'une tristesse infinie.
Enfin tout a fait autre chose mais vous connaissez bien les élèves du coup non? Surtout les turbulents j'imagine...
- InvitéInvité
Venez comme vous êtes !
FEAT. Hiroki
Une aubaine... Ah... Ah... Pour lui peut-être oui. Je m’en serais bien passée, de cette chance. Pour moi c’était tout l’inverse, une plaie qui n’était pas prête de se refermer mais avec laquelle je devais vivre en prenant mon mal en patience. Ma vie d’avant me manque, ses rebondissements, ma liberté de faire ce qui me chante quand j’en ai l’envie. Tout ça me paraît si lointain que pendant une seconde, je sens pointer la déprime. J’attrape une bouchée pour la faire disparaître. La nourriture est définitivement une bonne consolation, surtout quand elle a aussi bon goût. Je le fais vite savoir à Hiroki.
Cet homme est un ange de la cuisine tombé juste là pour me soutenir dans ce périple.. Ahem je divague, mais il me propose carrément d’emmener de ce qu’il a préparé chez moi ! J’ai presque l’impression qu’accepter serait profiter tout bonnement de lui mais Hiroki a l’air d’y tenir.
« W-wow, vous êtes sûr ? C’est vraiment gentil. Je ne veux pas jouer les pique-assiette mais je ne saurai sûrement pas vous rendre la pareille même si je me débrouille. En bonne bouteille je m’y connais mieux. »
C’est vrai quoi, même si je lui faisais un plat, ce ne serait sûrement pas aussi bon que le sien. Je trouverai bien quoi échanger si ce genre d’épisodes se répètent, et ils se répéteront vu ce qu’il me cite. Ça me donne faim, surtout le bœuf grillé. J’aurais bien acheté une belle pièce de boeuf de Kobe pour qu’il la prépare et qu’on goûte ça mais ce serait bizarre pour une surveillante d’avoir un tel budget... Dans les 14000 Yen les 100g (101€). Ma vie craiiint, est nuuulllleeee ! J’ai envie de pleurer devant ce bœuf super bien cuisiné qui me passe sous le nez ! Avant de partir d’ici je lui mettrai dans les mains et lui dirai de ne pas poser de questions et juste le cuire !
Allez, parlons des élèves turbulents, ça me changera les idées. Hiroki a l’air d’avoi run petit côté commère.
« Oh oui, j’ai pu en croiser. En général rien de très original, disputes entre élèves, ou élève qui en embête un autre, mes préférés ceux-là. Mais celui dont j’ai pas mal entendu parler c’est d’un tague sur le casier d’un professeur, la tête d’un Oni. Je crois que c’était par rapport à un body painting organisé par le-dit prof, je ne lis pas le journal donc je n’ai pas suivi. »
Il a fait fort ce sale gosse quand même ! Le pire c’est qu’il s’en est plutôt bien tiré. Une chance que le professeur en question ne soit pas super sévère.
« Et vous, à la cantine il doit s’en passer des choses non ? »
Cet homme est un ange de la cuisine tombé juste là pour me soutenir dans ce périple.. Ahem je divague, mais il me propose carrément d’emmener de ce qu’il a préparé chez moi ! J’ai presque l’impression qu’accepter serait profiter tout bonnement de lui mais Hiroki a l’air d’y tenir.
« W-wow, vous êtes sûr ? C’est vraiment gentil. Je ne veux pas jouer les pique-assiette mais je ne saurai sûrement pas vous rendre la pareille même si je me débrouille. En bonne bouteille je m’y connais mieux. »
C’est vrai quoi, même si je lui faisais un plat, ce ne serait sûrement pas aussi bon que le sien. Je trouverai bien quoi échanger si ce genre d’épisodes se répètent, et ils se répéteront vu ce qu’il me cite. Ça me donne faim, surtout le bœuf grillé. J’aurais bien acheté une belle pièce de boeuf de Kobe pour qu’il la prépare et qu’on goûte ça mais ce serait bizarre pour une surveillante d’avoir un tel budget... Dans les 14000 Yen les 100g (101€). Ma vie craiiint, est nuuulllleeee ! J’ai envie de pleurer devant ce bœuf super bien cuisiné qui me passe sous le nez ! Avant de partir d’ici je lui mettrai dans les mains et lui dirai de ne pas poser de questions et juste le cuire !
Allez, parlons des élèves turbulents, ça me changera les idées. Hiroki a l’air d’avoi run petit côté commère.
« Oh oui, j’ai pu en croiser. En général rien de très original, disputes entre élèves, ou élève qui en embête un autre, mes préférés ceux-là. Mais celui dont j’ai pas mal entendu parler c’est d’un tague sur le casier d’un professeur, la tête d’un Oni. Je crois que c’était par rapport à un body painting organisé par le-dit prof, je ne lis pas le journal donc je n’ai pas suivi. »
Il a fait fort ce sale gosse quand même ! Le pire c’est qu’il s’en est plutôt bien tiré. Une chance que le professeur en question ne soit pas super sévère.
« Et vous, à la cantine il doit s’en passer des choses non ? »
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